Chaos !

Date d'inscription : 14/06/2016 Messages : 53

La nuit était tombé en ce dimanche soir, on pouvait y entendre le bruit des sauterelles dans le parc tellement que cette soirée était douce et paisible. Le château étant éclairé à différents endroits, on pouvait y apercevoir différentes choses. En effet, dans l'aile, qui abritait les élèves, ils amusaient à faire des batailles d'eaux ou chahutait de différentes façons. Tout au bout dans le sens inverse, le Directeur Sylvius faisait mille pas dans son bureau, sans doute à cause des tensions entre le monde moldue et le monde Sorcier. Le secret n'avait pas été encore briser mais il ne manquait pas grande chose pour qu'une guerre éclate ...

Quelques étages en dessous, un homme penché au coin de sa fenêtre fumer une cigarette en contemplant le paysage plonger dans l'ombre. Ayant un passé compliqué, il avait réussit à trouver sa place dans le monde magique grâce à de nombreux proches. Toute fois, il avait toujours une attache dans le monde moldue car il y avait des amis aux Etats-Unis. Rentrant dans la lumière de la pièce pour fermer la fenêtre et retourner à ses occupations, cet individu était Jason Eiwaz, le Directeur Adjoint. Se plaçant derrière son bureau, il mit ses écouteurs et regarda un film sur son ordinateur portable. Plongé dans une série américaine moldue appelé " Games of Thrones ", ce dernier avait réussit à rendre des Sorciers addictifs à ce programme. Mey passait beaucoup de temps avec lui à regarder ça les soirs, ça les avaient beaucoup rapprocher et casser la glace qui s'était former entre eux.

A fond, sur son ordinateur, Jason n'entendait plus rien de ce qui se passer autour de lui. Quand soudain quelque chose détourna son regard. Les meubles bouger et le verre trembler dans la pièce. Qu'est ce que cela voulait dire ? Retirant ses écouteurs pour comprendre ce qu'il se passait. Jason fut surpris d'entendre des bruits de motos et de personnes hurlant comme des fous. Marchant à sa fenêtre en l'ouvrant brusquement, au même moment l'alarme de l'écolé se mettait à sonner ... Une attaque avait lieu au sein de Poudlard ! Cherchant à voir d'où sa venait le jeune Eiwaz pouvoit apercevoir des gobelins sur des motos détruire le château en s'amusant. Les bikers gobelins n'étaient pas courant et encore moins de s'attaquer à une école sous peine de se faire exécuter par le Ministère. Alors que certains élèves étaient sortie pour se mesurer à eux et surtout faire les fiers devant d'autres. Un combat s'engager et les sorts commençaient à fuser. Cela dit, les créatures étaient plus nombreux et privilège par leur bolides pour esquiver les projectiles venant à leur encontre. Ce qui étaient le plus étrange, c'est que les gobelins ne pratiquer pas la magie, tout ce qui ne paraissait plus normal mais c'est que là, ils étaient d'armes à feu moldue.

Alors qu'un enfant aller se faire rafale par un groupe. Le Directeur Adjoint saisit son balai à une vitesse surprenante et d'un geste de baguette transforma les balles en de la poussière dorée. Sautant et se posant juste devant l'élève pour le protéger. Les gobelins éclater de rire en se moquant de Jason pointant sa baguette vers eux et leur répondant :

" Grave erreur les mecs ! Maintenant vous allez dégager ! Ou c'est moi qui va vous virez avec un gros coup de pied dans le cul ! "

Mais déterminer à rester ils rechargèrent leurs armes et visèrent le Directeur adjoint le temps que d'autres Bikers les rejoignent. Sauf que petit soucis pour eux, plein d'ombre apparurent aux côtés de Jason Eiwaz. Parmi les rangs on pouvait y apercevoir Shona Godolphin, Céline Chantress, Hana et Stanley ensemble, avec Severus et ses hommes de mains. Mat, Mey et Mehdi apparurent au même moment accompagné par la suite de Nohlan, Malfada et Philomena. Alexei apparu à son tour juste à côté de Jason, un de ses meilleurs potes pour lui faire comprendre qu'il était là en lui posant la main sur l'épaule avec un air déterminé. Il ne manquait plus qu'une personne quand une boule de feu vint frapper le sol tel un éclair, le Directeur venait de transplanait à son tour en se mettant devant tout son groupe pour montrer qu'il était le chef.

Les gobelins rigolant moins, alors que les autres bikers continuer leur zizanie un combat s'engagea soudain.

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

Le monde sorcier était assez calme depuis quelques semaines. La grosse tempête né de la découverte de notre monde par les moldus n'avait pas encore eu lieu. Nous étions encore dans ce moment calme qui précède les tempêtes, en tout les cas, je le présentais comme tel. J’espérais tant me tromper, j’espérais tant que je pourrais retrouver ma vie d'avant auprès de Mafalda et de nos trois enfants ! Mais je me berçais d'illusions, je savais très bien que le retour en arrière était impossible, il était vain de l’espérer.

Alors je faisais les cents pas dans mon bureau, étudiant, épluchant, analysant tous les rapports qui me provenait de l'ordre des reliques (ordre que nous avions formé Ron, Hermione et d'autres au moment de la prétendue mort d'Harry presque 20 ans plus tôt). J'attendais aussi des nouvelles de mon père parti en mission avec Alix auprès du premier ministre britannique (qui était un proche) mais là aussi je n'en attendais pas trop compte tenu du fait qu'il venait de démissionner pour cause de Brexit et laissait sa place à une personne que nous ne connaissions pas ou trop peu.

J'étudiais et je recrutais aussi avec l'aide de Jason toute les bonnes volonté en les accueillant dans notre école (qui pour l'occasion s'était agrandie d'elle même, comme si elle avait pressenti que nous aurions besoin de place). Je nous savais protéger en ce lieu incartable pour le monde non magique. J'avais aussi contacté tous les autres ministres de la magie de par le monde et je préparais une immense réunion afin d'essayer de faire triompher nos idées : à savoir le maintien de la paix coute que coute.

Alors que j'étais perdu dans mes pensées, je ressenti des vibrations, suivi d'explosions que je n'arrivais pas à comprendre car c'était tout simplement impossible en ce lieu. Je pris la baguette qui se trouvait sur mon bureau et me précipitait vers les bruits. Je sautais d'escaliers en escaliers, bondissait par dessus les rambardes et ouvrait les portes à grand coups de sortilèges. Arrivé à la grande porte, j'entendis la vois de Jason mon filleul.

- Grave erreur les mecs ! Maintenant vous allez dégager ! Ou c'est moi qui va vous virez avec un gros coup de pied dans le cul !

Les gobelins bikers car c'était bien ce qui nous attaquait rièrent mais pas longtemps car de partout surgirent des ombres qui se revèlerent etre nos amis et alliés aussi divers et variés que Shona, Céline, Stanley, Serverus, Mat, Philo, Mafalda et bien d'autres encore. Je souriais de voir tout ce beau monde ainsi rassemblé prêt au combat.

Je les rejoignit en lançant une boule de feu qui me permit de faire une arrivée triomphale afin de foutre les chocottes aux gobelins ce qui ne manqua pas d'arriver car ils eurent un mouvement de recul. Les gobelins rigolant moins, alors que les autres bikers continuer leur zizanie un combat s'engagea soudain.

Un éclair vint me frapper à la tempe brûlant quelques cheveux, cela sentait le roussi mais j'en avait cure, après tout c'était les risques du métier. Cela eu le don de me mettre en colère et je redoublais mes coups. Chacun d'eux portaient ses fruits et les gobelins (ou leur moto) rendaient l'âme. Après chaque coup, je piquait un sprint afin d'échapper aux sorts qui me visaient.

Un peu plus loin se trouvait Harry et Mafalda. Je les rejoignis rapidement.

- Pétard me dis Harry, c'est quoi ce bordel ?

- J'en sais rien ! Mafalda tu as déjà lu ou entendu que des gobelins tiraient avec des armes moldus ?

- Jamais mon amour !

- Encore un truc de plus ! On n'en avais pas assez comme cela avec les moldus qui ont découvert notre secret. Cela devient lassant !

Harry et Mafalda n'eurent pas le temps de me répondre, de nouveaux éclairs vinrent frapper prêt de nous et nous séparèrent. Au loin, de nombreux duels s'étaient engagés.

Professeur d'astronomie Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 102

Dimanche soir. La tour d’astronomie. Des cours à préparer. J’avais pris quelque peu de retard dans la réflexion et la rédaction de mes cours d’où ma présence à cette heure indue dans l’enceinte du château, au lieu d’être dans ma grande et belle maison dans les bois. De toute façon, Mathéo travaillait beaucoup ces derniers et rentrait très tard depuis plusieurs semaines déjà. Franz dormait maintenant dans son dortoir avec les autres élèves et Thania était aussi au château. Je n’avais donc personne à la maison.

Un soupir accompagna mes pensées et par la même occasion la fin de mon travail. Avec effort, puisque ça faisait plusieurs heures que j’étais restée assise sur ma chaise, je me levais de ma chaise et me dirigeais vers une ouverture de la tour d’astronomie et respirais un grand coup comme si je voulais aspirer toute l’air pure que je pourrais. Ça faisait tellement de bien et je me sentais tellement plus libre et légère. Ça faisait longtemps que je n’avais pas pris la peine de rêvasser en regardant les étoiles. Je profitais de la brise légère qui flottait. Je percevais les légers bruits qui me parvenaient du parc comme des bruissements d’herbes, du bois qui craque sous les pattes d’animaux, des clapotis provenant du lac noir et la musique des sauterelles qui ajoutait une note aigue à tous ses bruits de la nuit. Si l’on pensait au climat qui régnait dans le monde magique et notre secret qui était sur le point d’être découvert, cette nature en paix et ce silence serein qui provenait du château était irrémédiablement paradoxale. On pouvait être trompé. Quelques lumières provenant des fenêtres des dortoirs m’apprirent que tous les élèves n’étaient pas tous en train de se reposer. Je souris à cette pensée. Nous étions vraiment tous pareils au même âge.

Je m’éloignais de la fenêtre pour remettre de l’ordre dans ma salle de classe. Rien ne venait troubler mon ménage mais un bruit sourd et continu retint mon attention. Je tendis l’oreille pour essayer de percevoir l’origine de cette nuisance sonore. Je fronçais les sourcils car cela ressemblait sans aucun doute à un vrombissement lointain de moto. Qu’est-ce qu’un engin pareil faisait par ici. Je courus à la fenêtre que j’avais quitté quelques instants plus tard et vis des raies de lumières crées sans aucun doute par des phares de motos. Il y en avait plusieurs et ils se dirigeaient tout droit sur le château. Qu’est-ce que tout cela signifiait ?? Le directeur avait-il un rendez-vous ?? Alors, pourquoi ses invités venaient-ils avec ce moyen de transport ? Je perçus que quelque chose n’allait pas quand des rires gras et grossiers accompagnaient les bruits sourds des motos.
Je me précipitais dans ma classe pour aller avertir les autres professeurs et même le directeur ou le directeur adjoint. Il fallait bien que ma vue exceptionnelle serve à quelque chose. Je transplanais dans le grand hall mais l’alarme de l’école sonnait déjà. Au moins, même si j’étais la seule à bénéficier d’une grande visibilité à plusieurs kilomètres à la ronde, l’alarme étaient là aussi. Je me dirigeais vers la salle des professeurs et annonçais que quelque chose clochait et qu’il fallait que l’on sorte tous.

- Vite !! Dehors !! Le château est attaqué. C’est un groupe de motard !! Prévenez, le plus de monde possible. Une partie avec moi terminais-je en regardant la plupart des anciens professeurs.

On se dirigea vers le parc et c’est là que nous vîmes des élèves e train de jeter des sorts. Je laissais les autres professeurs rejoindre le conflit pour m’occuper des plus jeunes élèves. Je laissais ceux des deux dernières années dehors mais je renvoyais les plus jeunes dans leurs dortoirs sous l’autorité de leur préfet en chef. Une fois cela fait, je transplanais pour rejoindre le cœur du conflit.

Au moment où j’arrivais, je vis que les bolides étaient conduits par des gobelins armés en plus d’arme à feu moldue

- Il ne manquait plus que ça ! grommelais-je. Il fallait bien s’attendre à ce que la magie fasse face à la technologie moldue.

Nous faisions maintenant tous parages aux gobelins : Jason à côté duquel se trouvait un de ses fidèles amis, Alexei suivit de tous le corps enseignant et de Severus et ses hommes de main. Il ne manquait plus que notre grand directeur qui ne tarda pas à arriver, bien sûr et qui se plaça devant tout le monde pour assurer ou pas les discussions éventuelles et pour montrer l’ordre hiérarchique du château mais son arrivée marqué par une boule de feu donnait le ton et signifiait bien des choses et au vue de la tête de ces créatures, elles avaient compris car ils eurent un mouvement de recul. Les gobelins rigolant moins, alors que les autres bikers continuer leur zizanie un combat s'engagea soudain.

Les gobelins n’hésitaient pas à user de leurs nouveaux joujoux contre nous. Il fallait que nous fassions très attention mais à bien y regarder cela ne différenciait pas tellement des sorts qu’il fallait éviter. Nous lancions toutes sortes de sorts pour détruire leurs armes et leurs motos qui pourrissaient la pelouse et pétaradaient comme jamais. Je vis quelques-uns qui étaient touchés, ce qui fit redoubler les efforts de chacun. Personne n’avait le droit de pénétrer sur le territoire de Poudlard.

Directeur de Gryffondor Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 186

Perchée dans la tour des Gryffondor, attablée à mon bureau, j'étais en train de corriger tranquillement les devoirs de mes élèves. La fatigue de ce dimanche commençait à ce faire sentir. J'avais passé ma journée au club à m'occuper des cavaliers et des montures.

Je venais de corriger et noter la dernière copie quand j'entendis une rumeur monter jusqu'à la fenêtre de mon bureau. Etonnée, je me penchais pour voir ce qui pouvais bien se passer en bas. Je fus subjuguer devoir une bande de motards qui visiblement faisait le cirque sur le parvis du château. Mon sans ne fit qu'un tour : Est ce que les moldus nous attaquaient ?
Sans réfléchir, je fonçais vers la salle commune des Gyffons et donnais l'ordre aux préfets de garder les élèves dans leur chambre et de leur interdire de sortir.
Puis je descendis au rez-de-chausser le plus vite possible.
Dans le grand hall, je croisais différents professeurs qui comme moi accouraient pour venir défendre le château.
- Vous savez ce qui ce passe !! leur criais-je au passage/color]

Mais aucun ne fut capable de me fournir une réponse valable. C'est alors que le gros du bataillon des profs menée par Philomena envahit le hall. Tous ensemble nous sortîmes pou nous disperser dans le parc à fin de prendre nos ennemis en tenaille. Comme à son habitude, Phil s'occupa immédiatement des rares élèves qui traînaient dans les parages. Moi je portais mon attention su nos agresseurs et j'en fus complètement ébranlée : ce n'était pas des moldus, mais des gobelins, des gobelins su des motos !! Je faillis éclater de rire en voyant ce spectacle totalement incongru. Mais mon amusement fit place à la colère quand je m'aperçus que ces gobelin étaient armer avec des armes à feu Moldus. Et ces armes, ces salonards semblaient savoir s'en servir !!

Immédiatement, je me transformais en dragons et pris mon envole. Déjà, ma peau me protégeait des balles et me mettait à l'abri, du coup, je fondais du ciel sur les "motards" pour les arracher de leur montures et les lâcher au milieux de nos amis qui les immobilisaient immédiatement. Malgré ça, ils étaient tellement nombreux, qu'une véritable bataille s'était engager dans le parc. Lors d'une accalmie, je me posais près de Sylvius:

Hé, Syl, tu peux me dire qu'est ce que c'est ce bordèle !!

Directeur de Serpentard Date d'inscription : 14/09/2014 Messages : 214

- Faux, faux, faux... encore un zéro. - Dis-je en écrasant une autre cigarette. - Le dixième en une heure, record ! Voyons voir, Alice Preston, hmm... bien, bien, faux, bien... Un total de 9/10, mais je vais lui mettre un 7... Non, plutôt un 6.

Il faisait vraiment chaud en cette nuit de printemps. J'étais dans mon bureau au cachot entrain de corriger les copies de mes élèves... Aucun n'allait passer l'année. j',enlevais mes lunettes et collait mon dos à la chaise pour enfin m'étirer. Mes douleurs au dos n'allaient guère mieux malgré les soins de mon médecin et ancien camarade de classe, le docteur Kénaël. Pourtant je payais une fortune....

Je dirigeais ma main vers mon paquet de cigarette et l'ouvrit. A ma grande déception, et sans être surpris, il était vide. Pfff.... "Je vais en taxer une ou deux à JannaLynn" me dis-je.
Je me levais et tournais la poignée de porte de mon bureau quand mes chiens se sont dirigés à la fenêtre et ont commencé à aboyer. Une symphonie de vroum vroum de moteur se faisait entendre et bientôt j'entendis des coups de feu.

- Satanés élèves de première.... Les chiens, restez là et arrachez un bout de viande à tout intrus. Moi, je vais distribuer des colles.

Je transplannais devant la grande porte du château et je fut bousculé par Mat Dursley qui se dirigeait en courant vers le parc, avec d'autres professeurs et élèves de septième année. Déjà je pouvait voir Shona Godolphin cracher des flammes sous sa forme de dragon, des sortilège dans tous les sens et le bruit assourdissant de motos. C'est là que j'ai compris qu',il y avait une attaque. Je pris ma baguette et rejoignis les autres professeurs et alliés de Poudlard au combat.

- Mat !! Qu'est-ce que c'est que ces machins !?! Expelliarmus !

- Des Gobelins-bykers - Me dit Mat. - Ils sont nombreux et ils ont des armes moldues.

Après un bref instant à combattre en binôme avec Mat, je pris mon envol de mangemort, chose que m'ont apprit à faire mes parents quand ils étaient partisans de Voldemort, et j'attaquais de hauteur avec les élèves de septième année qui formaient les équipes de quidditch.

Les coups de feu des gobelins fusaient dans tous les sens et plus d'une fois ils ont essayé de nous écraser avec leurs machines. Un gobelin que Shona avait blessé était entrain de ramper par terre. J'en profitai pour lui jeter un Incarcerem et l'attacher au Saule Cogneur qui s'est amusé à le balancer dans tous les sens.

- Ne le tues pas ! Causes lui juste des dégâts ! - Dis-je en souriant à l'arbre, comme s'il allait me comprendre.

Je remarquais une accalmie et vit que Stanley, Shona et Sylvius étaient entrain de parler. J'en profitai pour me joindre à eux. Stanley avait l'air dans tous ses états, et il avait de bonnes raisons... Quand j'arrivais à leur niveau, Stanley venait de finir de parler et j'avais entendu ce qu'il avait dit.

- Calmes toi Stanley, le plus important est de savoir comment ils ont eus ces armes, et j'ai eu la bonne idée de faire un prisonnier. Allons l’interroger avant qu'une autre bataille n'éclate ! !

Mort Date d'inscription : 18/05/2016 Messages : 50

Décidément, j'adore ma vie. Hana et moi étions assis sur le canapé, chacun son livre, une coupe de vin, de la musique classique résonne dans tout le manoir, nos elfes de maisons sont en permission, les filles sont chez leur arrière grand-mère, Il n'y avait que le calme, Hana et moi. De temps en temps nous échangions des petits regards, des sourires... Et une boule d'énergie brisa une vitre, plongeant le salon dans le noir et anéanti toute la subtilité et le charme de ce moment.

La boule d'énergie était un message de Jason Eiwaz, fils de Nelson et Sheila.

- Poudlard est attaquée. Armes moldues. Ils sont nombreux. Aidez-nous.

Hana et moi nous sommes regardés, je poussais un soupir et posais mon livre. Décidément, on ne peut jamais être tranquilles chez soi. Nous sommes monté nous changer en parlant de ce qui se passait et nous avons transplanné dans le château, ou déjà il y avait grand monde qui se battait. A peine nous étions apparus que des gobelins en motos nous tirant dessus avec des armes à feu moldues. Heureusement que nous avions déjà nos baguettes en mains et que les protégos existent !

Nous nous sommes donc lancés en binôme contre ces sagouins de gobelins, puis quand nous avons nettoyé une partie, nous nous sommes séparés pour aller aider nos amis. Je rejoignis le groupe de Jason au combat, et les sortilèges ont commencé à fuser de ma baguette.

Un coup de feu retentit et une balle vint se planter dans mon épaule. Un petit picotement de rien du tout, il faut bien plus qu'une simple balle de revolver pour tuer un vampire. J'ai envoyé un confringo sur la moto de celui qui m'avait tiré dessus et celle ci explosa avec le gobelin.

Très en colère, j'en profitais pour aller voir Sylvius tout en balançant des sortilèges. Il était entrain de parler à Shona Godolphin.

- Sylvius, Comment ces créatures se sont procurés ces armes ?! Je vous ais dis qu'on ne peut pas vivre en paix avec les moldus ! Je suis persuadé que les gobelins se sont alliés à eux et quand ils nous aurons tous anéantis, ils tueront les gobelins aussi, ainsi que toutes les autres espèce magiques et ça sera la fin de notre monde ! Alors !

Mehdi, mon filleul qui était devenu professeur de Défenses Contre les Forces du Mal se joignit à la conversation.

- Calmes toi Stanley, le plus important est de savoir comment ils ont eus ces armes, et j'ai eu la bonne idée de faire un prisonnier. Allons l’interroger avant qu'une autre bataille n'éclate !

Nous avons suivi Mehdi jusqu'au Saule Cogneur ou Un gobelin hurlait de toutes ses forces pendant que l'arbre le secouer de droite à gauche et de haut en bas.

Mort Date d'inscription : 07/06/2016 Messages : 17

Il a fait beau toute la journée... Quelle horreur !
Depuis que j'ai été graciée par la justice magique après la chute de la Secte Noire et de ses deux dirigeants, Arya Sekhmet et Lord Melkor, je menais une vie tranquille de retraitée au Maroc. Je passais mes journées dans le lit ou dans les souks à acheter toute sorte de vieilleries et bijoux que je portais une fois et que je finissais par oublier dans un tiroir.

Ma vie de débauche et de criminelle me manquait terriblement, mais le Ministère de la Magie avait été très clair: Au moindre sortilège impardonnable produit par ma baguette, elle me sera confisquée et je me retrouverai enfermée dans une belle cellule à Azkaban.

"Le panorama doit être splendide de tout là haut quand même"-pensais-je.

J'avais également repris quelque peu contact avec ma fille Philoména, même si son homme refusait de m'accorder le moindre petit soupçon de confiance, et d'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi !! Ok, j'ai été mangemort pendant 60 ans, j'ai tué, torturé et séquestré une bonne centaine de personnes, j'ai abandonné mes enfants, je pratique la sorcellerie à mains nues et je fais de la magie noire, mais ce ne sont pas des motifs pour me refuser l'entrée de leur maison, et encore moins pour m'empêcher de voir mon petit fils Franz, qui maintenant avait rejoint l'école Poudlard.

Bref, assez parlé pour ne rien dire.
Je suis devant ma fenêtre, entrain de contempler une vue imprenable sur le couché du soleil. Le ciel était un bain de sang et de roses, parsemé de quelques nuages tristes qui faisant timidement face aux rayons du soleil. Je sirotait un martini et écoutait de la musique de mon époque. J'entendis soudain un petit "toctoctoc" sur la porte du balcon de la pièce où j'étais. J'ouvris ladite porte et un avion en papier s'est posé sur la table et se déplia. C'était une lettre de Poudlard qui m'était adressée. Intriguée, je posais mes lunette sur le bout de mon nez et commençais à la lire.

Mon sang ne fit qu'un tour. Des armes humaine dans notre monde, des gobelins en motos (du jamais vu) et une attaque à Poudlard.
Pour la première fois de ma vie, je ressenti le besoin de protéger mon entourage. Je pensais à Franz.
J'ai donc posé mon verre de martini, incendiais la lettre et transplannais à l'entrée de l'école. L’accès m'était interdit sous forme humaine, mais pas en forme animal ! Je me transformais en python et rampais entre les barres de fer. Une fois à l'intérieur, je repris ma forme humaine. Bingo ! Je voyais au loin des sortilèges, des lumières, j'entendais un bruit de moteur ignoble, et des cris de combat. J'ai donc levé ma baguette et me suis dirigée vers le combat. J'attaquais les gobelins par l'arrière, ce qui a provoqué un effet de surprise et ainsi, les sorcières et sorciers ont pu les battre... Pour l'instant......

Je m'approchais peu à peu, mais en gardant toujours une certaine distance avec les membres de Poudlard. Je vis un groupe de sorciers se diriger vers le Saule Cogneur et détacher de l'arbre un gobelin bien secoué. Un otage, c'est parfait !
Je les vis s'éloigner avec lui en direction du château. Certains élèves en dernière année et aussi des professeurs et membres du personnel de l'école étaient restés dans le parc pour se battre si une attaque surgissait. Moi je repris ma forme animale et suivait les professeurs jusqu'au Cachot, où ils allaient interroger le gobelin, qui même bien secoué, avait juré de tenir sa langue. AU bout d'une dizaine de minutes, un professeur très blanc aux yeux de couleur changeants s'exclama:

- Par la force, utilisons la force ! - Dit-il. Voilà un langage qui me plait !

Malgré la réticence de certaines personnes, il s'en est conclut qu'ils allaient le torturer, car il n,'y avait pas d'autres méthodes. Je compris que ce professeur s'appelle Mehdi. Il prit un fouet et s'est rué de coups dur la créature mais les gobelins ont une peau si dure qu'il ne ressentais presque rien.

- Arrêtez. Espacez les coups... Il faut que chaque morsure du fouet, soit plus douloureuse !

Comme je m'y attendais, toutes les baguettes m'ont pointé.

-Ben quoi?! Je vous donne des conseilles et vous me visez pour me remercier? Eh bah bravo...! Jeune homme, laissez moi vous montrer.

Je pris le fouet, et un "clac" se fit entendre, suivi du cri tordu du gobelin, qui ressemblait plus aux hurlements d'un porc qu'on égorge.

Invité

Soirée banale, soirée lumineuse, soirée calme, que demander de mieux ? Tout était là pour que ce soit la soirée parfaite, la soirée dont tu rêvais allait pouvoir commencer après avoir terminé les corrections de quelques élèves. T’enfilais un manteau, pris ta baguette à la main “Lumos” Prononçais-tu. Le bout de ta baguette s’illuminait telle une lampe de poche. Tu quittais ton bureau, faisant une ronde dans les couloirs du château afin de t'assurer qu’aucun élève y traîne sans raison. Sortant, allant faire un tour avec l’homme à tout faire, prenant un pot dans sa cabane, tu te dirigeais ensuite vers la forêt interdite afin d’aller y jeter un œil. Tu n’avais pas vraiment encore eu la chance de le faire depuis ton arrivé, c’était le moment rêvé. Aucun élève dans les pieds, une baguette à la main. Tu faisais pas mal de trouvailles, des pierres, des plantes et certaines pièces utiles pour les potions que tu ramenais avec toi pour le professeur Dursley, le professeur de potion.

Des bruits lointains se faisaient entendre, des bruits de moteur, de motos. Trouvant ça un peu suspect, tu ne tardais pas de rentrer au château afin d’y aller jeter un coup d’oeil. Au plus que tu t'avances vers l'entrée du château au plus que les bruits, les cris s'efforçaient. Tu te téléportes afin d’y arriver plus vite et mettait fin à cette soirée. Loin de m'être trompé, tu apercevais des gobelins bikers qui n’étaient pas venus vous voir pour prendre le thé, mais pour mettre la zizanie au château. Tu te dirigeais vers ton ami, Jason. Tu semblais être le dernier sur place, les autres professeurs étaient déjà aller le voir dans le parc. Tu te mettais un rien derrière lui, posant ta main sur son épaule droite afin de lui faire comprendre ta présence. Le lien qui vous unissait était assez fort, de simples amis devenus meilleur potes. “Nox” Murmures-tu. Le bout de ta baguette devenait sombre, une bataille allait avoir lieu, connaissant Jason, il n’allais pas les laisser s’en tirer comme ça. “Jason, tu m’expliques? Ils veulent quoi ces bouffons ?” Tu ne pouvais t’empêcher de remarquer leurs armes à feu, tu connaissais bien cela étant professeur de cours des moldus. “Euh.. On m’explique ?!” Montrais-tu en agitant ta baguette vers l’une des armes.

Ta baguette prête à chauffer dans la main, tu la dirigeais vers un des gobelins “Impedimenta” un jet violet en sortait et l’envoyais dans le décor. La bataille avait commencé, c'était nous ou eux. N’ayant pas l’intention de laisser mourir qui que ce soit ce soir, tu t'assures de protéger en priorité les élèves et ensuite, tes amis, tes collègues ! Une chose te paraissait quand même suspecte, ils tiraient avec des armes moldues, des armes à feu, ce qui t’inspirait un futur cours.

DEV NERD GIRL

Directeur de Gryffondor Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 186

J’étais furieuse !! Cette attaque de Gobelins avec des motos et des armes moldus, me rendais furieuse. En plus personne n’était capable de me donner une explication. Que ce soit Sylvius, Jason ou tous autres professeurs présents.
Et moi, quand je ne comprenais pas ce qui se passait, je voyais rouge !! Sans attendre la réponse de Syl à ma question, je repris mon envole pour foncer à nouveau sur nos envahisseurs. Cette fois je ne fis plus de quartier. Si à mon premier passage, je m’étais contenté de les bousculer un peu, là je ne pris plus de gant avec eux. Je volais pour tuer !! Je survolais la scène en l’arrosant avec un torrent de flammes, puis me mis à attraper les gobelins entre mes terribles mâchoires et les couper en deux, voir les gobant comme des mouches. Bref je me déchaînais comme jamais.
Tout à coup, je remarquais un petit dragon vert qui venait de se joindre à la fête. Harrius !! Mon insupportable rejeton avait réussit, je ne sais comment, à quitter sa salle commune pour rejoindre la bataille. Le préfet en chef des serpentard allé entendre parler de moi !!
D’un coup d’aile, je filais vers mon fils.

Harrius, mais qu’est ce que tu fais là !! Tu devrais être dans ton lit, par Merlin !!!

Le petit dragon tourna sa tête vers moi, j’eus juste le temps de voir disparaître un bras de gobelin dans son gosier. Oh non !! S’il commençait à bouloter des êtres vivant à son âge, cela ne présageait rien de bon pour l’avenir. Je l’apostrophais de nouveau.

-Pose-toi immédiatement, tu m’entends !! C’est un ordre !!

Mais au lieu de m’obéir, le petit dragon prit son envole pour fondre sur un gobelin qui venait de le canarder avec un AK47. D’un coup d’aile vicieux, il le jeta à bas de sa moto, puis se posa sur lui pour le prendre à la gorge, il sera d’un coup ferme ses mâchoires et s’en fut fini pour le gobelin. Dire que j’étais malheureuse pour ce dernier serait mentir, c’est pour mon fils que je m’en faisais, il était bien trop jeune à mon goût pour gouter à de la chaire vivante. Sa grande sœur n’avait commencé à tuer que vers ses 13 ans. Mais à la différence de sa sœur, Harrius était né dragon et dragon il restera tout sa vie.
Comprenant qu’il ne me répondra plus, trop occuper à répondre à son instinct animal et à défendre son territoire, car Poudlard était son territoire depuis sa plus tendre enfance, je renonçais à l’arrêter. Mais une fois cette attaque terminée, il allait voir de quel bois je me chauffais, le scélérat !!
Je repris mon vol et recommençais le carnage de mon coté. Après tout, il avait autant le droit d’être là et il faut dire que le fiston faisait du bon travail. A nous deux, on élimina bien une bonne moitié de nos assaillants et je dois bien avouer, qu’en plus, je faisais un excellent repas.

1ère année Date d'inscription : 07/06/2016 Messages : 135

Rage !! Furie !! Faim !! Tous ces sentiments submergeaient l’esprit du dragon vert qu’était devenu Harrius. Au début, le garçon avait bravé l’interdit de quitter sa salle commune pour voir ce qui se passait. Il avait emprunté le passage secret réservé aux professeurs. Quand on vivait au château depuis l’âge de 6 mois, plus aucuns recoins n’avait de mystère pour lui.
Il s’était juré de jeter juste un petit coup d’œil et de retourner se coucher avant que qui conque ne s’aperçoive de son escapade. Mais à la vue des gobelins envahisseurs, son âme de dragon n’avait fait qu’un bon et le gentil petit garçon avait laissé place à un teigneux dragon vert comme le jade toutes griffes dehors pour défendre son territoire.
A un moment, il croisa la route d’un grand dragon rouge à la crinière d’or qui l’interpela dans la langue de ces larves humaines, il l’ignora superbement trop occuper à tuer du gobelin. Son instinct lui disait de ne pas toucher aux humains, pourtant leur odeur était alléchante, et il les aurait bien inclus dans son orgie.
Mais plus il tuait, plus il mangeait, plus son vol se faisait lourd tant et si bien que vient le moment ou il fut incapable de redécoller. Il resta là, sur le sol, comme un gros lézard qu’il était, face à un humain qui ne put retenir un éclat de rire en le voyant. Son cerveau l’identifia comme Sylvius Sésarius, son parrain humain. Alors son esprit humain se réveilla et fit place à la bête.

-Beurppp !!! Je crois que j’ai trop mangé !! Déclara le petit dragon vert !!

Date d'inscription : 14/06/2016 Messages : 53

Alors que le combat était engagé, il était plus équilibré maintenant que les renforts de Poudlard, c'était rassemblé aux cotés de Jason Eiwaz. Chaque personne de l'écolé magique protégeait sa maison en tuant les créatures magiques devenue démoniaques. Cependant, des élèves s'étaient invité à la fête dans le parc et essayer de repousser les motards avec des sortilèges qu'ils avaient pu apprendre en cours. Si cela marcher dans un premier temps, leur capacité magique s'affaiblissait avec la fatigue et ils commençaient à perdre du terrain.

Jason Eiwaz de son côté n'avait pas de pitié et multiplié les cascades en neutralisant chaque créature. Ils ne souhaitaient pas les tuer mais plutôt les capturé pour les remettre à la Justice Magique de manière à les interrogés. Sa façon de combattre surprenait plus d'un de Poudlard. Son style rappelait Nelson lorsqu'il faisait des saltos ou roulade pour éviter les balles. Mais à la fois, il avait un côté très agressive qu'il faisait de lui un Sorcier redoutable et surtout imprévisible. Sautant en mettant des coups de genoux et des coups de pieds puissant sur les créatures assises sur leurs engins, il n'avait aucune pitié et compassion à les faire chuter de leurs bolides.

Quand soudain, il vit un gobelin sadique roulant très vite et surtout se dirigeant sur un élève pour l'écraser. Jason courra le plus vite possible en sa direction pour le protéger. L'attrapant fortement en le plaquant au sol pour esquiver l'ennemie, le Directeur adjoint venait de sauver la vie à l'enfant. Mais le motard fit demie tour pour mitrailler les deux Sorciers. Alors que les balles se dirigèrent vers eux. Un bouclier se forma devant eux pour les protéger. Sylvius venait de leur sauver la vie et lui fit un clin d'œil pour lui faire comprendre de faire attention la prochaine fois.

Se sentant ridicule Jason fou de rage se releva et fonça droit sur l'assaillant en lui lançant un sort impardonnable.

" Avada Kedavra "

Le sort faisant tellement de lumière reflétant la colère du Sorcier, qui surpris tout le monde dans le parc. Prenant la moto du gobelin, Jason monta dessus et fit signe au petit de monter derrière lui :

" Monte derrière gamin ! On va leur montrer on est qui à ses bouffons ! "

Faisant apparaître une batte de baseball avec sa baguette, il a donna à l'élève de seconde d'année et lui donna la consigne de shooter tout ce qu'il passait à leur côtés. C'est alors qu'il se mit à accélérer et foncer vers le reste des assaillants en dégommant tout ce qu'il se mettait sur leur passage. Les gobelins tombant au sol et furent aspirer par des racines de la terre. Le saul cogneur avait décidé de s'en mêler lui aussi. Les gobelins s'étaient attaquer à une force supérieur à eux et ils allaient le regretter. Cependant, Jason se fit surprendre à un moment par Shona sous sa forme Dragon. Puisque se mettant à cracher du feu, il fit un dérapage de dernière minute pour esquiver les flammes et surtout rouler le plus vite possible pour ne pas cramer.

Face à cette impuissance de battre les Sorciers le reste des gobelins prirent la fuite. Poudlard venait de remporter une brillante bataille et n'avait eu aucune mort. C'était bien l'une des rares batailles où Poudlard n'avait pas subi des pertes.

Alors que Jason se dirigea vers un gobelin agonisant, il lui mit un pied sur la gorge pour le faire parler :

" Maintenant tu vas me dire qui vous êtes ! Et surtout ce que vous voulez ? "

Rigolant en voyant le Directeur adjoint, Jason ne pu s'empêcher de lui décrocher une énorme droite dans la mâchoire. Cela dit, il venait de le tuer sans le vouloir. Enerver, il mit un coup de pied dans la créature pour hurler sa frustration. C'est à ce moment propice qu'il fit une découverte en voyant quelque chose sur le corps du gobelin. Se baissant pour regarder, un capteur rouge était placé dans sa nuque. Mais qu'est ce que cela voulait dire ? L'arrachant il le contemplait, quand il entendit une voix lui demandant si ça aller et qu'est qu'il avait dans la main. Répondant au Directeur de Poudlard, Jason n'en croyait pas ses yeux :

" Les moldues ! Ils savent notre existence ! "

Lui demandant pardon car il n'était pas sûr de comprendre, d'autres Sorciers se rapprochèrent d'eux. Jason donna le gadget dans la main de Sylvius et lui expliqua :

" C'est un complot ! Les modlues sont derrière tout ça ! Ils ont placés ça dans la nuque des créatures pour les contrôler ! "

Hurlant de rage en remettant un coup de pied dans la créature, il regarda tout le monde cette fois-ci :

" On s'est fait piéger ! Tout était prévu pour voir notre façon de combattre ! D'où les armes à feux qui leur ont donner .... ! Les gobelins se sont fait capturer ! Et nous on s'est fait pigeonner ! "

A la fin de cette phrase des ombres apparurent juste à leur côtés. Le Ministre de la Magie venait d'apparaitre aves ses Aurors. Dégouté, Jason attendait une réaction des autres.

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

La bataille faisait rage, franchement rage. Des balles volaient de partout et je ne comprenais toujours pas pourquoi et comment les Gobelins avaient pû se procurer des armes, ni comment ils avaient pu pénétrer dans l'enceinte de l'école.

- Ont-ils eu une complicité me dis-je en combattant de plus belle. Je me posais beaucoup de questions tout en essayant d'échapper aux balles et autres joyeusetés qu'ils nous envoyait à la gueule.

Mafalda et moi nous étions éloignés l'un de l'autre, a elle le soin de s'occuper des élèves qui étaient venus se joindre à l'attaque et à moi le reste. Bon en même temps je n'étais pas seul et pour tout dire j'étais même plutôt confiant puisque j'étaie entouré des meilleurs sorciers que je connaissais.

Au loin Shona et Lili soufflait des flammes sur les Gobelins qui s'approchaient un peu trop de nos rangs, Stanley lui me rejoignit bien vite.

- Sylvius, Comment ces créatures se sont procurés ces armes ?! Je vous ais dis qu'on ne peut pas vivre en paix avec les moldus ! Je suis persuadé que les gobelins se sont alliés à eux et quand ils nous aurons tous anéantis, ils tueront les gobelins aussi, ainsi que toutes les autres espèce magiques et ça sera la fin de notre monde ! Alors !
- Stanley, ce n'est ni le lieu, ni l"endroit pour cette discussion. Occupes toi des Gobelins et utilises tes méninges. Parfois ce que nous voyons n'est qu'une illusion. Les armes devraient t'aider à comprendre non ?!

Mehdi alors se joignit à la conversation.
- Calmes toi Stanley, le plus important est de savoir comment ils ont eus ces armes, et j'ai eu la bonne idée de faire un prisonnier. Allons l’interroger avant qu'une autre bataille n'éclate !

- Nous n'aurons pas le temps Medhi. Va rejoindre Mat et combler la brêche qui se trouve là-bas dis-je en tendant le bras.

Medhi me sourit puis partit en souriant tandis que Stanley se joignit à la bagarre en assurant comme à son habitude tandis que Medhi combattait la clope au bec. Il avait bien évolué ce petit et cela ma faisait plaisir surtout que je voyais dos à dos avec Mat se protégeant l'un l'autre. Cela me donnait raison, tout le monde peut un jour avoir besoin de l'autre et même des ennemis pouvaient devenir des amis. Cela me donnait encore plus de courage pour combattre et renforçait ma détermination à faire en sorte que le monde Moldu et nous ne soit jamais en guerre ouverte.

Un peu plus loin, Philomena et Teodora assurait la sécurité du grand hall et en tenant fermement la porte permettant à nos blessés de se réfugier dans le château.

Alors que j'allais me retourner, je vis Jason sauver un élève puis foncer sur une moto en explosant tout ce qu'il voyait devant lui.

- Arf, il ne pense jamais à rien ! me dis-je en souriant. En effet, une volée de balles arrivait de biai. Je donnait un coup de baguette en informulant un "protego" et un écran les enveloppa en faisant ricocher les balles. Jason tourna la tête vers moi et je lui dis un petit sourire en coin pour lui faire comprendre qu'il devait faire attention à lui.

C'est alors que je sentis un choc dans l'épaule, je posais ma main dessus et elle était toute rouge. Une balle avait du m'atteindre. Je ne souriais plus et retournais au combat explosant plusieurs motos tout en enveloppant dans des cordes magiques les gobelins qui tombaient au sol afin de faire des prisonniers à remettre au magemagot.

Peu à peu les gobelins refoulaient et bientôt nous fûmes maître du terrain. C'est alors que Jason m'appela. Il était entrain de faire parler un des gobelins. Bien vite nous comprîmes que tout cela n'était qu'une mascarade et que les Gobelins étaient eux aussi des victimes.

Jason n'arriva pas à se retenir et explosa

- C'est un complot ! Les modlus sont derrière tout ça ! Ils ont placés ça dans la nuque des créatures pour les contrôler ! "

Hurlant de rage, il remit un coup de pied dans la créature et il regarda tout le monde cette fois-ci :

" On s'est fait piéger ! Tout était prévu pour voir notre façon de combattre ! D'où les armes à feux qui leur ont donner .... ! Les gobelins se sont fait capturer ! Et nous on s'est fait pigeonner ! "
- Pas de conclusion hâtive Jason ! dis-je pour essayer de calmer le jeu. Nous ne savons pas qui est derrière tout cela même si je te le concède c'est curieux tout cela.

J'essayais de réfléchir à grande vitesse malgré la douleur qui irradiait dans mon bras. Avec le recul cela cadrait bien avec les informations que j'avais collecté avec l'ordre des reliques. Peu de temps avant Hermione et Ron avait réactivé nos réseaux d'espions dans le monde moldu et ils avaient découvert qu'une société secrète moldu appelée les "éradicateurs" avait vu le jour et que son objectif était de nous étudier, de nous dépecer afin de nous prendre nos pouvoirs. S'ils savaient comme c'était stupide, comme nos "pouvoirs" n'avaient rien de magique justement, que cela ne s'apprenait pas ni ne se transmettait. Et que même pour nous les sorciers, c'était encore une énigme.

- Jason, restons calme ! Tous les moldus ne sont pas concernés. Nous devons protéger mieux le château et continuer de nous organiser pour résister et reprendre le contrôle.

Je terminais ma phrase en grimaçant alors que Mme Pomfresh approchait sa baguette de mon bras.

Ministre de la magie Date d'inscription : 29/08/2014 Messages : 68

Chaos !

La jeune Aurore passa le pas de la porte, posant le pied sur les carreaux noirs aux arrêtes blanchies pas le froid. De fin cristaux se formaient le long du manteau sombre qui lui servait d’uniforme comme autant de perles de rosée au moment des premiers rayons de soleil.
La salle était complètement noire et semblait former un dôme ouvert par le haut formant un puit de lumière vive qui descendait en une colonne parfaite pour éclairer puissamment le centre de la salle. L’air était aiguisé par le froids. Chacun de ses pas était plus retissant que le précédent comme si le couloir tentait de la ramener, l’empêchant de s’avancer plus profondément dans l’obscurité. L’ombre paraissait même se déplacer contre les murs tandis que son regard ne parvenait à se poser clairement sur un objet, comme un petit animal aux abois. Elle secoua légèrement la tête comme pour balayer les images de sa tête, reprit une inspiration profonde, calmant ses émotions pour redevenir l’Aurore sans peur et sans faille. Elle dut avancer encore, se perdre dans les ombres pour voir plus distinctement le corps au milieu de la salle, cet être debout éclairé par la lumière. Elle sera contre sa poitrine l’épaisse enveloppe kraft à tel point que les jointures de ses doigts blanchirent enfonçant les ongles dans le papier. Il ne lui fallut que peu de temps pour le reconnaitre, le ministre de la magie. C’est lui qu’elle venait chercher.

Il lui fallut plus de temps pour discerner ce qu’il regardait, tête en l’air. La silhouette se détacha de l’ombre, un détraqueur. Ce n’était pas sa première rencontre avec une créature de la sorte en tant qu’Aurore mais elle ne pouvait réfréner ce frisson qui lui parcourra l’échine, réflexe non contrôlé. Mais celui-ci était différent, elle le sentit au fond d’elle. Il était plus grand, flottant la tête en bas au-dessus du sorcier ce qui lui rappela la scène du baisé du détraqueur qu’elle avait vu une fois au conseil de la magie sur un détenu. Mais là c’était différent, elle le sentait. Ce n’était pas un baisé juste une connexion, un fil d’Ariane qui semblait relier les deux êtres avec puissance. Une sorte de discussion que les humains ne pourraient comprendre. La porte se ferme, faisant résonner le claquement dans la coupole de marbre. Seul le bruit du givre fissurant sous ses pas est à présent audible.
Les ombres bougent, elles semblent plus présentes maintenant que le puit est la seule source de lumière. Le détraqueur se redresse. Même sans entendre une conversation on comprend lorsque les personnes arrêtent de parler. On sent cette aura de partage, de communion.

-Monsieur le Ministre un épais nuage sortit de sa bouche, dansant sous ses yeux avant de disparaître. Le Ministre pivota pour faire face à la jeune femme. Deux lignes noires traversaient son visage comme des larmes alors que son visage était de marbre.

- Quelque chose de grave se produit mademoiselle.

Ce n’était pas une question, elle l’avait comprit. Comment pouvait-il savoir ? Là n’était pas la question. Elle s’apprêta à ouvrir à nouveau la bouche lorsque qu’elle comprit. L’ombre sur les murs, elle bougeait véritablement. Des centaines de détraqueurs tournaient en un sens commun avec lenteur, grâce et silence. Un silence de mort. Elle ressaisit ses idées autant que possible, reformulant la phrase dans sa tête. Le Ministre sortit du rayon de lumière avec calme, marchant en direction de la jeune femme.

-Poudlard est attaqué par un groupe de gobelins aux motivations encore incertaines. le ministre avait à présent gagné le côté de l’Aurore récupérant l’enveloppe qu’il ouvra d’un geste fluide. Les lignes sur ses joues disparurent alors qu’il commençait la lecture des quelques documents arrivés quelques minutes plus tôt au Ministère. Son visage resta figé alors que son regard balayait minutieusement le document. Le ministre pivota la tête vers le détraqueur avant de revenir sur la jeune femme dont les cheveux étaient agglutinés par le froid réduisant à néant les longues minutes passées à effectuer ce chignon impeccable.

- Prévenez les autres Aurores s’il vous plait et rejoignez-moi à Poudlard.

- Le rapport fait état d’armes moldus, vous pensez que ...

- J’ai lu le rapport. Et ainsi je vous demande de rassembler les Aurores présents au Ministère. Il ne sera pas utile de convoquer ceux qui ne sont pas de service. Vous me rejoindrez tous dès que possible.
Il pivota à nouveau la tête. Toute la salle se mit à bouger en un tourbillon sombre de sifflements, de froid et de corps sortant à toute vitesse par l’ouverture du puit de lumière faisant disparaître la lumière alors que le bruit de tissus se faisait toujours plus puissant. Puis la calme plat, le silence. La lumière regagna sa salle, aveuglant la jeune femme quelques instants. Seul un détraqueur restait dans la pièce gagnant le côté du Ministre.

- Merci pour votre service. Reprit-il en redonnant le dossier à la jeune femme qui prit quelques secondes pour regagner ses esprits avant d’attraper l’enveloppe. Dès que la main du ministre l’achat le rugueux papier un rayon violet traversa la pièce. Elle était à présent seule dans la salle. Elle regagna au pas de course la porte de sortie regagnant le couloir.

Poudlard était recouvert par l’obscurité de la nuit et la lourde odeur du conflit. Oz apparut, accompagné du détraqueur, le ciel était emplit de silhouettes disparaissant dans l’obscurité avant de réapparaitre entre deux rayons lunaires. Ozymandias balaya la scène du regard. Des cadavres de gobelins jonchaient le sol au milieu de carcasses de véhicules éventrées. Les élèves étaient rassemblés en un groupe où se trouvait quelques professeurs. Tous étaient fixes, regardant les détraqueurs voler en essaim. Deux dragons étaient encore sur la scène. Son regard s’arrêta sur le corps sans vie d’un gobelin.

- La bataille est terminée.
La phrase avait été prononcée avec lenteur et un détachement inspirant un malaise étrange. Le ministre fit quelques pas sur la pelouse qui givra sous ses pieds laissant apparaitre des empreintes claires. Les Aurores firent alors leur apparition en arrière-plan, baguettes à la main prêt à parer toutes éventualités.

- Jason Eiwaz le jeune homme bouillonnait encore de rage déformant distinctement les traits de son visage, pour utilisation d’un sortilège impardonnable, meurtre de créature magique, apologie de la violence et incitation à la violence nous vous arrêtons jusqu’à ce qu’un procès vous permettre de répondre de vos crimes.

Le jeune homme fulminait d’une rage écarlate faisant ressortir les veines en haut de son visage.
Le détraqueur partit à toute vitesse, frappant du revers de la main la baguette du sorcier voletant ainsi dans les airs avant de retomber sur le sol tandis que sa main gauche décharnée et livide caressa la nuque du sorcier se refermant sous l’os occipital avant de lever la pauvre marionnette au –dessus du sol alors que ses membres étaient attirés par la gravité, comme mort, dénués de force musculaire ; un baiser du détraqueur.
Il lâcha sa proie qui tomba inanimée sur un nuage volatil doré qui sortait de la baguette du Ministère. Les élèves ne purent que regarder hébétés le corps du directeur adjoint rejoindre les Aurores. Oz rangea sa baguette contemplant à nouveau la foule du regard, restant quelques instants sur les deux dragons avant de reprendre un regard plus global.

- Vous serez tous jugé pour vos crimes.

Code By Ozymandias for Tenebros Poudlard

Professeur d'astronomie Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 102

Depuis que le combat avait commencé, le chaos avait pris place en maître dans la cour du château. Il y avait des gobelins partout, des vrombissements qui vous vrillaient les tympans et les déflagrations des armes à feu qui ajoutaient une touche à tous cette cacophonie. J’avais commencé à donner l’ordre aux préfets en chef de surveiller les élèves et de les barricader dans leurs salles communes ; du moins, pour les plus jeunes. Je ne pouvais m’empêcher de penser à mon fils en première année. Il était hors de question que je le vois sur le champ de bataille. Je ne pourrais alors plus me concentrer sur le combat et les répercussions seraient désastreuse, non seulement pour moi mais aussi pour lui et tous les résidents de Poudlard. Bien sûr, certains élèves des dernières années vinrent nous prêter main forte et au fur et à mesure, nous prîmes l’avantage sur les gobelins fous de la gâchette. Teodora et moi-même avons pris l’initiative de protéger le Grand Hall et de veiller à ce que les portes restent closes pour permettre à nos blessés de se réfugier à l’intérieur et pour faire une autre barrière de sécurité pour les élèves et elfes de maison qui aidaient à l’intérieur.

Nos nombreuses baguettes menées par des sorciers très expérimentés ajouté aux bouillantes ardeurs des deux membres de la famille Godolphin, les rangs des gobelins se réduisaient à vu d’œil à n’en pas douter. Je m’interrogeais toujours sur le but de cette attaque nocturne et surtout sur la provenance des armes. Il y avait anguille sur roche derrière cette affaire et cela n’annonçait rien de bon pour nous et le monde magique et par le même engrenage, le monde moldu s’il était derrière tout cela.

La bataille prenait fin, nous fûmes de nouveau maître du terrain et les globelins étaient soit tués soit ficelés pour être donné à la justice magique. Je regardais autour de moi pour évaluer les dégâts dans les deux camps mais aussi dans la cour du château quand j’entendis la furieuse colère de Jason. Je fronçais les sourcils tout en me demandant pourquoi, ils se mettaient encore en rogne de cette manière. J’avais du respect pour le directeur adjoint en tant que personne et sorcier mais mon caractère était tout bonnement différent du sien. Je ne me mettais dans cet état qu’en dernier recours alors que lui, c’était sa nature, il le faisait naturellement et facilement. Seul, cela aurait été un carnage, heureusement qu’il y avait la nature plus pondérée du directeur Sylvius pour le canaliser de temps en temps. Je me dirigeais, comme les autres vers l’intéressée et il nous expliqua ce qu’il avait appris ou plutôt compris en tabassant violemment un des gobelins prisonniers.

- - C'est un complot ! Les modlus sont derrière tout ça ! Ils ont placés ça dans la nuque des créatures pour les contrôler !

Hurlant de rage, il remit un coup de pied dans la créature et il regarda tout le monde cette fois-ci :

- On s'est fait piéger ! Tout était prévu pour voir notre façon de combattre ! D'où les armes à feux qui leur ont donné .... ! Les gobelins se sont fait capturer ! Et nous on s'est fait pigeonner !

- Pas de conclusion hâtive Jason ! déclara posément Sylvius pour essayer de calmer le jeu, sans doute. Nous ne savons pas qui est derrière tout cela même si je te le concède c'est curieux tout cela.

Devant la mine renfrognée et toujours aussi revêche et butée de Jason, Sylvius reprit.

- Jason, restons calme ! Tous les moldus ne sont pas concernés. Nous devons protéger mieux le château et continuer de nous organiser pour résister et reprendre le contrôle.

C’est seulement à l’intervention de Madame Pomfresh que nous vîmes que Sylvius était blessé. Je hochais la tête et avec un tour de passe passe envoyait un hibou à la directrice de Saint Mangouste, Jane Harrinton pour qu’elle vienne voir les blessés pour s’assurer qu’ils n’avaient rien de grave et pour aider Madame Pomfresh.

Alors qu’elle venait de terminer et qu’elle s’en allait rejoindre les autres blessés, devant nous se dressa le Ministre de la magie, en personne, accompagné par une ribambelle de détraqueurs qui se mirent à sillonner les cieux de Poudlard et des alentours. Je vis que le regard du Ministre se posait sur le cadavre du gobelin devant nous, et je sus par instant que cette histoire n’était pas terminée, loin de là. Je soufflais légèrement par soucis de chaleur mais aussi pour les événements à venir.

- La bataille est terminée.

Cette simple phrase avait été dite d’une voix calme et lente qui accentua d’autant plus la sourde colère de notre visiteur. Il fit un pas en avant alors que les Aurors apparurent tels des gardes et des exécuteurs puissants de la justice, baguette à la main. C’était malheureux de voir les tensions entre nous. Leur présence n’inaugurait rien de bon. Mon impression fut confirmée par les paroles d’Ozymandias ou Oz.

- Jason Eiwaz, pour utilisation d’un sortilège impardonnable, meurtre de créature magique, apologie de la violence et incitation à la violence nous vous arrêtons jusqu’à ce qu’un procès vous permettre de répondre de vos crimes.

Alors là, coup de théâtre. Nous restâmes tous hébétés devant cette sentence quelque peu inattendue et, je dois le dire, incompréhensible pour nous qui venions de passer au moins une heure à rester envie devant des fusils moldus.

Le détraqueur, derrière le Ministre partit à toute vitesse, frappant du revers de la main la baguette de Jason voletant ainsi dans les airs avant de retomber sur le sol tandis que la main gauche décharnée et livide caressa la nuque de ce dernier. Nous savions tous ce que cela signifiait : un baiser de détraqueur.

Il lâcha sa proie qui tomba inanimée sur un nuage volatil doré qui sortait de la baguette du Ministre. Oz rangea sa baguette contemplant à nouveau la foule du regard, restant quelques instants sur les deux dragons avant de reprendre un regard plus global.

- Vous serez tous jugés pour vos crimes.

Pour commencer, un silence de plomb accueillit ses paroles puis des murmures commencèrent à se faire entendre. Je m’avançais lentement vers Oz et commençais doucement et calmement.

- - Bonsoir Monsieur le Ministre. Nous savons bien qu’un carnage a eu lieu ici mais nous n’en sommes pas les responsables. Nous n’avons pas demandé aux gobelins de venir, nous ne les avons pas menacés de quelques manières que ce soit. Nous nous sommes justes défendus devant une attaque surprise et imminente. Nous avons protégés les enfants et protégés nos vies. Qu’aurions-nous dû faire ? Nous laisser tuer pour ne pas encourir votre colère ? Et les gobelins ? Je sais que ça n’excuse rien mais ça explique tout. Nous n’y avons pris aucun plaisir. De plus, si vos Aurors avaient été là, il n’y aurait pas eu tant de dégâts mais il y en aurait eu terminais-je en le regardant calmement dans les yeux.

Directeur de Gryffondor Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 186

Faute de combatants, l'attaque des gobelins s'arrêta définitivement. La plupart des assaillants étaient soit mort, soit prisonnier. Déjà les secoure s'organisait du coté de défenseurs de Poudlard. Par chance, on avait à compter dans nos rangs que des blessés légers. A ma grande surprise, je remarquais que mon vieil ami Syl en faisait partit. Après renseignement, je fus rassurer, il avait prit une balle dans le gras du bras, qui d'ailleurs était ressortit d'elle même. Madame Pomfresh s'en occupa avec dextérité. Il était bon pour un bras raide pour quelques jours, rien de dramatique.
Une fois, le coté des blesses réglé, je voulus m'occuper de mon fils que je voyais étalé sur un coin de pelouse, le ventre distendu par une orgie de gobelin. Mais avant que j'arrive à son niveau, le Premier Ministre de la magie apparu sans se faire annoncer. Je sentis en lui une rage froide ce qui physiquement, chez lui, se manifestait par une attitude encore plus froide que d'habitude. Son éternel détraquer, toujours à ses basques, il nous apostropha d'une voix glaciale :

-La bataille est terminée.

Puis, à la grande surprise il enchaina :

- Jason Eiwaz, pour utilisation d’un sortilège impardonnable, meurtre de créature magique, apologie de la violence et incitation à la violence nous vous arrêtons jusqu’à ce qu’un procès vous permettre de répondre de vos crimes.

Aussitôt son détraquer se jeta sur notre directeur adjoint et le mit ko en a peine un battement de cil. Déjà on allait l'emporter inconscient pour l'emprisonner. Pendant ce temps, une armada d'aurors venaient également de surgir du néant. Encore une fois, ils arrivaient après la bataille !! Je pense que je n'aurai pas réagit si Oz n'avait pas continué en disant :

- Vous serez tous jugé pour vos crimes.

Je ne fus pas la seule, d'ailleurs, à être blessé par l'attitude du Ministre. Philomena, aussi fut ulcérée par ce geste et ces paroles. En Phrases simples et polies, elle dit ses quatre vérités à Oz. Je me posais juste à ses cotés pour appuyer ses dires. Mais visiblement Cela n'eu pas lieu de le troubler plus de raison et je sentais bien qu'il allait mettre les voiles avec son "prisonnier". Je fis alors un geste totalement inconsidéré : je bondis et attrapais son détraquer que je plaquais au sol sous mes griffes coupantes comme des rasoirs. Sous ma forme de dragon, ces êtres n'avaient aucune prise sur moi.

-Donnant, donnant, Oz, tu relâches Jason immédiatement, ou bien j'élimine ton alter égo. Je sais quels sont les liens qui vous unissent tous les deux, je suis au courent de ton accident. Alors, ne joues pas avec le feu, car rien de bon ne pourrais en sortir pour toi. Mois, je ne crains rien et tu le sais parfaitement.

Pendant que je faisais face au directeur, mon fils c'était rapproché, près à venir en aide à sa maman. Mais surtout, ce qui me réconforta, c'est que je ressentis dans mon dos, la présence immense de Lili, qui arrivée dans avec le contingent des Auors, c'était immédiatement ranger de mon coté. Je sentais son esprit indigné par les paroles du ministre.
Oz avait face à lui les dragons du clan Godolphin, prêt à agir !!

Ministre de la magie Date d'inscription : 29/08/2014 Messages : 68

Chaos !

- Bonsoir Monsieur le Ministre. Nous savons bien qu’un carnage a eu lieu ici mais nous n’en sommes pas les responsables. Nous n’avons pas demandé aux gobelins de venir, nous ne les avons pas menacés de quelques manières que ce soit. Nous nous sommes justes défendus devant une attaque surprise et imminente. Nous avons protégés les enfants et protégés nos vies. Qu’aurions-nous dû faire ? Nous laisser tuer pour ne pas encourir votre colère ? Et les gobelins ? Je sais que ça n’excuse rien mais ça explique tout. Nous n’y avons pris aucun plaisir. De plus, si vos Aurors avaient été là, il n’y aurait pas eu tant de dégâts mais il y en aurait eu

Oz pivota légèrement la tête pour observer la sorcière encore haletante recherchant l’air dont ses muscles avaient besoin pour encaisser la violence de l’affrontement.
- Le Ministère mènera une enquête minutieuse sur cet évènement, je peux vous l’assurer. Mais n’oubliez jamais que le sang appel le sang.

- Beaucoup trop de sang a coulé ce soir et nous ne saurions fermer les yeux sur cet évènement. Ni monsieur Eiwaz, ni vous, ni aucune personne dans cette assemblée ne détient le droit de vie ou de mort sur une vie autre que la sienne. Une vie arrachée, reste une vie arrachée.

Il grand bruit se fit entendre, d’une telle rapidité que le ministre n’eut que le temps de voir un éclair s’abattant lourdement sur le détraqueur plaçant de longues griffes aiguisées au-dessus du voile volatil.

-Donnant, donnant, Oz, tu relâches Jason immédiatement, ou bien j'élimine ton alter égo. Je sais quels sont les liens qui vous unissent tous les deux, je suis au courent de ton accident. Alors, ne joues pas avec le feu, car rien de bon ne pourrais en sortir pour toi. Mois, je ne crains rien et tu le sais parfaitement.

Quel manque cruel de discernement. La sagesse légendaire des dragons se perdait ainsi au profit d’apostrophes vulgaires et d’un tutoiement si impropre aux négociations. Bien entendu le dragon ne voulait pas négocier simplement un chantage primitif. Tellement dégradant. Le ministre inspira l’air frais de la nuit avec profondeur, saveur.

- Protéger aveuglement un meurtrier …

Il s’arrêta , contemplant les quelques constellations qui se dessinaient dans le ciel, les rayons lumineux caressant son cou. Le détraqueur était parfaitement immobile le visage concentré sur celui du dragon, il n’avait même pas prit le temps de regarder la puissante main qui le menaçait.

- Vous menacez ici un membre du Ministère un même titre qu’un Aurore, un aurore qui pourrait être un des enfants que vous avez pris tant soins de protéger lors de son passage à Poudlard. Quelle différence faites-vous entre les deux ? Les créatures magiques sont elle aussi peu importantes à vos yeux, un vulgaire objet que l’on peut sacrifier pour obtenir ce que l’on demande ? Pour faire pression ? Seriez-vous prêt à menacer votre fils pour que je libère un criminel, que je libère un mage ayant utilisé la magie noir pour son propre intérêt ?

- Je vous en prie, brisez ses os.

Le détraqueur attrapa la large griffe des deux mains enfonçant les longues lames affutées dans le torse squelettique déchirant en larges lambeaux le tissu qui recouvrait son corps. Trois larges tâches noires se répandirent parallèlement sur la chemise du ministère. Il prit une profonde inspiration par le nez, une lutte passive contre la douleur. Les griffes étaient enfoncée dans le méandre de tissus et de chaires du détrauqueur. Le dragon retira sa griffe , le larges goutes glissaient le long des arrêtes tranchantes. La douleur, blessure du froid immortel qui brûle, qui dévore, s’immisce sous les écailles du reptile. Du sang de détraqueur, qui pourrait imaginer pire douleur. Elle ne saurait durer, Oz ne pourrait se permettre de faire souffrir ce pauvre dragon ni même la sorcière qui se cache en dessous. Seul quelques gouttes s’étaient immiscées sous sa peau, juste ce qui faut pour calmer les ardeurs d’un dragon.

- Êtes-vous donc à ce point prêt à tous les sacrifices ?

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Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

La colère de Jason était palpable, sincère et profonde. Elle reflétait à elle seule ce que beaucoup devait penser en ce moment même dans nos rangs. J'essayais de toutes mes forces, avec quelques uns dont Harry, Mafalda, Hermione, Ron et tant d'autres de notre génération qui avions connu La seconde ère de Voldemort, à ne pas retomber dans les mêmes travers de la haine, de la dissension et de la méfiance.

Là en l'instant présent, je présentais que nous étions dans un moment charnière où tout pouvait basculer et où notre utopie de faire vivre les deux mondes l'un à côté de l'autre pouvait basculer.

Jason me regardait et je voyais dans son regard celui de mon ami Nelson. La même ferveur quasi mystique, la même fougue qui je le savais pouvais parfois tourner à l'obsession. Je le regardais à mon tour attendant sa réponse mais elle ne vint jamais. Elle ne vint jamais car l'impensable était entrain de se produire.

D'un seul coup, d'un seul un froid immense descendit sur nous ! Un froid tel que je n'en avais pas connu depuis au moins 20 ans. Les détraqueurs étaient là, j'en étais certain.

- Et merde me dis-je comme si on avait besoin de cela, en même temps que je serais ma baguette prêt à en découdre.

c'est alors que je vis Oz apparaître. Il paraissait froid comme d'habitude et s'en prit à nous, nous menaçant de poursuites suite à notre défense de Poudlard. C'était le monde à l'envers.

- Jason Eiwaz aboya Oz pour utilisation d’un sortilège impardonnable, meurtre de créature magique, apologie de la violence et incitation à la violence nous vous arrêtons jusqu’à ce qu’un procès vous permettre de répondre de vos crimes.
Sur ces paroles, un detraqueur fonça sur Jason et le foudroya. Il relâcha sa proie inanimée qui tomba au sol.
La rage s'empara de moi car ce n'est pas seulement mon filleul que le ministre venait de terrasser mais il venait de rompre une loi ancestrale : à Poudlard, le ministère n'avait aucun pouvoir en dehors du côté éducatif. Second point de discorde, le ministère venait de choisir son camp et ce n'était plus le mien. Comme d'autres directeurs bien connus de Poudlard, j'entrais à ce moment là en sécession.
- Vous serez tous jugé pour vos crime ajouta Oz.

Je m’apprêtais à répondre lorsque Philomena prit la parole pour s'opposer au ministre et lui expliquer ce qu'il venait de se passer. Ce dernier n'eut pas le temps de répondre, Shona se jeta sur lui et l’immobilisa et lui demandant de sa voix grondante de cesser ce petit jeu et de relâcher Jason. Mais là encore, ce bon vieux Oz (et dire que je l'avais formé et lui avait laissé ma place) trouva une parade forçant le dragon à le relâcher.

- Êtes-vous donc à ce point prêt à tous les sacrifices ?

Je dressais alors ma silhouette et m'approchais pour lui faire face.
- Hors de ces murs Oz et tout de suite ! tes détraqueurs n'ont rien à faire ici et de par mon pouvoir de directeur je suis immunisé contre tous les sorts, sortilèges de magie connus et inconnus dans cette enceinte. Donc à part si tu veux me jeter un sort impardonnable, je ne vois pas bien ce que tu pourras faire d'autres !

Mes yeux jetaient des éclairs et ma voix résonnait afin que tous puissent m'entendre.
- Ne viens pas me parler de principe, Jason a fait ce qu'il a pu pour les épargner, tout comme moi et tant d'autres ! Regarde mon bras dis-je ne lui montrant le pansement, regarde tous nos blessés dis-je joignant le geste à la parole. Tu ne sais pas de quoi tu parles ! Moi j'étais présent il y a maintenant près de 25 ans, j'ai lu la haine dans les yeux des sorciers qui se combattait, j'ai vu ce que pouvait donner l'affrontement entre sorciers ! J'ai vu cette guerre et j'en ai souffert dans ma chair ! Jason, les autres et moi n'avons fait que nous défendre. Ta position est intenable ! Prêt à tout pour que le monde moldu et celui des sorciers vivent en harmonie ? Oui je le confesse car aucun des deux n'a ni raison ni tort ! La vérité se trouve ailleurs Monsieur le ministre dis-je volontairement. Je vous le répète donc, dans l'enceinte de cette école, je suis le seul maître des lieux ! Sortez où je déchainerais l’apocalypse sur vos serviteurs détraqueur. Tout en prenant bien soin de ne pas blesser vos chers aurors dont la plupart j'en suis sûr ne partagent pas votre point de vue.

Je me tus alors en regardant les jeunes aurors qui l'entouraient. J'en avais formé beaucoup et je vis dans leurs yeux et leurs attitudes qu'un combat moral était entrain d'avoir lieu dans leurs esprits. C'est alors que plusieurs d’entre eux se détachèrent et prirent place derrière moi, rejoignant tous les combattants sortis pour défendre le château. Laissant ainsi Oz quasiment seul à ses détraqueurs.

- Monsieur le ministre, ne faites pas la même erreur que votre prédécesseur le ministre Fudge. Voyez où se trouve le vrai danger. Relâchez IMMÉDIATEMENT Jason et repartez. Votre intervention ne causera que le malheur si elle se poursuit !
Je m'approchais d'un pas vers lui puis lui tournais le dos afin de m'avancer vers Jason pour le prendre dans mes bras.

Membre du Ministère Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380

Le ministère m’avait envoyé en mission de reconnaissance et d’infiltration afin d’identifier tous les sorciers et sorcières, membre d’une organisation extrémiste ayant pour but de s’armer, façon de parler, contre l’invasion moldue. Cette mission était délicate et dangereuse si l’on comptait les deux aurors qui avaient réussi, in extrémis, à revenir vivants du ministère. Plus que la difficulté de la tâche, c’était sa durée dans le temps qui m’avait quelque peu rebuté lorsque mon ordre de mission était arrivé. Car bien évidemment, qui dit mission d’infiltration et d’espionnage dit longue préparation avant la mission même. Pour que mon personnage soit crédible, il fallait que je me défasse de mon identité et en prenne une autre et également que je me fasse une réputation dans le milieu avec cette dernière. Pour cela, je devais devenir une extrémiste convaincante, passionnée et de haut rang. Je savais ce que cela sous-entendait, bien sûr mais je n’avais vraiment pas le choix. Je devais faire des actions retentissantes et explosives dans tous les sens du terme et de manière littérale. J’allais être absente pendant plusieurs mois voire plusieurs années dans le pire des cas (ce que je comptais éviter). Une fois que je réceptionnais la missive me donnant rendez-vous, j’étais immédiatement partie.

Cela faisait maintenant 4 mois que ma mission avait débuté. Elle se déroulait comme je pouvais l’espérer même si des cas de conscience m’empêchaient de dormir. C’est pourquoi, à cet instant, où je pouvais m’octroyer « un temps libre », j’essayais de dormir au moins une heure. Mes activités ne reprenaient qu’à la fin de la nuit et début de l’aube. Il ne fallait pas attirer les regards sur notre groupe crépusculaire. De plus, j’avais suffisamment prouvé mon appartenance au groupe que les chefs me faisaient confiance. Au moment où enfin mes yeux commençaient à se fermer avec un certain ravissement, je fus assaillie par un misérable insecte. Le mot était peut-être exagéré mais je détestais ces animaux. Alors que j’étais sur le point de lui ratatiner la cervelle, je fus intrigué par quelque chose qui clochait et c’est en regardant qu’un message psychique me fut transmis

« Le ministre de la magie Ozymandias demande votre présence séance tenante à ses côtés à Poudlard, l’école de sorcellerie ».

Je fronçais les sourcils puis écrabouilla sans hésiter ledit insecte par mesure de sécurité. On ne sait jamais surtout avec les gens qui m’entourent. Je regardais l’heure et mes traits se crispèrent quelque peu. Pourquoi le ministre recueillit-il ma présence dans un moment pareil ??? Il savait pourtant le genre de mission que je faisais. Cela pouvait ruiner tout mon travail en même pas une seconde. Le motif devait être très important et cela ne me disait rien qui vaille. Je me levais comme un ressort et fermais ma porte à clef avec plusieurs verrous et sortilèges ; puis je créais mon double si jamais mes sbires venaient à me quémander ce qui pouvait arriver comme un rond de flan, dans ce milieu, comme je l’ai appris, au cours de ces quatre derniers mois ; puis, je transplanais de suite vers Poudlard.

Quelques instants plus tard, je me trouvais dans le parc du château mais je m’aperçus rapidement que je n’étais pas seule. Nous étions une dizaine d’aurors sans compter la troupe de détraqueurs et le ministre. En face, tous les résidents du château : professeurs et les élèves des dernières années. Ma frustration augmenta quand autour de moi, je vis des centaines de gobelins raides morts sur la pelouse.

- La bataille est terminée annonça calmement mais très froidement le ministre. Je fis apparaître ma baguette au bout de mon bras. Jason Eiwaz le jeune homme bouillonnait encore de rage déformant distinctement les traits de son visage, pour utilisation d’un sortilège impardonnable, meurtre de créature magique, apologie de la violence et incitation à la violence nous vous arrêtons jusqu’à ce qu’un procès vous permettre de répondre de vos crimes.

Ainsi c’était eux qui avaient tués ces gobelins. Rien d’étonnant à ce que le ministre soit aussi furieux et cela quelle que soit les circonstances de ce massacre. Toutefois les paroles d’Oz ne me firent pas relâcher ma baguette. Comme si cela ne suffisait pas, Oz annonça encore :

-          Vous serez tous jugé pour vos crimes.

Ce serait imprudent de croire qu’ils allaient se faire emmener comme ça en prison pensais-je intérieurement. Ce sera pénible surtout que nous connaissions toutes les personnes devant nous enfon moi, personnellement. J’étais dans une situation très inconfortable comme si j’avais besoin de ça en ce moment avec l’autre mission. Les paroles du professeur Albacova me donnèrent raison.

- Bonsoir Monsieur le Ministre. Nous savons bien qu’un carnage a eu lieu ici mais nous n’en sommes pas les responsables. Nous n’avons pas demandé aux gobelins de venir, nous ne les avons pas menacés de quelques manières que ce soit. Nous nous sommes justes défendus devant une attaque surprise et imminente. Nous avons protégés les enfants et protégés nos vies. Qu’aurions-nous dû faire ? Nous laisser tuer pour ne pas encourir votre colère ? Et les gobelins ? Je sais que ça n’excuse rien mais ça explique tout. Nous n’y avons pris aucun plaisir. De plus, si vos Aurors avaient été là, il n’y aurait pas eu tant de dégâts mais il y en aurait eu termina-t-elle en regardant le ministre dans les yeux.

La tension augmentait dans les deux camps et la mienne était un cran au-dessus car je ne devais pas m’attarder trop longtemps ici. J’observais les professeurs et je vis l’agitation de Madame Godolphin et bougeais un peu mais trop tard.

-          Donnant, donnant, Oz, tu relâches Jason immédiatement, ou bien j'élimine ton alter égo. Je sais quels sont les liens qui vous unissent tous les deux, je suis au courent de ton accident. Alors, ne joues pas avec le feu, car rien de bon ne pourrais en sortir pour toi. Moi, je ne crains rien et tu le sais parfaitement.

Je grognais de mécontentement devant la montée de la violence et de la tension entre les personnes qui devaient être alliés. Tout ce bordel pour un rien, ça m’agaçait ses démonstrations de force. Je n’avais encore rien vu car le ministre retourna de nouveau la situation ce qui ne laissa pas le directeur Césarius inactif. Ce qui ajouta encore et encore des menaces. Je me campais sur mes jambes, prêtes.

- Hors de ces murs Oz et tout de suite ! Tes détraqueurs n'ont rien à faire ici et de par mon pouvoir de directeur je suis immunisé contre tous les sorts, sortilèges de magie connus et inconnus dans cette enceinte. Donc à part si tu veux me jeter un sort impardonnable, je ne vois pas bien ce que tu pourras faire d'autres ! Sa voix monta en octave. Ne viens pas me parler de principe, Jason a fait ce qu'il a pu pour les épargner, tout comme moi et tant d'autres ! Regarde mon bras dis-je ne lui montrant le pansement, regarde tous nos blessés dis-je joignant le geste à la parole. Tu ne sais pas de quoi tu parles ! Moi j'étais présent il y a maintenant près de 25 ans, j'ai lu la haine dans les yeux des sorciers qui se combattait, j'ai vu ce que pouvait donner l'affrontement entre sorciers ! J'ai vu cette guerre et j'en ai souffert dans ma chair ! Jason, les autres et moi n'avons fait que nous défendre. Ta position est intenable ! Prêt à tout pour que le monde moldu et celui des sorciers vivent en harmonie ? Oui je le confesse car aucun des deux n'a ni raison ni tort ! La vérité se trouve ailleurs Monsieur le ministre. Je vous le répète donc, dans l'enceinte de cette école, je suis le seul maître des lieux ! Sortez où je déchainerais l’apocalypse sur vos serviteurs détraqueur. Tout en prenant bien soin de ne pas blesser vos chers aurors dont la plupart j'en suis sûr ne partagent pas votre point de vue.

Bien sûr, Sylvius Césarius n’avait pas tort. On n’avait rien à faire ici mais le massacre de gobelins concernait aussi le ministère surtout depuis la loi promulguée par Ozymandia. Je comprenais les deux partis. Personne n’avait tort et personne n’avait raison. Je sentis le regard de Sylvius sur chacun de nous et au lieu de baisser le regard, je restais de marbre et gardais mon sang-froid en le regardant. J’assumais ma fonction d’auror au sein de ce ministère. Ça ne devait pas être le cas de certains car ils bougèrent et se détachèrent du groupe pour se mettre auprès des « Poudlariens ». J’avais clairement autre chose à faire que de prendre part dans ces gamineries en ce moment. J’avais encore une montagne de travail et ma vie ne m’appartenait plus depuis le début de ma mission qui d’ailleurs m’attendait encore.

- Monsieur le ministre, ne faites pas la même erreur que votre prédécesseur le ministre Fudge. Voyez où se trouve le vrai danger. Relâchez IMMÉDIATEMENT Jason et repartez. Votre intervention ne causera que le malheur si elle se poursuit !

Je m’approchais du Ministre en attendant ses ordres, s’il y en avait et si besoin arrêter cette mascarade. J’attendis la suite avec un mélange de tension, de sang-froid et d’agacement.

-          Que dois-je faire Ozymandia ? Sois je vous sers à quelque chose, soit, ce que vous savez m’attend le questionnais-je à voix basse car personne n’était au courant de mon travail actuel et ma présence ici m’était grandement ma couverture en l’air et ma vie en équilibre incertain.

Mort Date d'inscription : 07/06/2016 Messages : 52

C'est fou de constater comme la vie est parfois bizarre, bizarrement étrange et étrangement changeante ! Elle peut aussi décrocher ou devenir carrément moche. Et c'est exactement ce qui était en train d'arriver à la mienne.

Elle était plutôt chouette je dois dire, élève de 7ème année, tranquillou préparant ses ASPICS sans aucune pression puisque j'assurais comme une bête en cours ! Capitaine de l'équipe de Gryffondor (LA MAISON PAR EXCELLENCE) et pour ne rien gâcher prince à mes heures perdues lorsque je retournais dans ma famille ! Le pied quoi ! En plus, je n'étais pas moche et ma vie amoureuse était tout sauf un long fleuve tranquille, si vous voyez ce que je veux dire !!!!! Oo

Justement ce soir là, j'étais pénardo en train d'emballer lorsque le fracas et l'horreur s'empara de mon existence. Dehors dans le parc, une bande de gobelins bikers nous attaquait avec des armes à feux ! Passés le premier moment de stupeur, je sortais ma baguette et me jetais à l'assaut. Bon j'aurais pu me contenter de les étourdir mais mon passager noir réclamait sa part de fureur alors j'en tuais un ou deux au passage lorsque j'estimais qu'ils étaient franchement dangereux pour ma vie ! Enfin je devrais dire pour celles des autres, car en ce qui me concernait, je ne risquais rien de simples balles ! Mais cela c'est une autre histoire.

A vrai dire, on n'en menait pas large mais les adultes firent leur apparition en nombre et cela changea tout. Il faut dire que Sylvius, Jason, Mafalda, Miss Albacova, Miss Lawrence, Mister bakkali et les autres cela en jetait non sans rire.

Rapidement les événements tournèrent en notre faveur et nous primes le dessus. C'est alors que Jason découvrit que les moldus se cachaient derrière cette attaque. Notre directeur tentait de le calmer lorsque les membres du ministère débarquèrent à leur tour.

Là, je dois dire que mon passager noir se braqua, il n’aimait rien de moins que le ministre et encore moins ses sbires détraqueur. S'il y a bien un truc chez nous qu'on aimait pas, c'était ses êtres de noirceur et pourtant, on n'était pas mal de ce côté là aussi. mais eux c'était encore pire.

Mon passager noir je le sentais voulais me mener vers d'autres monde mais je résistais, je ne pouvais pas le laisser prendre le dessus en ce moment là !

Il y eut des altercations car Sylvius ne les aimait pas beaucoup, cela sentait la poudre et une nouvelle bataille allait commencer je le sentais. C'est alors qu'une pensée bizarre se fit jour dans mon esprit : quel parti prendrais mon père dans ce conflit ?! Et mes frères ?! Nous étions liés au monde magique après tout même si cette terre présente n'était qu'un espace, un monde parmi d'autres mondes. c'était tout de même celui où je me sentais chez moi et il était hors de question que ce Oz je ne sais plus comment, ni quoi me le prenne.

L'emprise sur moi de mon passager noir devenait de plus en plus difficile à maîtriser mais j'y arrivais et j'attendais la suite.

Directeur de St Mangouste Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186

Alors que j'étais de service à Saint-Mangouste pour la nuit, je mettais de l'ordre dans mes dossiers médicales afin de m'assurer du bon suivi de mes patients. Je terminais la dernière phrase de ma dernière notes médicales quand j'entendis un cliquetis sur la vitre de mon bureau. Je me frottais les yeux et tournais ma chaise de bureau d'un mouvement de pied.

Un hibou attendait avec impatience que je lui ouvre afin de me transmettre le message qui m'était destiné. Je me levais et poussais le hoquet. Le volatile se posa sur mon épaule, je lui pris le message et lui donnais une récompense pour le remercier. Il s'envola sans demander son reste. Je me demandais bien qui avait pu m'écrire à cette heure indue de la nuit. Sans regarder et avec automatisme, je me rassis sur ma chaise et me remis devant mon bureau.
Voici ce qui était écrit sur ledit parchemin:

"Demande présence immédiatement à Poudlard. Nombreux blessés sans importance. Aide Madame Pomfresh. Merci"

Philomena Albacova

Je grognais et sautais sur mes pieds, pris mon sac médical et transplanais sans attendre au collège. Je me demandais bien ce qui avait bien pu se passer pour qu'il y ait des blessés à un nombre assez grand pour que Madame Pomfresh soit débordée et que Miss Albacova quémande mon aide.

Une fois sur place, je me trouvais dans la cour de Poudlard et je fus assaillie d'une odeur de chair brûlée. Des gobelins jonchaient le sol, raide comme des carpettes retournées. Il y avait une bataille ici et à en croire le silence qui régnait, elle était terminée. Je m'abaissais pour voir s'il n'y avait pas des vivants parmi les morts. Mon travail me demandait d'être au service de tout le monde. Toutefois, il n'y avait aucun survivant du moins pas dans ceux que je venais de voir. Je me dirigeais vers le groupe de personne un peu plus loin. Je reconnus des élèves à l'aide de leurs uniformes et des professeurs. Je leur demandais rapidement s'ils avaient besoin de soins et les auscultais. Je soignais plusieurs bobos sans importance mais il ne fallait pas négliger les infections. Une fois cela terminé, je me rejoignis Madame Pomfresh que je vis plus loin penchée sur d'autres patients. Lorsqu'elle me vit, elle me sourit et hocha la tête pour remercier sans demander comment j'étais au courant. Une demie-heure plus tard, nous avions finis de nous occuper de ceux qui avaient été rapatrier à l'intérieur du château. Maintenant, j'allais dehors voir ce qui se passait avec les professeurs; et vu la tension que je palpais les choses ne tournaient pas bien. Il y avait le ministre avec quelques détraqueurs, des aurors et les professeurs. Je me mis entre les deux camps sans rien dire et attendis la suite des événements pour voir si ma présence pouvait encore être utile.

Ministre de la magie Date d'inscription : 29/08/2014 Messages : 68

Chaos !

- Hors de ces murs Oz et tout de suite ! Tes détraqueurs n'ont rien à faire ici et de par mon pouvoir de directeur je suis immunisé contre tous les sorts, sortilèges de magie connus et inconnus dans cette enceinte. Donc à part si tu veux me jeter un sort impardonnable, je ne vois pas bien ce que tu pourras faire d'autres !

Les yeux du directeur se transformaient en deux flambeaux de détermination. On aurait pu voir se dessiner dans ces flammes le visages de tant de ses prédécesseurs devenus illustres héros des manuels scolaires. Un héroïsme presque vulgaire, un tutoiement presque déplacé.

- Ne viens pas me parler de principe, Jason a fait ce qu'il a pu pour les épargner, tout comme moi et tant d'autres ! Regarde mon bras, regarde tous nos blessés.

Ozymandias tourna la tête ,regardant les quelques élèves et professeurs précieusement placés entre les mains habiles de madame Pomfresh tandis que Jana Harrington passait rapidement sur le champ de bataille, cherchant survivants et blessés dans l’amoncèlement de corps désarticulés.

- Tu ne sais pas de quoi tu parles ! Moi j'étais présent il y a maintenant près de 25 ans, j'ai lu la haine dans les yeux des sorciers qui se combattait, j'ai vu ce que pouvait donner l'affrontement entre sorciers ! J'ai vu cette guerre et j'en ai souffert dans ma chair ! Jason, les autres et moi n'avons fait que nous défendre. Ta position est intenable ! Prêt à tout pour que le monde moldu et celui des sorciers vivent en harmonie ? Oui je le confesse car aucun des deux n'a ni raison ni tort ! La vérité se trouve ailleurs Monsieur le ministre. Je vous le répète donc, dans l'enceinte de cette école, je suis le seul maître des lieux ! Sortez où je déchainerais l’apocalypse sur vos serviteurs détraqueurs. Tout en prenant bien soin de ne pas blesser vos chers aurors dont la plupart ,j'en suis sûr, ne partagent pas votre point de vue.

- Monsieur le ministre, ne faites pas la même erreur que votre prédécesseur le ministre Fudge. Voyez où se trouve le vrai danger. Relâchez IMMÉDIATEMENT Jason et repartez. Votre intervention ne causera que le malheur si elle se poursuit !

Une jeune Aurore quitta son rang, s’approchant du ministre d’une discrétion toute relative étant donné que tous les regards étaient posés sur lui. Elle parla d’une voix basse afin de n’être audible que du ministre et ce dernier lui répondit de la même manière.

- Que dois-je faire Ozymandia ? Sois je vous sers à quelque chose, soit, ce que vous savez.

- J’ai bien peur que votre aide ne soit à un moment sollicitée ne serait-ce que pour ramener le calme par votre chaleureuse bienveillance au prêt des élèves. Cette situation est bien trop éprouvante pour eux. Il y a déjà suffisamment de cadavres devant ces jeunes élèves nous devons les protéger aussi bien physiquement que mentalement.

Elle regagna son rang avec calme.

Des centaines de voix traversaient l’esprit du ministre.

Tant de conflits, de guerres et si peu de paix. Des centaines d’années, défilées sous les yeux de détraqueurs incapables d’oublier, incapables de mourir. Sylvius se fourvoyait, dans tous les conflits chacun des deux camps combattait pour sa survie, chaque soldat est un père perdant sa fille, chaque liberté est juste à défendre. La dichotomique vision des directeurs de Poudlard.

- Devrais-je donc laisser ces crimes impunis ? Cette attaque peut aussi être l’évènement d’une guerre avec les Gobelins. Que direz-vous aux pères venus vengez leurs fils morts devant vos murs ?

Le ministre était toujours calme, aucune colère ne transparaissait dans sa voix, seul la tristesse parcourait son esprit, tant de guerres, tant de cris.

- J’ai fait vœux de protéger ce monde ainsi que tous ses habitants. J’ai œuvré pour une paix durable entre les peuples, une confiance mutuelle si difficile à obtenir.

La cour était silencieuse, laissant entendre le bruit du vent se fracassant contre les remparts du château, sifflant entre les tuiles ondulant les têtes souples des cimes de la forêt.

- Le Ministère à prit sa décision. Chacun d’entre vous sera jugé en fonction de ses actes comme il est de droit à chacun en ce monde. Justitia est aveugle et juste et c’est de son glaive que naît la paix.

- S’opposer à cette décision c’est s’opposer au Ministère.
Sa diction était lente, chaque mot était pesé mais aucunement alourdit.

- S’opposer à la loi, c’est devenir criminel. Un meurtre reste un meurtre qu’il ait lieu à Poudlard ou en tout autre lieux de notre pays.
Quelle serait votre réaction si votre enfant venait à mourir dans un tel lieu où la justice n’existerait pas sous prétexte d’une dominance par un homme unique pouvant décider d’excuser tout meurtre ?
Il patienta quelques instants avant de reprendre la parole.

- Le Ministère débute dès à présent une enquête qui déterminera les causes et conséquences de cette attaque. Le Ministère de la Magie ne peut accueillir l’ensemble de votre établissement ; de ce fait Poudlard est mit sous quarantaine.

Un brouhaha immédiat empli l’air doux de la nuit. Ozymandias ne s’adressait plus seulement à Sylvius mais à toute la foule. Un nouveau silence.

- Aurores et détraqueurs seront présents aux limites de cet établissement. Cela ne changera en rien vos habitudes et le directeur ,monsieur Sylvius Césarius, aura tout pouvoir sur Poudlard. Cependant, aucun élève, professeur, ou toute autre personne ou être présent lors de l’affrontement ne pourra quitter les murs de votre établissement. Enfreindre se périmètre sera considéré comme une tentative d’évasion dans un contexte d’enquête pour légitime défense ayant entrainer meurtres.
Jane Harrinton ,la jeune femme se tenait entre les deux groupes inspectant avec minuties les évènements, comme vous n’étiez pas présente lors de l’attaque et que vous ne travaillez pas au sein de cet établissement je vous laisses le choix. Vous pouvez regagner Sainte Mangouste ou rester à Poudlard en tant que magicomage et en tant que praticienne dans la cellule psychologique qui sera mise en place au sein de l’établissement.

Professeurs et élèves se rapprochèrent de Sylvius pour discuter avant qu’il ne puisse répondre. Le ministre de la Magie en profita pour rejoindre Stanley di Salvo que le détraqueur avait isolé des professeurs de Poudlard. Ozymandias se rapprocha du ministre de la justice qui ,comme à son habitude, montrait les crocs à l’imposante silhouette fantomatique du détraqueur.

- Monsieur di Salvo, il s’arrêta comme s’il ne savait par où commencer. Il serait plus juste que ce soit à moi de vous montrer les dents… Votre position au sein du Ministère ne peut vous autoriser de telles prouesses personnelles. Vous n’êtes pas autorisé à rentrer au sein du Magenmagot pour cette affaire et n’aurez aucun droit ni sur l’enquête ni si quel qu’élément que ce soit concernant cette soirée. Je déciderai moi-même de votre avenir au sein du Ministère mais pour le moment vous resterez vous aussi à Poudlard.

Les bruits de discussion ne furent troublés que par de nouvelles paroles. Ozymandias pivota la tête pour faire face à son interlocuteur.

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Directeur de Gryffondor Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 186

Le Ministre de la magie venait de mettre Le jeune Jason Eiwaz et émit l’idée saugrenue de l’envoyer à Azkaban. Il allait de soi que personne à Poudlard n’était d’accord avec cette décision. Du coup, en réaction, j’attrapais le détraqueur personnel d’oz, enfin celui qui restait toujours avec lui depuis qu’il avait partagé son corps avec le ministre après un terrible accident qui l’avait laissé pour mort. Peu de monde était au courent de ce fait, à part les magicochirurgiens qui l’avaient rafistolés de cette bien étrange façon, je crois bien que j’étais la seul à avoir connaissance de cette information.
Donc, je tenais le détraqueur d’Oz entre me griffes et menaçais ce dernier de lui faire sa fête. Je ne m’attendais pas à que cette étrange créature se jette d’elle-même sur mes griffes. Je retirais ma patte le plus vite possible avec un sentiment d’horreur, je n’avais aucunement l’intention de blesser qui conque, je ne faisais que bluffer. Mais quand je sentis quelques gouttes de sang glisser sous les écailles de mes griffes, je compris tout d’un coup son geste. Une douleur insupportable envahit ma patte et je lâchais définitivement ma proie. Idiote que j’étais, je savais qu’il ne fallait en aucun cas s’attaquer à ces créatures et maintenant je savais pourquoi. Je ne pus retenir un gémissement de douleur, mais bien vite elle s’atténua pour disparaitre totalement. Je savais que c’était Oz qui avait mis fin à mon calvaire.
Vexer dans mon amour propre de dragon, je lui dardais un méchant regard histoire de lui faire comprendre que je n’étais pas prêt de lui pardonner cette mésaventure. J’allais même lui dire de vive voix quand je remarquais un éclair vert émeraude se jetant sur le détraqueur blessé. En bon garçon, Harrius venait à la rescousse de sa maman.

-Harrius, non, n’y touche surtout pas, hurlais-je de toute la force de mes poumons.

Et quand je hurlais, je peux vous dire que tout le monde m’écoutait. Harrius s’immobilisa en plein mouvement, ce qui le fit basculer sur son avant main et il s’effondra la tête dans l’herbe au pied du détraqueur.
Pedant ce temps, Sylvius s’était lui aussi opposé au Ministre de la magie :

- Hors de ces murs Oz et tout de suite ! tes détraqueurs n'ont rien à faire ici et de par mon pouvoir de directeur je suis immunisé contre tous les sorts, sortilèges de magie connus et inconnus dans cette enceinte. Donc à part si tu veux me jeter un sort impardonnable, je ne vois pas bien ce que tu pourras faire d'autres !
Ne viens pas me parler de principe, Jason a fait ce qu'il a pu pour les épargner, tout comme moi et tant d'autres ! Regarde mon bras dit-il ne lui montrant le pansement, regarde tous nos blessés dit-il en joignant le geste à la parole. Tu ne sais pas de quoi tu parles ! Moi j'étais présent il y a maintenant près de 25 ans, j'ai lu la haine dans les yeux des sorciers qui se combattait, j'ai vu ce que pouvait donner l'affrontement entre sorciers ! J'ai vu cette guerre et j'en ai souffert dans ma chair ! Jason, les autres et moi n'avons fait que nous défendre. Ta position est intenable ! Prêt à tout pour que le monde moldu et celui des sorciers vivent en harmonie ? Oui je le confesse car aucun des deux n'a ni raison ni tort ! La vérité se trouve ailleurs Monsieur le ministre.. Je vous le répète donc, dans l'enceinte de cette école, je suis le seul maître des lieux ! Sortez où je déchainerais l’apocalypse sur vos serviteurs détraqueur. Tout en prenant bien soin de ne pas blesser vos chers aurors dont la plupart j'en suis sûr ne partagent pas votre point de vue. Monsieur le ministre, ne faites pas la même erreur que votre prédécesseur le ministre Fudge. Voyez où se trouve le vrai danger. Relâchez IMMÉDIATEMENT Jason et repartez. Votre intervention ne causera que le malheur si elle se poursuit

Ces paroles ne durent pas vraiment plaire au Ministre car ce dernier répondit de sa voie froide et calme. Bon dieu, ce type de vais avoir du sang de serpent dans les veines pour être toujours aussi mettre de lui. Ou bien, c’était le faite qu’il soit à moitié détraqueur qui lui permettait de garder se calme polaire.

- Devrais-je donc laisser ces crimes impunis ? Cette attaque peut aussi être l’évènement d’une guerre avec les Gobelins. Que direz-vous aux pères venus vengez leurs fils morts devant vos murs ?

Ses paroles firent naitre un étrange silence, seul les bruits de la nature se firent entendre.

- Le Ministère à prit sa décision. Chacun d’entre vous sera jugé en fonction de ses actes comme il est de droit à chacun en ce monde. Justitia est aveugle et juste et c’est de son glaive que naît la paix. S’opposer à cette décision c’est s’opposer au Ministère. S’opposer à la loi, c’est devenir criminel. Un meurtre reste un meurtre qu’il ait lieu à Poudlard ou en tout autre lieux de notre pays. Quelle serait votre réaction si votre enfant venait à mourir dans un tel lieu où la justice n’existerait pas sous prétexte d’une dominance par un homme unique pouvant décider d’excuser tout meurtre ?

Il se tut une instant pour voir la réaction de la foule, mais comme tous se taisait, il continua son monologue.

- Le Ministère débute dès à présent une enquête qui déterminera les causes et conséquences de cette attaque. Le Ministère de la Magie ne peut accueillir l’ensemble de votre établissement ; de ce fait Poudlard est mis sous quarantaine. Aurores et détraqueurs seront présents aux limites de cet établissement. Cela ne changera en rien vos habitudes et le directeur, monsieur Sylvius Césarius, aura tout pouvoir sur Poudlard. Cependant, aucun élève, professeur, ou toute autre personne ou être présent lors de l’affrontement ne pourra quitter les murs de votre établissement. Enfreindre se périmètre sera considéré comme une tentative d’évasion dans un contexte d’enquête pour légitime défense ayant entrainé des meurtres.

Il me fallut quelques secondes pour comprendre ses paroles. Quoi, il voulait nous emprisonner dans poudlard même, sans nous laisser le moindre contact avec l’extérieur, sous la garde des aurors et des détraqueurs. Mais s’était inadmissible !! Je lui jetais un regard féroce.

-Monsieur le Ministre, vous rendez vous compte de la décision que vous venez de prendre ? Nos élèves vont bientôt être en vacances, vous voulez leur interdire de rejoindre leurs familles qu’ils n’ont pas vues depuis un long trimestre. Vous allez lever un mur de bouclier de tout le monde sorcier contre votre personne et je ne crois pas que vos aurors ou vos détraqueurs pourront vous en protéger. Réfléchissez bien aux conséquences de votre décision, car une fois prise, vous ne pourrez pas revenir dessus.

Malgré la colère qui bouillait dans mes veines, j'essayais de rester la plus courtoise possible. Que les adultes soient bloquer aux château, ok , c'était de bonne guerre. Mais les élèves, quand même !! il fallait pas pousser !!

Membre du Ministère Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380

- Que dois-je faire Ozymandias ? Sois je vous sers à quelque chose, soit ce que vous savez m’attend.

Je ne savais pas quoi penser de cette situation. Je me retrouvais prise entre mes amis et en quelque sorte ma famille puisque je passais le plus claire de mon temps avec eux et ma profession. J’avais prêté serment aurprès du Ministère pour le servir et servir le monde magique et les sorciers contre les menaces ; mais cette situation ne rentrait pas dans les évènements habituels et on ne nous avait pas préparés à cela. Je me retrouvais avec ma meilleure amie, presque ma sœur dans le camp opposé puisqu’elle était avec sa mère et son petit frère et comme elle n’était pas en mission, elle se trouvait déjà là.

- J’ai bien peur que votre aide ne soit à un moment sollicitée ne serait-ce que pour ramener le calme par votre chaleureuse bienveillance au prêt des élèves. Cette situation est bien trop éprouvante pour eux. Il y a déjà suffisamment de cadavres devant ces jeunes élèves nous devons les protéger aussi bien physiquement que mentalement.

Je regagnais les rangs en hochant la tête et en pensant que seule, je ne pourrais rien faire. Les élèves oui, à la rigueur même si en voyant leurs professeurs dans cette situation, ils pourraient se rebeller. Le ministre s’était mis dans une sacrée situation et j’étais très curieuse de voir comment tout cela allait se débloque parce qu’en voyant la situation, on sentait bien l’immense tension qui régnait dans les deux rangs. Après un moment de silence, Oz prit calmement la parole.

- Devrais-je donc laisser ces crimes impunis ? Cette attaque peut aussi être l’évènement d’une guerre avec les Gobelins. Que direz-vous aux pères venus vengez leurs fils morts devant vos murs ? J’ai fait vœux de protéger ce monde ainsi que tous ses habitants. J’ai œuvré pour une paix durable entre les peuples, une confiance mutuelle si difficile à obtenir.

La cour était silencieuse, laissant entendre le bruit du vent se fracassant contre les remparts du château, sifflant entre les tuiles ondulant les têtes souples des cimes de la forêt. Les respirations haletantes des protagonistes se faisaient entendre légèrement également. Rien ne venait rompre ce silence même si la colère persistait toujours et encore.

- Le Ministère à prit sa décision. Chacun d’entre vous sera jugé en fonction de ses actes comme il est de droit à chacun en ce monde. Justitia est aveugle et juste et c’est de son glaive que naît la paix. S’opposer à cette décision, c’est s’opposer au Ministère finit-il par ajouter avec une diction lente en pensant chacun de ses mots comme une chape de plomb couvrant une superficie. S’opposer à la loi, c’est devenir criminel. Un meurtre reste un meurtre qu’il ait lieu à Poudlard ou en tout autre lieux de notre pays.

Il patienta quelques instants avant de reprendre la parole comme pour donner plus de poids à ses propos.

- Le Ministère débute dès à présent une enquête qui déterminera les causes et conséquences de cette attaque. Le Ministère de la Magie ne peut accueillir l’ensemble de votre établissement ; de ce fait Poudlard est mis sous quarantaine. Aurores et détraqueurs seront présents aux limites de cet établissement. Cela ne changera en rien vos habitudes et le directeur, Monsieur Sylvius Césarius, aura tout pouvoir sur Poudlard. Cependant, aucun élève, professeur, ou toute autre personne ou être présent lors de l’affrontement ne pourra quitter les murs de votre établissement. Enfreindre se périmètre sera considéré comme une tentative d’évasion dans un contexte d’enquête pour légitime défense ayant entrainé meurtres. Jane Harrinton, comme vous n’étiez pas présente lors de l’attaque et que vous ne travaillez pas au sein de cet établissement je vous laisse le choix. Vous pouvez regagner Sainte Mangouste ou rester à Poudlard en tant que magicomage et en tant que praticienne dans la cellule psychologique qui sera mise en place au sein de l’établissement.

La directrice de Saint Mangouste décida de rester à Poudlard autant de temps que l’on aura besoin d’elle mais elle partira aussi s’occuper de ses malades les plus graves et de l’hôpital. Puis il se dirigea vers Monsieur Di Salvo pour parler de son cas. Les bruits de discussion ne furent troublés que par de nouvelles paroles. Ozymandias pivota la tête pour faire face à son interlocuteur qui n’était autre que Madame Godolphin.

- Monsieur le Ministre, vous rendez vous compte de la décision que vous venez de prendre ? Nos élèves vont bientôt être en vacances, vous voulez leur interdire de rejoindre leurs familles qu’ils n’ont pas vues depuis un long trimestre. Vous allez lever un mur de bouclier de tout le monde sorcier contre votre personne et je ne crois pas que vos aurors ou vos détraqueurs pourront vous en protéger. Réfléchissez bien aux conséquences de votre décision, car une fois prise, vous ne pourrez pas revenir dessus asséna Madame Godolphin furieuse.

Je baissais la tête pendant quelques instants. Puis décidais de faire un pas en avant et de prendre la parole en soufflant un coup. Il fallait vraiment faire baisser la tension. Je me proposais alors en médiateur de bonne volonté et de diplomatie entre ma famille de Poudlard et mes collègues.

- Ecoutez, je ne pense pas que le Ministre cherche à faire quoique ce soit qui puisse vous rendre la vie dure et compliquée. On ne veut pas tous vous enfermer mais on ne peut pas vous laissez aller et venir ainsi pendant une enquête. Ce qui s’est passé est assez important pour que des concessions soient faites des deux côtés. On ne parle pas seulement de ce cas mais du futur de notre monde. Il faut essayer de comprendre notre position et on essaye de vous comprendre vraiment. Je ne veux pas choisir entre vous et mon travail. Je m’avance peut-être mais comme les élèves ne peuvent pas partir, même si le Ministère le voudrait bien, on a à cœur les intérêts des élèves, on pourrait faire venir les familles des élèves. Ainsi les élèves pourront voir leurs familles mais respecter la décision du Ministère. Cela ne demandera un peu d’aménagement mais rien d’impossible pour nous et Poudlard. Ensuite, je sais que les détraqueurs ne sont pas acceptés dans l’enceinte de Poudlard, ils n’ont rien à y faire alors, le Ministre, j’en suis sûre, ne verra pas d’inconvénient à les mettre à la limite de Poudlard. Ils ne s’en prendront pas aux élèves. Nous, les aurors en poste à Poudlard ne changeront rien dans votre vie quotidienne et vous ne vous apercevez pas de notre présence. On ne sera pas ici pour vous interdire quoi que ce soit. Vous serez libres de vos mouvements. Toutefois si vous voulez vraiment allez en dehors de l’enceinte, la présence d’un ou de deux aurors vous sera obligatoirement imposé. Les aurors ne sont pas uniquement là contre vous. Le ministre ne l’a peut-être pas assez dit mais nous sommes aussi là pour votre protection, pour éviter que cette situation se reproduise à l’avenir, pour que Poudlard ne soit plus attaqué par surprise et pour que vous vous sentiez soutenus par le Ministère. Dans ces jours troublés, nous avons besoin de se serrer les coudes. Ne pensez-vous pas ?? Monsieur le directeur Césarius ? Monsieur le Ministre Ozymandias ??

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

Je bouillonnais, je rageais, je hurlais intérieurement ! Pour qui se prenait ce jeune blanc bec que j'avais formé et amené à ce poste ?! Que c'était il passé pour que cela dégénère ainsi ! Je me retenais de lancer sur lui mon patronus ! Mais une voix intérieur venant d'outre tombe m'en empêchais, c'est comme si j'entendais Neslon me murmurer à l'oreille :

- Hardi et hauts les cœurs ! Hissons nos couleurs mais restons calme ! Réfléchit mon ami et ne te laisse pas emporter par la haine ou le ressenti.

C'est alors qu'Oz prit de nouveau la parole en nous indiquant que nous ne pourrions pas sortir de Poudlard et que nous serions consignés ! La rage revient en moi comme une vague ! Pour qui se prenait-il ? Pensait- il pourvoir décider pour moi ?! Pour nous ?!

J'allais agir lorsque cela se bouscula derrière moi et c’était Shona qui se rebiffait à son tour

- Monsieur le Ministre, vous rendez vous compte de la décision que vous venez de prendre ? Nos élèves vont bientôt être en vacances, vous voulez leur interdire de rejoindre leurs familles qu’ils n’ont pas vues depuis un long trimestre. Vous allez lever un mur de bouclier de tout le monde sorcier contre votre personne et je ne crois pas que vos aurors ou vos détraqueurs pourront vous en protéger. Réfléchissez bien aux conséquences de votre décision, car une fois prise, vous ne pourrez pas revenir dessus lui dit-elle !

J'étais complétement d'accord avec elle et plus encore ! J'allais reprendre la parole lorsque je fus de nouveau coupé par une ancienne elève devenu Auror.

- Ecoutez, je ne pense pas que le Ministre cherche à faire quoique ce soit qui puisse vous rendre la vie dure et compliquée. On ne veut pas tous vous enfermer mais on ne peut pas vous laissez aller et venir ainsi pendant une enquête. Ce qui s’est passé est assez important pour que des concessions soient faites des deux côtés. On ne parle pas seulement de ce cas mais du futur de notre monde. Il faut essayer de comprendre notre position et on essaye de vous comprendre vraiment. Je ne veux pas choisir entre vous et mon travail. Je m’avance peut-être mais comme les élèves ne peuvent pas partir, même si le Ministère le voudrait bien, on a à cœur les intérêts des élèves, on pourrait faire venir les familles des élèves. Ainsi les élèves pourront voir leurs familles mais respecter la décision du Ministère. Cela ne demandera un peu d’aménagement mais rien d’impossible pour nous et Poudlard. Ensuite, je sais que les détraqueurs ne sont pas acceptés dans l’enceinte de Poudlard, ils n’ont rien à y faire alors, le Ministre, j’en suis sûre, ne verra pas d’inconvénient à les mettre à la limite de Poudlard. Ils ne s’en prendront pas aux élèves. Nous, les aurors en poste à Poudlard ne changeront rien dans votre vie quotidienne et vous ne vous apercevez pas de notre présence. On ne sera pas ici pour vous interdire quoi que ce soit. Vous serez libres de vos mouvements. Toutefois si vous voulez vraiment allez en dehors de l’enceinte, la présence d’un ou de deux aurors vous sera obligatoirement imposé. Les aurors ne sont pas uniquement là contre vous. Le ministre ne l’a peut-être pas assez dit mais nous sommes aussi là pour votre protection, pour éviter que cette situation se reproduise à l’avenir, pour que Poudlard ne soit plus attaqué par surprise et pour que vous vous sentiez soutenus par le Ministère. Dans ces jours troublés, nous avons besoin de se serrer les coudes. Ne pensez-vous pas ?? Monsieur le directeur Césarius ? Monsieur le Ministre Ozymandias ??

Elle me demandait mon avis, enfin quelqu'un y pensait ! Pourtant je n'allais pas la suivre sur cette voie, Oz s'était engagé dans une voie sans issue et il allait devoir l'assumer entièrement !

Je pris ma baguette et dans un mouvement souple et ample prononçais une formule que peu de soricer maîtrisait autant que moi.

- SPERO PATRONUM !

Un immense faucun de brume apparut alors au bout de ma baguette et resta accroché contrairement aux autres qui s'en détachait généralement.

Puis je me tournais vers lui.

- Attends et agis à mon ordre ! puis je me tournais vers Oz, incroyablement calme pour le coup, convaincu du bien fondé de notre cause.

- Oz, je ne céderais rien ! Je te le redis une dernière fois, tu ne tiendras personne en otage ici et chacun ici sera libre de ses mouvements ! Il est temps pour toi de retrouver tes esprits ! Ton attitude ne fait que nous diviser et en cela la jeune Malory à raison.

Je me tournais alors vers elle.

- Miss vous avez toujours été brillante ! Je reconnais dans vos propos une certaine sagesse et si Oz n'avait pas attaqué et eu cette attitude dictatorial alors je vous aurais sûrement entendu, vois même écouté ! Mais là Miss, je suis désolé.

Je me tournais de nouveau vers Jason et tendais ma baguette vers lui.

- Enervatum !

Aussitôt, je le vis gémir et bouger sur le sol.

- Oz ! Je ne suis pas ton ennemi, fasses en sorte que cela ne le devienne pas. Nous avons été attaqué et nous n'avons fait que nous défendre. Tu veux nous entendre, aucun problème convoque nous au ministère et je suis garant que nous nous y rendrons ! De plus je mets en doute ton intégrité complétement à ce que tu prétends surtout lorsque je vois la différence de traitement que tu fais entre Jason et mon ami le professseur Di Salvo ! Reconnait que c'est très curieux. J'ai peur que tes décisions ne sont pas le fruit de la justice mais des alliances de circonstances et c'est totalement contre mes valeurs ! Tu veux la justice alors soit juste. Repart et nous nous réuniront au ministère afin de traiter cette affaire avec la plus grande et bonne justice. Refuse et mon patronus agira à mon place.

Je me reculais d'un pas et ajoutais :

- Autant te dire que même si tu me tue ou si vous essayer de me jeter un sort, il agira tout de même. Maintenant c'est à toi de décider mais comme disait un vieil ami à moi HAUSSONS NOS COULEURS ET HAUTS LES COEURS me mis-je à crier bientôt suivis par ds centaines de personnes criant à gorge déployés.

Ministre de la magie Date d'inscription : 29/08/2014 Messages : 68

Chaos !

- Ecoutez, je ne pense pas que le Ministre cherche à faire quoique ce soit qui puisse vous rendre la vie dure et compliquée. On ne veut pas tous vous enfermer mais on ne peut pas vous laissez aller et venir ainsi pendant une enquête. Ce qui s’est passé est assez important pour que des concessions soient faites des deux côtés. On ne parle pas seulement de ce cas mais du futur de notre monde. Il faut essayer de comprendre notre position et on essaye de vous comprendre vraiment. Je ne veux pas choisir entre vous et mon travail. Je m’avance peut-être mais comme les élèves ne peuvent pas partir, même si le Ministère le voudrait bien, on a à cœur les intérêts des élèves, on pourrait faire venir les familles des élèves. Ainsi les élèves pourront voir leurs familles mais respecter la décision du Ministère. Cela ne demandera un peu d’aménagement mais rien d’impossible pour nous et Poudlard. Ensuite, je sais que les détraqueurs ne sont pas acceptés dans l’enceinte de Poudlard, ils n’ont rien à y faire alors, le Ministre, j’en suis sûre, ne verra pas d’inconvénient à les mettre à la limite de Poudlard. Ils ne s’en prendront pas aux élèves. Nous, les aurors en poste à Poudlard ne changeront rien dans votre vie quotidienne et vous ne vous apercevez pas de notre présence. On ne sera pas ici pour vous interdire quoi que ce soit. Vous serez libres de vos mouvements. Toutefois si vous voulez vraiment allez en dehors de l’enceinte, la présence d’un ou de deux aurors vous sera obligatoirement imposé. Les aurors ne sont pas uniquement là contre vous. Le ministre ne l’a peut-être pas assez dit mais nous sommes aussi là pour votre protection, pour éviter que cette situation se reproduise à l’avenir, pour que Poudlard ne soit plus attaqué par surprise et pour que vous vous sentiez soutenus par le Ministère. Dans ces jours troublés, nous avons besoin de se serrer les coudes. Ne pensez-vous pas ?? Monsieur le directeur Césarius ? Monsieur le Ministre Ozymandias ??

La jeune Aurore possédait en sa voix le courage et l’ardeur de la femme forte qu’elle est devenue. Il avait eu raison de placer ses espoirs en elle. Le Ministre la remercia d’un geste souple de la tête la laissant regagner son rang. C’est à ce moment d’un nouveau cri zébra les pâles aurores de la nuit. Une brume bleutée sortit de la baguette tenue fermement par Sylvius faisant apparaître un faucon venant se percher sur l’extrémité brillante pointée en direction du ministre. Les ombres du ciel se mirent en mouvement, déplaçant les nuages dans leur sillage. Pour la deuxième fois en bien trop peu de temps l’intégralité physique du ministre était compromise. Il sentait, le picotement dérangeant dans le bout de ses doigts, cette pression contre son torse du rayonnement brumeux. Tant de menaces, de prise en otage. Etait-ce là leur seule solution ? Une violence prédominante ?

- Oz, je ne céderais rien ! Je te le redis une dernière fois, tu ne tiendras personne en otage ici et chacun ici sera libre de ses mouvements ! Il est temps pour toi de retrouver tes esprits !

Reprit le sorcier pointant une baguette armée d’un sortilège interdit aux propriétés potentiellement létales pour son interlocuteur. Le ministre était pris en otage depuis le début de la soirée et l’était à présent par l’imposant faucon trônant fièrement sur la baguette du sorcier. Un avada kadavra au-dessus de la tête n’aurait pu être plus dangereux.

Le ministre resta de marbre. Utiliser ce sortilège condamnerai le directeur à coup sûr. Poudlard n’est pas réputé pour la sureté du lieu après la longue liste de batailles ayant eu lieu en son enceinte ces dernières décennies. Tuer le plus haut représentant du monde magique britannique serait une erreur que l’établissement ne pouvait se permettre.

-Ton attitude ne fait que nous diviser et en cela la jeune Malory à raison. Il pivota avant de reprendre la parole. Miss vous avez toujours été brillante ! Je reconnais dans vos propos une certaine sagesse et si Oz n'avait pas attaqué et eu cette attitude dictatorial alors je vous aurais sûrement entendu, voir même écouté ! Mais là Miss, je suis désolé.

Il pivota à nouveau faisant face au corps collapsé du jeune Eiwaz.

- Enervatum !

L’effet fut immédiat. Ses muscles se détendirent entrainant quelques spasmes tandis que son esprit était encore légèrement embrumé par le baisé du détraqueur qu’il venait de subir. Ozymandias regarde la scène du coin de l’œil, intervenir à nouveau ne saurait être utile.

- Oz ! Je ne suis pas ton ennemi, fasses en sorte que cela ne le devienne pas. Nous avons été attaqué et nous n'avons fait que nous défendre. Tu veux nous entendre, aucun problème convoque nous au ministère et je suis garant que nous nous y rendrons ! De plus je mets en doute ton intégrité complétement à ce que tu prétends surtout lorsque je vois la différence de traitement que tu fais entre Jason et mon ami le professseur Di Salvo ! Reconnait que c'est très curieux. J'ai peur que tes décisions ne sont pas le fruit de la justice mais des alliances de circonstances et c'est totalement contre mes valeurs ! Tu veux la justice alors soit juste. Repart et nous nous réuniront au ministère afin de traiter cette affaire avec la plus grande et bonne justice. Refuse et mon patronus agira à mon place.

La mort de tous ces gobelins semblait avoir si peu d’importance à ses yeux. Il n’y avait aucune discussion à avoir, une affaire était en cours et les ‘’accusés’’ ne pouvaient être laissés à vagabondez voir même disparaitre sans compter les gobelins survivants qui pourraient s’en prendre aux élèves pour venger leurs frères et amis.

- Autant te dire que même si tu me tue ou si vous essayer de me jeter un sort, il agira tout de même.

Dans l’assemblée peu de sorciers pouvaient arguer d’avoir les mains pures de tout meurtre, le ministre lui le pouvait.

Les détraqueurs, protecteurs des cieux obscurcis eux même n’ont jamais tué créature vivante en ce monde.

Maintenant c'est à toi de décider mais comme disait un vieil ami à moi HAUSSONS NOS COULEURS ET HAUTS LES COEURS !

Ozymandias reprit la parole au milieu du capharnaüm des élèves et professeurs de Poudlard.

« Cette discussion a déjà suffisamment durée. Le Ministère s’occupera de cette affaire mais pour le moment certains des vôtres doivent être surveillés. Ces esclandres n’y changeront rien. »

Une larme noir dégringola son visage alors qu’il tendit la main en direction de Jason. Son bras trembla dans l’obscurité avant que Jason ne disparaisse dans une gerbe d’étincelles pourpres sous les regards terrifiés des élèves alentours. Ozymandias transplana à son tour réapparaissant aux côtés de Shona avant que tout deux disparaissent avant même que l’assemblée n’ai le temps de réagir. Les membres du ministères disparurent eux aussi tandis que les détraqueurs s’évanouissaient dans les ténèbres de la nuit.

Code By Ozymandias for Tenebros Poudlard