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| | Un remède pour la communauté magique | |
| | Auteur | Message |
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Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Un remède pour la communauté magique Dim 18 Fév - 20:58 | |
| Cela faisait deux cas en très peu de temps. Je me devais de faire quelque chose étant la directrice de Saint Mangouste mais également LA guérisseuse de Grande Bretagne. Je n’avais pas toute cette magie blanche en moi pour rien. Je fronçais les sourcils, signe de réflexion intense chez moi et je me dirigeais prestement vers mon bureau, au rez-de-chaussée, ne faisant même pas attention aux salutations et demandes de mon personnel, remettant tout cela à plus tard. La question qui me préoccupait était de première importance, je dirais même vitale que ce soit pour les sorciers concernés mais aussi, dans une certaine mesure, à une plus grande échelle. Cela pourrait contaminer toute la communauté magique et y mettre un terme définitif. Voilà le bilan que je pouvais redouter et qu’honnêtement, je redoutais car j’avais de bonnes raisons. J’ouvris et fermais la porte de mon bureau sans y prendre garde et m’assis toujours tendue à l’extrême et dans mes pensées. J’essayais d’échafauder toutes sortes de cause et de conséquence, de remèdes ou de dérivés car j’avais beau éplucher le grimoire de mes ancêtres et le miens, pas une ligne ne faisait mention d’un virus (car cela en était un) de ce genre. Je suis la première à faire face à ce problème et peut-être la dernière si je ne faisais pas quelque chose dès maintenant. Je me levais d’un bond et transplanais, pour ne pas perdre de temps, dans mon laboratoire personnel. Je fouillais sur mes étagères, mes armoires et mes bocaux, des ingrédients qui pourraient entrer dans la composition d’une potion contre ce mal parce que même ma magie blanche ne pouvait totalement guérir les conséquences de ce virus. Le dire m’était intolérable mais c’était bien le cas. Après avoir farfouillé pendant quelques temps, une idée me vint à l’esprit. - - Quelle idiote je fais !! Pourquoi, je n’y ai pas pensé dès l’instant même où je me suis retrouvée à ce phénomène !! (Je le savais mais je laissais de côté cet état des choses). C’est le seul qui peut m’aider ! Je retournais à l’accueil pour prévenir Sophie que je serais absente plusieurs heures en raison d’une visite à Poudlard et que s’il y avait une urgence concernant le nouveau virus de me faire parvenir un hibou détaillée de la situation des futurs patients. Cela fait, je ne perdis pas de temps et transplanais devant le portail de Poudlard. A grande enjambée, je fonçais vers les cachots où devait se trouver celui que je cherchais. L’heure qu’il était le petit déjeuner devait être terminé et comme on était dimanche, il n’y avait pas cours. J’accélérais l’allure, pressée par le temps mais aussi par l’envie de parler avec lui de tout cela. Je sentais que j’allais devenir folle si je ne le faisais pas. J’en avais parlé avec mes ancêtres mais parler qu’avec des fantômes, cela n’étaient pas très sain surtout quand ils sont dans votre tête comme un tout. Devant sa porte, je frappais assez fort mais n’attendit pas et entra, espérant ne pas le jeter du lit. Il était bien là, devant ses bocaux à les remplir de ses différents ingrédients pour ses potions. Parfait ! - - Mat !! Désolée de mon arrivée impromptue mais je devais te parler instamment. C’est urgent ! Tu peux m’accorder du temps ?! ça concerne notre futur et la communauté entière….et aussi la médecine magique…dans un sens. J’attendais sa réponse avec impatience et une certaine inquiétude. Peut-être qu’il était trop occupé pour m’aider ou qu’il n’allait pas vouloir tout simplement. Le voir en face de moi, me fit douter de ma démarche pourtant jugée raisonnable sur le moment surtout devant son regard surpris. | |
| | | Mat Dursley Professeur de potion
Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Dim 18 Fév - 21:13 | |
| Des mois, des mois cela faisait des mois que j'étais comme un fou coincé à Poudlard à la demande de mon mentor Sylvius Césarius. Celui-ci ne voulait pas me laisser sortir du château. - Mat, m'avait-il dit, il est hors de question que tu prennes des risques en sortant du château. Je te demande d'aider l'ordre des reliques dont tu fais partie à gagner cette guerre qui arrive. Nous ne pourrons pas l’empêcher et nous devrons être prêt. J’espérais que Jason serait à nos côtés mais il a choisi de prendre un autre chemin. - Je ne comprends pas Sylvius ! lui avais-je répondu. - Mat, nous aurons besoin de ton talent en potion mais aussi de ton talent pour aider les gens à s'entendre. Tu es né moldu, ton histoire, ton parcours parle pour toi. Et je ne doute pas que cela fasse de toi une cible pour les pacificateurs ainsi que pour les résistants. Tu dois prendre soin de toi !
J'avais eu beau insister et plaider ma cause, cela n'avait eu aucun effet. Pourtant je rêvais de partir du château, j'avais besoin de prendre l'air pour faire mon deuil de la mort de Theodora. Depuis qu'elle était morte en mission, j'étais dévasté et rien ne m'avait consolé que les longues ballades que je faisais en dehors du château et lorsque je transplaniais pour retrouver mes amis moldus et sorciers où lorsque je retrouvais Hermione et compagnie lors des réunions de l'ordre des reliques ou encore les réunions de famille au square Grimaud. Et sylvius, mon mentor, mon ami me privait de tout cela. Je repensais à cela pencher sur ma paillasse préparant un filtre pour Mme Pomfresh lorsque j'entendis de grands coups frappés à la porte. J'étais tellement concentré que je ne pris pas le peine de répondre, et puis je n'avais envie de parler à personne. -Mat !! Désolée de mon arrivée impromptue mais je devais te parler instamment. C’est urgent ! Tu peux m’accorder du temps ?! ça concerne notre futur et la communauté entière….et aussi la médecine magique…dans un sens. Qui osait pénétrer mon antre ! J'allais exploser mais je reconnu cette voix entre mille, c'était celle de Jane la directrice de St Mangouste avec qui j'échangeais souvent. - De quoi parles tu Jane ! Qu'est ce que tu fais ici et surtout comment est tu entré ! lui dis-je alors qu'elle me regardait de façon très étrange, une lueur de....folie illuminait ces yeux. Oui c'est cela, elle avait de la folie dans le regard que je ne m'expliquais pas tant elle était calme et sérieuse en tant normal. | |
| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Jeu 22 Fév - 21:13 | |
| Je voyais très bien qu’au visage de Mat, que je le dérangeais complètement et qu’il était de mauvaise humeur. Cela ne m’arrêta pas et à vrai dire, ça passait vraiment au second plan. - De quoi parles-tu Jane ! Qu'est-ce que tu fais ici et surtout comment est tu entré ! - Quel accueil Mat, vraiment !! Toujours aussi bougon et mélancolique à ce que je vois ! déclarais-je en croisant les bras en relevant la tête en le regardant droit dans les yeux. Il va falloir que tu te ressaisisses, tu commences à devenir rasant ! Je savais que j’y allais fort mais il fallait le pousser à réagir et à sortir de cette torpeur et je ne voyais qu’une manière : le bousculer un peu, lui et son orgueil. Je captais ses ondes négatives et ça me rendait molle moi aussi. Fichu sensibilité et magie blanche. Je m’approchais de lui et posais ma main sur son épaule gauche en souriant puis en l’aidant à faire sa préparation. - - J’ai besoin de m’occuper les mains pour t’expliquer calmement ce qui se passe. Je n’en ai parlé à personne encore, enfin ce n’est pas tout à fait vrai. J’ai parlé avec tous les ancêtres de ma lignée mais je commençais à devenir folle avec plusieurs voix qui résonnaient dans ma tête. Je restais un moment silencieuse et lorsque je lui passais la mue de serpent, je me remis à parler sans m’arrêter mais de manière calme et sensée presque même avec froideur. - - Il y a une semaine, j’ai reçu à Saint-Mangouste, un cas étrange. Le sorcier, en question, était très mal en point, presque inconscient. Je l’ai installé sur une table dans une chambre à l’écart, car je ressentais quelque chose qui venait de son corps. Pour ne pas risquer la vie de mon personnel et celle des autres patients, je préfère suivre ce protocole. Bref, ma magie me disait que j’avais à faire à un cas urgent et particulier…très particulier. Je me suis isolée plusieurs heures avec mon patient et après un examen…de mon crue, j’ai compris que l’on avait à faire à un virus. Un virus inoculé en l’occurrence, car j’ai trouvé le point d’entrée de ce qui semble être une aiguille ou du moins ce qui s’en rapproche. (Je marquais un temps d’arrêt sans regarder Mat tout occupé à l’aider dans la préparation du philtre avant de reprendre). Mon patient était de plus en plus agité et marmonnait des choses incompréhensibles et sa température montait dangereusement. Je n’avais pas de temps à perdre. Il était en train de devenir fou. Je lui ai donné les potions adéquates qui pouvaient l’aider et le calmer. Tout se passa bien…du moins dans un sens. Mon patient n’avait plus de fièvre et ne délirait plus mais il ne parlait plus non plus. Je me suis dis que cela pouvait être la fatigue donc je l’ai laissé en quarantaine et seul pendant une heure. A mon retour, il se mettant à débiter des horreurs sur le monde magique et les sorciers. J’ai essayé de le calmer mais quand il s’est rendu compte que j’étais une sorcière, il m’a attaqué et a tenté de me tuer. Heureusement ou pas, parce que j’arrive à la dernière étape qui est très alarmante, il n’a pu me lancer aucun sort. Pas qu’il ne le voulait pas mais il ne le pouvait pas car son essence magique avait disparu. Il n’avait plus aucun pouvoir. C’était devenu un cracmol. Devant l’étrangeté de la situation, je l’ai assommé pour l’examiner. Et après avoir placé mes mains au-dessus de son corps, j’ai réussi à sentir que son cerveau était en pleine manipulation et perte de contrôle par l’action du virus. Les potions que je lui avais donné l’ont aidé à ne pas tomber dans la folie mais non en aucun cas fait disparaître le virus. Au contraire, avec les heures, il s’était répandu jusqu’au cerveau et avait fait littéralement un lavage de cerveau à mon patient et lui avait fait perdre tous ses pouvoirs. Ma plus puissante magie n’a pas pu lui redonner ses pouvoirs mais j’ai réussi à lui redonner la raison après qu’il ait essayé de me tuer avec tous ce qu’il trouvait à portée de main parce que mon crime était d’être une sorcière. J’arrêtais de faire ce que je faisais et regardais Mat qui ne m’avait pas interrompu une seule seconde. Chose que j’appréciais. - J’en suis à trois cas depuis le début de la semaine. En résumé, nous avons un virus qui est injecté dans le sang des sorciers, par qui, je ne sais pas et qui a pour effet de les mettre en premier temps dans un état très critique de folie et de fièvre puis dans un deuxième temps de les plonger dans une folie meurtrière envers ses semblables et troisième étape, de les priver de pouvoirs magiques. J’ai réussi à maîtriser les deux étapes seule mais la dernière, je ne sais pas comment faire ou procéder. Je n’ai jamais connu ça et mes ancêtres non plus, n’ont jamais eu à faire à ce virus-ci. Ma magie même la plus puissante et la plus blanche de ne pas leur rendre leurs pouvoirs C’était comme s’ils n’avaient jamais existé en eux. Tu comprends ? Je m’assis sur le bureau de manière pensive en me massant les tempes. - J’ai besoin de toi pour m’aider à trouver une potion pour annuler la dernière étape et rendre leurs pouvoirs aux sorciers. Je te demande de m’aider à créer une potion de A à Z en très peu de temps…pour sauver notre communauté magique. Si les sorciers se retrouvent sans pouvoirs par les temps qui courent, nous cesserons d’exister terminais-je placidement | |
| | | Mat Dursley Professeur de potion
Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Sam 24 Fév - 21:26 | |
| Je regardais toujours Jane avec des yeux incrédules ! Comment donc avait-elle fait pour parvenir jusqu'à mon antre, mon cachot laboratoire ? Là où j'étais le plus heureux actuellement, tranquille parmi mes fioles et mes ingrédients. Là, où personne, en temps normal, n'osait venir m'importuner !!!!!
J'attendais toujours sa réponse, mais elle ne me fit pas celle que j'attendais et me maugréa comme une enfant. - Quel accueil Mat, vraiment !! Toujours aussi bougon et mélancolique à ce que je vois !
Non mais pour qui se prenait-elle, à me faire la moral ainsi, croyait-elle que je faisais partie de ces gamins qu'on pouvait enguirlander ainsi. Je m’apprêtais à lui répondre que je n'étais pas un de ses employés qu'elle pouvait houspiller aussi légèrement, lorsqu’elle s'approcha de moi et déposa sa main sur mon épaule en me souriant.
- Retire ta main ! dis-je avec un mouvement de recul. - J’ai besoin de m’occuper les mains pour t’expliquer calmement ce qui se passe me dit-elle en me reprenant l'épaule. Je n’en ai parlé à personne encore, enfin ce n’est pas tout à fait vrai. J’ai parlé avec tous les ancêtres de ma lignée mais je commençais à devenir folle avec plusieurs voix qui résonnaient dans ma tête.
Mais de quoi parlait-elle ? me dis-je. Je plongeais mes yeux dans les siens afin d'y déceler de la folie, ce qui m'aurait permis de comprendre un peu mieux son attitude, mais je ne trouvais rien. Après être resté un moment silencieuse, elle se remit à parler avec froideur.
- Il y a une semaine, j’ai reçu à Saint-Mangouste, un cas étrange. Le sorcier, en question, était très mal en point, presque inconscient. Je l’ai installé sur une table dans une chambre à l’écart, car je ressentais quelque chose qui venait de son corps. Pour ne pas risquer la vie de mon personnel et celle des autres patients, je préfère suivre ce protocole. Bref, ma magie me disait que j’avais à faire à un cas urgent et particulier…très particulier. Je me suis isolée plusieurs heures avec mon patient et après un examen…de mon crue, j’ai compris que l’on avait à faire à un virus. Un virus inoculé en l’occurrence, car j’ai trouvé le point d’entrée de ce qui semble être une aiguille ou du moins ce qui s’en rapproche.
J'avoue que j'avais très envie de l'interrompre mais elle était tellement concentré que je n'osais pas et puis elle ne me laissait aucune ouverture pour poser les questions qui me tarabustait.
- Mon patient était de plus en plus agité et marmonnait des choses incompréhensibles et sa température montait dangereusement. Je n’avais pas de temps à perdre. Il était en train de devenir fou. Je lui ai donné les potions adéquates qui pouvaient l’aider et le calmer. Tout se passa bien…du moins dans un sens. Mon patient n’avait plus de fièvre et ne délirait plus mais il ne parlait plus non plus. Je me suis dis que cela pouvait être la fatigue donc je l’ai laissé en quarantaine et seul pendant une heure. A mon retour, il se mettant à débiter des horreurs sur le monde magique et les sorciers. J’ai essayé de le calmer mais quand il s’est rendu compte que j’étais une sorcière, il m’a attaqué et a tenté de me tuer. Heureusement ou pas, parce que j’arrive à la dernière étape qui est très alarmante, il n’a pu me lancer aucun sort. Pas qu’il ne le voulait pas mais il ne le pouvait pas car son essence magique avait disparu. Il n’avait plus aucun pouvoir. C’était devenu un cracmol. Devant l’étrangeté de la situation, je l’ai assommé pour l’examiner. Et après avoir placé mes mains au-dessus de son corps, j’ai réussi à sentir que son cerveau était en pleine manipulation et perte de contrôle par l’action du virus. Les potions que je lui avais donné l’ont aidé à ne pas tomber dans la folie mais non en aucun cas fait disparaître le virus. Au contraire, avec les heures, il s’était répandu jusqu’au cerveau et avait fait littéralement un lavage de cerveau à mon patient et lui avait fait perdre tous ses pouvoirs. Ma plus puissante magie n’a pas pu lui redonner ses pouvoirs mais j’ai réussi à lui redonner la raison après qu’il ait essayé de me tuer avec tous ce qu’il trouvait à portée de main parce que mon crime était d’être une sorcière.
Lorsqu'elle s'interrompit pour reprendre son souffle, elle me regarda de nouveau, son regard était de nouveau moins fou qu'avant, elle semblait moins habitée que quelques secondes plus tôt. -J’en suis à trois cas depuis le début de la semaine. En résumé, nous avons un virus qui est injecté dans le sang des sorciers, par qui, je ne sais pas et qui a pour effet de les mettre en premier temps dans un état très critique de folie et de fièvre puis dans un deuxième temps de les plonger dans une folie meurtrière envers ses semblables et troisième étape, de les priver de pouvoirs magiques. J’ai réussi à maîtriser les deux étapes seule mais la dernière, je ne sais pas comment faire ou procéder. Je n’ai jamais connu ça et mes ancêtres non plus, n’ont jamais eu à faire à ce virus-ci. Ma magie même la plus puissante et la plus blanche de ne pas leur rendre leurs pouvoirs C’était comme s’ils n’avaient jamais existé en eux. Tu comprends ? - Je crois oui ! répondis-je tandis que Jane s’assit sur mon bureau pensive en se massant les tempes. - J’ai besoin de toi pour m’aider à trouver une potion pour annuler la dernière étape et rendre leurs pouvoirs aux sorciers. Je te demande de m’aider à créer une potion de A à Z en très peu de temps…pour sauver notre communauté magique. Si les sorciers se retrouvent sans pouvoirs par les temps qui courent, nous cesserons d’exister. Bon sang mais de quoi parlait-elle ? Ce qu'elle venait de me raconter était trop fou pour être possible. - Jane, tu ne crois pas que tu grossis la situation ! Tu te rends compte de ce que tu suspecte ? Une maladie ou non plutôt un virus aurait été crée pour nous annihiler ?
Je m'éloignais en marchant comme je le faisais dès que je réfléchissais intensément. Je fis le tour de mon bureau et pris quelques flacons ainsi qu'un chaudron sous lequel je mis le feu d'un mouvement de baguette. Sans dire un mot, je me mis à mélanger les différentes liquides que contenait les fioles puis me déplaçait vers deux bocaux dans lesquels je prélevais, dans l'un deux feuilles de ciprès, et dans l'autre, un bout d'aile de chauve souri que je jetais dans le chaudron tout en mélangeant 3 fois à droite puis 2 fois à gauche. Une fois la potion prête, je pris une louche et versais le contenu dans un verre que je tendis à Jane. - Bois, cela enlèvera ta migraine. Crois-moi sur parole, c'est très efficace dis-je en me reculant afin de m'accouder contre l'une des paillasses. Jane. Je ne sais pas ce que tu crois affronter mais personne n'est capable de créer ce que tu viens de me décrire et surtout je ne vois pas comment lutter contre. Elle me regardait calmement avalant par petite goulée ce que je lui avais préparé. - Et puis j'oubliais mais je ne peux pas sortir du château pour le moment, Sylvius souhaite que nous restions tous enfermé ! terminais-je en la regardant dans les yeux. | |
| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Lun 26 Fév - 20:23 | |
| - J’ai besoin de toi pour m’aider à trouver une potion pour annuler la dernière étape et rendre leurs pouvoirs aux sorciers. Je te demande de m’aider à créer une potion de A à Z en très peu de temps…pour sauver notre communauté magique. Si les sorciers se retrouvent sans pouvoirs par les temps qui courent, nous cesserons d’exister.
- Jane, tu ne crois pas que tu grossis la situation ! Tu te rends compte de ce que tu suspecte ? Une maladie ou non plutôt un virus aurait été créé pour nous annihiler ?
- Je ne te permets pas ! Pour qui te prends-tu à la fin ? Je ne suis pas une de tes élèves Mat Dursley mais bien la directrice de Saint-Mangouste et la plus grande guérisseuse de ma génération. Alors tu n’as pas intérêt à remettre en cause mon avis médical et professionnel ! Est-ce assez clair pour toi ? répondis-je les yeux flamboyants de colère mais ma voix glacial.
Il se mit à s’affairer dans son laboratoire en prenant tous les ingrédients qui tombaient sous sa main. Il préparait une potion. C’était bien le moment, …vraiment !! Je me retins de dire quelque chose mais je me levais de ma place dans l’optique de partir. Venir ici n’était décidément pas une bonne idée. Je me débrouillerai toute seule. Remonter à cette perspective, je fis mes premiers pas vers la porte sans prendre congé quand Mat se mit devant moi en me tendant un verre remplit de potions.
- Bois, cela enlèvera ta migraine. Crois-moi sur parole, c'est très efficace dit-il devant ma mine sceptique et mauvaise tout en se reculant afin de s'accouder contre l'une des paillasses. Jane. Je ne sais pas ce que tu crois affronter mais personne n'est capable de créer ce que tu viens de me décrire et surtout je ne vois pas comment lutter contre.
J’essayais de me calmer et pour cela prit une gorgée de sa concoction même si je n’étais pas persuadé que ce n’était pas une sorte de somnifère pour me faire taire et dormir. Je le regardais pour essayer de capter ses émotions et pour comprendre son attitude.
- Et puis j'oubliais mais je ne peux pas sortir du château pour le moment, Sylvius souhaite que nous restions tous enfermé ! termina-t-il en me regardant dans les yeux.
- Et alors ? Où est le souci ? Dis plutôt que tu es très bien où tu es et que tu ne veux pas bouger de ton antre où tu es si tranquille, où personne n’ose te déranger et où tu peux te lamenter à loisir ! C’est plus facile que d’essayer de faire quelque chose de sa baguette et de ses neurones ! lançais-je en une pique mauvaise tout en faisant un geste de la baguette. Je sais ce que je dis et je suis sûre de mon diagnostic. Oui ça paraît fou et c’est pourquoi j’ai attendu tout ce temps avant d’en parler à quelqu’un et oui, je sais que c’est presque impossible mais il y a une petite part d’espoir et je sais qu’il faut la saisir. Si tu ne veux pas venir avec moi, très bien ! J’irais sans toi. Après tout, je ne sais pas pourquoi, je suis venue.
Sur cette dernière tirade, on frappa à la porte et quelques instants plus tard, Sylvius apparut à la porte. Il avait donc bien reçu mon message. Il avait fait vite !...
- Sylvius, il faut que l’on parle. Je dois te dire quelque chose et j’espère que tu feras preuve d’un peu plus de croyance et de jugeote sur ce que je vais te dire et sur mes capacités | |
| | | Sylvius Césarius Directeur Poudlard
Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Mer 28 Fév - 21:27 | |
| Tranquillement assis à mon bureau, je traitais les mille et un tracas que ce magnifique endroit qu'était Poudlard me donnait. Je dis cela mais au fond, je ne changerais pas cela pour tout l'or du monde. Cet endroit était ma maison, son personnel ma famille, ses élèves mes enfants et encore plus en ces temps de crise où j'étais séparé des miens, partis se réfugier sur l'ile de Pandora chez l'oncle de Mafalda.
- Albus, ils me manquent ! Le portait dans lequel se trouvait le grand homme s'agita et une voix en sortit - C'est normal Sylvius, cela fait un temps qu'ils sont partis. Mafalda me manque aussi, j'aimais beaucoup les conversations qui nous avions elle et moi ! Je souris, car elle m'avait souvent raconté qu'elle et lui avait de nombreuses discutions philosophique de tout ordre.
- Je sais Albus ! Je sais, je dois vous apparaître bien ennuyeux alors. - Mais non Sylvius et puis j'aime te voir t'occuper de ma descendance. - Parlons en de votre descendance, elle me cause bien des soucis dis-je ne soupirant. - Ah oui !? me coupa Albus.
Je me lançais alors dans le récit de ce qui c'était passé dans le grotte et des mesures que j'avais alors prises pour mettre le château à l'abri. - Tu as bien fais Sylvius. Ta priorité ce sont les élèves et la paix avec les moldus. Rien ne compte plus que cela désormais. J'allais répondre mais un elfe de maison m'apporta un message.
- Merci Fabuius dis-je à l'elfe avant de commencer la lecture. Je la repliais et me tournait vers le tableau de Dumbledore. - Désole Albus mais je dois vous laisser, on m'attends, une affaire à priori urgente. - A plus tard Sylvius ! me répondit le grand homme avant de s'assoupir de nouveau.
Je me levais puis sortis de mon bureau afin de prendre la direction des cachots. Là bas, je frappais à la porte du cachot qui servait de bureau et de classe à Mat puis en ouvris la porte. A l'intérieur, j'y trouvais Jane Harrinton et Mat en pleine conversation. - Sylvius, il faut que l’on parle.
- Oui, c'est ce que disais ton message. - Je dois te dire quelque chose et j’espère que tu feras preuve d’un peu plus de croyance et de jugeote sur ce que je vais te dire et sur mes capacités. - Je n'ai jamais douté de tes capacités Jane mais si j'en crois tes propos, il semblerait que mon maître des potions oui. Il se trouve que j'ai une grande confiance en lui ainsi qu'en ces capacités.
Je rentrais un peu plus dans la classe et tout naturellement me dirigeait vers la place qui m'avait si souvent accueillie lorsque j'étais élève. - Mais dit moi Jane, qu'est ce qui t'amène au sein de Poudlard que j'avais pourtant interdit à tous les visiteurs ! dis-je sur un ton bienveillant mais ferme afin de bien faire comprendre à Jane qu'au sein de cette enceinte j'étais le seul maître à bord.
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| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Mer 7 Mar - 15:55 | |
| - Sylvius, il faut que l'on parle
- Oui c'est ce que disait ton message.
- Je dois te dire quelque chose et j'espère que tu feras preuve d'un peu plus de croyance et de jugeote sur ce que je vais te dire et sur mes capacités.
Je n'ai jamais douté de tes capacités Jane mais si j'en crois tes propos, il semblerait que mon maître des potions, oui. Il se trouve que j'ai une grande confiance en lui ainsi qu'en ses capacités termina-t-il en n'allant s'installer sur une chaise qui devait être la sienne en témoignait la tendresse qui détendait les traits du directeur.
- Mais dis-moi Jane, qu'est-ce qui t'amène au sein de Poudlard que j'avais pourtant interdit à tous les visiteurs! ajouta Sylvius en se donnant un air ferme de maître des lieux.
Je secouais la tête d'agacement mais également avec une pointe de rire.
- Je ne suis pas dans vos histoires avec le Ministre, Sylvius. Je n'en ai rien à faire et Saint-Mangouste me prend beaucoup de temps et me suffit amplement! S tu veux qu'on se jauge en maître des lieux, ça sera sans moi, vraiment (air épuisé). Ta barrière est très efficace et j'ai dû utiliser La Grande Magie pour y pénétrer pendant un laps de seconde. Je ne suis pas là pour ça! J'ai besoin...j'AVAIS besoin de l'aide de Mat mais il ne veut pas me la donner et il ne me croit pas. C'est quelque chose d'important Sylvius.
Je me plaçais devant lui face à sa table et me penchais. J'ai relaté alors dans les moindres détails ce que je venais d'expliquer à Mat, en prenant mon temps, en donnant les détails les plus anodins et en insistant sur ce que j'avais fait et les symptômes mais aussi sur les symptômes des malades et les conséquences. Surtout les conséquences! Au fil de la conversation, je vis les émotions se succéder sur le visage du directeur.
J'attendis avec impatience, une réaction, une parole mais je voulais surtout qu'enfin, quelqu'un me croit et prenne en compte mon point de vue!
- Je suis vraiment sûr Sylvius. Je sais de quoi je parle! J'ai besoin de trouver un antidote à ce mal pour pouvoir nous sauver. Le conflit armé n'a peut-être pas commencé mais le conflit en lui-même a déjà commencé, j'en suis certaine. Vas-tu me donner ton soutien ou ignorer mes mises en garde??
J'implorais insidieusement les deux hommes présents dans la pièce car le temps était compté. Je le savais au plus profond de moi. | |
| | | Sylvius Césarius Directeur Poudlard
Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Jeu 22 Mar - 21:03 | |
| Après avoir fini de parler, je me laissais reposer sur la chaise et attendais sa réponse. Sa réaction ne se fit pas attendre. Après un signe d'agacement, elle commença à me parler de ce qui la préoccupais.
Elle m'expliqua qu'elle avait besoin de Mat pour l'aider à résoudre une énigme de la plus haute importance. Je restais sans bouger à l'écouter très respectueusement afin de ne pas la froisser. Je n'avais aucune envie qu'elle me refasse une colère ou une crise, j'en avais assez eu ces derniers temps.
Je tiquais cependant lorsqu'elle m'expliqua que Mat ne voulait pas l'aider. Je connaissais bien mon professeur de potion, mon ami et je savais qu'il était très préoccupé des autres et avait la main sur le coeur. S'il avait refusé son aide, je ne doutais pas qu'il avait ses raisons.
Jane se rapprocha et se pencha vers moi. Elle me relata dans les moindres détails ce qui l'amenais là et ce qui l'effrayais. Ce qu'elle me disait avait une résonance inattendue en moi. Mon esprit d'ancien historien (lors de ma période "je vis parmi les moldus") cherchait des liens entres des événements passés et ceux qu'elle me racontait et j'en vis plusieurs. Les symptômes qu'elle me racontait résonnait mais je la laissais poursuivre jusqu'au bout sans l'interrompre.
- Je suis vraiment sûr Sylvius. Je sais de quoi je parle! J'ai besoin de trouver un antidote à ce mal pour pouvoir nous sauver. Le conflit armé n'a peut-être pas commencé mais le conflit en lui-même a déjà commencé, j'en suis certaine. Vas-tu me donner ton soutien ou ignorer mes mises en garde??
Je ne savais pas quoi répondre, mon coeur était partagé. Si elle avait raison, qu'elle prouvait ses dires et que les modlus étaient mouillés là dedans, alors la guerre allait se déclencher. Elle ferait rage décimant des milliers de personnes. Mais ne rien faire, ce serait renoncer à sauver mes frères sorciers. Lui donner raison c'était condamner mes frères moldus. Parfois j'aurais aimé ne pas être de sang mélé, ne pas être d'une des familles les plus puissantes de la planète ! Le poids des responsabilités étaient entrain de m'écraser mais je devais rester fort.
Je me levais en soupirant puis me déplaçais vers les paillasses où s'entassaient les potions. Ce lieu m'apaisait, j'y avais passé tant et tant d'heures merveilleuses à chercher des remèdes, potions et filtres différents.
- Jane, je suis très touché par ce que tu viens de me raconter. Vraiment ! J'ai besoin de mon côté de faire des recherches dans des vieux parchemins. Je ne sais pas si tu as raison ni où cela va nous amener mais je laisse Mat décider de ce qu'il doit faire. Il y a bien longtemps qu'il n'est plus mon disciple et qu'il vole de ces propres ailes.
En face de moi, Mat me regardait sans dire un mot, à vrai dire nous n'avions plus besoin de nous parler, nous nous comprenions sans le faire.
- Mat, fais ce que ton coeur et ta raison te dicte, je respecterais ta décision. Jane, je te remercie de ta visite lui dis-je le sourire plein de malice. Si tu as besoin de rester au château, dis le à Mat et nous prendrons des dispositions pour te faire préparer un appartement. Sur ce, je vous laisse dis-je en me dirigeant vers la porte du cachot. | |
| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Ven 23 Mar - 13:49 | |
| Alors que je soufflais après ma longue tirade, je cherchais du regard Sylvius mais aussi Mat pour savoir si j'avais réussi à convaincre l'un et interpellé l'autre. Si, ces deux personnes, ne croyaient pas en moi, je ne saurais pas vers qui me tourner. Mais un moment de réflexion me permit de prendre conscience que même si personne n'était derrière moi ou avec moi; j'irais tout de même faire cette expédition pour trouver un remède et je créais cette potion inédite en un temps record. Je le devais! Je n'avais pas le choix. Le temps de réflexion me parut si longue mais je comprenais le dilemme du DIRECTEUR de Poudlard. Je savais qu'il était de sang-mêlé et qu'il avait vécu auprès des moldus pendant quelques années; ce qui ne pouvait qu'accentuer ses sentiments envers les moldus mais je savais qu'il n'oubliait pas non plus son côté sorcier.
Je me frottais les tempes en fronçant les sourcils et là Sylvius prit la parole. Je levais la tête, prêt à entendre ce qu'il allait dire.
- Jane, je suis très touché par ce que tu viens de me raconter. Vraiment!! J'ai besoin de mon coté de faire des recherches dans des vieux parchemins. Je ne sais si tu as raison ni où cela va nous amener mais je laisse Mat décider de ce qu'il doit faire. Il y a bien longtemps qu'il n'est plus mon disciple et qu'il vole de ses propres ailes.
- Ta réponse ne me satisfait pas complètement car elle me laisse encore dans le flou mais ce n'est mieux que rien. S'il décide de partir avec moi, tu le laisseras quitter l'enceinte du château alors?? demandais-je du fait que Mat avait mis cette difficulté en avant.
Sylvius ne me répondit pas directement mais se tourna vers Mat
- Mat, fais ce que ton coeur et ta raison te dicte, je respecterais ta décision. Jane, je te remercie de ta visite dit-il avec un sourire malicieux en se tournant vers moi. Si tu as besoin de rester au château, dis-le à Mat et nous prendrons des dispositions pour te faire préparer un appartement. Sur ce, je vous laisse, et il se dirigea vers la porte du cachot.
Mat et moi, nous nous retrouvâmes seul dans le cahot. Un silence s'installa lentement. L'adrénaline descendue, je m'assis sur une table, épuisée. Cela faisait plusieurs semaines que je ne dormais pas. Je murmurais alors pour moi-même mais aussi pour Mat
- Ma raison de vivre était de guérir, de soigner et de protéger ma communauté. Ce n'était pas mon métier mais une vocation, le but de ma vie. Comment pourrais-je vivre si je ne fais rien aujourd'hui?? Je ne peux pas... (silence). Le comprends-tu?? J'ai besoin de toi sinon, je ne serais pas venue à cette heure mais si tu ne veux pas ou si tu ne peux pas, je te laisserai et partirai immédiatement. | |
| | | Mat Dursley Professeur de potion
Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Sam 5 Mai - 19:09 | |
| Les explications entre Jane et Sylvius mon mentor ne durèrent pas longtemps. Quelques minutes à peine. De toute les façons, j'en connaissais déjà l'issue, Sylvius refuserait que je quitte l'école. Il voulait tellement protégé les gens qu'il aimait que j'étais condamné à resté ici jusqu'à la fin des hostilités.
Combien de fois nous étions nous affronté sur le sujet mais rien n'y faisait. Et comme mon grand cousin Harry Potter refusait lui aussi de me laisser prendre des risques du coup, je n'avais aucun allié vers qui me tourner.
A la fin de leur échange, contre toute attente, se tourna vers moi pour me dire
- Mat, fais ce que ton coeur et ta raison te dicte, je respecterais ta décision. J'en avais le souffle coupé tant je m'attendais au contraire. - Sylvius, c'est si grave que cela ? Mon mentor et ami ne me répondit par et poursuivit en se tourant vers Jane. - Jane, je te remercie de ta visite lui dit-il avec un sourire malicieux. Si tu as besoin de rester au château, dis-le à Mat et nous prendrons des dispositions pour te faire préparer un appartement. Sur ce, je vous laisse, et il se dirigea vers la porte du cachot.
Jane et moi, nous retrouvâmes seul dans le cahot. Un silence s'installa lentement.
- Ma raison de vivre était de guérir, de soigner et de protéger ma communauté. Ce n'était pas mon métier mais une vocation, le but de ma vie. Comment pourrais-je vivre si je ne fais rien aujourd'hui?? Je ne peux pas... (silence). Le comprends-tu?? J'ai besoin de toi sinon, je ne serais pas venue à cette heure mais si tu ne veux pas ou si tu ne peux pas, je te laisserai et partirai immédiatement.
Je m'approchais doucement d'elle et lui relevais la tête en posant mon doigt sur son menton. - Oui Jane je comprends. Sincèrement, je ne pense pas que ta théorie tienne le coup compte tenu du fait que les Moldus n'ont jamais eu le niveau pour comprendre notre don. Ceci dit, Sylvius semble assez inquiet pour me laisser les coudées franches. J'en conclu qu'il te croit et cela me suffit. Par où veut tu commencer ? Souhaite tu que je nous fasse ouvrir la bibliothèque du château, elle regorge de livres que tu ne trouvera pas ailleurs.
Mon cerveau commençait à se mettre en marche cherchant quel livre nous serait utile, quel remède nous permettrait d'avancer, à quel ami je pourrais faire appel. D'un seul coup, je remarquais que mon doigt était toujours posé sur le menton de Jane, mes yeux plongés dans les siens ce qui pouvais être maladroit de ma part. - Heu , Heu dis-je en retirant prestement ma main. Tu veux coucher chez moi ce soir...heu non pardon, je voulais dire, souhaites tu que je te fasse préparer un appartement où tu as prévu autre chose ? dis-je très gêné.
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| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Sam 22 Juin - 15:15 | |
| - Ma raison de vivre était de guérir, de soigner et de protéger ma communauté. Ce n’était pas mon métier mais une vocation, le but de ma vie. Comment pourrais-je vivre si je ne fais rien aujourd’hui ?? Je ne peux pas…. (silence). Le comprends-tu ?? J’ai besoin de toi sinon, je ne serai pas venue à cette heure mais si tu ne veux pas ou si tu ne peux pas, je te laisserai et partirai immédiatement.
Je restais la tête baissée, toute énergie désertant mon corps. C’est alors que j’entendis les pas de Mat sur le carrelage brut, humide et froid des cachots. Il s’approchait doucement de moi et me souleva le menton avec son doigt pour que son regard croise le mien.
- Oui Jane je comprends. Sincèrement, je ne pense pas que ta théorie tienne le coup compte tenu du fait que les Moldus n’ont jamais eu le niveau pour comprendre notre don. Ceci dit, Sylvius semble assez inquiet pour me laisser les coudées franches. J’en conclu qu’il te croit et cela me suffit. Par où veux-tu commencer ? Souhaites-tu que je nous fasse ouvrir la bibliothèque du château, elle regorge de livres que tu ne trouveras pas ailleurs.
Je réfléchissais à la proposition de Mat. Déjà, Sylvius n’était plus un obstacle et apparemment l’autorisation et l’écoute que le directeur de Poudlard m’a octroyé suffisait au maître des potions. Et cela me suffisait ! J’avais déjà franchi une étape. Je regardais Mat dans les yeux pendant quelques instants et un silence gênant s’installait entre nous surtout que mon collègue avait laissé ses doigts sur mon menton m’empêchant de baisser de nouveau la tête. J’étais quelque peu rougissante et intimidée d’un coup comme une petite fille alors que ce n’était que Mat et pas un étranger.
- Heu, heu dit-il en retirant prestement sa main. Je compris qu’il était aussi mal à l’aise que moi ce qui me rassura quelque peu, me sentant moins gamine. Tu veux, coucher chez moi ce soir….heu, non pardon, je voulais dire, souhaites-tu que je te fasse préparer un appartement où tu as prévu autre chose ? termina t-il encore très gêné par cette proposition maladroite.
- Je veux bien dormir ici…à Poudlard, je veux dire. Je suis partie un peu précipitamment mais rien ni personne ne m’attends à la maison à part Rouky mais la plupart du temps il est en forêt et il pourra venir ici, si ce n’est pas gênant pour l’école et les élèves.
Je me levais, lui sourit et lui plaqua lentement un bisou doux sur la joue.
- Merci Mat. Je n’ai plus cette migraine et tu m’octroies ton concours même si tu n’es pas encore convaincu…mais cela viendra bien assez tôt. Je réfléchis quelques instants en posant mon doigt sur le coin droit de ma lèvre, un toc que je ne me défaisais pas. Tu penses vraiment que la bibliothèque de Poudlard pourra nous aider, alors que je n’ai rien trouvé dans les manuscrits et les mémoires de mes ancêtres ?? C’est à mon tour d’être sceptique, Mat.
Nous nous dirigeons vers la porte tout en continuant à parler.
- Je verrai mon appartement plus tard, si tu es d’accord, je voudrai voir la bibliothèque tout de suite et répertorier avec toi, quels ingrédients pourrai convenir pour annuler les effets de la troisième étape ? Ou peut-être une potion qui pourrai annuler les effets de tous les stades c’est-à-dire, l’annulation de la fièvre, de l’inconscience, de la folie, des envies meurtrières et la disparition des pouvoirs. Cela ne sera pas facile. Plus, on voudra qu’elle neutralise d’effets, plus, elle sera complexe à écrire, à établir, à tester et surtout, est-ce que tu auras tous les ingrédients pour la faire ? Je ne connais pas ton stock mais je connais celui de Saint-Mangouste. Il n’y aura pas de problème pour se fournir là-bas. Et j’ai demandé à recevoir un hibou pour chaque nouveau cas aux urgences qui arriveront. Pendant mon absence, j’ai donné et expliqué le protocole à suivre à mes deux meilleurs chefs de secteur : Docteur Kenaël et Docteur Allauch. J’ai fait suffisamment de potions pour stabiliser les malades mais pas les guérir. Je ne sais pas combien de temps, ils pourront tenir.
Je m’arrêtais au beau milieu d’un couloir et me tournais vers lui, soucieuse.
- Penses-tu qu’on a une chance Mat ? Et tu ne trouves pas que Sylvius n'était pas plus surpris que ça par ma supposition? J'ai eu l'impression qu'il nous cachait quelque chose mais c'est peut-être mon imagination et la fatigue qui m'a fait voir quelque chose qui n'existait pas.
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| | | Mat Dursley Professeur de potion
Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Dim 23 Juin - 20:29 | |
| J'étais parfaitement conscient de mon lapsus envers Jane mais je n'avais jamais été très à l'aise avec les femmes et encore moins depuis la disparition de Téa ! Bon en même temps personne n'était au courant de notre histoire ici et de la suite que nous y avions donné.
De toute façon tout cela n'avait aucune importance avec notre sujet. Je ne sais pas si Jane s'en rendis compte mais sa réponse ne se fit pas attendre. - Je veux bien dormir ici…à Poudlard, je veux dire. Je suis partie un peu précipitamment mais rien ni personne ne m’attends à la maison à part Rouky mais la plupart du temps il est en forêt et il pourra venir ici, si ce n’est pas gênant pour l’école et les élèves dit-elle en se levant. Elle me sourit et déposa un baiser sur la ma joue.
Je rougis comme une pivoine et vint poser la main sur la joue. Elle brulait. "Pourquoi elle a fait cela" me dit ma conscience". "Simplement car j'ai accepté de l'aider" lui répondis-je.
- Ok allons y dis-je en lui faisant signe de me suivre? - Merci Mat. Je n’ai plus cette migraine et tu m’octroies ton concours même si tu n’es pas encore convaincu… - C'est le moins qu'on puisse dire me dis-je tout en pensant à mes propres recherches. - mais cela viendra bien assez tôt continua-t-elle sans se rendre compte que j'étais perdu dans mes pensées. Tu penses vraiment que la bibliothèque de Poudlard pourra nous aider, alors que je n’ai rien trouvé dans les manuscrits et les mémoires de mes ancêtres ?? C’est à mon tour d’être sceptique, Mat. - Jane, je vais te montrer des livres que tu n'as jamais ouverts de ta vie d'étudiante. Ils sont réservés aux professeurs et à certains chercheurs comme le père de Sylvius. Ils en ont trouvés beaucoup lors de leur recherche quand Sylvius à voulu s'éloigner de la communauté magique après la bataille de Poudlard ou tant de ses amis sont morts. Il est possible que nous y trouvions de quoi t'aider. - Je verrai mon appartement plus tard, si tu es d’accord, je voudrai voir la bibliothèque tout de suite et répertorier avec toi, quels ingrédients pourrai convenir pour annuler les effets de la troisième étape ? Ou peut-être une potion qui pourrai annuler les effets de tous les stades c’est-à-dire, l’annulation de la fièvre, de l’inconscience, de la folie, des envies meurtrières et la disparition des pouvoirs. Cela ne sera pas facile. Plus, on voudra qu’elle neutralise d’effets, plus, elle sera complexe à écrire, à établir, à tester et surtout, est-ce que tu auras tous les ingrédients pour la faire ? Je ne connais pas ton stock mais je connais celui de Saint-Mangouste. Il n’y aura pas de problème pour se fournir là-bas. Et j’ai demandé à recevoir un hibou pour chaque nouveau cas aux urgences qui arriveront. Pendant mon absence, j’ai donné et expliqué le protocole à suivre à mes deux meilleurs chefs de secteur : Docteur Kenaël et Docteur Allauch. J’ai fait suffisamment de potions pour stabiliser les malades mais pas les guérir. Je ne sais pas combien de temps, ils pourront tenir. - Oulà Jane, on se calme ! Une véritable mitraillette lui dis-je en souriant. - Penses-tu qu’on a une chance Mat ? Et tu ne trouves pas que Sylvius n'était pas plus surpris que ça par ma supposition? J'ai eu l'impression qu'il nous cachait quelque chose mais c'est peut-être mon imagination et la fatigue qui m'a fait voir quelque chose qui n'existait pas. Je ne laissais rien deviner de mes pensées et arrivait à ne rien laisser paraître. - Je ne sais pas Jane. Tu sais la situation inquiète beaucoup Sylvius et il veut juste préserver l'amour et la paix. Puis pour ne pas rester sur le sujet, je glissais vers autre chose. Commençons pas la bibliothèque alors mais avant j'ai un ami à prévenir. Kénoé ? Un plof annonça l'arrivé d'une nouvelle présence dans le couloir. - Bonjour Monsieur ! - Bonjour Kénoé ! - Que puis-je faire pour vous jeune Monsieur. - Pouvez-vous préparer l'appartement qui se trouve dans le couloir des invités pour Miss Harrison ? Kénoa regarda Jane avec le regard de celui qui jauge. C'était un Elfe libre, il était difficile de savoir ce qu'il pensait mais comme je le savais très affecté par la disparition de la jeune demoiselle, je devinais qu'il évaluait la situation. - Il en sera fait comme vous le demander ! - Merci dis-je en me penchant afin de lui serrer la main. Il la serra, me rendit mon salut puis disparut dans un nouveau plop. - Jane allons y ! Allons nous occuper de l'étrange maladie qui frappe notre communauté. Nous avançâmes vers la bibliothèque en croisant des élèves qui couraient dans tous les sens. Lorsque nous arrivâmes dans la bibliothèque, je saluais la biblothèquaire d'un franc sourire qu'elle ne me rendit pas comme à son habitude et j'emmenais Jane avec moi par un escalier connu seulement des professeurs qui nous amena dans une sous pente couverte de rayonnage où tronaient des dizaines de rouleaux de parchemins et de grimoires poussiereux | |
| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Mer 3 Juil - 18:33 | |
| J’ai eu l’impression qu’il nous cachait quelque chose mais c’est peut-être mon imagination et la fatigue qui m’ont fait voir quelque chose qui n’existait pas
- Je ne sais pas Jane. Tu sais la situation inquiète beaucoup Sylvius et il veut juste préserver l’amour et la paix. Commençons par la bibliothèque alors mais avant j’ai un ami à te présenter.
J’avais compris que Mat ne voulait pas s’éterniser sur le sujet du directeur de l’école et je me demandais bien pourquoi. Toujours à faire des surprises, ces deux là, aussi loin que je me souvienne. Je haussais imperceptiblement les épaules. Après tout, tout ce qui n’était pas lié à la magie guérisseuse, ne m’intéressait que très moyennement. C’était mon rôle et il me suffisait amplement. Je n’en voulais pas d’autre au monde et c’est pour cela que j’étais là. Je ne devais pas l’oublier. Tant qu’ils ne mettaient pas au point une arme pour tuer, je n’avais pas envie de me mêler de leurs secrets. Un « PLOF » me fit revenir au moment présent et annonça l’arrivée d’un elfe de maison devant nous. Il commença à saluer Mat qui lui renvoya son salut poli.
- Que puis-je faire pour vous jeune Monsieur.
- Pouvez-vous préparer l’appartement qui se trouve dans le couloir des invités pour Miss Harrinton ?
Je regardais Kénoé et le saluais avec un mouvement de la tête.
- Bonjour à vous Kénéo déclarais-je tout en haussant les sourcils devant le jugement de ce petit être que je ne connaissais même pas. Je me demandais bien ce qui me valait cette méfiance voir hostilités.
- Il en sera fait comme vous le demander ! finit par dire Kénoé.
Je suivis cet échange sans rien dire ni bouger. J’espérais seulement que ma chambre sera vraiment préparée et que je n’aurai pas de mauvaises surprises dans les placards, sous le lit ou encore dans le lit. - Jane, allons-y ! Allons nous occuper de l’étrange maladie qui frappe notre communauté.
- Je suis venue pour ça !
Nous avançâmes vers la bibliothèque en croisant des élèves qui couraient dans tous les sens. Je souriais devant cette précipitations des jeunes années, râlant contre les devoirs de plusieurs parchemins et pressés d’être à la fin de l’année pour ne plus en avoir ainsi que les examens. Dans la salle la plus silencieuse de l’école, on tomba nez à nez avec la bibliothécaire qui restait aussi neutre voir revêche depuis toutes ces années de service. Je suivis Mat à travers les rayonnages jusqu’au fond de la pièce où il me fit monter un escalier dissimulé qui devait être seulement connu des professeurs et de la bibliothécaire et qui emmena dans une sous pente très poussiéreuse tout comme les étagères avec les grimoires et les parchemins, dessus. Je devais reconnaître que je ne connaissais pas l’existence de cette partie du fond de Poudlard.
Je me dirigeais vers le fond de la sous pente pour prendre une chaise toute cabossée. D’un coup de baguette, je la rendis confortable et m’installais dessus après avoir pris quelques parchemins au titre prometteur comme « Tous les antidotes du monde magique », « Comment guérir les maux magiques », « Potions & poisons pour sorciers », « Plantes toxiques chez les sorciers », etc.
- De mon côté, je vais commencer par ceux-ci, Mat.
Je me plongeais dedans en espérant trouver quelque chose. Je commençais à regarder le sommaire dans l’espoir de trouver un mot clé qui allumera une lumière dans mon cerveau mais pour l’instant, rien ne me sauta aux yeux. Une heure plus tard et après deux grimoires parcourus, je soufflais et levais la tête pour voir ce que faisais Mat. Je le trouvais en pleine concentration au-dessus d’un parchemin. Je sentis une vague d’espoir et de reconnaissance avant de me lever et de chercher de nouveaux écrits à me mettre sous la dent.
Alors que je promenais mes doigts sur les tranches des grimoires, une suggestion de ma conscience stoppa net mon geste. Je venais de la plus longue lignée de guérisseur et guérisseuse du monde magique. Ma famille avait mis au point une particularité qui nous permettait d’échanger entre nous, même avec nos plus lointains ancêtres.
- Et s’ils pouvaient m’aider à trouver un écrit qui puisse nous aider dans nos recherches ? murmurais-je pour moi-même. Si je pouvais gagner du temps dans les recherches de ce genre, on aura beaucoup plus de temps pour trouver les ingrédients, faire le voyage et effectuer une assez grande préparation et tout cela dans un temps le plus court possible même si je compte au moins 3-4 mois.
Ma décision prise, à l’écart, je fis apparaître une multitude de bougies en forme de cercle. Je me plaçais dedans, les allumais et fermais les yeux tout en régulant ma respiration pour qu’elle soit lente. Et murmurais :
« Ancêtre Harrinton, vous qui avez voué votre vie à la protection et la guérison des plus faibles. Entendez mon appel et mes prières. J’ai besoin de vous et de votre savoir Pour venir à bout d’une maladie meurtrière Alors venez continuer votre devoir ».
Un silence s’installa avant que mes ancêtres fasse leur apparition un par un.
- Alors, ma fille, pourquoi as-tu besoin de nous ?
- Pour ce dont je vous ai parlé hier. J’ai eu deux autres cas du même genre aujourd’hui répondis-je en me levant. Je suis allée chercher Mat Dursley, professeur de potion et maître dans cet art pour qu’il m’aide à mettre au point un antidote contre les effets. Voici Mat, Mat voici la plus grande partie des guérisseurs de ma famille. Je pense qu’ils peuvent nous aider à faire les recherches pour aller plus vite tout en étant efficace. Qu’en dis-tu ?
Au vue des nombreux grimoires et parchemins encore non-consultés, je ne pouvais qu’être sûr de mon choix. Comment une sous pente pouvait-elle accueillir tant d'ouvrages et pourquoi, les élèves n'avaient pas le droit d'y accéder et pourquoi ils n'étaient pas dans la réserve avec les ouvrages interdits de consultations sans l'autorisation écrite d'un professeur? Je posais les questions à Mat.
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| | | Mat Dursley Professeur de potion
Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Mar 23 Juil - 9:24 | |
| Nous venions d'arriver dans la sous pente (très biscornue je dois dire) qui me paraissait de plus en plus pentue. A vrai dire j'avais l'impression que le château jouait avec nous. Jane regardait surprise cet endroit qu'elle ne connaissait pas puis sans perdre de temps m'indiqua qu'elle allait commencer par un côté de la pièce qu'elle m'indiqua.
Je la laissais faire et me mit au travail à mon tour. - Après tout me dit ma conscience, un regard neuf pourra peut-être vous être utile à Sylvius et toi dans votre affaire !!! Décidément, la conscience, il serait temps que tu apprennes à te taire me dis-je ne souriant.
Alors que j'étais plongé dans un vieux grimoire me racontant la vie fantastique des Elfes, je vis Jane se raidir puis se mit à murmurer. je ne comprenais pas ce qu'elle disait mais elle murmurait. On aurait dit une vieille folle qui radotait. Inquiet, j'allais m'approcher lorsqu’elle ré ouvrit les yeux et sembla parler dans le vide comme la folle qu'elle semblait être en train de devenir. - Bon sang me dit ma conscience, elle a pété un cable ! Elle a pas résisté à la violence de cette putain de guerre ! Je ne savais pas si ma conscience avait raison mais je savais qu'on ne pouvait pas se permettre de perdre la directrice de Saint Mangouste dans un moment pareil. J'allais intervenir lorsque je vis apparaître devant moi des sortes de "fantômes". Oui ! Oui ! Je sais ce que vous allez penser mais je suis tout à fait sain d'esprit. Je sais encore ce que je vois !
- Alors, ma fille, pourquoi as-tu besoin de nous ? dit l'une des apparitions. - Pour ce dont je vous ai parlé hier. J’ai eu deux autres cas du même genre aujourd’hui répondis Jane en se levant. Je suis allée chercher Mat Dursley, professeur de potion et maître dans cet art pour qu’il m’aide à mettre au point un antidote contre les effets. Voici Mat !
Je m'apprétais à dire bonjour à un fantôme lorsque Jane reprit. - Mat voici la plus grande partie des guérisseurs de ma famille. Je pense qu’ils peuvent nous aider à faire les recherches pour aller plus vite tout en étant efficace. Qu’en dis-tu ? - Ce que j'en dis ??? Jane c'est incroyable ! En même temps, je la regardais différemment. Attiré des esprits c'était de la magie dite noire ! D'un seul coup, je me demandais si nous n'avions pas fait rentrer le loup dans la bergerie et que le traître dont nous nous méfions n'étais pas en face de moi. - Pas faux ! me dit ma conscience tandis que dans le même temps, je me résonnais. Non impossible, sa réputation est sans tâche et le boulot qu'elle fait à Saint Mangouste est incroyablement bon. - Oui ajouta ma conscience. Mais justement un traître sait duper mieux que quiconque et cela pendant de nombreuses années s'il le faut. Je ne savais plus quoi penser et tout cela m'intriguais mais je n'en montrais rien. Jane me regarda de nouveau et me demanda pourquoi cette sous pente était interdite. Je décidais de faire fi de mes doutes après tout ce que j'allais lui révéler avait peu d'importance puisque nous avions presque trouvé une solution à notre problème. Plus rien ne pourrait nous arrêter dans notre tentative. - Ce lieu est réservé à un très petit nombre Jane. C'est le résultat de centaines d'années de recherche. Cela s'est accéléré depuis que Sylvius est ici. Son père et lui après la première guerre ont sillonné le monde comme archéologue pour faire ses découvertes. Jane me regardais sans rien dire. - Je ne sais pas comment tu dire cela Jane mais Sylvius est persuadé depuis la fin de Melkor qu'en fait rien n'est fini. Il savait que quelque chose se préparait, il sentait les forces de l'ombre se renforcer. C'est pour cela qu'il a réactiver l'ordre des reliques de la mort, qu'Hermione, Harry, Ron et les autres sillonnent le monde. La fin du secret n'a fait que le renforcer et la posture défensive et de repli de Sylvius n'est qu'un stratagème, une diversion. Je voyais les yeux de Jane s’agrandir de surprise. - Et surtout ne vient pas me parler de culture du secret Miss Harrigton pas après que je vienne de découvrir que tu pouvais faire revenir les morts ! Ce qui, ce dit en passant, explique bien des choses. Et maintenant explique moi comment des fantômes peuvent nous être utiles ? | |
| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Mar 20 Aoû - 1:07 | |
| - Alors, ma fille, pourquoi as-tu besoin de nous ?
- Pour ce dont je vous ai parlé hier. J’ai eu deux autres cas du même genre aujourd’hui répondis-je. Je suis allée chercher Mat Dursley, professeur de potion et maître dans cet art pour qu’il m’aide à mettre au point un antidote contre les effets. Voici Mat ! Mat voici la plus grande partie des guérisseurs de ma famille. Je pense qu’ils peuvent nous aider à faire les recherches pour aller plus vite tout en étant efficace. Qu’en dis-tu ?
Je cachais bien mes sentiments mais j’étais quelque peu inquiète car c’est la première fois que j’avais appelé mes ancêtres devant un tiers et je pouvais facilement passer pour une folle et je ne savais pas comment réagirai Mat, surtout lui, assez terre à terre et vieux jeu pour un Serdaigle.
- Ce que j’en dis ?? Jane c’est incroyable !
Il avait beau dire et exprimé une grande joie mais je voyais bien qu’il n’était pas à 100% rassuré mais je ne comprenais pas pourquoi. Qu’est-ce que signifiaient ces regards en coin ? Je me disais bien qu’il y avait bien trop de secrets par ici. Je secouais la tête car il ne fallait pas que je me laisse distraire par mon objectif. Mat était juste là pour m’aider à aller plus vite. Je déjouais la conversation en demandant à Mat la raison de l’interdiction de cette sous-pente. Je pensais, comme tout le monde, qu’il n’y avait que la réserve qui était interdite et que tous les ouvrages non-consultables étaient dedans.
- Ce lieu est réservé à un très petit nombre Jane. C’est le résultat de centaines d’années de recherche. Cela s’est accéléré depuis que Sylvius est ici. Son père et lui après la première guerre ont sillonné le monde comme archéologue pour faire ses découvertes.
Ce lieu se révélait être l’endroit idéal pour trouver quelque chose que je n’avais pas dans ma collection personnelle et que je n’avais pas trouvé en bas. Je fus quelque peu déçue que Sylvius ne m’en avait pas encore parlé sachant que tout cela pourrait m’être utile dans mon travail. Apparemment on ne me faisait pas confiance à Poudlard. J’espérais au fond de moi que ce n’était pas le cas à Saint-Mangouste. Je savais que j’étais là depuis quelques années mais que dans les institutions cela était jugées encore récent mais je me sentais blessée dans mon amour propre, je dois bien l’avouer.
Je n’étais peut-être pas restée impassible car Mat me regarda et après un petit silence gêné, il commença sa tirade en marchant sur des œufs.
- Je ne sais pas comment te dire cela Jane mais Sylvius est persuadé depuis la fin de Melkor qu’en fait rien n’est fini. Il savait que quelque chose se préparait, il sentait les forces de l’ombre se renforcer. C’est pour cela qu’il a réactivé l’ordre des reliques de la mort, qu’Hermione, Harry, Ron et les autres sillonnent le monde. La fin du secret n’a fait que le renforcer et la posture défensive et de repli de Sylvius n’est qu’un stratagème, une diversion.
Ma surprise était grande et je ne le cachais même pas. Depuis tout ce temps, Sylvius pensait que l’ombre n’était pas fini. Mais pourquoi, ne rien dire ? Pourquoi ne pas nous préparer et chercher ensemble un moyen d’y mettre fin plus tôt ?!!J’allais ouvrir la bouche quand Mat me coupa l’herbe sous les pieds, en répliquant.
- Et surtout ne vient pas me parler de culture du secret Miss Harrinton, pas après que je vienne de découvrir que tu pouvais faire revenir les morts ! Ce qui, ce dit en passant, explique bien des choses. Et maintenant explique moi, comment des fantômes peuvent nous être utiles ?
- Je trouve que tu es bien gonflé Mister Dursley insistais-je bien sur le Mister Dursley tout en mettant mes mains sur mes hanches. Je n’ai jamais caché, à qui me le demandait, comment je faisais pour savoir un si grand nombre de choses sur ma lignée et sur leur magie. Je ne deviens pas la meilleure guérisseuse de Grande-Bretagne, voir plus, en claquant des doigts. Je me calmais. Et ça n’a absolument rien à voir. Ce que je peux faire, n’impacte que moi ; alors que, vous et vos secrets, impactent sur tout le monde et concernent tout le monde insistais-je encore une fois sur les mots concerner et tout le monde. Attends un peu !! Qu’est-ce que ça veut dire : « Cela explique bien des choses ? » Insinuerais-tu que je suis folle, Mister Dursley ? Je n’espère pas, mon cher ! Et puis, je ne les fais pas revenir à proprement parlé. C’est plus compliqué que ça et cela n’a rien à voir avec de la magie noire et donc je ne suis pas une espionne de l’ombre. Une guérisseuse perd son pouvoir si elle devient mauvaise et utilise la mauvaise part de la magie martelais-je du doigt la poitrine du maître des potions.
Je m’assieds sur une chaise et répondis à sa question.
- Ils peuvent enregistrer le contenu d’un livre en mettant leurs mains au-dessus et en récitant une incantation tout en joignant leurs mains pour que le savoir soit partagé entre toute la lignée. Cela évite le monopole du savoir. Alors ?
- Pourquoi, il serait contre ma fille ? A moins que ce soit un simple d’esprit rétorqua mon arrière grand-mère, tout en s’approchant au point de « toucher » le nez de Mat ; et il me semble pas que tu sois un benêt, jeune homme. Je me trompe ?
Je ris sous cape. Très grand maman n’avait pas changé même au-delà de la mort et c’était rassurant pour moi. Après la réponse de Mat, elle commença à venir vers moi mais elle fit volte-face et toisa de nouveau Mat.
- Si tu penses encore une fois que ma jolie et talentueuse petite-fille soit une mauvaise guérisseuse, tentée par les voix de l’ombre et la partie noire de la magie, tu te souviendras de moi, mon garçon. Je reconnais, elle est encore célibataire à son âge, ce qui est une tare mais elle n’est pas pour autant une mauvaise femme.
Je rigolais moins
- Très grand maman !! Arrête !! On n’est plus au temps des dinosaures ! On a des choses plus importantes à voir. Bougez-vous au lieu de discuter maugréais-je en me mettant à sortir des grimoires et des parchemins, à la fois pour avancer dans ma quête mais aussi pour cacher ma rougeur honteuse devant les paroles de ma chère très grand maman devant un collègue. Non, mais la honte de ma vie. Non, mais j’ai l’impression d’avoir 14 ans à nouveau alors que j’en avais 28. Ça craint ! Je fis deux piles, une des grimoires et une des parchemins.
- Les ancêtres vous vous occupez des grimoires, plus long et nous, les parchemins, plus rapides. Ok, Mat ?
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| | | Mat Dursley Professeur de potion
Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Mer 21 Aoû - 9:46 | |
| Je venais de dire mon effarement à Jane devant son talent et je venais aussi de lui révèler quelques informations qui jusqu'à présent n'étaient connus que d'un tout petit nombre. Le secret était la source de la réussite de l'opération que nous menions depuis des mois au sein de la communauté magique. Sylvius était un joueur d'échec, il aimait avoir plusieurs coups d'avance. Hermione aussi. Avec ces deux là, on pouvait dire qu'on voyait loin. J'attendais donc la réponse de Jane. Je n'arrivais pas à sentir s'il avait perçu la pointe de suspicion qui s'était emparé de moi. A priori non ! - Je trouve que tu es bien gonflé Mister Dursley me dit-elle en insistant sur ce dernier point. Je ne relevais pas et la laissais continuer. Elle m'expliqua qu'elle n'avait rien laissé caché et que tout cela était connu. Enfin, elle m'expliqua en quoi ses ancêtres allaient pouvoir nous aider. C'est alors que les spectres, appelons les comme cela se mirent à parler. - Pourquoi, il serait contre ma fille ? A moins que ce soit un simple d’esprit rétorqua une très vieille femme en s’approchant de moi au point de « toucher » mon nez ; et il me semble pas que tu sois un benêt, jeune homme. Je me trompe ? Je reculais d'un pas, mon regard ne quittait pas Jane et machinalement, je serrais ma baguette dans mon veston. Je connaissais un ou deux sorts efficaces contre les fantômes, mais je n'étais pas sûr que cela fonctionne dans le cas présent, alors je me détendis surtout que les spectres détournèrent leur attention vers Jane. - Vous ne vous trompez pas ! répondis-je, même si cela me faisait bizarre de parler dans le vide. - Si tu penses encore une fois que ma jolie et talentueuse petite-fille soit une mauvaise guérisseuse, tentée par les voix de l’ombre et la partie noire de la magie, tu te souviendras de moi, mon garçon. Je reconnais, elle est encore célibataire à son âge, ce qui est une tare mais elle n’est pas pour autant une mauvaise femme. - Vous ne me faites pas peur vieille femme dis-je avant de poursuivre en souriant. Pour ce qui est de la vie sentimentale de Jane, je ne penses pas que cela soit liée mais je ne la connais pas assez pour vous éclairé sur le sujet. Jane reprit alors la main et houspilla le fantôme avant de faire deux piles, une des grimoires et une des parchemins. - Les ancêtres vous vous occupez des grimoires, plus long et nous, les parchemins, plus rapides. Ok, Mat ? - Si tu veux dis-je en me retenant de rire devant sa mine gênée. Je séparais la pile en deux puis d'un léger coup de poignet, fit venir ma pile à moi. Je m’asseyais sur la petite chaise qui servait souvent à Perceval, le père de Sylvius, pour lire. Je lus de nombreux parchemins sans rien trouvé de concret. Je commençais à avoir mal aux yeux lorsque je tombais sur un parchemin intéressant intitulé "Manifeste de potion interculturel" écrit par un certain modlu du non de "Aurélanius Machicoulis". Il n'y avait aucune information sur la provenance, l'origine ou la date du document ce qui m'étonnait car Sylvius et Perceval étaient particulièrement méticuleux. - Datatium y révélio dis-je en pointant ma baguette sur le parchemin qui s'eleva de la table. Une feuille apparut au début de l'ouvrage. Je la lus. Le parchemin datait de l'an mille, et avait été écrit par un moldu qui se pensait magicien, il avait écrit d'une main incertaine un manifeste où il tentait de créer des potions qui en mêlait la science moldu de l'époque et des connaissances certaines en potions. - Comment ce moldu pouvait-il avoir ce niveau de connaissance me dis-je avant de me tourner vers Jane. Je crois que j'ai trouvé quelque chose lui dis-je la voix tremblante devant ce que je lisais. J’avais en face de moi une table des matières précises détaillant tout un tas de potion censé "affaiblir" ou "neutraliser" les pouvoirs des sorciers que son inventeur jugeait dangereux pour l'espère humaine. | |
| | | Jane Harrinton Bakkali Directeur de St Mangouste
Date d'inscription : 26/12/2014 Messages : 186
| Sujet: Re: Un remède pour la communauté magique Dim 10 Nov - 18:17 | |
| - Les ancêtres vous vous occupez des grimoires, plus long et nous, les parchemins, plus rapides. Ok, Mat ?
- Si tu veux
Mat sépara la pile que je venais de faire encore en deux pour que nous nous partagions le travail. Je hochais la tête et commençais à lire parchemins par parchemins pour essayer de trouver un élément qui me mettrait un lutin de cornouailles à l’oreille. J’avais beau potasser tous ça pour l’instant, rien d’intéressant ne venait étayer ma suspicion ou plutôt ma certitude et encore moins un remède contre ce mal qui n’est encore que mon intuition. Je commençais à ressentir un certain malaise devant ces recherches infructueuses.
C’est à ce moment-là que Mat murmura des choses à l’autre bout de la pièce. Je relevais la tête calmement, intriguée par le silence rompu et j’attendis discrètement. Il finit par relever la tête.
- Je crois que j’ai trouvé quelque chose déclara t-il la voix tremblotant légèrement.
Intriguée, je fronçais les sourcils car pour qu’il soit dans cet état, il devait effectivement avoir lu quelque chose qui le troublait. Je pressais le pas et traversais la pièce sans plus attendre pour mettre la main sur le parchemin. Je lui pris des mains et je vis le titre « Manifeste de potion interculturel » d’Aurélanius Machicoulis , un moldu.
- Comment un moldu peut écrire un manifeste sur les potions questionnais-je intriguée.
Je continuais en n’attendant pas de réponses car le titre venait de me sauter au visage et quand je fis un lien entre la condition moldue de l’auteur et le mot « interculturel », je me dis que Mat était tombé exactement sur quoi je voulais. Je lus attentivement la suite pour en avoir le cœur net. Un coup d’œil attentif à la table des matières me confirma mes craintes. Ce moldu avait bien créer des potions qui avait pour but d’affaiblir ou neutraliser les pouvoirs des sorciers après les avoir rendus malade fous et agressifs. J’avais devant moi les travaux d’un moldu voulant anéantir la race magique et qui avait travaillé pour pouvoir réaliser son but.
Je finis de lire avant de baisser lentement le parchemin en regardant Mat.
- J’avais donc bien raison. Je ne m’étais pas trompée…mais comment est-ce possible et pourquoi personne n’en a jamais parlé ??? C’est incompréhensible Mat…
Je farfouillais en vitesse, magiquement, les autres parchemins avec l’aide de mes ancêtres et nous trouvâmes un autre manuel de ce moldu qui avait perfectionné ses potions et les effets de ces dernières. De nombreuses indications expliquaient la préparation de chaque potion et les ingrédients nécessaires à chacune. Nous en avions une dizaine ainsi.
Mes ancêtres trouvèrent une biographie de ce Machicoulis et elles nous racontèrent que ses travaux n’avaient pas été pris aux sérieux par ses semblables et qu’il était considéré comme fou. Il lui a fallu de nombreuses années pour mettre aux points ses potions et encore plus pour les essayer sur une sorcière qu’il avait réussi à amadouer pour pouvoir lui faire ingérer ses potions pour vérifier leurs efficacités. Sa réussite fut éclatante et fort de son succès , il le fit connaître auprès des instances religieuses pour pouvoir traquer les sorcières durant la chasse aux sorcières. A cause de ses travaux de nombreuses sorcières virent leurs pouvoirs neutraliser et leurs vies abrégées par la même occasion.
Je fronçais les yeux de colère. Jamais on nous avait raconté cette partie de l’Histoire. Jamais ! Je sais qu’on nous cachait quelque chose mais là, c’était des évènements d’une importance vitale pour notre espèce. Je me tournais alors mes ancêtres.
- -Comment se fait-il que vous ne m’ayez rien dit ?! - - Nous ne le savions pas Jane… - - Comment est-ce possible ? Vous avez le savoir de toute notre lignée et donc de l’histoire ! Vous ne pouvez pas ne pas savoir. - - Jane… - - A quoi ça sert d’avoir un contact avec sa lignée si elle nous cache des choses. - - Quand une guérisseuse perd ses pouvoirs, son savoir et ses expériences ne se transmettent pas à la lignée. - - Comment ça ? - - Ton arrière arrière arrière arrière arrière etc grand-mère Bérénilde a perdu ses pouvoirs et elle est morte peu de temps après. Nous n’avions jamais su comment et une fois morte, elle n’a jamais pu nous dire ce qui s’était passé….Maintenant, nous comprenons… - - ça signifie qu’elle s’est fait piégée et avoir avec ce Machicoulis ?! - - Il semblerait oui. - - Comment ??!! - Jane !! Une guérisseuse doit sauver et aider ses semblables et ceux qui en n’ont besoin. Elle est morte en faisant son devoir ! Respect jeune fille ! - - Oui très grand mama.
Je demandais si elles avaient trouvé autre chose dans les grimoires mais rien. Mat avait finit sa pile et moi également. Nous n’avions donc qu’un parchemin et un grimoire sur cette affaire. Aucuns sorciers ou sorcières depuis l’an mille n’avaient trouvé de remède contre ces potions. C’était hallucinant ou pas…si on prend en compte le fait que personne n’était au courant à part quelques personnes sur le volet. Ces dernières avaient-elles essayées?
- Mat ?! Nous avons la composition des potions et les effets de chacune d’elle. J’ai eu 4 patients et ils sont victimes de ces quatre potions. Nous devons trouver un remède à ces potions ! En détaillant les ingrédients et la préparation de chacune, nous pouvons trouver les ingrédients qui pourraient annuler les effets de chacune mais si nous pouvions faire qu’un seul antidote, ce serait plus rapide, plus pratique. A toi de me dire si c’est possible ou si un remède égal une potion…
Je gardais le silence puis je m’exclamais
- Sylvius était au courant Mat et il n’a rien dit du tout ! Il n’était même pas étonné quand je lui ai expliqué contrairement à toi ! Et il savait pour ces parchemins ! Pourquoi, il n’a rien dit ?!! Tout est écrit. Tout! Le nom des potions, les effets de chacune, les ingrédients, où les trouver, la préparation et l’absorption... Comment nos ennemis ont pu tomber dessus?! Alors que nous venons de les trouver, nous?? et qu'est-ce qu'ils savent?
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