Forum basé sur l'univers d'Harry Potter ! Notre secret a été percé à jour : les modlus savent que nous existons et la guerre a commencé
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Merci à tous de penser à cliquer sur CHAQUE ETOILE TOP SITE lors de vos visites pour faire connaître notre forum
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

 

 Upside down

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Upside down   Upside down EmptyLun 30 Mar - 16:47

Depuis que nous avions nos enfants, c’est-à-dire, un an et demi ; Thaddée était très demandeur, même si je n’étais pas en reste non plus, sur le plan sexuel. J’avais bien l’impression que 8 mois sans pouvoir me faire véritablement l’amour l’avait comme rendu insatiable et fou de sexe. Je ne vais pas le cacher, ça ne me déplaisait pas. J’aimais les caresses coquines et j’aimais faire l’amour avec mon homme.  Pourquoi, dans ces cas-là, se restreindre ? Aucune ne me venait à l’esprit. Nous profitions alors de chaque moment libre pour passer du bon temps, du très bon temps ensemble.



Il nous arrivait de laisser les enfants au bon soin de la famille ou de Dolores pour filer tout de suite dans ma chaumière et s’envoyer en l’air comme des jeunes amoureux transis d’amour et de sexe. Une fois ne suffisait jamais, on remettait ça immédiatement après. Ça en était délirant. Chaque endroit où nous pouvions le faire, nous le faisions et permettez-moi de le dire. TOUS les endroits se prêtaient au sexe, il suffisait d’avoir un minimum d’imagination et….nous en manquions pas avec Thaddée ! Loin de là… 



Aujourd’hui, Elvira et Ezra était en week-end chez mon père, à la campagne dans le Derbyshire. Mansour était chez ses grands-parents maternels. Dolores avait le week-end car elle voulait en profiter pour voir ses petits enfants. Nous voulions aller voir comment les réparations à Poudlard se passaient. Un miracle! Mais….Nous étions seuls. Une fois que mon père eut franchi le seuil de notre porte. Il y eut un moment de flottement de quelques secondes avant que je tourne la tête vers Thaddée et qu’il me regarde également. Puis, comme poussé par un aimant doublé d’un ressort, je me retrouvais dans les bras de Thadée. Nous nous embrassions, nous nous dévorions la bouche avec un appétit sauvage et une fougue plus que passionnée. Tout en continuant à s’embrasser, j’enlevais le tee-shirt de mon homme pendant qu’il faisait la même chose à mon haut.  Une seconde nos bouches durent se séparer mais elles se rattrapèrent au vol avec encore plus d’envie si cela était possible. Nos langues se mêlèrent avec frénésie et une ardeur jamais égalée jusque là ; comme des loups, affamé depuis des semaines, sur une proie. Je bloquais la tête de Thadée en la plaquant pour ne pas qu’il puisse reculer. Je ne pensais qu’à ses lèvres sur les miennes, à sa langue autour de la mienne en train de danser la guigne. C’était comme ci je voulais l’avaler entier. Je finis par lui tirer les cheveux pour reprendre mon souffle. Je sentais que j’avais les lèvres gonflées, les joues en feu, la langue qui venait de faire un marathon mais le regarder, il était dans le même état que moi, ne faisait qu’attiser mon désir sauvage et animal. Nous nous ne prîmes pas le temps d’aller dans une autre pièce et encore moins le temps d’enlever nos vêtements amoureusement et tendrement. Aussi vite que je le pus, j’enlevais le reste de mes vêtements, rempart à ma nudité. Je me retrouvais complètement nue, dos à la porte d’entrée, les pieds sur le tapis moelleux de l’entrée, fiévreuse de désir pour l’homme nu devant moi, musclé au bond endroit, les yeux agrandis et dilatés de désir tout comme son sexe aussi droit et tendu qu’une baguette ; qui ne laissait place à aucun doute quand à son sentiment et à ses envies en ce qui me concernait.



Je souris de toutes mes dents tout en lui faisant un regard peu farouche et sensuel. Avec mon index, je lui fis signe de s’approcher de moi, victime consentante de ce qui allait se passer. Victime ou bien actrice, car je n’étais pas en reste sur ces jeux-là. Il n'était pas question qu'il soit le seul à prendre son pied. Il allait voir que je savais exactement ce que je voulais. Oooh oui, j'avais des idées bien précises et claires!
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyMar 31 Mar - 21:02

Bon, d'accord, je l'avoue. La vie de famille, ça me plait bien finalement.
Aller au travail, remplir mes missions avec la Salamandre et rentrer à la maison sachant que je retrouverai mes enfants et ma fiancée entrain de m'attendre pour diner les merveilleux repas que nous préparait Dolores... Tout ça, c'était une chose que je n'imaginais pas avoir, et pourtant !

Mais voilà, cela fait maintenant un an et demi qu'Ezra et Elvira étaient nés. Rappelez vous, nous avions eu la nouvelle Jane et moi au bout de six mois de relation dont seulement 2 mois en tant que couple officiel. Et durant les 8 mois de grossesse de Jane (8 mois car ils sont nés prématurémment), sur le plan sexuel, ce n'était pas vraiment tout à fait ça...
Il est certes vrai que durant les deux premiers mois de grossesse, nous couchions ensembles encore et encore sans jamais nous lasser, mais après, je dû me contenter de masturbations et de fellations.

En revanche, maintenant, et même une semaine après leur accouchement, je dois bien dire que Jane s'occupait très bien combler chacune de mes envies les plus animales. J'étais extrêmement demandeur, ma libido aillant toujours été assez élevée depuis tout jeune, et Jane était toujours partante pour une partie de jambes en l'aire.
Partout, à tous moments, toutes les excuses étaient bonnes pour nous amuser à notre manière. De notre maison en Espagne, jusqu'à sous le bureau de Jane à St'Mangouste en passant par la salle de bain de chez mes parents et le lit de Ronald, son beau frère.

Nous laissions souvent nos magnifiques bambins entre les mains de Dolores, ou chez l'un ou l'autre des membres de notre famille, pour pouvoir profiter de quelques éclipses dans la chaumière de Jane pour ne rien faire d'autre que, disons le une bonne fois pour toutes: Baiser ! Ou plutôt faire l'amour devrais je dire, car en effet, même si Jane et moi faisions appels à toutes les pratiques sexuelles possibles et imaginables et réalisables à deux, nous le faisions toujours avec amour et respect envers l'autre. Nous voulions que chaque ébat soit une partie de plaisir et non pas un protocole à suivre.

Un jour, mon beau père vint chez nous à Desengaño 21 pour chercher les jumeaux et les emmener passer l'après midi au zoo et au parc puis chez lui pour le reste du week end. Jane et moi étions d'autant plus d'accord car nous avions prévu d'aller voir comment avançaient les travaux de reconstruction de Poudlard. Mehdi m'avait dit que mon bureau était déjà prêt alors je voulais voir à quoi il ressemblait.
Hors, dès que mon beau père eut le dos tourné, un petit silence planna au dessus de nos têtes et comme des âmes sœurs que nous étions, il a fallu un échange de regard pour me retrouver avec Jane entre mes bras, ses lèvres dévorant les miennes et nos lèvres dansant la salsa. Main main descendit le long de son dos jusqu'à ses fesses que je serrai avec force, tandis que mon autre main remontait sous son T-shirt le long de sa colonne vertébrale, direction le soutient gorge.
Dans ce début d'échanges brûlant, Jane bloqua ma tête pour que je ne puisse plus la bouger et me plaqua contre le mur. Je finis par dégommer le soutient gorge et je l'aidais à enleverèson T-shirt.

Elle était seins nus devant moi et elle revint à la charge contre mes lèvres, me tirant les cheveux tandis que je déboutonnais mon jean, avant que je ne l'envois valser je ne sais vers quel côté de la pièce. Jane se détacha de moi et colla son dos à la porte d'entrée, un regard coquin et aguicheur sur ses yeux et un sourire capable de faire fondre la glace. Elle avait fini de se déshabiller et me laissait le temps de faire de même. Elle voulait que je lui donne du spectacle ! Je commençais alors à enlever doucement mon T shirt, laissant apparaître mes abdos bien tracés mais sans être creusés, sous le nombril, une épaisse trainée de poils descendants jusqu'à mon sexe venait ajouter une pincée de virilité à mon corps musclé. Plus haut encore, des pectoraux bien droits et raides vinrent ajouter une petite touche de relief, mes tétons tendus à cause de l'excitation. Jane se touchait en me regardant, toujours collée à la porte, elle bougeait sa main en cercles et insérait ses doigts dans son vagin en gémissant tandis que je continuais mon petit strip tease. Arriva finalement le moment où, caressant mon sexe de ma puissante main, je commençais à retirer en douceur le boxer qui dessinait un parfait relief de mon membre en érection le long de ma jambe, et quand il arriva en fin au sol, je vis Jane qui fixait avec extase mon pénis généreux en longueur comme en largeur, droit et dur comme une branche de bois, aillant nulle autre proie que Jane. Des veines gonflée à bloc par l'excitation que je ressentais faisaient paraître mon pénis aussi musclé que moi, les poils tout autour et en abondance lui donnaient un aspect encore plus sauvage et menaçant. Il était décoré d'une petite cicatrice, minuscule due à ma circoncision, mais c'était tant mieux, elle ne fesait que lui donner un air plus agressif encore.

Oui, je parle de mon sexe comme si je parlais d'une personne, mais quel homme dans ce monde ne fait pas cela ?! Jane me fit signe d'approcher avec son index. J'obéis docilement à sa demande et une fois collé à elle, nous nous embrassâmes encore et encore, passionnément tandis qu'elle me caressais le pénis de bas en haut pour maintenir cette chaleur.

Étant une personne qui aime donner plus que recevoir, je la soulevais par surprise et pis ses jambes sur mes épaules, son sexe se retrouvant immédiatement en face de mon visage. Elle rigolait me demandant de la faire descendre mais ses mains commencèrent à me caresser la tête puis à me tirer les cheveuc lorsque j'entamais un cunilingus. Elle adorait cela. Mes mains était sur ses côtes pour la maintenir en équilibre contre le mur tandis que je léchais et mordillais doucement son vagin, son clitoris, la faisant grimper en température. Je ne pouvais la voir mais je sentais son corps se tordre de plaisir et ses gémissements et son souffle coupé m'encourageaient à continuer.

Sa partie intime était humide... L'odeur de son vagin lavé á l'eau de rose, mélangé à cette odeur de sexe en chaleur affolait mes hormones, m'obligeant à la porter jusqu'au divan de l'entrée, prêt à la pénétrer mais une fois posée, elle prit le relai.
Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyJeu 9 Avr - 21:25

A ma demande de l’index, Thaddée obéit docilement et se déplaça rapidement pour finir, collé à moi, contre la porte d’entrée. Nous ne cessions de nous embrasser avec fougue et passion et pour augmenter encore la fièvre du moment, excitée, je descendis ma main le long du ventre de Thaddée pour chercher son sexe. Une fois trouvé, je commençais à faire des mouvements lents et mesurés en laissant quelques secondes de flottement après chaque descente pour bien maitriser son désir et sa fièvre.
Tout à mon jeu, je fus surprise lorsque mes pieds ne touchèrent plus le sol ; ce qui me fit pousser un petit cri. Je ne m’y attendais pas mais mon fiancé me souleva comme si j’étais une plume et me plaça sur ses épaules. Je m’accrochais alors à sa tête tout en rigolant devant ce comportement.

-          Descend moi Thaddée ! Qu’est-ce que tu fais ?? Je vais tomber ! Allez, lai….
Je me tus immédiatement quand je sentis la langue de Thaddée. Je fis un « ooh » avec ma bouche mais aucun son n’en sortit. Je fermais les yeux et commençais machinalement à lui caresser les cheveux en me plaquant au rythme qu’il donnait à ses ronds. Plus, je sentais les mouvements circulaires ou pas d’ailleurs, plus je sentais que je perdais des forces dans les muscles, me laissant aller et plus je tirais les cheveux de Thadée à chaque montée de plaisir ; qui était de plus en plus fréquentes. 
J’avais toujours eu un faible, un gros faible pour les cunilingus de Thaddée. Il les faisait merveilleusement bien et ça me rendait tremblante de plaisir plus qu’aucune autre pratique.  Vacillant, Thaddée me plaquant contre le mur, je pus ainsi m’y appuyer et surtout m’y laisser aller surtout qu’il me tenait également. Plus, il continuait et plus je ressemblais à une poupée de chiffon, plus j’étais perdue dans un océan de plaisir et plus je m’entendais gémir me concentrant que sur les mouvements que subissaient mon sexe.

-          C’est pas dieu possible…. !
Je sentais que je redescendais et je repris peu à peu mes esprits. J’ouvris alors les yeux pour voir Thaddée qui me transportait vers le divan de l’entrée près à rentrer en moi. Une fois qu’il me lâcha, je souris et le poussais gentiment mais fermement sur le divan.

-          A ton tour, mon gars ! Ne bouge pas ! m’écriais-je en me dirigeant vers la cuisine, nue. Je trouvais ce que je voulais, j’enlevais ce que je n’avais pas besoin et retournais dans le hall où Thaddée n’avait pas bougé d’un yota.
Je cachais ce que j’avais pris sur la commode et me mis sur lui, à califourchon telle une cavalière qui va dresser un bel étalon. Je commençais à le caresser doucement sur le torse dans un mouvement lent et presque imperceptible. Il ne devait sentir que le tracé de mon doigt sur ses poils. Je le fixais et avec un sourire calculateur, je me penchais pour l’embrasser sur la bouche, puis je me redressais pour le regarder, puis je me baissais à nouveau pour l’embrasser dans le cou. Des petits baisers court mais chargé d’érotisme. Je continuais mon manège sur ses épaules, son torse, son ventre, son bas-ventre et ses cuisses avant de remonter lentement en prenant soin de frotter mes seins contre son corps et surtout sur son sexe tendu. Là, je pris le temps de faire des mouvements circulaires autour de son membre. Une fois que je le sentis bien tendu, contente de moi, je me redressais et me levais pour attraper ce que j’étais allée chercher dans la cuisine : une clémentine.
Je me positionnais de nouveau au-dessus de lui et je mangeais un quartier en prenant mon temps tout en le regardant. Je venais de le titiller et là, je faisais exprès de le faire languir et attendre. Plus il était impatient et mieux c’était pour l’étape d’après.

-          Un vrai régal murmurais-je à la fois pour la pensée de ce que j’allais faire et pour la clémentine.
Je pris un deuxième quartier et là, je posais le quartier froid sur un des tétons de Thaddée. Je le sentis tressaillir au contact froid. Puis, je pressais un peu pour que le jus sorte et vienne sur le téton de mon cher amoureux. Satisfaite, je mangeais le quartier et en fixant Thaddée du fond de mes yeux, je commençais à lui lécher la peau en un mouvement lent et aspirant.  Sa réaction me plut assez pour que je continue mon petit jeu sur l’autre téton, sur son ventre et son sexe. Là, je répartis du jus un peu partout tout en le caressant puis, je mangeais mon quartier en riant. Et enfin, je pris son membre entre mes doigts et je commençais à l’engloutir entièrement afin de commencer à le lécher par le bas et à descendre lentement par mouvement circulaire vers le bas, vers la pointe, la partie sensible quand on était si tendue de désir. Une fois arrivée en bas, je m’attardais un peu en comptant mes tours de langue : 1….2….3…..4 en les faisant de plus en plus doucement. Une seconde d’immobilité, l’impatience de Thaddée face à mon arrêt avec un sourire, je remontais d’un coup jusqu’en haut en faisant une sensation d’aspiration par la même occasion. J’accélérais mon mouvement de haut en bas puis, je changeais et revins au mouvement circulaire en tenant le sexe de mon homme entre ma main droite pour tirer légèrement afin que ma langue soit bien sentie. Je jouais aussi avec la façon dont je le touchais avec la langue. Par moment, j’utilisais toute la surface de ma langue mais par moment, quand je voulais le faire monter plus, je n’utilisais que le bout et d’un mouvement accéléré puis lent comme un curseur d’attente.
Finalement, ce petit jeu excitait au plus au point mon partenaire et je jouais littéralement en m’arrêtant parfois pour mieux recommencer ce qui ne laissait jamais Thaddée indifférent et j’entendais ses grognements de plaisir à chaque attaque ; mais je n’en pouvais plus non plus, alors en me positionnant bien, je gardais le sexe de Thaddée en main, continuais les mouvements et pendant une seconde d’attente dont je l’avais habitué, j’en profitais pour le faire entrer en moi d’un mouvement leste. Surpris et comme s’il avait été électrocuté, Thaddée commença ses coups de hanche en harmonie avec les miens pour que je puisse le sentir au plus profond de moi. Et c'était le cas "oohhhh" pensais-je. Les premiers coups de reins étaient secs et sauvages presque violents mais j'étais dans le même état d'esprit puis peu à peu, je calmais Thaddée en lui faisant comprendre que je prenais la relève là aussi. Cette partie là, c'était moi; la prochaine, se sera lui, le meneur. Je gardais un rythme soutenu mais d'un coup, quand je sentis Thaddée se tendre même très légèrement, j'arrêtais tout. Il me regarda en fronçant les sourcils "genre, tu fais quoi?" et sourire cruel aux lèvres, je ne répondis rien et attendis encore un peu; et d'un coup, je poussais d'un coup de rein, les yeux agrandis par le plaisir et la remontée du plaisir, Thaddée ressemblait à un poisson avec sa bouche en "o". Je ris aux éclats et je continuais le rythme pendant quelques minutes avant de lui faire le même manège, en le prenant toujours par surprise. J'étais ravie.
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyDim 12 Avr - 0:52

Oh oui quel délice ! Jane se tortillait dans tous les sens au dessus de mes épaules tandis que je redoublais les attaques avec ma langue sur son sexe. Elle était toute trempée et cette odeur de sexe mettait mes hormones en ébullition. Et à chaque fois que qu'elle balançais ses hanches au rythme de ma langue, aux légères morsures sur ses lèvres vaginales, je sentais mon sang circuler dans les veines à la vitesse de la lumière. Ne tenant plus, Mini Thaddée sur le bord de l'implosion, je la fit basculer et la retint avec mes bras pour la porter telle une princesse sur le divan, prêt à rentrer en elle jusqu'à atteindre la vésicule. Mais une fois allongée, j'allais me jeter sur elle pour faire ce que j'avais en tête quand elle me poussa avec ses pieds.

- A ton tour, mon gars ! Ne bouge pas ! - S'écria - t- elle en trottant jusqu'à la cuisine, nue. - Putain, Jaaaaaaane... ! - Appelais je en vain. - Pffff... -  Je m'allongeai sur le divan tenant ma tête avec les mains et les jambes dans le vide. Elle rvevint quelques secondes plus tard et se jeta sur moi à califourchon. Ah enfin pensais - je tenant mon pénis pour le diriger vers son vagin, mais elle commença à me caresser du bout des doigts sur le torse. Seuls mes poils bougeaient à son éffleurement. Je posais mes mains sur ses jambes, d'une blancheur immaculée, douces et soignesement épilées, mes yex dans ses yeux, me mordant la lèvre et la regardant amoureusement. Elle continua son petit manège encore quelques secondes puis sans prévenir, elle me vola un baisé. - Gamine va ! - Pouffais je déçu de ne pas l'avoir vu venir. Elle rigola puis elle attaqua de nouveau, m'embrassant sur le cou cette fois. Puis sur le torse, le ventre, l'intérirur des cuisses, autour de mon sexe, tendu comme un manche à balais. Elle y déposa un baisé sur la pointe qui me fit frémir de la tête aux pieds, m'obligeant à fermer les yeux et faire une moue pour ne pas la retourner immédiatement et rentrer en elle. Son petit jeu m'excitait et j'étais malgré mon impatience, ravi de subir cette torture coquine. - Tu es vrament vilaine Jane... ! - Mais elle ne me répondit pas. Elle posa son doigt sur ma bouche pour me faire taire. Elle continuait son jeu, frottant et plaquant son corps tout fin sur le miens. Ses petits seins et tétons durs d'excitations caressaient ma peau me faisant vibrer à chaque contact sur mon corps. Elle glissait sur moi jusqu'a mon sexe puis remontait. Une fois qu'elle eu finit, pensant qu'enfin j'allais être libéré, elle piocha quelque chose qu'elle avait caché. Une clémentine.

Intirgué, je l'observais prendre un quartier, prnant tout son temps et le manger, sourire amusé sur ses lèvres. - Qu'est ce que tu fabriques ? - Demandais je. - Un vrai régal ! - Elle posa un autre morceau sur mon téton qui se raidit au contact du froid et elle la pressa jusqu'à en sortir le jus. Elle descendit ensuite tout doucement et lécha le jus dessinant des mouvements circulaires avec sa langue puis pris le quartier de clémentine entre se dents pour le manger. Je restais KO de plaisir. Si je n'avais pas arrêter de grogner de plaisir avec son corps glissant sur le miebs et ses baisés épaprpillées partout autour de mon corps, cette petite nouveauté avait bien failli me faire jouir ! J'étais tellement raide que j'eu une crampe à mon pied. Mais cela me plaisait et elle le voyait bien. Elle recommença sur différentes parties de mon corps et je grognait toujours avec autant de plaisir.

Puis, elle pressa entre ses doigts au dessus de mon penis de qui restait de clémentine, l'arrosant de jus, avant qu'elle ne la mange. Elle commencça ensuite à me masturber délicatement avant de commencer par lécher le gland avec la point de sa langue et l'enroulant tout autour puis enfin elle se décida à le prendre entièrement dans sa bouche. - Woooohoow - Soufflais je de plaisir, posant une main sur sa tête pour rythmer ses allées et venues. Mais au bout d'un an et demi de relation, elle comme avions appris ce qui nous faisait plaisir, Elle me suçait délicatement, tout doucement, jouant avec sa langue, s'attardant de temps en temps, faisant monter l'adrénaline en moi, puis elle m'offrait des moments d'extase lorsque engloutissait mon sexe en entier pour une gorge profonde. Elle remontait ensuite en vitesse provocant une sensation d'aspiration et finissant par un "plop"  lorsqu'elle le sortait de sa bouche pour reprendre sa respiration.

Puis, elle se positionna à califourchon de nouveau sur moi, et là, plaçant mon sexe à l'entrée de son sanctuaire, je le sentais pénétrer tout doucement en elle. Ses muscles vaginaux faisaient pression dessus, augmenznt le plaisir. D'abord doucemet, elle commença à accélerer laàczdence toutèen gémissant. Med mains posées sur ses fesses, je la laissais faire son va et vient en essayant à tout prix de ne pas hurler de plaisir dans la maison mais... - Oh oui bébé, continue ! Rah ouais... ! - Je redoublais de violence, donnant des coups de rein secs et rapides, m'adaptant au rythme de ma fiancée, mais arriva un moment où elle freinait la cadence, pour me faire comprendre que c'était elle qui dominait. Mouais... Oh !!! Elle venait de donner un coup si puisant que je sentis mon gland cogner contre sa vessie ! - Oh putain ! - Soufflais je le penis en ébullition. Ça, c'était nouveau ! Elle explosa de rire puis elle recommença son déhanché avant de me refaire le coup, une fois, deux fois et encore et encore.

Ne supportant plus d'être dominé, je me levais brusquement et elle partit en arrière, il n'y avait que le bas de son corps sur le divant, allongée à moitié et le dos, les bras et la tête dans le vide, près du sol. Je la tenais fermemant par les hanches pour ne pas qu'elle tombe et je soulevais le bas de son dos d'au dessus du divan pour placer son vagin à la hauter de mon appareil. (Position Aurore boréale) J'étais à genoux sur le divan moelleux et frottant mon sexe contre son clitoris, je la pénétrait d'un coup sec et violent. Je l'entendis gémir et lacher un petit cris. Et encore une attaque, et une autre, je donnais des coups de rein espacés de quelques secondes puis enfin je partis en vrille. J'accélérais le rythme tandis qu'elle gémissait. Elle était tellement mince que je percevait mon gland se dessiner sous sa peau à chaque fois que je le rentrais entièrement. Ses cris de plaisir me méttaient encore plus dans l'action. Je continuais de lui infliger ces attaques rapides et violentes puis sans crier gard, je la soulevait par le dos et la tirais vers moi pour qu'elle se retrouve de nouveau à califourchon au dessus de moi. À aucun instant mon pénis était sorti de son vagin. Il y était et il y restait !

Tenant ses hanches fermement pour la bloquer, ses mains posées sur mes pectoraux, je commençais à donner des coups de reins doucement pour lui laisser le temps de souffler. Mais de nouveau, j'accélérais la cadence, lui fzisant perdre l'équilibre et elle se retrouva entièrement allongée sur moi, tandis que mes testicules heurtaient sans cesse son périné.
Je m'arrêtais brutalement pour la regarder. Ses cheveux décoiffés me tombaient sur le visage, et ses bras m'enlaçaient au niveau du cou. Un filet de bave glissait sur la commissure de ses lèvres et ses joues étaient rouges d'excitation. Je relevais un peu ma tête pour lui lécher les lèvres tandis que j'entamais un doux vas et viens pour faire durer le plaisir. Elle m'embrassa et nos lèvres s'entre mélèrent, mélangeant no fluides puis, cette fois ci, je la poussis en douceur sur le côté. Mon penis sortit de son vagin et je commençais à descendre avec une trainée de baisés partant depuis son cou jusqu'à son sexe, en passant par ses seins, son ventre, le tour de son nombril et ses cuisses.

Je commençais alors à lui faire un cunilingus de nouveau, insérant un doigt puis un deuxième, et massant son clitoris avec mon pouce. Quand elle fut complétement détendue, et aillant repris nos forces tous les deux, je la bousculais brutalement se retrouvant à plat ventre. Elle ne réagit pas immédiatement. Je je jetais un rapide coup d'oeil pour voir si elle réagirait puis, retirant les cheveux qui lui tombaient sur son visage qui était de profil, elle me lança un regard et un sourire endiablés, qui me mirent en feu. Tout doucement, Jane se mit à quatre pattes et commença à se cambrer. Son corps formait U presque parfait, sa silhouette parfaitement dessinée, ses côte bien tracées et la courbe de ses petits seins bien tendue. Elle était appuyée sur ses coudes et ses avant bras et ses yeux regardaient au loin, attendant que je passe à l'action.
Je ne me fis pas prier. Je serrai ses fesses entre mes deux mains et commençais à entrer en elle. De nouveau, ses lèvres vaginales se plaquèrent sur mon pénis comme des ventouses et et à chaque va et viens, celles ci s'aggrippaient à lui et le suivaient dans ses mouvements. Jane gémissait et criait de plaisir. Tenant sa fesse d'une main, je lui mis quelques claques espacées selon le rythme que je métais dans chaque pénétration. Je pouvait sentir le corps de Jane se raidir et elle se mit à trembler de plaisir lorsque je s.insérais mon sexe si profondément que mes testicules faillirent entrer aussi. Sur le miroir au fond de la salle, je vis ses yeux se fermer, tandis qu'elle se mordait la lèvre inférieure et griffait le divan, alors que je lui pinçait le tétons.

J'avais une vue panoramique sur toute son intimité, et l'envie me prit de changer de porte d'entrer. Je savais que Jane n'aimait pas cela mais je brûlait d'envie de la culbuter. Hors, jamais je ne lui ferai quelque chose sans avoir son autorisation, alors, sans pour autant m'arrêter dans mes mouvements, je réussi à lui demander entre un gémissement et deux soupirs. - Jane...? Ah ! Jane ?! Est ce que... Mmmmm... Est ce que je peux te prendre... Te prendre par derrière?!
Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptySam 25 Avr - 20:27

Bien évidemment, Thaddée n’étant pas du genre à se laisser faire tout le long, il reprit les rênes. Certains hommes avaient dû mal à être dominés et mon cher amour faisait partie de ceux là même s’il me laissait faire de temps en temps. Il se leva donc brusquement me faisant basculer en arrière. Un petit cri de surpris m’échappa et mon corps se tendit en vue de la chute que je pouvais faire mais il me retint et je le frappais au bras pour le punir de sa brusquerie. Je me retrouvais avec la tête et le haut de la poitrine dans le vide pendant que mes jambes se trouvaient encore sur le divan. Je sentis les mains de Thaddée enserrer mes hanches et me soulever un peu. Etant en équilibre précaire, je ne l’ai pas vu venir mais je le senti pénétrer en moi d’un coup sec et violent. Je lâchais un autre petit cri mais cela n’avait rien à voir avec la peur. Au fils de ses va et vient, le plaisir se réveilla, s’échauffa et je gémis. M’entendre avait dû exciter Thaddée encore plus car il accéléra le rythme comme jamais il ne l’avait fait auparavant. Entre mes slaves de plaisir, je me promis de refaire le coup de la clémentine. Puis, je ne pensais plus à rien et me laissais emporter par le plaisir que me donner Thaddée en poussant des cris pour exprimer à haute voix ce qui se passait à l’intérieur de moi. Je subissais des assauts de plus en plus secs et je m’agrippais aux épaules de mon homme tout en lui plantant mes ongles dans sa chair. Sans crier garde encore une fois, je me vis rebasculer entièrement sur le sofa et sur Thaddée. A califourchon. Je crois que j’aimais beaucoup être au-dessus, avoir son homme entre les cuisses et entre nos mains, c’était particulièrement excitant.
J’étais droite et parfois un peu en arrière pour continuer de sentir le sexe de Thaddée en moi pour qu’il continue de m’apporter ce que tout mon corps réclamait à corps et à cris. Je sentis le plaisir venir comme un raz de marée qui engloutit tout sur son passage et avec un long « Ooohhh » et la tête rejetée en arrière, je laissais le plaisir me submerger complètement et délicieusement. Une fois que tout se calma à l’intérieur de moi, je baissais la tête jusqu’au visage de Thadée, en lui effleurant avec mes cheveux en désordre. Je passais mes bras autour de son cou et je l’embrassais amoureusement et langoureusement en jouant avec les muscles de mon vagin pour titiller son sexe qui n’était pas encore redescendu pour lui. J’avais tellement chaud que je devais être rouge. Thaddée me lécha les lèvres et je souris et nous reprimes après quelques instants un doux mouvement pour continuer ce que nous avions commencé. Cela me laissait le temps de reprendre mes esprits et à mon corps à se préparer à un autre round. Pour ça, nous les femmes, avions extrêmement de chance, nous pouvions continuer presque tout de suite après un orgasme contrairement à nos compagnons. Thaddée avait senti que j’étais venue et pour attiser de nouveau la flamme dévorante du désir et du plaisir en moi, il arrêta son déhanché et il se mit sur le côté. Nous étions tous les deux, face à face. Il commença alors à me parsemer de bisous partout, le cou, les seins, le ventre, le nombril pour finir par me titiller comme il savait si bien le faire.  Il me fallut quelques temps pour être de nouveau excitée mais ce fut le cas et je me détendis complètement. Thaddée s’était calmé aussi mais quand je croisais son regard, je vis une lueur diabolique dans son regard et soudainement, il me bouscula sur le ventre. Je dégageais mes cheveux de mon visage et la surprise passée, je lui lançais un regard de côté avec un sourire de diablesse provocante. Je savais qu’il en fallait peu pour réveiller le grand mâle en Thaddée et sa réaction me donna raison car il me regarda comme s’il allait me manger. Je ne fis rien pour arrangé les choses car je me positionnais de manière provocante en me mettant à quatre patte sur le sofa et je l’invitais à continuer. Ni une ni deux, il prit mes fesses entre ses mains et entra en moi avec une facilité stupéfiante. Je m’agrippais au sofa à chaque poussée de Thaddée tout en fermant les yeux et en suivant ses mouvements pour accentuer nos sensations. Le rythme était lent et mesuré mais cela faisait autant d’effet même plus qu’un rythme effréné et soutenu.  Je vins de nouveau et mon corps fut saccadé, les lèvres pincées et les yeux fermés. Je soufflais de ravissement. Epuisée.
Thadée était encore en moi et au loin j’entendis sa voix.

-          Jane… ? Ah ! Jane ?! Est-ce que…..Mmmmmm…Est-ce que je peux te prendre….Te prendre par derrière ?!
Je n’aimais pas ça du tout et je n’avais jamais voulu et j’étais encore réticente encore aujourd’hui mais j’étais déjà venue deux fois et je tenais à faire plaisir à mon homme. J’hésitais. Puis, je me dis que je pouvais essayer aujourd’hui et que si je n’aimais pas, je lui dirai et on arrêtera.
Je hochais simplement la tête pour lui dire oui car je savais que je n’avais pas besoin de lui dire que si je voulais j’arrêterai à tout moment. Je le laissais faire alors. Ce que j’aimais en Thaddée c’était qu’il était un partenaire attentif et doux au moment où il le fallait. Il prit donc son temps pour me détendre au maximum avant de me pénétrer lentement et doucement. La sensation était étrange et moins agréable selon moi mais je sentis Thaddée souffler de plaisir et commencer à bouger doucement. Au début, je ne fis rien puis, je bougeais aussi en suivant ses mouvements. Je ne ressentais aucun plaisir alors je pris les mains de Thaddée pour qu’il me caresse pour avoir au moins ce contact là. Petit à petit, je sentis que les hanches de mon homme allaient de plus en plus vite et bientôt il vint en moi en se tendant comme la corde d’un arc, avec des petits spasmes puis, il se détendit doucement. Il se retira et nous nous allongeâmes sur le sofa de l’entrée pour nous reposer.
Nous restâmes là, un long moment en silence.

-          Je n’ai pas vraiment aimé ça mais j’ai senti que ça t’avais fait plaisir déclarais-je en lui caressant les cheveux au niveau du front.
Je n’avais pas la force de bouger pour l’instant mais j’eus envie de prendre une douche après avoir parlé quelques temps avec mon chéri. Je le poussais alors gentiment car j’étais en dessous et je me dirigeais vers la douche.

-          Je vais me rafraichir en me laver de cette sueur…J’avançais et arriver à l’embranchement du couloir où il ne me verrait plus, je me retournais et lançais : Tu peux me rejoindre après si tu veux.

La sensation de l’eau me fit un bien fou et je restais là, les yeux fermés, savourant la tiédeur de l’eau sur ma peau. Je pris une éponge de bain et je me frottais avec le savon tout en m’asseyant dans la baignoire que j’étais en train de remplir avec des boules de bain pour qu’il soit parfumé. Je m’adossais au rebord de l’immense baignoire en coin que nous avions et me laissais flotter. J’entendis Thaddée venir avant de le voir. Quand j’ouvris les yeux, il était dans l’encadrement de la porte, grand, fort et beau à croquer ; du moins pour moi. Il me faisait fondre à la fois d’amour et de tendresse mais aussi de sauvagerie. Je l’invitais dans le bain. Dès qu’il me rejoignis, je me collais à lui et je posais ma tête sur son épaule et fermais les yeux de bonheur. Juste être là, à ses côtés et sentir notre amour me suffisait. J’étais bien. Je fis apparaître des fruits pour que nous mangions et du jus et de l'alcool pour nous abreuver ainsi que le poste de musique pour que tout soit parfait. Après la sauvagerie et la bestialité un peu de tendresse ça ne faisait pas de mal.

- Je t'aime mon amour. 



Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyDim 26 Avr - 13:57

J'attendis en continuant mon va et viens, la réponse de ma future femme. Sans dire un mot mais tout de même hésitantes, elle hocha la tête me donnant le feu vert pour pénétrer en elle par l'entrée des artistes. Sortant mon sexe de son vagin mouillé et rouge d'excitation, laissant un trou conséquent de la taille du diamètre de mon pénis, je crachais dans ma main et commençais à badigeonner mon sex avec ma salive, faute de lubrifiant. Je commençais ensuite à lécher son anus délicatement, ouvrant la parois rectale avec un doigt pour voir si elle tolérait la douleur. Je la sentais tendue et ses muscles fessiers se contractaient au fur et à mesure que mon doigt avançait. Je le rentrais ensuite doucement, puis, caressant son anus avec la pointe de mon pénis je commençais à la pénétrer en douceur, tout doucement, délicatement. La pression de ses muscles sur mon pénis était énorme et cela accentuait mon plaisir. Sur le miroir en face, je pouvais voir le mimiques de Jane dues à la douleur et se mordant la lèvres pour ne pas crier tout le fermant les yeux. Jane me prit le bras et le dirigea vers son sex, où je me mis à la doigter et la masturber en même temps pour qu'elle ressente du plaisir également même si elle avait déjà jouis deux fois. Une vingtaine de centimètres plus tard, j'étais entièrement dedans. La sensation de chaleur corporelle ajoutée à la pression exercée sur mini Thaddée eurent raison de moi. Quelques mouvement de vas et viens en soufflant comme un bœuf, je jouis en elle comme s'il n'y avait pas de lendemain, me crispant entièrement et hurlant de plaisir, un plaisir qui m'envahit comme des flammes engloutissant une forêt. J'avais atteint l'Himalaya.

Après quelques spasmes pour vider tout le sperme de mon membre viril encore en érection à l'intérieur de Jane, je le pris dans ma main droite et commençais à le retirer en douceur pour ne pas la blesser. Une fois dehors, mon sperme commença a sortir de son anus et couler le long de son vagin, sur son clitoris et à l'intérieur de ses jambes. Je frottais doucement mon pénis dessus pour retirer le sperme en la pénétrait de nouveau, dans son vagin cette fois, pour finir d'évacuer ce qui restait dans mes testicules. Enfin, je m'allongeais sur le divan avec elle, ma tête posée au niveau de son cœur. Nous étions en harmonie. J'écoutais les battements de son cœur tandis qu'elle jouait avec mes cheveux à l'avant de ma tête. Je me mis à poser des baisées sur sa peau et ses son sein gauche, où son téton pointait encore d'excitation.

- Je n’ai pas vraiment aimé ça mais j’ai senti que ça t’avais fait plaisir ! - déclarât-elle toujours entrain de jouer avec mes cheveux. - Ah non? Ce n'est pas agréable la première fois, je suis d'accord, mais après ça donne tout autant de plaisir ! - Dis -je l'oreille collée à son cœur, concentré sur ses battements et ma main caressant le haut de cuisse. Quelques minutes après, elle brisa le silence et la quiétude dans lesquels nous baignions. Elle me poussa gentiment pour se dégager de sous mon poids et se leva, nue - Je vais me rafraichir en me laver de cette sueur…- Je hochais la tête et a voyant nue ainsi devant moi, la réaction de mon pénis ne se fit pas attendre, il gonfla entièrement et je commençais à jouer à le contrôler. Elle dû le remarquer car arrivée au coin de la sortie du salon elle se tourna vers moi - Tu peux me rejoindre après si tu veux.

Je souris et une fois partie, je m'étirais sur le divan pour relaxer tous mes muscles. Ils avaient bien travaillé, même si j'étais prêt à remettre ça ! Un vrai mâle en rûte ! Jamais rassasié ! Joignant toute mon énergie, je me levais nu, aussi, et partir la rejoindre dans la salle de bain de notre chambre, là où la baignoire était la plus grande et conçue pour faire plus de choses à plusieurs que de prendre des simples bains de mousse ! Arrivé au seuil de la porte, je la vis allongée, se caressant la peau délicatement avec une éponge de bain, les yeux fermés, belle à en rendre malade la déesse Vénus... Elle due m'entendre arriver certainement car elle ne tarda pas à ouvrir les yeux et m'inviter à l'intérieur. Je ne me fis pas prier; je rentrais dans l'eau agréablement chaude où ma fiancée était submergée, couverte de mousse et ouvrant mon bras en arc, elle vint se lover auprès de moi. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je commençais à déposer des baisés sur sa tête, enfouissant mon visage dans ses cheveux pour sentir son odeur. Deux fois dans ma vie j'avais eu cette réaction, quand j'étais avec Willow la mère de Mansour et avec Jane, et personne d'autres parmi mes nombreuses conquêtes et aventures d'un soir avec les hommes et les femmes qui furent dans mon lit. Jane fît apparaître des fruits? des jus et de l'alcool pour moi. Un petit whisky ne serait en effet pas de refus ! Je piochais un raisin et le lui plaçais sur la pointe des lèvres, mais voyant justement ces lèvres qui m'appartenaient, je ne pus me résister à l'envie de l'embrasser.

Elle me rendit le baisé et se reposa de nouveau sur moi. - Je t'aime mon amour. - J'en ressentis des frissons ! - Redis moi ça pour voir ? - dis je d'un ton amusé. Elle m'éclaboussa avec l'eau et je ris. - Je t'aime aussi, plus que tout au monde. Et lui aussi à ce que je vois ! - Déclarais-je en riant lorsque mon sexe en érection dépassa la superficie de l'eau, droit, long et dur comme l'Everest, venant briser cet instant d'intimité et de tendresse que nous partagions. Jane le regarda sans broncher et le tint dans la main, commençant à la caresser de bas en haut puis sans rien dire, commença à me sucer la pointe, d'abord très lentement, aiguisant tous mes sens et provocant un déferlement violent de plaisir dans la partie la plus sensible de mon pénis, puis goulûment, elle me fit une gorge profonde avant de continuer avec une fellation classiques. - Oh ouais... - Tête en arrière, bras ballants au bords de la baignoire, tous mes muscles se détendirent tandis que Jane jouait de sa langue sur mon sexe. Puis, elle me tourna le dos et se positionna au dessus de moi, et je le sentis pénétrer en elle doucement, très doucement, tout lentement. Je la laissais faire, j'étais prisonnier de mon plaisir et de sa passion. Elle fit le mouvement de va et viens lentement, provocant des petites vagues dans la baignoire, qui me couvraient jusqu'au bas du torse et certaines d'entres elles, dépassant le bord de la baignoire, tombaient par terre formant des flaques. Les yeux fermés et la tête en arrière, je pris ses petits seins entre mes mains et commençait à jouer avec et à lui pincer les tétons, sifflant l'air de mes poumons et soufflant de plaisir. L'eau faisait effet de ventouse et à chaque va et viens de Jane, des bulles sortaient de sous l'eau accompagnées d'un léger "plop" dû au décollement de son vagin contre mon pubis. Sacré Jane elle arrivait à le rentrer en entier et je dois dire que j'en étais ravi !  

Mais ce round fût de courte durée. Diablesse de Jane, elle se leva brusquement en riant et sortit de la baignoire  laissant une marre d'eau au sol puis s'enroula dans un peignoir ! - Quoi?! T'es sérieuse?! Mais tu ne vas pas me laisser comme ça ?! - Elle rigola et partit en courant tandis que je la pourchassais nu et mouillé dans toute la maison, avant enfin la rattraper et la faire tomber sur le lit de notre chambre. - Jane Harrinton, vous êtes une personne tout ce qu'il y a de plus démoniaque ! - Déclarais-je en la chatouillant avant de l'embrasser. Yeux dans les yeux, nous restâmes ainsi, sa main caressant ma joue, mon oreille et mes cheveux. Mais il était temps qu'on aille à Poudlard honorer notre rendez vous !

Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyDim 10 Mai - 17:49

L’eau chaude et le contact de la peau de Thaddée sur la mienne m’apaisa et je commençais à somnoler.

-          Je t’aime mon amour.
-          Redis-moi ça pour voir ? dit-il d’un air amusé mais je l’avais sentis frissonné sous mes mots.
Je l’éclaboussais et il rit.
-          Je t’aime aussi, plus que tout au monde. Et lui aussi à ce que je vois déclara t-il en riant lorsque son sexe dépassa un peu de la surface de l’eau.
Je levais les yeux au ciel devant cette interruption incongrue de notre petit moment tendre et doux.
-          Décidément les hommes sont tous pareils ! Quelle déception !
J'eus une idée. Je regardais son membre avec un visage impassible et le pris dans mes mains et commençais à le caresser dans un long et lent mouvement. Puis, le sentant se raidir sous le déferlement de sens qui se propageait en lui, je me baissais et continuais à lui faire plaisir et au vu de ses réactions et de son « Oh ouai », je sus que j’avais atteint mon but. Il ressemblait à un mashmallow fondu tandis que je continuais mon petit jeu avec ma langue. Avec des gestes sûrs et une souplesse remarquable, je lu tournais le dos tout en l’enjambant. Ainsi, bien placé, je sentis son sexe me pénétrer lentement comme une feuille fragile. Je ne bougeais pas pendant une fraction de seconde ; puis lentement je bougeais mes hanches tout en créant des vagues et des remous dans l’eau du bain ; ce qui en déversa sur le sol. Ce n’était pas la première fois et ça ne sera pas la dernière fois pensais-je au loin, occupé à évaluer le plaisir de Thaddée entre mes cuisses. Je sentis ses grandes mains chaudes venir se plaquer sur mes petits seins en faisant des gestes circulaires tout en les serrant parfois, emporté par la passion et le désir. Mes tétons durcirent sous l’effet du désir charnel et Thaddée les pinça doucement tout en soufflant de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je souris et accentua le mouvement de mon bassin en faisant en sorte de plonger à chaque poussée vers le bas pour remonter ensuite afin de bien sentir son pénis en moi. J’avais quand je le sentais littéralement en moi. Comme si j’étais entière. Je commençais à ressentir aussi du plaisir... ce mec allait me tuer!
Alors qu’il commençait à pousser des grognements et à vouloir accélérer le rythme, je me levais dans un formidable mouvement fluide sans qu’il ne s’en rende compte et je sortis en riant de la baignoire tout en m’enroulant dans un peignoir éponge. Voilà !!
 
-          Quoi ? T’es sérieuse ?! Mais tu ne vas pas me laisser comme ça ?!
Je rigolais et rétorquais.

-          Ça t’apprendra à gâcher un moment de tendresse en parlant de ton sexe ! Sale cochon ! 
Toujours en riant, fière de moi ; je sortis en courant de la salle de bain alors que j’entendais Thaddée sortir en trombe de la salle de bain et me pourchasser. Nous traversâmes toute la maison comme des gamins, moi trempée et en peignoir et Thaddée nu et dégoulinant et glissant sur le sol ce qui lui donnait une démarche de pingouin. Je fis le tour de la table à manger et repartis vers notre chambre, toujours Thaddée à mes trousses tandis que je le narguais ouvertement.

-          Tu verrais ta tête ! et ta démarche !! On dirait un enfant de 3 ans qui vient à peine de savoir marcher ! 

Il finit par me rattraper et il me fit tomber sur notre lit. Je me retournais et il se mit au-dessus de moi.

-          Jane Harrinton, vous êtes une personne tout ce qu’il y a de plus démoniaque !

-          C’est pour mieux vous servir mon enfant m’exclamais-je en prenant une grosse voix de loup avant de pouffer de rire devant la tête de Thaddée qui se mit à me chatouiller et m’embrasser.
Yeux dans les yeux, nous restâmes ainsi pendant quelques minutes en silence. Un silence de plénitude.  Je lui caressais la joue avec l’une de mes mains pour remonter vers son oreille puis ses cheveux. J’aimais pouvoir prendre à pleine poignée ses cheveux. Cela avait un côté excitant et je ressentis une bouffée d'amour maternel pour cet homme qui allait être à moi.
Je tournais la tête vers l’horloge et murmurais

-          Il est temps que l’on se prépare. On doit aller voir l’avancement de Poudlard et donner un coup de main.

On s’habilla alors tout en se taquinant comme des enfants et après 20 minutes, nous transplanâmes devant l’entrée de Poudlard. Main dans la main, nous rejoignîmes les autres, déjà à l’ouvrage. On aida à reconstruire les murs intérieurs et les escaliers car les travaux avaient déjà bien commencé et l’extérieur était enfin de nouveau visible. Nous parlâmes et échangeâmes avec l’équipe des professeurs qui étaient là. Etant en congé, j’avais voulu accompagner Thaddée pour aider même si je ne faisais pas partie de l’équipe enseignante ou de celle qui habitait dans le château. Deux heures plus tard, je vis Thaddée passer devant moi et monter les étages. Je finis ma discussion avec Philomena et Céline et le cherchais dans les nombreuses salles en l’appelant. Les dégâts étaient vraiment énormes mais ils faisaient tous du très bon travail et cette école sera de nouveau resplendissante. Je finis par trouver mon fiancé dans son bureau, j’aurai dû commencer par là pensais-je.

-          Ça va mon chéri ?
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyJeu 14 Mai - 10:49

- C’est pour mieux vous servir mon enfant ! - Me répondit ma fiancée prenant une grosse voix de loup et explosant de rire face à la tête de "poker face" que j'avais. Je finis par rire aussi, atteint par son rire à elle qui était plus que contagieux. Je la chatouillais une dernière fois et elle repartir en rires, se tortillant pour se défaire de mon emprise puis je l'embrassais à nouveau.

Allongée sur le lit et moi à quatre pattes au dessus d'elle, je me délectait du tendre silence qui régnait entre nous en ce moment. Sa main me caressais la joue, remontant vers mes cheveux qu'elle prenait entre ses doigts. Elle adorait jouer avec mes cheveux, et moi à chaque contact de sa peau contre la mienne je frissonnais comme au premier jour. Son peignoir de bain était mal fermé, laissant voir son entre-deux-seins jusqu'à son bas du ventre, avec son nombril orné d'un piercing avec lequel j'aimais jouer de ma langue. Sa peau blanche me tuait de désir. J'étais prêt à repartir de plus belles pour finir ce qu'elle a interrompu en sortant de la baignoire et j'avais déjà commencé à lui dessiner une traîné de baisés sur sur son, redescendant doucement jusqu'à son ventre avec ma langue, caressant ses côtes avec mes mains et retombant sur mes genoux par terre pour attaquer son sexe à coup de langue, mais une fois arrivé, sa main dans mes cheveux pour contrôler le rythme de ma langue contre son vagin, elle me les tira pour remonter vers elle et me dit dans un murmure presque désolé avec un petit sourire et les yeux brillants - Il est temps que l’on se prépare. On doit aller voir l’avancement de Poudlard et donner un coup de main. - Je levais les yeux au ciel - Pffff.... !! - Avant de me mettre de côté pour m'allonger à auprès d'elle? - On est obligés d'y aller? - Elle fit oui de la tête en se levant pour se préparer? - Tu ne préfères pas qu'on reste ici ? On peut commander chinois si tu veux ! Et thaï pour le dîné ! - Elle me lança un regard sombre et noir depuis la porte salle de bain. La nourriture asiatique était un de ses points faibles, mais étonnement, elle ne céda pas ! Je me suis donc levé aussi malgré moi et me dirigeais vers la penderie pour m'habiller. - Alors... Caleçon noir? Non, celui ci ! - Je pris un boxer que Jane m'avait offert pour notre toute première Saint Valentin, lorsque nous ne nous fréquentions que depuis deux mois. Il était noir avec marqué sur le fessier "L'homme Idéal", et le "o" avait été remplacé par un cœur. J'avais trouvé ça très mignon et authentiquement très Jane ! La face cachée de la femme sérieuse, presque frigide qu'elle montrait à tout le monde était en fait une femme drôle à en mourir et une tigresse au lit !

- Petite Parenthèse. -

"Eh ! Vous savez quoi?! Elle est à moi ! Donc vous pouvez continuer de lire si vous voulez, mais pas plus ! Sinon, "couic" !"


- Retour au rp. -

Dans les rires et la bonne humeur, nous nous habillâmes en nous taquinant comme des gosses. Un coup elle me balançait un peigne, un autre je lui cachais son vernis et la laissait le chercher, un coup elle planquait mes chaussures, et un dernier je la pris par le bas des fesses et la posais sur le bord du lavabo pour l'embrasser une dernière fois avant d'aller à Poudlard.
Une fois sur place, nous entrâmes dans l'enceinte du château main dans la main et vîmes que mes collègues professeurs avaient déjà bien avancé les réparations du château. Céline Chantress s'occupait de réparer la grande salle avec Philoména Albacova, Sylvius Césarius et Mat Dursley s'occupaient du troisième étage, Mehdi et Mafalda se chargeaient de remettre en ordre la salle commune des Serpentards, Nolhan Lockwood et sa sœur Aylin étaient dans les tours... Chacun s'occupait de réparer une partie de l'intérieur du château, l'extérieur aillant déjà été réparé. Je laissais Jane discuter avec mes collègues et aider à son tour à coup de baguette tandis que je réparais de mon côté le deuxième étage tout en conversant avec Mimi Geignarde. Deux heures plus tard, j'avais fini de réparer les toilettes des filles du deuxième étage, les couloirs, les salles de cours d'étude des moldus et laissais le soin au directeur de réparer son bureau. Mimi me déclara durant notre conversation que mon frère avait fini de réparer mon bureau à moi quelques jours avant. Je descendis donc au rez de chaussée cherchant Mehdi pour m'y accompagner mais ne le trouvant pas, je repris la marche jusqu'au premier étage en réparant au passage quelques débris de murs et quelques une des escaliers qui étaient un peu détraqués suite aux bombardements, et des fois ils ne bougeaient pas dans la bonne direction.

Arrivé au premier étage, je déambulais dans les couloirs jusqu'à mon bureau et effectivement, ils était impeccable. Livres rangés dans le fond dans une bibliothèque, bureau en bois massif de style victorien avec des 20 tiroirs chacun aillant une clé différente, mes objets obscures tels que les poupées vaudou et les épingles, mes entrailles d'animaux disséquées dans des bocaux, mon grimoire de démonologie, la croix à l'envers, l'étoile Morningstar, entre autres; étaient tous distribués dans les nombreuses étagères de la pièce. J'entendis les pas de quelqu'un approcher derrière moi. - Ça va mon chéri ? - C'était Jane. Évidemment, qui d'autres pouvait m'appeler comme ça à part ma mère, qui a une voix plus grave et vieillie ? Lui tournant le dos, j'ouvris mon bras pour qu'elle me rejoigne dans le centre de la salle et je le posais autour de ses épaules. - Oui ça va! Mehdi a fait un sacré travail ici, regarde ! Il a réussi à tout réparer, c'est super de sa part ! - Reste à savoir ce qu'il va me demander en échange ! - Elle me regarda intriguée - Oh, tu connais mon frère ! Il ne fait jamais rien gratuitement ! Je me demande quel deal tordu lui a encore traversé l'esprit !

Regardant encore autour de moi, je me séparais de Jane lorsque je remarquais une petite trappe au sol, sous un tapis. Je n'avais jamais fait attention à ce détail et personne ne m'avait jamais encore parlé d'une trappe dans mon bureau. Je prit le levier et tirais dessus pour l'ouvrir. Elle s'ouvrit en fracas et soulevant de la poussière. Je me mis à toussoter pour expulser l'aire poussiéreux dans mes poumons et secouais dans le vide pour faire dissiper les particules qui flottaient encore autour de moi. -Lumos maxima ! - J'envoyais la petite boule de lumière à l'intérieur de la cavité. Jane s'était entre temps mis à côté de moi. - On descend? - Demandais-je. Petit à petit, je commençais à descendre les échelons en fer, incrustés dans la pierre et rouillés, suivi de Jane. - *Siffle* Eh ben bébé, quelle vue ! - M'exclamais je en riant lorsque tournant mon regard vers le haut, je vis sa petite culotte sous sa jupe.
Une fois pieds à terre, nos baguettes allumées, nous nous retrouvions dans une salle sombre et un peu froide. Des runes étaient inscrites dans la pierre, mais ce n'était pas assez éclairé pour comprendre ce qui était écrit. Faisant le tour, nous vîmes qu'elle avait une forme carrée et à chaque angle, il y avait une torche. Après les avoir allumé avec un Flacardum Inflamare, l'enchantement du feu, des gravures des signes astrologiques sorciers et moldus étaient dessinées au sol, formant une sorte d'étoile occitane. Chaque gravure était couverte de bronze froid qu'on avait coulé dans les creux, comme une rivière gelée. - Mais qu'est ce que c'est que cette endroit? - Soufflais je en touchant les murs. La trappe se referma seul d'un coup sec, nous plongeant Jane et moi dans un silence et une solitude sempiternels. - Aucune autre issue visible à première vue hors mis la trappe. J'envoyais un premier alohomora mais elle ne s'ouvrit pas. Je ne m'inquiétais pas plus que cela dans un premier temps. - Ce n'est pas grave mon amour, voyons quel trésors cache cette chambre ! Nous verrons ensuite comment sortir !
Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyDim 31 Mai - 22:32

Thaddée avait essayé de m’acheter avec un repas asiatique pour que l’on reste à la maison mais j’avais résisté ; ce qui était un miracle, croyez-moi !! Toutefois, nous avions promis de passer au château pour aider à sa reconstruction et quand je donnais personnellement ma parole, je la tenais toujours. J’y tenais. C’était une règle d’or avec laquelle je ne dérogeais jamais.
Nous nous préparâmes alors en faisant les enfants. J’avais la chance d’avoir trouvé un homme avec lequel je pouvais m’amuser et le taquiner. Nous étions encore un peu des enfants et j’aimais cela. Notre couple n’en gagnait que plus. Cela lui donnait une autre dimension particulière. Nous prîmes plus de temps que nécessaire car nous nous amusions à planquer les affaires de l’autre et bien évidemment nous nous arrêtions pour nous embrasser, insouciant comme des adolescents lors de leur premier flirt.


A notre arrivée au château, nous fîmes le tour de Poudlard et des collègues de Thaddée qui était là. Je discutais avec les femmes que je connaissais car je les voyais assez régulièrement dans des soirées et j’aidais par-ci par-là même si je ne comptais pas parmi la communauté poudlérienne. Je finis par chercher Thaddée des yeux et ne le vis nulle part. Après avoir erré un peu partout, je pensais à aller voir dans son bureau.


-          Tu aurais dû commencer par là, petite sotte murmurais-je en le voyant effectivement dans son antre. Ça va mon chéri ?
Il m’ouvrit son bras pour m’inviter à le rejoindre sans pour autant me regarder. J’entrais alors dans son bureau et je vis qu’il était comme neuf. Sa bibliothèque était reconstituée avec les livres rangés, occupant les murs du fond, son beau bureau, ses objets hétéroclites et obscurs que je n’aimais pas. Ils me rendaient mal à l’aise, étant totalement opposés à mon essence même. Je rejoignis tout de même mon homme et me blottis contre lui comme une chatte se frotte pour recevoir des caresses. Je me sentais mieux entre les bras puissants de Thaddée.


-          Oui ça va ! Mehdi a fait un sacré travail ici, regarde ! Il a réussi à tout réparer, c’est super de sa part ! Reste à savoir ce qu’il va me demander en échange !


Je le regardais intriguée devant sa remarque. J’avais beau connaître la famille Bakkali je ne me faisais décidément pas à leur manière de faire et à leur relation plus qu’étrange et malsaine à mes yeux. Thaddée, avait toutefois raison, Mehdi était bien capable de lui demander quelque chose en retour.


-          Tu penses qu’il a une idée derrière la tête pour avoir remis ton bureau en ordre ?
-          Oh, tu connais mon frère ! Il ne fait jamais rien gratuitement ! Je me demande quel deal tordu lui a encore traversé l’esprit !
-          Tu as raison… Ne pouvez-vous pas être normaux, rien qu’une fois, mon chéri.


Il ne me répondit rien mais il se détacha de moi pour se diriger vers le tapis qu’il fixait. Il semblait intrigué par quelque chose. J’en profitais pour me diriger vers les objets dans les vitrines pour analyser leurs utilités mais aussi tout simplement pour regarder les affaires de mon fiancé. Poupées vaudous, croix à l’envers, etc… me firent frémir et je me détournais me demandant comment Thaddée pouvait enseigner ça à des gamins et me disant que Poudlard c’était indéniablement ouverte, question éducation. C’est en entendant un fracas derrière moi, que je revins au présent et que je me détournais en hâte des vitrines.
De la poussière volait dans la pièce et j’entendis Thaddée tousser à cause des particules flottant dans l’air de la pièce.


-          Lumos Maxima !


Je le rejoignis alors et me mis à côté de lui et je vis alors une trappe assez profonde à nos pieds. Je fus intriguée de sa présence, me demandant ce qu’il y avait à l’intérieur et à quoi elle avait bien pu servir.


-          On descend ?
-          Oui, allons voir ! répliquais-je sans réfléchir, laissant mon côté Serdaigle prendre le dessus afin de résoudre ce mystère. Tu ne l’avais jamais vu, avant ??


Thaddée descendit le premier le long d’une échelle en fer. J’attendis un peu et je le suivis en posant précautionnement mes pieds sur les barres rouillées et glissantes ; même si je n’étais pas du tout habillée pour ce genre de choses. J’entendis alors un sifflement digne d’un cow boy, play boy et un «  Eh ben bébé, quelle vue ! » avec un rire qui sortait du cœur et qui se répercuta contre les parois en pierre froides et lisses d’humidité.


-          Non mais écoutez-moi, ce gros lourdingue ! Je ne vous permets pas, chéri rétorquais-je avec aplomb en appuyant sur le « chéri » avant d’essayer de lui dégotter un coup de pied en riant. Un peu de tenu et ne te rince pas l’œil, sinon, je te le ferai regretter une fois en bas en te torturant durant des heures !


Une fois à terre, nous allumâmes nos baguettes et une salle se dessina devant nos yeux. A part nos baguettes, il n’y avait aucune source de lumière. On entendait des « PLOC » dû à des gouttes d’eau qui suintaient des murs et tombaient sur le sol et un léger courant d’air souleva légèrement ma jupe. Je passais alors ma baguette sur moi et me changeais pour être mieux vêtue. Pointant nos baguettes sur les murs nous vîmes des runes et au final la pièce était carrée et des torches se trouvaient aux quatre angles droits. Nous les allumâmes et alors des gravures se révélèrent à nos yeux ou plutôt sous nos pieds. Nous reconnûmes les signes astrologiques des deux mondes : moldu et sorcier. Ils formaient une étoile occitane.


-          Mais qu’est-ce que c’est que cet endroit ? souffla Thaddée en touchant les murs, concentré sur ce qu’il voyait.
-          Je n’en ai aucune idée. Je n’ai jamais entendu parler d’une chambre de cette sorte en-dessous de ce bureau. Après nous sommes à Poudlard et le château nous révèle encore ses secrets encore aujourd’hui. La preuve…


Alors que je finissais à peine ma phrase, un bruit sonore et sec se fit entendre au-dessus de nous et en levant les yeux, nous remarquâmes que la trappe s’était refermée, nous isolant totalement du monde. Je sentis un moment d’inquiétude monté en moi car il n’y avait aucune autre issue que celle qui venait de se fermer, du moins, pas sous nos yeux. Thaddée envoya un alohomora mais rien ne se passa.


-          Ce n’est pas grave mon amour, voyons quels trésors cachent cette chambre ! Nous verrons ensuite comment sortir !
-          Nous n’avons guère le choix, je pense. J’espère que nous ne resterons pas enfermés ici. Il y a mieux !


J’inspirais pour ne pas penser au fait d'être enfermée et coincée et repris la découverte des murs. Ils étaient soient peints soit des runes étaient taillées dans la pierre. Les dessins représentaient des hommes, des bateaux, des animaux. Ils semblaient raconter une histoire.  En-dessous et au-dessus une ou deux lignes de runes. Sans doute des explications de ce que l’on voyait. Je fis appel à ma mémoire à long terme pour retrouver mes acquis sur l’étude des runes. Je réussis à me souvenir de l’alphabet runique et avec ma baguette fit apparaître une image de ma mémoire photographique à côté du mur pour faire partager mon souvenir à Thaddée.


-          Si tu veux savoir ce qui est écrit, on va devoir se servir de ça annonçais-je en lui montrant la projection. Je pense que nous avons le dessin et les explications d’un récit. On va en avoir le cœur net en traduisant.


Upside down F4f34610


Je me rapprochais alors des murs et à la lumière des torches et de la baguette de Thaddée, je fus commencer à déchiffre.


-          V..Voici….l’histoire…des….vikings. Nous sommes un…peuple…conquérant et navigateur. Nous sommes arrivés….au VIIIe siècle. Nous avons fait de grandes choses. Voici notre histoire.


Je me tournais vers Thaddée les yeux agrandis de curiosité et de stupéfaction.


-  L’illumination et le dieu de la prospérité nous envoya un message. La conquête et la croissance de notre peuple et sa civilisation devaient prospérer par des voyages. Notre matrice devait être le modèle de tous.  Sinon la destruction se refermera sur nous ainsi que la Mort sans droit de réincarnation.


Je m’arrêtais là pour reprendre mon souffle et pour observer le dessin au-dessus de ces quelques lignes.
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyVen 5 Juin - 22:55

Ma fiancée et moi nous retrouvâmes enfermés dans cette salle cubique cachée sous mon bureau. La petite trappe par laquelle nous étions descendus s'était fermée toute seule et mon Alohomora ne put rien y faire. Mais c'était une préoccupation mineure, du moins, je l'espérais !

Tâtant les murs humides, nous trouvâmes avec l'aide de nos Lumos quatre torches accrochées sur les quatre angles droits qui formait la chambre. Nous les allumâmes et des gravures anciennes se dessinèrent sur les murs, des dessins, des animaux, des lettres, des chiffres, des hommes, des bateaux, des instruments de guerre... - Mais où est-ce que nous nous sommes fourrés? - M'exprimais-je tout bas plus pour moi que pour Jane. Je passais mes doigts sur les murs, faisant le tour de la salle, effleurant les gravures. Jane trouva alors sous les dessins, deux lignes écrites en rune. Elle projeta des runes contre un des murs, provenant de ses souvenirs.

(Pourquoi l'avais-je choisis elle déjà, rappelez moi...? Ah oui, parce que non seulement elle est canon et bonne au lit, mais en plus elle est smart ! Mais shuut, lui dîtes pas que je vous raconte ça ! )

- Si tu veux savoir ce qui est écrit, on va devoir se servir de ça. Je pense que nous avons le dessin et les explications d’un récit. On va en avoir le cœur net en traduisant. - Dit elle inspectant le murs du regard, se mordant la lèvre inférieur. Hmm, cette lèvre... ! - A toi l'honneur babe !  - Dis je reprenant mes esprits. - Je vais essayer de trouver d'autres trucs !

Je la laissais avec son texte runique tandis que j'inspectais le sol. Souvenez vous, les signes du zodiaque moldus y étaient gravés. Me mettant à genoux pour voir de plus près, je me mis à les toucher tandis que j'écoutais Jane traduire d'abord difficilement puis de manière plus spontanée, le petit texte qu'elle avait découvert. - V..Voici….l’histoire…des….vikings. Nous sommes un…peuple…conquérant et navigateur. Nous sommes arrivés….au VIIIe siècle. Nous avons fait de grandes choses. Voici notre histoire. - Elle marqua une pause - Hmm, oui, continue... - Dis-je concentré sur les sculpture astrologiques taillées dans du bronze. - L’illumination et le dieu de la prospérité nous envoya un message. - De mon côté, je trouvais un petit levier à côté du signe de la Balance. - Oh, c'est quoi ça? - Murmurais je tirant dessus de toutes mes forces, le faisant bouger de quelques millimètres. - La conquête et la croissance de notre peuple et sa civilisation devaient prospérer par des voyages. Notre matrice devait être le modèle de tous.  Sinon la destruction se refermera sur nous ainsi que la Mort sans droit de réincarnation. - A ses derniers mots, j'arrivais enfin à le débloquer le levier après une pluie de jurons et activais un mécanisme. D'abord rien ne se passa, puis ensuite nous entendîmes un bruit d'ultra tombe, et des engrenages qui devaient être d'une taille colossale commencèrent à tourner en bruit de moteur. Puis, une lumière blanche se projeta violemment contre le plafond partant du centre de la croix occitane, illuminant le plafond en entier et faisant apparaître les signes du zodiaque sorcier. Je m'étais remis debout auprès de Jane pour observer ce qui se passait. - Oh la vache... ! La destruction dis tu? - M'exclamais je reprenant les paroles de mon amoureuse. - A tous les coups c'est nous deux qui allons la provoquer ! Regardes ! - Dis-je pointant vers le mur en face. Deux autres lignes runiques venaient de s'illuminer aussi. - Allons voir !

Contournant les signes du zodiaque, nous approchâmes en douceur du mur - Mon cœur, projette tes souvenirs contre ce mur, je vais essayer de traduire celui ci. - Me penchant dessus pour mieux voir et jetant des coups d’œil sur les souvenirs de Jane pour me rafraîchir la mémoire sur mes cours de runes, je commençais à traduire. - Nous... Nous sommes la... ssou-source... Nous sommes la source de la sagesse et possesseurs des... des... secrets de la... Nature.   Les Dieux... franchiront le seuil... entre... la... la vie et.... la mort. La...Glace, et... le feu, s’abattront sur... les hommes...sous la co-co-... colère des Dieux ... Pour... app-apporter l'équi...libre sur Terre. - Je repris mon souffle - Eh beh... Ils étaient joyeux les vikings tiens... ! Pourtant Solveing, la meilleure amie de Goya est une comédie à elle seule !- M'exprimais-je perplexe. Plus bas, je pus lire en anglais -  To pass the first step of this trap, and come out alive, you must unite with blood each sign of the sorcerer zodiac with its muggle correspondent. (Pour passer la première étape de ce piège, et en ressortir vivants, vous devez unir grâce au sang chaque signe du zodiaque sorcier avec son correspondant moldu. ) - D'accord... Maléfice d'affaiblissement - Dis-je en soupirant. - Cette salle est sous l'emprise du charme de la sangsue. - Dis je pour expliquer à Jane - C'est de la petite magie noire... En fait il s'agit d'affaiblir la personne par le sacrifice du sang avant de la faire entrer quelque part pour qu'elle ne soit pas en mesure de se défendre. Très prisé à Durmstrang je dois dire... Et à Fort Bakkali aussi - Ajoutais-je repensant à toutes les pièces de cette école et du château familial au Maroc, qui étaient scellées avec ce sortilège et toutes les fois où j'ai dû m'écorcher la peau pour y accéder et voler les épreuves de théorie pour les travailler en cachette et réussir mes examens en trichant ou pour ne pas troubler les réunions des mangemorts lorsque mes parents étaient toujours mangemorts, partisans de Lord Voldemort. - Au VII siècle, à sa création, les gens se coupaient un bras ou une jambe et étaient prêts à s'entre tuer alors qu'en vérité quelques gouttes de sang suffisent à activer satisfaire le maléfice... Bon, je connais nos signes à nous mais les moldus, tu te doutes bien que non... - Plaçant ma baguette sur la paume ouverte de ma main - Diffindo. - Je la fit glisser dessus et une entaille rouge nette et propre se dessina sur ma peau. Je pressais ma main et le sang commença à couler sur le signe astrologique du poisson, qui était juste sous mes pieds. Chaque signe du zodiac sorcier se mit à briller et ensemble commencèrent à tourner en rond. Il fallait que je projette mon sang sur le signe correspondant sans éclabousser les autres. Grace à l'aide précieuse de ma bien aimée, nous avons réussi à les faire.  Poisson - Sirène / Balance - Pégase / Bélier - Dragon / Taureau - Basilic / Lion - Salamandre / Sagittaire - Centaure / Verseau - Sombral / Cancer - Strangulot / Gémeaux - Phoenix / Vierge - Hyppogriffe / Capricorne - Licorne / Scorpion - Loup Garous.

J'en avais le tournis à force de suivre des yeux les signes qui tournaient en rond, et j'avais également mal à mon bras à force de le balancer avec force pour jeter mon sang sur les signes correspondants. L'entaille à ma main continuais de couler et me lançait des décharges électriques. J'avais en effet dû faire une plaie plus profonde car j'avais manqué ma cible à plusieurs reprises et les murs étaient à présent jonchés de taches de sang. Jane s'approcha de moi quand je tombais sur les fesses pour me reposer. Elle prît ma main entre les siennes pour me soigner. Je l'embrassais puis nous sentîmes les murs trembler. En alerte et baguettes en mains, nous étions prêts à nous protéger lorsque le premier mur que Jane avait déchiffré tomba en ruines, nous donnant l'accès à un couloir étroit et sombre. Jane s'aventura la première ( c'est qu'elle est courageuse ma Jane !) et au premiers pas qu'elle fit, des ossements de bras accrochés au murs tenait au niveau des mains des chandeliers qui illuminaient le passage au fur et à mesure que l'on avançait.


Upside down Boules12Upside down 13b33a12
Place du Capitole, Toulouse.
Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyJeu 2 Juil - 11:55

Je venais de finir la traduction des quelques lignes que j’avais aperçu sur le mur quand, j’entendis un bruit de mécanisme derrière moi. Je n’avais pas fait attention, trop occupée à déchiffrer les runes que j’avais sous le nez, à ce que faisait Thaddée mais en me retournant, je vis que c’ était lui qui avait provoqué la mise en marche de ce mécanisme.

Je le regardais, les mains sur les hanches avec une expression de lassitude tintée d’amusement.


-          Tu ne peux pas t’empêcher de toucher à tout, mon petit -garçon -adoré –que- je- vais –épouser fis-je remarquer.



Je m’avançais jusqu’au mécanisme pour l’observer et voir ce qui avait poussé mon fiancé à actionner un levier sans la moindre prudence.


-          Ce n’est pas très malin d’actionner un levier sans se renseigner avant. Si cela avait été un piège ? Je t’aime n’en doute pas, mais si je pouvais rester vivante et remonter à la surface pour revoir nos enfants, ça me conviendrait, comme fin de journée.


Alors que Thaddée me répondait une lumière blanche aveuglante partant du centre de la croix occitane, se projeta violemment contre le plafond ; illuminant ce dernier et faisant apparaître les signes du zodiaque du monde magique des sorciers.
 
-          Oh la vache... ! La destruction dis-tu? - s'exclama Thaddée qui avait pris place à côté de moi. A tous les coups c'est nous deux qui allons la provoquer !


-          - Si on pouvait éviter… !


-          Regarde ! – Dit-il pointant le mur en face de nous.

Je suivais des yeux la direction indiqué et je vis que deux autres lignes runiques venaient de s'illuminer aussi.

-          Allons voir !

Je soupirais car nous n’avions pas d’autres choix possible, étant enfermée et cela m’inquiétais même si j’étais curieuse de savoir ce que nous avions découvert. J’étais partagée entre ma curiosité, l’exaltation de la découverte et la traduction des runes. Qui sait, nous allions peut-être faire la découverte de quelque chose de fantastique. Cependant, nonobstant, il y avait mes enfants ; qui étaient mes trésors et ceux-là étaient bien réels. Et il était hors de question que je les laisse. Je pouvais passer pour une rabat-joie, je n’en avais cure. Ne pouvant rien faire d’autre, je suivis Thaddée qui contournait les signes du zodiaque en s’approchant en douceur du mur.


-           Mon cœur, projette tes souvenirs contre ce mur, je vais essayer de traduire celui-ci.


-          Je te mets ça tout de suite répondis-je en projetant mes souvenirs sur les runes.

Thaddée se pencha dessus pour mieux voir les runes et il jeta des coups d’œil fréquents sur la projection de mes souvenirs. Il se lança de manière laborieuse.


-          Nous... Nous sommes la... ssou-source... Nous sommes la source de la sagesse et possesseurs des... des... secrets de la... Nature.   Les Dieux... franchiront le seuil... entre... la... la vie et.... la mort. La...Glace, et... le feu, s’abattront sur... les hommes...sous la co-co-... colère des Dieux ... Pour... app-apporter l'équi...libre sur Terre. - Il reprit mon souffle - Eh beh... Ils étaient joyeux les vikings tiens... ! Pourtant Solveing, la meilleure amie de Goya est une comédie à elle seule !- commenta Thaddée. Je ris tout en secouant la tête. Cela remontait à plusieurs siècles en arrière, ils avaient sans aucun doute changé puis, de manière beaucoup plus fluide, il lut en anglais « To pass the first step of this trap, and come out alive, you must unite with blood each sign of the sorcerer zodiac with its muggle correspondent » (Pour passer la première étape de ce piège, et en ressortir vivants, vous devez unir grâce au sang chaque signe du zodiaque sorcier avec son correspondant moldu.)


Je restais silencieuse, sous le choc de ce que j’avais compris. Je n’en revenais pas.
 
-          D'accord... Maléfice d'affaiblissement – Dit Thaddée en soupirant comme s’il remarquait que dehors il pleuvait ! - Cette salle est sous l'emprise du charme de la sangsue. C'est de la petite magie noire... En fait il s'agit d'affaiblir la personne par le sacrifice du sang avant de la faire entrer quelque part pour qu'elle ne soit pas en mesure de se défendre. Très prisé à Durmstrang je dois dire... Et à Fort Bakkali aussi – Ajouta-t-il  avant de continuer ses explications car je n’étais pas très penchée sur la magie noire contrairement à lui. - Au VII siècle, à sa création, les gens se coupaient un bras ou une jambe et étaient prêts à s'entre tuer alors qu'en vérité quelques gouttes de sang suffisent à activer satisfaire le maléfice...
 
-          Quelle réjouissance !! Un bain de sang pour mieux nous tuer après !! Quel accueil ! Le plaisir de la découverte a disparu ! Il ne manquait plus que nous soyons piégés dans une salle et des pièges qui fonctionnent avec de la magie noire ! Extra ! m’exclamais-je avec frénésie qui montait crescendo à cause de la peur qui montait. La prochaine étape sera quoi ? Des montres ? des créatures maléfiques ? l’obligation de tuer ses/son compagnon de voyage ??


Je ne me faisais pas encore à la pratique de la magie noire de Thaddée et de toute sa famille. Je ne comprenais pas et je n’aimais pas ne pas comprendre. Toutefois, je me disais qu’en tant que sorcière de magie blanche pure, c’était naturel et normal que je ne comprenne pas et pour m’apaiser, je me disais que jamais, je ne comprendrai et ne pourrai le cautionner mais je pouvais vivre avec le fait que l’homme que j’aimais et sa famille puisse baigner dedans même si parfois, cela me répugnait, je devais bien me l’avouer à moi-même.

Je revins à moi quand j’entendis la voix de Thaddée qui avait prise des accents de professionnalisme et de sérieux avant qu’il n’entreprenne quelque chose.


-          Bon, je connais nos signes à nous mais les moldus, tu te doutes bien que non... - Plaçant sa baguette sur sa paume ouverte - Diffindo. - Il la fit glisser dessus et une entaille rouge nette et propre se dessina sur sa peau. Il pressa sa main et le sang commença à couler sur le signe astrologique du poisson, qui était juste sous ses pieds. Chaque signe du zodiac sorcier se mit à briller et ensemble commencèrent à tourner en rond. Je pensais que c'était bon mais ce ne fut pas le cas car mon fiancé, me regarda prêt à verser encore plus de sang à mon signal. On devait trouver le signe moldu correspondant pour chaque signe astrologique sorcier. Bien sûr Thadée n'y connaissait rien. J'entrais en piste. 


- Poisson - Sirène
 Balance - Pégase 
Bélier - Dragon 
Taureau - Basilic 
Lion - Salamandre
Sagittaire - Centaure
Verseau - Sombral 
Cancer - Strangulot 
Gémeaux - Phoenix
Vierge - Hyppogriffe
Capricorne - Licorne
Scorpion - Loup Garous.


Au fils de mes énonciations Thaddée éclaboussait ledit signe et ces derniers brillaient lorsque la correspondance était faite. Mon attention était partagée entre ce qui se passait sous nos pieds et mon futur mari qui était en train de se vider littéralement devant mes yeux. Mes instincts, à la fois, de médicomage et de fiancée me poussaient à aller le soigner mais je savais que je devais attendre la fin de la correspondance. C’est pourquoi, une fois qu’elle fut terminée, je me précipitais vers lui. Je voyais bien qu’il avait le tournis à cause de la perte de sang et de ses mouvements circulaires.

Les murs étaient à présent jonchés de taches de sang et le sol ce n’était pas mieux. Avant que je ne puisse l’atteindre Thaddée tomba sur les fesses, je m’accroupis devant lui et lui pris sa main entre les miennes pour le soigner. 
 
Nous nous embrassâmes puis nous sentîmes les murs trembler. En alerte et baguettes en mains, nous étions prêts à nous protéger lorsque le premier mur que j’avais déchiffré tomba en ruines, nous donnant l'accès à un couloir étroit et sombre. Je me levais et m’aventura la première car Thaddée n’était pas en état ayant subi ce fichu maléfice.  Des torches illuminèrent le passage mais à la vue des mains squelettiques qui tenaient les flammes, je fis une grimace de dégoût.

-          Vous avez des goûts particuliers et très douteux dans la magie noire déclarais-je sans me retourner, trop concentrée et à l’affut de ce qui pourrait se mettre devant moi car je savais que même blessé, Thadée protégerai mes arrières. J'eus alors une vague immense d'amour pur qui me submergea à cette idée; ainsi qu'une détermination folle. Je devais faire ma part du travail. J'avançais alors d'un bon pas déterminée pour en finir avec cette découverte dès plus douteuse, à mon sens.

Le tunnel descendait en pente douce. Je sentais la terre voletait autour de nos pieds. Cela faisait longtemps qu'on ne l'avait pas foulée. Je le sentais au plus profond de moi, comme je sentis que quelque chose n'allait pas. C'était beaucoup trop calme.


- C'est calme...beaucoup trop calme...trop calme. Fais attention à toi, mon amour.

Je freinais mon allure et aux aguets, j'avançais. J'entendis alors des cliquetis devant nous et des bruits secs et aigus. Je stoppais nette car je reconnaissais ces bruits et un frisson de dégoût monta en moi. Je détestais ces bestioles!! 


- Sérieusement, ça ne pouvait pas être des papillons ou des licornes....murmurais-je pour moi-même. Après, dans un trou pareil, dans l'humidité et le noir, cela aurait été étonnant.

Je continuais à discourir ainsi tout en avançant en cherchant comment nous dégager de cette situation. J'étais une Serdaigle après tout! Après quelques instants de réflexion avec un visage dès plus sérieux, je trouvais ce que j'allais faire et un large sourire se dessina sur mes lèvres alors que je me tournais vers Thaddée pour lui expliquer.


- J'ai cru reconnaître...Non je reconnais, j'en suis sûr, le bruit des mantibules et des plaintes des acromentules, juste devant nous. Je ne sais pas ce qu'ils font ici mais j'espère que ce n'est pas Hagrid qui les a mis là, franchement! Avec le peu d'espace que l'on a, on ne peut pas vraiment se battre mais j'ai un plan. Tu vas devoir rester derrière moi. Vu ton état, tu dois encore récupérer. Juste fait moi confiance! dis-je en l'embrassant rapidement.

Je pris alors une torche en bois pourri qui resta, par miracle, en un seul morceaux dans ma main. On avança et au bout d'une minute de marche, on arriva à une partie du tunnel plus large et qui partais dans plusieurs directions. Un carrefour souterrain, génial! On se mit dans un renfoncement pour ne pas être vus. Je jetais un coup d'oeil pour évaluer le nombre et me remis à côté de Thaddée. 

- Je dois me concentrer pour que cela fonctionne, c'est notre seule chance. Je pris alors la chandelle, me levais et lançais une incantation suivie d'une autre.

C'est alors qu'à la place de la torche se trouvait un énorme basilic. La deuxième incantation visait à me donner les sifflements du reptile pour que les acromentules soient convaincues qu'elles avaient bien un vrai basilic devant elles. Je me mis derrière le basilic et commençais à siffler dangereusement vers les acromentules. Prise de panique (je fus fascinée du spectacle), elles se faufilèrent tous dans une même direction en faisant claquer leurs mandibules et en poussant des cris aigus.

Je donnais un nouvelle slave de sifflements pour m'assurer qu'elles déguerpissent véritablement. Une fois que plus rien ne nous parvient, je mis fin à mes sorts.

Je sautais alors sur place en riant et me tournant vers Thaddée, je lui lançais.


- Alors, qu'est-ce que tu dis de ça? Pas mal non?! demandais-je fière de moi. C'était un peu théâtrale mais c'était drôle non? ET comme ça, on sait où il faut aller! Si vous voulez découvrir quelque chose, suivez les araignées!
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyMer 30 Sep - 0:47

Ah, Jane, ma chère Jane… La main ensanglantée, tailladée jusqu'à l'os, elle s'accroupit auprès de moi pour me soigner. Usant de sa magie, elle réussit à refermer la plaie et lancer le processus de cicatrisation, mais aillant tranché la paume de ma main comme un bourrin, elle allait avoir besoin de ses médicaments pour me guérir complètement, chose qu'elle n'avait pas à disposition à cet instant précis. Nous nous embrassâmes en silence, puis laissâmes nos fronts se reposer l'un contre l'autre le temps de souffler un coup.

Mais cet instant de répits fût de courte durée. En effet, un des quatre murs qui nous entouraient tomba en morceaux, laissant accès à un sombre couloir, très étroit, d'où sortaient des bras osseux et rachitiques, soutenant des chandeliers allumés pour illuminer le passage jusqu'à l'épreuve suivante qui nous attendait.
Tous les deux debout, baguettes en main, Jane passa la première, m'intimant que ma blessure était déjà bien assez sérieuse pour aggraver mon cas - Vous avez des goûts particuliers et très douteux dans la magie noire... - Ajouta-t-elle en avançant doucement, ce qui me fît sourire. Elle semblait avoir oublié qu'elle était fiancée et avait deux enfants avec un mage noir qui a décoré la maison avec style !

Upside down Vlcsna10

Je ne dis rien mais je réprimais un petit "pffft" amusé tandis que nous avancions, d'un pas déterminé. Le sol plat commençait à s'incliner légèrement, dessinant une pente recouverte de moisissures et de lichens, dus à l'humidité et l'abandon de l'endroit. On pouvait croire en effet que le sol n'avait pas été effleuré depuis des siècles ! Toujours en silence, avançant baguette à la main et enclanchant le sortilège Lumos, je commençais à sentir ce silence un peu pesant lorsqu'enfin ma compagne le rompit en disant tout haut ce que je pensais tout bas - C'est calme...beaucoup trop calme...trop calme. Fais attention à toi, mon amour. - Je souris dans le noir et lui collais un petite tape sur la fesse droite - T'inquiète pas b, à nous deux on est une bombe atomique !

A tatillons, nous avançâmes encore un peu en silence, quand nous entendîmes les cliquetis des mandibules d'arachnides. Oh misère… Tout de suite, l'adrénaline me prit. Nous étions à l'entrée d'un nid d'accromontules; et avec ma main blessée, l'odeur du sang n'allait pas tarder à les attirer. - J'ai cru reconnaître...Non je reconnais, j'en suis sûr, le bruit des mandibules et des plaintes des acromentules, juste devant nous. - Dit Jane s'arrêtant net pour me faire part de ses craintes. - Je ne sais pas ce qu'ils font ici mais j'espère que ce n'est pas Hagrid qui les a mis là, franchement! Avec le peu d'espace que l'on a, on ne peut pas vraiment se battre mais j'ai un plan. Tu vas devoir rester derrière moi. Vu ton état, tu dois encore récupérer. Juste fait moi confiance ! - Finit-elle en m'embrassant, coupant net ce que j'allais dire et me le faisant carrément oublier ! En même temps, j'avoue que la vue ou le contact de ses lèvres arrivait assez facilement à me déconcentrer. Hébété mais conscient, je la suivie et à l'aide d'une vieille torche en bois, moisie, qui trainait là, elle éclaira le passage jusqu'à ce qu'on soit tombé sur un carrefour. Voilà qui ne nous arrangeait pas ! Décidément, on aurait mieux fait de rester chez nous à faire l'amour dans chaque recoin de la maison !

Cachés derrière un bout de mur qui dépassait, je réfléchissais à comment sortir de là, mais évidemment, Jane, qui était le cerveau du couple faut bien se l'avouer, eut une idée qui jamais ne m'aurai traversé l'esprit et dont je ne la voyais absolument pas être capable de faire. - Je dois me concentrer pour que cela fonctionne, c'est notre seule chance. - Me dit-elle à mi-voix. - Faire quoi? Attends… ! - Mais elle ne m'écouta pas et, tenant la torche dans une main et sa baguette de l'autre, elle prononça deux incantations successivement. Mes yeux étaient désorbités face au spectacle. La torche était devenue… Un Basilic ! Un p*tain de Basilic ! Elle était folle ?! Je savais que je mourrai un jour probablement assassiné mais pas en amuse-gueule pour un Basilic !

Mais ce qui me donna le coup de grâce encore, ce n'était pas le serpent devant nous, non. Ce qui a fini de m'achever était que ma future femme, Jane, la mère de mes gosses contrôlais le serpent en lui parlant en fourchelangue !! Et quel langage ! Disons expressif pour ne pas dire "de poissonnière" dixit Jane quand elle se réfère au vocabulaire employé par sœur.
Mais ça marchait ! Les araignées prirent leurs pattes à leur cous et se ruèrent dans la même direction claquant des mandibules et émettant des cris sinistres et aigus face au serpent de 15 mètres.
J'étais à la fois interloqué, impressionné, et furieux qu'elle m'ait caché ce talent ! Et d'où le tenait-elle ?!
Une fois les bestioles disparues, Jane sauta de joie et riant comme une enfant elle me dit fière d'elle - Alors, qu'est-ce que tu dis de ça? Pas mal non?!  C'était un peu théâtrale mais c'était drôle non? ET comme ça, on sait où il faut aller! Si vous voulez découvrir quelque chose, suivez les araignées!

Mais voyant mon regard fermé, presque dur, elle arrêta de sautiller et s'approcha de moi. Levant ma baguette vers le serpent, je lui lançais l'incantation Finite Incantatem et il redevint une torche vieille et pourrie; ensuite, je braquais mon regard sur ma fiancée - Tu peux m'expliquer pourquoi tu ne m'as pas dis que tu parles le fourchelangue ?! - Mais je n'attendis pas sa réponse que mon entaille à la main commença à me brûler. Tout le temps où nous étions cachés des araignées, ma main était restée appuyée contre un mur rempli de moisissure et de rouille afin de ne pas perdre équilibre et tomber tête la première dans leur nid.
Retenant mon souffle pour faire face à la douleur et devenant rouge face comme les flammes de l'enfer, je m'assis au sol, serrant mon poignet avec l'autre main, comme pour faire barrage à une infection. - Pffff... !!! Jane, fais quelque chose, j'ai envie de me trancher la main pour arrêter cette douleur !! - Je soufflais comme un taureau de corrida dans l'arène. - Vite !!

Ma femme se précipita sur moi pour m'apporter les soins nécessaires. Heureusement, elle avait toujours ce qu'il fallait sur elle, en commençant par sa magie guérisseuse mais en plus son petit sac ensorcelé où elle gardait tout son matériel médical. Elle réussit à atténuer la douleur et essayant de m'expliquer ce qu'il m'arrivait, lorsque je vis une accromontule, bien plus grosse que les autres arriver. - Par les ailes de Morgane !  Jane penche toi ! - Jane obéit et tomba sur moi. J'eus juste le temps de voir la bestiole sauter sur nous puis, son cris stridant cessa soudainement. Reprenant nos esprits rapidement je me levait pour vérifier que l'araignée était bel et bien morte. - Tu vois maintenant à quoi sert la magie noire? - Dis-je tendant la main à Jane pour l'aider à se lever. J'avais lancé un Avada Kedavra qui avait freiné la bestiole dans son vol, la tuant sur le coup et la faisant tomber à quelque mètres de nous. - Ca va? Tu n'as rien? - Questionnais-je ma reine. Je la serrai dans mes bras contre mon torse, voyant qu'elle était un peu sonnée ou bouleversée, je ne saurai le dire. Au fil du temps je compris que lorsque Jane ne se sentait pas bien, elle aimait être réconfortée de cette manière, protégée par mon corps et synchronisant sa respiration sur la mienne. - Qu'elle aventure hein? - Dis je doucement lui caressant les petits poils sur la nuque, brisant le silence qui nous encerclais. - Je suis désolé d'avoir haussé le ton tout à l'heure, tu as été épatante, mais ça m'a secoué de t'entendre parler fourchelangue, la langue des serpents… Surtout ce que j'ai entendu ! Tu dis que Goya est une poissonnière; toi tu es carrément la folle village ! - Je la sentit étouffer un rire. Sa tête toujours appuyée contre mon torse, je continuais ma tirade - Tu as dis des choses comme "saloperies", "ta mère la grosse p*te unijambiste" et j'en passe… ! - Je me détachais d'elle en douceur, puis voyant son visage, je posais un petit bisou sur son nez avant de finalement dévorer sa bouche avec un baisé passionné. J'attendis qu'elle m'apporte des réponses, puis, nous continuâmes à avancer dans la direction que les araignées avaient pris, main dans la main, nous demandant qu'elle était la prochaine épreuve qui nous attendait.

Traversant un long couloir froid et humide, sombre malgré les quelques chandelles usées et couvertes de cire et de toiles d'araignées qui s'allumaient à notre approche, nous arrivâmes dans une grande pièce cubique. - Bon, c'est quoi cet endroit encore…? - Une forte odeur de bétail se dégageait de chaque mur de la pièce, une odeur bovine très désagréable. Une moue de dégout restait figée à mon visage. La seule porte permettant d'avancer était grillagée, chaque barre de fer clouée aux murs, et la porte par laquelle nous étions passés subit le même sort, nous enfermant dans cette espèce de geôle. - D'accord... Et maintenant? - Questionnais-je plus pour moi que pour Jane. A ces mots, une lumière s'alluma au fond de la pièce. Sous un arc, assis les jambes croisées, se tenait une créature que l'on observait plus depuis des siècles tant elles ils sont devenus rares, une créature d'un tempérament habituellement virulent et toujours prédisposées à la violence, un minotaure. Il était assis sous l'arche, pattes croisés et les bras sur ses genoux. Il était de couleur gris clair, et poussait des soufflement lourds. L'aire qu'il respirait échappait ensuite de ses naseaux tout chauds et se transformait en buée avec la froideur de la pièce. Baguette en main, et par réflexe, je me mis devant Jane, prêt à en découdre s'il le fallait avec cette humanoïde, mais il ne semblait guère vouloir se montrer agressif.

Au bout de quelques secondes, une bonne minute je dirai même, il nous fit signe de nous approcher. Jane et moi nous regardâmes perplexes mais face à la passivité du minotaure, nous approchâmes en douceur, restant cependant alertes et sur nos gardes. D'un lent de la main poilue et ridée mais soudée à un bras puissant et tout en muscles, il nous invita à nous assoir en face de lui. Une petite cagette en bois pourri était entre nous, un vieux coussin rouge dessus, et par dessus le coussin, une enveloppe jaunie par le temps. La voix de l'humanoïde résonna dans la grande pièce qui d'un seul coup, semblait être devenue plus exiguë - Si vous souhaiter quitter cette endroit sains et saufs et accéder à la prochaine étape, vous devez trouver la solution aux énigmes qui vous sont proposées. Les réponses doivent être gravées au sang sur les murs qui se trouvent à vos côtés. Attention, pour qu'une réponse soit valide, vous devez commencer et finir d'écrire en même temps, autrement dit, un système de mise à mort de déclenchera et le plafond commencera à descendre pour vous écraser de tout son poids. - Nous levâmes la tête vers le plafond, menaçant en effet, des stalagmites de pierre, pointues comme des dards allaient nous transpercer si nous échouions. - Il y a plus glorieux comme mort… Jane, chérie, de nous deux tu es le cerveau... A toi l'honneur !

- Prêts? - Questionna le vieux minautore. - Première énigme : Quand on y est, on ne sait où on est. Il n’est fait que d’eau, mais peut devenir un impénétrable rideau.

Je déteste les devinettes, mais avais je d'autres choix que de faire de mon mieux et deviner la réponse? Je savais que nous aurions du rester à la maison, au moins le point G de Jane, je sais parfaitement où le trouver lui !

Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyDim 22 Nov - 20:08

Nous venions d’échapper à une foule d’accromentules. J’avais utilisé le fourchelangue et divers sorts pour nous sortir de ce nid de tueuse. Je n’étais pas peu fière de moi et de mon ingéniosité ! Mais Thaddée, vers lequel je me tournais, ne partageait pas ma joie car il explosa ! Le fait de m’entendre parler fourchelangue l’avait troublé et mis en colère. Je pouvais même dire fureur. Je ne m’attendais pas du tout à cette réaction donc je restais muette devant son éclat aussi soudain.
Il mit fin au sortilège du basilic et me regarda durement. Je gardais toujours le silence, sachant que la cocotte allait bientôt explosé et ne comprenant pas la raison de sa colère.


- Tu peux m'expliquer pourquoi tu ne m'as pas dis que tu parles le fourchelangue ?! 

J’ouvris les yeux en grand, comprenant la méprise mais avant que j’aie pu dire quoique ce soit, Thaddée se tordit de douleur devant moi, prenant son poignet entre sa main pour serrer et essayer de contrôler la douleur. Il avait appuyé sa paume contre les murs suintants du tunnel. C’était un banquet offert pour les microbes. Il tomba à terre en se tordant de douleur.


- Pffff... !!! Jane, fais quelque chose, j'ai envie de me trancher la main pour arrêter cette douleur !! – Il souffla comme un taureau de corrida dans l'arène. - Vite !!

Je m’approchais de lui en vitesse et examinais sa main. Je n’avais pas emporté ma trousse avec moi. Juste quelques petites choses dont j’aurai pu avoir besoin pour guérir les petits bobos durant la reconstruction. Rien contre une infection de ce genre. Pas d’antibiotique. Je cherchais dans mon petit sac ensorcelé, mon matériel (petit bol, pilon, etc). Je sortis aussi quelques herbes, qui par chance, se trouvaient encore là car je n’avais pas eu le temps de les ranger dans la réserve de l’hôpital. Je cherchais autour de moi avant de me lever avec précipitation. J’avais besoin d’un champignon et par Merlin si dans un environnement pareil, je n’en avais pas trouvé, cela aurait été l’œuvre de magie noire.

Je l’écrasais avec le pilon comme les plantes. Je mis de l’eau ainsi qu’une petite goutte de liquide ambré, je remuais dans un sens particulier tout en tournant dans l’autre sens quelques secondes plus tard. Cela pendant quelques minutes, dans un ballet incompréhensible pour les autres. Je me mis à parler la langue de mon ancêtre et je passais une main rayonnante au-dessus de bouilli informe, dans le bol. Une fois que ce manège fut terminé, je passais ma main lumineuse mais bleu cette fois-ci au-dessus de la paume de Thaddée tout en ayant le regard dans le vide car j’étais en train de regarder son flux et l’intérieur de ses chaires, tel un scanner. Je respirais et commençais à  murmurer une incantation et à aspirer en même temps. Quelque chose sortit de la paume de Thaddée pour entrer dans ma bouche. Je continuais jusque plus rien ne sorte. La dernière étape était d’appliquer l’onguent que je venais de faire contre les infections et contre les inflations puis à bander la main avec un pansement hyper résistant et imperméable.  Tout fut terminé dans les 5 min mais je me sentais comme si je venais de sortir d’un an de chimio. C’était les bactéries que j’avais avalé.

Je souris à Thaddée et lui fit comprendre de me laisser quelques temps pour que mon corps désintègre les intrus. Car en plus de mon système immunitaire qui était le même que tout le monde, je pouvais faire ce que je venais de faire (sans en abuser) car la magie blanche qui me constituait annihilait toutes bactéries de ce type quand je récitais l’incantation adéquate. Il fallait juste lui laisser le temps de les irradier.

J’expliquais alors à Thaddée tout ce que j’avais fait quand il hurla :

- Par les ailes de Morgane !  Jane penche toi ! 

J’obéis sans poser de question car j’avais une confiance aveugle en Thaddée. Jamais il ne laissera quelque chose ou quelqu’un me faire du mal en sa présence. Je me jetais sur lui sans regarder derrière moi. J’entendis un cri aigue à vous percer les tympans puis plus rien. Thaddée se releva et je me décalais toujours par terre. Une énorme acrromentule se tenait devant nous, raide comme un poteau.

- Tu vois maintenant à quoi sert la magie noire? – Dit-il en me tendant la main pour m'aider à me lever. Ca va? Tu n'as rien? 

- Tout autre sort aurait pu avoir le même résultat, chéri. Ce n’est pas à la magie noire que je dois dire merci mais à tes prodigieux réflexes. Quant à la magie noire, c’est à cause d’elle que nous sommes ici, enfermés, désorientés et à l’épreuve pour d’obscures raisons ; alors non ! Je ne vois pas en quoi la magie noire peut servir ! A part me séparer des miens !

La fin de ma tirade avait viré dans les aigus car j’en avais marre. J’avais beau être curieuse, je n’en étais pas moins raisonnable et rien de tout cela ne l’était.

Thaddée me serra dans ses bras contre son torse. Je ne me fis pas prier car j’en avais besoin. Ce rituel me rassurait et me calmait comme rien d’autre ne pouvait le faire. Comme un bébé avec sa tétine ou son doudou ; moi c’était sentir le torse sous mes doigts, écouter les battements de son cœur. Je synchronisais alors ma respiration sur la sienne. Cela avait l’effet d’un sédatif et calmant.


 - Quelle aventure hein? – Dit-il doucement en me caressant les petits poils sur la nuque, brisant le silence qui nous encerclait - Je suis désolé d'avoir haussé le ton tout à l'heure, tu as été épatante, mais ça m'a secoué de t'entendre parler fourchelangue, la langue des serpents… Surtout ce que j'ai entendu ! Tu dis que Goya est une poissonnière; toi tu es carrément la folle du village ! 


J’étouffais un rire, partagée entre le rire et la tension encore présente. C’est vrai que j’avais pris un langage fleuri pour faire peur aux sacrées bestioles, chose qui n’était pas dans mes habitudes mais je m’étais inspirée de Goya et le reste était de l’improvisation. Tous les jurons que je n’avais pas sortis durant ma vie, étaient sortis durant ces deux minutes. Je ne bougeais pas de ma place et Thaddée ne fit rien pour se détacher. Parfait.


- Tu as dis des choses comme "saloperies", "ta mère la grosse p*te unijambiste" et j'en passe… ! – Il se détacha de moi en douceur, puis voyant mon visage, il me regarda avant de poser un petit bisou sur mon nez avant de finalement dévorer ma bouche avec un baisé passionné. Tel un pirate qui ravit une femme.


- Je ne t’aurai pas caché ça Thaddeus. Je ne pale pas fourchelangue. Je n’ai fait qu’utiliser un sort qui fait que toutes mes paroles se transformaient en langue des serpents. Sans le sort, tu m’aurais entendu parler normalement. J’ai jeté un double sort. Certains de nos ancêtres le pouvaient mais pas moi et heureusement. Comme tu le sais, je déteste ces créatures mais peut-être qu’un des enfants le saura.


Une fois que tout fut éclaircit, nous continuâmes à avancer dans la direction que les araignées avaient prise, main dans la main, nous demandant qu'elle fût la prochaine épreuve qui nous attendait.

Comme depuis le début, le reste du chemin se fit dans la semi-obscurité. Une brise humide sentant le renfermé flottait dans l’air et nous chatouillait les narines tout en nous caressant le visage. Moi, qui n’aimais pas les araignées, j’avais l’impression d’être chez elle : leur royaume. Il y en avait partout ainsi que des toiles d’araignées qui s’accrochaient aux cheveux, au visage. Ça me rendait folle. Je trépignais de dégoût. Cela pouvait paraître superficiel mais je ne cessais de me nettoyer avec un sort pour enlever toutes ces cochonneries. Je ne pouvais pas, tout simplement. Tout mais pas ça. J’allais dérailler sinon. C’était mon point faible, je n’aimais pas me sentir sale et sentir des toiles sur mon visage et cheveux.

Nous arrivâmes dans une grande pièce cubique. 
-          Bon, c'est quoi cet endroit encore…? 
Une forte odeur de bétail se dégageait de chaque mur de la pièce. Comme l’odeur que pouvait avoir les maisons à l’époque des temps modernes ou du Moyen-Âge quand les fermiers habitaient dans la même pièce que les animaux pour être au chaud grâce à la chaleur animale...  Par contre cette fois, les odeurs ne me dérangèrent pas. J’étais habituée à l’hôpital. Il y avait pire parfois selon les cas pour lesquels, on venait vous voir. Puis, changer la couche de deux bébés, vous verrez que votre odorat sera immunisé contre tout après. Au contraire de moi, une moue de dégout restait figée sur le visage de Thaddée.

La seule porte permettant d'avancer était grillagée, chaque barre de fer clouée aux murs, et la porte par laquelle nous étions passés subit le même sort, nous enfermant dans cette espèce de geôle. Je n’aimais pas ça. Sur quoi allons-nous tomber ?              Dans tous les cas, il n’y avait aucun moyen de faire marche arrière. Nous allions devoir réussir ou rester ici pour la fin de nos jours ? Mourir ?


- D'accord... Et maintenant? – se questionna Thaddée à lui-même. Je me posais la même question à vrai dire mais à ses mots, une lumière s'alluma au fond de la pièce. Sous un arc, assis les jambes croisées, se tenait une créature que l'on observait plus depuis des siècles tant elles sont devenues rares, une créature d'un tempérament habituellement virulent et toujours prédisposée à la violence : un minotaure.

Il était assis sous l'arche, pattes croisés et les bras sur ses genoux. Il était de couleur gris clair, et poussait des soufflements lourds. L'air qu'il respirait échappait ensuite de ses naseaux tout chauds et se transformait en buée avec la froideur de la pièce.  J’étais fascinée. Je dois le reconnaître. Jamais, je n’aurai pensé voir un minotaure de ma vie. En chair et en os. Là, devant moi se tenait une créature légendaire, antique.

Baguette en main, Thaddée vint se placer devant moi.  Prêt à en découdre s'il le fallait. Son geste m’attendrit malgré notre position et le fait que ce n’était pas du tout le moment de parler et de se laisser aller aux sentiments. Toutefois, le minotaure n’avait toujours pas bougé d’un poil. Il ne faisait que respirer bruyamment en nous regardant. Silencieux

Au bout de quelques minutes, il nous fit signe de nous approcher. Thaddée et moi,  nous nous  regardâmes perplexes mais face à la passivité du minotaure, nous approchâmes en douceur, restant cependant alertes et sur nos gardes. D'un lent de la main poilue et ridée mais soudée à un bras puissant et tout en muscles, il nous invita à nous assoir en face de lui. Une petite cagette en bois pourri était entre nous, un vieux coussin rouge dessus, et par dessus le coussin, une enveloppe jaunie par le temps. La voix l’animal fantastique résonna dans la grande pièce, qui d'un seul coup, semblait être devenue plus exiguë. Ma fascination ne fit que se confirmer. Je n’avais toujours rien dit, toute concentrée à le regarder et à analyser son corps et ses organes.


-           Si vous souhaitez quitter cet endroit, sains et saufs, et accéder à la prochaine étape, vous devez trouver la solution aux énigmes qui vous sont proposées. Les réponses doivent être gravées au sang sur les murs qui se trouvent à vos côtés. Attention, pour qu'une réponse soit valide, vous devez commencer et finir d'écrire en même temps, autrement dit, un système de mise à mort se déclenchera et le plafond commencera à descendre pour vous écraser de tout son poids.


 Nous levâmes la tête vers le plafond, menaçant en effet, des stalagmites de pierre, pointues comme des dards allaient nous transpercer si nous échouions.


- Il y a plus glorieux comme mort… Jane, chérie, de nous deux tu es le cerveau... A toi l'honneur !
- Tu n’es pas sérieux ? Tu remets notre sort entre mes seules mains ?! Qui a dit que j’étais bonne en énigmes !!?? Thaddée franchement, tu… !
- Prêts? - Questionna le vieux minotaure sans me laisser le temps de finir. Pas le sens de la patience, on dirait….

Je hochais la tête pour confirmer que je l’écoutais tout en bougonnant.


 - Première énigme : Quand on y est, on ne sait où on est. Il n’est fait que d’eau, mais peut devenir un impénétrable rideau.

Je me mis à arpenter la salle dans tous les sens en réfléchissant et en parlant à mi-voix ; répétant les paroles du minotaure, dans un murmure discontinue.


-          Il faut que je trouve par où commencer…. Fait d’eau. Qu’est-ce qui est fait d’eau ?.... l’eau, océan, mer, lac, rivière, fleuve, etc… un impénétrable rideau ?? On ne sait pas où on est ?.....Qu’est-ce que ça peut être ?

Je levais les yeux et observais autour de moi. Regarder l’environnement pouvait aider. Je jetais un coup d’œil à Thaddée puis au minotaure, sans vraiment les voir. Je restais quelques minutes comme ça sans rien dire, sans rien faire, sans bouger ; puis mon visage s’illumina et je souris. Je vins me placer devant le Minotaure.


-          Le brouillard. Quand on est au milieu du brouillard, on ne sait pas où on est. Purée de petits pois et il est fait d’eau.

Je pris ma main, je fis une entaille et inscris ma réponse sur le mur le plus près de moi, sans hésitation.
Le Minotaure ne laissa rien paraître, seulement un hochement de tête.  Puis, il énonça la deuxième énigme d’une voix placide et calme, sans émotion.


Pour les enfants le noir
En est souvent source le soir
Mais qu’elle soit bleue ou belle
Elle peut donner des ailes.
Qui est-elle ?


Je me mis à chercher immédiatement. Nous n’avions pas de temps imparti mais je voulais quitter cette pièce cubique sans traîner pour revenir près de mes enfants et dans mon lit, au chaud, dans les fichus draps de soie de Thaddée qui me font glisser sans arrêt, par terre. 


-          Essaye de m’aider Thaddée. Cherche aussi de ton côté. Même si tu es nul, ça peut me donner des idées pour arriver à la bonne réponse.
 Je pris la même stratégie que précédemment et cherchais un point de départ : ici, enfant et soir. Je commençais à lister dans ma tête tout ce qui pouvait correspondre. Je m’arrêtais et ne bougeais plus, la tête dans les mains. J’eus une idée mais je demandais au Minotaure de répéter. Il le fit de la même voix. Je fis tous les liens nécessaires et je déclarais.
 
-          La peur. Les enfants ont peur le soir. La peur de la nuit, du soir. Peur bleue, belle peur. La peur peut donner des ailes.
 
Je me dirigeais vers le même mur et après avoir appuyé de nouveau sur ma paume, j’inscrivis Peur sur le mur. Là, nous entendîmes un déclic et la porte derrière le Minotaure se déverrouilla et il inclina son énorme tête cornu pour nous faire signe d’avancer. On ne se fit pas prier et on passa. J’inclinais la tête, à mon tour, en signe de respect et je suivis Thaddée qui me pressait.


-          J’espère que nous arrivons à la fin ! Comment ça se fait que tout cela se trouve sous Poudlard sans que personne n’ait rien trouvé et rien fait ?!

Comme précédemment, nous suivîmes un tunnel froid, terreux et humide à peine éclairé. Nous arrivâmes dans une pièce, silencieuse et sombre. J’allumais ma baguette tout comme Thaddée et nos tombâmes nez à nez avec une petite salle entouré de verre. A l’intérieur, il y avait des petites bestioles que je n’avais vu que dans un livre ancien de mes ancêtres. Je frissonnais tout de suite et reculais. Thaddée regardait ne sachant pas.

Elles ressemblaient à des chauves-souris mais s’en était pas. Ils avaient des ailes de chauve-souris mais ressemblaient à des insectes et des moustiques. Ils étaient noirs avec des yeux jaunes étincelants injectés de sang. Je regardais autour de nous avec panique mais il n’y avait rien. La lumière s’alluma aveuglante et je ressentis une peur panique, ressentant ce qui allait se passer. Je devais trouver un moyen de nous protéger.


-          Thaddée !! Viens près de moi ! Allez ! MAINTENANT, NOM D’UN CHIEN ! m’énervais-je devant le questionnement de ses yeux et l’incompréhension.

Je lui pris la main et essayais d’ouvrir la porte mais sans que nous l’entendions, elle s’était verrouillée. Je réfléchissais en vitesse sur la meilleure manière de se protéger. Puis d’un mouvement de la baguette, je fis apparaître deux énormes casques.

-          ENFILE ÇA !!! TOUT DE SUITE !

Il était très lourd car en fer.  Nous le mîmes puis je fis apparaître des tenues dans le même tissu de métal. Une couche de soie, une couche de coton et une couche de métal. Thaddée venait de tout enfiler quand les bêtes furent lâchées car la vitre de verre venait de s’abaisser comme je le redoutais. Ils se jetèrent sur nous et je fis mordu et griffés au bras car je n’avais pas fini d’enfiler ma tenue. Je hurlais dans mon casque mais m’arrêtais car le bruit aggravait les choses. Je me dépêchais d’enfiler tout en repoussant nos assaillants.

Une fois à l’abri, essoufflée, j’expliquais à Thaddée.


-          Ce sont des Mochinsctus mi chauve-souris, mi insecte, mi moustique. Ils sont noirs comme tu le vois. Ils détestent la lumière, le bruit. Ils se repèrent grâce à leurs oreilles. Ils s’engouffrent partout : yeux, oreilles, nez, bouche. Ils rentrent dans ta bouche, dans ton nez. Enfin partout et ils te dévorent de l’intérieur. Ils pondent des œufs aussi, dans notre estomac car c’est sombre, humide et chaud.

Je gémis car je ne pouvais pas soigner mes blessures sans enlever ma tunique et donc sans me faire encore plus manger.


-          N’enlève surtout pas ton casque et ta combinaison. Il faut trouver un moyen de les tuer ou de partir. Je n’imaginais pas qu’on pouvait encore en trouver. Ça n’existait plus depuis des siècles. Je les connais grâce au grimoire de mes ancêtres…. Je ne sais pas comment les tuer, là tout de suite.
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptyVen 4 Déc - 17:08

Le vieux minotaure, assis les jambes croisées nous expliqua l'épreuve que nous devions accomplir. Des devinettes. Je détestais ça, ça m'ennuyait. Non pas que je n'étais pas doué mais clairement, réfléchir à des énigmes, en voilà une perte de temps !! Et en plus de cela, si nous ne suivions pas les instructions à la règle, on se faisait broyer par des stalactites faites de pierres calcaires. - Il y a plus glorieux comme mort… Jane, chérie, de nous deux tu es le cerveau... A toi l'honneur !. Elle se tourna vers moi d'un coup - Tu n’es pas sérieux ? Tu remets notre sort entre mes seules mains ?! Qui a dit que j’étais bonne en énigmes !!?? Thaddée franchement, tu… ! - Mais la créature nous interrompit. - Prêts? - Nous hochâmes la tête comme des enfants qu'on réprimandait.

- Première énigme : Quand on y est, on ne sait où on est. Il n’est fait que d’eau, mais peut devenir un impénétrable rideau. - C'est parti ! Je baissais la tête et fermais les yeux, essayant de me concentrer et me remémorant ses paroles. Je les répétait à voix basse, pensant à tout ce qui pouvait être fait d'eau et qui pourrait nous perdre. A ces réflexions, je songeais à nos ébats sous la douche, qui nous faisaient perdre la tête et tout contrôle; mais non, attendez, tout le monde est au courant de cela mais pas ce vieux minotaure enfermé ici depuis je ne sais quand ! Non, c'était autre chose ! Je me tournais vers Jane, qui elle, à sa manière, réfléchissait, arpentant la pièce, murmurant elle aussi l'énigme puis soudain, son visage s'illumina. Elle se plaça devant le minotaure et lâcha d'un naturel propre à elle - Le brouillard. Quand on est au milieu du brouillard, on ne sait pas où on est. Purée de petits pois et il est fait d’eau. - Je vint me placer à côté d'elle et après nous être fait une entaille, nous inscrivîmes la réponse sur les murs près de nous.
Le Minotaure ne laissa rien paraître, seulement un hochement de tête. C'était le moment de vérité, allions nous finir en steak haché ? Mais rien ne se produisit. L'animal énonça une deuxième énigme d’une voix placide et calme, sans émotion. Je soufflais un coup, soulagé et fière du cerveau de ma fiancé ! Mais j'allais lui demander ce que "purée de petits pois" voulait dire ! Des fois elle utilise des expressions tout droit sortis de sa tête qui me laissaient perplexe, et pour l'embêter, je lui demandais de me parler en "citadin" !

- Pour les enfants le noir en est souvent source le soir, mais qu’elle soit bleue ou belle, elle peut donner des ailes. Qui est-elle ?

Alors là... J'abandonnais. Non mais à quelle moment un truc peut noir, bleu, beau et donnant des ailes?! Jane vit que je ne fournissais aucun effort, me contentant juste d'exister et regardant la bête droit dans les yeux. Ces yeux énormes et globuleux de vache laitière. - Essaye de m’aider Thaddée. Cherche aussi de ton côté. Même si tu es nul, ça peut me donner des idées pour arriver à la bonne réponse. - J'en revenais pas ! Moi nul?! - Comment ça nul? Eh, quand on s'est mis ensemble, j'ai pas signé pour réfléchir moi ! Et je te rappelle que c'est toi qui a promis de venir aider les autres ! Moi j'étais bien entre tes cuisses ! - Je continuais de râler en silence, mais d'un coup, la réponse m'apparût comme par magie. Enfant, il y avait une chose qui me tétanisait. L'obscurité. Il me fallait impérativement une lumière allumée pour arriver à m'endormir car j'avais très PEUR ! Mais oui, c'est la peur ! Je me tournais alors vers Jane qui était entrain de réécouter l'énigme de la part du minotaure puis avant que je ne puisse ouvrir la bouche, elle répondit - La peur. Les enfants ont peur le soir. La peur de la nuit, du soir. Peur bleue, belle peur. La peur peut donner des ailes. - Je m'approchais en courant vers eux - Oui, c'est ça ! - D'un échange de regard, nous signâmes de notre sang le mot Peur contre le mur, et après un silence épais, un bruit lourd de ferraille commença à grincer derrière nous. La deuxième porte venait de s'ouvrir. Sans demander notre reste, nous nous levâmes et traversâmes la porte pour arriver dans un petit couloir, tout petit et étroit, froid, terreux et humide à peine éclairé. - J’espère que nous arrivons à la fin ! Comment ça se fait que tout cela se trouve sous Poudlard sans que personne n’ait rien trouvé et rien fait ?! - Je ne répondit rien, me contentant juste d'avancer. Nous pénétrâmes alors dans une petite salle, sombre et froide. Baguette allumées, nous vîmes un plafond haut et en forme de coupole, et tout était en verre. Je m'éloignais de quelques mètres de Jane, lentement, me demandant ce qui nous attendait cette fois ci, lorsque je l'entendis crier mon nom. - Thaddée !! Viens près de moi ! Allez ! - Je la questionnais du regard -MAINTENANT, NOM D’UN CHIEN ! - Je pris mon envol de mangemort et me plaçait à côté d'elle. - Qu'est ce qu'il y a?! - Interrogeais-je sentant monter l'adrénaline en moi. Je commençais alors à entendre un vrombissement sourd derrière qui approchait à toute vitesse. Sans pouvoir en voir d'avantage, Jane me prit la main et me tira vers la porte par où nous étions entrés. Fermée. OH !! - Hurlais-je. - TU VAS ME DIRE CE QUI SE PASSE ?! - Je détestais être dans le flou. Sans informations je ne saurai pas comment réagir ! Elle fit apparaître deux énormes casques qui tombèrent au sol en grand fracas. - ENFILE ÇA !!! TOUT DE SUITE ! - Frustré par son manque de réponse, j'enfilais le casque en fer puis elle fît apparaître deux combinaisons. Le vrombissement devenait de plus en plus puissant et était de plus en plus rapide. J'enfilais la combinaisons en vitesse, puis d'un coup, nous entendîmes un bruit de verre et là le vrombissement devint intense. Tandis qu'elle se battait avec sa combinaison, des créatures que je ne connaissais pas se jetèrent sur nous. J'entendis Jane crier tandis que je protégeais mon visage des attaques de ces bestioles. Elles étaient très nombreuses et je les sentais s'agripper à la combinaison et faire pression pour me coller au mur. J'essayais de faire contrepoids pour rejoindre Jane et je réussis en puissant toute mes forces à lui tenir la main et la tirer vers moi. Essoufflée, elle apporta enfin les explications que je lui avais demandé. - Ce sont des Mochinsctus mi chauve-souris, mi insecte, mi moustique. Ils sont noirs comme tu le vois. Ils détestent la lumière, le bruit. Ils se repèrent grâce à leurs oreilles. Ils s’engouffrent partout : yeux, oreilles, nez, bouche. Ils rentrent dans ta bouche, dans ton nez. Enfin partout et ils te dévorent de l’intérieur. Ils pondent des œufs aussi, dans notre estomac car c’est sombre, humide et chaud. - Elle avait eu du mal à parler et j'avais du mal à entendre, le bruit des ailes des Moschinctus battant à toute allure et produisant un bruit monstrueux. - Je vais m'occuper d'eux ! Je me plaçais non sans mal sur Jane, plaquant mon corps contre le siens pour parer les attaques contre elle. De cette manière, elle serait protégée par mon corps et pas le mur derrière elle. Récupérant mon souffle, et mes forces, je réussis à me tourner pour les affronter. Baguette en main, j'envoyais premièrement un lumos solem. La lumière aveuglante du soleil jaillit du bout de ma baguette et les Moschinctus s'éloignèrent mais ce n'était pas suffisant, ce sortilège avait une certaine durée, dès que le temps serait passé, les bestioles reviendraient à l'attaque. Cependant, cela nous laissa le temps de respirer un coup - Tu es blessée? Montre moi ! - Ordonnais-je à Jane. Je vis son bras, elle avait été griffée et mordue. Les plaies avaient une couleur bizarre. - Tu as mal? A quoi faut-il s'attendre?!

Mais soudain, le noir. Le sortilège s'était dissipé et en mois de 10 secondes, les parasites foncèrent à nouveau vers nous. Tremblant de rage car ma bien aimée était blessée, il était hors de question que je fasse un cadeau à ces bêtes. - Contre la force, utilisons la force !!!! FEUDEYMON !! - Je fis tournoyer ma baguette au dessus de ma tête et un petit filet de flammes commença à grossir et pris la forme d'un taureau de Lidia. C'était un sortilèges de magie noire, interdit et difficile à maîtriser, capable de détruire un horcrux, alors ça n'allait pas être des mouches-moustiques-chauve-souris qui allaient y résister. Le taureau de feu meugla et partit à la charge, mettant le feu à toute la pièce. Les bestioles tombaient à terre et mourrait en lâchant des cris stridents tandis que les flammes consumait leur corps. Il pleuvait des moschinctus autour de nous et devant nous. Leurs cadavres crépitaient au sol, le verre de la pièce se brisa en milles miettes à cause de la chaleur du feu. Quand nous n'entendîmes rien d'autre que les flammes du taureau rugir au fond de la salle et monter en puissance, j'annulais le sortilège. Le taureau disparu puis je fit apparaître une vague d'eau pour rafraîchir les lieux et éteindre les corps inanimés mais encore allumés des moschinctus. Cela sentait le barbecue ! Je fit disparaître la vague qui avait embarqué les cadavres à son passage puis, enfin pouvant souffler, je me tournais vers Jane. - Voilà, fini ! J'espère que vous brûler en enfer ! Jane?... - Jane??? Chérie, ça va?! - Elle ne répondait plus. Je m'approchais d'elle en vitesse et l'aidait à se mettre à terre. - Jane, réponds ! Réponds moi !! - Je me débarrassais de mon casque et remis ma baguette dans la poche de mon trench. Doucement, je retirais le casque de la tête de ma fiancée et je découvris... Un monschinctus !! Le poison des bestioles l'avait transformée ! Pris d'un panique, j'eus un mouvement de recule tandis que la bête, de taille humaine cette fois ci, approchait de moi en battant des ailes. Un moschinctus d'un mètre soixante-neuf prêt à me dévorer ou me transformer. - Jane, Jane si tu es encore là réponds moi !! Jane, non, non, noooooon !!

Néant. Je me réveillais en sueurs. Mon cœur jouait de la batterie tellement mes palpitations étaient fortes. Je pouvais le sentir prêt à démolir ma cage thoracique. Un coup d'œil au réveil, 06:37 du matin. Autour de moi, tout est sombre. Les ombres des plantes du jardin qui rentraient depuis les grandes baies vitrées, valsaient contre le mur devant moi, illuminées par le clair de lune et les premier rayons du soleil. Au sol, les poissons petits et grands nageaient paisiblement sous le sol en verre. Désorienté, les oreilles encore bouchées par ma nébuleuse de sommeil, je mis du temps à sentir les caresses de Jane derrière ma tête et sur ma nuque, tandis que son autre main faisait pression sur mon bras. Je vis dans le miroir mes yeux d'un bleu glace éclatant plus que jamais, reflétait leur couleur comme un rayon de soleil. Doucement, les paroles douces de Jane au creux de mon oreille et ses caresses me ramenèrent à la réalité. Le bleu de mes yeux diminua au fur et à mesure qu'elle effectuait alternativement des petites pressions discontinues sur mon bras et sur ma cuisse. Enfin j'étais revenu à al réalité. Je me tournais vers elle et la serrai contre mon corps, embrassant chaque partie de son visage, du front à la bouche, descendant jusqu'au cou et plongeant mon nez dans ses cheveux. Je ne voulais plus la lâcher. - Putain de merde, c'était tellement réel j'au cru t'avoir perdu ! - Ma respirations était lourde et saccadée. Je soufflais comme un buffle. - Je te jure Jane, ce cauchemar m'a mis complètement Upside Down ! Putain j'ai le cerveau retourné !
Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptySam 5 Déc - 19:50

Nous en avions fini avec le Minotaure mais maintenant nous devions faire face à une nouvelle menace et pas des moindres. Je mettais fâcher sérieusement face à l’attitude tranquille de Thaddée mais je venais de comprendre que nous avions à faire à des Mochinsctus. C’était des créatures immondes et monstrueuses. Nous devions trouver une solution pour nous en sortir. La peur commençait à prendre possession de moi.
J’avais peur de ne pas ressortir de ces tunnels sombres, humides et puants. Peur de ne pas revoir la lumière du jour, la chaleur du soleil. Peur de ne plus voir de belles choses avec mes yeux mais mourir en voyant pour la dernière fois des créatures sorties de l’enfer. Peur de ne plus profiter de journées et de nuits avec Thaddée. Peur de ne pas me marier finalement car je serai morte avant. Peur de ne pas vivre une vie pleine d’amour, de passion et de travail. Peur de ne pas revoir mes deux bébés, ms deux jumeaux : Ezra et Elvira. Peur de ne pas revivre, pourquoi pas, la maternité et peur de mourir dans d’atroces souffrances avec les Mochinsctus. Je savais ce qui nous attendait si nous nous ne protégions pas.


-          Thaddée !! Viens près de moi ! Allez ! MAINTENANT, NOM D’UN CHIEN ! m’énervais-je devant le questionnement de ses yeux et l’incompréhension.
 

Je lui pris la main et essayais d’ouvrir la porte mais sans que nous l’entendions, elle s’était verrouillée. Je réfléchissais en vitesse sur la meilleure manière de se protéger. Puis d’un mouvement de la baguette, je fis apparaître deux énormes casques.



-          ENFILE ÇA !!! TOUT DE SUITE !
 
Il était très lourd car en fer.  Nous le mîmes puis je fis apparaître des tenues dans le même tissu de métal. Une couche de soie, une couche de coton et une couche de métal. Thaddée venait de tout enfiler quand les bêtes furent lâchées car la vitre de verre venait de s’abaisser comme je le redoutais. Ils se jetèrent sur nous et je fis mordu et griffés au bras car je n’avais pas fini d’enfiler ma tenue. Je hurlais dans mon casque mais m’arrêtais car le bruit aggravait les choses. Je me dépêchais d’enfiler tout en repoussant nos assaillants. Une fois à l’abri, essoufflée, j’expliquais à Thaddée.



-          Ce sont des Mochinsctus mi chauve-souris, mi insecte, mi moustique. Ils sont noirs comme tu le vois. Ils détestent la lumière, le bruit. Ils se repèrent grâce à leurs oreilles. Ils s’engouffrent partout : yeux, oreilles, nez, bouche. Ils rentrent dans ta bouche, dans ton nez. Enfin partout et ils te dévorent de l’intérieur. Ils pondent des œufs aussi, dans notre estomac car c’est sombre, humide et chaud.

Je gémis car je ne pouvais pas soigner mes blessures sans enlever ma tunique et donc sans me faire encore plus manger.


-          N’enlève surtout pas ton casque et ta combinaison. Il faut trouver un moyen de les tuer ou de partir. Je n’imaginais pas qu’on pouvait encore en trouver. Ça n’existait plus depuis des siècles. Je les connais grâce au grimoire de mes ancêtres…. Je ne sais pas comment les tuer, là tout de suite.

Thaddée me dit quelque chose mais je ne comprends rien à ce qu’il me dit. Toutefois, je compris les paroles de son corps. Il voulait que je me mette derrière lui. Je lui fis confiance et je le laissais faire. Je me mis donc derrière le corps de Thaddée en priant que je nous avais bien protégés et qu’il ne lui arrive rien. Car j’avais beau avoir peur plein de choses mais je ne voulais pas que Thaddée meurt sous mes yeux. Cela serait insupportable. Je me retrouvais alors entre le mur et l’homme de ma vie qui faisait bouclier pour moi. Thaddée se retourna pour les affronter. Avant cela nous eûmes le temps de temps de nous échanger un regard lourd de paroles et de sentiments.

Baguette en main, il envoya un lumos solem. La lumière aveuglante du soleil jaillit du bout de sa baguette et les Moschinctus s'éloignèrent mais ce n'était pas suffisant, ce sortilège avait une certaine durée, dès que le temps serait passé, les bestioles reviendraient à l'attaque. Nous étions sauvés pour quelques minutes mais pas plus. Au moins, cela nous aidait plus de temps.  Thaddée se retourna vers moi.


-          Tu es blessée? Montre-moi ! – m’ordonna-t-il.

Je lui présentais mon bras. Il était griffé et mordu. Je ne m’étais pas protégée assez vite mais au moins, Thaddée n’avait rien. Ma plaie commençait à verdir. Je déglutis péniblement. Je savais ce qui allait se passer. Le poison commençait à agir mais je gardais mon calme pour ne pas affoler Thaddée et pour ne pas le condamner lui aussi.



-          Tu as mal? A quoi faut-il s'attendre?!

Je ne voulais pas lui répondre. Il allait perdre la tête et nous allions mourir tous les deux. Ne plus sortir d’ici. De toute manière, il ne pouvait rien pour moi. C’était trop tard. Je n’avais rien sur moi. Je ne pouvais rien faire et j’avais aidé Thaddée avec ma lumière rose. Je n’avais pas eu le temps de recharger mes mains. Cela faisait moins d’une heure et ce n’était pas suffisant. Je préférais garder le peu de lumière pour protéger Thaddée si besoin, devant les moschinctus. Une dose, une possibilité de le sauver. Ainsi, il retournera vers nos enfants et prendra soin d’eux.

Soudain, le noir. Le sortilège s'était dissipé et en mois de 10 secondes, les insectes-moustiques-chauve souris, foncèrent à nouveau vers nous. Je sentais la tête me tourner. Je sentis que Thaddée partait pour affronter nos assaillants.


-          Je….t’ai…me murmurais-je dans un dernier souffle de lucidité.

La dernière chose que je vis c’est un énorme taureau de feu qui galopait dans la salle pour tout brûler sur son passage. Un des sortilèges que Thaddée maitrisait parfaitement mais qu’il n’avait pas utilisé depuis un moment car c’était de la magie noire. Un sourire se dessina sur mes lèvres qui n’avaient pas encore changée. Mes yeux se fermèrent petit à petit et je laissais le noir prendre le pas sur la lumière. Les touches de couleurs se distillèrent et s’évanouirent. Je ne vis plus rien et je perdais de plus en plus ma conscience humaine. Je perdais mes sentiments, ma conscience, mon esprit et mes souvenirs. Peu à peu, je mourais. Je fermais définitivement les yeux en voyant les moschinctus tomber un à un. Il avait réussi. Ma dernière pensée. Tout fut noir et vide. Je ne voyais plus rien, j’avais du vide dans ma tête. Mon ouïe était plus fine et mon odorat plus puissant. Je sentais mon sang changer et devenir plus froid. Cette transformation fut une réelle torture silencieuse. J’avais envie de hurler mais aucun son ne sortait de ma gueule. Je brûlais littéralement en silence telle une condamnée sur un bûcher.

Je me réveillais en sursaut. J’avais le cœur qui battait la chamade. J’avais les joues en feu. Je me levais et regardais autour de moi avec agitation avant de reprendre petit à petit mes esprits en voyant l’aquarium de sol de notre chambre. Je regardais mes mains, mes bras et touchais mes visages. Ils étaient bien là et bien humains. Je n’étais pas en feu. Ce n’était qu’un cauchemar.  Je soufflais un coup et respirais lentement pour contrôler ma respiration afin de revenir avec un rythme cardiaque normal. Je pris la bouteille d’eau qui était sur ma table de nuit pour m’hydrater.

Je regardais Thaddée couché à côté de moi. Il s’agitait et transpirais. Je me recouchais près de lui en caressant la tête, la nuque et la cuisse pour redescendre son agitation. Pour le faire revenir en douceur à la réalité. Doucement, je lui parlais en lui disant des paroles douces au creux de son oreille pour atteindre son inconscience. Il revint avec agitation comme moi. Il avait fait aussi un cauchemar. Je le laissais revenir à lui et à notre monde. Quand se fut fait, il se tourna vers moi et me serra en me tenant contre lui avec force. Embrassant chaque partie de mon visage, du front à ma bouche, descendant jusqu'au cou et plongeant son nez dans mes cheveux. Il ne me lâchait pas. Je lui caressais les cheveux et tentais de l’apaiser.



-          Ça va aller mon amour. Je suis là.

-           Putain de merde, c'était tellement réel j'au cru t'avoir perdu ! 

Sa respiration était lourde et saccadée.  Il soufflait comme un buffle ; son cauchemar l’avait énormément impacté.



-           Je te jure Jane, ce cauchemar m'a mis complètement Upside Down ! Putain j'ai le cerveau retourné !
-          Je suis là ! Je suis avec toi, dans ce lit. Moi aussi j’ai fait un cauchemar horrible qui m’a complètement retourné. C’est fini maintenant.

Il était encore sous pression et pleine d’agitation. Je lui pris alors fermement le menton entre mes doigts et lui tournais le visage vers moi. Les yeux dans les yeux et avec une voix forte et calme. A la fois pleine d’autorité et de tendresse.


-          Jamais je ne te laisserai. Je suis là et on se protégera toujours. Même la mort ne pourra pas nous séparer.

Je l’embrassais avec ferveur et lui donnais de l’eau à boire. Puis je le recouchais près de moi en continuant à le caresser avec amour pour dénouer ses muscles. Après quelques minutes, nous étions de nouveau calmes et sereins. La nuit pouvait continuer. Upside down était terminé.
Revenir en haut Aller en bas
Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down EmptySam 5 Déc - 20:59

RP FINI, MERCI D'AVOIR SUIVIE ET LUE CETTE AVENTURE DANS LA VIE DE THAJANE  Surprised study Smile I love you
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Upside down Empty
MessageSujet: Re: Upside down   Upside down Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Upside down
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ténébros Poudlard :: Poudlard :: Quatrième étage-
Sauter vers: