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 Fais moi rêver, bébé

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2 participants
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Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
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MessageSujet: Fais moi rêver, bébé   Fais moi rêver, bébé EmptyVen 17 Sep - 3:07

Ce RP étant là sans objectif précis je tiens à signaler qu'il peut éventuellement y avoir des scènes pouvant heurter la sensibilité des plus jeunes.

Cela faisait quelques mois que Jane et moi étions mariés. Je vivais dans le bonheur absolu. Je me répète certainement mais je ne peux m'empêcher de croire que j'ai fini par me mettre la bague au doigt, car j'ai toujours été persuadé que la vie rangée d'homme marié avec enfants n'était absolument pas faite pour moi. Mais Jane est est passée par là comme un ouragan est réduisit à néant mon opinion de vie ! J'étais tombé sous son charme physique dans un premier temps, et j'admet qu'avant de me décider à la revoir, plus d'un rêve où nous deux étions en train de faire l'amour, vinrent hanter mes nuits de sommeil.

Mais voilà que depuis un peu plus de deux ans, ces rêves étaient devenus une réalité, et même si à force, deux magnifiques jumeaux étaient nés, je ne pouvais pas me lasser de son corps; fatigué, ou malade, je trouvais toujours la force de lui faire l'amour.

Notre mariage, lui, avait été un véritable conte de fées. Nous avions passé notre première nuit en tant que mari et femme à Bali mais nous avions décidé sur un coup de tête comme cela nous arrive souvent, de partir finir notre voyage de noces aux Seychelles, laissant Mansour et les jumeaux entre les bonnes mains de leurs grands parents., puis après une semaine à profiter des plages de sable blanc, des cocotiers et le soleil caressant chaque parcelle de nos corps, nous étions rentrés à Desengaño 21, pour reprendre notre rythme de vie et nos travails respectifs.

Les mois étaient passés et lors de l'anniversaire de ma nièce Louise, Mehdi, mon frère, m'avait annoncé qu'il allait se retirer de la vie d'enseignant et que le poste de directeur de la maison Serpentard allait être par conséquent vacant. Comprenant que c'était une invitation de sa part pour que je reprenne le flambeau une fois qu'il aura quitté Poudlard, j'envoyais une lettre de candidature au directeur pour succéder au poste.

Donc, comme je disais, cela faisait quelques mois que nous avions repris nos obligations et notre vie de famille. Nous avions oublié à quel point cela était épuisant ! Le travail, les enfants, les animaux, la maison... heureusement que financièrement, nous ne pensions jamais à nous limiter ! Je suis incapable d'imaginer comment font tous ces pauvres qui ont le même train de vie que nous et qui doivent en plus s'inquiéter de l'aspect économique de leur vie !! Jane avait un excellent salaire et moi, j'avais toute une fortune à dilapider en plus de mon salaire, donc autant dire que nous ne nous privons jamais de vacances de luxe, de shopping et de restaurants étoilés.
Bien entendu, Jane et moi essayions toujours de trouver des moments pour nous, même s'ils se faisaient rares car elle avait de plus en plus de travail à cause de la guerre contre les moldus et que, de mon côté, faisant parti de l'ordre de la Salamandre, je devais partir très souvent en missions; sans oublier que les enfants Mansour comme les jumeaux, étaient de plus en plus demandeurs d'attention au fur et à mesure qu'ils grandissaient.
Cela provoquait certaines tensions par moments entre Jane et moi car, il fallait se rendre à l'évidence, nous étions épuisés.

L'idée m'est alors venue de demander à nos familles de s'occuper des enfants pendant une dizaine de jours, dans notre maison en Espagne, afin que mon épouse et moi puissions avoir un peu de repos. Je proposais alors à ma femme d'aller nous installer quelques temps dans son petit cottage anglais, beaucoup plus petit, beaucoup plus calme et infiniment plus intime que la villa. Calamity accepta et après d'innombrables au revoir aux enfants et d'innombrables mises au point concernant la gestion de la maison, nous partîmes au cottage, afin de nous reposer.

J'invitais ma belle à un petit bistrot au centre ville londonien puis nous rentrâmes chez nous. Nous prîmes une douche ensemble et puis nous mîmes au lit. Dans le silence de la nuit, je me tournais vers Jane qui dormait paisiblement, profitant du calme dont nous étions privés à cause des pleurs des enfants à toute heure de la nuit. Je me collais à elle et déposais un baisé sur son cou avant de plonger mon nez dans cheveux et humer son parfum. Je passais un bras en dessous de sa tête et mis l'autre autour d'elle, nos jambes mêlés entre elles et me rendormi, bercé par son odeur.

Au petit matin, je sentis du mouvement dans le lit et ouvrant les yeux, je compris que Jane venait de se lever pour se préparer à aller travailler. - Non, non, Jane... ! - Dis-je en soufflant de fatigue et mettant mon coussin sur mon visage. - Pars pas ! - Suppliais-je comme un enfant. - Préviens l'hôpital que tu seras absente quelques jours, j'ai envie d'être avec toi ! -

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Elle me souri puis s'approcha de mon côté du lit pour m'embrasser. J'en profitais pour lui prendre le bras et la tirer vers le lit. Allongé, je me retrouvais avec Jane à califourchon sur moi. Je posais mes deux mais sur l'une et l'autre de ses jambes pour caresser sa peau blanche et douce. - Promets moi que tu ne seras pas longue !


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Jane Harrinton Bakkali
Directeur de St Mangouste
Jane Harrinton Bakkali


Date d'inscription : 26/12/2014
Messages : 186

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MessageSujet: Re: Fais moi rêver, bébé   Fais moi rêver, bébé EmptyDim 17 Oct - 21:01

Notre dernière péripétie de couple était notre mariage paradisiaque à Bali. Destination originale et lointaine mais Thaddée ne faisait jamais comme tout le monde. C’était en partie pour cela que je l’aimais. Oui Thaddée était l’homme qui était entré dans ma vie, il y a maintenant deux ans et cela faisait quelques mois déjà qu’il était devenu mon mari et l’homme de ma vie. Maintenant que j’avais une vie avec lui et que j’étais plus qu’installée et que nous avions eu des enfants ; je ne pouvais pas visualiser ma vie sans Thaddée. Il y avait un avant et un après Thaddée. Et je ne savais même plus comment j’avais fait sans lui. Bien sûr, rien n’était simple et rien ne serait simple. Après tout les histories d’amour, les vraies ; ne le sont jamais. C’est à cela qu’on les reconnait. Et c’est aussi cela qui leur donnait cette saveur et cette valeur. Je ne regrettais et ne changerai aucune étape de notre rencontre ou  de notre vie ensemble. D’un point de vue extérieur, on peut avoir l’impression que tout va très vite, trop vite et que nous ne réfléchissons pas à ce que nous faisons mais au sein de l’alchimie de notre couple, au sein de son énergie, toutes les étapes d’un couple se font naturellement pour nous. On y réfléchit mais pas trop non plus, rien n’est fait sur un coup de tête, loin de là mais les choses arrivent au moment où elles doivent arriver dans la dynamique de notre couple et même s’il y a des imprévus, comme les jumeaux, en fin de compte, ils s’insèrent presque naturellement avec nous. C’est la magie de notre duo.


Nous avions une belle vie mais surtout une vie très remplie. Des travails très prenants mais heureusement très passionnant pour chacun de nous, une vie toute aussi remplie en dehors, avec notre famille, à la maison ; sans parler de la famille au sens élargie du terme ; surtout celle de Thaddée. Il n’y avait pas moyen de s’ennuyer avec eux mais nous pouvions compter sur eux quant on en avait besoin. Evidemment, comme toute famille ou couple, rien n’est idyllique. Il nous arrive de nous disputer, d’hausser le ton parfois, de bouder et de s’envoyer de vacheries mais même si cela était explosif et cruel quand ça nous prenait ; ça ne durait jamais longtemps et nous nous retrouvions comme au premier jour. Nous ne pouvions faire la tête à l’autre très longtemps. Nous nous excusions, nous nous pardonnions et nous nous faisions d’innombrables baisers et étreintes. Généralement, la cause principale de notre emportement était la fatigue, surtout en ce moment. Avec les enfants qui grandissaient, nous voyions leur demande d’attention grandir proportionnellement, y compris Mansour. Nous faisions tout ce que nous pouvions pour répondre à ce besoin naturel sans prendre en compte notre travail et la fatigue qui vont de pair ; car les enfants n’y sont pour rien ; et je pense que nous y arrivions mais cela n’était pas sans répercussion sur notre couple et son intimité et sa communication. Nous ne prenions plus le temps de rien. Et c’était bien une chose que l’on s’était promis d’éviter afin que nous nous ne perdions pas de vue ; Thaddée et moi.


Je pense que les pensées de Thaddée avaient été proches des miennes car, un soir, en rentrant du travail, il m’avait annoncé que nous allions partir une dizaine de jours, ensemble, seule, à mon cottage. Je fus surprise de cette annonce mais heureuse, il va s’en dire. J’aimais mes enfants et la famille que nous formions mais j’étais aussi une femme et j’aimais mon mari et l’avoir rien qu’à moi, me manquait terriblement. Je voulais que nous retrouvions notre dynamique d’homme et de femme. Beaucoup d’hommes et de femmes se perdaient et il n’était pas question que ça m’arrive, que ça NOUS arrive. Je sautais alors au cou de Thaddée et lui susurrais à l’oreille que c’était une très bonne idée. Bien évidemment, les enfants resteront à la maison pour ne pas les perturber dans leur quotidien mais ils seront avec leurs grands-parents qu’ils adoraient. Grands-parents qui se plaignaient sans arrêt qu’ils ne les voyaient pas assez ; ce qui étaient faux mais au moins, cette surprise ravira tout le monde.  Nous laissions les enfants demain soir. Nous avions le temps de préparer nos affaires ; ce qui n’allait pas nous prendre énormément de temps car, nous avions chacun une garde-robe au cottage. Après tout, nous l’avions gardé pour ce genre de choses, pour que nous ayons un petit nid en Angleterre, près de notre travail ; et aussi parce que je n’avais pas voulu m’en séparer. Je m’y sentais tellement bien ! C’était l’endroit rêvé pour se retrouver avec Thaddée. Ce qui allait me prendre le plus de temps, c’est d’écrire la liste des habitudes de chacun des enfants et les recommandations à l’attention des parents de Thaddée. Même s’il y avait Dolores qui veillait au grain comme toujours, nous ne serions pas tranquilles si nous ne le faisions pas. Nous mîmes aussi des indications sur la gestion de la maison et des animaux ; car ils faisaient évidemment partis de la famille. Le moment venu, après une impatience mise à rude épreuve tout au long de la journée de travail, nous embrassâmes à multiples reprises les enfants. Oui, nous voulions nous retrouver mais les quitter n’étaient pas simple. Eternel problème. Nous partîmes enfin en direction du cottage. Il était tard. Thaddée m’invita dans un petit bistrot dans le centre ville londonien pour que nous puissions boire un verre, parler de tout et de rien et surtout relâcher la tension. Nous dinâmes dans le même endroit car il nous plut énormément.  Le dîner était simple mais très bon et en sortant de l’établissement nous étions repus et heureux. Un bonheur simple. Manger dehors demandait de l’organisation maintenant et non de l’improvisation. Nous rentrâmes chez nous. Nous prîmes une longue douche pour enlever la saleté de la journée et les courbatures de la fatigue en se faisant masser par les jets d’eau. En sortant, je revêtis un pyjama de soie et me mis sous les couvertures. La félicité simple. C’était délicieux, comme un chocolat mousseux dans le canapé avec un bon plaid chaud et un bon téléfilm de Noël. Thaddée vint me rejoindre, je le sentis. Il vint se coller à moi pour que nous prenions la position de la cuillère, comme nous aimions le faire pour dormir confortablement, mélangeant nos jambes, nos bras et me sentant envelopper par le corps sécurisant et musclé de mon homme contre moi. Je souris tout en gardant les yeux fermés et poussais un profond soupir de satisfaction. Nous dormîmes comme des ours en hibernation.


Je me réveillais avant mon réveil, lentement et en papillonnant. Apaisée de ma nuit. Je me dégageais lentement les pieds de ceux de Thaddée, pour ne pas le réveiller, et me levais. Je partis prendre un petit déjeuner complet : pain grillé, beurre, confiture, jus d’orange frais pressé, morceau de fromage et œufs brouillés. C’était un pur délice. J’avais de quoi tenir jusqu’à ce midi. Je pris un thé que je bus à petites gorgées tout en préparant le petit déjeuner de Thaddée. Contrairement à moi, mon cœur d’amour n’aimait pas le salé, le matin. Il était français sur le coup car il adorait les viennoiseries. Je lui mis alors un verre de jus d’orange pressé frais, deux pains au chocolat, deux croissants et deux tartines de pain avec soit du thé soit du café. La seule chose sucré qui serait bien capable de boire dès le matin, c’est du coca. Il en faisait une consommation démentielle. Je veillais au grain.


Une bonne chose de faite. Il restait à me laver rapidement le corps avant de m’habiller et de me maquiller pour aller au travail. Je passais dans la chambre pour prendre ma tenue du jour et je sentis du mouvement sur le lit. Ah, la belle au bois dormant est sur le point de se réveiller.


- Non, non, Jane…. ! entendis-je. Entendre la voix enrouée et ensommeillée de Thaddée m’avait toujours fait sourire, voir rire. Surtout sa manie de mettre un oreiller sur son visage que je trouvais trop mignonne. Pars pas ! me supplia-t-il comme un enfant ; ce qui accentua ma bonne humeur et la tendresse qui montait en moi. Préviens l’hôpital que tu seras absente quelques jours, j’ai envie d’être avec toi !


Je lui souris, prête à lui répondre quand, vif comme un diable pour quelqu’un qui vient de se sortir des bas de Morphée, il m’attrapa et me tira vers lui. Je me retrouvais allongée sur lui. Je me mis à califourchon et lui pris le visage entre les mains pour lui déposer un baiser sur les lèvres et sur le front tandis qu’il essayait de me faire flancher en me caressant les jambes.


- Promets-moi que tu ne seras pas longue !


- Promis juré ! Je ne resterai pas plus que nécessaire et essayerai même de partir dès que je le pourrai.


Je l’embrassais une dernière fois et me levais pour m’habiller dans la chambre sous le regard aimé.


- Je t’ai préparé ton petit-déjeuner. Je te le ramène dès que j’ai fini d’enfiler cette jupe déclarais-je tout en me tortillant comme un serpent.


Je n’étais absolument pas sexy et gracieuse quand je m’habillais. J’étais plus du genre Bridget Jones qui enfile sa culotte de maintien mais pour faire des efforts vestimentaires, j’estimais que c’était le minimum qu’on pouvait m’accorder, surtout ma belle-sœur. Je ramenais le plateau petit dej à mon amoureux et me maquillais en vitesse. Je mis une petite touche par-ci et une petite touche par-là et j’étais prête.

- A tout à l’heure, mon cœur !! Et ce soir, je serai tout à toi !! A toi d’avoir des idées pour en profiter au maximum
déclarais-je en souriant à la fois amoureusement et taquineuse tout en lui envoyant un baiser et en passant une main sur son torse.

Je le laissais avec cette phrase en tête pour l’occuper une bonne partie de la journée. Je transplanais en me demandant ce que je trouverai ce soir. Dans mon bureau, je mis ma blouse et mis ma casquette professionnelle sur le visage laissant l’autre Jane prendre le relais.
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Thaddée Bakkali
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Thaddée Bakkali


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MessageSujet: Re: Fais moi rêver, bébé   Fais moi rêver, bébé EmptyVen 29 Oct - 0:38

Je venais de me réveiller, après avoir senti le vide dans le côté où Jane dormait. Quand j'ouvris les yeux, je la vis en train de se préparer pour sortir. Vu comment elle s'état habillée, de manière très simple et sobre, je compris qu'elle allait partir travailler. - Non, non, Jane... ! - Dis-je en soufflant de fatigue et mettant mon coussin sur mon visage. - Pars pas ! - Suppliais-je comme un enfant. - Préviens l'hôpital que tu seras absente quelques jours, j'ai envie d'être avec toi !- Mon amoureuse s'approcha de moi avec un sourire tendre et j'en profitais pour la tirer vers moi. Elle retomba au dessus de moi, et se mit à califourchon - Promets-moi que tu ne seras pas longue ! - Je commençais à caresser, sa peau, sur ses jambes nues, espérant réveiller en elle un frisson érotique pour la convaincre de rester au lit avec moi. Cela fonctionna le temps d'un baisé sur la bouche, un autre sur le front, mais Jane était une acharnée du travail, et elle me laissa sur ma faim avec pour seule réponse - Promis juré ! Je ne resterai pas plus que nécessaire et essayerai même de partir dès que je le pourrai.

Elle sauta d'au dessus de moi en vitesse, prit une jupe et commença à se tortiller comme un cobra pour l'enfiler. Il faut dire que depuis que nous étions ensemble, Jane avait fait de sacré efforts vestimentaires ! Elle était passé du pantalon jean et T-shirt large à chemise moulante et jupe trop courte, ce qui était loin de me déplaire ! -  Je t’ai préparé ton petit-déjeuner. Je te le ramène dès que j’ai fini d’enfiler cette jupe - Dit-elle, me tirant de mes pensées lubriques du matin. Aussitôt dit aussitôt fait, elle s'éclipsa quelques minutes et revint avec un plateau qu'elle déposa sur mes genoux, avec dedans, des viennoiseries, un thé et un verre de jus d'orange. Je souris face à sa délicate intention mais je repris un air fermé pour lui montrer que j'étais déçu de son départ.
Elle prit ensuite place sur sa coiffeuse et commença à se maquiller en vitesse, avec classe, mais elle due remarquer mon air bougon car quand elle se releva, prête à partir, elle ajouta en souriant - A tout à l’heure, mon cœur !! Et ce soir, je serai toute à toi !! A toi d’avoir des idées pour en profiter au maximum ! - Elle finit sa phrase avec cette petite touche d'amour et de taquinerie qui me faisait craquer et que j'arrivais à déchiffrer. Ce soir, elle serai entièrement à moi, et sont sourire mi-amoureux mi-taquin était une invitation à la surprendre !

Je fit une moue de baisé et j'entendis ses bottines claquer sur le plancher en bois, puis la porte d'entrée de son cottage se refermer. - Bon... - Déclarais-je regardant à droite, puis à gauche, le sol, suivi du plafond. Je me mit à l'aise dans le lit et commençais à manger mon petit déjeuné si gentiment préparé par ma femme, tout en lisant la dernier numéro de La Gazette du Sorcier, que Jane avait placé sur le coin du plateau-repas. Les nouvelles était plus cinglantes les unes que les autres. On pouvait lire des titres tels que "Meurtre d'une famille moldue, les mangemorts sont-ils de retour?" ou alors "Explosion dans le Chemin de Travers : La piste d'un attentat moldu privilégiée par les aurors." Et naturellement, Rita Skeeter en faisait des pas mal non plus, dans la rubrique potins "La veuve di Salvo serait-elle en train de virer de bord?" faisant référence au rapprochement, assez intime je dois dire, entre entre Hana di Salvo Lupin et ma sœur Edith. - Ce qu'il faut pas lire comme conneries...

Une fois aillant fini de lire et de manger, je me motivais à quitter le lit. Je m'habillais en tenue de sport pour aller courir dans le bois avant de rentrer prendre une douche et sortir en ville faire un tour. Avant de partir, j'emmenais le plateau à la cuisine et vis que Jane avait laissé sa vaisselle dans l'évier. Je mis ma vaisselle dedans également et d'un tour de baguette, celle ci commença à se nettoyer seule. Il faut dire Jane était bonne pour énormément de choses, mais pour ce qui était faire la cuisine et nettoyer la vaisselle, elle était restée au stade de "faites le et je vous regarde" ! Je souris à cette pensée, puis, à petite foulées je quittais le domicile en direction de la forêt.
Je revins une heure plus tard, avec des mûres, des baies et du groseille que j'avais collecté dans les bois, ainsi qu'un rameau de fleurs sauvages composé de fleurs sauvages que je ne pouvais identifier (J'avoue avoir séché beaucoup de cours de botanique...).

Une fois rentré, je mis les fruits dans un petit pot dans le réfrigérateur et les fleurs dans un vase avec de l'eau et du sucre, orientées vers un timide rayon de soleil qui pénétrait dans le salon par une fenêtre.
Ensuite, satisfait de mon bouquet que je regardais en souriant, je montais à l'étage pour prendre une douche. Hmm, la sensation de l'eau froide qui nettoie mon corps de toute la sueur et qui réveille bien le reste de muscles que je n'avais pas travaillé en courant... Géniale !
Nu, je pris une serviette et me séchais, insistant bien sur les plis, à savoir, le cou, les dessous de bras et le sexe. Oh ! En parlant de sexe, il y en a un qui fait coucou, là en bas ! C'était inévitable... - Désolé mon grand, Jane m'a pas laissé le temps de te faire plaisir ce matin ! - Mais je me rendis compte en me regardant dans le miroir, que j'étais là, nu, en train de parler à mon membre viril. - Mon dieu j'ai des conversation avec mon sexe ! - Et j'explosais de rire avant d'aller m'allonger, toujours nu, dans le lit  pour prendre le coussin de Jane et l'écraser sur mon visage pour m'imprégner de son parfum. - Humm, Jane... - Dis-je dans un soupir et encore une fois, mini Thaddée se réveilla. - T'inquiète pas va, on la punira une fois rentrée ! - Et ce n'est que là, à cet instant précis, que l'idée m'est venue, comme une révélation divine !

Sans perdre de temps, je m'habillais en vitesse (c'est une ironie, en vrai j'ai encore mis 1000 ans à me décider) et je transplannais devant chez Goya. Son quartier en plein centre ville était ma seule référence niveau sécurité pour les sorciers car aucun moldu n'osait s'y aventurer, sous peine de se faire tuer avant même d'avoir eu le temps de cligner des yeux. Les sangs purs lui plus riches et malfaisants vivaient là et ils étaient plus que décidés de tuer tout individu se comportent de manière trop "moldue" à leur goût. Je pouvais à présent quitter les lieux et me mêler aux moldus dans le reste de la ville, essayant d'éviter au maximum l'usage de magie.

Me promenant dans les rues londoniennes, je passais devant quelques magasins de vêtements de luxe, et bien entendu, je ne pouvais pas m'empêcher de rentrer faire un tour et ressortir avec des sacs entiers... Mais j'avais acheté des choses pour moi, ainsi que pour Jane et les gamins ! Après on dira que je ne suis pas un bon chef de famille ! Tsss ! Mais ce n'était pas ce que je cherchais. A la base, je cherchais une boutique que l'on appelle Sexshop, car une idée bien en tête avait élu domicile dans ma tête. J'allais faire découvrir à Jane un univers sexuel que moi-même je n'avais plus visité depuis longtemps; depuis mes années d'élève à Durmstrang en fait, ou un ou deux ans après mes études.

Une fois arrivé à Oxford Street, je trouvais mon paradis. Plein de boutiques aux panneaux scintillants et lumineux avec le mot Sexshop écrit en différents charactères et polices, des néons rouges, ou violets qui clignotaient, illuminant des photos et des magazines pour adultes, avec dessus, des modèles de charme tous retouchés avec des programmes d'ordinateur. Je pénétrais dans l'un de ces commerces et commençais à regarder un peu les articles qu'ils vendaient. Je trouvais des objets aux formes et couleurs diverses et particulières, des CDs et des cassettes vintage de films érotiques anciens et d'actualité, une musique chill-out apportait une ambiance de vice dans les lieux. On peut dire que deux ans et demie en arrière, on aurait pu dire que c'était mon idéal de paradis ! Mais maintenant j'ai Jane, et elle est le seul petit morceau de paradis dont j'ai besoin dans ma vie.

Voyant que je regardais un peu tous les articles exposés et faisant joujou comme un "enfant?" avec tous les gadgets, une jeune femme que je compris être la vendeuse du magasin m'apostropha - Bonjour monsieur, puis-je vous renseigner? - Je la regardais un bref instant, le temps de me recentrer sur le pourquoi j'étais là. Je reposait cet énorme engin rose et noir en forme de courgette qui vibrait à une vitesse folle - Oui ! Oui ! Je crois que vous pouvez m'aider effectivement ! Je cherche les instruments qu'on utilise dans les expériences BDSM. - La jeune femme me toisa un moment avec un petit sourire narquois avant de me répondre - D'accord, est-ce que c'est pour un couple expérimenté ou débutant? - Demanda-t-elle m'observant de la tête aux pieds, analysant le moindre détail de mon physique et de mes habits ainsi que mes sacs de shopping signés des grandes marques. - Je dirais un couple de novices. - Puis, comprenant ses intention me concernant après l'avoir vue se mordre la lèvre inférieur tout en me regardant, je lui montrais mon alliance en or, bien accrochée à mon doigt - Je souhaite faire découvrir à mon épouse quelque chose de nouveau ! - Quand elle vit ma bague, elle coupa court son expression séductrice et me demanda alors gentiment de la suivre dans une autre pièce de la boutique, éclairée avec des néons rouges de partout, et des cordes noirs pendaient du plafond, des chaines de toutes les tailles étaient accrochées dans les rayons, des harnais en cuir venaient serrer le corps des nombreux mannequins exposés, des déguisement en latex, des gants, des couteux non aiguisés, des bougies rouges avec la mèche noire, des plugs, des boules de geisha, des martinets, des cravaches et des fouets... Je me revoyais dans les orgies entre élèves !!

La jeune demoiselle me donna des conseils d'utilisation pour chaque objet, comment faire durer le plaisir, m'aida à sélectionner les objets, notamment le harnais, car Jane était extrêmement fine, et il était difficile de trouver un harnais en taille XXS. Heureusement, elle en avait quelques uns dans la réserve car très peu de clientes aillant cette morphologie venaient acheter ce produit. Au fur et à mesure que je passais du tems dans la boutique, je sympathisait avec la vendeuse, et nous échangeâmes nos coordonnées, tant et si bien que nous avons fini par nous raconter nos vies intimes et à nous donner des conseils mutuellement, tout en partageant nos craintes dans la bonne humeur. - Avec ma femme, des fois je fais les choses très doucement, car j'ai peur de la casser en deux ! J'oublie qu'elle est faite de chair et d'os aussi ! Elle a l'air tellement fragile, alors qu'en fait, c'est une vraie tigresse ! C'est elle qui me fait accélérer la cadence quand elle trouve que je n'y mets pas assez de vigueur !

Après un dernier échange rigolo, vint le moment de passer en caisse. Je n'avais plus d'argent moldu sur moi, aillant presque tout dépensé en vêtements, accessoires et bijoux. Je n'avais que des gallions sur moi, et je cherchais un moyen de quitter cette boutique sans que la vendeuse crie au secours en recevant de l'argent sorcier. Mais je compris que ma seule option était de dire la vérité... ou presque ! - Bon, écoutez, je n'ai plus d'argent, mais j'ai réussi à obtenir de la monnaie de sorciers, j'espère que vous prenez? - La vendeuse, qui répondait au prénom de Karen me regarda un moment, puis son regard se fixa sur l'argent que je posais sur son comptoir. Elle le prit et tira un tiroir pour les ranger et dans lequel, à ma grande surprise, je vis, cachée, une baguette magique - Vous n'êtes pas un bon menteur monsieur. Mais n'ayez crainte, je suis comme vous, et moi aussi je me cache.

Je la remerciais pour tous ses bons conseils et la bonne rigolade avant de partir à Leicester Square, chez Goya. Je montais la voir dans son penthouse et bu un café avec elle, puis le soir arrivé, je transplannais au cottage de Jane. Elle n'était toujours pas rentrée. Génial ! Je partis en courant dans la chambre et cachais tout ce que j'avais acheté, laissant juste traîner sur le lit des pétales de rose rouge d'un bouquet que j'avais acheté chez un fleuriste avant de rentrer ce que j'ai acheté dans les boutiques de fringues. Il était 19:30 et Jane allait arriver dans la demie heure ! Je me précipitait vers la salle de bain fit couler un bon bain chaud. Je le programmais magiquement pour qu'l cesse de couler dès qu'il sera plein et qu'il maintienne l'eau à température agréable, pas trop chaude ni trop froide, tandis que je courais vers la cuisine pour préparer le dîner. Je n'avais personnellement rien mangé de la journée depuis le petit déjeuné et j'ignorais si ma femme avait mangé, mais je suis persuadé qu'elle ne dira pas non à un bon repas préparé par mes soins.
N'aillant pas grand chose à manger dans le cottage car nous avions à peine eu le temps de faire deux ou trois courses depuis notre arrivé, je préparais des spaghetti bolognaise. C'était facile, rapide et ça faisait toujours plaisir à l'estomac !! Je mis un peu de musique, allumais la cheminée car le froid du soir commençais à tomber, et mis aux fourneaux.





Pendant que les spaghetti cuisaient, je disposais la table du salon. Lumière tamisée grâce au feu dans la cheminée, bougies allumées, coupe  de vin rouge pour moi et verre d'eau plate pour Jane qui ne supportait pas le goût de l'alcool. Tout était nickel !
Avec toutes les flammes allumées, je commençais à avoir chaud, je retirais donc mon T-shirt et continuait la préparation de ma sauce bolognaise torse nu. J'entendis, chantonnant doucement la musique que j'avais mis, dansant également au rythme doux de la chanson en cours. Au moment de mettre du basilic dans la sauce tomate qui cuisait dans une casserole, je sentis l'étreinte si féminine de Jane autour de moi et un petit baisé sur le bas de ma nuque. - Salut toi - dis-je d'une voix mielleuse avant de jeter un petit coup d'œil en arrière vers elle. - Tu as passé une bonne journée? - Elle me répondit puis je me tournais vers elle pour déposer un baiser sur son front - Je t'ai fait couler un bain, il n'attend plus que toi !

Elle s'éclipsa en souriant puis deux minutes plus tard, je me souvint que j'avais laissé les pétales de rose sur le lit. J'éteignis le feu de ma cuisson et montait les escaliers quatre à quatre pour la rejoindre, et je la vis passer sa main sur les draps en satin, caressant les fleurs, en même temps qu'elle déboutonnait d'une main sa chemise. Quand elle la fit tomber, je m'approchais derrière elle en silence et la prit par les épaules pour la tourner vers moi et je l'embrassais. Un baisé fougueux qui, nous faisant perdre l'équilibre, nous fit tomber sur le lit. Toujours dans un spirale de baisés, je commençais à attaquer son cou avec mes baisés, descendant jusqu'à sa poitrine, et défaisant son soutien gorges avec mes mains. Je continuais de descendre jusqu'à son nombril, où je commençais à jouer avec ma langue sur son piercing, une main lui caressant les seins, l'autre, déboutonnant sa jupe. Une fois que j'ai réussi, je glissais ma main sous sa culotte toute chaude de la journée et commençais à caresser son sexe. Il était chaud et doux. Son maillot taillé en brésilienne était soyeux et plus je laissais mes doigts glisser en profondeur de sa culotte, plus je sentais que ma bien aimée était trempée. Je remontais mes doigts jusqu'à ma bouche et les léchais. Un goût de sueur et de fleur d'oranger, arôme d'une longue journée de dure labeur. J'adorais ça ! Une chose menant à l'autre, nous fîmes l'amour comme au premier jour, et nous recommençâmes le rituel dans la baignoire une fois de plus.

Après avoir prit le bain ensemble, dans le calme, comme à notre habitude, profitant du silence complice et harmonieux que nous seuls comprenions. Nous en avions besoin de ce silence. C'était un moment de partage, ou nous étions liés, complètement connectés l'un à l'autre, par des simples caresses, des regards ou des baisés et des papouilles sur le corps. Jane venait toujours appuyer sa tête contre mon torse. Entendre mon cœur battre, pour elle surtout, et le rythme de ma respiration, l'ont toujours apaisée. - Bon, je crois les repas est froid - dis-je décalant du doigt une mèche de ses cheveux mouillés qui pendait sur sa joue. - Je me dégageais doucement de son étreinte tout en disant - Attends bae, je vais aller réchauffer ça ! Je t'attends en bas ! - Je déposais un dernier baisé sur ses lèvres en me penchant nu devant elle, et m'enroulais dans mon peignoir, avant de descendre pieds nus jusqu'à la cuisine pour allumer le feu sous la casserole afin de réchauffer le diner. Je fut rejoint dix minutes plus tard par la plus belle des créatures, emmitouflée dans son peignoir, ses cheveux enroulés dans une serviette. Elle prit place sur le canapé tandis que je faisais les dernières manœuvres avec les assiettes remplies de spaghettis, les couverts et un petit bol de parmesan râpé. Jane décida du film à regarder en même temps qu'on mangeait.

Tout en mangeant et regardant le film, Jane me raconta sa journée qui semblait être épuisante et je lui racontais la mienne également - Moi je n'ai pas fait grand chose, je suis sorti faire un jogging en forêt peu de temps après ton départ, ensuite je suis allé faire un tour en ville, et à ce propos, j'ai chauffé la carte bancaire moldue ! J'ai fait du shopping et j'ai quelques petits cadeaux pour toi et pour les enfants ! Je te les montre quand on montera se coucher ! Et après... Je suis allé chez Goya, on a bu un café ensemble et elle m'a présenté sa nouvelle collection de talons hauts et de manteaux de fourrure. Voilà, petite journée tranquille ! Rien de bien fou comparé à toi ! - Nous nous allongeâmes sur le canapé, mon bras sous sa tête et nous continuâmes de regarder le film, jusqu'à ce que je sentis que mon amoureuse s'était endormi, éreintée par sa journée de travail. Je fût attendri par son visage calme et doux, très différent du visage sérieux et autoritaire qu'elle montrait sur son lieu de travail. Si ses subordonnés la voyaient, ils auraient du mal à la reconnaître ! Je glissais délicatement mon bras sous sa tête sans la réveiller et après multiples acrobaties, je réussi à me mettre debout sans la réveiller. Je la pris dans mes bras et la portais jusqu'à notre chambre. Le lit était encore couvert des pétales de rose qui n'avaient pas fini par terre ou collés à nos corps lors de nos ébats, mais d'un petit mouvement de doigts orienté vers eux, ceux si s'envolèrent doucement et commencèrent à se coller jusqu'à former une rose entière, qui se posa en douceur sur la table de chevet de Jane, à côté de ses romans Jane Austen et ses recueils de poèmes signés Emily Brontë.

Je posais doucement Jane sur le lit et prit ma baguette pour lui jeter un sort. Son peignoirs et la serviette sur sa tête disparurent, laissant place à une nuisette en soie couleur rouge bordeaux, avec des broderies noires en dentelle. Je redescendis au rez-de-chaussée pour mettre un peu d'ordre, et laissais la magie se charger du nettoyage. J'éteignis les bougies et la cheminée, puis remontais pour me mettre au lit également. J'enlevais mon peignoir et rentrait sous les draps, nu, déposais un baisé sur la tête de Jane, profondément endormie et comme chaque nuit, je plongeais mon nez dans ses cheveux, pour m'endormir bercé par son parfum.

Le matin, je fût réveillé par le bruit de la pluie qui tombait intensément à l'extérieur. Une odeur de terre mouillée et d'herbe fraiche embrumait le petit cottage. J'adorais cette odeur de nature. Cela ne m'étonnais guère que Jane eut acheté ce petit coin de paradis, complètement isolé de la civilisation. Nature et calme, rien de mieux pour vivre bien et longtemps !
Et comme tout homme en pleine force de l'âge, je me réveillais avec une érection matinale. Mon pénis durci et la pointe caressait le fessier de mon épouse, ce qui ne m'aidait pas à me calmer. Je pensais alors à Jane, qui, au matin de mon trentième anniversaire, m'avait fait une petite gâterie pour me réveiller. Soulevant la couverture, je la retrouvais avec mon pénis dans la bouche. Et pourquoi pas lui rendre la pareille?
Sinueusement, je me glissais sous la couverture et allais me positionner entre ses jambes. Je soulevais  sa nuisette et séparais ses jambes délicatement. Je commençais par embrasser en douceur la peau douce et chaude de l'intérieur de ses cuisses, remontant petit à petit vers sa vulve, pour enfin engloutir avec ma langue et mes lèvres l'intégralité de son sexe, embrassant, léchant, mordillant avec finesse chaque partie de son sexe. Comme prévu, elle commença à mouiller et je continuais mes assauts tandis que Jane, moitié réveillée, moitié endormie commença à se tortiller avec paresse dans le lit, poussant des gémissement. Quand je sentis ses doigts délicats agripper mes cheveux, je compris qu'elle était réveillée. Je remontait alors doucement jusqu'à son visage sans jamais m'arrêter de lécher son corps, et sans même nous dire bonjour, rien qu'en échangeant un regard, nous nous embrassâmes goulument. Je me mis alors correctement en position, et je rentrais en elle suavement. Il n'y a pas une autre manière au monde de bien commencer une journée qu'en donnant et recevant du plaisir de l'amour de sa vie. Dans mon élan et ses gémissement, j'arrêtais de basculer le bassin, et prit le temps de regarder son regard frustré d'avoir arrêté, puis je souris - Je t'aime tellement ! - Je l'embrassais et reparti de plus belles jusqu'à la faire jouir et jouir à mon tour.



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Jane Harrinton Bakkali
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MessageSujet: Re: Fais moi rêver, bébé   Fais moi rêver, bébé EmptyDim 21 Nov - 18:27

La journée avait été particulièrement mouvementée et remplie. Je n’ai pas pu m’ennuyer ou m’arrêter plus d’une demi-heure pour manger ce midi.  Cela avait été rapide mais salutaire pour reprendre des forces et refaire le plein d’énergie. Je n’ai pas eu le temps de penser à Thaddée et aux occupations qu’il a pu se trouver en m’attendant ou les possibles scénarios qu’il a pu imaginer pour nous, ce soir ; afin que nous profitions de notre petit séjour à deux.

Je redoublais d’efforts pour finir mon travail avant la tombée de la nuit comme je l’avais promis à mon mari. Il y avait toujours beaucoup à faire mais j’aimais ça. Je venais de finir ma liste de tâches à faire quand je regardais ma montre en me dirigeant vers mon bureau. Il était 19h30. Je souris. J’étais dans les temps. Il ne me restait plus qu’à signer et poser les documents pour demain sur le bureau de Sophie et je pourrais partir me réfugier dans mon cottage au fin fond de la forêt anglaise en compagnie de mon mari. Quelques dizaines de minutes plus tard, je fermais mon bureau et transplanais vers mon chez moi.

Quand je passais le pas de la porte, je sentis une délicieuse odeur d’oignons, de tomates et de viandes. Je reniflais et me léchais les lèvres. Mon estomac se réveilla immédiatement en grondant. Je souris. Thaddée faisait les spaghettis bolognaise comme un chef ! Me dirigeant vers la cuisine, je vis un bouquet de fleurs sauvages près de la fenêtre. Je le trouvais trop mimi et je souris de tendresse. Il y avait également des fruits et des baies. Mon mari avait donc fait un tour en forêt. Il n’avait pas manqué d’occupation (fleurs, fruits, feu, dîner, table, ambiance cosy, etc) et je remarquais que je n’avais rien à faire, juste à me poser. Le rêve. Je n’avais pas fait assez de bruits car Thaddée ne se retourna pas. Je souris de malice, posais mes affaires et sur la pointe des pieds ; je m’approchais de mon mari, torse nu avant de l’encercler de mes bras et de poser ma joue sur son dos en soupirant d’aise.

- Bonsooirr, mon cher mari !
murmurais-je en lui faisant un baiser sur sa nuque.

- Salut toi – dit-il d'une voix mielleuse avant de jeter un petit coup d'œil en arrière pour croiser mon regard. Tu as passé une bonne journée?


- Bonne et très bien remplie et utile ! Je me suis même un peu avancé.


Thaddée m’écoutait toujours avec attention et c’était très réconfortant après une journée de labeur. Il se tourna alors vers moi et me déposa un baiser sur le front. J’aimais ces petits moments de tendresse enfantine.


- Je t'ai fait couler un bain, il n'attend plus que toi !


- Tu es un chef !! Je ne pouvais pas rêver mieux ! susurrais-je radieuse.

Je me sauvais alors vers l’étage pour savourer ce bain offert. J’enlevais mes vêtements avec soulagement et un peu d’empressement tout en remarquant les pétales de rose rouge que mon mari avait disposées sur le lit. Il était vraiment parfait dans ces moments-ci. Un vrai gentleman comme il y en a peu. Il avait tellement de facettes différentes dans cet homme. Une panoplie complète et colorée qui vont d’un extrême à un autre ; et qui pouvait être déstabilisant pour les autres. Moi, j’ai réussi à le comprendre et à l’appréhender. Je caressais les pétales de rose avec une de mes mains et de l’autre, je commençais à déboutonner le dernier vêtement qu’il me restait : ma chemise.

Je sentis la présence de Thaddée avant de sentir son contact sur mes épaules avant qu’il ne me tourne vers lui et m’embrasse. Un baiser fougueux qui, nous faisant perdre l'équilibre, nous fit tomber sur le lit. Je ris tout en continuant cette étreinte qui se prolongeait avec les assauts de Thaddée dans mon cou, ma poitrine. Il s’attaquait maintenant à mon soutien-gorge tout en faisant des assauts sur toutes les parties de ma peau qui tombaient sous ses mains. Ce qui ne manquait pas, vu que je n’avais vraiment plus beaucoup de vêtements sur moi. Il commença à caresser ma partie la plus chaude et la plus intime. Voilà qui me titillait. J’avais dû lui manquer terriblement aujourd’hui ! Un geste menant à un autre, nous nous retrouvâmes dans une spirale érotique et de désir et nous fîmes l’amour comme si nous venions de nous rencontrer et de nous découvrir. C’est ça qui était magique et appréciable. La routine et les années n’avaient pas éteints notre désir et notre faim sexuel, l’un de l’autre. C’était la chose la plus triste qui puisse arriver à un couple. Le lit, le bain furent les lieux, témoins de cette envie et de cet amour, toujours présents.

Nous profitâmes tout de même d’un réel bain relaxant ensemble en profitant d’un silence complice et harmonieux que nous seuls comprenions. Nous en avions besoin de ce silence. C'était un moment de partage, ou nous étions liés, complètement connectés l'un à l'autre, par des simples caresses, des regards ou des baisers et des papouilles sur le corps. Juste un moment de complicité et de connexion parfait. Je laissais tout mon corps se détendre et profiter de la chaleur du bain et de Thaddée. Je me laissais aller contre son torse. Entendre son cœur battre et le rythme de sa respiration, m'ont toujours apaisée, comme un véritable médicament.


- Bon, je crois que le repas est froid dit-il décalant du doigt une mèche de mes cheveux mouillés qui pendait sur ma joue et cachait une partie de mes yeux ; tout en se dégageant doucement de mon étreinte. Je vais aller réchauffer ça ! Je t'attends en bas !

Tout en disant cela, il déposa un dernier baiser sur mes lèvres tout en mettant en avant sa nudité. Je ris et le poussais à aller s’occuper de notre repas tout en me rallongeant dans l’eau chaude en fermant les yeux pendant quelques minutes pour profiter de ces derniers instants dans la mousse. Je le rejoignis peut-être dix minutes plus t ard, dans la cuisine, en peignoir et les cheveux dans une serviette, encore chaude et relaxée par ce bain. Je le laissais finir le dîner pendant que je me prélassais sur le canapé. Thaddée arriva avec les assiettes et le bol de parmesan râpé et je me décidais à choisir un film à regarder.


- Qu’as-tu fait aujourd’hui pendant que je travaillais ? le questionnais-je intéressée.


- Moi je n'ai pas fait grand chose, je suis sorti faire un jogging en forêt peu de temps après ton départ, ensuite je suis allé faire un tour en ville, et à ce propos, j'ai chauffé la carte bancaire moldue ! J'ai fait du shopping et j'ai quelques petits cadeaux pour toi et pour les enfants ! Je te les montre quand on montera se coucher ! Et après... Je suis allé chez Goya, on a bu un café ensemble et elle m'a présenté sa nouvelle collection de talons hauts et de manteaux de fourrure. Voilà, petite journée tranquille ! Rien de bien fou comparé à toi !


- Tu as quand même fait des choses et beaucoup plus plaisantes que moi souris-je. Goya va bien alors ?

Je lui pris la main et l’entraînais alors vers le canapé pour qu’on se remette en mode cocooning, pressé contre mon mari pour regarder la fin du film d’aventure que j’avais choisi parmi tant d’autres. Avec la fatigue du travail et de nos ébats amoureux ; je me sentis couler dans le royaume de Morphée en douceur et je ne vis pas la fin du film. J’étais dans un sommeil très profond et réparateur. Un sommeil de plomb.

Je ne fus réveillée que le matin par des sensations exquises entre mes cuisses. J’étais encore dans les méandres du sommeil mais je me réveillais en douceur et de la manière la plus délicieuse qui fut. Plus je sentais les caresses, plus je me réveillais avec douceur, profitant de ce que mon mari me donnait. Quel réveil ! Je me tortillais de désir et avec la paresse du sommeil encore présente. Tout dans la volupté ! Je me laissais faire sans protester et même avec impatience. Cette journée s’annonçait sous de bons hospices ! Le désir monta en crescendo et je commençais à gémir et je saisis les cheveux de Thaddée entre mes doigts pour lui faire comprendre que j’étais réveillée mais surtout que j’aimais ce qu’il me faisait et qu’il avait intérêt à continuer son manège. Il remonta le long de mon corps mais sans pour autant le laisser tranquille (ce qui me convenait bien). Nous nous embrassâmes sans nous dire bonjour mais un regard suffisait ! C’était comme ça entre nous. Nos regards en feu, nous ne pouvions plus attendre et Thaddée entra en moi aussi tendrement que suavement ce qui fit monter encore plus ma température, si cela était possible. Ma fougue monta d’un cran et je profitais de tous les mouvements de bassin de mon homme. Je fermais les yeux avec un sourire. Mais d’un coup, il s’arrêta et j’ouvris immédiatement les yeux de frustration. Il souriait.


- Je t’aime tellement !
- Je t’aimerai tout autant si tu n’avais pas arrêté le taquinais-je tout en lui caressant le visage et en donnant un coup de bassin pour le pousser à redémarrer. 

Il recommença alors de plus belle et je me remis dans l’esprit qui convenait. Et j’explosais suivit de Thaddée, très peu de temps après. Une fois, la tension redescendue, je tournais la tête et vit la rose sur ma table de chevet à côté de mes livres de Jane Austen et mes poèmes d’Emily Brontë. Je souris.


- Ne bouge pas, je vais te préparer un bon petit-déjeuner de guerrier et de sex-appeal ! Il te faut de la force car je suis au plus haut de ma forme déclarais-je en sautant du lit toute guillerette.

Je me dirigeais vers la cuisine et commençais à préparer différents plats : pains grillés, beurre, confiture, beurre de cacahuètes, sirop d’érable pour aller avec les pancakes, des œufs brouillés, du bacon, des saucisses, du fromage, des œufs coulants, des pains au chocolat, des croissants et des pains aux raisins, un gâteau yaourt, des sablés avec du jus d’orange pressé, du jus de pomme, du café et du thé. Je mis tout ça dans plusieurs plateaux et les levais magiquement pour qu’ils me suivent jusque dans la chambre.


- Le service est là !! J’ai mis tout ce qui me venait en tête. S’il te manque quelque chose, dis-le-moi, bel étalon.

Je sautais sur le lit en renversant un peu les tasses et m’écrasais sur Thaddée en l’embrassant comme une gamine.


- Que veux-tu manger en premier ? questionnais-je avec un sourire d’innocence en prenant un morceau de croissant et en le mettant dans ma bouche et dans la sienne. Oh fait, tu n’as pas eu le temps de me dire ce que tu avais acheté hier pour les enfants et moi. Tu me montres après ? Avant je vais te gaver pour mieux te manger après ! (sourire carnassier aux lèvres). Je pris une saucisse et commençais à jouer avec tout en taquinant Thaddée et en lui fourrant dans la bouche même si je l'avais dans la mienne de l'autre côté.
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Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


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MessageSujet: Re: Fais moi rêver, bébé   Fais moi rêver, bébé EmptySam 2 Avr - 1:25

Quel meilleur moyen de se réveiller qu'en aillant un orgasme dès le matin? La réponse en quelques mots là voici, faire en sorte que son ou sa partenaire de jeux en ait un aussi. Et en ce qui nous concernait Jane et moi, nous étions comblés, cette matinée ! Après avoir joui, j'ai continué à donner quelques coups de reins, mon appétit sexuel n'étant toujours pas satisfait (c'est toujours le matin que c'est le plus dur, ensuite normalement, ça se calme...) mais Jane finit par me faire arrêter lorsqu'elle se sentit exploser à nouveau, et serrant ses jambes autour de moi, je vint à mon tour et lâchait prise en elle dans une chorale de gémissements. Après quoi, je me dégageai lourdement et avec beaucoup de paresse d'au dessus d'elle, et l'embrassais avant de m'affaler complètement sur le dos au dessus de notre lit, la main droite sous la tête, la gauche sur mon torse, respirant bruyamment pour reprendre mon souffle. Sentant encore mon sperme couleur à petite goûtes sur mon ventre, j'ouvris le petit tiroir de ma table de chevet et sortit des mouchoirs pour m'essuyer et en donnait quelques uns à Jane pour essuyer sa vulve de par laquelle s'échappaient également mon sperme mêlé à sa cyprine. - Ne bouge pas - Déclara-t-elle une fois nettoyée. - Je vais te préparer un bon petit-déjeuner de guerrier et de sex-appeal ! Il te faut de la force car je suis au plus haut de ma forme - déclara-t-elle en sautant du lit toute guillerette.

Elle se leva et quitta la pièce, en direction de la cuisine. dirigeais vers la cuisine. Au bout d'une vingtaine de minutes, elle revint avec pains grillés, beurre, confiture, beurre de cacahuètes, sirop d’érable pour aller avec les pancakes, des œufs brouillés, du bacon, des saucisses, du fromage, des œufs coulants, des pains au chocolat, des croissants et des pains aux raisins, un gâteau yaourt, des sablés avec du jus d’orange pressé, du jus de pomme, du café et du thé. Le tout, posé sur un plateau de lit qui flottait derrière elle et qui vint se poser sur eu dessus de mes jambes. - Le service est là !! J’ai mis tout ce qui me venait en tête. S’il te manque quelque chose, dis-le-moi, bel étalon. - Je souris à son compliment et elle sauta sur le lit en renversant un peu les tasses avant de s'écraser contre moi et m'embrasser comme une gamine.

- Que veux-tu manger en premier ? - Demanda-t-elle avec un sourire d’innocence en prenant un morceau de croissant et en le mettant dans sa bouche et dans la mienne. Je croquais un morceau avant de dire la bouche pleine - Je vois que tu as fais le choix pour moi ! - Elle ne répondit pas à ma remarque et croissant en main, sourire aux lèvres, elle ajouta - Oh fait, tu n’as pas eu le temps de me dire ce que tu avais acheté hier pour les enfants et moi. Tu me montres après ? Avant je vais te gaver pour mieux te manger après ! - Finit-elle avec un large sourire enjôleur et carnassier. - Ah oui, t'es comme ça toi maintenant? - Dis je en levant les sourcils et la regardant avec un sourire. - J'ai fais de toi une femme pourrie gâtée ! - Ajoutais-je en ricanant. Elle prit une saucisse et commençais à jouer avec tout en me taquinant. Je comprenais qu'elle était en train de jouer avec moi. J'avais saisi le message. Ma tendre épouse était d'humeur coquine et j'allais avoir du pain sur la planche ! Elle prit délicatement un bout de la saucisse dans sa bouche et s'approcha de moi lentement, dangereusement, m'invitant à attraper l'autre bout, ce que je fis, et ainsi, morceau après morceau, sans lâcher prise, nous nous embrassâmes.

Une fois le petit déjeuné terminé, je posais le plateau sur le sol et demandais à Jane d'approcher pour se blottir contre moi. - Merci ma chérie, c'était excellent !
Nous restions là, ma main se baladant le long de son bras, lui faisant des caresses tandis qu'elle appuyais sa tête contre mon torse, écoutant tous les deux la pluie qui battait son plein à l'extérieur.

- C'était bon ! Je veux dire, le petit déjeuné oui, mais la partie d'avant ! Tu étais endiablée ! - M'exprimais-je en regardant le plafond avec un sourire hébété, comme si je venais de le faire pour la première fois. - Tu as aimé? - Questionnais-je ma belle épouse, me souciant de son plaisir à elle aussi. Si elle me répond que non, cela aurait été avec joie que je reprendrai la besogne ! - Je pourrais te refaire l'amour jusqu'à la fin de nos vies ! - Je me mis légèrement au dessus d'elle et nous commençâmes à échanger des baisés, puis je m'arrêtais en souriant et me levais du lit, m'éclipsais quelques secondes et revint avec tous les achats que j'avais fait la veille. - Tu as dis que tu voulais savoir ce que j'ai acheté? Alors lèves toi, tu vas défiler pour moi ! - Je posais les sacs de shopping à même le sol, mis un boxer et la tirais du lit. Et attends, je vais chercher le polaroïd ! Je me précipitais vers le salon, au rez-de-chaussée puis remontais tout aussi vite avec l'appareil en main, avant de me jeter sur le lit et m'allonger les jambes séparées, appareil en mains, prêt à prendre des photos de Jane.

Jane ouvrit alors les paquets et les sacs de shopping et commença à regarder en souriant tout le bazar que j'avais acheté. Des vêtements pour nos trois enfants, des déguisements, des pyjamas, des jouets... puis vint le tour de déballer tout ce que j'avais pris pour elle, et commença à se dévêtir pour essayer ces fringues qui lui donnaient un air tantôt de grande dame tantôt de femme fatale ! Moi, allongé sur le lit, j'en profitais pour prendre en photo sa nudité dévoilée. Si en effet je l'aimais quand elle était habillée, je la préférais nettement quand elle ne portait rien sur elle ou alors juste en sous-vêtements ! Et quels sous-vêtements ! Depuis que nous étions ensemble, sa collection de strings et de culotte en dentelle n'a fait qu'accroître, à mon plus grand plaisir, je l'admet !

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Après nous être bien amusés à faire le shooting, qui avait réveillé ma virilité jamais rassasiée, je posais le polaroïd sur la table de chevet près de moi et lui fît signe de venir s'allonger à mes côtés. Je l'embrassais goulument puis claquais des doigts pour qu'une chanson que j'aimais beaucoup par son rythme calme et sensuelle se mette en marche, dévoilant mes intentions envers elle. Quand les premières notes se firent entendre, je me séparais de son étreinte et me positionnais devant le lit, en boxer, pour chanter au rythme de la chanson tout en dansant doucement et mimant les paroles, qui ma foi étaient simples car elles se limitaient à une seule phrase tout le long, "You are my high" qui veut dire "Tu es mon au-delà".



Une fois la chanson terminée, je sautais sur elle, qui rigolait, les joues rouges, pour l'embrasser. - You are my high - répétais-je en murmure dans son oreille, avant de lui embrasser la joue, le cou, le torse, les seins, et continuait mon manège jusqu'en bas de son ventre, passant par son nombril, ou je m'amusais à titiller son piercing, mais m'arrêtais net arrivé en haut de son pubis, où, un peu plus bas, se cachait le paradis qui m'appelait. Mais je ne lui donnai pas satisfaction. J'avais mes propres idées en tête ! Et me retirant lentement du lit à nouveau, je m'éclipsais par la porte dérobée où derrière, se trouvait le dressing, et je revins quelques secondes plus tard, avec d'autres sacs, mais leur contenu, était pour le moins insolite. - Ouvres le, et dis moi ce que tu en penses ! - Jane, me regarda d'un air suspect, mais s'exécuta, et ouvrit le premier sac pour en extirper les petits gadgets que j'avais acheté. Un vibromasseur pour commencer, rien de choquant. S'en suivit des lianes et des cordes emmêlées, puis un harnais et plusieurs godemichets de tailles, formes et couleurs différents. Je ne pouvais cacher mon sourire face aux têtes que mon épouse faisait à chaque découverte. Puis vint le tour du martinet, de la plume, des menottes et de la cravache. Elle avait les yeux écarquillées et son regard faisait des allés retour entre les objets et moi. - Je sais ce que tu dois en penser, mais tu sais que je t'aime? Tu sais que je ne te ferai jamais quelque chose que tu n'accepterai pas d'essayer? Alors, à toi de me dire si tu veux tenter l'expérience ou pas. - Je la laissais me répondre - Bon, j'ai un peu d'expérience dans le domaine de l'époque où j'étais à Durmstrang, mais rien de vraiment fou. Cela dit, je te demande de me faire confiance. Je répète, je ne te ferai aucun mal avec tout cela, mais je veux que toi tu te sentes prête à tenter l'expérience. - Je pris sa main dans la mienne et j'y déposais un baisé. - Alors? Qu'en dis-tu? On essaye?

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