Dès la fin de mon cours, j’avais pressé le pas afin de rejoindre la salle commune des Gryffondor afin de grimper fissa au cinquième étage de la tour de ma maison. J’étais entré dans la chambre que je partageais avec mes 4 autres camarades de 6 années puis je m’étais emparé du superbe balai que Malory m’avait offert quelque temps avant. Ce fameux jour où notre relation avait pris un tour nouveau.
Depuis ce jour-là j’étais différent, elle m’avait tellement apporté en stabilité et en bonheur.  Le fait d’avoir fait l’amour avec elle m’avait ancré dans la partie humaine de ma personnalité et j’aspirais désormais à faire vivre pleinement cet amour et j’espérais grandement que cela serait partagé.
Après avoir pris mon balai, je redescendais  et une fois dans la grande cour pavé enfourchais mon balai afin de la rejoindre. J’avais une idée assez précise de l’endroit où elle devait se trouver car elle y allait souvent en ce moment lorsqu’elle avait un moment de temps libre.
Alors que j’arrivais prêt de l’écurie je ralentis l’allure et me posais sans faire de bruit. En regardant par une fenêtre, je lé découvris en train de s’occuper de son étalon CHERUBIN. Je souris en la voyant faire et décidais de rester en retrait et l’écoutait.
- Tu sais, je n’ai pas pu m’en empêcher quand j’étais perchée sur mon balai et que je l’ai vu. Je n’ai pas réfléchi à deux fois. Je déteste les filles prétentieuse et arrogante qui se croient les meilleurs parce qu’elles sont à Gryffondor. Dis-moi Chérubin, pourquoi tout le monde fait cas de cette maison rouge et or ? Comme si les autres maisons ne valaient rien, je trouve tout cela vraiment injuste et mal placé. Je suis extrêmement fière d’être Serdaigle et je ne laisserai personne se moquer de ma maison et encore moins essayé de me prendre mon petit ami. Vieille pimbêche, qui hurle pour de l’eau. Même toi, tu n’hennis pas pour de l’eau, n’est-ce pas ?
Intérieurement je souris, elle espérait vraiment qu’un animal lui répondrait, j’allais pouffer de rire mais parvint à me retenir in extrémis.  En cec qui concernait la fille dont elle parlait, elle avait raison c’était une pimbêche sans cervelle qui voulait juste être populaire, inintéressante au possible, pas de quoi en écrite une ligne.
- Je suis sûr que dès que je vais croiser Ethan, il va me faire une leçon de moral sur mon agressivité auprès de ses camarades. Je le sais. Soit je suis trop mauvais, soit il est trop gentil. Tu en penses quoi, toi ? dit-elle encore en se tournant vers CHERUBIN
C’est là que je me décidais à intervenir car je ne voulais pas la laisser parler comme une folle avec un cheval.
- J’en pense quoi ?! Bonne question ma chérie dis-je en glissant ma main dans ses cheveux.
Elle se cambra de surprise et se retourna vers moi.
- Ba oui ! Je ne vais tout de même pas te laisser parler et poser des questions à un cheval !!! dis-je en souriant content de mon petit effet.
- Alors comme cela, je suis censé vous gronder Miss pour votre comportement odieux ?! Et bien au risque de vous surprendre pas du tout !! Bon ok ce n’était pas malin mais en même temps elle me gonflait donc tu m’as rendu service mon amour.
Je la pris dans mes bras et l’embrassais langoureusement avant de la relâcher. Je la contemplait carrément de la tête au pied me souvenant avec joie et tendresse de toutes les courbes de ce corps que j’avais tenu nu dans mes bras. Depuis, nous n’avions pas beaucoup eu l’occasion de nous voir ne nous croissant que très rapidement dans les couloirs de l’école. C’était une vraie torture et je remerciais le ciel de nous avoir offert cette petite parenthèse de retrouvaille.
- Alors mon amour, tu as perdu ta langue, tu ne préfères par parler aux humains ?.