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| | L'attente était longue | |
| | Auteur | Message |
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Malory Olianov Membre du Ministère
Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380
| Sujet: L'attente était longue Mer 18 Mar - 11:49 | |
| Bien des choses c’était passé depuis ce jour. Les vacances de Noel, le jour de l’an, le retour au château et son habituelle organisation qui avait été chamboulée par la guerre, cette dernière avec ses batailles, ses morts, ses défaites et ses victoires, ma propre bataille que j’avais dû mener contre moi-même ou encore le fait que je suive des cours avec Lili dans l’école française : Beauxbâtons. Bref, même si sur le moment, je ne pensais pas que tout cela passait vite, et bien ce n’était pas la vérité de vraie. Tous ces évènements avaient fait que le temps avait déroulé son tapis à une vitesse incroyable. Aujourd’hui, le monde magique était plus calme, les vacances étaient passées, les réjouissances aussi et j’avais réussi à trouver une solution à mon problème. Je me sentais mieux que cette époque, où du moins, je me contrôlr beaucoup plus même si je restais la même,
Dans tout cela, je n’avais pas passé beaucoup de temps avec mes amis surtout ceux qui m'étaient proches et encore moins avec Ethan. Ethan mon délicieux, charmeur et mystérieux copain depuis presque un an déjà. Depuis notre ballade sur l’étang gelé, je ne l’avais pas revu car la guerre ne se prêtait pas à des retrouvailles et que nous n’avons pas du tout combattu au même poste et dans les mêmes lieux et aussi de la même manière. Sa présence rassurante et chaleureuse me manque terriblement. Je devais pourtant attendre encore avant de le voir. Les cours avaient lieu et justement en parlant de cours, je devais me concentrer sur ce que je faisais au lieu de rêvasser et de bailler aux corneilles mais j’avoue que j’avais un peu de mal. Je relevais la tête pour regarder où en était le cours et de quel sujet on abordait aujourd’hui : sortilège des éléments. Hum…je les savais déjà et je pouvais, grâce à mon héritage, les contrôler, du moins deux quand j’étais seul. Je rebaissais la tête et commençais à dessiné sur mon parchemin en m’apercevant à la fin que j’avais dessiné deux yeux familiers. Je soufflais. Je devais sortir un moment si je ne voulais pas étouffer. Je levais la main et demandais l’autorisation pour sortir un moment afin de prendre l’air quelques instants. Je reçue une autorisation exceptionnelle. Je remerciais mon professeur en lui indiquant que je reviendrai chercher mon devoir de la semaine et partis discrètement pour ne pas troubler davantage le cours.
Une fois dans le couloir, je respirais un bon coup en fermant les yeux et commençais à marcher lentement afin de savourer l’air doux qui flottait autour de moi. Il n’y avait personne dans les couloirs. Tout le monde était en cours ou occupé à faire des tâches diverses. Une envie de voler m’appela. Après réflexion, j’appelais mon balai (il ne faut pas user de ses pouvoirs en toutes circonstances) et attendis. Quand je l’enfourchai, un contentement fut visible sur mon visage. Je commençais à faire le tour du château, j’apercevais de temps en temps des têtes penchées sur leurs bureaux en train de noter sur un parchemin ce que clamait tel ou tel professeur. Une figure par-ci par-là, j’allais finir le tour du château quand soudain, en passant près d’une fenêtre, je reconnus certaines têtes. Je repassais devant et vit quelques amis d’Ethan. C’était donc sa classe mais où était-il, lui ? Je restais stable devant la vitre ouverte mais de façon à ne pas être vu par le professeur qui ne manquerait pas de me donner une leçon de morale, afin de chercher des yeux celui que je voulais trouver. Un gryffondor que je connaissais pour être un grand ami d’Ethan, Arthur, me regarda stupéfait mais remit de sa surprise, il me sourit. Je lui rendis son salut et lui fit comprendre de faire comme si je n’étais pas là. Après un court moment, je le repérai au fond de la classe à prendre des notes. Son sérieux me fait sourire. Il était toujours très sérieux et consciencieux dans ce qu’il faisait. Je le taquinais sur ce point. Alors qu’il releva la tête pour écouter son professeur, ces voisins ou plutôt ces deux voisines se tournèrent vers lui et commencèrent à lui parler. Je n’étais pas jalouse, j’avais réussi à lui faire confiance et puis je me disais que dans le cas contraire où il se moquait de moi, je serais vite au courant et que je n’allais pas me gêner pour lui dire ma façon de penser avant de le jeter dans le lac. Elles commencèrent toutefois à faire des manières qui ne me plurent pas du tout et puis c’était quoi cette attitude comme si elles avaient besoin de se pencher comme ça vers lui. Quoi ?! Pas jalouse... dans la limite du raisonnable, il n’y a pas marqué Sainte-Malory sur mon front. Je plissais des yeux afin de trouver quelque chose pour les faire reculer. Un moment après, je me concentrais et fit apparaître un mince filet d’eau au-dessus de la pire, et je le versais lentement, très lentement sur son épaule ce qui ne manqua pas de la mouiller et de s’étendre sur sa poitrine et son ventre et son pantalon. Je souris de toutes mes dents. Arthur me regarda et retint tant que mal son fou rire avant lever son pouce devant les cris de surprise et d’horreur (pour de l’eau, s’il vous plaît) de leur camarade. Tout le monde souleva sa tête en la regardant et le professeur interrompit son cours. Devant tout ce brouhaha, je commençais à regretter mon geste.
J’allais partir quand, en jetant un dernier coup d’œil, dans la salle, je croisais le regard d’Ethan. Je le saluant en un geste d’excuse et filais vers les écuries : j’avais un ami à aller voir.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'attente était longue Mer 25 Mar - 10:18 | |
| La vie suivait son cours dans la grande et belle école de Poudlard. A vrai dire pas grand-chose n’avait changé depuis la grande bataille qui avait vu la fin de Lord Melkor et de toute sa clique. Je n’étais pas sûr que tous ces sorciers noirs étaient morts mais au moins en avions nous éliminé une grande majorité.
Pour ma part, j’étais un peu frustré car ma famille n’était pas sortie de l’ombre pour aider le monde magique et j’avais espéré que cette affaire les inciterait à sortir au grand jour mais elle m’avait déçu à ce niveau-là une fois de plus. Je ne comprenais pas pourquoi, elle ne se montrait pas au grand jour. Ceci dit, moi-même je n’avais pas laissé mon passager noir prendre le contrôle et je m’étais battu à l’ancienne en n’ayant recours qu’à la magie traditionnelle.
Je soufflais en repensant à cela puis me concentrais sur le cours que j’étais en train de suivre, enfin j’essayais car bien vite mon esprit vagabonda de nouveau vers d’autres pensées plus douces et apaisantes, elles me guidèrent vers ma tendre et douce Serdaigle, celle qui accompagnait mes jours depuis plus d’une année maintenant, celle avec qui j’avais fait l’amour pour la première fois de ma vie. Je n’oublierais jamais ce moment, cette explosion de sensations toutes plus agréables les unes que les autres. Depuis lors, je me faisais le sentiment d’être différent, plus mûr, plus sociable moins attentiste. D’ailleurs mes frères avaient remarqués ce changement et s’en était moqué. Moi je voyais le bon côté des choses, mon passager noir me laissait plus tranquille qu’avant.
Un éclat de voix me ramena à la réalité, le professeur venait de reprendre un élève qui faisait le pitre, je me concentrais alors et prit des notes sur mon parchemin de cours. Il me fallait être sérieux si je voulais obtenir un maximum de bonnes notes à mes ASPICS pour ainsi rentrer au ministère et accomplir mon rêve : devenir un jour ministre de la magie et révéler au monde mes origines…je repensais alors à Sylvius Césarius qui était venu convaincre mon père de laisser son dernier fils rejoindre le monde de la magie afin de faire un pont entre les deux mondes. Sylvius Césarius, ancien ministre devenu professeur de vol. Mon nouveau sujet de déconcentration fut vite oublié pour un second lorsque deux de mes voisines se tournèrent vers moi et commencèrent à me parler. - Dit Ethan ! Chuchota l’une d’entre elle. Tu sais que ce soir on envisage une sortie nocturne. Tu te joins à nous ?!
Elle me dit cela en minaudant, faisant semblant d’ignorer que j’étais en couple. J’avais un peu l’habitude à vrai dire car cette jeune fille me poursuivait depuis la première année et je l’avais déjà entendu dire qu’il était inconcevable qu’un Gryffondor soit avec une Serdaigle et qu’elle comptait bien y remédier. Peine perdue à vrai dire mais je n’aimais pas me montrer grossier et méprisant alors je la laissais faire ses minauderies sans y prêter attention et sans y répondre. Alors que j’allais lui répondre, un filet d’eau apparu au-dessus de son épaule et se mit à couler dessus. L’eau fit une tâche puis s’étendit sur sa poitrine, son ventre puis son pantalon. Elle se leva et hurla sous le regard amusé de la classe qui se rendit compte de ce qui venait de se passer. Au même moment, je vis Arthur faire un signe de main vers la fenêtre et mon esprit fit le lien avec le filet d’eau, qui était la marque de fabrique d’une certains jeune sorcière brillante, et j’avançais le buste pour apercevoir le profil de Malory qui se dessinait dans l’encadrement de la fenêtre.
Elle me sourit et me salua d’un geste d’excuse. J’avais une folle envie de rire mais je me retins car le professeur venait de d’interrompre le cours afin de savoir qui avait provoqué cet enchantement. Au bout de son enquête, il se rendit compte que la cause de ce filet d’’eau ne provenait pas de la classe et ne trouvant pas de raison apparente nous libéra plus tôt.
Je sortis en vitesse et échangeais quelques mots avec Arthur qui me confirma que Malory s’était trouvée dehors au moment des faits. Décidément, elle ne cessait de m’étonner mais même charmé par sa jalousie, il me faudrait lui expliquer que je n’aimais qu’elle et qu’elle devait cesser de tourmenter toutes les filles qui m’approchaient. Toujours souriant je m’éloignais de mes amis et partit vers les écuries où je savais qu’elle allait se rendre car c’est toujours ce qu’elle faisait lorsqu’elle s’échappait de cours. Avant cela, je montais dans mon dortoir et prit mon balai que j’enfourchais dès que je fus dehors et fonçais vers les écuries. En y arrivant, je reconnu le balai de ma belle posé contre le mur d’enceinte. Je mis le mien à côté et pénétrait dans l’enceinte du bâtiment. |
| | | Malory Olianov Membre du Ministère
Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380
| Sujet: Re: L'attente était longue Jeu 9 Avr - 8:55 | |
| [color=#ffffff]Je me dirigeais vers les écuries où j’étais sûr de trouver mon beau Chérubin. Cela faisait un moment que je l’avais vu avec tous ces évènements. Après que Monsieur Godolphin me l’ait offert, j’ai demandé à mon professeur de soins aux créatures magiques de garder Chérubin à Poudlard. Je lui payais le box qu’il occupait ainsi ça ne le perturbait pas ce qui aurait été le cas si j’avais dû le mettre en Russie et ainsi, je pouvais toujours le monter tous les jours. A chaque fois que je quittais les cours plus tôt ou que je n’étais pas au top top de ma forme, j’allais le voir. C’était aussi simple que ça. Je posais mon balai contre un mur de l’écurie et soufflais un bon coup.
Je remontais l’allée centrale de l’écurie, le sourire aux lèvres.
- Tu es là mon beau ? questionnais-je un sourire aux lèvres en pensant à la conversation qui ne manquera pas de venir.
Un hennissement se fit entendre avec en prime un vacarme qui réveillera l’enfer lui-même.
- Je t’ai entendu, doucement, bel étalon, tu vas casser ton box et je n’aurai plus qu’à présenter des excuses Madame Godolphin et à payer des réparations.
J’ouvris la porte de ledit box et je fus projetée par terre par une force de cheval (c’est le cas de le dire). Le souffle coupé, je ne bougeais plus puis secouais la tête.
- Non mais ça ne va pas ! Tu as failli me tuer, espèce de sale bête. Recule pour que je me lève.
Chérubin m’obéit immédiatement et attendit que je daigne me lever après le coup qu’il venait de me faire. Je pris mon temps pour le punir, en quelque sorte et après un temps d’immobilité, je me jetais sur lui en criant un énorme « BOuuuuhh !! ». Il recula d’abord effrayé et on chahuta plusieurs secondes comme ça. J’avais peut-être passé l’âge de faire des gamineries comme ça mais avec mon cheval ce n’est tout simplement pas possible et ça me détendais.
- Stop, stop ! Je déclare forfait pour le moment !! Allez, il faut que je m’occupe de toi et que je te fasse une nouvelle beauté parce que là, tu es tout moche.
La réponse ne se fit pas attendre j’eus le droit à un soufflet de mépris.
- Je plaisante, bien sûr que tu es le cheval le plus beau de cet écurie. Prétentieux.
Alors que je commençais à le brosser, je repensais à ce que je venais de faire à cette Gryffondor. Ce n’était pas très malin de ma part de lui avoir versé cette coulée d’eau ; en plus, ça ne m’avait donné aucune satisfaction. Et je vous demande à quoi ça a servi, à part la rendre plus ridicule qu’elle ne l’ait déjà.
- Tu sais, je n’ai pas pu m’en empêcher quand j’étais perchée sur mon balai et que je l’ai vu. Je n’ai pas réfléchi à deux fois. Je déteste les filles prétentieuse et arrogante qui se croient les meilleurs parce qu’elles sont à Gryffondor. Dis-moi Chérubin, pourquoi tout le monde fait cas de cette maison rouge et or ? Comme si les autres maisons ne valait rien, je trouve tout cela vraiment injuste et mal placé. Je suis extrêmement fière d’être Serdaigle et je ne laisserai personne se moquer de ma maison et encore moins essayé de me prendre mon petit ami. Vieille pimbêche, qui hurle pour de l’eau. Même toi, tu n’hennis pas pour de l’eau, n’est-ce pas ?
Je pris le tuyau et lui lava les pattes ainsi que le dos.
- Je suis sûr que dès que je vais croiser Ethan, il va me faire une leçon de moral sur mon agressivité auprès de ses camarades. Je le sais. Soit je suis trop mauvais, soit il est trop gentil. Tu en penses quoi, toi ? marmonnais-je à moi-même ou à Chérubin.[/color]
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'attente était longue Mer 22 Avr - 11:45 | |
| Dès la fin de mon cours, j’avais pressé le pas afin de rejoindre la salle commune des Gryffondor afin de grimper fissa au cinquième étage de la tour de ma maison. J’étais entré dans la chambre que je partageais avec mes 4 autres camarades de 6 années puis je m’étais emparé du superbe balai que Malory m’avait offert quelque temps avant. Ce fameux jour où notre relation avait pris un tour nouveau. Depuis ce jour-là j’étais différent, elle m’avait tellement apporté en stabilité et en bonheur. Le fait d’avoir fait l’amour avec elle m’avait ancré dans la partie humaine de ma personnalité et j’aspirais désormais à faire vivre pleinement cet amour et j’espérais grandement que cela serait partagé. Après avoir pris mon balai, je redescendais et une fois dans la grande cour pavé enfourchais mon balai afin de la rejoindre. J’avais une idée assez précise de l’endroit où elle devait se trouver car elle y allait souvent en ce moment lorsqu’elle avait un moment de temps libre. Alors que j’arrivais prêt de l’écurie je ralentis l’allure et me posais sans faire de bruit. En regardant par une fenêtre, je lé découvris en train de s’occuper de son étalon CHERUBIN. Je souris en la voyant faire et décidais de rester en retrait et l’écoutait. - Tu sais, je n’ai pas pu m’en empêcher quand j’étais perchée sur mon balai et que je l’ai vu. Je n’ai pas réfléchi à deux fois. Je déteste les filles prétentieuse et arrogante qui se croient les meilleurs parce qu’elles sont à Gryffondor. Dis-moi Chérubin, pourquoi tout le monde fait cas de cette maison rouge et or ? Comme si les autres maisons ne valaient rien, je trouve tout cela vraiment injuste et mal placé. Je suis extrêmement fière d’être Serdaigle et je ne laisserai personne se moquer de ma maison et encore moins essayé de me prendre mon petit ami. Vieille pimbêche, qui hurle pour de l’eau. Même toi, tu n’hennis pas pour de l’eau, n’est-ce pas ? Intérieurement je souris, elle espérait vraiment qu’un animal lui répondrait, j’allais pouffer de rire mais parvint à me retenir in extrémis. En cec qui concernait la fille dont elle parlait, elle avait raison c’était une pimbêche sans cervelle qui voulait juste être populaire, inintéressante au possible, pas de quoi en écrite une ligne. - Je suis sûr que dès que je vais croiser Ethan, il va me faire une leçon de moral sur mon agressivité auprès de ses camarades. Je le sais. Soit je suis trop mauvais, soit il est trop gentil. Tu en penses quoi, toi ? dit-elle encore en se tournant vers CHERUBIN C’est là que je me décidais à intervenir car je ne voulais pas la laisser parler comme une folle avec un cheval. - J’en pense quoi ?! Bonne question ma chérie dis-je en glissant ma main dans ses cheveux. Elle se cambra de surprise et se retourna vers moi. - Ba oui ! Je ne vais tout de même pas te laisser parler et poser des questions à un cheval !!! dis-je en souriant content de mon petit effet. - Alors comme cela, je suis censé vous gronder Miss pour votre comportement odieux ?! Et bien au risque de vous surprendre pas du tout !! Bon ok ce n’était pas malin mais en même temps elle me gonflait donc tu m’as rendu service mon amour. Je la pris dans mes bras et l’embrassais langoureusement avant de la relâcher. Je la contemplait carrément de la tête au pied me souvenant avec joie et tendresse de toutes les courbes de ce corps que j’avais tenu nu dans mes bras. Depuis, nous n’avions pas beaucoup eu l’occasion de nous voir ne nous croissant que très rapidement dans les couloirs de l’école. C’était une vraie torture et je remerciais le ciel de nous avoir offert cette petite parenthèse de retrouvaille. - Alors mon amour, tu as perdu ta langue, tu ne préfères par parler aux humains ?. |
| | | Malory Olianov Membre du Ministère
Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380
| Sujet: Re: L'attente était longue Mer 22 Avr - 15:47 | |
| J’étais en train de parler à Chérubin. Je savais qu’une personne normale me prendrait pour une grande folle. Qui parle aux animaux ? On vous dirait personne mais moi, je le faisais et régulièrement. Ce n’était pas question d’être folle ou pas folle, sans amis ou avec des amis. C’est seulement que j’aimais bien partager des choses avec mon étalon ailé et je le considérais comme quelqu’un à part et lui parler ça me faisait du bien.
Bien sûr, il ne me répondait pas à proprement parler. J’avais juste des réactions en réponse à mon intonation de voix mais cela me suffisait. Je pensais à Ethan. Je ne pense pas qu’il est très bien apprécié mon petit tour, qui avait en autre mal tourné. Je n’avais pas prévu que cette Gryffondor allait brayer comme ça à cause d’un peu d’eau. Allait-on se disputer pour elle ?!! Je ne savais rien. Je n’étais plus sûr de rien depuis la grande guerre et depuis que j’avais enfin reçu les réponses que j’attendais et les évènements qui avaient suivi. Beaucoup de choses avaient changé pour rien. Une seule chose, une seule, n’avait pas changé au fond de moi : j’aimais Ethan. Il n’y avait pas à douter. Je soupirais et repris le brossage de Chérubin.
- Je suis sûr que dès que je vais croiser Ethan, il va me faire une leçon de moral sur mon agressivité auprès de ses camarades. Je le sais. Soit je suis trop mauvais, soit il est trop gentil. Tu en penses quoi, toi ? - J’en pense quoi ?! Bonne question ma chérie ! Entendis-je avant de sentir le contact d’une main dans mes cheveux.
Je sursauta de surprise et me retourna pour faire face à mon visiteur.
-ETHAN !! Com….comment…as-tu que j’étais là ?? ça fait longtemps que tu es là ?? Tu as entendu ce que j’ai dit ??
- Ba oui ! Je ne vais tout de même pas te laisser parler et poser des questions à un cheval !!! Répliqua t-il en souriant content de son petit effet.
- Je ne suis pas folle. Il n’y a pas que moi qui parle à mon cheval. Ça m’évite de me parler à moi-même.
- Alors comme cela, je suis censé vous gronder Miss pour votre comportement odieux ?! Et bien au risque de vous surprendre pas du tout !! Bon ok ce n’était pas malin mais en même temps elle me gonflait donc tu m’as rendu service mon amour.
Avant que je ne puisse répondre, il me prit dans ses bras et m’embrassa d’une façon des plus sensuelle et langoureuse. Huumm…ça faisait combien de temps que je n’avais pas été en contact avec ses lèvres et surtout de cette façon ?? Une éternité est la réponse qui me vient dans l’immédiateté.
- Alors mon amour, tu as perdu ta langue, tu ne préfères par parler aux humains ?
Comment pouvais-je répondre sous son regard inquisiteur me passant au scanner de haut en bas ?? La gêne s’installa doucement sur mes joues devant cet examen minutieux de mon corps. Le souvenir d’une après-midi mouvementé en évènement surtout sur la fin me revint en mémoire. Les échanges de caresse, de baiser et faire l’amour avec Ethan a été magique. Je ne regrette pas ce qu’il s’est passé et le moment où cela s’est passé. Nous n’étions même pas sûr de nous revoir un jour alors l’avoir, là, devant moi et en bonne santé et toujours aussi moqueur me ravissait de joie et de tendresse à son égard.
- Tu ne vas pas le faire ?? Et je ne dirais pas que mon comportement à été « odieux » annonçais-je en mimant les guillemets. Il n’a pas été réfléchi certes et ça n’a servi à rien sauf à lui donner une sacrée belle leçon ! Elle le méritait depuis le temps. Pourquoi tu ne lui dis rien, mon cœur si elle te casse les pieds comme tu dis ? Questionnais-je après un silence.
Chérubin commença à se sentir abandonné alors je repris son brossage. J’avais bientôt terminé. Je le mettrais alors dans le paddock et je pourrai parler tranquillement avec Ethan. Ça faisait longtemps que nous n’avions pas eu l’occasion de le faire.
- Tu m’as manqué mon cœur laissais-je tomber comme ça.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'attente était longue Mer 13 Mai - 8:45 | |
| Je ne me lassais pas de regarder le galbe parfait et les courbes de son corps, maintenant que je l'avais vu dans le plus simple appareil, je n'avais qu'une envie recommencer.....mais je me refrénais, après tout je n'étais pas un obsédé et puis nous n’avions pas souvent l'occasion de nous retrouver donc pas forcément envie non plus de tout le temps nous enfermer. - Tu ne vas pas le faire ?? Et je ne dirais pas que mon comportement à été « odieux » annonça-t-elle en mimant les guillemets. Il n’a pas été réfléchi certes et ça n’a servi à rien sauf à lui donner une sacrée belle leçon ! Elle le méritait depuis le temps. Pourquoi tu ne lui dis rien, mon cœur si elle te casse les pieds comme tu dis ? me questionna-t-elle. - Et bien, tu arrive à avoir tout cela dans la tête en même temps sans devenir folle !!! dis-je en riant. Pour te répondre, non je ne le ferais pas. Tu es toi tout simplement et je sais que je perdrais mon temps à essayer de te raisonner. Tu es parfois une vraie bourrique. Secondo, je ne dis rien car je tiens à la sérénité dans ma classe et ma maison et franchement elle peut faire ce qu'elle veut cela ne me fait ni chaud ni froid donc qu'elle continue à perdre son temps si cela lui chante.
Je ponctuais mon discours d'une petit pichenette sur ses fesses rebondies. Elle sourit puis se remit à brosser Chérubin son hippogriffe avant de le remettre dans son paddock. - Tu m’as manqué mon cœur ! - Toi aussi ! dis-je en m'approchant de nouveau et en lui prenant la main. Viens on va se balader, j'ai un peu de temps. Toujours en lui tenant la main, je l'attirais à ma suite vers la sortie des écuries et pris sans m'en rendre compte la direction du banc sous l’arbre près du lac où nous nous étions rencontrés. Sur le chemin, je ne dis pas un mot, je profitais juste de ce moment de calme.
De temps en temps, nous nous arretions pour nous serrer l'un contre l'autre et échanger des baisers mais sans dire un mot. En arrivant à côté du banc, je m'arrêtais et l'attirais contre moi tout en caressant sa longue chevelure le regard porté vers l'ile où le corps du grand Dumbledorre dormait d'un repos éternel
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| | | Malory Olianov Membre du Ministère
Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380
| Sujet: Re: L'attente était longue Ven 15 Mai - 22:10 | |
| - Et bien, tu arrives à avoir tout cela dans la tête en même temps sans devenir folle !!! dis-je en riant. Pour te répondre, non je ne le ferais pas. Tu es toi tout simplement et je sais que je perdrais mon temps à essayer de te raisonner. Tu es parfois une vraie bourrique. Secondo, je ne dis rien car je tiens à la sérénité dans ma classe et ma maison et franchement elle peut faire ce qu'elle veut cela ne me fait ni chaud ni froid donc qu'elle continue à perdre son temps si cela lui chante.
Pour ponctuer la fin de son discours, j’eus le droit à une pichenette sur les fesses. Ça me fait toujours sourire quand il fait ça même si je ne sais pas pourquoi. Il n’y a pas vraiment de raison. C’est juste parce que c’est lui et que j’aime ce qu’il fait, surtout quand ça me concerne.
- Tu es raisonnable et conscient de mon caractère, j'en suis tout à fait aise mais je ne suis pas une bourrique! Demande à qui tu veux. Je suis la gentillesse personnifiée. Si tu le dis, je veux bien te croire.
Je me remis à brosser Chérubin, mon nouvel étalon ailé, et qui était vraiment à moi depuis que Monsieur Gidolphin me l’avait offert, il y a de ça quelques mois déjà. Un coup de tuyau d’arrosage sur ses pattes et je le mis au paddock pour qu’il se défoule sans contrainte. Je lâchais Chérubin après l’avoir emmené jusqu’au paddock. Je l’observais un moment pour m’assurer de son bien-être et refermais la barrière.
- Tu m’as manqué mon cœur ! déclarais-je en me tournant vers Ethan. - Toi aussi ! dit-il alors qu’il me prenait la main. Viens on va se balader, j'ai un peu de temps.
Je le suivis vers la sortie des écuries et de l’espace des animaux pour prendre la direction du parc. Plus on avançait, plus je reconnaissais l’endroit vers lequel nous nous dirigions. Cela faisait un petit moment que je n’y étais pas allée pour me détendre ou même profiter tout simplement de la vue et de la quiétude des lieux. Ethan ne disait mot mais continuais d’avancer. Savait-il où il allait ? Vers quel endroit nous allions ? L’avait-il reconnu ? Je tournais la tête pour l’observer mais il ne laissait rien paraître encore une fois. La seule fois où je l’avais vu avoir une véritable et franche expression sur le visage c’est quand nous avions passé cette journée à l’hôtel, quand nous avions fait l’amour. Il dû se rendre compte que je le regardais car il s’arrêta, me regarda. A la fin, nous nous retrouvâmes collées l’un contre l’autre à s’embrasser et cela à plusieurs reprises avant d’arriver sur le fameux banc de notre rencontre.
Nous nous posâmes et je posais ma tête sur son épaule tout contre lui, alors qu’il entreprit de me caresser les cheveux d’un long mouvement lent et tendre sans rien dire. Je ne savais pas quoi dire et je ne savais même pas si je voulais dire quelque chose….cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas passé du temps avec Ethan. C’est idiot d’être gêner alors que c’était lui mais c’est ainsi. Je voulais rompre ce silence.
- Tu te rappelles comment tu m’as abordé ? questionnais-je un sourire aux lèvres. Amusée en y repensant. Tu ne manquais pas de culot, je dirais mais je ne regrette pas que tu l’ais fait. A quoi penses-tu ?
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: L'attente était longue Mer 15 Juil - 9:23 | |
| - Tu te rappelles comment tu m’as abordé ? me questionna t-elle le sourire aux lèvres. Tu ne manquais pas de culot, je dirais mais je ne regrette pas que tu l’ais fait. A quoi penses-tu ?
- Non je ne me rappelle pas bien mais il me semblait que c'est toi qui m'avais dragué non ?! Je me trompe. Je la serrais à la taille et l'embrassais dans le cou tout en m'amusant puis j'éclatais de rire en voyant sa moue. Elle savait que je me moquais d'elle, j'aimais le faire, c'était notre marque de fabrique, notre ADN...Ne jamais se prendre au sérieux. La seconde partie de sa question me posait un peu plus de soucis et le fait de rire me permettait de repousser le moment de répondre. A quoi je pensais ?! La question était bonne. En fait depuis que nous avions fait l'amour, je ressentais le besoin, l'envie la nécessite de lui avouer qui j'étais vraiment, quel secret ma famille et moi cachions. Je repoussais sans cesse en me disant que ce n'étais pas le bon moment, que cela pouvait attendre. Tous l'été j'avais hésité à lui écrire et puis les mois étaient passés. Ensuite la rentrée avait fait son œuvre et maintenant que nous étions au château pressé par nos devoirs, nos revissions et la préparation des ASPICS que je me demandais si c'était nécessaire. Coté famille rien ne bougeait en ce moment et tout le monde était habitué maintenant à mon statut. La famille comprenait mon choix et le respectait ce qui était assez étonnant surtout venant de Brand et Eric toujours prompt à se moquer de moi. Mais là rien !!!!! Étonnant et déstabilisant mais le temps aidant, je m'y habituais...alors pourquoi compliquer ma vie et disant tout à Malory l'amour de ma jeune vie ?! C'est cette équation qui occupait mon esprit.... Alors je décidais de ne rien répondre et l'embrassais de nouveau tout en me délectant du paysage car je savais que sauf catastrophe c'était ma dernière année dans ce magnifique cadre. - Rien de grave mon amour. Je pensais à nous ! Et aussi à ce magnifique paysage qu'ils nous faudra quitter l'année prochaine et cela m'angoisse un peu pas toi ?!
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| | | Malory Olianov Membre du Ministère
Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380
| Sujet: Re: L'attente était longue Ven 31 Juil - 17:58 | |
| - Tu te rappelles comment tu m’as abordé ? Tu ne manquais pas de culot, je dirais mais je ne regrette pas que tu l’ais fait. A quoi penses-tu ?
Je me tournais vers lui, curieuse de sa réponse pour la deuxième question. Il me semblait bien songeur ces derniers temps et je dois bien avouer que cela m’inquiétais outre mesure, je ne sais pas mais c’était bien là et mon estomac le ressentait bien.
- Non je ne me rappelle pas bien mais il me semblait que c'est toi qui m'avais dragué non ?! Je me trompe.
J’ouvris la bouche pour amorcer une contre attaque parce que je n’avais pas le même souvenir mais je fus stoppée par son baiser appuyé sur mon cou et son emprise sur moi. Je fis la moue car encore une fois, il avait gagné mais je me promis de me venger plus tard. Je n’avais que l’embarras d’une choix et c’était on ne peut plus excitant. Un sourire mystérieux mais triomphant se dessina sur mes lèvres et changea mon visage. Je lui donnais une petite tape pour qu’il arrête de rire.
- Arrête de te moquer de moi ! Ce n’est pas cool, tu le sais ça. Je suis vraiment vraiment vexée de ton attitude affirmais-je en essayant de garder mon sérieux ne serais-ce qu’un instant pour qu’il y croit mais cela ne fonctionna pas que se soit pour mon sérieux et pour ma tentative sur lui. Il n’y cru pas un instant. Je souris et l’embrassa en finissant par une légère mais ferme pression sur ses lèvres avec mes dents tout en le regardant dans les yeux avant de lui tirer la langue.
- C’est bien de rire mais je n’ai pas oublié ma deuxième question lui rappelais-je toute sourire. Ethan ne réagit même pas. Sa seule réaction fut un sourire lointain. Je le vis réfléchir, à sa façon de regarder dans le vague et de sa ride sur le front qui apparu. Je ne savais pas quoi faire quand il était comme ça même si ce n’était pas la première fois. Je savais qu’il était inutile de le presser ou d’insister car même si Ethan était joueur et taquin, il pouvait facilement se mettre en colère ou être agacé. Quand il avait décidé quelque chose, il n’en démordait pas, s’accrochant à son idée comme une moule à son rocher. Ce qui était embêtant, si on regarde bien surtout quand on était pas un grand parleur sur le sujet qui m’intéressait le plus ; c’est-à-dire : lui-même. Je ne savais rien de lui, à part ce qu’il a bien voulu me dire par-ci par-là comme ses nombreux frères et sœurs mais c’était la seule information que j’avais obtenue. Je savais que si je le souhaitais, je pouvais toujours demander à l’un des hommes de mon père à coup de main dans la collecte d’informations mais je répugnais à le penser donc ce n’était pas pour le faire. J’essayais de me mettre à la place d’Ethan et je n’aimerai pas qu’il fouille dans ma vie, derrière mon dos et sans ma permission donc je freinais mon frein et croyez moi, ce n’était pas simple.
Je fus tirée de mes pensées maussades et tortueuses par le baiser qu’Ethan déposa sur mes lèvres. Voilà la réponse que je ne devais qu’attendre. Je soupirais mais ne dis rien même si j’étais encore une fois contrariée et vexée. Il y avait de quoi ! Ce n’est pas comme ci nous étions resté au premier stade d’une relation. Nous avions passée la deuxième. Nos retrouvailles et chamailleries de tout à l’heure étaient oubliées. Mon esprit était sérieusement en surchauffe. Ethan dû le sentir car il déclara : - Rien de grave mon amour. Je pensais à nous ! Et aussi à ce magnifique paysage qu'ils nous faudra quitter l'année prochaine et cela m'angoisse un peu pas toi ?!
C’était banal comme réponse. Je fus déçue. Je gardais le silence un instant puis me lançais.
- En parlant de nous, est-ce que tu penses que notre relation va tenir longtemps ?? Ce qui m’angoisse, ce n’est pas vraiment le paysage Ethan mais nous justement. Je me rends compte de plus en plus, non qu’est-ce que je dis… je me suis rendue compte depuis longtemps - mais à chaque fois, je l’oublie un moment, mais j’ai beau oublier ça revient à la charge à chaque fois et de plus en plus violemment- que je ne sais rien de toi. Rien de tout. Tu refuses de me parler, de m’expliquer ou tout simplement de me livrer des choses. Parfois tu es étrange, tu as des réactions étranges mais tu m’assures que ce n’est rien ou tu me le caches en te détournant…Je t’aime, ça je ne peux le nier. Je n’y peux rien. J’ai dû mal à me passer de toi ou de ta présence. J’ai besoin de toi. Quand je ne te vois pas, j’ai un manque qui s’insinue en moi tel un vieux serpent cruel…Malgré tout ça, je ne te connais pas. Il y a plein de choses que je ne t’ai pas dite non plus et qui sont importantes. Je peux comprendre que l’on a le droit d’avoir des secrets mais à ton niveau ce n’est pas ça. Je suis inquiète pour toi et pour moi. Alors dis-moi quelque chose de vraie parce que je ne sais même pas si les évènements vont se calmer ou vont reprendre, je ne sais pas si on va enfin être tranquille, je ne sais pas si je serais encore là ou si je vais devoir partir. Je ne sais rien et ça m’est insupportable ! finis-je à bout de souffle en ayant vidé mon cœur.
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| Sujet: Re: L'attente était longue Sam 15 Aoû - 11:26 | |
| J'attendais sa réponse sans angoisse, après tout j'avais dit une vérité, nous allions quitter pour toujours cette endroit merveilleux qu'étais le château de Poudlard. Bon en terme de château, dans la famille nous avions largement de quoi faire mais celui-ci était particulier. En y repensant j'avais bien fait de choisir cette école pour faire mes études, j'y avais passé de bon moment et à l'approche de cette dernière j’espérais bien m'en faire de nouveaux avec mes amis et Malory. C'est alors qu'elle se mit à parler de nous, de ses angoisses de ses inquiétudes et bien évidemment, elle me parla de mon passager noir. Ah certes, elle ne l'appelait pas ainsi car elle ne savait pas de quoi elle parlait mais elle l'avait sentit malgré touts mes efforts pour lui dissimuler. Lorsqu'elle eut fini sa phrase, elle était vidée. - Et bien dis-je en souriant, je ne savais pas qu'on pouvait avoir autant de chose en soi. Je la serrais un peu plus fort tout en réfléchissant à ce que j'allais pourvoir répondre, il me fallait la jouer fine. - Pour commencer, je dirais que tu n'es pas mal non plus dans le genre secrète, et si tu pense que je te cache des choses, je dirais que tu n'es pas mal non plus n'est ce pas mon amour ?! mais avant, je ne sais pas si notre relation durera longtemps, je n'ai jamais été doué en divination et tu sais ce que je pense de cette matière. Je ponctuais ma phrase d'un léger baiser dans son cou. |
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