" Sorcier Rassemblement ! "

Date d'inscription : 14/06/2016 Messages : 53

En cette nuit pluvieuse où les rues paraissaient humides et froides. L'atmosphère était tendu. La guerre entre le monde des moldus et le monde des sorciers n'arrangeaient rien aux contacts entre les humains. Cela faisait 2 ans que tous les gens étaient méfiant vis à vis de tout le monde et ne traîner plus dans les rues comme auparavant. Alors que les rues étaient désertes dans Londres. Jason marchait les mains dans les poches, habillé en moldue avec une capuche sur la tête. La tête baissé vers le sol et l'esprit ailleurs, il marchait sans fin en se remémorant des moments. Depuis 1 an, il n'avait plus aucun contact avec personne, depuis son échec avec Malory pour tenter de ramener tous les défunts qui étaient morts pour Poudlard. Malgré qu'ils avaient réussit à tous les sauver, il ne comprenait pas où il avait échoué dans cette quête puisqu'ils n'étaient pas de retour. De plus, plusieurs clans s'étaient formés. Le premier était celui du Ministère ne souhaitant avoir aucun conflit avec le monde Humain et refusant de protéger qui que ce soit malgré les moyens qu'ils avaient. Le second était celui que Jason avait suivie, c'est à dire, combattre et riposter face à l'ennemie. Et le troisième était celui du Directeur de Poudlard qui souhaitait rester neutre et continuer à vivre normalement dans l'école malgré que leur secret était dévoilé.

La Famille que Nelson Eiwaz et Sylvius Césarius avaient construit et réunis ensemble étaient séparés à présent. Chacun avait pris un chemin différent et chacun se battez pour les convictions qu'il lui semblait le plus juste. A vrai dire depuis 1 an, il n'y avait aucun combat direct entre les deux parties. Mais des embuscades et attentats avaient lieu sans arrêts. Chaque semaine il y avait un événement important qui paraissait dans les médias annonçant des morts, des bâtiments détruits et diverses choses dans ce genre. Le conflit devenue mondial emmener tout le monde à sa perte et à la destruction de la planète. Jason avait sa part de responsabilité dans ce combat. Malgré qu'il faisait chemin seul à présent. Il faisait partie des premiers à attaquer les humains et à tendre des pièges aux soldats ennemies tentant de les nuir. Il n'avait plus aucune pitié à présent et il faisait pour protéger les siens. Même si son coeur balançait entre les deux camps au début. C'était un Sorcier et il ne pouvait pas le renier. Ce pouvoir coulait dans ses veines et il considérait qu'il devait en faire bonne usage. Ce dernier avait connu la noirceur de la magie et avait causé beaucoup de mal avant auprès des siens, il n'était plus question d'agir ainsi, mais au contraire, il devait mettre en phase ce que son oncle lui avait appris.

Alors qu'il pensait toujours et marcher rapidement, une ombre apparu rapidement devant lui, le stoppant dans sa marche. Relevant la tête pour hurler sur la personne de lui avoir couper la route. Il resta fixe et ne disait rien. Il n'en croyait pas ses yeux et il regardait la personne qui se tenait devant lui.

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

J'attendais ce moment depuis longtemps, je ne devais pas rater cette occasion. Cela faisait des semaines, que dis-je des mois que je n'avais plus entendu parler de lui, qu'il avait disparu sans laisser de traces comme son père jadis.

Mes compagnons de l'ordre des reliques, qui avaient rejoints ma cause et qui tentaient tant bien que mal de protéger le monde en faisant coexister Sorciers et non sorciers dans un même monde m'avaient envoyé un hibou pour me prévenir qu'ils avaient une piste concernant Jason !

Jason, le fils de Neslon Eiwaz un ami fidèle et sincère. Jason mon filleul enlevé très tôt par Lord Melkor et élevé dans le mal absolu que j'avais réussi à faire revenir du côté de la lumière. Jason que j'aimais comme mes trois enfants et dont j'avais fais mon adjoint à l'école. Jason qui avait fini, pour mon plus grand désespoir, à rejoindre les force de la lutte anti moldu.

Depuis plus d'un an maintenant, il luttait avec mon beau frère Medhi Bakkali avec LES RESISTANTS et attaquaient les PACIFICATEURS dès qu'il en avait l’occasion. A chaque attaque, je savais quand il était dedans car elle portait sa marque : brutale, sans témoin et toujours d'une efficacité redoutable ! C'était la marque des grands sorciers.

Je devais le retrouver avant qu'il ne soit trop tard, je devais le ramener à la raison et lui faire retrouver la raison. La vérité, la seule et unique était la voie que j'avais choisie. Nous étions peu nombreux dans ce troisième groupe qu'on appelait chez les sorciers LA 5 COLONNE mais notre groupe grossissait peu à peu regroupant les sorciers et moldus qui voulaient la paix.

Je travaillais en secret au rétablissement du secret grâce à des travaux que j'avais entamé avec Matt Dursley mon professeur de potion. J'avais repris des travaux de Norbert Dragonnau et espérait produire en grande quantité une potion à base de venin bleu permettant de faire oublier à tout les moldus notre existence. Le pacte ainsi restauré, peux être retrouverions nous la paix.

Je pensais à tout cela en attendant Jason sous la pluie dans une ruelle sombre. Mon faucon millénium pialla m'indiquant qu'il arrivait. Mes sources étaient donc bonnes, j'allais pouvoir affronter Jason ce soir et il faudrait qu'il m'écoute et me rejoigne.

Alors qu'une ombre arrivait vers moi le pas rapide, je raffermis ma main sur ma baguette. Il était puissant je le savais et la colère qu'il avait en lui était pire que celle d'un obscurus et je ne prendrais aucun risque avec lui. Je l'aimais mais je devais faire ce qui devait être fait tout comme Dumbledore et mon ami Harry en leur temps. En ce moment fatidique, j’espérais d'ailleurs qu'Harry avait reçu mon hibou et qu'il était parti vers Pré aux lards pour prendre soin de Mafalda et des miens.

Alors que Jason n'était plus qu'à quelques pas de moi, je sortais de recoin et me plantait devant lui puis fit basculer ma capuche afin qu'il sache précisément qui se trouvait en face de lui.

Date d'inscription : 14/06/2016 Messages : 53

Jason n'en croyait pas ses yeux et venait de se faire surprendre. La personne qui venait de lui couper la route et qui se tenait face à lui n'était nul autre que son parrain, Sylvius Césarius. L'homme venant de retirer sa capuche et qui faisait face à son neveu, le regardait droit dans les yeux mais la capuche de Jason l'empêchait de voir son visage totalement. C'est alors que le jeune Eiwaz retira sa capuche à son tour pour faire face à son oncle en continuant de le fixer du regard. Le Directeur de Poudlard pu apercevoir un visage ferme et dur. Son neveu avait changé légèrement et il paraissait plus mûr. Est ce que c'était les égratignures et quelques cicatrices qui faisait cela. Ce n'était pas sûr. En tous cas une chose avait changé en lui. Sylvius le savait qu'il avait enduré de nombreuses choses et qu'il faisait chemin seul à présent.

Cependant, le plus bizarre dans tout cela, ce n'était pas qu'ils se regardent et s'observent après cette année de coupure entre eux. C'était qu'ils ne se parlaient pas. Aucun son ne sortait de leurs bouches et ils restaient fixe de marbre à se regarder droit dans les yeux. On aurait pu croire que le temps s'était arrêter autour d'eux et que ne plus rien vivait à présent. Alors que la pluie continuer à tomber sur les deux Sorciers, ils étaient tremper l'un comme l'autre mais ils continuaient à se regarder. La mâchoire contracter l'un comme l'autre. On pouvait ressentir de la tension entre les deux. On ne sait pas si cela était de la colère ou plutôt de la tristesse qui s'installer dans leurs regards. Une chose est sûr, il y avait quelques choses entre les deux membres de Poudlard. Sylvius Césarius serrer tellement fort sa baguette dans sa main qu'on entendait le bruit du bois craquer entre ses doigts.

Quand soudain plusieurs hommes surgirent de nul part pour tirer avec des armes à feux sur les deux hommes. Mais d'un geste vif et rapide sortant la baguette de son jean, Jason les tuèrent tous d'un coup, sans quitter le regard de son oncle. Cassant alors le regard avec son oncle en le contournant pour partir, il lâcha une phrase à son encontre :

" Chaque Homme à sa part d'ombre mon oncle ! "

Le Directeur de Poudlard se mit donc à réagir à ses propos.

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

Ma capuche rabaissée sur son col, je sentais la pluie tomber sur ma crâne. Elle envahissait mes cheveux puis coulais le long de mes joues. Elle envahissait chaque centimètre carré de ma cape puis coulait le long de mon bras et de ma baguette.

Je ne bougeais pourtant pas et fixait Jason en attendant sa réaction. C'est alors qu'il retira sa capuche lui aussi me laissant voir son visage. Son regard était vif et il n'avait pas changé si ce n'était la dureté dans son visage qui s'était affermi.

Il marquait cependant la surprise de me voir en face de lui.

Passé la surprise, Jason ne bougeait toujours pas et m'observait. Cherchait-il à percer mes intentions ? Cherchait-il une échappatoire ? Ma présence le faisait-elle réfléchir au passé ? Je ne savais pas.

Le silence devenait de plus en plus prégnant. On entendait que le bruit de l'eau et de nos respirations.

Soudainement sans que je l'ai deviné, un groupe d'homme surgit de nulle part et nous tira dessus avec des armes à feu. Sans réfléchir j'informulais le sort "Maxima Protégo" autour de nous tandis que Neslon avait déjà sorti sa baguette et d'un geste fluide et sans pitié avait tué tout le groupe. Avant même que les balles ne rebondissent sur la bulle de protection que j'avais fais apparaître, les hommes tombèrent raides morts dans l'eau.

" Chaque Homme à sa part d'ombre mon oncle ! " me dit simplement Jason.
- Et chaque Homme à sa part de lumière mon filleul ne l'oublie jamais.

Je me faisais l'effet du vieux sage qui veut ramener les brebis égarées dans le droit chemin ! Lui qui savait combien il pouvait être dangereux de s'en éloigner.

- Si ces hommes sont apparus de nulle part c'est qu'on les a aidés en leur ouvrant un portail commençais-je à dire à Jason avant de poursuivre. Une chose est sûr Jason, tes déplacements sont compromis et les personnes qui t'entourent ne sont pas sûr. Est-tu sûr de tes nouveaux amis ?

Je serrais toujours ma baguette dans la main et d'un seul coup je fis un mouvement de la main qui fit apparaître le portrait de Neslon Eiwaz qui se mit à parler "Force et Honneur ! Portez hauts nos couleurs".

- Lui aussi avait une part d'ombre mais il a su revenir du bon côté de la lumière ! Il a offert sa vie pour nous et ce sacrifice je ne te laisserais pas le détruire aujourd'hui. Renonce à la haine des moldus et aident nous à bâtir un monde plus juste ou chacun aura sa place. En t'abaissant dans ce clan qui se dit résistant tu t'abaisse Jason.

Directeur de Serpentard Date d'inscription : 14/09/2014 Messages : 214

C'était une nuit froide et pluvieuse. Tête baissée, cigarette au bec, je me promenais dans les rues du vieux London. Mes mains étaient gelées à cause du froid. Mon manteau faisait ruisseler les gouttes de pluie qui me tombaient dessus. D'autres perlaient sur mon visage et les dernières venaient mourir sur mes cheveux avant de glisser jusqu'au col de mon pull.
Je marchais pensif, et à chaque bouffée de fumée je jouais avec mes bagues. Cela me permettait de de me détendre.
Je réfléchissais au fait que cela faisait maintenant un an que sorciers et moldues se battent pour conquérir le monde et soumettre l'adversaire.
Moi, j'avais rejoins le clan des Résistants, le clan formé par des sorciers et sorcières qui préfèrent sauvegarder le monde sorcier et qui refuse de cohabiter avec les non-mages.

Je n'étais pas le chef, cette place était occupée par Stanley, qui a été le premier à se dresser contre le ministère et contre Poudlard quand l'idée d'une éventuelle cohabitation fût mentionnée, mais je faisais parti des têtes du mouvement.

Beaucoup de mes amis avaient rejoint les Résistants mais beaucoup d'autres ont pris le chemin inverse, ce qui a eu pour effet d'envenimer nos relations.
Du côté de la famille, rien n'allait plus.
JannaLynn et moi étions devenus des Résistants et par conséquent, des ennemis jurés de Sylvius, mon beau frère. Nos relations avec lui n'ont jamais volé haut mais cette dernière crise avait fini par achever le peu de lien qui nous unissait.
Au cours de l'année, JannaLynn et moi avons eu une fille que nous avons appelé Louise. Bien entendu Mafalda était présente, en revanche, tout ce que nous avions eu comme retour de la part de Sylvius ont été ses félicitations sèches, même si au fond il était content pour JannaLynn.

Je reviens donc à ma balade nocturne dans les vieilles rues de Londres. Nous avions décimé une bonne partie des moldus qui ont montré des signes de menaces envers le monde sorcier mais beaucoup des notre avaient également péris. Autant dire que c'était une guerre qui n'était pqs prête de se finir.
Tandis que je marchais, j'entendis deux voix échanger de courtes phrases. Deux voix que je connaissait très bien. Jason Eiwaz, fils du fameux Nelson Eiwaz. Il était membre des Résistants. C'était un jeune garçon formidable, très gentil malgré un début de vie pas très glamour. Il n'y avait pas énormément de différence d'age entre nous et de ce fait je le considérais comme mon petit frère.
La deuxième voix en revanche, était celle de Sylvius Césarius, mon beau frère. Ancien ministre de la magie, directeur de Poudlard depuis un certain temps mais à mes yeux il n'était rien d'autre que l'oncle de ma fille, qui n'hésiterai pas un seul instant à me tordre le cou si l'occasion lui était donnée

Je sortis de l'ombre, marchant doucement, baguette à la main, j'enjambais un cadavre moldu qui traînait par terre et sourire aux lèvres je dis:

- Mais quelle surprise au beau milieu de la nuit, c'est carrément divin ça !!

Je me suis arrêté à la hauteur de Jason, qui fixait Sylvius, et posait ma main sur son épaule.
Je regardais Sylvius dans les yeux. Le tuer a été la première pensée qui me traversa l'esprit, mais Mafalda et JannaLynn ne me l'auraient jamais pardonné et je refusais l'idée que ma fille grandisse avec un père absent, enfermé à Azkaban.

- Bonsoir messieurs !

Membre du Ministère Date d'inscription : 17/08/2014 Messages : 56

Une année c'était pratiquement écouler en vains. J'avais essayé de partir de cette maudite ville qu'est Londres pour ne pas prendre part à cette guerre. J'avais tant de mes amis qui allait s'affronter, dans diffèrent camp, je ne voulais plus de cela... Avant. Aujourd'hui je n'avais plus le choix. Il me fallait affronter la réalité en face. Fuir n'avait pas été une bonne option, j'avais briser le coeur de Mat, comme j'avais brisés ceux de tous mes amis qu'ils soient dans n'importe lequel de ces stupides clans.

J'avais toujours été pour la paix... Aujourd'hui ce temps était révolu. J'avais perdus la trace de mes parents... les personnes que j'avais le plus longtemps chercher dans ma vie! Bordel était-ce possible de l'imaginer?!

Pendant un an, j'avais airé comme une âme en peine. Sans but, sans raison valable. Et je me retrouvais à nouveau dans cette foutu ville de Londres ou j'avais abandonné toutes les personnes que j'aimais.
Et je revenais, toute penaude, sans vrai but, sans avoir choisis de camps. Je ne savais même pas qui de mes amis avait bien pu périr dans ses combats. beaucoup de modus avait été évaincés mais pas mal de sorciers avait perdu la vie dans ces conflits.

Mais qu'est ce qui m'étais encore passer par l'esprit ?! C'étais tous moi ça, ne jamais faire de choix et voir ce qui allait arriver dans un avenir proche.

J'avais bien sur oublié le temps maussade qu'il faisait en angleterre, quelques mèches qui s'était échappé de ma queue de cheval collait sur mon visage à cause de la pluie, encore heureux, ce n'était pas un torrent déferlent des nuages, sinon j'aurais été trempé jusqu'aux os. Le col de mon trench noir relevé, j'essaie d'affronter tant bien que mal le froid de cette nuit sans lune. Ma baguette planqué dans mes poches au fond agrandis par un sort, j'avais toutes ma vie sur moi.

Je n'avais aucun but précis, je me remémorais les endroits ou j'avais eu de bon souvenir. j'étais perdus dans mes pensées, quand le vent portas des échos jusqu'as mes oreilles. Ces voix me disaient quelque chose, le sermont tous d'abord :

"- Lui aussi avait une part d'ombre mais il a su revenir du bon côté de la lumière ! Il a offert sa vie pour nous et ce sacrifice je ne te laisserais pas le détruire aujourd'hui. Renonce à la haine des moldus et aident nous à bâtir un monde plus juste ou chacun aura sa place. En t'abaissant dans ce clan qui se dit résistant tu t'abaisse Jason."
Je me concentrais cherchants dans mes souvenirs lointains... Mes souvenirs me revenaient en mémoire. Mes dernières années à Poudlard. Ma première et seule histoire d'amour avec mon ancien professeur... Mais la c'était Sylvius Césarius! le directeur de Poudlard.

Une autres voix ce craillas un chemin a travers la pluie et le vent. Aimable mais avec une pointe d'amertume.

"- Mais quelle surprise au beau milieu de la nuit, c'est carrément divin ça !! Bonsoir messieurs !"

Mehdi Bakkali. Mon ancien camarade de classe ainsi que mon ami... Enfin avant que je ne parte.

Je restais en retrais, m'adossant contre un réverbère, relevant un peu plus le col de ma veste, allumant une cigarette je comptais écouter leur conversation en essayant de ne pas me faire remarquer...

"POUR UNE FOIS essayons de nous faire toute petite me dis ma conscience."

Professeur de potion Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201

J'étais caché dans un square proche de l'endroit où Sylvius voulait rencontrer Jason. Il avait été clair lorsque nous avions préparé cette rencontre. Je le voyais encore assis derrière son bureau à Poudlard.
Flash Back
- Surtout tu n'interviens avant que je en te le dise ou que je fasse appel à toi
- Sylvius, j'adore Jason comme un frère mais tu prend trop de risque. Il a changé.
- Mat ! C'est mon filleul, le fis de Neslon, je dois le ramener à la raison. Notre combat est juste, il doit s'en rendre compte.

Je regardais celui qui était mon ami et mon coeur se serrait. Il était tellement épris de justice qu'il prendrait le risque de se faire tuer.
- Sylvius, je comprends. J'ai envie que Jason revienne avec nous moi aussi mais je continue de penser que ce n'est pas une bonne idée.
- Tu fera pourtant ce que je te demande n'est ce pas Mat ?
- Oui finis-je pas dire. Et si cela tourne mal ?
- Tu viendras m'aider !

Fin du fash back

Et me voilà sous une pluie battante entrain d'attendre qu'un malheur arrive pour intervenir.
J'étais bien caché sous un porche, un sortilège puissant de désillusion qui me cachait à la vue de tous.
Alors que j'allais changer de position, je vis une silhouette approché.
- Bon sang ! Meddhi Bakkali ! Qu'est ce qu'il fait là ?
Je m’apprêtais à intervenir lorsque je me souvins des paroles de Sylvius ! Ne pas intervenir avant qu'il ne m'appelle.
Je pris sur moi et laissais passer Medhi. De toute façon me dis-je, Sylvius en fera de la pâté pour chien.

Je me renfonçais donc sous mon porche et reprit ma position d'attente.
Une nouvelle silhouette approcha. Beaucoup plus petite, elle était engoncé dans un trench noir. C'était une femme à n'en pas douter car l'eau coulait le long d'une mèche de cheveux qui s'était échappe de sa queue de cheval.
- C'est pire que trafalgare square un soir d'été me dis-je en l'observant.

Elle alluma une cigarette et la lumière éclaira son visage.
Mon coeur arrêta de battre. la silhouette devant moi était Téodora Lawrence. Ma Téa, ma fiancé que je croyais morte depuis plus d'un an. Que faisait-elle là ? Mon cœur saignait, mes plaies qui se refermaient s'ouvrirent en grand.
J'étais tétanisé et pourtant sans que je le veuille, mon corps ne me répondait plus, je fis un pas sous la pluie. L'eau qui ruisselait sur mon sort de désillusion revelant ma présence.
Alors j'informulais un sort d'assurditio afin d'être sûr de ne pas révéler notre présence aux autres.
- Bonsoir Téa ! Je suis content de te savoir en vie dis-je en approchant.

Date d'inscription : 14/06/2016 Messages : 53

La pluie continuer de tomber dans les rues de Londres et des corps inanimés gisaient au sol. Jason sur le point de partir alors qu'il venait de parler à son oncle brièvement en lui disant que personne n'était parfait et que chacun avait sa part d'ombre. Le Directeur de Poudlard ne fut pas impressionné par ses propos philosophiques et rétorqua que chacun avait une part de lumière également en lui. Il continua dans ses propos en lui disant qu'il fallait qu'il vérifie ses relations et qu'il ne traine pas avec n'importe qui. Essayant de résonner son neveu, il essaya de lui faire comprendre qu'il était en train de changer à cause de tout les évènements présents et qu'il ne fallait pas qu'il sombre dans les ténèbres mais qu'il reste à sa juste place. Ainsi, parlant de son père Nelson Eiwaz s'étant sacrifié pour l'ensemble du monde moldue comme sorcier. Il avait sauvé le monde à deux reprises et Sylvius ne laisserait personne salir sa mémoire et les actions qu'il a mené.

Mais avant que Jason ne puisse répondre, quelqu'un vint s'invité à la conversation. Alors qu'une voix se faisait entendre dans l'ombre et des pas de chaussures approchés. Le Sorcier n’eut nul difficulté à reconnaître la démarche de son allié Mehdi. Même si cela faisait des mois qu'ils ne s'étaient pas vu. Ils avaient combattus ensemble pour protéger les leurs et ils avaient réussit à repousser nombreuses tentatives d'attaques et d'attentats de leurs ennemies. Ce dernier s'approchant alors de son ancien professeur venant le fixer à son tour du regard et posant à la fois sa main sur une épaule de son ami. L'ancien Ministre de la Magie se retrouvé face à quatre yeux le fixant hostilement. C'est alors que Jason ouvrit la bouche pour lui répondre à toutes ses déclarations avant qu'ils ne soient coupés. D'une voix calme mais dûr, il lui répondit :

" Tu es complètement dépassé par les événements mon Oncle ! Tu crois en tes paroles car c'est ligne de conduite que tu as toujours essayé de suivre toute ta vie ! Mais le monde a changé ! Et toi également tu as changé … ! Tu n'es plus que l'ombre de toi même ! "

Tournant les talons donnant le sentiment qu'il était déçu de ce que le Directeur de Poudlard était devenu. Ce dernier n'eut pas le temps de répondre que Jason se retourna directement et rentra dans une colère en le fixant droit dans les yeux et en lui pointant du doigt sur le torse en appuyant de plus en plus fort :

" Je préfère mourir dignement la tête haute ! Plutôt que de vivre comme un lâche ! Refuser de se battre par peur de l'échec ! C'est comme refuser de vivre par peur de mourir ! Ce ne sont pas les plus intelligents les plus fort qui gagnent la bataille ! Ceux qui gagnent la bataille ceux sont qui sont prêt à aller jusqu'au bout ! Ceux sont qui sont prêt à se sacrifier pour les leurs ! Ce n'est pas une question d'être entre les deux camps et de ne rien faire ! Il est question de protéger les notre ! J'ai sauvé bon nombre de moldues innocents ! Et j'ai tué bon nombre de Sorciers et de moldues ! Mais contrairement à toi ! J'ai fait quelque chose ! Être un résistant ! C'est s'opposer à la menace ! "

Sylvius n'en croyait pas ses yeux en écoutant son neveu. Il n'était pas forcément d'accord sur tout ce qu'il disait. Mais il savait qu'il disait la vérité sur de nombreuses choses. Mais une phrase lui mis un électrochoc lorsqu'il entendit :

" N'oublie qui tu es ! "

Ainsi, tournant les talons de nouveau et s'apprêtant à partir encore une fois. Le Directeur de Poudlard réagit immédiatement à ces propos.

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

La pluie continuait de couler invariablement sur Jason et moi. Nous nous faisions toujours face, nous regardant, comme deux inconnus alors que nous avions été si proches.
J’avais envoyé ma propre sœur Mey le rechercher au plus profond des ténèbres, là où Arya et ce fourbe de Melkor l’avait précipité. J’avais passé des mois et des mois à le ramener vers le côté blanc de la magie et le voilà maintenant face à moi, dans des camps opposés.
Il était le parrain de ma petite dernière, je ne pouvais pas me résoudre à l’affronter et pourtant je sentais au plus profond de moi que ce moment allait être inévitable.
J’attendais qu’il réagisse à la vision de Neslon mais nous fûmes interrompus par 2 événements. Tout d’abord, je sentis une présence féminine là dans le square où Mat attendait et surtout je sentis son esprit se troubler mais je laissais cela de coté car je savais mon ami capable d’assurer et puis Mey ne devait pas être loin en couverture. Je savais aussi que Mafalda pouvait réagir au moindre appel de ma part.
Par contre, je tombais des nues en voyant Medhi mon beau-frère. Certes il avait rejoint les résistants mais j’avais espéré que la naissance de ma petite nièce nous rapprocherait. Au lieu de cela, Medhi avait tout fait pour nous éloigner. Voulant répondre à son souhait, j’avais moi aussi cesser de faire des efforts mais j’en souffrais car je savais que Mafalda en souffrais et surement Jannalynn avec laquelle je m’étais toujours très bien entendu. Mais que pouvais je faire contre la volonté d’un Serpentard tellement perclus de certitudes. Nous ne sommes que le résultat des choix que nous faisons, il avait fait les siens en conscience depuis bien longtemps.
- N’oublie pas qu’il est ton beau frère et ne lui fais pas de mal ! Quoiqu’il dise ou fasse, il ne faut pas réagir me dis-je afin d’éviter la tentation de le transformer en pâté pour chien.
Il s’approcha faisant le dandy comme à son habitude et pose sa main sur l’épaule de Jason.
- Mais quelle surprise au beau milieu de la nuit, c'est carrément divin ça !!
- Bonsoir messieurs !
Je ne répondis rien ! Il provoquait et je ne voulais pas lui donner d’importance. Je n’étais pas là pour lui mais pour Jason. Je me contentais de lui rendre son regard son sourciller.
Finalement Jason se décida à réagir et les mots qu’il me dit claquèrent comme un fouet sur ma peau nue. J’oserais dire que ses paroles me faisaient encore plus de mal que lorsque Melkor s’empara de mon être me rejetant au plus profond de mon esprit.
" Tu es complètement dépassé par les événements mon Oncle ! Tu crois en tes paroles car c'est ligne de conduite que tu as toujours essayé de suivre toute ta vie ! Mais le monde a changé ! Et toi également tu as changé … ! Tu n'es plus que l'ombre de toi même ! "
Avait-il tort, avait-il raison, ni l’un ni l’autre sûrement. En tous les cas pas complétement. Comme il est bon cependant de toujours avoir la même logique, la même ligne directrice de vie.
- L’ombre de moi-même jeune sôt ! Si je voulais je te donnerais une leçon que tu ne serais pas prêt d’oublier me dis-je en retenant les mots qui me venaient de peur de provoquer chez Jason, une flambée de violence comme il en était capable. Nous étions en plein cœur du territoire moldu et je ne voulais pas être responsable de la mort d’innocents.
De toute façon aurais-je aimé répondre, que Jason enchaîna.
" Je préfère mourir dignement la tête haute ! Plutôt que de vivre comme un lâche ! Refuser de se battre par peur de l'échec ! C'est comme refuser de vivre par peur de mourir ! Ce ne sont pas les plus intelligents les plus fort qui gagnent la bataille ! Ceux qui gagnent la bataille ceux sont qui sont prêt à aller jusqu'au bout ! Ceux sont qui sont prêt à se sacrifier pour les leurs ! Ce n'est pas une question d'être entre les deux camps et de ne rien faire ! Il est question de protéger les notre ! J'ai sauvé bon nombre de moldues innocents ! Et j'ai tué bon nombre de Sorciers et de moldues ! Mais contrairement à toi ! J'ai fait quelque chose ! Être un résistant ! C'est s'opposer à la menace ! "
- Quelle belle déclaration, il est dommage que tu ne saches faire que cela ! mon jeune ami répondis-je dans un premier temps en prenant un ton volontairement paternaliste.
Je serais ma baguette et reculais d’un pas afin d’avoir une position qui me permettait d’être sur la défensive.
- Je n’ai jamais refuser de me battre au contraire mais je n’aime pas le combat pour le combat, c’est la facilité des lâches et des faibles dis-je en accentuant mes paroles tout en plongeant mon regard dans le sien en évitant soigneusement de regarder Medhi. Le seul combat qui vaille la peine d’être gagné c’est l’amour Jason. Albus Dumbledore, si tu l’avais connu, te l’aurais dit. La voie que tu choisi c’est celle des faibles, c’est celle de Melkor, de Grindewal ou de Voldemort en son temps. C’est la peur des autres qui vous gouvernent ajoutai-je en regardant Medhi cette fois-ci pour qu’il comprenne qu’il devait cesser de faire l’enfant. Alors oui, si cela peut te faire plaisir, je ne fais rien…je te laisse juge de mes actes mais ils parleront pour moi et nous verrons ce que l’histoire en retiendra. J’agis pour le bien, pour l’amour pas pour la haine ou le triomphe d’un clan. Tu dis que j’ai la la même ligne alors OUI je le revendique et je suis fier de ne pas dévier…Mon ami Neslon, avait la même conviction que nous ne devions jamais renoncer. Donc soit, nous arrivons à vivre en paix avec les Moldus, nos amis, nos frères, soit J’ai trouvé le moyen de rétablir le pacte du secret. Cette guerre doit prendre fin. Tu parlais de courage, où est le tien ? Fallait-il manquer de courage lorsque nous nous sommes mis en travers du ministère pour prendre ta défense ? Où étais-tu lorsqu’il a fallu faire de Poudlard un lieu d’accueil pour tous ? Où étais-tu lorsque je me suis opposé au ministère ?
Je fis un pas en avant et les regardaient tous les deux.
- Vous n’êtes pas les seuls à vouloir vivre en paix et à protéger les nôtres. Poudlard est un lieu où Moldus et Sorciers vivent en paix. C’est possible ! Cessez-d ’avoir peur. Jason je te le dis, tue-moi maintenant car je refuse de devenir ton ennemi et je ne serais pas Dumbledore et toi mon Grindelwald.

Membre du Ministère Date d'inscription : 17/08/2014 Messages : 56

Toujours engoncé dans mon trench à épier la conversation des trois hommes, j'avais une étrange impression. Quelque chose ne tournais pas rond, j'avais comme la sensation de me faire épier à mon tour.

*Ne sois pas stupide Téo! Tu es dans un square en pleine nuit sous une pluie battante en dehors des trois gars dont tu écoute la conversation, vous ne devez pas être trente-six non plus a le faire !*

Ma conscience avait raison mais je sentais quand même mon poils s'hérisser. je continuais pour autant que je sache à écouter d'une oreille la conversation pour laquelle j'avais arrêter ma promenade nocturne.

De l'autre je restais à l'affût du moindre bruit suspect derrière moi. Ma main droite étant occuper à emmener jusqu'a ma bouche ma cigarette, la deuxième restait bien posté dans ma poche afin de dégainer ma baguette si il y avait besoin.

*Par les temps qui courent on est jamais sur de rien!* siffla ma conscience entre ses dents... Comme elle est perspicace.

C'est à ce moment précis que je sentis une réel présence dans mon dos, quelqu'un ce rapprochais dangereusement de moi. Je saisis ma baguette au fond de ma poche dans le creux de ma main gauche tout en continuant de feindre l'ignorance en prenant une bouffer de tabac. A l'instant ou je pris cette bouffer l'inconnu derrière moi prononçât la phrase qui manqua de me faire faire une syncope:

" - Bonsoir Téa ! Je suis content de te savoir en vie."

Je ne me retournais pas dans l'instant car mon coeur manqua un battement et il fallait que je reprenne mon souffle et mon sang-froid pour affronter l'homme qui venait de m'adresser son salut. Mat Dursley, le seul homme que j'ai aimé dans ce monde devait être là ce soir. La douleur que j'avais réussis à faire, quelque peu, taire ses derniers mois avant de revenir en Angleterre me transperças les entrailles. Tous ce retournais dans ma tête, je n'arrivais plus à réfléchir !

*TU as encore eu une sacré idée de venir trainer ici, imbécile que tu es! Il ne manquais plus que le beau gosse que tu as abandonné pour aller jouer les aventurières en faisant mines d'explorer le monde... Aller bon courage pour te dépêtrer de cette histoire moi je te laisse avec ton cerveau en ébullition ! *
La conscience, toujours la quand on a besoin d'elle...

Aillant retrouver un semblant de calme, enfin en illusion pour Mat, je me tournais face lui. Son regard bleu saphir plongeant dans le mien, je n'avais d'autre choix que de dire quelque chose. Prenant une nouvelle bouffée de cigarette pour faire mine que tout allait bien, je réussis a lui décrocher un léger sourire en lui répondant:

"-Bonsoir Matti, je suis ravis moi aussi de voir que tu es vivant, et apparement bien portant. Que fais-tu dans ce square à une heure aussi tardive?"

Malgré moi, ma voix déraillas sur la fin de ma phrase. Les émotions étaient tel que je sentais mon coeur tambouriner dans ma poitrine. Tirant une nouvelle fois sur ma cigarette, je l'examinais rapidement. En dehors des légères cernes que je voyait sous ses yeux, il était toujours le même grand, beau, ses cheveux blonds peignée en arrière avec quelque mèche retombant nonchalamment à cause de la pluie. en revanche son expression était dur.

*En même temps avec les événements de ces derniers mois et la souffrance que j'avais du lui infliger sans le vouloir, je ne pense qu'il ai réellement envie de sauter au cou.. plutôt le tordre je pense !*

Merci la conscience, je croyais que tu devais aller voir ailleurs si j'y était !

Je remarquais alors que les voix derrière nous étais plus loin que lorsque je les écoutais tranquillement... Je devinais qu'il avait lancé un sort d'assourdito autour de nous. Pourquoi vous-il tant qu'on soit seul?

Professeur de potion Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201

Ma conscience un peu sourde me dictait de prendre mes jambes à mon coup
- Mais bon sang, ce n’est pas vrai ! Pourquoi tu lui as demandé si elle allait bien ? Pourquoi tu lui as parlé, elle serait sûrement parti comme si de rien n’était !!!
La pluie continuait de tomber tout comme mon combat intérieur faisait rage.
- Bah Oui voyons ! On parle de Téodora Lawrence ! Partie, elle ? Curieuse comme elle est !!! J’ai envie de rire.
- Stop !!!!! hurlais-je dans ma tête ! Laissez-moi tranquille.

J’arrivais à reprendre mes esprits quelque peu dérangés et concentrait mon attention sur Sylvius. Les voix avaient haussé le ton mais je sentais que mon ami était calme et maîtrisait la situation. Notre code d’alerte n’ayant pas été effectué, je regardais de nouveau Téa ! Ou plutôt ma Téa ! Après tout elle était toujours ma femme ! Mais l’était-elle encore vraiment ? N’était-elle pas devenue une étrangère ? Toutes ces questions tournaient depuis si longtemps que j’avais l’impression d’être un bateau ivre sur la mer.

Téo me dévisagea ! Qu’essayait-elle de deviner sur mon visage ? Je ne laissais rien deviner du bordel intérieur qui s’en prenait à moi et gardait un visage aussi inexpressif que possible.

De son côté, elle porta une cigarette à se bouche semblant surprise de me voir là. Bon en même temps, elle n’avait pas complétement tort ! Combien de chance y avait-il pour que nous nous retrouvions dans un square de Londres, au même endroit en même temps ?
- Ce n’est pas comme si Londres avait 12 millions d’habitants abruti ! Si vous tombez l’un sur l’autre (t’emballe pas garçon, ce n’est qu’une expression) c’est qu’il y a une raison !
- Bonsoir Matti, je suis ravie moi aussi de voir que tu es vivant, et apparemment bien portant me dit-elle en me regardant en faisant un léger sourire. Que fais-tu dans ce square à une heure aussi tardive ? Ajouta-t-elle d’une voix qui dérailla sur la fin.

Le simple fait d'entendre sa voix si douce, si pur me fit me rendre compte combien elle faisait partie de moi. Combien je....non je ne savais plus. Et puis que devais-je répondre ? Mais tout va bien voyons ! je m’éclate comme un fou depuis un an ! J’ai vécu des aventures superbes, tu ne m’as pas manqué une seule seconde et d’ailleurs je voulais te remercier pour toutes les nouvelles que tu m’as donné depuis tout ce temps où tu étais je ne sais ou à faire je ne sais quoi !!!! Non sérieusement !
- Allez reprends tes esprits mon grand me maugréais-je !

Elle était superbe ! Malgré ou grâce à la pluie qui tombait sur son visage, j’en devinais chaque trait/ Elle n’avait pas changé si ce n’est ces traits qui reflétaient la tristesse, comme si elle s’était attachée à son visage.

Derrière nous, une voix explosa mais toujours pas de signal de danger, je pouvais donc continuer de m’occuper de cette seconde affaire.

J’avais enfui la tristesse au plus profond de moi, je m’étais immergé dans le travail le plus possible. Au début le simple fait de respirer était devenu un effort et puis peu à peu avec l’aide de Jason (qui m’avait fait sortir), j’avais commencé à surmonter mon chagrin. L’aide de Sylvius, Mafalda et Malo avait aussi été déterminante. Et là voilà devant moi, son visage si doux, ses lèvres, ses yeux. Toutes les fibres de mon corps tremblaient. Un gouffre béant se réouvrit en moi mais je savais que ce n’était pas le moment, je devais garde l’esprit clair.
- Et bien Téa ! Rassure-toi je n’étais pas à ta recherche ! Je l’ai beaucoup été durant des mois et des mois mais pas ce soir dis-je tristement ! Pour ne rien te cacher, je suis venu pour aider un ami s’il en a besoin.

Je m’approchais d’un pas pour être encore plus proche d’elle comme j’avais si souvent aimé l’être. En un éclair, tant de souvenirs refirent surface et en particulier les débuts de notre histoire, lorsque je la collais pour la voir ! Et puis nos rencontres secrètes ! Enfin pas si secrète que cela car j’avais découvert par la suite que Mafalda et Sylvius nous avait cramé mais n’avait rien dit !
- Et toi dit moi, que fait tu ici ? Quelle raison a pu te faire sortir de la mort dans laquelle j’ai cru que tu étais ? Parce qu’à part être morte, je ne vois pas bien ce qui aurait pu t’empêcher de me donner de tes nouvelles ! ou tout du moins à ta famille ? terminais-je d'une voix que je tentais de maîtriser mais d'où perçait un profond désarroi teinté de colère froide

Directeur de Serpentard Date d'inscription : 14/09/2014 Messages : 214

Nous étions donc là, tous les trois. Je retirai ma main de l'épaule de Jason tout en fixant Sylvius. Celui-ci en revanche ne me regardait pas. Était-ce de la crainte, du mépris...? Seul lui pouvait nous le dire. En vérité je m'en moquais. J'avais atérri par hasard sur ces deux là et je prenais un malin plaisir à voir comment mon beau frère perdait le contrôle de son filleul. Jason avait choisi le bon chemin, celui où les sorciers pouvaient vivre en paix sans que la sous espèce que sont les moldus ne viennent nous menacer ou tente de profiter de notre magie.

Jason continua son discours, visiblement pas démonté pour deux sous par ma présence

- Tu es complètement dépassé par les événements mon Oncle ! Tu crois en tes paroles car c'est ligne de conduite que tu as toujours essayé de suivre toute ta vie ! Mais le monde a changé ! Et toi également tu as changé … ! Tu n'es plus que l'ombre de toi même !

Un soupçon de sourire vint décorer la commissure de mes lèvres. Mais je ne dis rien, pour le moment en tous cas.

- L’ombre de moi-même jeune sôt ! Si je voulais je te donnerais une leçon que tu ne serais pas prêt d’oublier - rétorqua Sylvius, qui contrairement à son habitude, avait pris soin de ne pas se tromper de vocabulaire afin d'éviter une catastrophe.

Je ne pus m'empêcher de rire. Sylvius, mon bon Sylvius... Il pensait encore être le sorcier jeune et agile comme lorsqu'il était ministre ou directeur de Poudlard.

- Navré de t'annoncer mon cher que l'age n'a pas joué en ta faveur. La seule leçon que tu puisse donner de nos jours, et encore je suis gentil, c'est une leçon de cuisine pour retraités édentés. Toi et moi savons que Jason peut démembrer d'un seul coup de baguette toutes les personnes présentes sur 2 km, toi et moi inclus. Mais continue, je t'en prie, j'aime ta façon de te rassurer. - Finis-je par dire sur un ton provocateur.

Sylvius serra sa baguette fort dans sa main et avant qu'il ne put répondre, Jason le mitrailla de nouveau:

- Je préfère mourir dignement la tête haute ! Plutôt que de vivre comme un lâche ! Refuser de se battre par peur de l'échec ! C'est comme refuser de vivre par peur de mourir ! Ce ne sont pas les plus intelligents les plus fort qui gagnent la bataille ! Ceux qui gagnent la bataille ceux sont qui sont prêt à aller jusqu'au bout ! Ceux sont qui sont prêt à se sacrifier pour les leurs ! Ce n'est pas une question d'être entre les deux camps et de ne rien faire ! Il est question de protéger les notre ! J'ai sauvé bon nombre de moldues innocents ! Et j'ai tué bon nombre de Sorciers et de moldues ! Mais contrairement à toi ! J'ai fait quelque chose ! Être un résistant ! C'est s'opposer à la menace !

- Quelle belle déclaration, il est dommage que tu ne saches faire que cela! Je n’ai jamais refuser de me battre au contraire mais je n’aime pas le combat pour le combat, c’est la facilité des lâches et des faibles ! Alors oui, si cela peut te faire plaisir, je ne fais rien…je te laisse juge de mes actes mais ils parleront pour moi et nous verrons ce que l’histoire en retiendra. J’agis pour le bien, pour l’amour pas pour la haine ou le triomphe d’un clan. Tu dis que j’ai la la même ligne alors OUI je le revendique et je suis fier de ne pas dévier…Mon ami Neslon, avait la même conviction que nous ne devions jamais renoncer. Donc soit, nous arrivons à vivre en paix avec les Moldus, nos amis, nos frères, soit J’ai trouvé le moyen de rétablir le pacte du secret. Cette guerre doit prendre fin. Tu parlais de courage, où est le tien ? Fallait-il manquer de courage lorsque nous nous sommes mis en travers du ministère pour prendre ta défense ? Où étais-tu lorsqu’il a fallu faire de Poudlard un lieu d’accueil pour tous ? Où étais-tu lorsque je me suis opposé au ministère ? - Déclara Sylvius, visiblement irrité par les propos que Jason eut à son encontre. Il avança d'un pas nous regardant tous les deux et ajouta tandis qu'ue j'allumais une cigarette -Vous n’êtes pas les seuls à vouloir vivre en paix et à protéger les nôtres. Poudlard est un lieu où Moldus et Sorciers vivent en paix. C’est possible ! Cessez-d ’avoir peur. Jason je te le dis, tue-moi maintenant car je refuse de devenir ton ennemi et je ne serais pas Dumbledore et toi mon Grindelwald.

À ces mots, j'avalais de travers la fumée de ma cigarette et commençais à tousser et à m'étouffer jusqu'à ce que ce soit passé.

- Peur. Tu pense donc que nous agissons par peur? Sylvius je t'en prie depuis le temps je pensais que tu avais saisi mes motivations ! Visiblement non! Il est cependant intéressant de rebondir sur la métaphore de Gellert et Albus. Ma famille était aux ordres de Grindelwald, puis de Voldemort, puis d'Azar Forad, puis Melkor, et ainsi de suite depuis le berceau de l'humanité. Nous partageons les mêmes valeurs que ces mages. Les sangs purs à tables, le reste, à l'étable ! J'ignore quelles sont les motivations de Jason, à dire vrai nous n'en avons jamais discuté mais telles sont les miennes. Les sorciers et sorcières doivent vivre sans se cacher des moldus certes, mais les moldus doivent être nos serviteurs, au même rang que les elfes de maison et autres créatures. - Je balançais ma cigarette qui s'était consommée seule durant ma tirade et en allumais une autre. - Et j'ajoute pour en finir, qu'un agréable parfum de cigarettes traîne dans l'aire, et ce n'est pas la mienne. Mes chers amis, je crois que nous sommes épiés.

Date d'inscription : 14/06/2016 Messages : 53

En pleine discussion, le ton monté entre les trois Sorciers. D'un côté, Jason reproché à Sylvius qu'il ne faisait rien pour protéger le monde face aux diverses menaces que sa soit Sorcier comme Moldue. Il avait tendance à rester trop passif et malgré sa volonté de maintenir la paix dans le monde, ceci était impossible aujourd'hui. Ayant des mots durs et poignant, il faisait du mal à son Parrain. Si au début, Sylvius restait calme et tentait de résonner son neveu en lui faisant plusieurs mentions aux valeurs de l'Amour. L'ancien Ministre de la Magie cherchait à lui faire comprendre qu'il ne voulait pas qu'il finisse comme Melkor ou Voldemort à diriger les autres par la peur. A combattre les menaces avec la force et à détruire tout sur son passage. Mais il y a un moment le Directeur de Poudlard ne pu retenir son sang froid et se mit à vriller d'un coup. Il augmenta lui aussi la voix en remettant en cause à son tour son neveu. Il lui reprocha que c'était grâce à lui et ses alliés qu'il a été sortie de prison, qu'ils l'ont protégés face au Ministère, qu'il a protégé l'école sans lui alors qu'il avait nommé adjoint de l'école de Sorcellerie. Cherchant la paix, il préféré mourir de la main de son neveu plutôt que de voir la destruction du monde et d'être des ennemies.

Mehdi face à cette dispute de famille, ne pu s'empêcher de sourire et de voir que Sylvius avec l'âge était devenu plus sage qu'auparavant. A l'époque, il avait le sang chaud et sa aurait dégénéré depuis un moment. Mais fallait pas sous estimer le Sorcier car malgré que plus beaucoup de gens ne le voyait en action comme auparavant. Il demeurait toujours le Sorcier le plus puissant du monde. Son nom était historique et faisait reculer plus d'un. Peu de gens souhaiter l'affronter par peur d'être ridiculiser et surtout d'être envoyé à Azkaban pour leurs crimes. Toutefois, Mehdi savait de quoi était capable Jason à présent. Le Sorcier avait développé considérablement ses pouvoirs et il était devenu un adversaire redoutable.

Mais là où ça se mit à dégénérer, c'est lorsque Mehdi se mit à parler des Moldues comme une sorte d'esclavage. Pour lui, les modlues devaient être rabaissés à la même échelle que les elfes de maison. Les Sorciers étaient supérieurs à eux et ils étaient leurs maîtres. Jason n'était pas d'accord avec ses propos mais
soupçonnant qu'on les observer, il était ailleurs dans ses esprits. Il écouter et regarder autour de lui pour voir si une éventuelle menace se présenter. Jusqu'au moment, où Sylvius ne supportant plus les paroles de Mehdi le provoquant pointa sa baguette face au Sorcier. Il était prêt à en découdre avec lui. Le jeune Eiwaz ne souhaitant pas que son ami se face tuer, fit un pas en avant pour intervenir mais son parrain le stoppa direct dans sa course en sortant rapidement son katana le long de sa gorge, tenant les deux en joules.

Pendant quelques instants, le Directeur de Poudlard chercha à leur faire comprendre de revenir à la raison. Mais Jason vexer par la neutralisation que son Oncle venait de lui faire. Il fit un geste vif et rapide de sa baguette pour écarter son katana et lui enchaîna un énorme coup de poing dans le nez le faisant reculer de quelques pas. Quand soudain Jason se mit à se transformer en un gros dragon noir et se mit face à Sylvius prêt à en découdre avec lui. Surpris l'un comme l'autre, Sylvius et Mehdi ne s'attendaient pas à ça. Encore moins Mat et Théodora qui sortirent de l'ombre prêt à intervenir pour éviter tout ça. Hurlant et montrant ses grandes dents face à son oncle. Le Directeur de Poudlard savait qu'il n'avait plus le choix. Il devait stoppé son neveu, quitte à le tuer. Alors que le dragon se mit à ouvrir la bouche pour brûler vif le Sorcier. Une ombre transplana de nul part et apparu droit devant le dragon. La personne en question collait ses mains contre le museau du dragon et essayait de le rassurer pour le calmer. Si le dragon continuait de grogner en regardant Sylvius. La jeune femme réussit à l'apaiser et à contrôler le jeune Eiwaz en le regardant les yeux. Tout en lui disant des mots doux et rassurants, elle arrivait à prendre le contrôle sur lui et à éviter toute menace de sa part.

Quelques minutes plus tard, Jason reprit sa forme humaine et prit la femme dans ses bras. La tête contre la sienne, il tremblait mais se calmer peu à peu. Le calme revenant à la normale, les quatre Sorciers n'en croyaient pas leurs yeux, comment cela était il possible que Jason était un dragon lui aussi. Comment avait il acquérir ce pouvoir et cette transformation. Mais là où ça choquer le plus, qu'est ce que Malory Olianov et Jason Eiwaz faisaient ils ensemble. Les deux qui se détestaient et avaient une haine comme jamais vu auparavant. Quelles étaient leurs relations et que faisaient t'ils enlacer ensemble ?

Membre du Ministère Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380

Cela faisait un an que les combats entre sorciers/moldus ont commencé. Il y avait, même des combats entre sorciers, ce que je trouvais complètement aberrant surtout dans ce contexte-ci.

J’avais échoué dans la mission avec Jason et quelques élus sur le volet comme Lili, ma grande amie, pour sauver tous le monde. On avait réussi tous les sauvetages mais ce n’est pas pour autant que nos défunts étaient revenus dans notre monde. On ne comprenait toujours pas la raison de cette absence ; et ça nous avait rendus fou depuis ce temps là. Jason, ce qui le rendait fou c’était de ne pas revoir nos morts de Poudlard. Lili aussi même si elle essayait mieux que nous de revivre avec l’aide de son mari et de sa famille. Moi, ce qui me minait, c’était la curiosité. Le fait de ne pas comprendre la raison de cet échec. Qu’est-ce qui n’allait pas ? On avait peut-être fait quelque chose de travers ? On avait loupé quelque chose ? Oublié de faire quelque chose ? Je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus et je détestais par-dessus tout, cette ignorance. L’échec ne m’affectait pas outre mesure vu mon métier mais l’ignorance, oui. Depuis ma tendre jeunesse donc je passais mon temps à chercher des réponses à mes questions pour m’apaiser l’esprit, pour finir ma mission et pour revoir mon frère, perdu lors de la bataille. Je ne l’avais pas revu depuis cette bataille. Mon jumeau me manquait terriblement.

Entre des missions d’auror que me donnait le Ministère, je faisais des recherches dans toutes les bibliothèques sorcières du monde. J’avais de plus ne plus de mal à être d’accord et travailler pour le Ministère. Au début, je suis le Ministre de la magie Oz. J’étais d’ailleurs l’une des rares. Mon amie et collègue étant dans l’autre camp. Petit à petit, j’avais observé notre monde et je m’étais faite mon idée. Je n’avais pas eu une vie facile. J’ai eu une famille de moldue détestable comme le célèbre Harry mais contrairement à lui, ce n’était pas ma famille malgré mes croyances. Ce n’est qu’à mon arrivée à Poudlard que j’appris que j’étais une sorcière russe de sang pur qui avait un frère jumeau et qui avait été enlevé par des mages noirs russes. J’ai découvert une ancêtre maléfique qui avait pris possession de moi pendant quelques temps mais j’avais réussi à m’en débarrasser avec l’aide de Lili, de mes amies serpentards et de mon frère Lazar. Elle m’avait laissé des pouvoirs non négligeables. Bref, tout ça pour dire que ma vision avait changé et je m’étais mis à changer de camp petit à petit.

Je fermais un livre quand je ressentis une immense colère naître dans mon ventre et me vriller les tempes. Super l’aptitude de l’ancêtre. Je crispais mes mains et essayais de dégager cette rage brûlante. Je fermais les yeux quelques instants avant de les rouvrir en affichant un visage calme.

- Et merde ! Il est sérieux ?? Qu’est-ce qui se passe ?

Heureusement que j’avais attaché un sort sur lui pour l’avoir à la trace pour le surveiller. Il a explosé et va tuer quelqu’un. Qu’est-ce qui m’a pris d’être avec lui, moi qui ne pouvait pas le piffrer. Je transplanais immédiatement pour le rejoindre ne sachant pas ce que je vais trouver et où je vais tomber.

Cela ne prit que quelques secondes et une fois terminé, je pus voir un énorme dragon noir à quelques mètres de moi. J’analysais la situation en quelques secondes et regards. LONDRES-DRAGON-SYLVIUS DERRIERE MOI- MEHDI à côté- MAT- TEODORA (une revenante).

- Fichtre !! Reculez tous !! Immédiatement ! Faites disparaître ce fichu katana. Mat, Teo, vous me rangez ces baguettes sinon je vous neutralise et reculez Sylv. Crapaud, barres toi aussi !! ordonnais-je rapidement et d’une voix forte et sèche ; habituée à diriger une équipe d’aurors. Je ne peux pas m’occuper de tout le monde.

Jason, parce que le dragon était bien lui, avait les crocs dehors, la gorge ouverte sur le point de cramer Sylv’, son parrain, mentor et j’en passe. La situation était pire que je le pensais et je ne cherchais pas à comprendre ce qui avait bien pu se passer entre tout ce beau monde.

Je m’approchais du dragon noir sans hésitation en levant les bras. Le dragon abaissa son long cou vers moi et je posais mes mains sur son gros museau écaillé pour le rassurer et le calmer. Il devait ravaler son souffle de flamme, immédiatement ! Jason continua de grogner sur Sylvius tout en le brûlant de son regard. Je raffermis ma prise sur sa tête tout en lui parlant, droit dans les yeux.

- Par ici mon gros ! Jason ! Regarde-moi ! Calme, c’est ça. C’est bien ! Je veux revoir mon homme, maintenant. Sinon, je te fais vite redescendre sur terre, moi affirmais-je d’une voix ferme. Je suis là mon amour. Allez, reviens pour moi, mon chéri. Regarde, toute menace est passée. C’est fini ! Je suis là. Pas besoin de montrer les crocs, mon lézard le taquinais-je avec un sourire. Il faut dire que ce n’est pas la première fois que je parle et côtoie un dragon. J’ai grandi depuis mes 12 ans avec Lili Godolphin. J’ai tout fait avec et elle, c’est THE dragon !

En mêlant fermeté, amour et tendresse, je réussi à calmer Jason qui se trouva de nouveau en homme. Habitué par la transformation, je le vêtis par magie. Je me retrouvais dans les bras de Jason, tête contre tête.

- Merci… murmurais-je en l’embrassant. C’est fini, je suis là déclarais-je en lui entourant le visage de mes mains. Ça va mieux ??

Après confirmation de Jason, je me tournais à demi vers les autres sans le lâcher pour autant.

- Qui peut me dire ce qui s’est passé ici ?! Sylv’, ça va ?? Pourquoi Jason était dans un tel état ? questionnais-je en ignorant les regards surpris et quelques peu tétanisé car oui, Jason était un dragon et oui, j’étais dans son camp pour plusieurs raisons complexes mais la première était de surveiller et d’épauler Jason tout en suivant mes convictions et valeurs qui différaient quelques peu de mes camarades.

Membre du Ministère Date d'inscription : 17/08/2014 Messages : 56

"- Et bien Téa ! Rassure-toi je n’étais pas à ta recherche ! Je l’ai beaucoup été durant des mois et des mois mais pas ce soir dis-je tristement ! Pour ne rien te cacher, je suis venu pour aider un ami s’il en a besoin. Il se rapprocha un peu plus de moi et reprit. Et toi dit moi, que fait tu ici ? Quelle raison a pu te faire sortir de la mort dans laquelle j’ai cru que tu étais ? Parce qu’à part être morte, je ne vois pas bien ce qui aurait pu t’empêcher de me donner de tes nouvelles ! ou tout du moins à ta famille ?"

La violence de ses paroles me parût comme une gifle qu'on m'assénait au visage. Comment aurais-je pu le prévenir. J'avais vécu dans les coins les plus reculés de la planète. En partant de Londres j'étais perdue. La guerre avait explosé et j'avais fuis. Je ne savais pas dans quel camp je me situais... tous du moins à l'époque. Aujourd'hui peut être que j'avais trouver... mais comment lui expliqué?

* T'avais oublier les problèmes que tu allais avoir en rentrant, et je ne parle même pas de la brasser que tes parents vont t'envoyer quand il sauront que tu est rentré!* La conscience ne la ramène pas s'il te plait, c'est pas le moment !*

Je regardais Mat dans les yeux. Mon visage c'était durci, je sentais la colère qu'il avait en lui ce répercuté en moi. Tous d'un coup, sans crier gare, j'explosais:

"-Tu viens me faire des reproches toi?! Je suis partis parce que je n'avais pas d'opinion sur la question de cette maudite guerre! Je savais que j'aurais pu me faire lincher pour ce non choix de tous les côtés, par conséquent oui j'ai préférée fuir. ET si je vous avais informé de mon départ a toi ou a ma famille j'avais je n'aurais pus partir, vous ne m'auriez pas laisser faire. Et puis de toute manière entre ton boulot de prof et mon job d'aurors on ne réussissais plus à ce voir. J'ai préféré fuir et être lâché. Aujourd'hui je rentre et je sais ce que je veux. Alors arrête tous de suite de e faire des reproches parce que je ne t'ai pas tant abandonnée que ça, j'avais placer un mouchard dans ta chambre pour être sur que tout allais bien le temps que je me trouve. Et j'ai pus constaté que oui !"

Je reprenais mon souffle après mon énorme tirer à me décoller les cordes vocale. je continuais de fumer ma cigarette. C'est a ce moment la que j'entendis Medhi au loin, entre deux enguelades parce qu'il n'y avait pas que de notre côté que les esprits s'échauffais:
"- Et j'ajoute pour en finir, qu'un agréable parfum de cigarettes traîne dans l'aire, et ce n'est pas la mienne. Mes chers amis, je crois que nous sommes épiés."
Et zut ! foutus pour foutus je continuais a fumer tranquillement. reprenant peu a peu mon calme mais pas complètement non plus. J'ajoutais:

"-Et ne viens pas mêler mes parents a cette histoire s'il te plaît ils ont eu assez à faire avec mon petit frère."

Je le regardais à présent réellement. Toute les péripéties que nous avions vécu ensemble. Il avait été les plus belles années de ma vie. Je l'avais aimé et je savais au lus profond de moi que je l'aimais toujours. Après tous ce que nous avions vécu était-il encore possible de reconstruire notre histoire.

Je n'eu pas le temps de rester dans mes penser. Il commençait déjà a me répondre quand j'entendis gronder dans mon dos je me retournais alors ma baguette déjà à la main. Je regardais Mat d'un seul regard nous avions eu la même idée. Il fallait intervenir. invalidant le sortilège qu'il avait autour de nous nous courûmes vers le petit groupe... Enfin devrais-je dire le grand groupe car à la place de Jason Eiwaz ce trouvais un énorme dragon près a faire de la poussière de l'ancien ministre de la magie !
Je mis au côté de Medhi. Je vis la gueule du dragon s'ouvrir en grand et ce préparer à transformer Sylvius Césarius en brochette grillé!

Malory apparut a ce moment là, sombre et perdus au premier abord puis voyant le dragons elle s'en approchas tout en ou hurlant des ordres:

"-Fichtre !! Reculez tous !! Immédiatement ! Faites disparaître ce fichu katana. Mat, Teo, vous me rangez ces baguettes sinon je vous neutralise et reculez Sylv. Crapaud, barres toi aussi !!"

Je rangeais ma baguette et donnais un coup de coude dans les côtes de Mat pour qu'il en face autant.

je regardais, comme hypnotisée comment Malo' réussissait a calmer Jason. J'avais vraiment louper beaucoup d'épisode en disparaissant comme je l'avais fait. une fois clamer nous vîmes Jason reprendre forme humaine et serrer Malo' dans ses bras.
he commences a me dire qu'il était temps que je m'éclipses quand Malo' ce tournas vers nous et nous assaillis de question:

"-Qui peut me dire ce qui s’est passé ici ?! Sylv’, ça va ?? Pourquoi Jason était dans un tel état ?"

Haussant les épaules pour ma part je visualisais un banc as deux pas du petit groupe et décidait de les laisser régler leur compte entre eux. je mis un petit coup de baguette pour sécher les bancs et par conséquent éviter de me trempé les fesses et m'assis calmement, attrapant une flasque je sifflais une petite rasade de whisky, mon passage par l'écosse au fin fond des Highlands m'avais appris bien des choses. J'allumais une énième cigarette et réfléchissais à un plan pour m'échapper de ce bordel pendant que tous ce petit monde régler leur différent.

Professeur de potion Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 201

J’attendais que Téodora me réponde. Elle avait semblé touchée par ce que je lui avais dit. En même temps, même si je n’en avais aucune envie et quel que soit les raisons qu’elle m’avait donné, je pensais être en droit de lui dire cette vérité simple : elle nous avait abandonné.
Nous étions si proche, nous aimions si fortement que j’aurais pu tout entendre et tout accepté.
S’un seul coup son visage se renferma et elle explosa. Pas comme par le passé, de façon plus mature, plus intense, plus grave.
La première chose que je me dis en l’attendant c’était qu’elle avait vécu des moments difficiles pour que cette expérience la marque autant.
-Tu viens me faire des reproches toi?! Je suis partis parce que je n'avais pas d'opinion sur la question de cette maudite guerre! Je savais que j'aurais pu me faire lincher pour ce non choix de tous les côtés, par conséquent oui j'ai préférée fuir. ET si je vous avais informé de mon départ a toi ou a ma famille j'avais je n'aurais pus partir, vous ne m'auriez pas laisser faire. Et puis de toute manière entre ton boulot de prof et mon job d'aurors on ne réussissais plus à ce voir. J'ai préféré fuir et être lâché. Aujourd'hui je rentre et je sais ce que je veux. Alors arrête tous de suite de e faire des reproches parce que je ne t'ai pas tant abandonnée que ça, j'avais placer un mouchard dans ta chambre pour être sur que tout allais bien le temps que je me trouve. Et j'ai pus constaté que oui !

- Oulà me dis ma conscience, elle se rebelle la petite ! Ne te laisses pas faire. En plus, elle exagère un tout petit peu, voire carrément sur plusieurs aspects.
-Silence Merde !!! Je n’ai pas besoin que mon conscience, bonne ou mauvaise vienne m’aider, je veux laisser parler mon cœur. Si elle est parti c’est que j’avais faits quelque chose, depuis 1 an, je me demandais ce que j’avais raté.

- Tea, dit moi notre amour n’était-il pas assez fort, assez pur pour que tu m’en parles tout simplement ? Après ce que nous avons vécu, les risques que nous avons pris à l’école ? Nan franchement Téa, c’est toi qui exagère dis-je en lui tournant le dos tout en serrant mes poings.
J’étais énervé, fâché, complétement en dehors de moi. Moi Mat Dursley toujours sage, droit. Ne pas faire de vague avait toujours été mon crédo. Le gentil Mat, fils de l’infâme cousin d’Harry Potter…qui n’avait pas hésité à foutre tout cela en l’air par amour. Comment avait-elle pu douter de moi ? D’ailleurs ! me dit ma conscience, elle a foutu un mouchard dans ta chambre !!!!
- Tu m’as abandonné Téa, c’est un fait ! Je ne sais pas ce que j’ai raté dans notre histoire, je ne sais pas ce qui a pu te faire croire que je ne pourrais pas comprendre, je ne sais pas pourquoi tu as cru que je ne t’aimais pas assez pour comprendre mais c’est un fait. Pour le mouchard, alors tu as du m’entendre t’appeler et pleurer ta disparition ! Non je n’allais pas bien mais j’ai fait avec. J'ai noyé mon chagrin à Pagford chez Aurélia et Préciosa et aussi avec Hagrid ! C'est sûr que je ne faisais pas cela dans ma chambre bref
Je la regardais de nouveau. Je l’aimais toujours comme un fou que j’étais.
-Quel que soit la décision que tu aurais prise ou prendra, je l’aurais comprise et ce que nous vivions aurait dû t’en persuader. Tu as préféré partir, c’est un choix et je ne te le reproche pas. J’aurais pensé que par amour tu aurais pu me laisser un message, je t’aurais fait confiance et j’aurais attendu plutôt que de te croire morte.
Téa n’eut pas le temps de me répondre. L’aurait-elle seulement voulu ? Nous avions été surpris.
Ensuite sans que j’ai le temps de l’anticiper, nous entendîmes un grand fracas provenant de la ruelle où se trouvait Sylvius et en même temps, une lueur rougeâtre apparu sur le manche de ma baguette.
Sylvius est en danger, fonces me dis-je en même temps que Téa se mettais en mouvement elle aussi.
En débouchant dans la ruelle, le spectavle qui s’offrrait à moi m’effrya, un immense dragon faisait face à sylvius et semblait prêt à lui cracher dessus. Pourtant je vis dans le regard de ce dernier qu’il n’était pas inquiet plus que cela. Que cherchait mon mentor ?
Je m’apprêtais à frapper lorsque Malory apparut et parla au dragon.
-Fichtre !! Reculez tous !! Immédiatement ! Faites disparaître ce fichu katana. Mat, Teo, vous me rangez ces baguettes sinon je vous neutralise et reculez Sylv. Crapaud, barres toi aussi !!"
-Non mais tu te prends pour qui ! me dis-je alors que Téa me donnait un coup tandis qu’elle-même rangeait la sienne. De mon côté, je ne rangeais pas la mienne mais l’abaissait vers le sol. Je n’obéirais sûrement pas à un séide du ministère. Malory avait été mon élève et le moins que l’on puisse dire c’était qu’elle prenait quelque liberté et cela me fut confirmé lorsqu’elle calma le dragon qui redevint Jason et qu’elle s’adressa à celui envers qui elle manquait de respect.

- Qui peut me dire ce qui s’est passé ici ?! Sylv’, ça va ?? Pourquoi Jason était dans un tel état ?"
-Sylv ? Malory, tu parles au directeur de Poudlard ! Montres un peu de respect pour lui ! dis-je simplement tandis que je voyais Téa s’installer sur un banc l’air songeur. Pour le reste, je ne peux que te dire que Sylvius voulait parler à Jason pour le faire revenir du bon côté de cette lutte. J’étais dans le coin en embuscade au cas où lorsque je suis tombé sur Téodora. Pour le reste, demande aux autres terminais-je en allant m’installer à côté de Téa et en lui prenant la main espérant qu’elle ne me rejetterait pas uns fois de plus. AU moins me dit ma conscience, cette fois-ci se sera clair et tu pourras faire ton deuil.

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

Je venais de terminer ma tirade, espérant que j’avais réussi à distiller le doute dans leur esprit. Je dis bien leurs car l’intervention non prévu de Medhi m’obligeait à changer mon fusils d’épaule. Si j’arrivais à faire revenir Medhi à des réalités moins tranchées, je n’aurais pas perdu ma soirée. Même si Jason restait mon objectif principal, Mafalda serait heureuse de savoir que notre beau-frère était au minimum devenu neutre, au mieux nous aurait rejoints. Mais là, je n’espérais pas trop.

Malheureusement je ne pourrais pas raconter à ma tendre épouse que Medhi avait compris car il me confirma que non seulement, il ne nous rejoindrait pas mais qu’en plus il avait évolué vers une extrémité dangereuse. Il avait clairement énoncé le fait qu’il voulait mettre en esclavage les moldus.

Comme d’habitude, il avait été odieux. Je ne comprendrais jamais son attitude vis-à-vis de moi ni pourquoi il était aussi mesquin. Nous n’avions jamais été proche mais il atteignait des limites qui auraient mérité que je le « corrige » tout de suite. Mais il avait une chance qu’il ne comprendrait jamais, je lui tolérais beaucoup de chose car i était le mari de Jannalyn. Je préférais donc ne pas lui répondre car il n’en valait pas la peine et j’en avais marre de prendre sur moi. Je me promis qu’à la prochaine incartade, je me chargerais de lui de façon à ce qu’il comprenne qu’il y avait un minimum de respect à avoir. Je venais d’avoir la certitude qu’il était irrécupérable.
La seule chose dans ses propos qui me perturba c’est qu’il avait détecté que quelqu’un nous écoutait. Mat ne fumant pas, il y avait quelqu’un d’autre qui nous espionnait.

De l’espoir j’en eu grâce à Jason qui ne cautionnais pas la voie qu’avait choisi Medhi. Il n’était résistant que par opportunité. Il n’avait pas trouvé sa place autre part. Si on lui proposait une alternative intéressante, il changerait. Mon cœur reprenait espoir.

Medhi en vint à me provoquer de nouveau et je décidais s’agir, je me dis qu’une jolie cicatrice ne lui ferait pas de mal. Rapide comme l’éclair, je sortis mon katana et d’un geste souple l’appliquait sur sa gorge. Jason devinant mon intention s’interposa.

- Regardez ou tout cela nous menes ! hurlais-je à leur face. Je continuais ainsi sans me rendre compte que cela avait un impact sur Jason.

J’étais prêt à mourir pour mes valeurs et pour le bien. J’avais envie de crier à Medhi que l’important ce n’est pas ce qu’on est à la naissance, mais la façon dont on grandit pas le suite et à Jason que cela ne fait pas grand bien de s'installer dans les rêves en oubliant de vivre, souviens-toi de ça ! Mais je n’en eu pas le temps, Jason me sidéra. Il se transforma en dragon.

J’en tombais des nus, décidément ce petit me réservait bien des surprises.

Il gronda, gronda encore prêt à me bouffer mais j’étais prêt à mourir donc j’étais serein, j’aurais tout tenté et si ma mort pouvait servir à quelque chose d’utile je n’aurais aucun regret !

Je lançais le signal d’alarme à Mat pour qu’il soit témoin et puisse rapporter à Harry et aux autres ce qui c’était passé. Celui-ci déboucha de l’allée la baguette à la main accompagné par Téodora Lawrence sa femme disparue depuis plus d’une année.
- Décidément me dis-je cette rencontre solitaire et discrète se transforme en réunion d’ancien de Poudlard. D’un autre côté, je souriais content que ces deux là se retrouvent. Mat aurait peut-être besoin d’une alliée si Jason me faisait cuir. J’étais loin d’imaginer la suite.

Une ombre translplana et s’approcha du dragon afin de lui apposer la main sur le museau. J’eu un peu de mal à la reconnaitre mais c’était Malory, une ancienne élève devenue grâce à son talent, une auror efficace. Elle en faisait toujours partie et surtout j’avais le souvenir qu’elle faisait partie des équipes fidèles au ministère qui était réputé pour traquer les résistants. C’est pourquoi je fus étonné de la voir venir en aide à Jason.

- Fichtre !! Reculez tous !! Immédiatement ! Faites disparaître ce fichu katana. Mat, Teo, vous me rangez ces baguettes sinon je vous neutralise et reculez Sylv. Crapaud, barres toi aussi !!
Je rangeais mon katana et reculais d’un pas comme me l’avait « ordonné » Malo. Sa gestuelle envers Jason semblait indiquer qu’elle savait ce qu’elle faisait.
Elle s’approcha et se mit à lui parler. Je compris vite que leur relation allait au-delà de l’amitié ! Un amour certain existait en eux. Lorsque Jason fut redevenu lui-même, Malo nous regarda.
- Qui peut me dire ce qui s’est passé ici ?! Sylv’, ça va ?? Pourquoi Jason était dans un tel état ?
Mat la reprit sur sa façon de me parler ce qui me fit sourire puis lui donna sa version des faits.
Je rangeais mon katana dans sa gaine tout en gardant ma baguette à ma main.
- Miss Olianov ! Seuls mes amis m’appellent avec un diminutif ! Vous êtes une ancienne élève ! Vous qui travaillez au ministère vous savez mieux que quiconque ces choses-là ! dis-je d’une voix froide. Je l’aimais beaucoup, elle avait été une vraie fierté comme élève mais elle avait tendance à oublier les formes. Pour le reste, je voulais parler à Jason car je voulais qu’il ai une chance de rejoindre ce que je considère comme étant la seule voie pour sortir de cette guerre qui nous oppose.
Je lui racontais alors ma version des choses et tentait d’expliquer ce qui avait pu rendre Jason ainsi.
Une fois mon récit terminé, je regardais de nouveau Jason.
- Un jour lorsque tu le souhaiteras Jason, tu pourras m’expliquer ce qui t’es arrivé. Si ce jour arrive car dis-je en le regardant ainsi que Malo, si nous devons nous affronter nous nous affronterons. Cette rencontre m’aura été très utile Jason. Tu m’as reproché de ne pas agir, pas assez vite, pas assez fort tu as raison. Désormais je ne laisserais aucun répit à ceux qui tuent des Moldus terminais-je en regardant Medhi ainsi que tout comme ceux qui tuent des Sorciers.
Ma tirade terminé, je savais que je n'avais plus rien à faire ici. La partie était-elle gagnée ou perdue, je ne le savais pas mais l'avenir me le dirait.
Je me tournais alors vers Mat
- Mat ! Nous pouvons prendre congé de nos hôtes, je n'ai plus rien à leur dire.
Puis je me tournais vers Téodora.
- Téodora, tu es la bienvenue avec nous si tu le souhaite. Si je peux me permettre jeune fille, si tu ne veux pas venir avec nous, dit à Mat où te retrouver. Tu m'évitera de devoir le ramasser à la petite cuillère terminai-je en lui faisant un clin d'oeil.

Un an... Cela faisait un an que cette maudite guerre avec les Moldus avait commencé. Et le planning d'Harry à Ste Mangouste en avait pâti. Certes, au début, peu de choses avaient changé mais... petit à petit, de plus en plus de sorciers attaqués sans véritable raison arrivaient à l'hôpital magique pour s'y faire soigner. Certains avaient été blessés par des moldus, ce qui était logique si l'on prenait en compte la raison première de cette guerre. Mais le pire, dans tout ça, c'était que tout les autres avaient été attaqués par des sorciers ! La raison de ce conflit était la découverte du secret par les Moldus, et pourtant certains sorciers se battaient entre eux ! Harry n'en revenait pas... Une fois, le jeune chirurgien avait même eu à soigner une jeune femme qui reçu un sort lancé par sa propre mère... Sa mère ! Quel genre de monstres pouvait blesser son propre enfant ?

Heureusement pour lui, grâce à Lili et à sa famille, le jeune Harry Allauch parvenait à tenir le coup. La plupart du temps, lorsqu'il rentrait chez lui, les horreurs qu'il avait vu lors de sa journée étaient rapidement mises de côté et il passait d'agréables moments avec la femme de sa vie. Malheureusement pour lui, "mises de côté" ne voulait pas dire "oubliées"... Les images des blessures horribles qu'il apercevait de plus en plus souvent à Ste Mangouste resteront à jamais gravées dans sa mémoire. Jamais il ne pourrait oublier les horreurs qu'étaient capables d'engendrer les guerres, qu'elles qu'en soit l'origine.

Et justement, des horreurs... Harry en avait vu de nombreuses ce jour-là. Peut-être même qu'il en avait vu plus qu'à l'habitude. Si bien qu'il avait fini par en faire des cauchemars. Sans faire un bruit, avant de ne pas réveiller Lili qui dormait à ses côtés (elle aurait été capable de s'inquiéter pour lui !), le jeune homme sortit de son lit et se vêtit, avant de sortir de la maison pour errer dans les rues de Londres. Au fil des années, il avait découvert que se balader dans la capitale anglaise était le meilleur moyen de se soulager lorsqu'il n'était pas bien. Et, cette nuit-là, il n'était effectivement pas bien... Il comprenait de moins en moins cette guerre, et espérait qu'un jour les Moldus et les Sorciers puissent vivre en paix... Que le monde entier puisse vivre en paix, sans qu'aucun conflit ne le divise...

Mais, malheureusement, cela n'était pas vraiment possible. Et, en passant près d'un square, Harry ne put que le constater. Des éclats de voix en sortaient, et il crut même entendre un grognement. Mais la personne qu'il crut entendre parler juste après que les grognements se soient fait entendre le fit immédiatement s'arrêter. Était-ce vraiment celle qu'il croyait ? Pour s'en assurer, le jeune chirurgien s'approcha discrètement, sans un bruit, espérant ne pas déranger la conversation en cours, et ce qu'il vit ne fit qu'augmenter sa surprise. Le directeur de Poudlard, Malo', le professeur Dursley... Des tas de personnes qu'Harry connaissait ou avait connu se trouvaient là...

"Mais qu'est-ce qui se passe ici ?" Murmura-t-il alors pour lui même

Directeur de Serpentard Date d'inscription : 14/09/2014 Messages : 214

Après les propos que j'ai tenu vis à vis des moldues , Sylvius pointa sa baguette sur Jason et plaça son katana sur ma gorge.
Je gardais mon sourire tout en le fixant dans les yeux, restant malgré tout en alerte, tandis que je le provoquais encore.

- Eh bien vas y Sylvius, fais le, je sais que tu en meurs d'envie ! Montre ton vrai visage ! - dis-je d'une voix grinçante avait d'ajouter - Je me demande ce que Mafa et Janna feront quand tu leur dira que toi, mari et beau frère respectif, m'a tranché la gorge avec ton épingle !

- Regardez ou tout cela nous menes ! Cria-t-il.

- Hah ! Tu es gonflé ! Tu as ta part de responsabilité là dedans !

Mais profitant d'un moment d'inattention de Sylvius qui me regardait, Jason lui écarta sa baguette et lui mit un coup de poing dans la figure, ce qui entraîna le Katana dans le recul de Sylvius, me laissant une petite blessure sous la machoire. Je ne pouvais être plus sexy à présent !
Portant ma main et mes poches pour sortir un mouchoir et l'appliquer sur ma plaie, un nuage grisâtre se mit à virevolter donnant place à un Jason transformé en dragon.

- Te voilà !! - Dis-je dans un murmure extasié et regardant sa tête. Je le contournais pour me placer au niveau de Sylvius, baguette à la main et un sourire laissant voir mes dents d'un bout à l'autre de mes lèvres.

Derrière, en dessous du dragon du dragon, je vis deux personne se ruer vers nous. Je fut heureux de revoir Théodora. Elle avait été la première personne que j'avais connu durant notre première année à Poudlard et également ma première amie. Mais je fus extrêmement déçu d'apprendre qu'elle maintenait une liaison avec Mat Dursley quand il devint professeur. Sang de bourbe !
Et parlant de Mat Dursley, il était là lui aussi. Le larbin de Césarius, toujours à lui lécher les bottes, le caresser dans le sens du poil, toujours à essayer d'être comme Sylvius... Quand Théodora m'a annoncé qu'elle allait l'épouser, ça m'avait écœuré...

Mais pas de temps pour les futilités des retrouvailles, nous avions en face de nous un dragon de 15 tonnes qui menaçait à ma grande satisfaction de carboniser mon beau frère, hélas, je devais l'en empêcher. Au moment même où je pointait ma baguette pour lui jeter un sort, une silhouette féminine que je connaissait que trop bien transplanna en face de nous tous.

Malory. Ma chère amie Malory, une des rares qui était saine d'esprit et qui avait rejoint les Résistants.

- Fichtre !! Reculez tous !! Immédiatement ! Faites disparaître ce fichu katana. Mat, Teo, vous me rangez ces baguettes sinon je vous neutralise et reculez Sylv. Crapaud, barres toi aussi !!

Je la maudissait depuis toujours pour m'avoir trouvé ce surnom. Je la vomissait même; mais je lui en avait trouvé pas mal aussi dans notre enfance tels que "La gueuse", "La folle" ou "Manche à balais". Ce qui est certain, c'est qu'elle était pratiquement la seule que je côtoyer encore.

Pas je ne sais quel forme de magie, et rien qu'en lui parlant, elle réussit à adoucir le dragon qui se transforma en Jason de nouveau. De sa baguette et l'habilla et il resta allongé entre ses bras.
J'allumais une cigarette tandis que je les jugeais quand Malory demanda ce qui s'était passé.

Je vis Théodora s'éloigner et s'assoir sur un banc. Je laissais Malory, Sylvius et Mat discuter et m'approchais de Théodora. Je lui tendis mon paquet de cigarettes. Elle en piocha une et elle m'offrit sans dire un mot, sa flasque pour boire une gorgée ou deux. Je bus et lui rendit. Je lui tapotait l'épaule pour la remercier et retournais vers le groupe. Sur les 20 mètres qui nous séparaient, je croisais Mat qui se dirigeais vers sa femme. Nous nous sommes foudroyé du regard sans dire un mot et j'arrivais enfin au niveau de Malory et Sylvius.

Ce dernier racontait sa version des faits et avant de finir de parler, il regarda Jason et ajouta:

- Un jour lorsque tu le souhaiteras Jason, tu pourras m’expliquer ce qui t’es arrivé. Si ce jour arrive car, si nous devons nous affronter nous nous affronterons. Cette rencontre m’aura été très utile Jason. Tu m’as reproché de ne pas agir, pas assez vite, pas assez fort tu as raison. Désormais je ne laisserais aucun répit à ceux qui tuent des Moldus ainsi que tout comme ceux qui tuent des Sorciers.

Cette dernière phrase, elle m'était directement adressée. Il ne se priva pas de bien me regarder alors qu'il prononçait ces mots.

Je soutenais son regard, toujours en fumant. Ne pas tuer de moldus. La guerre entre Bakkali et Césarius était déclarée.

Date d'inscription : 14/06/2016 Messages : 53

Beaucoup de question surgissaient dans les esprits de Théodora, de Mehdi, de Mat et de Sylvius Césarius. S'ils échangeaient entre eux. Ils n'avaient aucune explication sur le fait que Jason était un Dragon à présent. La Famille Eiwaz n'était pas réputée pour avoir ce don et cette capacité à voler et cracher du feu. Au contraire, ils étaient réputée plutôt pour leur courage et leur façon de mener les autres à la victoire en cas de conflit comme en temps de paix. Ils avaient pour don d'aider et de mener les gens en les tirant vers le haut. Alors comment Jason pouvait avoir acquérir un tel pouvoir qui appartenait à la célèbre Famille Godolphin, réputée pour sa puissance et son art dans les Dragons.

Pendant que la pluie continuer de tomber et l'ensemble des Sorciers échangeait entre eux d'une manière amicale ou moins selon les échanges. Jason était de son côté en retrait en train de récupérer de sa transformation. Si Theodora était assise sur un banc en compagnie de Mat, Mehdi quand à lui continuer de fusiller du regard Sylvius et Malory tentait de calmer les tensions entre les différents parties. L'ancien Ministre de la Magie s'apprêtait à partir et rentrer à Poudlard. Il avait tenté de raisonner son neveu mais en vint, il n'avait donc plus lieu de rester ici et décida de prendre congé.

Mais avant que l'Homme disparaisse en transplanant, Jason prit la parole d'une voix grave et l'intercepta avant qu'il parte en s'avançant vers lui :

" Je vais t'expliquer mon Oncle ! Ce qu'il s'est passé dans le passé ! Et pourquoi j'ai hérité de ce pouvoir ! "

Le Directeur de Poudlard se retourna donc pour l'écouter et les autres le regarder tous dans l'attente d'une explication ne comprenant pas de quoi qu'il parlé concernant le passé puisqu'ils n'étaient pas au courant de sa mission avec Malory :

" Quand je suis remonté dans le passé pour aller sauver les autres ! J'ai rencontré …… "

Mais il ne pu finir sa phrase que tout le monde attendait puisqu'il fit interrompu par les cloches d'une Eglise qui sonnait de façon bizarre comme si elle donnait une alerte. Une alerte n'annonçant rien de bon. Bien au contraire, comme si il y avait une menace ou une sorte d'attaque. Le regard du Directeur de Poudlard en disons long. Il était le seul à comprendre ce qu'il se passait pendant que tout le monder regarder autour de soit. Quand soudain, une ombre de nouveau apparu de nul au milieu d'eux alors qu'ils s'étaient mis en arc de cercle. Il s'agissait du Ministre de la Magie, Oz Addams venue annoncé que l'école de Sorcellerie Poudlard était attaquée.

Prenant tous leurs envols en transplanant sur lieux pour venir défendre la maison qu'ils avaient tous en commun. Devant cette vision terrifiante et d'horreur, l'école était en feu à de nombreux endroits et des milliers soldats humains attaqués les murs et ses habitants à l'intérieur. Des hélicoptères volant au dessus avec des lumières aveuglantes lorsqu'on les croisait du regard et des chars d'assauts détruisant tous sur leurs passages. Un véritable raid avait lieu dans les murs de l'école. Ils étaient là pour capturer les élèves et son personnel. Si les défenseurs du château tentaient de les repousser et que de nombreux pièges s'activer. Ils étaient vraiment en difficulté et mener à mal. Malheureusement, même le Ministère venu en renfort malgré ses relations tendus avec l'école était en difficulté également. Mais comment avait il pu passer la barrière de protection et trouver l'école. Nombreuses étaient les questions circulant dans la tête des Sorciers.

Directeur Poudlard Date d'inscription : 01/08/2014 Messages : 863

Je m’apprêtais à partir comme je l'avais dis, je n'avais plus rien à faire ici ! Jason prit la parole.
- Je vais t'expliquer mon Oncle ! Ce qu'il s'est passé dans le passé ! Et pourquoi j'ai hérité de ce pouvoir !
Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase, une cloche sonnait qui me glaça le sang ! Pouldard était attaqué ce qui était tout simplement impossible !

J'eus confirmation lorsque je vis OZ transplaner qui nous annonça ce que je craignais par dessus tout.

Je transplanais tout de suite dans le parc du château où l'enfer semblait s'être déchainé.
- Mat ! tu ne restes pas ! Files rejoindre le square Grimaud et prévient nos amis.
- Et toi ?
- Je vais récupérer le projet sur lequel je travaillais. Cela ne peut pas être perdu si nous voulons retrouver le secret !

Je me tournais alors vers les autres.
- Faites ce que vous pouvez pour sauver un maximum de personnes et les retarder. J'ai quelque chose à faire.

Sans attendre de réponse, je partis en courant rejoindre le château.
Je tirais ca et là quelques sorts et parvins jusqu'aux marches du château.
Sans attendre, j'envoyais aussi quelques sorts de protection sur les moldus qui se faisaient attaquer et donnaient quelques consignes en criant aux jeunes et moins jeunes sorciers que je croisais.
Mais rien ne devait ni ne pouvait me détourner de mon objectif !

Mort Date d'inscription : 07/06/2016 Messages : 52

J'étais tranquillement installé dans le dortoir des 7ème année de Gryffondor.
Je venais de terminer mon tour de garde dans le parc du château.
Depuis plusieurs mois maintenant, notre directeur avait prit la décision d'ouvrir le château aux moldus qui avaient rejoints la 5ème colonne. C'est à dire tout ceux qui refusaient de choisir entre Moldus et Sorciers.
Bien entendu, des élèves avaient quitté l'école car leurs parents ne partageaient pas le point de vue de Sylvius mais le ministère n'était par intervenu car Sylvius avait admirablement fait disparaître l'école aux yeux de tous.
De mon côté, je l'avais suivi. Il savait tout de moi et pourtant il m'avait fait une place dans cette école. Je ne pouvais que l'accompagner et le suivre.
Je me détendais en lisant un livre "Ethan et l'aube d'une nouvelle vie". J'adorais ce livre car le héros portait le même nom que moi. La première fois cela m'avait fait bizarre mais j'avais vite compris que l'un de mes frères ainés devait en être l'auteur.
La première alerte que quelque chose clochait, se fut lorsque j'entendis des cris. Puis je vis des eclairs partirent du château vers le parc.
Inquiet, je me levais lorsque je vis le patronus du professeur Pendragon venir à moi.
- Ethan ! Nous sommes attaqués. Rejoins ton poste.
Sans attendre, je filais vers notre salle commune, je resortis dehors puis enfilais les escaliers afin d'atteindre la grande salle où m'attendaient déjà plusieurs élèves des autres maisons dont certains serpentard qui avaient décidés d'adhérer à la vision de Sylvius. Comme quoi les choses avaient un peu changé depuis la victoire d'Harry Potter 27 ans plutôt.
- On y va ! dis-je en prenant la tête de ma brigade.
Nous étions une 15 de jeunes sorciers prêt à en découdre.
Dehors, un déluge d'acier pleuvait.
Je visais le première hélicoptère que je vis et fis feu dessus avec un sort "bombarda" afin de faire suater le retor de queue. L'engin vint s'écraser au sol tandis que j'étais déjà parti à la recherche d'un nouvel adversaire.
C'est alors que je croisais le directeur Sylvius !
- Retarde autant que tu peux les Pacificateurs Ethan ! Et si tu peux demande de l'aide à AMbre.
Je hochais la tête avant de lui demander
- Et vous Monsieur !
- Je dois mettre à l'abri une chose importante pour notre futur Ethan.
Ne voulant pas retarder plus son directeur, Ethan aqcuisa et le laisse continuer.
- Bonne chance Monsieur hurla Ethan en le voyant partir dans les escaliers. Il avait le sentiment qu'il ne le reverrait plus et failli partir en arrière pour le suivre mais il fût victime d'une attaque qui l'obligea à avancer.

Membre du Ministère Date d'inscription : 13/08/2014 Messages : 231

Cela faisait un an que mon monde avait volé en éclat, un an que les moldus avaient découvert le monde des sorciers, et comme tous ce qu'ils ne comprenaient pas, avaient décidés de le faire disparaitre par tous les moyens à leur disposition
Enfin, pas tous les moldus, certains pensaient comme une fraction de sorcier que les deux mondes pouvaient vivre ensemble et s'apporter de nombreux avantages.

Moi, je ne savais plus quoi en penser, je ne suportait plus mon tavail au ministère. Je tremblais de peur que mon mari vienne à craquer devant toutes les horreures qu'il voyait défiler à St Mangouste. Il essayait bien de me le cacher, mais je lisais en lui comme dans un livre ouvert. La preuve, cette nuit encore, il était sortit macher sous la pluie pour oublier, enfin, essayer tout du moins.

Allongée, seule dans mon lit, je sentis les larme rouler sur mes joues tant mon coeur était triste. Je n'avais plus qu'une envie, prendre Harry dans mes bas et volé droit à la maison dans ma chère Ecosse, là où mon père continuait tranquillement son élevage d'animaux magiques, loin de toute cette toumente.
J'en étais là de mes cogitations quand je sentis l'appelle de ma mère :" Lili, poudlad est attaqué, viens vite, on a besoin de toi."

En mêle temps, elle me donnait les clés qui m'indiquait où retouve l'école que Sylvius avait caché dans les lymbes.

Sans plus réfléchir, je sautais du lit, ouvris la fenêttre et sautais dans le vide tout en me métamorphosant en dagon. Et à gand coup d'ailles, je filais comme une flêche vers le lieu qui représentait ma seconde maison.

Le vol ne dura guère et tès vite j'arivais sur les lieux. En un clin d'oeil, je prenait la mesure des combats. Des moldus armés de fusils, de mitralettes et de mortiers, soutenu par des élicoptères étaient en train d'assiéger le chateau. Les professeurs et les élèves n'étaient pas pas en reste, des fenêttres, des toitures et de toutes les ouvertures, ils lanssaient des sort d'attaque et de deffense à tout va. Mais malgré leur courage et leur volonté, les moldus menaient la danse.

Je fondis sur eux et lançais mon feu ravageur sur leur troupe. Mon arrivée fit son effet, comme à son habitude, déjà que les sorcies avaient du mal à accepter mon existance, les moldus furent totalement paniqué sur le coup, mais je savais bien que cela ne durrerait pas et qu'ils ce reprendraient vite. Après tous, ils avaient les ames sufisante pour abattre un dagon.

Je fillais au dessus du chateau et visais la tour d'astonomie pour me poser. A peine les griffes sur la pierre, que ma mère apparu en haut des escaliers :

-Merci, par Merlin, tu es là !!dit-elle dans un souffle.

Mais au même moment, un goupe de sorciers se materialisait à nos coté.

Membre du Ministère Date d'inscription : 12/08/2014 Messages : 380

Alors que j’attendais une réponse pour avoir tous les éléments en ma possession, je vis que Téo, haussa les épaules avec désinvolture et ne chercha même pas à me parler et se dirigea vers un banc pour boire et fumer. En même temps, vu qu’elle n’était pas là depuis longtemps, elle n’en savait peut-être pas plus que moi. Je me promis de lui parler dès que le cafouillis actuel sera réglé. Je me rappelais avec un sourire nostalgique nos années à Poudlard. On s’était vite trouvée. Je secouais la tête car ce n’était absolument pas le moment d’être sentimentale. Je comprends vite que mon intervention n’était pas du goût de tout le monde et que mes propos avaient été mal interprété surtout le : « reculez Sylv ». Je parlais en vérité à Téo et Mat pour qu’ils le mettent en sécurité mais ce dernier c’est surtout arrêter à l’emploi d’un diminutif. Cela m’agaça grandement mais je les laissais réagir avant de déverser ma bile à la fin.

- Sylv’ ? Malory, tu parles au directeur de Poudlard ! Montre un peu de respect pour lui ! me tança Mat Dursley. Pour le reste, je ne peux que te dire que Sylvius voulait parler à Jason pour le faire revenir du bon côté de cette lutte. J’étais dans le coin en embuscade au cas où, lorsque je suis tombée sur Téodora. Pour le reste demande aux autres.

Je me tournais vers Sylvius qui avait pris la parole tout de suite à la suite de Mat.

- Miss Olianov ! Seuls mes amis m’appellent avec un diminutif ! (Ainsi Mat ne l’était pas ?) Vous êtes une ancienne élève ! (Ancienne élève, oui effectivement. Je n’étais plus une enfant) Vous travaillez au ministère, vous savez mieux que quiconque ces choses-là ! (Expiration de la part de Sylvius et haussement d’un œil et un sourire au coin pour moi). Pour le reste, je voulais parler à Jason car je voulais qu’il ait une chance de rejoindre ce que je considère comme étant la seule voie pour sortir de cette guerre qui nous oppose.

Il me raconta sa version des choses et tenta de m’expliquer ce qui avait mis Jason ainsi avant de s’adresser à lui

- Un jour lorsque tu le souhaiteras Jason, tu pourras m’expliquer ce qui t’es arrivé. Si ce jour arrive car (il me regarda également) si nous nous devons nous affronter nous nous affronterons. Cette rencontre m’aura été très utile Jason. Tu m’as reproché de ne pas agir, pas assez vite, pas assez fort. Tu as raison. Désormais, je ne laisserais aucun répit à ceux qui tuent des Moldus ainsi que tout comme ceux qui tuent des sorciers (cette fin était pour Mehdi).

Sylvius avait fini de parler et commençais à partir en emmenant les autres. Je sus que je devais prendre la parole tout de suite.

- Ah, je ne savais pas qu’on était en pleine réunion conventionnelle lançais-je tout en levant les yeux au ciel. Sérieusement, Mat Dursley (j’appuyais sur les deux mots), tu es de plus en plus morne et pompeux dans les années. Il me semble qu’on a autre chose à faire que de suivre des règles de bienséance qui n’existent que pour certains. De plus, tu es mon ancien (j’appuyais encore sur le mot) professeur et je suis une ancienne (encore une accentuation) de Poudlard. Je ne suis plus sous votre autorité malgré tout le respect que je vous dois à Sylvius et à toi. Sylvius, tu es le directeur de Poudlard, oui mais ça ne demande pas une vénération. Je ne le fais pas pour mon Ministre même si je travaille pour lui comme tu le soulignes si bien donc je ne le ferai pas pour mon ancien (accentuation) directeur malgré tout mon respect et admiration. C’est en mettant des barrières comme ça que vous créer de l’éloignement et des désaccords entre nous. Vous privilégiez les titres et les prestiges des postes et des responsabilités à la simplicité et la convivialité même pendant des temps trouble. Un exemple, je suis une de vos anciennes élèves, vous m’avez formé mais pour des raisons obscures et ridicules de générations et d’orgueils, vous me traitez comme une enfant alors que je n’en suis plus une. Vous jugez mon travail et partez du principe que comme je travaille pour le Ministère, je n’ai rien à vous dire et je suis du côté opposé du vôtre. Pour ça, je ne me sens redevable envers personne et je ne souhaite adhérer à aucun de vos groupes qui n’est encore qu’un autre moyen de diviser le monde magique encore plus qu’il ne l’est déjà. Pourquoi, on serait obligé de se diviser ? Pourquoi se séparer en différentes branches ? Pourquoi ne pas juste œuvrer ensemble pour la meilleure chose à faire en prenant en compte les avis et particularité de chacun, avec chacun un rôle définit par ses valeurs et envies et aspirations ? C’est comme ça que dois être un groupe et une famille. Mais non, vous faites vos plans chacun de votre côté en essayant d’imposer vos idées, vous partez du principe que votre camp est le meilleure, la Lumière et que les autres sont vos ennemis et sont dans le côté obscur. C’est d’une arrogance. Tu m’étonnes que Teo soit partie vu la pression que vous mettez en plus de la guerre. Vous venez dans l’intention de parler à Jason mais vous venez accompagner pour lui faire une embuscade ?? Laissez-moi rire devant votre message de paix et d’amour. Vous vous entre tuez comme des enfants qui se battent pour défendre leur équipe de football préféré. C’est d’un ridicule ! et cela te concerne aussi Jason ! terminais-je d’une voix ferme.

Durant ma diatribe, Harry, mon colocataire et mari de Lili, ma meilleure amie et comme sœur était venu rejoindre les personnes présentes dans les rues de Londres et Mehdi avait regardé tout le monde avec une allure royale de Jean foutiste, comme d’habitude, quand il ne pouvait pas se battre et faire le mariole, ça ne l’intéressait pas.
Tout cela m’agaçait plus que je ne saurai le dire. Jason commença à expliquer ce qui s’était passé lors de notre mission mais il ne put finir car nous fûmes interrompus par une alarme puis par l’arrivée d’Oz, le Ministre du monde magique. Poudlard était attaqué…encore... Ce qui me surprenait vu les protections que devaient prendre Sylvius pour protéger son antre et ses protégés.

A partir de là, tout le monde, enfin je crois, transplana près de Poudlard pour venir à son secours car cela restait la maison par laquelle tout le monde était passé.
Sur place, les combats faisaient déjà beaucoup de dégâts et de blessés. Je ne sus d’abord pas quoi faire et qui combattre, puis, je me dirigeais vers un groupe de personne, humains réfugiés, vu leur attitude et je leur dit de me suivre. Je les mis en sécurité dans les cachots de l’école car même si Poudlard était détruit à l’extérieur, les sous-terrains résisteront. Je les pressais sans ménagement et pris même les enfants avec moi par magie pour aller plus vite. Une fois dans une salle, je fermais la salle et leur expliqua de rester ici.

- Je vais mettre un sort de protection autour de la salle et de la porte. Elle ne s’ouvrira que si c’est un sorcier au cœur pur qui se présentera. Vous ne craigniez rien si vous ne sortez pas vous-mêmes de la pièce. Si vous prenez l’initiative de partir, le sort ne vous en empêchera pas et alors vous risquez d’être tué par erreur.

Je ne m’attardais pas plus que ça et remontais à la surface. Je courus prendre part au combat. Des hélicoptères survolaient le ciel et mitraillaient le sol. Je fis appel à mes pouvoirs familiaux que mon jumeau avait aussi. Maîtresse de l’air, je fis lever une tempête et glaçais les hélices. Ils s’écrasèrent un à un. Je les éjectai loin de notre camp pour éviter toutes blessures inutiles. Alors que j’avançais au centre du terrain, je m’arrêtais de stupeur, je crus reconnaître quelqu’un mais je n’en étais pas sûre mais cela suffit à me déstabiliser. Je restais léthargique quelques secondes et cela suffit à ce que je prenne une balle dans le bras. Je serrais les dents de douleur et partie me réfugier derrière un rocher.

- Et merde !

Je déchirai le bas de mon tee-shirt et fit un garrot à la moldue n’ayant pas le temps de faire un sortilège car les balles continuaient de pleuvoir. Je me relevais et jeta des sorts sur les porteurs d’armes à feu. Cela n’en finissait pas ! Je vis un feu ravager les rangs de moldus et souris. Je reconnaitrai ce feu entre mille.

- Lili !!

Je me changeais en smilodon, mon animagus et m’attaquait aux jambes de nos ennemis pour le neutraliser avant de les tuer. Je devais rejoindre mon amie, à deux, on est redoutable mais à deux, on est invincible. Je me remis en forme humaine et sifflais pour appeler Chérubin, mon cheval ailé, offert à Monsieur Godolphin. Une vue en hauteur serait l’idéal puisque tous les hélicoptères s’étaient vus détruits. Après quelques minutes je sautais en selle et arpentais le ciel, prête à continuer à défendre le centre du monde magique.

Membre du Ministère Date d'inscription : 17/08/2014 Messages : 56

Assise sur mon banc concentré sur ma flasque de whisky et mon plan pour m'éclipser, je ne vis pas mon ami Medhi s'asseoir a mes côtés. Il me tendait son paquet de cigarette. Sans un mot je lui en prenais une tout en lui tendant ma flasque de whisky. Il me la rendis tous en me mettant la mains sur l'épaule pour me remercier. Puis il repartis vers le groupe qui discutait avec énergie.

Mat s'en détachas à son tour et vins s'asseoir à mes côtés. Je ne voulais pas le regardais. Je repensais aux choses blessantes qu'il avait pu le dire avant l'apparition du dragon. Je savais que je n'avais pas agis correctement par rapport à lui ni par rapport a ma famille. J'avais merdé et je le savais.

Comme pour faire abstraction du passé Mat me pris la main. Je n'ouvrais pas la bouche ni me tournais vers lui. Je laissais ma main dans la sienne et j'entrelaçais mes doigts aux siens. nous restâmes un moment comme ça, puis Sylvius Césarius pointas le bout de son nez pour faire signe a Mat qu'il était de rentré et il ce tournas vers moi:

"-Téodora, tu es la bienvenue avec nous si tu le souhaite. Si je peux me permettre jeune fille, si tu ne veux pas venir avec nous, dit à Mat où te retrouver. Tu m'évitera de devoir le ramasser à la petite cuillère."

Sur ces belles paroles il me souris et me fis un clin d'oeil. je lui rendais son sourire , je m'apprêtais as ouvrir la bouche quand Jason répondais a son oncle en nous annonçant qu'il allait expliquer pourquoi il pouvait se transformer en dragon comme Lili et Shona GODOLPHIN.

A ce moment précis les cloches d'une église sonnèrent. mais elle ne sonnèrent pas comme si elle donnait l'heure. s'était une alerte. Oz, mon ancien patron et ministre de la magie apparue pour nous informer que Poudlard était attaqué. Ni une, ni deux nous étions tous débout près a transplaner.

Sylvius s'dressa a Mat et lui intimant d'aller au square grimaud pour récupérer le plus d'aide possible. Je me tournais alors vers lui et lui dit avec la plus grande fermeté:

"-Nous aurons tous le temps de reparler de notre problème a un autre moment, mais je te préviens Matti, si tu meurt, je te tue,t u as compris ?!"

Je touchais sa joue et l'embrassais furtivement avant de transplaner. Poudlard était avant toute chose ma première maison, tout en priant pour que mes parents et mon petit frère n'ai rien, je regardais les alentours. Des hélicoptères, des armes a feu, des balles, des humains et des sorciers ce battant d'autres humains essayant de ce cachée. Sylvius avait dis qu'il protégeait certains humains qui voulaient la paix avec les sorciers.

*Mais quel merdier !Téo, ma vieille, c'est le moment de faire le vide en toi. Respire profondément, resserre le noeud de ton trench, ta queue de cheval, sort ta baguette... Et c'est partie*

Je rouvris calmement les yeux, le KO régnait mai je repérais une petite famille de moldu courant et ce faisant traqué par un imbécile de sorcier... je me mis juste derrière lui et hurlait:

"-HEI espèce d'idiot ! Prend un adversaire a ta taille au lieu de taqué à ces pauvres gens sans défense!"

Il ce retournas avec un large sourire qui s'effaças vite. Je sentais siffler une balle derrière moi, je me baissais pour neutraliser le tireur, puis la balle vont se loger dans la gorge de mon premier adversaire. Je courus rejoindre la famille de moldu qui me remercias, je leur souris et leur dis:

"-Vous voyez la grande brune là-bas qu'un groupe suit ? suivez-la aussi, elle vas vous mettre à l'abris, je vous couvre pendant que vous allez la rejoindre. Foncez !!"

Je restais en retrait pour les défendre et aussi attaquez certains sorcier qui avait rejoint les pacificateur. Je fus déconcentré en attendant mon prénom. Ma mère était la, déconcentrer après m'avoir vu elle avait pris une balle d'un de ces imbéciles de moldu depuis un hélicoptère. je pointais ma baguette vers celui-ci et il s'embrasa. Je courus vers ma mère qui explosa:

"-Quand es tu rentré ?! ça t'aurais tué de nous donnée la moindre nouvelle?! Espèce de fille ingrate ? On c'est fait un sang d'ancre !"

je lui souris tous en lui disant:

"-Maman tu te calme sinon je te jure que je repars d'ou je viens ! C'est pas l'heure pour la leçon de morale? Ou sont les garçons?"

comprenant que je faisais référence a mon père et mon minimoys de frère elle émit un gémissement tout en me répondant:

"-ils sont a l'abris, je me suis dis que tu serait peut être ici, ne me demande pas pourquoi c'est un instinct de maman ! Maintenant tu serais gentille de nous protéger pendant que je soigne en vitesse mon bras."

Ce que je fis, puis contre tout attente et heureusement qu'il y avait deux sortilèges de protections sinon on était mal, elle me pris dans ses bras:

"-Tu m'as tellement manqué ma chérie."

Et sans demander son reste nous repartîmes de plus belle combattre mais cette fois-ci cote à cote. son égratignure e-était bander et elle pouvait à nouveau combattre les traitres et les humains qui s'était liguée contre nous. J'espérais au plus profond de moi que Mat allait bien.

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