Bal de Noël 2019

Mes amis et moi étions en train de finir de placer les décorations de Noel avec Madame Chantress dans toute la maison. Bien sur quand je dis "mes amis et moi" je veut surtouts dire, j'aidais avec les décorations et eux s'amurais a faire des bataille de décoration, cela avais l'air plutôt amusant et je les aurais bien rejoins si je n'avais pas autan peur de casser quelque chose. A défaut de les rejoindre dans leur jeux, je décorais tranquillement en riant avec eux en regardant d'un œil leurs bêtises.

« Eleo ! Arrête de faire la petite fille modèle, viens t'amuser pour une fois »

Pour toute réponse je secoue la tête de gauche à droite et vais un peu plus loin pour continuer a placer les décorations de Noel. Je m'amusais bien a décoré la maison, cela me rappelais les Noëls que nous passions avec mes parents dans notre petite maison de campagne. Maman et moi attendions toujours que Papa parte travailler pour tous décoré et lui faire la surprise a son retour. Sa seule chose que nous ne placions jamais étais l'étoile au sommet du sapin de Noel, nous attendions toujours Papa pour qu'il puisse me porter jusqu'au sommet du grand arbre afin que je puisse placer la décoration dorée qui trônerais sur tous le salon … Ils me manque. Je sentais mes yeux se mouiller, j'aurais aimer les voir, cela fait un moment que je n'ai pas entendu leurs rires...

La voix de Madame Chantress me fit sursauter.

«Mes chers élèves, mes frères et sœurs ainsi qu’amis, nous sommes tous conviés dans le manoir des Eiwaz le 25 décembre, jour de Noël ! Pour notre bal annuel ! Venez accompagnés et sur votre 31 bien sûr ! »

Sa voit résonna dans toute la bâtisse et la seconde après que sont annonce fut fini, une multitude de cries de joies et de rire envahi a son tour toute la maison. Les voix de mes amis se mêlant au mélange de surprise et de "hourra" envahissant mes oreilles, ils me sautèrent de dessus et commencèrent a parler avec excitation du bal, de qui ils pourraient retrouver, stressant sur le code vestimentaire et courant vers leurs chambre, m'entrainant avec eux.

Le soir du bal, nous étions tous rassembler dans une petite chambre pour les derniers préparatifs. Les filles se brossaient mutuellement les cheveux tendis que les garçons s'amuser a se les emmêler. Il étais presque le moment de partir quand je fini de mettre mes ballerines blanche et que j'appela tous mes amis pour que nous descendions, nous devions être dans les dernier a s'être rassembler avec les autres Poufsouffles.
Tous le monde étais très bien habiller, Madame Chantress devais être contente du soin que chaqu'un avais apporter a sa tenus, nous avions tous fait des efforts pour être aussi beau et belle que nous le pouvions, il fallait dire aussi que nous n'avions pas tous les jours un prétesque pour se montré.
Pour ma part je n'étais pas aussi voyante que les autres filles de mon années, du moi je ne l'espérer pas, j'avais fait le choix d'une robe blanche a froufrou que je trouvais très mignonne, n'aimant pas m'attacher les cheveux que les ais juste brosser et me suis mis des ballerine, j'espéré que cela suffira et que je ne ferais pas trop tache a coter de tous le monde...

Tous le monde passa dans la cheminer de la maison qui devais servir de porte menant où le voulions. Quand se fut mon tour, je ferma les yeux et pria que rien ne vienne tacher ma robe blanche et avant que je ne me rende compte, j'étais arriver dans un grand une grande salle magnifiquement bien décoré, le plafond étais haut et le nombre de personne présente dans cette grande salle étais vertigineux. Je crus m'effondrer sur place a la vu de toute cette foule mais la main rassurante de l'un de mes amis poser sur mon épaule me fit me calmer. C'étais une fête, qu'il y aie du monde c'est normal et nous somme ici pour nous amuser pas vrai ?

Alors que nous discutions avec mes amis, l'orchestre stoppa de jouer et une voix resonna dans toute la salle

« Mesdames et messieurs, chers amis, chère famille, bonsoir et bienvenus au Manoir Eiwaz pour célébrer tous ensembles l'esprit de Noël ! Merci d'avoir répondu présents malgré les temps qui courent ! Notre monde est en guerre froide depuis quelques temps, mais cela peut exploser à n'importe quel moment ! Alors, profitons de ces instants pour nous amuser au maximum ! Je tiens à remercier Jason Eiwaz, ici à ma droite, qui n'est nul autre que le maître des lieux, pour nous permettre de célébrer cette soirée de fête, de joie et de partage dans sa demeure ! Levons tous nos verres et trinquons ! A NOEL !
- A Noel ! »

Levant nos verre de jus de fruit, nous répondions en cœur avec mes amis. Cette soirée s'annonçais amusante.

T'endis que tous le monde allait vers les personnes qu'ils connaissaient, je pris une de mes amie de Poufsouffle avec moi et l'entraina dans la foule pour nous éloigner du reste de notre groupe.

« Eléo ? Qu'est ce qu'il y a? Tu ne veut pas qu'on reste ave les autre ? »

Je me stoppa et la regarda les yeux écarquiller. Je baissa alors les yeux me rendant compte que je l'avais entrainer de force alors qu'elle avais peu être envie de rester avec tous le monde.

«D-désolé … M-mais … Il y a tous le monde ! On peu voir les élèves de Poufsouffle tous les jours ! Ce soir on peu parler avec les élèves de n'importe quelle maison ! Tu n'a pas envie de retrouver des personnes de notre classe ? Ou des gens avec qui tu avais réussi a sympathiser ? Ou même de faire de nouvelles rencontres ?
- Pas … Vraiment non ...
-Quoi ? Mais comment ? Pourquoi ?
- On est bien avec les autres tu pense ? On pourrais rester avec eux et puis on est un nombre pair donc tous le monde pourra danser avec quelqu'un si on reste la bas … »

Je soupira et lâcha la main de mon amie.

« Tu n'es pas drôle … Moi je vais a la recherche de personnes d'autres maison !
- Toute seule ? Sa ira pour toi ?
- Il faut que je m'habitue de ne pas toujours être soutenus, pas vrai ? Si cette foule me fait trop angoisser je reviendrais vous voir, ok ?
- … Ok. Amuse toi bien. »

Elle me fait un signe de main avant de retourner vers nos amis de Poufsouffle. Je la regarde partir avant de me retourner et de me faufiler entre les personnes a la recherche d'un élèves qui aurais l'air gentil et avec qui je pourrais discuter.

Le quotidien au manoir Olianov était rythmé mais bien huilé. Je réussissais à avoir des petits moments avec mon mari mais pas autant qu’on l’aurait pensé. Hier soir, nous avions parlé très tard mais j’ai dû m’endormir sans m’en rendre compte, laissant Mathéo tout seul, la nuit comme toujours depuis sa transformation. J’entendis le gazouillement des oiseaux à notre fenêtre et je souris encore ensommeillée mais me réveillant doucement. Je tournais la tête et vis mon superbe mari, observant les oiseaux. Je me frottais les yeux puis me leva pour le rejoindre. Je me posais sur ses genoux en lui entourais le coup d’un bras tout en l’embrassant pour lui dire bonjour.


-          Bien dormi, mon étoile ?  me demanda t-il en souriant. Il fait un super temps aujourd’hui...


-         Très très bien dormi, mon amour…comme à chaque fois que tu es là murmurais-je en le regardant amoureusement.  Je vois ça oui ! Les enfants vont pouvoir passer toute la journée dehors.


Je venais de finir qu’un hibou se posa sur le rebord de la fenêtre. Je descendis des genoux de Mathéo et je le laissais récupérer la missive tout en s’occupant de l’oiseau. Je me demandais bien qui pouvait nous envoyer un message, ici.

       - C’est une invitation m’informa t-il. Mehdi Bakkali nous invite au bal de noël, qui cette année à lieu chez les Eiwaz apparemment. C’est vraiment sympa comme idée, ça nous changera un peu les idées, qu’en penses-tu ?


-         Je ne sais pas… ce n’est pas un peu bizarre de faire un bal de Noël dans ce contexte là ? Est-ce que c’est vraiment prudent de déplacer les enfants en si grand nombre ?


Mathéo réussit à me convaincre et me rassurer alors nous informâmes Franz de notre attention d’aller au bal mais ce petit voyou était déjà au courant car il nous montrait une lettre, tout excité, à notre porte. Je souris devant sa mine réjouie et son enthousiasme. Je fus définitivement convaincue devant le sourire des deux hommes de ma vie.


-         Il va falloir bien t’habiller jeune homme ! On va aller voir ce que tu as dans ton armoire.


Mathéo me fit un clin d’œil et suivi Franz jusqu’à sa chambre pour lui trouver une belle tenue. Je souris devant ce spectacle en pensant comme à chaque fois que je n’aurai pas trouvé meilleur mari et père pour Franz et moi. Franz était son fils. Je regardais dehors, rêveuse et passant ma main sur mon ventre inconsciemment. Quand je remarquais mon geste, je me dis que je désirais un autre enfant et je voulais cet enfant avec Mathéo et personne d’autre. Mais était-ce le moment ?


Une semaine s’écoula et la date du bal vint. Entre temps, j’avais reçu la demande de Shona de bien vouloir prendre Harrius avec le nous, le temps de la soirée car avec Argus ils ne souhaitaient pas assister au bal mais ne voulaient quand même pas priver le petit garçon de s’amuser. J’acceptais et elle vint nous le déposer avant de partir. Je l’accueillis avec chaleur et promis à Shona de faire attention.  Je partis voir si Franz avait out ce qu’il fallait et quand il me poussa dehors pour me faire la surprise de sa tenue, je rigolais et estima qu’il était temps que je me prépare. Je le fis donc. 




Je fus prête avant Mathéo, qui était en train de batailler avec son nœud de cravate. Il me demanda de l’aide et je le fis avec plaisir comme un petit rituel trop peu fait. Je me concentrais sur ma tâche mais je reçus des pluies de baisers dans le cou et je rigolais sous les chatouilles que cela me faisait. Je réussis tout de même à faire ce nœud et je passais ma main sur le torse de mon homme. Je regardais mon mari avec amour et fierté devant son élégance.


-         Fini ! 
-         Merci chérie dit-il en m’embrassant. Nous pouvons y aller.


A ce moment Franz vint nous voir avec Harrius qui était partie le voir et je ressentis une nouvelle fierté devant ce bout d’homme qui grandissait tellement vite et qui était toujours mon petit garçon.


-         Je vais au bal avec deux hommes aussi élégants ! Je vais faire des envieuses !


Mais Franz nous déclara qu’il voulait y aller avec des copains et peut-être copines alors nous le laissâmes y aller en leur disant de faire bien attention. Mathéo prit ma main et nous transplanâmes devant le manoir Eiwaz qui était magnifiquement décoré pour l’occasion. Montant les escaliers et après avoir toqué à la porte, le majordome, un singe, nous fit entrés…dans une pièce bondée de monde. La soirée promettait d’être excellente ! Mathéo me rassura en montrant du doigt notre fils et Harrius et je pris le verre de jus que l’on nous proposait.


Mehdi fit alors un joli discours


-         Mesdames et messieurs, chers amis, chère famille, bonsoir et bienvenus au Manoir Eiwaz pour célébrer tous ensembles l'esprit de Noël ! Merci d'avoir répondu présents malgré les temps qui courent ! Notre monde est en guerre froide depuis quelques temps, mais cela peut exploser à n'importe quel moment ! Alors, profitons de ces instants pour nous amuser au maximum ! Je tiens à remercier Jason Eiwaz, ici à ma droite, qui n'est nul autre que le maître des lieux, pour nous permettre de célébrer cette soirée de fête, de joie et de partage dans sa demeure ! Levons tous nos verres et trinquons ! A NOEL !
 
-         A Noël !
 
-         A Noël ! fis je en écho aux paroles de Mathéo tout en prenant son baiser
 
Nous fûmes surpris par Stanley Di Salvo qui vint poser sa main sur l’épaule de mon mari, qui à fleur de peau et toujours en alerte, tressaillis. Je posais ma main sur son bras pour l’apaiser. Je lui souris et restais près de lui.


-         Eh ben alors Mathéo ! Tu as peur de tes semblables maintenant ? lui dit-il en le  serrant dans ses bras. Ça fait un une éternité ! Comment tu vas ?!
 

-           Je sursaute pour un rien en ce moment !  Sûrement les événements actuels qui me pousse à être prudent non-stop !   -         Il n’a de cesse de nous protéger expliquais-je à Stanley avant que Mathéo reprenne la parole.   -         Ça fait du bien te voir, effectivement ça fait un bail ! Hé bien ça va, emplois du temps très chargé au travail mais que veux-tu … c’est comme ça, on fait avec. Mais on essaie de se garder des temps pour nous. Ajouta mon mari en me souriant. Et toi comment tu vas ? Et ta petite famille ?

Je l’embrassais et partis voir si je ne trouvais pas mes collègues et amies pour parler avec elle. Je vis alors Céline, Hana et Jane Harrinton plus loin. Je me dirigeais vers eux en croisant mon fils qui semblait regarder une petite fille qui semblait être seule. Il semblait hésiter à y aller.


-         Ce n’est pas gentleman de laisser une dame seule, le soir d’un bal de Noël, mon poussin. Si j’étais toi, j’irais.


Je lui souris et le laissais faire. En arrivant près du groupe de femmes, je leur fis un signe de main.


-         Bonjour mesdames ! Comment allez-vous ? Je vois que les hommes sont déjà en pleines discussions sérieuses rigolais-je.


En me tournant, je vis Franz en train de parler à la petite et je souris de l’attitude de mon fils et d’Harrius qui venait de le rejoindre.

Depuis que nous avions quitté Poudlard, nous habitions en Russie et j’adorais !! Il faisait soit froid soit chaud, rares étaient les journées où il faisait bons mais ça ne me dérangeait pas ! Je crois que j’aimais ça : voir de nouveaux pays et de nouvelles cultures. C’est très intéressant. Je ferais peut-être ça plus tard, voyager partout dans le monde…mais comment j’aimais aussi beaucoup les animaux, je vais essayer de faire les deux. Je me suis renseignée auprès des adultes comme papa, maman et Madame Godolphin et ils m’ont dit que je pouvais faire mes deux passions en faisant…magi-zoo-lo-giste (c’est dur à dire) comme Monsieur Dragonneau qui avait écrit le gros grimoire que j’avais à la maison. J’ai donc décidé d’être un magizoologiste. Je passais donc le plus clair de mon temps dehors à essayer de parler avec les animaux, de les amadouer.

Chez les Olianov, il y avait des animaux que je n’avais pas encore vus et surtout, il y avait de grandes serres avec des animaux magiques à l’intérieur. Je suivais les cours que nous donnait maman et ceux des autres professeurs pendant que nous étions ici et que les grands se battaient dehors. Je ne sais pas comment nous allions retrouver notre école mais ce qui est sûr ; c’est que les choses ne seraient plus pareilles. Je n’en parlais pas à papa et maman mais j’étais contente qu’il soit là. Je me rendais compte en voyant les autres élèves que j’avais beaucoup beaucoup beaucoup de chance car mes camarades n’avaient pas leurs parents avec eux et ils leurs manquaient énormément. Nous nous ennuyons parfois c’est pourquoi quand une lettre vient nous offrir la possibilité de s’amuser, je fis part de mon envie d’y aller à mes parents et ils acceptèrent. Papa m’aida à choisir une belle tenue et je fis l’effort de m’habiller très beau même si ça serrait un peu au niveau du cou à cause du nœud papillon.

Quand maman vint me voir je la poussais dans le dos


-          Noonn je veux te faire une surprise !! Va avec papa.


Elle rigola et partit alors je m’habillais en suivant les conseils de papa. Le nœud papillon était déjà mis pour que je puisse me débrouiller. Une fois habillé, je passais un coup de peigne dans mes cheveux et voilà !!

 
Quand maman me vit à sa porte, elle sourit en me disant que j’étais très beau et qu’elle allait être jalousé de toutes les filles. Je rigolais mais lui dit que je voulais partir de mon côté avec mes camarades. Je ne voulais pas faire bébé et surtout ne pas peiner mes amis qui n’avaient pas cette chance et puis mon copain Harrius était là !! Heureusement !! On partit avec les autres comme des élèves normaux. Une fois au manoir où la fête se passait, je cherchais d’autres amis des autres maisons, alors je passais entre les adultes et cherchait les Poufsouffles et les autres Serpentards pour Harrius. Les gryffondors n’étaient pas encore là apparemment. En avançant vers le fond ; je vis une fille qui était toute seule avec personne autour d’elle. Je ne savais pas trop si elle voulait rester toute seule ou si elle n’avait personne comme amie ou si elle voulait parler à quelqu’un sans savoir comment faire.


Maman qui passait par là me dit avec un sourire doux :


-          Ce n’est pas gentleman de laisser une dame seule, le soir d’un bal de Noël, mon poussin. Si j’étais toi, j’irai.

Je lui souris et elle partit. Je me raclais la gorge et me dirigeais vers la fille qui était de poufsouffle je crois. Je lui tapotais l’épaule et me présentais.


-          Bonjour ! On ne se connaît pas mais vu que tu es toute seule, on peut rester ensemble, si tu veux ou aller voir mes amis ? Je suis Franz Albacova Kenaël, de Serdaigle ! Et toi, ton prénom !??


Elle me regarda timidement et j’attendis sa réponse un peu timide aussi car elle était très jolie dans sa petite robe à froufrous blanche.

Aaaaaaaaah ! Trop de monde ! Quelle idée étrange j’ai eu de laisser mes amis pour des gens inconnus et même pas encore rencontrés. Je me sens si idiote d’être partie et je ne peux pas baisser les bras dans mes recherches et retourner les voir, je serais encore plus pathétique… Je ne sais même pas où les trouver, je me suis perdue dans la foule alors que je cherchais des personnes de mon âge pour discuter. Ah mais il y en avait des personnes de mon âge ! Ne vous en faite pas pour sa c’est juste que … Pendants quelques instant ma timidité c’étais perdu dans l’excitation de potentielle nouvelles rencontres. Maintenant que je suis en face de personnes que je ne connais pas ou simplement de vu … Je suis terrifiée …
Le stress commençait à monter en moi alors que je regardais autour de moi toutes les personnes retrouvant des vielles connaissances et les abordant comme si de rien n’étais, leurs parlant et riant avec eux naturellement. Peut-être devrais-je essayer d’oublier ma timidité et aborder une personne comme si je la connaissais déjà et être amical ? Je ne sais pas … Sa n’a pas l’air d’être un bon plan… Si la personne ne rentre pas dans le jeu elle pourrait me trouver étrange. Mais je ne vais quand même pas me mettre dans un coin et attendre qu’une personne vienne me parler ! Sa ne servirais a rien, je passerais a coter d’une aventure et … De toute manière je suis si discrète et effacer que personne ne viendrait me parler.
Un « tap tap » sur mon épaule me fit sursauter alors que j’étais dans mes pensée. Je tournas la tête vers la personne qui avais tapoter mon épaule pour me retrouver face a un garçon blond foncé arborant un visage amical.
Peu être pas si invisible et effacer que sa au final.

- Bonjour ! On ne se connaît pas mais vu que tu es toute seule, on peut rester ensemble, si tu veux ou aller voir mes amis ? Je suis Franz Albacova Kenaël, de Serdaigle ! Et toi, ton prénom !??

Franz Albacova Kenaël ? Son visage me dit quelque chose, je l’ai sans doute déjà croisé, j’ai une bonne mémoire des visages. Il semblait un peu timide lui aussi mais il était quand même venu me parler, il a sans doute vu que j’étais stresser et perdu avec personne avec qui parler … C’est tellement gentil de sa part. Je vais prendre exemple sur lui et mettre ma timidité de coter. J’inspire et expire donc un peu d’air avant de lui faire mon plus beau sourire.

- Enchanter Franz Albacova Kenaël, de Serdaigle. Je m’appelle Éléonore Slowird, je suis de Poufsouffle. Je serais très contente de passer un peu de temps avec toi, ce bal est une occasion de rencontré de nouvelles personnes donc oui j’étais seule car je cherchais des personnes gentilles avec qui parler un peu. Mes amis n’on pas voulus m’accompagner, je suis seule par leur faute.

J’avais gonflé légèrement les joues en prononçant ma dernière phrase afin de montrer mon mécontentement. Maman me disait souvent que c’étais mignon cette manière enfantine de se mettre en colère, je ris doucement en me remémorant ses paroles.
Franz avait vraiment l’air gentil dans tous les cas, je pense que nous pourrons bien nous entendre.

Ça y est, je m’étais lancée !! J’avais suivi le conseil de maman et voyant la réaction de la petite fille j’étais content du résultat. Elle semblait faire des efforts sur elle-même pour me répondre et après avoir expiré, elle sortit sa réponse presque d’une traite !

- Enchanter Franz Albacova Kenaël, de Serdaigle. Je m’appelle Éléonore Slowird, je suis de Poufsouffle. Je serais très contente de passer un peu de temps avec toi, ce bal est une occasion de rencontré de nouvelles personnes donc oui j’étais seule car je cherchais des personnes gentilles avec qui parler un peu. Mes amis n’on pas voulus m’accompagner, je suis seule par leur faute.

Elle avait terminé sa tirade par un gonflement des joues pour montrer qu’elle n’était pas contente après eux. Je me retins de rire mais devant sa mine boudeuse, je ne pus rester plus longtemps sérieux. J’éclatais de rire en la regardant mais je me repris pour ne pas la vexer.

-          Je suis désolée ! Je ne me moquais pas de toi !! Promis, juré mais ta tête quand tu as fait le hamster avec tes joues… c’était trop drôle ! Je sais à quoi je ressemble maintenant quand je prends plein de céréales dans ma bouche et que maman me traite d’Hamtaro !!

Je lui pris la main et je la dirigeais vers le buffet pour prendre un verre et à manger comme deux enfants innocents.


-          Poufsouffle ? Alors, tu es dans la maison du professeur Chantress !! Je l’aime bien, elle est gentille ! Moi, je suis en Russie et il fait vachement froid des fois !! Tu as déjà vu la Russie ? Et le Maroc ?? J’y suis allé en vacances chez ma grand-mère. Il y fait très très chaud !

Je me mis sur la pointe des pieds et je chipais un gâteau pour le donner à Eléonore et j’en repris un pour moi.


-          Pourquoi tes amis ne veulent pas rencontrer du monde ?? C’est bizarre, non ? Surtout les Poufsouffles ! Moi, je suis ami avec toutes les maisons ! Et toi ?

Je bus un coup et recommençais mon bavardage


-          Je vais te présenter du monde. Alors, là-bas c’est mon ami Harrius Godolphin, c’est un dragon comme tous les membres de sa famille du côté de sa mère. Là, c’est ma mère ! Tu la connais, elle est professeur d’astronomie. A côté, c’est mon père, il est médecin à Saint-Mangouste et c’est le plus cool de tous les vampires !!

Je continuais ainsi en disant tous les noms de ceux que je connaissais.


-          Désolée, je suis très bavard quand je m’y mets !

Quand pour montrée mon mécontentement, j’avais gonflé mes joues, Franz pris une drôle de tête. Il resta quelques instants avec cet air étrange et faussement sérieux avant d’éclater de rire, son rire étais clair et contagieux, aussi, je ne pu m’empêcher de rire avec lui en imaginant la tête que j’avais du faire. Le garçon arrêta cela dit avant moi de rire et essaya un peu maladroitement de reprendre son sérieux devant moi, c’était mignon.

- Je suis désolée ! Je ne me moquais pas de toi !! Promis, juré mais ta tête quand tu as fait le hamster avec tes joues… c’était trop drôle ! Je sais à quoi je ressemble maintenant quand je prends plein de céréales dans ma bouche et que maman me traite d’Hamtaro !!

Je ne pue m’empêcher de rire a nouveau a cette réflexion tous en secouant la tête pour lui indiquer que je n’étais pas fâchée. Comment être fâcher face a lui ? Il n’était de toute évidence pas méchant et ses paroles ne purent que me confirmer se dont je me doutais déjà ; il était gentil et drôle, nous allions sans doute bien nous entendre.
Avant que je ne pue faire quoi que se soit, le garçon me pris la main pour m’emmener près du banquer tous en continuant a me parler. Je n’avais pas l’habitude du contacte mais me tenir la main ne semblait pas déranger Franz donc je ne fis aucune réflexion.

« Poufsouffle ? Alors, tu es dans la maison du professeur Chantress !! Je l’aime bien, elle est gentille !
- Oui, elle est vraim-
-Moi, je suis en Russie et il fait vachement froid des fois !! Tu as déjà vu la Russie ? Et le Maroc ?? J’y suis allé en vacances chez ma grand-mère. Il y fait très très chaud !
-Vraiment ? Je n’ai jamais vraiment voyager avec mes parents, sa doit être merveilleux ! »

Franz me posa un gâteau dans les mains avant d’en prendre un pour lui et continuer a parler comme si il était affamer de mots.

« Pourquoi tes amis ne veulent pas rencontrer du monde ?? C’est bizarre, non ? Surtout les Poufsouffles ! Moi, je suis ami avec toutes les maisons ! Et toi ? »

J’attendis de voir s’il allait continuer a parler mais il pris une pause pour boire un peu. Sa gorge devait sans doute être sèche a force de parler autant avec excitation. Je profita de sa petite pause pour parler un peu a mon tour.

« Je n’ai pas beaucoup d’amis en dehors de ma maison, je reste le plus souvent avec des Poufsouffle.
- Je vais te présenter du monde !
- Oh ! D’accord ! Dis-je toute contente alors que je me retournais pour voir les personnes que Franz me désignais du doigt.
-Alors, là-bas c’est mon ami Harrius Godolphin, c’est un dragon comme tous les membres de sa famille du côté de sa mère. Là, c’est ma mère ! Tu la connais, elle est professeur d’astronomie. A côté, c’est mon père, il est médecin à Saint-Mangouste et c’est le plus cool de tous les vampires !! »

Franz connaissait tellement de monde, je ne pue m’empêché d’être surprise autant qu’admirative en entendant tous les noms et toutes les petites anecdotes qu’il avais a me raconter sur tous le monde. Je ne pouvais donc pas me retenir de laisser échapper des petits « oooooh » plein de curiosité a chaque nom qu’il prononçait. Chacune de ces descriptions étais argumenter d’une petite pointe d’excitation et d’humour, ainsi je ne pouvais que passer un bon moment a l’écouter me raconter tous ce qu’il savais sur toutes les personnes que nous croisions.
Il s’arrêta cela dit a un moment et je me tourna vers lui avec un air interrogatif. Avait il fini avec les présentation de toutes ces connaissances ? J’étais persuadé qu’il avais encore plus de choses a me dire pourtant.

«  Désolée, je suis très bavard quand je m’y mets ! »

J’avais l’impression qu’il était légèrement gêné par ce constat, aussi je ne pue que rire de cette petite phrase toute simple qui venais a la suite de toutes ces tirades qu’il me fessait depuis une demi-heure. Entre lutter pour pouvoirs parler avec lui et rester profiter de cette discussion a sens unique mais toute aussi intéressante que si j’avais participé, le choix étais vite fait. De plus, j’étais bien plus habituer a être passive dans ce genre de situation, j’étais discrète et aimer écouter plus que de parler donc cela ne me déranger pas, il avais assez de conversation pour deux.

« Tu semblait tellement content de me parler de tous sa que je n’ai pas voulus t’arrêter. Ton sourire et ton excitation son contagieux tu sais ?  Tu m’as parler de tellement de choses sans vraiment finir d’en parler, je suis curieuse sur tous maintenant à cause de toi. »

Je fini ma phrase dans un rire alors que je me balade le long du buffet pour trouver quelque chose de salé à manger.

« Maintenant c’est a mon tour de poser des questions et de parler sans te laisser un temps pour en placer une. Dis-je avec malice.  Tu as voyagé beaucoup ? Tu as à peine parler du sujet, c’est injuste ! Je n’ai jamais voyagé ou presque jamais en dehors de mes aller retours entre France et Angleterre pour aller voir de la familles ou pendants les vacances donc forcement je suis curieuse. Il faudra que tu me raconte tous ce que tu as pu voir ! Je suis certaine que tu adoreras me parler pendant des heures de tous tes voyages et toutes tes découvertes. »  Dis-je en riant.

Trouvant enfin l’objet de mes convoitises, c’est-à-dire des biscuits salés (le saint grâle), je me tendis de tous mon long pour essayer d’en attraper un tous en continuant à parler.

« Je n’ai rien d’intéressant a dire moi, je n’ai pas vécu de grandes choses fabuleuses, mais j’adore les étoiles ! Quand j’étais petite je lisais tous plein d’ouvrage sur l’astronomie. Oh ! Est-ce que tu sais si l’astronomie est différente chez les mages et chez les non-mages ?  Je me demande a quel point les connaissances sont différents sur tous les domaines de base. Je suis sûre que les comparaisons de toutes ces connaissances seraient intéressantes, non ?! Ah, désolé, je parle de travail a une fête. »

J’arriva enfin a attraper deux biscuits, j’en pris un pour moi et en proposa un a Franz avec un sourire malicieux.

« Voila j’ai fini de parler, maintenant tu me montre ta tête d’Hamtaro ?"