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 Une quête ne se fait jamais seul

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Mat Dursley
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Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyLun 30 Mar - 22:29

Cela faisait plusieurs jours maintenant que la prise de Poudlard avait eu lieu !

Les forces des sorciers avaient triomphé des forces des pacificateurs qui l'avaient prises. La lutte avait été sanglante, meurtrières et chaque camp comptait des dizaines de morts.

Sylvius avait participé à cela tandis que je préparais avec les autres le plan que nous avions conçu plusieurs mois auparavant. Il était revenu écœuré, dégouté par cette barbarie.

- Ils sont tous devenus fous m'avait-il confié. Je suis las de tout ce sang. Parfois je me dis que je serais mieux ailleurs Mat !

Je lui avais expliqué que nous avions besoin de lui mais il avait secoué la tête dans un signe de dénégation.
- Tu t’illusionne mon jeune ami. Nous ne leur ferons plus entendre raison ! La haine à prit le dessus, le monde vire à la désolation.
- Tu n'envisage tout de même pas de partir rejoindre Ambre ?
- Pour ne rien te cacher, j'ai envoyé Millénium avec un message pour Mafalda. J'aviserais en fonction de sa réponse. Heureusement que l'île sur laquelle elle se trouve est totalement incartable et introuvable depuis déjà des millénaires.

Nous avions continué de parler durant de longues minutes puis nous étions séparé.

Quelques heures plus tard, un fracas énorme retentit dans la cours du château. Je me penchais à le fenêtre et je vis Sylvius rejoindre un groupe de sorcier qui venait de transplaner dans le cercle que Sylvius avait ouvert. Je le vis se crisper et hurler.

Je descendis le rejoindre et il me raconta l'attaque le Seth sur le manoir Eiwaz et tous les morts.
- Mat, tu dois partir !
- Pourquoi faire Sylvius.
- Va trouver les Elfes et dit leur que nous avons besoin d'eux. Nous avons besoin qu'ils nous renseignent sur les Eldars. Nous avons besoin d'info que les êtres comme Melkor. Nous devons vaincre Seth avant de parvenir à accomplir notre plan. Lui vivant, nous ne pourrons rien faire.
- Très bien Sylivius mais par où commencer ?
- La dernière trace que j'ai trouvé de leur lieu d'existence est dans le grand nord, en scandinavie près de la ville d'Elkan.

Je prépare mes affaires et je pars tout de suite.
- Fait bon vent mon grand me dit-il en me tapotant l'épaule.

Je ne réagis pas à cette marque de tendresse si rare avec lui, c'est comme si je le voyais pour la dernière fois. je courais vers mon appartement, préparais un sac. Alors que j'allais sortir, la porte s'ouvrit toute grande.
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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyJeu 2 Avr - 16:18

Après l'attaque qu'avais subi le manoir des Eiwaz, j'avais terminer a l'hôpital.

Je m'étais très bien remise, quelques douleurs de temps à autres mais rien d'alarmant. Après tous j'avais connu bien pire depuis le début de cette guerre.

Un message était arrivée a mon intention à l'hôpital de la part de Sylvius, je devais être transféré a Poudlard directement après mon rétablissement.

Je venais de passer les portes de l'enceinte du château. Des flash de notre départ, de notre détention, et aussi de nos mission a Malo' et à moi me revenait sans cesse. Sylvius avais insister pour que je revienne me disant que Mat allait avoir besoin de moi. Mon sac a dos sur l'épaule, j'essayais de chasser les horreurs que j'avais vécu ici ressemant. J'allumais une cigarette, me remémorant ce que Miss Harington m'avais dis sur les méfaits du tabac pour la cicatrisation, les mettant dans un coins de mon esprit sans pour autant que je m'en préoccupe.

J'arrivais entre les murs de pierre, croisant Sylvius en pleine discussion avec un groupe de sorcier se préparant surement a une riposte de Seth, un personnage digne de ses parents dans toutes sa cruauté.
Je montais rapidement les marches jusqu'as notre appartement, je savais que Mat s'y trouvait déjà. Je sentais une tension et je savais aussi que nous allions de devoir partir, sinon pourquoi Sylvius m'aurait demander d'aller aider mon Mari.

Je ne frappais pas à la porte, je l'ouvris avec fracas. Je souris alors à un mari en pleine préparation d'un départ imminent. il avais une mine déconfite de pars ma présence mais aussi parce que je n'avais pas eu le temps de cacher mes traits tirer par les récents évenements.

- Tu ne comptais tous de même pas partir sans moi mon chéri? Pas la peine de t'égosiller et de grogner. Cette fois-ci, que tu le veuille ou non tu ne partiras pas sans moi!

Pour terminer ma phrase je déposais un baiser furtifs sur ses lèvres. Tout en allant attraper deux ou trois pull que j'avais abandonner ici lors de ma dernière visite ainsi que certains objets dont je pourrais avoir besoins.
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Mat Dursley
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Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptySam 11 Avr - 20:33

- C'est bon, me dis-je. J'ai tout ce dont je peux avoir besoin.

J'avais bien préparé mes affaires et j'étais vraiment près. Comme je ne l'avais jamais été. Depuis la bataille de Poudlard, ma longue convalescence et les séquelles que je subissais en permanence, j'avais l'impression d'être un boulet pour le monde magique.

Pour la mission que Sylivus m'avait confié j'étais le plus sûr, je connaissais la planque de Melkor en Egypte, j'y étais allé pour récupérer Mey. J'en avais parcouru les méandres et la base de repli de la secte noire étaient gravées en moi.

Je me sentais bien, je me sentais revivre même si je ne ressentais rien en particulier. Je sentais juste que j'étais impatients. Pas un immense sentiment mais c'était déjà là.

Alors que j'allais ouvrir, la porte de l'appartement commença à s'ouvrir. Je n'attendais personne pourtant et mon ami Kenoé (mon elfe de maison libre, je devrais plutôt dire mon ami) était chez mes parents où il attendait de pouvoir revenir ici.

Je m’apprêtais à prendre ma baguette lorsque je reconnu la main qui poussa la porte.
- Eh merde me dis ma conscience, tu es foutu. Tu comptais partir en douce mais ta douce est là et quelque chose me dit que tu ne vas pas t'en sortir sans lui dire ce que tu prépare.
- Et alors ? Ce n'est pas un problème, elle comprendra.
- Hihihihihihi, tu crois encore au père noël toi !

Téodora rentra totalement dans l'appartement et me fit face.
- Tu ne comptais tous de même pas partir sans moi mon chéri? Pas la peine de t'égosiller et de grogner. Cette fois-ci, que tu le veuille ou non tu ne partiras pas sans moi!
- Moi partir sans toi ?!! Cela ne me serait même pas venu à l'esprit. Non, non, je comptais justement venir à St Mangouste pour venir te chercher.

Ce n'était pas vrai, je savais depuis le début qu'elle ne risquait rien. Jane m'avait tout de suite averti qu'elle avait juste besoin de repos et rentrerais d'ici 48h. J'avais espère pouvoir partir en douce sans elle mais j'allais devoir rusé.

- Je voulais te ramener ici. Bon comme tu es là, c'est top. Je te laisses t'installer tranquillement et retrouver tes repères. On peut rappeler Kénoé si tu veux. Moi je files, j'ai une ou deux petites courses à faire et je reviens
dis-je en m'approchant afin de déposer un baiser sur ces lèvres.

Je ne ressentis rien de particulier à ce contact mais j'aimais l'idée que nous retrouvions doucement les automatismes qui faisait notre couple me plaisais.

Je passais à côté d'elle et lui caressait la joue avant de franchir la porte pour partir dans le couloir.

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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyDim 12 Avr - 17:10

- Moi partir sans toi ?!! Cela ne me serait même pas venu à l'esprit. Non, non, je comptais justement venir à St Mangouste pour venir te chercher.

Je le regardais en levant un sourcil... J'avais pus être très naïve mais c'était il y a quelques temps déjà... Sa réplique sonnait bien trop faut. J'avais signer une décharge pour ouvrir sortir plutôt de Ste Mangouste. Le Dr Harrinton m'avais d'ailleurs rabrouer, et m'avais dis que j'étais insupportable tous comme mon ami Malory qui étais passer me voir. On m'avais demandé de rejoindre mon mari le plus tôt possible. Je m'étais sentis nettement mieux alors autant aller le surprendre et l'empêcher de partir sans moi. En plus je ne savais même pas ou il comptait aller alors pour le retrouver ça aurait été compliqué par la suite.

- Je voulais te ramener ici. Bon comme tu es là, c'est top. Je te laisses t'installer tranquillement et retrouver tes repères. On peut rappeler Kénoé si tu veux. Moi je files, j'ai une ou deux petites courses à faire et je reviens.

Après avoir déposer un baiser sur mes lèvres il avait filer sans demander son reste. Ce petit jeu commençait fortement un m'agacer. Je le rattrapais et lui tirait le bras. Autant être cache car ça n'avais pas l'air de franchement fonctionner de jouer les idiotes.

- Dis moi, tu me prend pour une demeuré ou quoi? Alors je sais que les potions c'est pas mon fort en revanche je suis plutôt en espionnage et en infiltration et aussi pour cacher mes secret. Tu n'as jamais été bon menteur avec moi Matti, c'est d'ailleurs pour ça que je me suis engager en tant qu'auror.

Je fis une pause, mes sourcils remonter, ma tête pencher sur le côté. voyant qu'il ne comptait as cracher le morceau je continuais ma tirade. Pour une fois que je pouvais débiter tous ce que j'avais envie autant le faire...

- Bon si je comprend bien tu ne compte pas me dire ou ON vas parce que je vais te coller au basque un bon moment ! C'est Sylvius qui m'as fais parvenir un message lorsque j'était à Ste Mangouste pour me dire de venir te prêter main forte. Si tu ne me crois pas vas lui demander. Tu doit avoir du temps à perdre si tu n'allais faire que "deux trois courses...".

J'avais lâcher son bras et croiser les miens sur ma poitrine. En attendant sa réponse, j'attrapais ma bouteille d'eau dans mon sac a dos m'adossais au mur pour boire quelque gorgée. J'avais penser a prendre ma panoplie de médecine dans mon sac, quelques vêtements de rechanges, des armes mais ça mon mari n'avais pas besoin de le savoir. Des cigarettes et du Whisky... Ça non plus il n'étais pas obliger de le savoir. Toujours pas de réponse. Avec toute l'impatience du monde je lui dis:

- Bon alors tu peux inventer un nouveau mensonge qui ne fonctionneras pas et qui nous feras perdre encore du temps, ou on peu y aller, non ?

Terminais-je dans sourire, tout en rangeant ma bouteille sur le côté de mon sac a dos.
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Mat Dursley
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Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyDim 12 Avr - 21:19

- Oulala, tu es mal, très mal, très très mal, très très très mal ! me dis ma conscience. Elle ne te croit pas une seule seconde et tu vas manger cher.
- Tais toi la conscience, je n'ai pas besoin de toi pour savoir que je prend un risque mais il est hors de question que je l'emmène avec moi. Elle a beaucoup souffert ces derniers temps et je ne veux et ne dois pas amplifier ses malheurs.

J'avais déjà fais un pas, j'allais faire le second lorsqu'elle m’arrêta. Le ton de sa voix était limpide et clair, elle ne me croyait pas.
- Dis moi, tu me prend pour une demeuré ou quoi ?
- Pas de tout mon amour essaye-je de lui répondre en vain car elle était lancé et rien ne pouvait l'arrêter lorsqu'elle était dans cet état là.
...Je sais que les potions c'est pas mon fort, en revanche je suis plutôt en espionnage et en infiltration et aussi pour cacher mes secret. Tu n'as jamais été bon menteur avec moi Matti, c'est d'ailleurs pour ça que je me suis engager en tant qu'auror.
- Alors là, je ne vois pas du tout le rapport, me dit ma conscience de nouveau réveillé.
- Jamais là quand on a besoin de toi ! Et surtout jamais là pour être de mon côté la conscience.

J’arrêtais d'avancer et lui fit face, ses yeux m'envoyaient des éclairs. Son air mutin, sa mèche détaché et son petit débardeur qui laissait entrevoir sa poitrine, tout cela était drôlement existant. La voir énervée ainsi réveillait en moi quelque chose. Je ressentais un désir irrépressible pour ma femme, ma téa. Si elle avait arrêté de engueuler, je crois que je lui aurais sauté dessus.


Elle fit une pause, ses sourcils remonter, et sa tête penchée sur le côté. Je sentis monter le désir encore plus fort. Elle devait se demander si je ne me moquais pas d'elle mais ce n'était pas cela.
- C'est fou que tu te mettes à ressentir quelque chose à ce moment précis.
Trop occupé à m'imaginer lui faisant l'amour, je ne répondis rien.
Prenant mon silence pour de l'obstination, elle enchaina et lâcha ses coups.

- Bon si je comprend bien tu ne compte pas me dire ou ON vas parce que je vais te coller au basque un bon moment ! C'est Sylvius qui m'as fais parvenir un message lorsque j'était à Ste Mangouste pour me dire de venir te prêter main forte. Si tu ne me crois pas vas lui demander. Tu doit avoir du temps à perdre si tu n'allais faire que "deux trois courses...".

Elle s'était saisi de moi et sa main sur mon bras m'avait encore fait ressentir de drôles de choses. Des flashs, des odeurs, des sensations remontaient en moi. Elle me lâcha et se mit contre le mur les bras croisés attendant une réaction de ma part.

Mais je continuais de la regarder sans avoir l'intention de répondre bien trop occupé à la déshabiller du regard. J'eu des flashs d'autres occasions où nous avions fait l'amour et cela me faisait penser que nous n'avions jamais été fou à ce niveau.
- Tu perd complétement les pédales mon pauvre, me dit ma conscience. Tu es entrain de craquer complétement.
- Mais non la conscience, au contraire je revis, je resens de nouveau quelque chose. Et puis, je gagne du temps, histoire de trouver quelque chose à dire sans la blesser.

- Bon alors tu peux inventer un nouveau mensonge qui ne fonctionneras pas et qui nous feras perdre encore du temps, ou on peu y aller, non ? termina-t-elle dans sourire, tout en rangeant sa bouteille sur le côté de mon sac a dos.

Je devais répondre quelque chose.
- Mon amour, il arrive à Sylvius de dire ou de vouloir des choses qui sont contraire à la logique. J'apprécie beaucoup de sollicitude mais je ne t'emenerais pas avoir moi autant que tu le saches, lui dis-je en rentrant dans l'appartement afin d'en fermer la porte.

Je m'approchais alors d'elle et lui détendit les bras tout en lui caressant la nuque.
- Tu as fais une mission très dangereuse avec Malory et lorsque tu parle de mensonge ou de secret, tu es mal placée pour me dire cela. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé là bas et j'attendrais que tu veuilles m'en parler mais tes peurs se voient, les cris que tu pousses parfois dans le sommeil ou le fait que je vois bien que tu prends sur toi lorsque les hommes s’approchent de toi.

Je reculais de nouveau pour lui faire face puis me dirigeais vers le sac que je venais de poser.
- Je n'ai rien pris pour toi et je n'ai pas prévu de t'emmener car tu dois prendre soin de toi. Tu as fais beaucoup pour la cause, maintenant c'est à moi et l'endroit où je dois aller n'est pas pour toi ! Tes traumatismes sont encore là, et jusqu'à preuve du contraire, Sylvius ne commande pas mes faits et gestes. Et cesses de me regarder en me foudroyant du regard, je trouve cela super excitant terminais-je un sourire aux lèvres tout en me penchant afin de prendre mon sac.

Je le remis sur mon épaule et posais la main sur la poignée afin de partir l'esprit tranquille, sachant ma femme à l'abri dans l'endroit redevenu le plus sûr au monde.
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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyLun 13 Avr - 23:27

- Mon amour, il arrive à Sylvius de dire ou de vouloir des choses qui sont contraire à la logique. J'apprécie beaucoup de sollicitude mais je ne t'emenerais pas avoir moi autant que tu le saches, lui dis-je en rentrant dans l'appartement afin d'en fermer la porte.

J'allais répliquer mais il renchérit à nouveau. Ce qu'il pouvait être buté... C'est dingue quand même...
* Tu peux parler parce que tu n'es quand même pas mieux ma vieille* Oui bon toi la conscience met là en veilleuse, tu ne vas quand même pas me les briser a un moment pareils. Il continua donc tout en essayant de détendre ma posture qui sans le vouloir ce voulait légèrement protectrice de ma part. Je me raidissait légèrement à son contact avan de me détendre. j'avais réappris a me détendre mais il me fallait encore un instant pour m'adapter. Les séquelles de notre mission avec Malo' étais toujours là mais petit à petit on faisait presque face...

- Tu as fais une mission très dangereuse avec Malory et lorsque tu parle de mensonge ou de secret, tu es mal placée pour me dire cela. Certe il n'avait pas forcément tord sur ce point là... Je ne sais pas ce qu'il s'est passé là bas et j'attendrais que tu veuilles m'en parler mais tes peurs se voient, les cris que tu pousses parfois dans le sommeil ou le fait que je vois bien que tu prends sur toi lorsque les hommes s’approchent de toi.

Mes mâchoires ce crispèrent sans le vouloir. Il avais raison sur certain point, presque tous mais je n'en avais parler a personne et ce n'était pas encore le bon moment, en tous cas pas lors d'un départ de mission alors je ne comptait pas répliquer sur ses phrases là. Il recula de nouveau pour me regarder et tout en prenant son sac à dos:

- Je n'ai rien pris pour toi et je n'ai pas prévu de t'emmener car tu dois prendre soin de toi. Tu as fais beaucoup pour la cause, maintenant c'est à moi et l'endroit où je dois aller n'est pas pour toi ! Tes traumatismes sont encore là, et jusqu'à preuve du contraire, Sylvius ne commande pas mes faits et gestes. Et cesses de me regarder en me foudroyant du regard, je trouve cela super excitant.

Il commençait sérieusement à m'échauffer les oreilles. Il allait falloir trouver une autre technique pour le convaincre de m'emmener. La plus radicale, la plus efficace et la plus réel j'allais devoir la lui sortir. Il avait déjà la main sur la poignée de la porte de notre appartement. Il fallait que j'agisse maintenant. Je plaquais la main contre la porte et lui dis:

- Emmene-moi avec toi. J'ai effectivement fait beaucoup pour la cause mais j'ai aussi besoins de ça pour m'aider a remonter la pente. En attendant j'ai aussi besoin de toi ! Comme tu as besoin de moi. Tu es meilleur que moi dans plusieurs domaine mais je suis aussi meilleure que toi dans d'autre. Nous avons toujours réussi à nous compléter alors je suis qu'en mission nous serons pratiquement invincible. Juste une chose, ne me parle plus de ce qui as pus ce passer ou de mes symptôme de stress post-traumatique. Je réussis plutôt à les gérer moi même pour le moment et effectivement, si je dois t'en parler, je t'en parlerais. Mais ce n'est pas le moment pour l'instant.

Je remontait mon sac à dos sur mon épaule, j'espérais maintenant qu'il avait bien compris comment l'histoire allais commencer, parce que je ne comptais pas le laisser partir sans moi. Si il le fallait je me collerais à lui avec de la super glue.

- Pour les vivres set mes affaires, tout est là, lui dis-je en pointant mon sac a dos. Tu ne crois quand même pas qu'une auror partirais sans un nécessaire tous de même? Ne t'en fais pas, j'ai tous ce qu'il me faut et pour ce qui es de mon regard noir et foudroyant peut être que ej pourrais te le refaire, un de ces quatre....

Je m'étais faufilée devant lui et c'était moi maintenant qui étais sur le palier de notre porte.
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Mat Dursley
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Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptySam 18 Avr - 12:05

Je pensais m'en sortir avec cette pirouette mais j'avais oublié plus que ce que je croyais ! Beaucoup plus si j'en crois la réaction que Téodora eut à cet instant précis.
Oh certes, je n'étais pas de cette ancienne école qui attendait de son épouse, une obéissance absolue mais les circonstance auraient dû inciter Téodoara à la compréhension.
Pourquoi ne voulait-elle pas comprendre que je voulais faire cette quête seule, faire quelque chose d'utile alors que j'étais depuis plusieurs semaines en dehors du coup.

Mis à part la rencontre avec Mehdi, qui je dois le dire avait été très surprenante et une agréable surprise. Rendez-vous compte vous qui lisez mes mots, Medhi et moi avions réussi à passer toute une journée à discuter, à échanger nos idées et nos points de vu sans nous déchirer, ni nous entretuer. J'avais compris une chose de cette journée, quelque soit ce qui nous opposait, j'avais du respect pour lui, pour la force de ses convictions et le combattant acharné qu'il était. Qui sait ce qui sortirais de cette rencontre à la fin de conflit. Je dois dire que mon absence de ressenti et de sentiment m'avait beaucoup aidé, j'étais moins enclin à avoir de l'égo et moins enclin à la colère puisque la plupart des choses ne me touchaient pas. Pourtant, sa haine des moldus, donc par voie de conséquence de mes parents, avait été la seule véritable différence entre nous. Mais j'aurais tendance à dire que le gouffre qui nous séparait c'était considérablement réduit. Après tout, comme je lui avais dis "Si Téodora t'apprécie, c'est que tu dois avoir quelque chose car elle se trompe rarement sur les gens".
Je ne sais pas pourquoi j'avais pensé à lui à cet instant mais cela me mit encore plus en colère contre Téodora surtout après les paroles très durs qu'elle venait de me dire.

- Emmène-moi avec toi,....

- Surement pas ! hurla ma conscience sans que les mots parviennent à sortir de ma bouche. D'un seul coup, l'attirance curieuse que j'avais ressenti pour elle quelques secondes avant s'évapora. Il ne restait plus rien, ni colère, ni désir, j'étais de nouveau vide, écoutant simplement la femme de ma vie donner ses arguments pour me forcer la main.
...j'ai effectivement fait beaucoup pour la cause mais j'ai aussi besoins de ça pour m'aider a remonter la pente....
- Quelle pente ? Que sait-il passer exactement Téa que tu ne me dises pas, me dis-je intérieurement.
- ....En attendant, j'ai aussi besoin de toi ! Comme tu as besoin de moi. Tu es meilleur que moi dans plusieurs domaine mais je suis aussi meilleure que toi dans d'autre. Nous avons toujours réussi à nous compléter alors je suis qu'en mission nous serons pratiquement invincible. Juste une chose, ne me parle plus de ce qui as pus ce passer ou de mes symptôme de stress post-traumatique. Je réussis plutôt à les gérer moi même pour le moment et effectivement, si je dois t'en parler, je t'en parlerais. Mais ce n'est pas le moment pour l'instant.
- C'est tellement facile à dire, avait-je envie de répondre sèchement mais je voyais qu'elle n'avait pas terminé sa tirade et je préférais garder un visage fermé et l'écouter. De son côté, elle remonta son sac à dos sur son épaule.

- Pour les vivres c'est mes affaires, tout est là, me dit-elle en pointant mon sac a dos. Tu ne crois quand même pas qu'une auror partirais sans un nécessaire tous de même ? Ne t'en fais pas, j'ai tous ce qu'il me faut et pour ce qui es de mon regard noir et foudroyant peut être que je pourrais te le refaire, un de ces quatre....


Elle se faufila devant moi et c'est elle qui maintenant se trouvait sur la pallier de la porte.
- Et si tu lui fermais la porte au nez et que tu transplanais ?! me dit-ma conscience.
- Oh pour une fois, je suis bien d'accord avec toi, et c'est bien ce que j'ai l'intention de faire mais pas sans lui avoir expliqué une ou deux vérité.

Je reculais dans l'appartement d'un pas et posais ma main sur le côté de la porte puis la fixais du regard.
- Oh, je te remercie Miss pour ces explications pleines de bon sens. Donc si je te comprends bien, je suis incapable de me débrouiller sans toi mais toi tu es parti seule et cela ne posais psa de problème. OK pourquoi pas. Tu as disparu un an, je t'ai retrouvé par le plus grand des hasard, mais je ne dois poser aucune question, Tu m'en parleras le moment venu.
Je prit une profonde inspiration et laissais le reste sortir, c'était en moi, je ne le contrôlais plus, il fallait que cela sorte.
- ...Tu as de nouveau disparu alors que j'étais pratiquement mort, tu réapparais et là aussi, je ne dois poser aucune question. Je trouves cela très fort de café tout de même. J'ai certes perdu toute trace d'humanité ou de sentiment mais cela ne fait pas de moi quelqu'un qui n'a aucun amour propre. Je ne suis pas Téa, un objet qu'on prend et qu'on pose, à qui l'on parle des choses importantes uniquement lorsqu'on à besoin de lui.
Je repris de nouveau ma respiration, j'étais furieux que Sylvius m'envoi Téodora, lui aussi pensait que j'étais devenu incapable de me débrouiller seul. Et d'un seul coup, je réalisais que j'étais furieux, oui j'étais furieux. Je ressentais quelque chose de fort, de puissant, quelque chose qui parcourait tout mon être. La colère était là, je la palpais, je pouvais la toucher. Alors je passais de la colère au rire ! Un rire de bonheur de ressentir de nouveau quelque chose de concret. Pas diffus, éthéré ou distant non, c'était bien là, j'étais en colère contre Sylvius et Téodora.

Alors sans un mot de plus, tout en m'assurant que Téodora ne risquait rien, je claquais la porte et transpanais aussitôt vers Rome où m'attendait ma seconde étape. J'avais secrétement pensé que cette aventure serait la dernière et que j'y laisserais la vie, laissant de côté les affres de l'oubli qui s'était emparé de moi depuis que j'avais bu la potion. Mais cette colère que je venais de ressentir ne changeait pas grand chose. J'accomplirais la mission que m'avait confie mon mentor et j'y laisserais la vie si besoin mais je l'accomplirais et rien ni personne ne pourra m'en empêcher. Ce furent les dernières pensées que j'eus lorsque je fus entrainé dans le tourbillon du transplanage.
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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptySam 18 Avr - 21:57

Il ne répondait rien... Il ne répondait rien et en plus il se reculait dans l'appartement... Un changement dans son aura était apparus. *Et franchement tu l'as déjà vu une ou deux fois cette aura et ça ne dis rien qui vaille* Pour une fois on est bien d'accord la conscience ça sent vraiment le roussi ! Et je n'avais pas idée, le ciel me tomba sur le coin de la tête...

- Oh, je te remercie Miss pour ces explications pleines de bon sens. Donc si je te comprends bien, je suis incapable de me débrouiller sans toi mais toi tu es parti seule et cela ne posais psa de problème...

Mais il as vraiment rien compris as ce que je lui ai dis cet idiot !

- OK pourquoi pas. Tu as disparu un an, je t'ai retrouvé par le plus grand des hasard, mais je ne dois poser aucune question, Tu m'en parleras le moment venu.

Je savais que cette histoire allait ressortir tôt ou tard... Il savait pourtant bien que je n'étais pas âmes a partager mes problèmes et mes souffrances et ce depuis de nombreuses années ! Je l'avais prévenus que malgré les années de vie communes il savait... MERDE ! Non il ne savait plus... *Mais qu'elle idiote tu fais ma pauvre Teo'* A ça tu peux le dire... Je savais que ça tirade n'étais pas terminer et au vu de son regard acier froid comme ce metal... Et effectivement j'avais raison.

- ...Tu as de nouveau disparu alors que j'étais pratiquement mort, tu réapparais et là aussi, je ne dois poser aucune question. Je trouves cela très fort de café tout de même. J'ai certes perdu toute trace d'humanité ou de sentiment mais cela ne fait pas de moi quelqu'un qui n'a aucun amour propre. Je ne suis pas Téa, un objet qu'on prend et qu'on pose, à qui l'on parle des choses importantes uniquement lorsqu'on à besoin de lui.

*Teo' fais attention de la fumée vas sortir de tes oreilles si tu ne te calme pas !* Toi la conscience, écrase tu veux. Il se foutais de la figure de qui... Et a ce moment la il ne trouvais rien de mieux a faire que d'exploser de rire... Qui êtes vous et qu'avez vous fait a mon mari?!! Il se foutait de moi ou quoi ! il venait clairement de me réduire à un état de moins que rien, de cruelle personnage et en plus il riait aux éclats. J'était déconfite... Blessé et par dessus le marché triste... Et je comptais bien lui dire le fond de ma pensée.

Sauf qu'au moment ou je comptais répliquer il me claquais la porte au nez... Mais... c'était quoi cette mission de merde dans laquelle Sylvius m'embarquer?!! Pas le choix, le sortilège de déverrouillage ne fonctionnas pas, logique j'avais affaire à mon mari sorcier et intelligent... Pourquoi je n'avais pas choisi un imbécile bête comme ses pieds sérieusement ?!! *Parce que tu est tombée dans les bras de ton beau profs avant ça ma vieille* Grrr... Le beau prof' intelligent allait passer un sale quart d'heure crois moi la conscience ! J'étais dans l'obligation de défoncer la porte... Sympa en pleine convalescence poste combat... "Je vais le tuer..." pensais-je au moment ou mon pied frappas la porte. Elle ne mis que peux de temps avant de coder m'apprenant à lui envoyer une réplique cinglante au visage, je ne pus que constater que personne en se trouvait dans notre appartement. Ou est ce qu'il avais bien pus transplaner... J'avalais deux comprimer contre la douleurs que ma boite crânienne me faisait subir et essayait de réfléchir. J'allumai une cigarette... Plus rien a faire qu'il n'aime pas l'odeur dans l'appart, il n'y était pas et je lui en voulais plus que la raison ne pouvait contenir !

Bon reprenons du début... Sylvius m'avais envoyer un message me demandant d'aller aider Matt dans une quête... Et lui c'était volatiliser après un flot de reproche a mon encontre... Si il croyait que j'allais abandonner la il ce fourrais le doigts dans l'oeil jusqu'au coude ! Sylvius était la solution. Il l'avait envoyer en mission ils savaient donc ou il était pour le moment. Il ne me restait qu'as le trouver...

Pas bien compliquer il était en pleine réunion avec d'autre sorcier, j'attendis quelques minutes puis il s'extirpais du groupe, je le rattrapais et lui exposais mon problème avec tous le calme donc je pouvais faire preuve en cet instant... c'est a dire aucun, il me regardas le regard soucieux mais aussi amusée... Est ce que tous les sorciers étais de ce genre la a ce foutre de moi tout le temps, j'haussais les sourcils attendant une réponse qu'il ne tardas pas a me donner:

- Il est surement à Rome, souviens-toi chez ma mère, Phoebe. j'acquiesçais et le laissais continuer. Essaye de comprendre sa réaction Teodora, il ne fait plus rien de magique depuis sa sortie de l'hôpital et il crois surement qu'on le prend pour un faible de l'envoyer comme ça avec toi. Il n'a pas traverser des choses ces derniers temps... Toi non plus d'ailleurs. Il essaye surement de te protéger. J'envoi un patronus a ma mère pour qu'elle viennent te chercher à Rome ou je vais te faire transplanner.

- Et bien il le fait mal ! Merci pour les infos. Il ne faudras qu'il ai a nouveau transplanner à mon arrivée. Et j'essaye de le comprendre. Tous les jours de notre vie de couple et aussi de me mettre a sa place mais comme tu l'as dis nous avons tous les deux subits cette guerre. Prends soin de toi Sylvius.

Il me fit alors transplaner vers Rome et la place du colisée. La ville ou au début de notre relation nous avions manger une glace à la piazza di panthéon. Ou nous avions par la suite passer la nuit chez la mère de Sylvius, c'étais bien avant alors que je n'étais encore que son élève et lui mon professeur... Nous étions encore heureuse et insouciant maintenant j'arrive en serrant les dents pour ne pas l'étrangler... le monde avais bien changer et nous aussi... J'aperçus Phoebe qui étais déjà la à mon arrivée vers la place du Colisée.

Je remontais la colline en compagnie de Phoebe, qui me racontais ce qu'elle devenait depuis le début de cette nouvelle guerre, nous remontions plus tranquillement que je ne le pensais. C'étais ce qu'il me fallait pour rassembler mes esprits, de fumer plusieurs cigarettes histoire de calmer mes nerfs.

Une fois arriver la-haut elle me céda le passage pour que je rentre dans la maison et m'indiqua l'endroit ou il se trouvait. J'avais eu le temps de demander à Phoebe si je pouvais parler quelques instants seule a seul avec Mat, requête à laquelle elle avait tous de suite dis oui. Je la remerciais chaleureusement et filais dans le salon pour avoir une petite discussion avec mon mari.

Son regard fût pour le moins stupéfait de me voir ici, et aussi énervé ça ce sentait... Il fallait que je débite ce que j'avais as dire et d'une traite parce que sinon il allait surement encore disparaitre comme il l'avais fais quelques heures auparavant...

- Alors d'abord tu n'est pas une chaussette ! Ensuite je ne te permet pas de me parler comme as une gamine, je ne suis plus ton élève depuis des années mais ta femme. Par ailleurs quand nous nous somme marier tu savais que je n'étais pas enclines à dévoilé ce qui pouvait me ronger de l'intérieur d'abord pour moi même mais aussi pour toi. Mais comme tu à l'air et dis que tu es assez fort pour apprendre ce que j'ai vécu, et ce que Malory a vécu aussi lors de notre mission et bien je vais te le dire. Je pensais que tu l'apprendrais sans que j'ai besoins de moi même te le dire...

Je respirais un grands coups. Je n'avais jamais eu besoins de l'exprimer a haute voix toutes la communauté magique savait ce qui nous étaient arrivée et personne n'en parlais devant nous ce qui nous permettais de ne pas avoir a ressasser tous ses maudits souvenirs mais il fallait que je le fasse... pour le bien de notre couple, pour son bien à lui et peut être pour mon bien a moi. Je serrais les dents et regardais mes mains que je triturais comme as mon habitude quand j'exprimais un sujet qui mettais compliquer.

- Avec Malory, pendant notre mission, nous nous sommes fait massacrer dans tous les sens du termes. Physiquement, ils ne nous ont pas ménager... Il nous ont frapper et il nous ont violé aussi. Les coups j'ai appris a le supporter mais le reste non donc oui psychologiquement je ne vais pas bien et c'est pour cette raison que la cause et les missions me permettent de rester debout. Et je ne t'ai pas abandonner pour le plaisir ni la premier ni la seconde fois alors arrête de jouer les calimero. Maintenant tu sais. Tu veux continuer a épiloguer sur le sujet ou on peut arrêter dans parler parce que je t'avoue que toi tu es torturer par tes sentiments et tes souvenirs mais moi ce sont ceux qui sont présent qui me torture.

J'avais débiter tous ça de but en blancs. Au moins, il ne m'en parlerais plus ou du moins il ne me reprocherais plus de ne pas partager mon calvaire avec lui.
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Mat Dursley
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Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyDim 19 Avr - 11:53

Perdu dans mes pensées et ma colère, j'émergeais du mon transplanage sous l'une des arcades du Colisée. celle qui se trouvait au nord ouest. Elle était la plus proche de ma destination. Ce n'est pas pour cela que je l'avais visualisé avant de commencer à tourner sur moi même, c'était surtout car c'était l'un des endroits les plus discrets de Rome.
Situé à l'une des extrémités de l'édifice, elle était fermé au public et un mur de stuc couvrait l'arrière. Elle servait la plupart du temps à l'entreposage de matériel et n'était pas visible du public, ce qui me permettait d'arriver en toute discrétion et de ne pas être trop loin de ma destination, même s'il y avait un petit bout de chemin à faire à pied.
- Mais, me dis-je, j'adore cette ville et une ballade à pied me permettra de ma calmer avant d'arriver chez mon hôte. Je devais me clamer sans quoi Phoboe se montrerait curieuse et je n'avais aucune envie de parler de tout cela avec quiconque.
Je rajustais ma redingote moderne puis fixais ma baguette sur la serrure.
- Alohomora, murmurais-je.
J'entendis aussitôt un petit cliquetis qui m'informa que j'avais réussi. Je poussais la porte puis me retournait afin de refermer la porte en informulait le sort nécessaire.

Ceci fait j'enfilais la via dei fori imperiali. C'était une des plus grandes artères de la ville. A cette heure là, elle n'était pas encore bondée de monde mais d'ici peu, elle serait remplie des Romains et des touristes. Arrivé sur la piazza Venezia, je filais vers la via del Gesu vers la piazza di torre argentina. J'y fis une petite Halte afin de saluer une vieille amie moldu puis je repartis via corso Emmanuel 2 afin d'arriver sur la piazza Navona. Je bifurquais alors vers ma destination finale la piazza di pantheon.

Une fois sur la place, je pris une toute minuscule ruelle fermée par une lourde porte de fer forgé. Je continuais sur ma lancée et traversais la grille comme ci elle n'avait jamais existé. Et pour cause, étant accepté en ce lieu, le mirage constitué dans cette ruelle n'existait juste pas. Et pour tout les autres, ce ui ressemblait à une ruelle malfamé était en fait, un vestibule long d'une vingtaine de pas, tout de marbre blanc et qui amenait vers une porte rouge finement ciselé.

Alors que j'étais encore à un pas de la porte, elle s'ouvrit sur un minuscule personnage. Ce n'était ni un nain, ni un gobelin, ni un elfe de maison mais un gnome.
- Vous êtes Mat Dursley, me dit la drôle de créature.
- Oui ! Je viens rendre ....
-...visite à Dame Phoboe, je sais. Veuillez vous donner la peine d'entrer.

Une fois à l'intérieur, je fus amené à Phoboe qui visiblement m'attendait. Elle se leva en me voyant et vint me prendre dans ses bras.
- Je suis content de te voir Mat ! Je me suis tant inquiétée pour toi.
- Il ne fallait pas Phoboe, je suis un dur à cuir
- Ah les hommes, ajouta-t-elle en souriant. Pourquoi ne pouvez-vous pas vous contenter de dire merci ou c'est gentil.
- C'est gentil, ajoutais-je en la serrant contre moi avant prendre un demi pas de distance. Je suis venu à la demande de Sylvius.
- Tu veux le livre des ombres ?
- Oui ! Je vais en avoir besoin selon Sylvius pour accomplir une mission de la plus haute importance.
- Alors ce que l'on dit est vrai ? Un Valar est revenu.
- Ce n'est pas Melkor, c'est son fils Seth.
- Alors Melkor a eu un fils avec cette putain alors qu'il utilisait le corps de mon fils, eructa Phoboe. Comment a-t-elle osée utiliser les gènes des Halliwell.
Je n'avais jamais entendu la mère de Sylvius parler ainsi. Elle m'avait toujours semblé être une grande dame de la haute société et l'expression qu'elle venait d'utiliser me fit sourire.
- Justement Phoboe, elle devait connaître la lignée de Sylvius, c'est sûrement pour cela qu'elle l'a choisi pour accueillir la psyché de Melkor.
- Peut-être, je vois en tous les cas pourquoi Sylvius est si inquiet et pourquoi il veut le livre. Celui-ci est presque aussi ancien que les Valars, qui sont à l'origine d'Ambre et des ombres. Et en particulier celle de la terre. Il contient...
Phoboe ne termina pas sa phrase, un patronus fit son apparition. Je reconnus immédiatement celui de Sylvius.
- Mère, un invité va te rejoindre. Il sera proche du colisée. Occupe toi de lui, il en a grand besoin. Je t'aime.

Aussitôt Phoboe fronça les sourcils puis se tourna vers moi.
- Cette maison est censé être secrète, si mon fils m'envoi autant de personne, je vais finir par devoir partir et je détesterais ça, car j'aime trop ce palacio et cette ville. Mat, attends moi là, je n'en ai pas longtemps.

Elle disparu dans un bruit de robe qui voletait et je me retrouvais seul dans le salon. j'en profitais alors pour filer vers l'énorme bibliothèque qui se trouvait contre un mur pour en parcourir les titres. J'avais passé de nombreuses heures ici à les lire lorsque Sylvius et moi cherchions des informations pour notre potion.

Alors que j'allais me saisir de l'un d'entre eux, la porte s'ouvrit derrière moi, je me retournais et me retrouvait de nouveau face à Téodora. J'en eu le souffle coupé.
- Décidément, c'est petite c'est de la glu, pire, un vieux sparadra dont tu n'arrive jamais à te débarrasser, me dit ma conscience. Je l'entendais presque ricaner de plaisir.

- Alors d'abord tu n'est pas une chaussette ! Ensuite je ne te permet pas de me parler comme as une gamine, je ne suis plus ton élève depuis des années mais ta femme....
- Ça, c'est clair, on se demande ce qui t'a prit ce jour là ! Pourtant je t'avais prévenu.
- Ta gueule la conscience, c'est pas le moment. Là, c'est le moment de se faire tout petit et de laisser parler la diablesse que se trouve en face de moi, lui répondis-je silencieusement.
......Par ailleurs quand nous nous somme marier tu savais que je n'étais pas enclines à dévoilé ce qui pouvait me ronger de l'intérieur d'abord pour moi même mais aussi pour toi. Mais comme tu à l'air et dis que tu es assez fort pour apprendre ce que j'ai vécu, et ce que Malory a vécu aussi lors de notre mission et bien je vais te le dire. Je pensais que tu l'apprendrais sans que j'ai besoins de moi même te le dire...

J'allais enfin savoir ce qui se passait, j'avais bien des doutes mais la questionner n'aurait servi à rien cela je le savais. Oui, elle était souvent renfermé mais je pensais que les années passées avaient assoupli ce trait de son caractère, surtout que nous avions traversés pas mal de chose. Je lui avais pardonné son départ, je voulais vieillir avec elle mais pas au point de vivre tout le temps dans le secret ou le mensonge.
En face de moi, Téodoara reprit son souffle, elle respirait très vite sous le coup des émotions qui la traversait.

- Avec Malory, pendant notre mission, nous nous sommes fait massacrer dans tous les sens du termes. Physiquement, ils ne nous ont pas ménager... Il nous ont frapper et il nous ont violé aussi.
- VIOLÉE, me hurla ma conscience avant de se taire brutalement comme abasourdi.
Et moi qui avait un regard concupiscent tout à l'heure ! Je m'en voulais presque. Cette nouvelle bien que brutal ne me fit pas sourciller plus que cela. Je l'aimais, le reste n'avait aucune importance. Par contre la blessure pour elle devait être énorme, un gouffre qu'il faudrait l'aider à combler.
....Les coups j'ai appris a le supporter mais le reste non donc oui psychologiquement je ne vais pas bien et c'est pour cette raison que la cause et les missions me permettent de rester debout. Et je ne t'ai pas abandonner pour le plaisir ni la premier ni la seconde fois alors arrête de jouer les calimero. Maintenant tu sais. Tu veux continuer a épiloguer sur le sujet ou on peut arrêter dans parler parce que je t'avoue que toi tu es torturer par tes sentiments et tes souvenirs mais moi ce sont ceux qui sont présent qui me torture.

Je ne dis pas un mot, pas un seul. Je me contentais de m'approcher de la prendre dans mes bras. Je la sentais tressaillit puis s'abandonner.
- Il semblerait que cela soit à moi de prendre soin de toi maintenant. Je vais me transformer en infirmier et réparer ce qui peut l'être. J'ai bien entendu tout ce que tu avais dis et je ne vais pas faire semblant de ressentir des choses que je ne ressens pas. C'est l'avantage d'avoir perdu bon nombre de ces maudites émotions. Je ne ressens aucune colère, je suis juste anéanti pour toi ! Pour l'être merveilleuse et lumineuse que tu es. Ils auront eu ton corps mais pas ton esprit, par tes pensées, je le sens. Là maintenant, je ne pense qu'à toi !

Je le repoussais et l'invitais à s'assoir.
- Je suppose que c'est Sylvius qui t'a amené jusqu'ici ?
Elle hocha la tête pour me dire que oui.
- Hum ! Au final celui qu'il veut aider n'est peut-être pas celui que je croyais. Tu sais mon amour, finalement, nous allons la faire ensemble cette mission. Non pas car je cède devant ton insupportable insistance mais parce que, sachant ce que tu viens de me dire, je pense que Sylvius nous veut ensemble pour que nous puissions nous guérir mutuellement. Parfois, je trouve cela effrayant d'être l'ami de Sylvius.

D'un geste de main, je fis avancer le fauteuil qui se trouvait de l'autre côté du salon juste en face de celui où était installé Téoadora. Je m'assis à mon tour et lui prit les mains.
- Téodora, si nous devons faire cette mission ensemble, il ne faut pas avoir de secret. Tu es peut-être une sacrée taiseuse, mais je me souviens que nous disions tout. Je te rappelle tout de même que notre couple c'est fait alors que j'étais professeur et toi élève, nous avons prit des risques fous pour faire grandir notre amour. Et cela n'a été possible que parce que nous nous faisions confiance. Le doute est venu lorsque tu es devenu auror et qu'il a fallu que les secrets s'installent. Puis, il y a eu ta disparition dont je ne sais toujours rien. Et maintenant l'infamie qui vous a touché Malory et toi.  Je t'aime et tu le sais. Lorsqu'on aime une personne, on doit lui faire confiance ma amour. A l'avenir je te demande de me faire confiance, comme hier, comme aujourd'hui et je l'espère comme demain et jusqu'à la fin des temps, dis-je dans un murmure avant de l'embrasser doucement.

Je savais désormais qu'il allait falloir que l'homme que j'étais lui redonne confiance dans l'homme tout court et comprenais pourquoi depuis nos retrouvailles nous n'avions jamais eu l'occasion de refaire l'amour. Après des années de mariage et malgré l'usure des années; nous étions restés un couple très uni charnellement parlant et pourtant rien ne c'était passé depuis. Avec le recul, cela ne m'avait pas semblé important étant moins même moins sujet à mes désirs. Mais tout s'illuminait, je comprenais enfin tant de choses qui me paraissait curieuse sans pour autant arriver à y donner un sens.

Elle avait souffert durant des semaines alors que je gisais dans un lit, je n'avais pas pu l'aider et cela fit remuer en moi des choses endormies.
- Je suis désolé de ne pas avoir pu venir à ton secours mon amour. Je ne faillirais plus. Je suis là pour toi maintenant tout comme tu l'es pour moi. Je suis désolé de ne pas avoir compris plus tôt comme nous sommes indispensable l'un à l'autre.

Je me tus me contentant de plonger mon regard dans ses yeux mouillées de larme. L'avais-je atteinte, avais-je réussi à toucher son âme. Avais-je réussi à apaiser des craintes ? Une nouvelle explosion de colère allait-elle venir ? Je n'en savais rien mais les dès étaient jetés.
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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyLun 20 Avr - 23:22

Je ne m'attendais à aucune réaction spéciale de sa part. Je fus donc surprise lorsqu'il s'approchas de moi et qu'il me pris dans ses bras. Je me rendis à son contact. Puis réussis avec moulte persévérance à me détendre. Il se mit à parler au moment ou je réussit à m'abandonner complètement a son étreinte et presque à lui rendre.

- Il semblerait que cela soit à moi de prendre soin de toi maintenant. Je vais me transformer en infirmier et réparer ce qui peut l'être. J'ai bien entendu tout ce que tu avais dis et je ne vais pas faire semblant de ressentir des choses que je ne ressens pas. C'est l'avantage d'avoir perdu bon nombre de ces maudites émotions. Je ne ressens aucune colère, je suis juste anéanti pour toi ! Pour l'être merveilleuse et lumineuse que tu es. Ils auront eu ton corps mais pas ton esprit, par tes pensées, je le sens. Là maintenant, je ne pense qu'à toi !

Qu'as moi?... Il avais toujours eu ce dont de me toucher en plein coeur et par ses mots et par ses actes. Le fait qu'il ne pense qu'as moi alors que lui aussi étais blessé dans l'âme était pour le moins déconcertant et ne me faisais que l'aimer encore plus.

Je n'avais plus l'habitude de ses étreintes bien trop longtemps reléguer à l'état d'option depuis mon retour impromptu, son hospitalisation et ma mission les étreintes et les baisers c'était fais rare et mécanique. La elle avais été, comment dire presque réconfortante et j'avais presque pus sentir sa souffrance pour moi, car il se séparais déjà de moi pour m'inviter a m'asseoir. Je savais que notre complicité affective, sentimentale était a recrée car il fallait tous lui réapprendre mais j'étais presque nos alchimie qui ne nous avais jamais trahis était toujours là.

Les nuits ou je ne faisais pas de cauchemars, je devais de lui, comme des souvenirs qui remontait, des souvenirs de notre vie de couples, de nos étreintes, de nos ébats, je ne me réveillais pas en hurlants mais en sueur tous de même mais à chaque fois que je repensais a ça mon esprit ce focalisais aussi et beaucoup trop sur les assauts de mon geôliers. *En même temps tu n'as coucher avec personne depuis que ça c'est passer, ça pourrait peut être t'aider, enfin je dis ça je dis rien moi.* Oui ben dis rien c'est mieux et pour toi et pour moi la conscience.

Je m'étais donc assise dans l'un des fauteuils du salon de Phoebe.

- Je suppose que c'est Sylvius qui t'a amené jusqu'ici ? me dit il. J'hochais simplement la tête. Je n'avais pas encore envie d'ouvrir la bouche. Mes cordes vocal étant encore sous le choc des mots que je venais de prononcé. Voyant mon air peu enclin as parler moi même il continua.

- Hum ! Au final celui qu'il veut aider n'est peut-être pas celui que je croyais. Tu sais mon amour, finalement, nous allons la faire ensemble cette mission. Non pas car je cède devant ton insupportable insistance, j'haussais les sourcils, moi insupportable, quelle blague ! mais parce que, sachant ce que tu viens de me dire, je pense que Sylvius nous veut ensemble pour que nous puissions nous guérir mutuellement. Parfois, je trouve cela effrayant d'être l'ami de Sylvius.

J'haussais les épaules en émettant un petit rire. Il n'avais pas tord, être l'ami était parfois effrayant. Mais oui il avait raison, c'était surement pour nous guérir l'un l'autre que Sylvius nous avais réunis. Il fit avancer le fauteuil jusqu'as lui pour s'asseoir en face de moi, assez proche pour prendre mes mains dans les siennes. *C'est qu'il en as des choses a te dire ton mec regarde, enfin écoute il recommence à parler !* Laisse le tranquille il à de bonne raison de me parler, on ne s'est pas parler comme ça depuis notre après-midi dans le jardin de ses parents.

- Téodora, si nous devons faire cette mission ensemble, il ne faut pas avoir de secret. Tu es peut-être une sacrée taiseuse, mais je me souviens que nous nous disions tout. Je te rappelle tout de même que notre couple c'est fait alors que j'étais professeur et toi élève, nous avons prit des risques fous pour faire grandir notre amour. Et cela n'a été possible que parce que nous nous faisions confiance. Le doute est venu lorsque tu es devenu auror et qu'il a fallu que les secrets s'installent. Puis, il y a eu ta disparition dont je ne sais toujours rien. Et maintenant l'infamie qui vous a touché Malory et toi. Je t'aime et tu le sais. Lorsqu'on aime une personne, on doit lui faire confiance mon amour. A l'avenir je te demande de me faire confiance, comme hier, comme aujourd'hui et je l'espère comme demain et jusqu'à la fin des temps. Me dit-il en terminant dans un souffle et il m'embrassa. Cette fois ce n'étais pas un baiser mécanique, il y avais un léger changement... quelque chose, un soupçon de je ne sais quoi qui le rendait très agréable.

Je lui avais déjà tous dis sur ma disparition, les raisons il les connaissait que voulait il savoir de plus. *Peut être les détails de tes soirée de beuveries avec les écossais, a dormir au clair de lune et a vivre sous la pluie ou alors comment tu t'es doré la pilule sous le soleil australien à boire des cocktails et à mater les beaux surfer...* Ferme la toi ! Je vais quand même pas aller lui dire que j'étais saoul du matin au soir !

- Je suis désolé de ne pas avoir pu venir à ton secours mon amour. Je ne faillirais plus. Je suis là pour toi maintenant tout comme tu l'es pour moi. Je suis désolé de ne pas avoir compris plus tôt comme nous sommes indispensable l'un à l'autre.

Il me fixait intensément. Attendant surement une réaction de ma part. J'avais été émue par ses paroles, mes yeux se mouillant de quelques larmes sans pour autant les laisser coulé. Par quoi allais-je commencer pour lui répondre?

- Alors d'abord mon amour, tu n'as pas a t'en vouloir. Tu gisait sur un lit d'hôpital comment aurait tu pu venir me chercher? Tu ne pouvais pas comprendre surtout après la subtilisation de la gazette du sorcier ou était relaté notre récit de sauvetage par cette chers Rita skeeter. Oui j'ai osé le faire disparaitre. Même tes parents ne l'ont pas lu. Je n'allais te faire subir ça a ta sortis d'hôpital !Et puis je n'ai pas de blessure physique, enfin elles ont été soigné par les infirmières de Ste Mangouste d'ailleurs il m'ont déchirer mon jean j'ai du en faire venir un autre ! En revanche,che toi tu auras besoin d'une infirmière a plan si je ne m'abuse, ta mère n'étant plus la pour veiller au grains je vais me faire un plaisir de reprendre ma place d'épouse. lui dis-je en lui caressant la joue, j'avais préféré m'abandonner à l'aide que je pouvait lui apporter, ce qui m'avais permis de mettre mon calvaire entre parenthèse et d'éviter d'y penser trop.

- Ensuite que veux tu savoir de plus sur mon départ? Tu sais déjà que c'est à cause de la mort d'Ellween et la dépression que je me suis prise dans la tronche juste après que je suis partis. Cette histoire commençais a me faire monter en pression je le savais. Si tu veux vraiment tous savoir, j'ai bu comme un trou pendants pratiquement un an, en Ecosse et ensuite je suis partis continuer a picoler en Australie. En gros c'est tous ce qu'il y a savoir. Et toi ? Tu te souviens de ce que tu as fais après mon départ?
Je respirais un grands coups, essayant de me calmer. Je repris ensuite.

- Promis, plus de secret de toute manière les aurores pour le moment, avec la guerre on as autre choses à faire que de mentir à nos conjoint ou de se taire d'ailleurs. Et comment ça je suis d'une insupportable insistance?! Si c'est comme ça toi tu es borné encore plus que moi.

terminais-je en riant. C'étais si naturel de le retrouvé et pourtant tout avais changé. Physiquement nous étions les mêmes, et pourtant psychologiquement nous étions comme deux étrangers, nous allions réapprendre à vivre l'un avec l'autre, nous allions aussi connaitre les changements qui avaient pus s'effectuer de pars les épreuves que nous avions traversé.

- Bon alors qu'elle est le but de cette mission? Et pourquoi somme nous chez Phoebe ?

J'avais tant de question sur le sujet de notre mission que je ne savais pas par laquelle commencer?
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Mat Dursley
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyMer 22 Avr - 15:15

Tout ce que venais de m'apprendre ma douce Téa ne me faisait rien. En fait, cela me tracassait plus que cela ne me faisait quelque chose. Il eut été normal que je veuille tuer le "fils de pute" ; j'imagine que c'est ce que Jason ou Medhi aurait dit ; qui a fait cela à ma femme. J'aurais dû, mais à la place, il n'y avait que le vide. Enfin pas tout à fait, je ressentais quelque chose mais pour ma femme pas contre "l'enflure", dixit les 2 sorciers cités plus haut, qui lui avait fait cela.
Je n'avais d'yeux que pour elle, qui avait supporté cela toute seule, alors que moi j'étais *au choux, ou aux fraises comme tu veux, termina ma conscience. * Oui, pour une fois elle avait raison. On ne pouvait pas dire autre chose.
Je la regardais donc et je l'enviais. Oui, je l'enviais car elle vibrait des émotions qu'elle ressentait, elles transpiraient par chaque pore de sa douce peau. Téodora rayonnait de sentiments, noirs ou blancs, mais elle rayonnait d'une vie intérieur puissante. Un feu ardent couvait en elle. Il m'attirait vers elle comme la lumière attire les papillons.
Je vis alors des larmes apparaitre sur ses yeux.
* Bingo, tu l'as fait pleurer ! Il y avait longtemps tiens ! Tu es insensible mon gars !
* C'était pas mon intention mon gars ! Et puis j'aimerais pouvoir pleurer de temps en temps alors je te dirais bien ta gueule mais je vais me retenir parce que ce n'est pas vraiment le moment la conscience. Et la prochaine que tu l'ouvres, essaie de le faire pour une bonne raison, cela nous changera.

Je sortais de mon débat intérieur et regardais de nouveau ma femme. Je ne sais pas ce que mon visage refléta mais elle prit la parole à son tour.

- Alors d'abord mon amour, tu n'as pas à t'en vouloir. Tu gisait sur un lit d'hôpital comment aurait tu pu venir me chercher ?

* Je ne sais pas mais j'aurais due essayer ! J'aurais dû être mis au courant !
- Tu ne pouvais pas comprendre surtout après la subtilisation de la gazette du sorcier ou était relaté notre récit de sauvetage par cette chers Rita skeeter. Oui j'ai osé le faire disparaitre. Même tes parents ne l'ont pas lu. Je n'allais te faire subir ça a ta sortis d'hôpital .* Oh, elle pense à toi, même après ce par quoi elle est passée, tu te rends compte ?!
Et puis je n'ai pas de blessure physique, enfin elles ont été soigné par les infirmières de Ste Mangouste d'ailleurs il m'ont déchirer mon jean j'ai du en faire venir un autre ! En revanche, chez toi tu auras besoin d'une infirmière a plan si je ne m'abuse, ta mère n'étant plus la pour veiller au grains je vais me faire un plaisir de reprendre ma place d'épouse. lui dis-je en lui caressant la joue, j'avais préféré m'abandonner à l'aide que je pouvait lui apporter, ce qui m'avais permis de mettre mon calvaire entre parenthèse et d'éviter d'y penser trop.

En fait, je ne savais pas quoi répondre à cette débauche d'amour. Nous avions été longtemps séparé, si longtemps. Malgré toutes les douleurs que nous amenais cette guerre, j'étais content que les événements me la ramène. Après une année et demi d'abandon, nous nous retrouvions. Il serait temps plus tard de reprendre le fil de regrets et de les traiter. Sylvius avait raison depuis le départ, nous avions besoin l'un de l'autre et cette mission allait peut-être nous aider.

- Ensuite que veux tu savoir de plus sur mon départ ? Tu sais déjà que c'est à cause de la mort d'Ellween et la dépression que je me suis prise dans la tronche juste après que je suis partis. Cette histoire commençais a me faire monter en pression je le savais. Si tu veux vraiment tous savoir, j'ai bu comme un trou pendants pratiquement un an, en Écosse et ensuite je suis partis continuer a picoler en Australie. En gros c'est tous ce qu'il y a savoir. Et toi ? Tu te souviens de ce que tu as fais après mon départ ?


Je hochais la tête, je m'en souvenais car après la prise de la potion, je mettais plonger dans le journal que j'avais tenu lors de ces événements pour me souvenir. J'avais aussi des flash et des souvenirs éparses qui remontaient. Pas seulement de cette période mais certains beaucoup plus anciens lorsque j'étais jeune et d'autres encore.

En face de moi, Téodora respira un grand coup avant de poursuivre.
- Promis, plus de secrets * Oulala me dit ma conscience, les promesses n'engagent que ceux qui les entendent. De toute manière les aurores pour le moment, avec la guerre on a autre choses à faire que de mentir à nos conjoints ou de se taire d'ailleurs. Et comment ça je suis d'une insupportable insistance ?! Si c'est comme ça toi tu es borné encore plus que moi termina-t-elle en riant.

Je lui aurais bien répondu que je n'étais pas d'accord avec elle et que si nous devions faire un concours, je serais largement derrière elle mais cela ne servait à rien et surtout elle ne m'en laissa pas le choix.

- Bon alors qu'elle est le but de cette mission? Et pourquoi somme nous chez Phoebe ?

Elle semblait impatiente maintenant. Nous venions de faire un grand pas vers la guérison mais je n'en doutais pas. Il nous faudrait sûrement revenir sur certaines blessures mais cela pouvait attendre.

- Mon amour tu es bien impatiente ! Je suis content que tu sois avec moi au final. Qui sait, cela va peut-être nous aider !

Je me tournais alors afin de faire quelques pas, j'essayais de faire partir la tension qui m'habitais encore. La potion avait fait son oeuvre et j'avais guéri mais il m'arrivait dans des cas d'extrême tension.
- Pour ce qui est des secrets, je ne vais pas t'en faire puisque nous avons dis plus de secret alors allons-y. Tu l'ignore mais Sylvius à prévu un plan pour lutter contre nos ennemis. Il est convaincu que le rétablissement du secret est la seule solution. Avec Shona, Harry, Hermione et ses anciens amis des reliques de la mort, ils ont trouvé des preuves que tout cela n'est qu'une manipulation.

Je m’arrêtais quelques secondes et regardait ma femme. Elle me regardait de façon très attentive alors je continuais.
-Quelqu'un est derrière tout cela Téa, c'est une certitude. Et cela s'est renforcé avec l'apparition de Seth. Donc Sylvius m’envoie, pardon nous envoi dans l'ancien repaire de Melkor en Egypte afin de chercher des informations.

Alors que j'allais continuer la porte s'ouvrit sur Phoebe.
- Je n'entends plus d'éclats de voix, puis-je me joindre à vous ?
- Bien sûr Phoebe, nous avons terminé. Merci de nous avoir laissé ce petit moment pour nous expliquer et nous retrouver.

Phoebe pénétra dans la pièce et se joignit à nous. Tranquillement, elle fit apparaître trois coupes de champagne.
- Typiquement Français, me dis-je en me souvenant d'un seul coup qu'elle ne l'était pas et que c'était le père de Sylvius qui était de cette nationalité.

Je pris une coupe sur le plateau qui flottait devant moi et la tendis à notre hôtesse puis en donnait une à Téodora avant de prendre la dernière.
- Téodora me demandait pourquoi nous étions chez vous ! J'avoue ne pas en savoir beaucoup plus. [/color]
- Vous êtes ici pour le livre des ombres.
- Qu'est ce que c'est, demandais-je en devançans Téodora.
- Le livre de magie le plus ancien du monde. Il est chez les Halliwell depuis la nuit des temps.
- Il sert à quoi ?
- A l'intérieur se trouve les plus grands secrets de la magie, les plus grands sorts, les plus grands secrets. Mes défuntes soeur et moi nous en servions pour combattre les démons venus d'autres ombres.
- D'autres ombres ? C'est à dire ?
- C'est trop compliqué à expliquer Mat et ce n'est pas le sujet ne m'en veux pas.....

Je souris à Phoboe, j'aurais aimé en savoir plus mais si elle ne voulait pas me le dire, je savais que je n'en tirerais pas plus.
- OK ! Et le livre ! A quoi va t-il nous servir ?
- Celui-ci parle beaucoup des anciens mythes Égyptiens, tu en apprendras plus sur les Valars et tu y trouvera peut-être des potions ou autres utiles.
- Super ! m'exclamais-je. Vous nous le donner, comme cela nous pourront y aller.

Phoebe éclata de rire !
- Ce n'est pas aussi simple que cela jeune homme. Le livre est au grenier dans la salle de réflexion et il y a une cérémonie afin qu'ils vous reconnaissent comme étant autorisé à le consulter, sinon, ce n'est qu'un livre rempli de pages blanches, termina Phoebe en se levant. Allez suivez-moi ! ajouta-t-elle déposant sa coupe de champagne vide sur la petite table.
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Teodora Lawrence
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyVen 24 Avr - 0:45

- Mon amour tu es bien impatiente ! Je suis content que tu sois avec moi au final. Qui sait, cela va peut-être nous aider !

Parce que mon impatience l'étonnait encore?! Des fois il me bluffait par ça capacités a enfoncer des portes ouvertes... et j'adorais toujours ça.

- Je suis aussi heureuse que toi de faire cette mission avec toi mon amour. Et je suis sur que ça pourras nous être bénéfique. J'espère que c'est toujours le cas, l'avenir nous le diras mais nous étions très complémentaire avant.

C'étais le cas nous avions toujours adoré être ensemble il comblais mes lacunes en potions et j'ajoutais ma petite touche de folie a tous ce qu'il pouvait entre prendre. Il continua sur sa lancer.

- Pour ce qui est des secrets, je ne vais pas t'en faire puisque nous avons dis plus de secret alors allons-y. Tu l'ignore mais Sylvius à prévu un plan pour lutter contre nos ennemis. Il est convaincu que le rétablissement du secret est la seule solution. Avec Shona, Harry, Hermione et ses anciens amis des reliques de la mort, ils ont trouvé des preuves que tout cela n'est qu'une manipulation.

J'hochais la tête, attentive a ce qu'il pouvait me dire pour glaner toutes les informations possibles, mon instincts d'auror... Ou de fouineuse... On ne peut pas toujours refouler sa vrai nature.

- Quelqu'un est derrière tout cela Téa, c'est une certitude. Et cela s'est renforcé avec l'apparition de Seth. Donc Sylvius m’envoie, pardon nous envoi dans l'ancien repaire de Melkor en Egypte afin de chercher des informations. L'Egypte ! Super j'avais toujours ue envie d'y aller. Nous y allions pas pour faire les touristes mais ce serais surement une très bonne expérience. Et puis glanée des information n'importe et n'importe comment ça ne m'avais pas toujours réussis physiquement et psychologiquement *Tu veux vraiment reparler de comment tu as récupérer les dernières infos ?* Ferme la toi je me concentre pour tout assimilée et puis j'ai toujours réussi quoi qu'il m'en coutait. Et je comptais bien protéger mon mari physiquement pendant cette quête.

J'entendis la porte s'entrouvrir derrière moi et entendis Phoebe nous demander si elle pouvait se joindre a nous ce que Mat s'empressas d'approuver tout en la remerciant de nous avoir laisser ce petit moment d'intimité qu'il nous fallait pour pouvoir aller de l'avant. D'un pas gracieux elle s'avança près de nous tout en faisant apparaitre des coupes de champagnes au dessus de la table basse du salon. La sorcellerie était réellement un art, quand des moldus posent les coupes sur une table, nous, nous les faisons virevolté. Il y avait quelque chose de... *Magique?* C'est ça la conscience, pour une fois que tu ne l'ouvre pas pour de mauvaise raison!

Après avoir trinqué et bu quelque gorgé de nos verres nous avions expliquer, enfin Mat avait expliquer à Pheobe le sujet de notre conversation. C'étais a notre tour de lui en posé. Ce que mon mari fit. me devançant a chaque question que je voulais poser... Il m'avais peut être fait trop réviser mes cours d'interrogatoire lors de mes études supérieur pour arrivée a mon grade d'auror.

Nous étions donc la pour le livre des ombres, un livre de magie, de ce que nous disait notre hôtesse apparement vieux de plusieurs siècle. J'avais vraiment trop fait réviser Mat avec moi il voulait toujours en savoir plus. Ce qui me fit sourire.

- OK ! Et le livre ! A quoi va t-il nous servir ? Il me disait fougueuse, intrépides et presque sans limites mais il ne se voyait pas, j'avais une irrépressible envie de rire et de me foutre de lui mais je restais de marbre en dehors de mes narines qui s'écartait pour retenir le fou rire incontrôlable qui menaçais d'exploser. Ce n'étais pas le moment !

- Celui-ci parle beaucoup des anciens mythes Égyptiens, tu en apprendras plus sur les Valars et tu y trouvera peut-être des potions ou autres utiles.

Les valars... Je ne manquerais de lui poser la question de qu'est ce que c'est. Les potions... Heureusement pour nous il était mettre dans cette art grâce a son mentor et ami Sylvius, il ne fallait compté sur moi que pour la recherche de plante parce que sinon il allait nous falloir plusieurs voir des milliers de chaudron a notre disposition !!

Toujours avec son impatience folle il exprimas a Pheobe son idée de le prendre et de nous en aller... Je le regardais avec un petit sourire espiègle et un sourcils lever. En sachant que c'est un vieux livre magique... Ça doit pas être aussi simple que cela, et effectivement Pheobe confirma mon raisonnement en éclatant de rire et nous disant:

- Ce n'est pas aussi simple que cela jeune homme. Le livre est au grenier dans la salle de réflexion et il y a une cérémonie afin qu'ils vous reconnaissent comme étant autorisé à le consulter, sinon, ce n'est qu'un livre rempli de pages blanches, termina Phoebe en se levant. Allez suivez-moi !

Je sifflais mon verres cul-sec et la suivait, Mat sur les talons. Après avoir montez tout un amat d'escalier en colimaçon, de quoi vous donnez la nausées, nous étions arriver dans une sorte grenier, loins d'être poussiéreux il avait plutôt l'air confortable. Le livre, loin de nous l'envie de pouvoir le manquer même si on le voulait il était perché sur un pieds d'éstale. Un ambiance très ésotérique regnait dans cette pièce, nous étions comme couper du monde et pourtant une fenêtre amenant une lumière douce et coloré grâce au vitraux qui était disposer sur la fenêtre ajoutais une touche de mystère. c'était paisible, nous mais aussi étrange comme sensation en sachant que nous étions en plein coeur de Rome. Elle nous montras une drésienne sur laquelle elle nous fit asseoir puis pendants qu'elle disposait des bougies et traçais un pentacle aux sol. Je me permis donc une question:

- Comment vas ce passer le rituels du coup? Parce que je ne sais pa si vous vous souvenez mais les potions si nous devons en faire une ce n'est toujours pas ma tasse de thé bien au contraire !

Elle sourit et me répondit:

- Dans un premier temps vous aller vous placer tous les deux au centre du pentacle, vous le tiendrez tous les deux par un côté. Les bougies s'allumeront un vent se lèveras si le livre vous reconnais digne de sa lecture ou non. Lorsque le vent sera levez et qu'une tempête s'annonceras vous saurez a quel moment récité l'incantation. Nous dit-elle tout en nous tendant une feuille de papier jaunis par le temps.

Sur celle-ci était inscrite d'une écriture ronde et bientôt invisible quelques phrases. Je faut presque étonnée que ce ne soit pas du latin. Cela du se lire sur mon visage car Pheabe me sourit et me dis:

- Notre arrière grand-mère avait une sainte horreur de cette langue, se disant que potentiellement les futures génération de sorcière détesterait ça ou ne l'apprendrais plus elle l'as traduite dans notre langue maternelle. Ce qui est beaucoup plus simple et ça fonctionne tout aussi bien ! Je souris a sa réponse et me concentrait pour apprendre les quelques mots écrits sur la feuille.

une fois cela fait Phebeo nous fit avancer au centre du pentacle. nous donnas le livre. Je tenais fermement sa couverture verte et rigide sous mes doigts. s'entent les effluves du vieux livre s'élevé jusqu'a mes narines. A nos pieds, le tracé a la craie au sol changeas de couleur pur devenir rouge flamboyante. Les bougies s'allumèrent, effectivement je sentit un vent au début léger puis de plus en plus violent se lever. et comme si les éclairs tonnant au dessus de nos tête nous avais donner le signal, avec Matti, d'une seule voix nous récitions l'incantation:


"De jour comme nuit,
Qu'il vente, qu'il pleuve, qu'il neige, que le soleil brille,
Que la chaleur vous brule ou que le froid vous gèle,
Que le calme soit d'un plat mordant ou que la guerre soit meurtrière,
Que la mer soit d'huile ou que le désert soit tempête,
Que ma vie soit en danger ou non,
Je jure de protéger le livre et le savoir de toutes nos ancêtres sorcière qu'il contient
Jusqu'as ce que mon corps soit redevenue poussière.
Son pouvoir nous aideras et nous libèreras"



Le livre s'arrachas de nos mains pour atterrir parterre. s'ouvrant, éclatant d'une lumière blanche et feuilletant les pages au fil des bourrasque de vents qui bientôt s'atténuèrent jusqu'au venir s'éteindre, le livre se refermas, les bougies s'éteignirent, le pentacle redevenant blancs au sol. La cérémonie était terminer et moi j'vais l'impression d'avoir été vidée. Sachant cela mieux que personne, Pheobe nous accompagnas jusqu'as la drésienne avec des verres d'eau puis repartit chercher le livre des ombres, le sourire au lèvres, pour le redeposer a sa juste place sur le pied d'éstale qui lui était destiné.
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Mat Dursley
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Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptySam 25 Avr - 21:03

Phoebe venait de me refroidir, je pensais que j'allais venir ici, récupérer le livre et partir à l'aventure, seul. Que j'allais enfin pouvoir me rendre utile à mon monde d'adoption. Totalement nés-moldus, le monde magique m'avait accepté et je voulais lui rendre même si le monde modlu était pour moi un refuge indispensable.

Mon aventure solitaire était devenu duo, et nous allions devoir attendre avant de pouvoir repartir.
- Une cérémonie ! me dis-je, c'est juste un livre ! Il a une âme ? dit ma conscience.
- Possible, lui répondis-je. C'est un livre ancien. J'ai vu des choses encore plus bizarre dans la réserve de la bibliothèque de Pouldard.

Phoebe s'était levé et avait enchainé les couloirs le palais qu'elle occupait à Rome. Nous montâmes je ne sais combien de d'étage avant d'arriver dans une sorte grenier. Plutôt cossi, il était d'assez grande taille, dans les 30 m2 environ. On y pénétrait par la porte et la seule autre ouverture était un vitrail rond de grande taille qui se nichait juste sur le mur en face de la porte. Sur l'un des murs, il y avait une bibliothèque qui regorgeait de vieux manuscrits qui m'était complétement inconnu. On y trouvait aussi un canapé. L'ambiance y était confortable et esotérique. Au centre se trouvait un livre posé sur un pied d'estale. Ce qui me frappa le plus, c'était l'absence de bruit. Rome était une ville tout le temps en mouvement, et surtout très fréquenté. Il n'était pas rare que certains parviennent à l'intérieur des vieux palais comme celui qu'occupait Phoebe. Mais là, le bruit était complétement absent. Rien, il n'entendait que le bruit de leurs respiration.

Phoebe entre dans la pièce et alluma une grosse bougie avant de les inviter à entrer et de nous montrer une drésienne sur laquelle nous asseoir.
- Assied toi mon amour, lui dis-je en me mettant à côté d'elle tout en lui prenant la main.

Phoebe elle, traçait sur le sol un pentacle. Téodora, intrigué questionna notre hôtesse.
- Comment vas ce passer le rituels du coup ? Parce que je ne sais pas si vous vous souvenez mais les potions si nous devons en faire une, ce n'est toujours pas ma tasse de thé bien au contraire !
- Je m'en occuperais Téa, tu as un maître de potion comme mari ! Tu as perdu tes souvenirs toi aussi ?
Phoebe sourit puis nous répondit
- Dans un premier temps vous aller vous placer tous les deux au centre du pentacle, vous le tiendrez tous les deux par un côté. Les bougies s'allumeront un vent se lèvera si le livre vous reconnais digne de sa lecture ou non. Lorsque le vent sera levez et qu'une tempête s’annoncera, vous saurez a quel moment récité l'incantation.

Elle nous tendit alors une feuille de papier jaunis par le temps. Elle était écrite d'une écriture fine que je reconnus mais avant que j'ai le temps de l'expliquer à Téodora, Phoebe reprit la parole te nous indiqua qu'une de ces ancêtre avait une sainte horreur du latin et qu'elle avait traduit de nombreux textes en se disant que cela serait utile aux générations futures.

Sans attendre, je pris la feuille et me plaçait au centre du pentacle en tendant la main à Téodora qui me rejoint. Nous tenions fermement la couverture verte. D'une seule voix, nous récitâmes l'incantation que nous avait donné Phoebe tandis qu'un léger vent se mit à tournoyer autour de nous.

"De jour comme nuit,
Qu'il vente, qu'il pleuve, qu'il neige, que le soleil brille,
Que la chaleur vous brule ou que le froid vous gèle,
Que le calme soit d'un plat mordant ou que la guerre soit meurtrière,
Que la mer soit d'huile ou que le désert soit tempête,
Que ma vie soit en danger ou non,
Je jure de protéger le livre et le savoir de toutes nos ancêtres sorcière qu'il contient
Jusqu'as ce que mon corps soit redevenue poussière.
Son pouvoir nous aideras et nous libèreras"


D'un seul coup, le livre nous échappa et atterri par terre, les feuilles se mirent à tourner jusqu'au bout puis il se referma dans un claquement sec. Les bougies s'éteignirent.

- C'est terminé ! nous dis Phoebe. Vous avez compris que le livre vous jugeais digne de le lire et même d'y écrire.
- Comme cela d'y écrire.
- Oui Mat, ce livre se transmet dans ma famille depuis des milliers d'années. Un jour d'ailleurs, il appartiendra à Sylvius et à ces enfants. D'ailleurs une nouvelle triade est né et cela me fait plaisir.
- Une nouvelle triade ?
- Oui, ce livre n'est jamais aussi puissant que lorsqu'il y a 3 soeurs pour l'utiliser, c'est ce qu'on appelle le pouvoir des trois. Heureusement, cela marche aussi s'il y a des garçons.
- Et donc, on peut écrire à l'intérieur.
- Oui, tu pourras. Une potion, un sort..

Elle termina sa phrase tout en reposant le livre sur son pied d'estale.
- Il est lourd, cela ne va pas être simple pour le transporter.
- Oh rassurez-vous, il ne pèse rien et ne prendra absolument aucune place.
- Comment cela demandais-je.
- Prenez le ma chère dit Phoebe à Téodora.

Sans hésitation, elle s'en saisi tandis que notre hôtesse prit sa baguette et prononça une simple formule "reducto". Aussitôt, le livre rapetissa au point de ne pas faire plus de la taille d'un timbre poste.
- Visualise la taille que tu souhaite en prononçant la formule et tu l'obtiendra.
- Génial, dit Téodora.

Elle rayonnait, elle avait son petit air espiègle et mutin qu'elle avait lorsqu'elle était mon élève. Ce même petit air que je ne lui avait pas vu avoir depuis bien longtemps maintenant. Elle sourit franchement, impatiente j'en étais sûr que nous repartions.
- Phoebe, c'est un magnifique cadeau. Comment doit-on utiliser le livre ? Il y a des précautions à prendre ?
- Par vraiment, il ressent ce que tu cherches et il t'ouvrira la page que tu veux ou dont tu as besoin. Après tu choisira d'utiliser ou pas la formule qu'il te montrera.
- C'est tout ?
- Oui, par contre, sachez que cela marche mieux si c'est un Halliwen et si c'est une fille. Comme pour la première chose, c'est raté, il vous reste la seconde termina Phoebe.
- Une raison de plus que explique pourquoi Sylvius voulait que tu m'accompagne dis-je à Téodora.
- Et si nous redescendions ?

Phoboe me laisse prendre le livre dans les mains puis nous rejoigniment le salon.
- Sylvius souhaitait que vous passiez la nuit ici avant de partir.

Je regardais ma montre à gouset et en effet il était déjà tard.
- C'est d'accord, par contre nous partiront dès l'aube venu.
- Aucun problème mon grand. Je dors très peu depuis la mort de ce cher Perceval. Mes nuits sont hantées par les morts qui m'entourent.

A côté de moi, je sentais Téodora se raidir. Nous n'avions pas encore eu l'occasion de passer une nuit dans le même lit depuis sa réapparition et surtout depuis ses viols. Je n'avais pas pensé à ça.
- Phoebe, serait-il possible d'avoir deux chambres.
Étant donné qu'elle me regardait de façon surprise, je décidais de biaiser afin de ne pas mettre ma femme mal à l'aise.
- Depuis mon accident avec la potion, je ronfle comme un sonneur Phoebe. En attendant que nous trouvions une solution à cet effet secondaire, pour le sommeil de Téodora c'est plus simple.
- Oh ! Je comprends, répondit Phoebe en se tournant vers son Elfe de maison, tandis que je me tournais vers Téodora en la regardant.
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Teodora Lawrence
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyDim 26 Avr - 15:17

Après cette cérémonie plutôt express, nous nous étions rassis sur le sofa pendant que notre hôtesse nous expliquais que le livre nous trouvais digne de lui, de le lire et aussi d'écrire à l'intérieur. Elle parlait de la transmission de génération en génération du grimoire mais aussi de la force qu'il avait lorsqu'il y avait une triade naissante au sein de la famille. On pouvait écrire toute nos découverte magique, que ce soit un sort ou une potion... Loin d émoi l'idée d'écrire une potion heureusement que Mat étais la pour les faire et les écrire car moi ça risquais d'être une catastrophe si je le faisais. Pheobe me fit signe d'avancer et de prendre le livre entre mes mains. Elle sortit sa baguette et lançais l'un des sort que nous connaissions par coeur. Pourquoi n'y avions nous pas penser plutôt c'étais:

- Génial ! pensais-je tout haut sans le vouloir. Nous allions pouvoir trouver des réponses à nos questions mais aussi de quoi accomplir notre mission sans trop de problème enfin... Espérons le !

Le livre ressentais ce que nous cherchions -, il n'allais pas falloir que mes sentiments interfère avec notre quêtes ! Elle nous expliqua aussi que cette histoire de guide de recherche qui te montre ce que tu veux fonctionnait mieux avec un Halliwel, en sachant que nous ne l'étions ni l'un ni l'autre cet histoire ce gatais mais qu'il fonctionnais aussi mieux si c'était une femme qui le tenais entre ses mains. BINGO j'en était une !

- Une raison de plus que explique pourquoi Sylvius voulait que tu m'accompagne. me dit Mat, je lui souris en lui répondant avec mon petit ton espiègle:

- Je te suis indispensable, Matti, je te l'avais bien dit. terminais-je en riant.

Pheobe nous invitas à redescendre au salon, tandis que Mat prenais le livre moi j'emboitais le pas de Phoebe. Lorsque nous arrivâmes en bas, nous comptions prendre congé de notre hotesse, elle nous devanças nous invitant à rester pour la nuit sur conseil de Sylvius. Je vis mat regarder sa montre a gousset, et y jetais moi même un oeil. Effectivement il commençais a se faire tard, la soirée étais déjà bien avancer. *En même temps si vous n'aviez pas joué a cache-cache tous les deux vous seriez arrivez plus tôt!* Certes mais c'était pour la b bonne cause la conscience, nous avons au moins pus mettre les choses, enfin presque toutes les choses à plats sur la table pour repartir du bon pied.

Mat acquiescas la demande de notre hotesse tout en l'informant que nous partirions bien avant le premier chants du coq. Comprenant notre envie de nous envolé elle hocha la tête nous disant que de toute manière elle ne dormait plus beaucoup depuis la mort du père de Sylvius. Je commençais a me raidir... Dormir oui, mais dans le même lit que Mat? Depuis mon retour nous n'avions plus jamais partager le même lit... Je sentais mon système nerveux s'agiter. Je voulais vraiment qu'on retrouve une vide couple il allait donc falloir que je prenne sur moi même mais c'était compliquer je ne contrôlais pas encore mes émotions et la je ne le sentais pas, mais alors pas du tous...

- Phoebe, serait-il possible d'avoir deux chambres. Je le regardais en fronçant les sourcils, je ne voulais pas que tous l'univers soit au courant de ce que j'avais pus vivre... Mais il repris voyant le visage surpris de Phoebe et le miens qui commençait à ce décomposer. Depuis mon accident avec la potion, je ronfle comme un sonneur Phoebe. En attendant que nous trouvions une solution à cet effet secondaire, pour le sommeil de Téodora c'est plus simple.

Je lui souris, il avait toujours été si prévenant, *Et tu as réussi a douter de lui Teo ? Tu connais quand même ton mari non?* Oui je le connais mais il faut que je le redécouvre entre la potions et mon histoire nous avons tous les deux changer. Et je te ferais remarquer que je ne fais plus confiance à personne, j'ai même du mal à laisser mon père me prendre dans ses bras alors arrpete de me faire la morale. Pendant que Pheobe, apparement satisfaite de la réponse de Mat demandais à son elfe de maison de préparer deux chambres Mat ce tournais vers moi. Je le regardais avec un sourire de reconnaissance. Merci lui dis-je silencieusement. Et je lui pris la main, *Un grand pas pour l'homme, un petit pas pour l'humanité comme on dit* Oui tout a fais la conscience pour une fois que tu ne dis pas que des connerie, ça change.

Le temps que nos chambre nous étions retourner dans la salle a manger ou nous attendait trois assiette de pâtes fumante, avec un verre de vin blancs romain chacun. Ouh j'adorais la nourriture italienne mon ventre gargouilla signe que je n'avais comme d'habitude pas pris le temps de manger depuis le petit déjeuner du matin. Pas très étonnant avec toute les péripéties qui nous étaient arrivée.

Me voyant me lécher les babines, Pheobe nous dis:

- Mangeons je crois entendre un ventre gargouillé. J'écarquillais les yeux avec un petit sourire en coin.

- Pardon, c'est moi, mon estomac commence avoir quelques interrogations sur quand est ce qu'il vas avoir le droit lui aussi a un peu de considération de ma part.

Le repas fût calme et enjoué, j'avais hâte de pouvoir feuilleté se grimoire, et aussi d'écrire dans mon carnet les quelques éléments que nous avions pu découvrir. Il se faisait tard, il était temps pour nous de nous coucher... Dans des lits différents. Pheobe nous accompagnas jusqu'a nos chambre.

-  Jeune gens je vous souhaite une bonne nuit. Nous nous reverrons avant votre départ tout à l'heure. puis dans balais de froufrou elle nous laissas tous les deux devant nos chambre.

Je regardais Mat et lui dis:

- Je te souhaite une bonne nuit Matti. Je regardais derrière lui pour m'assurer que plus personne n'était la et repris, merci d'avoir demander à Pheobe deux chambre pour cette nuit, je crois que je ne suis pas encore tout as fais prête a ce que l'on fasse lit commun... Enfin ça viendras peut être plus vite que je ne le pense, j'espère. Et merci dene pas lui avoir parler de la vraie raison du pourquoi on fais lit a part. Dors bien tu en as besoin. Dis je en déposant un baiser sur ses lèvres, il fallait bien que je réapprenne a le toucher et autant que ce soit de ma propre initiative. Je me tournais vers la porte de ma chambre mais revins sur mes pas en lui disant :

- AH ! Peut tu me passer le grimoire avant de partir je voudrais le feuilleter... Ou alors tu veux peut être qu'on le fasse ensemble avant de nous coucher ?

Je n'attendais pas sa réponse pour ouvrir la porte de ma chambre. J'avais écoper d'une chambre avec un petit balcon. Fort heureusement j'allais pouvoir fumer une cigarette histoire de me détendre. Et dire que la première fois ou il m'avais emmener a Rome et chez Phoebe nous avions fais des pieds et des mains pour dormir ensemble, j'étais mineure a l'époque et je n'avais pas froids aux yeux... Avec le temps je m'étais presque assagie... enfin presque j'étais toujours une fonceuse même en réfléchissant. Je filais ouvrir la fenêtre de ma chambre pour faire rentrée la douce brise qui flottait dans l'air. Tout en attendant mon mari qui restait a la porte je déposais mon sac a dos a coté du lit, sur lequel je m'asseyais afin d'enlever mes rangers et mes chaussette, je retroussais mon jean histoire de laisser respirer mes pieds et mes chevilles. Je me penchais vers mon sac a dos pour attraper mes cigarettes et mon briquet. Je relevais la tête ne sachant pas ce que Mat comptais faire ou non.
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Mat Dursley
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyLun 27 Avr - 20:51

Téodora me regarda et je lus dans son regard de la compréhension, de l'appréhension et de l'amour. Le vrai, le seul, celui qui méritait que l'on affronte tous les dangers, toutes les peurs, toutes les menaces.
En tous les cas, ce n'était pas forcement ce que je ressentais mais c'était ce que mon cerveau me disait, ce dont il se souvenait.

Elle me prit la main et c'est ainsi que nous nous dirigeâmes vers le salon qui allait nous accueillir pour le repas.
- Mangeons je crois entendre un ventre gargouillé, dit Phoebe lorsque nous fûmes installes. Je me tournais alors vers Téodora tandis qu'elle répondait à notre hôtesse tout en souriant comme une enfant qui se serait fait prendre avec la main dans le peau de confiture.

- Pardon, c'est moi, mon estomac commence avoir quelques interrogations sur quand est ce qu'il vas avoir le droit lui aussi a un peu de considération de ma part.
- Téodora a toujours été un ventre sur patte. Elle avait cette réputation à Poudlard. Il y avait même des paris que ce qu'elle pourrait avaler lors des banquets !
- Et pourtant, dit Phoebe, on se demande où elle met tout cela. Vous êtes si mince ma chère, termina Phoebe en la regardant.

C'était vrai qu'elle avait maigri, je n'avais pas fais attention mais maintenant qu'elle le disait, je la regardais différemment.

Lorsque les plats furent là, nous les attaquâmes avec envie. Nous discutâmes calmement. Phoebe nous raconta un peu de ses souvenirs et de ceux de Sylvius ainsi que de sa vie d'avant, lorsqu'elle était une jeune sorcière qui traquait les démons et les sorciers noirs avec ses 2 grandes sœurs.

A la fin de repas, il était déjà tard et il était plus que temps d'aller se reposer avant que nous ne partions en chasse. J'avais conscience que c'était peut-être la dernière vraie nuit de sommeil que nous aurions.

- Si vous ne voulez par partir trop tard, il serait temps que je vous emmène vers vos chambres, dit Phoebe sans donner son sentiment sur cette drôle de situation. Jeune gens je vous souhaite une bonne nuit. Nous nous reverrons avant votre départ tout à l'heure termina-t-elle avant de partir dans un balai de froufrou.

Nous nous retrouvâmes alors un peu bête devant la porte de nos chambres. Elle se faisait face. Je ne savais pas trop ni quoi dire, ni quoi faire, ni comment m'y prendre pour dire bonne nuit à celle qui était ma femme mais sans vraiment l'être au fond depuis maintenant plus d'une année et demi.

- Je te souhaite une bonne nuit Matti, finit pas dire Téodora après ce petit moment délicat. Merci d'avoir demander à Pheobe deux chambre pour cette nuit, je crois que je ne suis pas encore tout as fais prête a ce que l'on fasse lit commun...
- A mon avis mon gars, tu n'es pas prêt de retoucher ta femme, dit ma conscience. Bon en même temps, comme tu ne t'en souviens pas et que tu sais plus comment faire, tout va bien ! Cela ne te manquera pas.
- La conscience, tu est vraiment incroyable ! Il y a des choses que ne s'oublient jamais.
- Enfin ça viendras peut être plus vite que je ne le pense, j'espère, continua Téodora sans se rendre compte que j'avais été mentalement absent. Et merci de ne pas lui avoir parler de la vraie raison du pourquoi on fais lit a part.
- C'est normal mon amour. Je me suis dis que tu voulais garder cela pour toi et que tu en parlerais quand tu le voudrais.

Elle secoua simplement la tête puis reprit la parole.
- Dors bien tu en as besoin, dit-elle en déposant un baiser sur mes lèvres. Baiser auquel je répondis. Ses lèvres étaient douces et surtout elle ne sentait pas encore le tabac, cette foutue drogue qu'elle avalait en quantité non négligeable. Il faut que je lui en parle à l'occasion, me dis-je.

Alors qu'elle allait entrer dans la chambre, elle se retint au chambranle et se retourna de nouveau vers moi.
- Ah ! Peut-tu me passer le grimoire avant de partir je voudrais le feuilleter... Ou alors tu veux peut être qu'on le fasse ensemble avant de nous coucher ? termina-t-elle en entrant dans sa chambre et en me laissant seul coit.

Après avoir repris mes esprits, je rentrais dans ma chambre afin de déposer ma baguette puis je rentrais dans sa chambre afin de la rejoindre. Elle était toujours là et semblait m'attendre. Elle avait relevé son pantalon et tenait à la main son paquet de cigarette.
- Voilà une habitude, dont tu pourrais facilement te passer, lui dis-je simplement. Je me demande si il n'y aurait pas une potion ou une formule pour ta faire arrêter cette mauvaise manie moldu. Il y a pas mal de chose qui me manque dans ma vie d'avant mais pas celle là.

Téodora me regarda sans me répondre. Son regard ne me renseignait aucune sur ce qu'elle pensait de ce que je venais de dire. La connaissant, cela ne lui ferait rien. Whisky et clope, un mélange dangereux.
- Tu sais, pendant que nous serons là-bas, tu ne pourras peut-être pas fumer. J'espère que cela ne te rendra pas plus nerveuse, dis-je avec un sourire espiègle avant de venir m'assoir à la petite table que sa chambre comportait. J'y déposais le livre des ombres et je m'approchais d'elle.

- Tu sais tu peux encore changer d'avis mon amour ! Le livre est plus puissant dans les mains d'une femme mais il marchera quand même. Je posais ma main sur la sienne et l'attirais doucement contre moi. Je t'aime Téodora Lawrence Dursley !

Puis je m'écartais d'elle d'un pas, puis de deux.
- Demain nous devons nous lever tôt, je te laisse te reposer.
- Tu n'a aucune envie de la laisser ! Avoue, me dis ma conscience.
- Non, mais dans mon souvenir, elle est plus fragile qu'elle ne le montre.
- Et alors ?
- Et alors, elle décidera quand elle sera prête à revivre entièrement avec moi. Je ne ressens presque plus rien, j'ai encore des trous dans mes souvenirs mais de cela je suis sûr. Elle ne sera de nouveau mienne que si elle le veut, le souhaite et en m'en fait part. J'attendrais le temps qu'il faudra.

Je reculais alors jusqu'à la porte et prit la poignée dans la main.
- A demain ? dis-je en attendant une réponse.
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Teodora Lawrence
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyVen 1 Mai - 18:33

- Voilà une habitude, dont tu pourrais facilement te passer. Je me demande si il n'y aurait pas une potion ou une formule pour ta faire arrêter cette mauvaise manie moldu. Il y a pas mal de chose qui me manque dans ma vie d'avant mais pas celle là.

A ça je savais qu'il désapprouvait ma manie. Mais j'arrêterais de fumer quand je l'aurais décider. Je le regardais sachant que son expression d'opinion sur la cigarette n'étais pas encore terminer...

- Tu sais, pendant que nous serons là-bas, tu ne pourras peut-être pas fumer. J'espère que cela ne te rendra pas plus nerveuse. J'haussais les épaules sachant petinement que je saurais presque prendre sur moi... J'étais devant la porte fenêtre sur le petit balcon entrain de terminer ma cigarette. Lui s'était assis a la petite table et y avait déposer le livre. Me trouvant surement trop longue il vint vers moi, je lui fis une place sur le balconnet ou il reprit la parole.

- Tu sais tu peux encore changer d'avis mon amour ! Le livre est plus puissant dans les mains d'une femme mais il marchera quand même. je le regardais mais avant que j'ai pus exprimer mon refus catégorique, j'écrasais ma cigarette et il m'atiras doucement pour me prendre dans ses bras, doucement pour que je m'habitue et que je me prépare surement à ses bras autours de moi. Je t'aime Téodora Lawrence Dursley !

- Moi aussi je t'aime Matti. lui dis-je dans un soupir tout en posant la tête contre son torse. C'étais... réconfortant, agréable, confortable d'être entre ces bras. Il s'écartas de moi... et je ressentis comme de la frustration, oui c'est ça, que ce câlin ne dure pas plus longtemps.

- Demain nous devons nous lever tôt, je te laisse te reposer. A demain? Me dit il sur le pas de la porte de ma chambre.

- Oui, a demain. Dors bien toi aussi !

Après son départ, j'enfilais un tee-shirt avec un short de nuit et m'affalais sur le lit à plat ventre après avoir attraper le grimoire que Matt avait déposer sur la table. Bon alors, Phoebe nous avait dis que le grimoire s'ouvrirais sur ce à quoi on pensais. Directement alors que je ne m'étais pas encore préparer et le grimoire s'ouvrit sans que je n'ai pas eu le temps de dire ouf que déjà il s'ouvrait sur la page d'une potion pour oublier ce qui nous chagrine... Je pense que les potion on en as déjà assez les frais comme ça ! Tous de suite après comprend qu'il avais fait fausse route il repartis sur un philtre d'amour... je lisais par curiosité n'ayant pas besoins de ce filtre ayant déjà un mari que j'aimais. L'auteur de ce philtre n'était autre que notre hôtesse. De ce que j'avais pus entendre dire. Elle avais eu beaucoup de déboire amoureux dans sa folle jeunesse.

*Bon Teo' tu vas peut être arrêter de faire mumuse et te concentrer sur votre priorité a Mat et toi? A savoir votre mission* Oui, oui ça va la rabat-joie !! On peut même plus s'amuser. Je me concentrer alors sur mes pensées essayant de gérer la bataille ui faisait rage dans mon cerveau, je me recentrais sur moi même, réfléchissant au futur de notre mission et à ce que nous devions découvrir, des informations sur Seth, sur les Valars. Je sentis un courant d'air douter mon visage. quand je rouvris les yeux, je pus voir que le grimoire c'était ouvert sur une nouvelle page. Pour titre elle avait: "Les Valars" Certaines indications y était, elle expliquais ce qu'étais les Valars, des êtres d'une puissance supérieur, au nombre de 14 il avaient tous un domaine de prédilection, il parlait aussi de différents lieus dont je n'avais jamais entendue parler... Mais on en apprendrais peut être plus sur ces êtres la bas que dans les différentes bibliothèques qui croiseraient notre route.

j'attrapais ma baguette et m'exclamais *Accio carnet* pour pouvoir écrire ce que j'avais pus découvrir... Je me levais allant me mettre sur le balcon j'allumais une cigarette, réfléchissant au donner que je venait de recueillir. Il fallait que j'en parle a Mat... Mais il devait se faire tard... N'empêche s'était important et puis tant que je ne lui en aurais pas parler je ne pourrais pas fermer l'oeil. Sans chercher a regarder  l'heure tardive qu'il devait être et après avoir tous relater dans mon petit carnet, j'attrapais le livre ouvrit doucement la porte de ma chambre pour ne pas réveiller toute la maisonée et me faufilais  en trombe dans la chambre de Mat, qui avait l'air de dormir. Je ne pus m'empêcher de le regarder. Il était beau, quoi que, peut être un peu plus frêle qu'avant mais toujours aussi beau. Son torse nu était découvert par la couverture, ses cheveux blonds lui retombait délicatement sur le visage. Je m'installais à ses côtés et lui dis:

- Mat, chéri ! Réveil toi, j'ai trouver des supers infos dans le livre des ombres ! Regarde ! J'ouvrais le livre des ombres sur l'oreiller ainsi que mon calepin et commençais  lui expliquer ce que je venais de trouver.

- De ce que le livre dis il y avais 14 valars, Melkor a été bannis et n'as depuis plus porter ce nom la car il voulait régner et asservir le peuple. Ils ont vécu dans des villes au noms étranges comme Belegaer entre Aman et la terre du milieu aussi appeler Endor. Tu sais ou ça ce trouve toi ?! je n'en ai jamais entendus parler pour ma part. Ils avaient tous des pouvoir spéciaux en dehors de Melkor qui lui les avaient tous par petit morceaux Enfin bref. On as potentiellement l'endroit ou on doit aller maintenant non ? Enfin si tu sais ou ces endroits ce trouve. Dis-je en lui souriant.
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Mat Dursley
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptySam 2 Mai - 21:59

- Oui, a demain. Dors bien toi aussi !

Je le regardais encore une dernière fois. Avais-je envie qu'elle me rappelle, envie de ne pas partir ? Je ne saurais le dire.

Je fermais la porte sans me retourner et je rentrais dans ma propre chambre. Elle me paru froide et sans âme.
- Comme toi ! me dit ma conscience.
- Oui ! mais en ce moment, vu la fureur, la guerre, les morts et le reste, finalement la conscience, je me dis que ce n'est pas plus mal. AU moins, je ne souffre pas.
- C'est une manière de voir les choses. Et si c'était Téodora à qui il arrivait quelque chose ?

Au fond de moi, je connaissais la bonne réponse. Je ne sais pas si je le ressentirais mais je savais que je serais dévasté, anéanti. J'avais survécu une fois à sa disparition mais je savais que je ne survivrais pas à une seconde. Je le sentais !

Une fois dans la suite que Phoebe m'avait attribué, je me mis complétement nu. Sur le côté de mon ventre, je regardais la cicatrice que m'avait laissé la bataille de Poudlard. Elle m'avait rappelé que nous les sorciers nous n'étions pas des immortels et que mes frères moldus pouvaient nous blesser. Je soupirais car une pointe de douleur se fit sentir. Je partis dans la salle de bain puis prit une douche froide avant de retourner dans la chambre. Je fis voler mon caleçon de nuit puis l'enfilais et me mit au lit.

Nous devions nous lever tôt et je devais dormir mais je n'y arrivais pas. C'était la première fois que je dormais si proche de ma femme et le fait de ne pas pouvoir la tenir dans mes bras me perturbait. Et puis je commençais à réaliser ce qu'elle m'avait avouer, ces viols qu'elle avait dû subir. Quelque chose remua en moi : de la colère ? de l'amertume ? de la tristesse ? je ne saais pas, ma seule certitude je l'aimais.

C'est sur cette pensée que je finis par m'endormir.

- Mat, chéri ! Réveil toi, j'ai trouver des supers infos dans le livre des ombres ! Regarde !
Elle ouvrit le livre des ombres sur l'oreiller ainsi que son calepin et commença à m'expliquer ce qu'elle venait de trouver.
- Hein ! Quoi dis-je encore mal éveillé. Qu'est ce que tu.....mais je n'eus pas le temps de terminer ma phrase, Téodora enchainait.

- Hé mec, me dit ma conscience, elle est forte la petite, elle se pointe dans ta chambre et toi tu dors comme un bébé. Heureusement que ce n'est pas un de ces tarés qui t'a presque tué.
- Rien d'anormal, c'est Téa, mon âme est en paix.
- Essaie de rester concentré quand même me dit la conscience car elle est toujours aussi bandante dans son petit short moulant et son tee shirt !

Je mis ma conscience en sourdine et attroupait mes pensées pour arriver à la suivre tout en essayant de ne pas trop regarder l'échancrure de son tee shirt qui bien que différent d'un autre avec lequel j'avais souvent dormi durant son absence pouvait me troubler.

- De ce que le livre dis il y avais 14 valars, Melkor a été bannis et n'as depuis plus porter ce nom la car il voulait régner et asservir le peuple. Ils ont vécu dans des villes au noms étranges comme Belegaer entre Aman et la terre du milieu aussi appeler Endor. Tu sais ou ça ce trouve toi ?!

- Non ! fut tout ce que j'arrivais à placer car elle était déjà repartie comme si je n'avais rien dis.
- Je n'en ai jamais entendus parler pour ma part. Ils avaient tous des pouvoir spéciaux en dehors de Melkor qui lui les avaient tous par petit morceaux Enfin bref. On as potentiellement l'endroit ou on doit aller maintenant non ? Enfin si tu sais ou ces endroits ce trouve. Dis-elle en me souriant comme si elle se rendait enfin compte de mon existence.

- Téodora, tu sais quelle heure il est ?
dis-je tranquillement car c'était la seule réponse que me vint alors.
Elle me regarda avec son air de biche et me fit oublier ce que j'allais dire.
- Montre moi ton carnet que je lise tes notes.

Elle avait trouvé pas mal d'infos intéressantes. Certaines que je connaissais car je les avait déjà lu dans d'autres livres mais certaines inconnues comme la référence à l'ile dont elle parlais.
- Sylvius et moi avons connaissance de certaines légendes mais je ne savais pas pour Endor. C'est intéressant mais ce n'est pas Melkor que nous chassons, c'est Seth. Ce n'est pas un Valar donc nous pensons qu'il n'a pas accès aux lieux où se sont retranchés les Valars. Si tant est qu'ils existent toujours mon amour. Par contre, les îles sont tu parles sont intéressantes car ce serait potentiellement un lieu que Seth aurait pu investir. Allons d'abord en Egypte dans l'ancien repaire de Melkor, si nous ne trouvons rien ce sera une piste qu'il faudra qu'on suive. Et puis on trouvera peut-être quelque chose qui en parle. Après tout le repaire où nous allons était à Melkor, il a peut etre laissé des trucs qui parlent de ses autres planques ! Super travail mon amour.

Je me redressais et je me rendis compte que j'étais toujours torse nu. Je ne voulais pas troubler Téodora alors j'nformulais un sort Accio afin de faire venir mon tee shirt jusqu'à moi et je le mis prestement.

Ensuite je me relevais et je la regardais.
- C'est une bonne information Téodora mais cela pouvait attendre demain matin tu ne crois pas ? lui demandais-je simplement avec un petit sourire.


Je n'attendis pas sa réponse et fit les 100 pas comme lorsqu'une pensée m'obnubilait.
- Demain dès le réveil, on fait nos adieux à Phoebe, on envoi un hibou pour prévenir Sylivius et on fonces vers l'Egypte. Un ami nous attends au Caire. De là, nous pourrons rejoindre le repaire de Melkor. Je ne veux pas transplaner directement là bas. Allez fonce te recoucher, demain il faudra être en forme.
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyLun 4 Mai - 18:59

Après avoir terminé ma longue tirade, je l'avais regarder, il avait les yeux encore tout embuée du sommeil du quel je l'avais tiré. Ce qu'il me fit remarquer d'ailleurs.

- Téodora, tu sais quelle heure il est ?

*Oupsi... T'abuse pa sun peu de réveiller les gens à une heure pareille toi?* Oui mais si je ne lui en avais pas parler, jamais je n'aurais pus fermer l'oeil... Je lui fis mon plus beau sourire en ouvrant de grands yeux. Admettant avec mon expression facial ma bêtise... Il repris alors un peu perturbé.

- Montre moi ton carnet que je lise tes notes.

Je lui tendit le précieux carnet de notes qu'il lut attentivement pendant que je le regardais tranquillement. Il avait cet air concentré qui me plaisait tant chez lui et qui m'avais fais craquer dès la première colle qu'il m'avait mise. Et puis il était torses nus... Au début j'eu du mal a le regarder mais ce fut plus fort que moi, je ne pus m'empêcher de le regarder, enfin de le détaillée. Ses abdimaux étais dessiné sans être non plus trop proéminent, les muscles de ses bras était toujours présent, le souvenir de ses moments ou il m'enlaçais étais si doux, il me remplissait d'une certaines chaleurs. Une chaleur que je n'avais pas ressentis depuis bien longtemps. Mes yeux firent une halte sur sa cicatrice. Celle qui avait été faite lors del bataille de Poudlard, le jour ou ma vie avait basculé et ou la sienne aussi. Nous étions à des kilomètres de nos personnalités, de qui nous étions un an plus tôt. Serions-nous capable de nous retrouvé à nouveau ensemble comme nous l'avions été auparavant, si complice émotionnellement, psychologiquement intellectuellement et physiquement ? Mon instincts me soufflait que oui...

- Sylvius et moi avons connaissance de certaines légendes mais je ne savais pas pour Endor. C'est intéressant mais ce n'est pas Melkor que nous chassons, c'est Seth. Ce n'est pas un Valar donc nous pensons qu'il n'a pas accès aux lieux où se sont retranchés les Valars. Si tant est qu'ils existent toujours mon amour. Par contre, les îles sont tu parles sont intéressantes car ce serait potentiellement un lieu que Seth aurait pu investir. Allons d'abord en Egypte dans l'ancien repaire de Melkor, si nous ne trouvons rien ce sera une piste qu'il faudra qu'on suive. Et puis on trouvera peut-être quelque chose qui en parle. Après tout le repaire où nous allons était à Melkor, il a peut etre laissé des trucs qui parlent de ses autres planques ! Super travail mon amour.

JJ'avais omis certains détails et en avait mis d'autre presque inutile mais c'étais la loi des recherches. Mes compétences de serdaigle était une nouvelle fois utiles mais ça nous l'étions tous les deux. Il enfilas un tee-shirt ce qui m'attristas fortement, j'aurais apparement eu envie de continuer de le contempler. Ce qui me surprit moi même. Du côté de mes envies et de mes penser a ce niveaux là c'étais soit calme soit juste horrible et la je retrouvait une sensation presque agréable... C'était étrange comme sensation... Puis il reprit:

- C'est une bonne information Teodora mais cela pouvait attendre demain matin tu ne crois pas ? Je baissais le regard en secouant la tête pour affirmer que non ça ne pouvait pas attendre. Il se leva et commençais à faire les cents pas. Quand il commençait à faire ça je savais ce que ça signifiait... Son cerveau fonctionnait a toute allure puis me faisant face il me dis:

- Demain dès le réveil, on fait nos adieux à Phoebe, on envoi un hibou pour prévenir Sylivius et on fonces vers l'Egypte. Un ami nous attends au Caire. De là, nous pourrons rejoindre le repaire de Melkor. Je ne veux pas transplaner directement là bas. Allez fonce te recoucher, demain il faudra être en forme.

Je fis une moue résigner, son ton n'appelais pas de contradiction et puis il avait plutôt raison, il fallait que je dorme sinon demain je ne serais pas d'une grande utilité dans nos recherche. Pour la première fois depuis mes explication j'ouvris a nouveau la bouche:

- Bon, très bien, je vais me coucher, garde le livre des ombres sinon jamais je ne réussirais à m'endormir, et puis non les informations ne pouvait pas attendre, on aurait pus découvrir un autre lieu ou commencer nos recherches même si ce n'est pas le cas. Si je comprend bien le plan d'attaque de demain on file au file au Caire en transplanant pour retrouver ton contact et après on rejoints l'ancien repaire de Melkor par la voie terrienne? Ok. Ça me va ! Bon j'y vais maintenant ! Rendors toi bien.

Je lui volais un baiser, récupérais mon carnet et filais dans ma chambre. Après avoir lu quelque page de mon livre et fumer une cigarette dans l'air frais du balcon je rentrais a l'intérieur et me glissais dans mon lit au draps frais et doux ou le sommeil ne tardas pas a m'accueillir dans le creux de ses bras.

Je me réveillais sans me souvenir de mes rêves mais apparement mon sommeil avait été agitée, j'étais enroulée dans les bras, la tête au pieds du lit, l'aube commençait à poindre le bout de son nez. Je me levais en m'étirant, ouvrant la fenêtre Rome allait avoir une belle journée, en espérant qu'il ne fasse pas trop chauds en Egypte.

Je disparus dans la salle de bain attenante a ma chambre attrapant des sous-vêtements dans mon sac a dos au passage. Je filais sous la douche tout en réfléchissant à comment j'allais m'habiller pour partir en Egypte. Si je m'habillais avec ma panoplie habituelle j'allais être remarquée et puis j'allais mourir de chaud aussi *Bon déjà les rangers on vas les rangers pour quelques jours Teo* Pour une fois on est d'accord et les jean et pull noir aussi. Une fois sortis de la douche, crémé et en sous vêtement je parti dégotter mon jean bleu ciel avec une chemise blanche ample pour laisser de l'air passer ce serais parfait, des converses pour pouvoir marcher sans avoir trop chauds. J'ébourriffais mes cheveux encore mouiller et descendais rejoindre Pheobe qui était déjà attablée devant un petit déjeuner copieux.

- Bonjour ma chère, vous avez bien dormi? J'espère que vous n'avez pas veiller trop tard.

Je lui souris, tout en avouant:

- Bonjour. Très bien merci et vous ? Un petit peu, vous savez ce que c'est non ? la soif d'apprendre. Il ne faut pas me mettre de livre entre les mains sinon je peux y passer ma journée si je ne me retiens pas. Mat le déplore parfois d'ailleurs. Je suis imperturbable quand je lis quelques chose qui m'intéresse, c'est a dire presque tous. Ça l'air délicieux tous ce qu'il y a sur la table !

- Je comprends moi même j'adore, encore aujourd'hui apprendre. Je suis sur que le livre vous aideras mais Teodora n'oubliez pas de dormir pour autant n'est ce pas. Thé ou café?

- Café s'il vous plait, oh vous pouvez remplir toute la tasse j'en fais une grande consommation vous savez...

Le départ était proche, j'avais hâte de commencer, de rentrer entre plus dans le vif du sujet dans apprendre plus sur la personne qui nous combattions. Et je dois l'admettre j'avais aussi hâte d passer plus de temps avec mon mari, qui c'est peut être que la potion qu'il avait ingurgité l'avais déridé un peu et que je ne le savais pas. En tous cas il était toujours aussi buté et autoritaire ça c'était indéniable et il me l'avait encore prouvé la veille au soir.

J'avais boucler mon sac a dos dont j'avais transformer l'apparence pour ne pas qu'il dénote avec la tenue que j'arborais. heureusement que la magie existait et que je pouvais l'élargir a l'infinis... Tout ma vie ce trouvais dans un ridicule petit sac ainsi que toute ma garde robe. N'étant pas très coquette je n'avais pas non plus la garde robe d'une princesse mais seulement de quoi tenir quelque semaine sans faire une lessive enfin sans avoir besoins de recourir a la magie pour que mes vêtements soient propre.

Ce en fut qu'après avoir engloutis un yaourt mélanger a différentes sorte de fruits rouge que Mat fis son entrée.

- Salut ! Tu as bien dormi? lui demandais-je un sourire espiègle au coins des lèvres tout en avalant une gorgée de café noir. l'ayant réveiller je ne savais pas trop si il avait réussis a se rendormir correctement après mon départ.
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Mat Dursley
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyMer 6 Mai - 21:22

J'avais envie de rire devant la mine que fit Téodora. Elle avait la tête du petit enfant qui ne voulait pas aller se coucher pour attendre le père noël ou une surprise.
Je ne laissais rien paraître, il ne fallait pas que je lui laisse entrevoir une quelconque faille sans quoi elle s'y engouffrerais.

- Bon, très bien, je vais me coucher, garde le livre des ombres sinon jamais je ne réussirais à m'endormir.
- Je suis content de te l'entendre dire.

Elle me regarda ensuite avec un petit air de défi.
- Et puis non, les informations ne pouvaient pas attendre. On aurait pus découvrir un autre lieu ou commencer nos recherches même si ce n'est pas le cas. Si je comprend bien le plan d'attaque de demain : on file au file au Caire en transplanant pour retrouver ton contact et après on rejoints l'ancien repaire de Melkor par la voie terrienne ?

Je secouais la tête pour lui faire comprendre qu'elle avait bien saisi ce que je venais de lui dire.
- Ok. Ça me va ! Bon j'y vais maintenant ! Rendors toi bien.

Elle s'approcha et m'embrasse. Je lui rendais son baiser puis elle reprit son carnet et fila comme elle était venu. Je poussais un soupir car j'aurais aimé qu'elle reste.
- C'est clair, me dit ma conscience, tu voulais rattraper le temps perdu !
- C'est pas trop le moment non ! lui retorquais-je.
- Ah oui, tu aurais voulu quoi alors ?
- Juste la serrer dans mes bras et qu'elle s'y endorme comme nous l'avons si souvent fait par le passé, lorsque nous bravions les interdits pour avoir des moments ensemble.

Ce petit moment derrière moi, je me levais. Je fis quelques mouvements car mon côté me faisait mal comme chaque nuit. Les douleurs étaient de plus en plus violentes mais Jane m'avait prévenu que c'était normal et qu'elles finiraient pas passer. Je me déplaçais vers mon sac et avalait un cachet de morphine. Un ami moldu m'avait fait une ordonnance à ma sortie de St Mangouste. La magie faisait des miracles mais pas tout et le fait d’être né moldu offrait des avantages. Je ne pouvais plus m'en passer, ils me permettaient de dormir normalement.

Je pris aussi la pochette qui s'en trouvait en en sortie le tee shirt que Téodora m'avait laissé il y a presque 10 ans maintenant lorsqu'elle m'avait laissé seul pour notre première vacances après que nous ayons franchi le pas. Je le regardais et le rangeais tandis que je sortais les lettres qu'elles m'avaient écrits. Je le faisais souvent car les mots me permettaient de me souvenirs et j’espérais qu'elles feraient revenir d'autre chose.

Je sentis le sommeil revenir en même temps que la douleur s'estompaient. Je me rallongeais et le sommeil me prit sans que je m'en rende compte. Lorsque je me reveillais, je ne sais pas combien de temps s'était écoulé. Je me levais et regardais l'heure : 5h.

- Parfait, l'aube se lève à peine, me dis-je.

J'allais jusqu'à la fenêtre et les ouvrit doucement. L'air frais me frappa le visage et termina de me réveiller. Les derniers effets du sommeil étaient partis. Je ne me sentais plus de tout las, l'air de Rome avait toujours eu cet effet là sur moi.

Après une douche, j'enfilais mon pantalon de coton. Celui qui comportait de multiples poches mais surtout une glissière qui courrait le long de la jambe et qui me permettait d'y mettre ma baguette. J'enfilais un tee shirt couleur crême pour éviter les grosses chaleur de l'Egypte. Une paire de chaussure de marche et ma casquette. Ma paire de lunette de soleil fut rapidement mit dans l'échancrure du tee shirt. J'étais prêt alors je passais le sac sur mon épaule et descendis les marches qui menaient vers le pallier.

En bas, je pris la direction de la cuisine. Personne ne s'y trouait alors je poursuivis vers le salon où la femme de ma vie et Phoebe se trouvaient. Elles étaient entrain de discuter tranquillement comme deux vieilles connaissances. Il faut dire que Phoebe faisait souvent cet effet là sur les gens, elle avait ce talent.  Comme il était dommage qu'elle se soit retirée du monde magique par amour tout d'abord puis protéger sa famille.

- Salut ! Tu as bien dormi ? me demanda Téodora en se rendant compte que j'étais là.
- Superbement ! Comme un loir, répondis-je sans relever le ton qu'elle avait mit sans sa réplique. Bonjour Phoebe ajoutais-je en venant déposer un baiser sur sa joue avant de m'approcher de ma femme pour l'embrasser.
- Un déjeuner Mat ou tu continue de ne rien prendre le matin ? me demanda Phoebe.
- J'ai un peu changé mes habitudes et puis je ne sais pas quand nous allons manger la prochaine fois.

Je m'assis alors et d'un petit coup de baguette je fis venir le café noir et m'en versais une grande tasse. J'attrapais ensuite le pain français qui se trouvait sur la table et me préparais des tartines.

Les filles continuaient de parler tandis que je mangeais tranquillement en pensant à notre mission. C'est alors que je me concentrais sur ma femme. Son jean bleu et son chemisier blanc me rappelait des souvenirs. Je fronçais les sourcils et je les creusais. Notre premier rendez-vous refit surface et je fus parcouru de frissons. Pas de peur mais de plaisir. C'était comment dire, plaisant. Je secouais la tête et me replongeais dans la mission.

- Phoebe, nous allons vous laisser car je voudrais que nous arrivions avant les grosses chaleurs au caire. J'aimerais y faire deux ou trois courses dans un endroit que je connais afin de me procurer des objets qui pourraient nous être utile dans notre mission.

Cette dernière me regarda sans sourire. Elle hocha la tête et se leva.
- Je comprends mais tu vas encore devoir attendre deux minutes, j'ai quelque chose pour toi.

Téodora me regarda m'interrogeant du regard, mais je hochais les épaules car je ne voyais pas ce que Phoebe pouvait me donner.

- Tu es prêtes, demandais-je à Téodora.

Elle n'eut pas le temps de répondre, Phoebe revenait déjà.
- Tiens, me dit-elle en me tendant un paquet.

Je l'ouvrais et découvrit la cape de mon oncle Harry.
- Mais, mais comment ?
- C'est arrivé hier avant ton arrivée. Il y avait un mot pour moi et un mot pour toi, tiens.

Je pris l'enveloppe et la lu. Elle venait d'Harry et celui-ci m'expliquait que la cape d'invisibilité de sa famille pourrait m'aider et qu'il me la confiait. Je fus très touché par ce geste et je la repliais délicatement avant de la remettre dans mon sac.

- Sacré Harry, dis-je dans un soupir.
- Pour une fois que ce n'est pas lui qui sauve le monde, me répondit Phoebe.
- C'est vrai !

Je me tournais alors vers Téodora.
- Mon amour, c'est le moment.

Nous nous levâmes et nous dirigeâmes vers la porte suivie par Phoebe. Un dernier au revoir et nous étions dans le passage qui nous ramenas vers la place. Quelques minutes de marche et nous étions au colisée. Nous n'avions rencontré personne ou si peu que cela ne méritait même pas d'être raconté.

A l'abri des regards, je pris Téodora par la main, l'embrassais et entamais mon mouvement de départ. un petit plop et dans l'instant nous arrivâmes à l'endroit où je voulais arriver : l'un des souks du caire. Là, où je savais pouvoir trouver des armes à feu.
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Teodora Lawrence
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyDim 10 Mai - 22:25

Il vint me dire bonjour en m'embrassant sans relever mon sarcasme, un des super pouvoir de mon mari, ne pas relever mes sarcasmes permanent sinon il savait qu'il n'avait pas terminer d'en entendre parler et aussi que je me moque un peu de lui. Notre relation avait toujours été comme ça. Il se moquait de moi et de mon art innée des potions et moi je me moquais de sa faculté à se détendre a tous moment et de profiter de l'instant présent, mais toujours avec bienveillance et drôlerie. C'est comme ça que nous avions réussis à rendre notre couple solide.

Tout en continuant de discuter avec Pheobe je regardais Matti du coins de l'oeil. Il avait troquer sa robe de professeur de potion pour un pantalon en coton ample qui je dois dire lui allais parfaitement, et son tee-shirt qui lui saillait parfaitement. Il était beau dans cette tenue. Cela me rappelais nos escapade en montagne et nos week end a nous baladée dans les jardins et les forêt qui bordait Poudlard. Il picorait mais il n'y avait rien d'étonnât, il ne mangeait rien avant son accident le matin, ce que je lui reprochais d'ailleurs... En même temps à côté de moi c'était compliquer de rivaliser question nourriture. Les fruits était devenue mon régime alimentaire favoris... après mon bol de yaourt avec fraise et framboise je m'étais attaquer a une part de melon accompagner de jus de pamplemousse en plus de mon café et de mes tartine de beurre demie-sel... Une vieille habitude d'Auror. Je ne savais quand allait être mon prochain repas alors je faisais le plein pour éviter à mon estomacs de se faire entendre avant au moins dix bonnes heures. Lui grignotait tranquillement, plonger dans ses pensées. Puis il revint a lui apparement car il dit:

- Phoebe, nous allons vous laisser car je voudrais que nous arrivions avant les grosses chaleurs au caire. J'aimerais y faire deux ou trois courses dans un endroit que je connais afin de me procurer des objets qui pourraient nous être utile dans notre mission.

Je bénis sont idée, la chaleur écrasante dont on m'avais parler était compliquer à gérer en égypte mais avant que nous nous levions, Pheobe avec un air sérieux qui ne lui était pas forcement habituel nous dis:

- Je comprends mais tu vas encore devoir attendre deux minutes, j'ai quelque chose pour toi.

Je me tournais vers mon mari l'interrogeant du regard mais il haussa les épaules ne sachant ce que nous préparait notre hotesse. Quelques secondes plus tard il me demandas si j'était prête a partir, je lui montrais le petit sac, le chapeau et les lunettes de soleil qui était accrocher au dossier de la chaise avant d'ajouter... Rien du tous car Phoebe revint un paquet dans les mains qu'elle déposais dans les mains de Matti. Je me levais et m'approchais de mon mari afin de voir ce dont il sagissait.

Nous découvriment ensemble la cape d'invisibilité d'Harry Potter, l'oncle de Matt. Il lut la lettre qu'il lui était adressée pendant que j'attrapais mon sac, mon chapeau et mes lunettes de soleil, j'avais toujours fais ça, m'écarter quand il lisait une lettre, ça ne me concernait pas alors je n'avais pas a rester au dessus de son épaules et épier ce qu'on pouvait lui écrire.

- Sacré Harry s'exclama-t-il sur un ton enjoué, que je n'avais pas entendu depuis bien longtemps ce qui me fit sourire et comme si mon corps n'était attendu que ça, se ton déferla en moi un sentiment de bien être. C'était soudain et étrange, mais très agréables.

- Pour une fois que ce n'est pas lui qui sauve le monde, dit Pheobe, j'acquiesçais ses dires tous comme Mat le fit quelques instant plus tard.

Les yeux de Mat trouvèrent les miens et il me dit:

- Mon amour, c'est le moment.

- A nous l'egypte et les épices mon cheri ! Merci pour tous Pheobe. Portez-vous bien. lui dis-je lors de notre étreintes d'aurevoir.

Après avoir passer la porte de la demeure de Pheobe nous nous retrouvions dans le dédale de passage et de ruelle qui nous menèrent au colis la ou j'étais arrivée la veille. Il me prit la main, déposais un baiser sur mes lèvres et amorças le départ de notre expéditions.

Nous étions arriver en plein coeur du Caire, ou tous du moins une des ruelles du souk, des odeurs d'épices m'avait mis sur la voies. Je vérifiait ma tenue et les alentours, ma baguette était plaquer dans mon avant bras droit pour que je puisse l'avoir à n'importe quel moment, j'étais prête pour allez faire un tour au souk. Avant de partir j'embrassais Mat à pleine bouche avant de lui prendre la main pour l'entraîner a ma suite. Sachant pertinemment que dans les pays du moyen orient une femme tenant la main d'un homme était très mal vu je lui lâchait la main et commençait à marcher lentement regardant les étalages, je me tournais vers Mat lui demandant:

- Bon on commence par acheter quoi? Des épices pour donner un bon gouts a nos préparations? Ou peut être par acheter un tapis pour ta mère. Dis-je en riant. Je savais que nous aurions besoins de certaines épices qu'il y a ici et qu'on ne trouve pas en angleterre, il m'avait aussi dis que nous aurions besoins d'arme à feu. Je lui avais rétorquer qu'il aurait du me le dire avant qu'il m'en restait quelques une planquée a la maison. Enfin bref nous marchions dans le souk tranquillement nous arrêtant dans diverses échoppes pour acheter des herbes et des épices que  je mettais dans mon sac ne fois les avoir acheter et de manière discrète. c'était quand même suspect de pouvoir mettre autant de chose dans un si petit sac.

Nous avancions pour arriver devant la boutique d'arme... ce qui m'embêtait le plus je pense c'était que les femmes ni était pas autorisées... Je me serais bien pris une doses de polynectar seulement je n'en avais pas sous la main et je n'avais pas trois mois a patienter pour la fabriquer. Si je l'avais su plus tôt je me serais déguisée... Enfin peut être que les européenne ont le droit d'y mettre les pieds et si il n'est pas content, le vendeur, peut être qu'avec une ou deux gifles ça le tendras... Autant tenter le coup. Je savais que Mat avais lui aussi remarquer le petit panneau interdit au femme. Je lui lançais un regard de défi, qu'il essaye de m'empêcher d'aller choisir les armes qu'il nous fallait et... *ET quoi ? Tu ne vas quand même pas lui en coller une à lui aussi Teo* Non effectivement je ne vais pas le frapper faut pas déconner, je ne frappe pas mon mari. Non mais je lui ferais un scandale en plein souk qu'il ne sera pas près d'oublier.

C'est donc sans demander mon reste que je passais la porte du magasin.

 - Bonjour dis-je au vendeur avec un petit sourire. Est-ce qu'il vous serais possible de me montrer un M9, un G18, ce que vous avez comme chargeur pour allez avec. Ah oui et on voudrais deux gilets par balle, s'il vous plaît.

Il me regard avec un dédaigneux et me répondit:

- Tu sais pas lire poulette? Pas de femme dans mon magasin alors sors d'ici. On aura tous vus pas vrai mon vieux ! Une femme qui c'est tirer et qui en plus veux que je lui vende des armes. On croit rêver.

Je regardais mon mari, penchant la tête sur le côté, cet imbécile ne croyait quand même pas que j'allais sortir de ce magasins sans avoir ce que j'avais demander... Je comptais sur Mat pour ménager la chèvre et le chou, je savais que c'était un de ses super domaine de compétence moi j'était plus rentre dedans et fonce dans le tas...
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Mat Dursley
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyLun 11 Mai - 21:05

En avançant dans le souk, je me rappelais alors de ce que Téodora m'avait dit lorsque je lui avais dis que c'était le moment de partir.

- A nous l'Egypte et les épices mon chéri !


Ça, on pouvait dire qu'elle était servi. Nous étions entourés d'étale d'épice et de toutes sortes d'autres produit. En plein cœur du Caire islamique, il est délimité au sud par les mosquées Al-Azhar et Al-Hussein et au nord par la mosquée Al-Hakim, entre les deux portes Bab Al-Futuh et Bab An-Nasr dans l'enceinte construite en 1087 pour défendre la ville fatimide d'Al-Qahira appelé depuis le Caire.

Khan el-Khalili est un grand souk populaire vendant les produits de l'artisanat local auquel s'est ajoutée la vente de babioles. Tout autour du quartier des orfèvres, où se pressent les touristes, s'étend un réseau de petites rues commerçantes d'où les artisans n'ont heureusement pas disparu. Et parmi ceux là, bien caché se trouvait celui que je voulais voir, celui qui allait me fournir les armes dont j'avais besoin.

Alors que nous allions nous introduite dans le souk, Téodora m'embrassa et me prit la main.
- Hum ! mauvaise idée me dit ma conscience.
- L'Egypte et un pays plus libre que d'autre. On verra bien. Et puis, pour faire touriste, pas mieux que de se comporter comme tels.

Téodora ma la lâche, c'était-elle rendu compte de l'image que nous renvoyions ? Pourtant, je n'avais vu aucun regard inquisiteur. Il faut dire qu'il était très tôt, les cairotes n'étaient pas encore dehors.

- Bon on commence par acheter quoi ? Des épices pour donner un bon gouts a nos préparations? Ou peut être par acheter un tapis pour ta mère.
Dit-elle en riant.
- Oui et surtout n'oublions pas les chéchias pour nos pères ?

Elle savait parfaitement ce que nous allions acheter je lui avais dis mais elle ne pouvait pas s’empêcher de faire de l'humour sur tout et tout le temps et je savais que c"est ce que j'aimais chez elle, ce qui faisait la force de notre couple. Moi le sérieux taiseux et elle la sauvageonne pleine d'humour et de dérision.

Un étrange élancement se produisit là où était ma blessure mais il se transforma en chaleur qui était agréable. Une sensation nouvelle à inscrire sur le registre blanc de mes sentiments et de mes ressentis. A force, elle se remplissait, trop doucement mais de plus en plus rapidement au contact de ma femme. Pourtant, elle aurait des raisons de déprimer mais non, elle était forte, elle se ne laissait pas emporter par la vague. Et si c'était le cas, je serais là ! Elle avait besoin d'être réparé et je serais là pour cela puisque j'avais été absent lors de son traumatisme. Je ne ressentais toujours aucune colère mais j'aurais aimé avoir le tortionnaire qui lui avait fait cela. En y pensant, quelques potions me venaient à l'esprit que j'aurais bien essayé pour rire, ou pas.

Les ruelles du souk défilaient, nous les avalions les unes après les autres. Je m'arrêtais cependant en route afin d'acheter quelques ingrédients comme des herbes, ou des ingrédients rares qu'on ne trouvait qu'ici.

Arrivé devant la boutique que je cherchais, je prévins Téodora.
- C'est ici ! Je vais rentrer seul ! Les femmes sont comment dire mal venu ici, lui dis-je en lui montrant le panneau où c'était clairement indiqué.
- Pfttt ! répondit-elle en haussant les épaules.

Je savais qu'elle me suivrais quand même et son regard en disait long sur sa détermination. Je décidais de la laisser faire après tout, peut-être qu'on rigolerais bien. Et puis, autant éviter un esclandre dans le souk, qui attirerait les regards alors que nous voulions être discret.

- Bonjour, dit-elle au vendeur avec son petit sourire de défi. Est-ce qu'il vous serais possible de me montrer un M9, un G18, ce que vous avez comme chargeur pour allez avec. Ah oui et on voudrais deux gilets par balle, s'il vous plaît.

- Tu sais pas lire poulette? Pas de femme dans mon magasin alors sors d'ici. On aura tous vus pas vrai mon vieux ! Une femme qui c'est tirer et qui en plus veux que je lui vende des armes. On croit rêver.

Téodora me regardait, penchant la tête sur le côté. Je lu dans son regard le fameux "aide moi, sinon je lui casse les dents". Bon en même temps, j'avais épousé une auror, il ne pouvait pas en être autrement.

- Alors la poulette, c'est ma femme ! commençais-je de lui dire avec un ton très calme. Et je croyais que les Cariotes avaient l'esprit plus ouverts que ça. L'accueil des étrangers laisse à désirer.
- Sayidi, sauf ton respect les femmes ne sont pas autorisé ici ! C'est la règle !
- Depuis quand ? demandais-je en retirant mon chapeau, mes lunettes et le Kéfié que j'avais entouré autour de ma bouche.
- Sayidi Dursley c'est vous ?!
- Oui ! Amir !
- Attendez ! Venez.

Le marchand nous attira vers son arrière boutique. Il tira le rideau et ne laissa qu'une fine ouverture devant laquelle il se mit afin de voir à l'intérieur de sa boutique et ainsi surveiller qui y entrait.
- Tu es devenu bien "intransigeant" Amir.
- Les temps changent Mat et je dois m'adapter si je veux garder ma clientèle.
- A ce point là ?
- C'est insidieux mais oui !
- Je croyais que l'Egypte devenait progressiste !
- C'est la cas mais certaines choses mettent plus de temps que d'autres à bouger.

Je hochais la tête, après tout ce n'était pas le but de ma visite et me tournais vers Téodora.
- Je te présente Amir ! C'est un membre moldu de la confrérie des reliques de la mort. Je t’expliquerais, dis-je en voyant qu'elle haussais les sourcils. Nous avons bâti un réseau ici après la chute de Melkor afin de surveiller les lieux et les gens qui l'accompagnaient. Ici la frontière entre le monde moldu et la sorcellerie est très fine et ceci depuis des millénaires. C'est pourquoi certains moldus sont au courant de notre existence. Ils ont fondé une société secrète qui nous aide depuis des millénaire.
- Pour vous servir, me coupa Amir.
- Non, pour nous aider ! Vous êtes nos amis, dis-je en portant les doigts vers mon front et en les avançant vers lui tout en m'inclinant.

Amir fit de même avant de s’incliner vers Téodora.
- En Europe, les forces du mal s'agite, un nouvel ennemi Seth s'est levé et la guerre fait rage entre moldus et sorciers.
- Une horreur, je suis au courant. Ici aussi, les choses se tendent. Nous surveillons cela de très proche.
- C'est le but de ma visite. Je voudrais aller dans le repaire de Melkor. Des choses nouvelles à son propos.
- Il est de nouveau habité ! Quelques sorciers mais beaucoup de non sorciers.
- Je m'en doutais d'où la question de ma femme sur les armes à feu.
- Hum, répondit Amir tout en même temps qu'il évaluait de façon différente Téodora. Se rendit-il compte de sa beauté ou de sa fine musculature qui montrait qu'elle entretenait son corps. Une ancienne auror j'imagine ?!
- C'est cela.
- J'ai les armes que demande la sayidati mais nos règles sont strictes Mat.
- Elles n'ont pas changé Amir mais Téodora ne les connait pas.

Je me tournais alors vers elle.
- Mon amour, entre la confrérie des reliques de la mort et la confrérie des frères de Maât, il y a une règle intangible, nous ne tuons pas de moldu sauf s'ils nous attaquent.

Je me tournais alors vers Amir.
- Prends exactement ce qu'à demandé ma femme mais avec des balles anesthésiante. Celles qui contient la potion que nous vous avons fait parvenir.
- Très bien Mat, et dites moi qu'avez vous l'intention de faire Sayidati ? dit-il en se tournant vers Téodora.
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Teodora Lawrence
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyMar 12 Mai - 14:31

Heureusement que mon mari était là... Je sentais ma main se serrer et ce desserrer pour éviter de la mettre directement dans le nez du vendeur... Cela ne nous aurait avancer a rien mais aujourd'hui me faire traiter de poulette me ramenais a de sombre souvenir dont justement je ne voulais me remémorer la simple parcelle ! Mat intervint alors sentant qu'il ne fallait pas trop me demander de supporter un macho en ce moment:

- Alors la poulette, c'est ma femme ! Et je croyais que les Cariotes avaient l'esprit plus ouverts que ça. L'accueil des étrangers laisse à désirer. Et c'était peu de le dire pensais-je.

- Sayidi, sauf ton respect les femmes ne sont pas autorisé ici ! C'est la règle ! renchérit l'homme qui nous faisait face.

Mes pensées était tellement forte que même Mat devait les entendres *Règles mon cul me dit ma conscience, on as jamais vu pareils macho... Ou bien si mais...* Tais-toi la conscience je ne suis pas sur que ce soit el bon moment pour y penser, enfin ce n'est jamais le bon moment donc essaye de planquer mes et tes pensées noir au plus profond de moi et s'il te plait ne les fais plus ressurgir inopinément. Je laissais Mat s'exprimer et garder la bouche close. Je savais que si je l'ouvrais on se ferais mettre dehors.

Apparement l'homme dont le prenons était Amir reconnus mon mari quand il découvrit son visage. Il devint tous de suite bien plus courtois envers moi et nous entrainas dans son arrière boutique, jetant de temps en temps un oeil au magasins principal. Ils échangentèrent quelques phrases pendant que je regardais un peu ce dont la boutique regorgeait. Je n'était une fan d'arme mais pour mon métier et par conséquent parfois et souvent pour mon salut j'avais été amené à en utiliser.

- Je te présente Amir ! C'est un membre moldu de la confrérie des reliques de la mort. J'haussais les sourcils en guise de questionnement et pour cela il crut bon de préciser: Je t’expliquerais. Nous avons bâti un réseau ici après la chute de Melkor afin de surveiller les lieux et les gens qui l'accompagnaient. Ici la frontière entre le monde moldu et la sorcellerie est très fine et ceci depuis des millénaires. C'est pourquoi certains moldus sont au courant de notre existence. Ils ont fondé une société secrète qui nous aide depuis des millénaires.

J'hochais la tête, comprenant quelque peu, pour le moment, attendant un peu plus d'explication de sa part par la suite. Amir crus bon de préciser que c'était pour nous servir nous sorcier. Il ne nous connaissait pas encore assez bien. Nous étions de grands défenseurs de la liberté et de non asservissement. Les moldus et les elfes de maison étais nos égaux comme toutes créature magique ou non magiques. Personne ne nous servais et Mat lui précisas. Il s'inclinas devant Amir, qui s'inclinas devant lui et par la suite devant moi. Je lui rendis son salut. et Mat continuas a parler et a expliquer a Amir ce qui était en train de ce passer en Europe en ce moment. L'Egyptien nous expliquas qu'ici aussi les forces commençait a s'agiter. Ce qui n'était pas très étonnant. Il nous appris donc après lui avoir fait savoir que nous comptions nous rendre dans l'ancien repaire de Melkor, que l'entre était occuper par des moldus et des sorciers.

- Hum, il me regarda de haut en bas, il voulait une loupe pour me détaillé encore plus ? J'haussais un sourcils, n'étant pas un morceau de viande fraiche, je ne supportais les regards insistant. Il devinas sans nul doute le fond de ma pensée car il se dépêchassent de renchérir: Une ancienne auror j'imagine ?! Mon mari acquiescas et ils reprirent leur discussion, mais leur mots m'interpellèrent.

- J'ai les armes que demande la sayidati mais nos règles sont strictes Mat. Quoi ils allaient m'interdirent de m'en servir? Elle est bien bonne celle-là.

- Elles n'ont pas changé Amir mais Téodora ne les connait pas. Il se tourna vers moi et continuas: Mon amour, entre la confrérie des reliques de la mort et la confrérie des frères de Maât, il y a une règle intangible, nous ne tuons pas de moldu sauf s'ils nous attaquent.

Je plissais les yeux... me prenait-il pour une meurtrière? Quel drôle d'idée et j'était triste que mon mari puisse pensée ça. Il dis a Amir de nous donnée les armes et équipements que je lui avais demander a notre entrée dans la boutique quelques minutes avant. mais il parlais de balle anesthésiante et de potions. Il allait falloir que celui touche deux mots sur la fameuse potions. Amir me tendit les armes et me dis:

- Très bien Mat, et dites moi qu'avez vous l'intention de faire Sayidati ? Je le regardais fixement et lui répondit, essayant de rester calme et poser, ce qui n'étais pas une mince affaires quand vous veniez de vous faire reluqué, traité de poulette et d'assassin en l'espace d'a peine une demie heure.

- Et bien si vous croyez que je suis un assassin ce n'est pas le cas, je tue pour me défendre ou pour défendre les autres. Des balles anesthésiantes feront très bien l'affaire. En attendant puis-je les voir de plus près? Il me tendit un des révolvers, bon matériaux, ni trop lourds, ni trop légers, bonne porter de tire. Il suffiront amplement pour ce que nous comptons en faire. Avez-vous autre chose à nous conseiller Amir? Nous ne comptons que faire des recherches rien de plus et ses armes ne seront la que pour nous défendre. Ah et dites moi combien pour le tous ?

- Prenez-ses étuis, Sayidati, ils vont permettons de ne pas les abimer si vous ne les porter pas sur vous mais dans vos sac. J'hochais la tête. Il me dis un pris exorbitant, que je m'empressais de marchander, je réussis à négocier tous notre packtage pour la moitié dupais. Je savais qu'il avais abuser les prix. En échange de l'argent je rangeais nos achats dans mon sac, qui étais plus accessible que celui de Mat. Je fis signe a Mat que nous pouvions partir.

- Je vous remercie Amir. Dis-je en m'inclinant. Portez-vous bien. lui dis-je en attrapant mon sac en signe de départ.

- Attendez! Pour vous menez a l'entre de Melkor, il vous faut une carte... Tenez elle vous indique ou est l'emplacement de sa caverne. Un bateau est mis à votre disposition sur le port. Au vu du nom qu'il as vous ne pourrez pas le louper. Que les vents vous sois favorable. Il s'inclina une dernière fois après nous avoirs donner la carte, nous fîmes de même et prirent la route du ports.

Il avait beaucoup de choses à me dire tous comme j'en avais à lui apprendre mais je préférais attendre d'être sur le bateau a l'abris des oreilles indiscrètes. Nous avions repris la rue principale du souk, la ou se mêlait odeurs d'épices et de cuir.

Nous nous étions arrêter dans diverses échoppe tout en allant au port afin d'acheter des fruits et légumes frais typique de la région. Rien que de penser aux dattes et aux oranges, j'en avais l'eau à la bouche. des citrons, des tomates, des courgettes, Toutes sortes de fruit secs. J'avais repéré une jolie pâtisserie non loins de la ou nous étions alors je décidais d'y aller pour faire le plein de glucose pendant notre voyage en bateau. Je n'osais regarder Mat qui devait surement se dire que je ne pensais qu'a la nourriture. En même c'était la base de toute survie comme l'eau. Et puis il m'avait froisser avec cette histoire de règles, on ne tue pas de moldus sans êtres attaqués... iIl me prenait pour un monstre ou quoi? Tuer n'était pas la meilleure partie de mon boulot, c'était même la pire, je détestais ça mais parfois j'y était obliger, je n'avais pas le choix, pour sauver ma peau il fallait que je sacrifie celle de mon agresseurs qu'il soit homme ou femme.

Nous ne mîmes pas longtemps a rejoindre le voiliers qui avais été mis à notre disposition. Effectivement avec le nom qu'il avait on ne pouvait pas le louper :"Volantem Naviculam" D'un simple regard nous nous étions mis d'accord pour monter a bord. Personne n'étais a bord du navire alors je regardais Mat et lui:

- Alors comme ça mon mari pense que je tue pour le plaisir ? Je suis un petit peu froisser que tu puis penser ça de moi, mon cheri. Passons. Et pour en revenir à cette potion Matti, ne me dis pas que c'est la potion qu'on t'a fais prendre a Poudlard le soir ou tout a basculée? j'avais haussée un sourcil et était bien plus calme que je ne l'aurais imaginer, j'allumais une cigarette et attendait sa réponse avec impatience.
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Mat Dursley
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyMer 13 Mai - 9:06

Je connaissais ce regard qui tue, cette expression quasi chirurgicale chez ma femme.
- Oué !!!! Heureusement qu'il te reste quelques souvenirs mon gars ! Cela t'évite de prendre trop cher ! dit la conscience un peu sourde parfois ou, en tous les cas, qui ne se manifestait que pour m'enfoncer ou sortir des horreurs. Celle-la ne m'avait jamais quitté depuis le jour merveilleux où j'avais collé Téodora Lawrence un samedi matin.
- Pas faux ! la conscience. Ce petit air précède toujours une remarque acide ou une calotte.

Mais non, il n'en fut rien, ou presque rien. Pas d’explosion de colère, pas d'éruption non rien, même une grosse vague, à peine une remarque ou Téodora se contenta de rebondir sur un détail de ce que nous avions dit pavant de prendre les révolvers qu'Amir lui tendit. Elle fit plusieurs mouvements avec tandis que je faisais la même chose. Né moldu et ayant toujours souhaité être un pont entre les deux mondes, je connaissais et maîtrisais bien leur maniement même si je détestais cela. Après Poudlard et mon diplôme, j'avais dû faire min service militaire moldu et j'en avais appris assez pour en apprendre le maniement et savoir aussi que je détestais cela. C'est pour cela que j'avais rapidement développé une potion qu'on pouvait mettre dans les balles afin de les rendre non létale.

- Avez-vous autre chose à nous conseiller Amir ?
demanda Téodora. Nous ne comptons que faire des recherches rien de plus et ses armes ne seront la que pour nous défendre. Ah et dites moi combien pour le tous ?
- Prenez-ses étuis, Sayidati, ils vont permettons de ne pas les abimer si vous ne les porter pas sur vous mais dans vos sac.

S'ensuivit un marchandage infernal. Je laissais Amir et Théodora s'amuser car pour l'un comme pour l'autre, c'était un jeu. Téodora car elle voulait avoir le dernier mot sur ce macho et Amir qui adorait cela. Même s'il faisait partie d'un ordre qui était notre allié, il n'en demeurait pas moins un marchand dans un souk et la tradition et bien, c'était la tradition.

Une fois l'affaire conclue, Téodora les rangea dans son sac et se tourna vers moi pour me faire signe qu'il était temps de partir. Je souris ! Encore un point dans l'escarcelle des féministes.
- Et vlan dans la gueule de ce macho ! C'est madame qui commande, pouffait ma conscience.

Je commençais à tirer le rideau lorsque Amir nous arrêta.
- Attendez ! Pour vous mener à l'antre de Melkor, il vous faut une carte... Tenez elle vous indique ou est l'emplacement de sa caverne.
- J'y suis déjà allez Amir, je n'ai pas besoin de cette carte, sauf si elle comporte des indications que je ne connais pas.
- D'accord ! Par contre, j'ai un bateau à votre disposition sur le port. Au vu du nom qu'il a vous ne pourrez pas le louper. Que les vents vous sois favorable. Il s'inclina une dernière fois et après avoir prit la carte (par politesse), nous fîmes de même et prirent la route du port.

Nous reprîmes les ruelles du souk sans nous arrêter cette fois-ci et lorsque nous atteignime la rue principale je forçais le pas. Le souk c'était rempli et je voulais éviter les regards trop insistants. Amir avait raison, je sentais une tension autour de nous, braqué principalement sur notre couple.
- Pourtant, rien n'indique que nous sommes des sorciers, me dis-je. Cela ne peut tout de même pas être parce que Téodora est une femme non voilé ! Les cariotes seraient donc revenus à l'âge de pierre, me dis-je en soupirant. Les odeurs d'épices et de cuit me ramenèrent à la réalité et je forçais encore le pas.

Je ne ralentis qu'une fois que nous arrivâmes dans les rues de la ville moderne du caire. Là, où notre présence devenait presque normale dans le flot quasi incessant de la masse grouillante de cette ville. La foule nous rendait anonyme. Sur le chemin du port, Téodora nous fit nous arrêter dans un magasin afin d'acheter de quoi manger.
- Elle ne pense qu'à ça ! dit ma conscience perfidement.
- Non elle est prévoyante ! commençais-je par répondre avant de me rendre à l'évidence. Non, tu as raison la conscience ! On se demande où elle met tout ça ! De mon côté, j'aimais aussi manger mais de par ma fonction, je passais plus de temps dans mon cachot à mijoter des mixtures qu'à préparer des bons petits plats. Et puis, la vie à deux nous avait appris qu'avec son métier et ses horaires débiles, il était inutile de vouloir se mettre à faire la cuisine car vous aviez une chance sur 2 que cela soit trop cuit, pas assez ou tout simplement jeté car elle avait disparu avant la fin de repas. Je dois dire aussi que sa disparition avait terminé de me couper l'appétit. Mey m'avait raconté, après ma perte de souvenir, qu'il lui avait fallu plusieurs semaines après sa disparition pour que j'accepte de sortir du cachot pour remonter dans la salle commune afin de prendre un vrai repas. Ma mère avait confirmé cela, selon elle (ah les mamans et leur façon de vous faire vous sentir encore un enfant) il lui avait fallu des trésors de patience et d'amour pour ne pas me gaver de force. Vous comprenez mieux pourquoi l'attitude de Téodora face à la nourriture me faisait rire. Encore une différence qui en fait nous rapprochait.

Arrivé au port, nous longeâmes les quais à la recherche du bateau. Amir avait raison nous le trouvâmes facilement. Le Volantem Naviculam nous attendait. Nous montâmes, personne ne se trouvait là.
- Alors comme ça mon mari pense que je tue pour le plaisir ? Je suis un petit peu froisser que tu puis penser ça de moi, mon chéri.
- Je n'ai jamais pensé cela Téa ! dis-je en insistant sur le A comme à chaque fois que je voulais apaiser ma femme. Je me suis contenté de donner une règle que tu ne connaissais pas et qui est très chère à Amir.
- Passons. Et pour en revenir à cet potion Matti, ne me dis pas que c'est la potion qu'on t'a fais prendre a Poudlard le soir ou tout a basculée ? termina t-elle en allumant une cigarette.
- J'ai les deux, répondis-je simplement. C'est pour cela que j'ai pris 4 revolvers. Un pour les moldus et un pour les sorciers. Oui Téa, je compte bien faire perdre leurs souvenirs aux sorciers que nous rencontrerons ! Il nous sera peut-être possible après de leur permettre d'avoir une vie plus douce, terminais-je sans sourire.

Je ne ressentais aucune pitié pour ces sorciers, ils avaient choisi le mauvais camp. De toute façon je ne ressentais rien du tout et j'aurais aussi bien pu les abattre froidement mais on m'avait tellement raconté que cela ne correspondait pas à ce que Mat, le vrai, aurait fait que cela guidait mes réactions. En fait, j'agissais et je réagissais beaucoup par rapport à ce que l'on m'avait dit que Mat aurait fait. Cela guidait beaucoup mes actions et m'aidais à aller de l'avant. Sauf avec Téodora pour qui j'avais des sentiments, sensations et souvenirs qui étaient revenus. Les flashs que j'avais, les courriers que j'avais lu, sa façon d'être étaient autant de balises dans ma tête qui me permettrait d"être réellement moi avec elle.

Je chassais ces pensées émotionnelles qui me ralentissaient et concentrait mon attention sur Téodora.
- D'ailleurs, faisons le tour du bâteau pour voir si nos amis ont pensé à tout.

C'était un voilier de 18m à fond plat. La cabine de pilotage et le ban de commande était super simple et j'étais sûr que nous n'aurions pas besoin d'un équipage pour nous débrouiller. Je me tournais un peu partout, vérifiais que personne ne pouvait nous voir et je sortais ma baguette. Je fis tomber remonter l’amarre, se détacher la corde qui nous retenait à la bite d'amarrage puis actionnais le moteur. Enfin je dirigeais ma baguette vers le gouvernail pour lui donner la direction.

Le bateau de détacha du port et commença sa route
- On pourra mettre la voile plus tard, pour l'instant descendons.

Nous continuâmes notre visite en descendant dans les entrailles du navire. En bas, 2 cabines, une petite cuisine, une salle de bain avec WC et une pièce de vie. Au milieu sur la table se trouvait tout le nécessaire pour faire des potions et ainsi préparer les balles.
- Bon, on va pouvoir se mettre au travail, dis-je en souriant. Je te laisse choisir ta cabine, je prendrais l'autre terminais-je en sortant les produits que nous avions acheté pour les ranger.
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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptySam 16 Mai - 16:33

J'avais retrouvé un peu de mon calme mais j'étais toujours froisser parce que mon mari pensais de moi. Tuer n'avais jamais été une parti de plaisir et c'était même bien plus compliqué qu'on ne le croyais. Cette guerre avait fais plus de dégâts en quelques mois dans mon esprit que mon métier d'aurores en lui même et je songeais à la suite de ma vie après la guerre, si je ne mourrais pas d'ici là.

- Je n'ai jamais pensé cela Téa ! Je me suis contenté de donner une règle que tu ne connaissais pas et qui est très chère à Amir.

J'émis un petit "HUM" en haussant un sourcils. Signe irréfutable qui disait ironiquement : mais bien sur.

- Passons. Et pour en revenir à cet potion Matti, ne me dis pas que c'est la potion qu'on t'a fais prendre a Poudlard le soir ou tout a basculée ?

- J'ai les deux. C'est pour cela que j'ai pris 4 revolvers. Un pour les moldus et un pour les sorciers. Oui Téa, je compte bien faire perdre leurs souvenirs aux sorciers que nous rencontrerons ! Il nous sera peut-être possible après de leur permettre d'avoir une vie plus douce.

Je secouais la tête. Je n'étai spas forcement d'accord avec son opinions... Pour moi c'était bien plus radical. D'abord, si on en croyait l'expérience de Matt, ses souvenirs n'était pas tous partis, ils savaient encore qui il était et avait presque encore un minimum de sa personnalité de ce que je pouvais constater. Je ne voyais pas en quoi les sorciers qui avait choisis l'autre camp ne recommencerais pas alors que c'était dans leur âme. Enfin bref. Je terminais ma cigarette et nous allâmes explorer le voilier. Mon mari regardais de part et d'autre du bateau pour enfin pouvoir sortir sa baguette et tester les voilure et la barre de notre demeure de quelques jours. Peu de temps après le bateau ce mis en branle et nous partîmes vers le sud. Nous attendîmes quelques instants afin de manoeuvrer pour que le bateau sorte du ports puis je mettais un sortilège pour qu'il se manoeuvre seul.

- On pourra mettre la voile plus tard, pour l'instant descendons. Me dit-il alors que le voilier commençais a navigué dans les eaux du Nil.

Nous explorions la cale, je déposais les provisions et trouvaille que j'avais faites lors de notre route vers le port dans la petite cuisine. Deux cabines si trouvais ainsi qu'une pièce de vie attenante a la cuisine et une minuscule salle de bain avec des toilettes. C'était parfait.

- Bon, on va pouvoir se mettre au travail. Je te laisse choisir ta cabine, je prendrais l'autre. Un bourreau de travail mon mari, parfois il fallait se préoccuper de l'instant présent. Mais déjà avant il ne savait pas forcement faire... Quand j'avais des jours de congés, j'avais du mal à l'extraire de son cachot ou il essayait de découvrir de nouvel potions, de créer. Mais heureusement, son stock de plante n'était pas illimité du coup on réussissait toujours a partir dans la foret ou les montagne pour trouver les ingrédients botanique dont il avait besoins.

Me laisser choisir ma cabine... Cela faisait bien longtemps que nous n'avions pas dormi ensemble. J'avais des souvenirs de ces nuits ou je me lovais contre son corps chauds, tous ça commençais à me manquer mais étais-je vraiment prête a revenir dans le lit conjugale après que la dernière personne avec qui j'avais été contrainte de partager mon lit m'ai fais subir des horreurs. Je n'en étais pas certaine et pourtant ma vie de couple me manquais... *Même vos parties de jambes en l'air te manque? T'es sur ?* Et bien je dirais que ma libido pour le moment ne c'est pas manifester donc de ce côté la on vas dire que je ne sais pas. Et pourtant avec Mat nous adorions les étreintes passionnés. Nos journées d'hiver ou aucun des deux ne travaillais en était un preuve irréfutable. Nous avions cette alchimie dans la vie comme au lit...

Il commença a ranger les produits que j'avais abandonner sur la table. Je filais tester les matelas de nos cabines pour savoir lequel était le mieux, une fois trouver le meilleure matelas je filais dans l'autre cabine pour m'y installer. J'abandonnais mon jean, il commençais a faire beaucoup trop chaud, pour revêtir un short bien plus adéquate à la situation. Je lançais un sortilège au draps pour que le lit ce fasse seul et lançais le même sortilèges a la chambre de l'autre côté pour que le lit de mon mari soit près. Entendant Mat s'affairer dans la cuisine je n'avais pas songer a fermer la porte pour me changer. Je lui avais laisser le meilleur lit, il en avait plus besoins que moi qui était habituer a dormir n'importe ou et n'importe comment. de toute manière je n'avais besoins que de peu d'heure de sommeil pour pouvoir tenir la cadence.

Je revins dans la cuisine une fois nos chambres prête et m'installais dans la pièce à vivre munit de mon carnet, d'un stylo, de la carte et du livre que j'avais fais venir a moi, je n'aurais pas oser fouiller dans le sac de Mat. Je lançais un sortilège aux citrons que tenais Mat dans les mains pour qu'ils aillent ce couper et ce presser par eux-même afin de pouvoir déguster une citronnade bien fraiche plus tard dans la journée.

- Alors, d'après la carte, on est la, il faut descendre le Nil puis il y auras un embranchement et il faudras terminer la route par la voie terrestre au sens propre du terme. Je laissais la carte de côté. Il fallait que je lui dise que je n'étais pas d'accord... Sinon cette histoire allais m'énervé, je n'étais absolument pas d'accord. Et puis nous somme en guerre bordel. Autant les tuer et hop en parle plus surtout qu'en plus eux il seront la pour ça. Pour moi la citation qui étais une des plus clairs et des plus vraie était: "Oeil pour Oeil, Dents pour Dents". La légitime défenses clairement serait donner comme raison apparente et elle était vrai.

- Matti, je suis navrée mais je ne suis pas d'accord avec toi, j'y ai réfléchi et clairement je ne vois pas comment tu veux que des sorcier qui sont dans l'autre camps, si on leur tire dessus avec la potion que tu a prise, pourrait changer. Si on ce base sur ce que toi tu as eu par la suite comme symptômes et comme guérisons on est pas bon, il te restait certain souvenir, un certain caractère, aucun sentiments et la est le problème. Toi tu étais une personne bonne avant de la prendre cette potion, donc tu as encore, comment dire certaine valeur, si on la donne a quelqu'un qui n'en as pas de base on va droit a la catastrophe. Je ne vois pas en quoi cette seconde chance vas les aiders tu comprend. Ça nous causeras plus d'ennuis que si on les abats directement.

Je savais que mon discours n'allait pas lui plaire mais il fallait que je lui dise le fond de ma pensé. Il ne valait mieux pas que je lui cache quelque chose nous savions tous les deux que les non-dits nous avais couté chers. Bien trop chers et je ne voulais pas que ça recommence a nouveau.
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Mat Dursley
Professeur de potion
Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  EmptyDim 17 Mai - 9:57

J'étais impatient de me mettre au travail. D'enfin retrouver ma place au sein de la communauté magique. Ces quelques semaines d'inactivités forcé m'avait beaucoup fait réfléchir sur ma place dans le monde, dans ma communauté, dans mon école.
J'étais bien décidé lorsque tout cela serait derrière nous, si je survivais et si nous gagnions de prendre la vie différemment.
- Il faudra que je change des choses, me dis-je en sortant le chaudron du placard et en le déposant sur le trépied qui avait été installé là par la confrérie d'Amie. Ce dernier à vraiment pensé à tout, poursuivis-je en ouvrant le placard où se trouvait les 3 eaux magique servant de base à la plupart des potions. J'en profitais pour ranger les affaires que Téa avait sorti de son sac.
- C'est incroyable ce qu'il contient ! Ses sorts d'extension sont vraiment puissants.

Celle que je m’apprêtais à faire alors que mes pensées vagabondaient vers ma vie d'après était assez compliquer à réaliser. En fait du dosage dépendait, non pas la réussite ou pas de la potion mais uniquement son efficacité. Celle que Sylvius m'avait fait prendre était un essai et les résultats sur moi avaient été déjà fort. Mon mentor en avait fait d'autre avec différent dosage et compte tenu ce que je voulais faire, il me faudrait prendre plus puissante. Mon idée était simple, vider de toute substance, de tout souvenirs et de tous violence les sorciers que nous croiserions.
- Hè ! Ils ont peut-être de la famille ?! Tu y a pensé, me balança ma conscience.
- Et eux, ont-ils pensé aux familles des sorciers ou des moldus qu'ils ont attaqué ?
-......
- Pas de réponse la conscience, cela me va parfaitement.
Pour une fois que je lui rivais le clou, je n'en étais pas mécontent.

J'étais assez étonné de ce nouveau moi, mais il tenait beaucoup à la perte de sentiment et de ressenti que je venais de vivre. Cela m'avait ôté de nombreuses barrières. Nombre de choses que je m'interdisais avant au nom de l'exemple et du sacrifice fait par mon parrain avait disparu. Je ne ressentais plus le besoin d'être parfait et de me conformer à l'exemple des Potter. Pourtant j'adorais Harry mon grand cousin et en même temps parrain mais la potion avait modifié ma psyché. Et puis, il avait aussi du tuer pas nécessité.

Je me maugréais et me reconcentrais sur la potion. Derrière moi, j'entendais ma femme Téodora qui s'affairait dans les chambres. Je me retournais pour l’observer. Elle s'était changé et elle était magnifique, à couper le souffle même en tenue décontractée. Elle avait troqué son jean contre un short qui dévoilait ses jambes. A une ancienne époque, j'adorais lorsque nous nous délassions dans le canapé. En général, elle s'allongeait sur moi et je passais des heures à lui caresser les cheveux ou les jambes. Nous restions là pendant des heures entières à ne rien dire. En général, cela finissait en joute érotique mais pas tout le temps.
- Ce temps là est derrière toi ! me dit ma conscience bien trop contente de pouvoir mettre de nouveau son grain de sel et marquer un point.

Je ne répondis rien, à quoi bon, elle avait raison. Téa et moi étions pour l'instant deux épaves qu'il allait falloir reconstruire. La bonne chose c'est que nous étions deux et que nous nous aimions comme au premier jour. En tout les cas, je l’espérais. Cela prendrais du temps mais à force d'amour, de patience et de compréhension, nous surmonterions  cette crise. Déjà, je sentais que je lui avais pardonné sa disparition, les mots qu'elle m'avait dit pour m'expliquer, je les avais entendu, compris et accepté ! Elle aurait pu se confier à moi, me faire part de son chagrin, de ses doutes mais n'étais-je pas trop pris pas mon métier. Je passais alors des heures et des heures dans mon cachot à chercher des potions et préparer mes cours. L'avais-je  seulement écouté alors que de mon côté, je m'obscurcissais l'esprit en renâclant sur le métier bien trop dangereux d'auror qui l'éloignait de moi des jours entiers ? Un peu de cela, beaucoup de tout ! Comment lui en vouloir alors d'être aller chercher le salut ailleurs. Après tout elle était revenu, elle m'aimait.
- Oui, enfin sauf si c'est de la pitié vu ton état !!! Tu n'y avais pas pensé à celle là !
- Je ne sais pas mais à la vérité, cela ne me fait rien. De toute façon, c'est ainsi.

Toujours perdu dans mes pensées et affairer à préparer les ingrédients, je ne m'étais pas aperçu que Téodora avait terminé de préparer les cabines. Je ne m'en rendis compte que lorsqu'elle s'installa dans la pièce à vivre. Elle s'assit sur le banc qui se trouvait derrière la table de la cuisine et sortit tout son attirail. Alors que je m’apprêtais à parler, les citrons que je tenais dans la main s'envolèrent pour aller se presser aux mêmes dans une grande carafe avant d'aller directement se loger dans le petit frigo qui se trouvait sous le plan de travail.
- Un peu de sucre et cela fera une très bonne citronnade ce soir. J'espère qu'on pourra la prendre sur le pont du bateau au soleil couchant.
- Pfttt !!! Un moment romantique comme tu aimais avant !
- C'est possible ! Mais nous allons passer plusieurs jours ensemble autant les rendre "intéressant" ou en tout les cas "agréables".
- Parce que tu crois que la petite va vouloir faire une partie de jambes en l'air ?
- On se demande qui ne pense qu'à cela ! Vraiment ! Mais comme tu es très curieuse, je ne pensais pas à cela la conscience. Non juste nous retrouver et en profiter pour reconstruire le fil de notre vie commune.

- Alors, d'après la carte, on est la, me dit Téodora en mettant son stylo sur un endroit du nil, le fleuve que nous remontions désormais vers l'antre de Melkor. Elle continua un peu puis après avoir tracé l'itinéraire, ce qui me fit sourire car je savais où nous allions puisque de nous 2, j'étais le seul à y avoir déjà été. Cela faisait longtemps maintenant, mais je n'oublierais pas lorsque j'étais parti secourir Mey la soeur de Sylvius. C'est là aussi que j'avais rencontré pour la première fois Jason et que j'avais été frappé par sa ressemblance avec Neslon. C'est là que j'avais compris la puissance de Melkor, ce dangereux Valar qui avait réussi à faire vieillir un nourrisson à l'état d'Homme en un rien de temps. Je cherchais les détails mais là par contre ma mémoire résistait sur les événements précis. Par contre le lieu lui était gravé à jamais.

- Matti, poursuivit Téoadora, je suis navrée mais je ne suis pas d'accord avec toi...
- Oh ! Oh, qu'est ce qui se passe encore ?!
- ...j'y ai réfléchi et clairement, je ne vois pas comment tu veux que des sorcier qui sont dans l'autre camps, si on leur tire dessus avec la potion que tu a prise, pourrait changer. Si on ce base sur ce que toi tu as eu par la suite comme symptômes et comme guérisons on est pas bon, il te restait certain souvenir, un certain caractère, aucun sentiments et la est le problème. Toi tu étais une personne bonne avant de la prendre cette potion, donc tu as encore, comment dire certaine valeur, si on la donne a quelqu'un qui n'en as pas de base on va droit a la catastrophe. Je ne vois pas en quoi cette seconde chance vas les aider tu comprends. Ça nous causera plus d'ennuis que si on les abats directement.

Je ne répondis pas tout de suite, je réfléchissais à ce qu'elle venait de dire. Au fond, elle avait raison mais cela ne correspondait pas à l'idée que je me faisais de cette guerre. J'entendais encore Sylvius me dire "Mat, fais le moins de morts possibles. N'oublie pas nous avons des alliés chez les Moldus. Si nous les tuons, ils nous classeront dans les méchants sorciers à abattre. Quand à nos ennemis, il faut les empêcher une purge". J'avais simplement répondu que je ferais du mieux que je pourrais.

Je pris une grande inspiration et je me lançais.
- Je te remercie d'avoir été franche avec moi Téa puisque tu as très bien entendu ce qu'à dit Amir. Il nous est interdit de tuer des moldus. Je sais que tu n'es pas une assassine et ta remarque m'interpelle mais je peux comprendre qu'avec ce qu'il vient de t'arriver tu puisse avoir ces pensées. Pour moi, beaucoup de choses ont changé, j'ai changé je le sens en moi. Les faire mourir ne me fait ni chaud ni froid en fait. Je ne ressens aucun sentiment à ce propos mais ! Oui mon amour, il y a un mais, dis-je en souriant en voyant la moue qu'elle venait de faire. Donc, j'allais te dire mais car malgré cela, je respecterais la consigne de Sylvius. Au délà de mon mentor, il y a un lien que je ne peux pas expliquer. Rien à voir avec de l'amour comme j'ai vu entre mon père et son cousin, non rien de tel, c'est juste qu'après ton départ il a été là, après la prise de la potion, il a été là. Il a toujours été là pour moi. Et les souvenirs le concernant sont toujours positifs. Alors même si cela ne me fait rien, je respecterais ce qu'il m'a demandé de faire.

Je vins m'assoir à côté d'elle et passais ma main dans ses cheveux comme elle l'aimait tant lorsque nous étions encore un.
- Par contre, je n'ai pas promis à Sylvius de ne pas mettre le dosage maximum. Il a fait des tests mais rien ne m'oblige à ne pas alourdir la charge. Crois-moi Téa, les sorciers à qui nous auront inoculé la potion seront tellement vide que je préfèrerais mourir que de vivre ce qu'ils vont vivre. Crois moi, ils ne restera d'eux que des coquilles vides et leur personnalité ne leur servira à rien.

Cette pensée ne me faisait rien, en fait sur une échelle de 1 à 10, elle me faisait un 0 pointé. Par contre, d'être là avec Téa faisait que j'étais parcouru de frissons. Quelque chose remontait, un souvenir de nous sur une plage, la chaleur du soleil, le bruit de l'eau. Oui, c'était un nouveau souvenir qui venait de resurgir. Un de plus qui vint s'ajouter au chapelet de ceux que je récupérais et qui venait reconstituer le livre de ma psyché.

Je continuais de lui caresser le visage en lui souriant tendrement.
- Bon il faut que je retourne à la potion, elle fait un nuage rouge, c'est le moment d'ajouter un nouvel ingrédient. Tu viens, je te refais un cours particulier comme lorsque tu étais une élève très studieuse. En tous les cas, c'est le souvenir que j'en ai, dis-je en ri
golant.
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