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 Une quête ne se fait jamais seul

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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  - Page 2 EmptyVen 22 Mai - 20:25

Au moins ça me faisait un poids en moins, je lui avais dis ce qui ne me plaisait pas dans sa façon de faire avec cette maudite potion... Je le vis perplexe, réfléchissant surement à sa réponse. Moi je jouais avec ma cigarette, la tassant sur la table, puis je l'entendis prendre une grande inspiration, je rangeais donc ma cigarette dans son paquet et me mis a l'écouter attentivement... Je ne savais pas trop a quoi m'attendre, sur ce qu'il allait dire ou non. J'attendais avec impatience sa réponse.

- Je te remercie d'avoir été franche avec moi Téa puisque tu as très bien entendu ce qu'à dit Amir. Il nous est interdit de tuer des moldus. Je sais que tu n'es pas une assassine et ta remarque m'interpelle mais je peux comprendre qu'avec ce qu'il vient de t'arriver tu puisse avoir ces pensées. Pour moi, beaucoup de choses ont changé, j'ai changé je le sens en moi. Les faire mourir ne me fait ni chaud ni froid en fait. Je ne ressens aucun sentiment à ce propos mais ! Oui mon amour, il y a un mais.

Pourquoi fallait-il toujours qu'il mette des mais dans ces phrase?! Moi je n'en mettais pas souvent et ça m'allait bien. En tous cas le début de sa réponse me laissais perplexe, j'avais les sourcils froncer, toujours quand je me concentrer afin d'assimiler et d'analyser les informations rapidement. Il reprit donc la parole après avoir souris devant ma mine déconfites

- Donc, j'allais te dire mais car malgré cela, je respecterais la consigne de Sylvius. Au délà de mon mentor, il y a un lien que je ne peux pas expliquer. Rien à voir avec de l'amour comme j'ai vu entre mon père et son cousin, non rien de tel, c'est juste qu'après ton départ il a été là, après la prise de la potion, il a été là. Il a toujours été là pour moi. Et les souvenirs le concernant sont toujours positifs. Alors même si cela ne me fait rien, je respecterais ce qu'il m'a demandé de faire.

J'étais un peu blessé dans mon amour propre et ma fierté mais il avait raison. Sylvius avait toujours été la pour lui, tandis que moi j'avais pris la fuite et par conséquent j'avais louper quelques épisode et je l'avais même fais souffrir. Il fallait que je range ma fierté mal placé et que je l'accepte sans rechigner.

Par la suite il vint s'asseoir a coté de moi et, m'étant préparer un peu en amont, je savais qu'il allait me toucher, je m'étais concentrer pour ne pas me raidir. Il passa la main dans mes cheveux et au bout de quelques instant je réussis à me détendre, d'ancienne scène de notre vie antérieur me revenait, j'adorais *Et a ce que je peux voir tu adore toujours ça Teo* Pour une fois on est bien d'accord la conscience. C'était toujours aussi agréable, le matin, j'aimais me réveiller en sentant sa mains caresser mes cheveux et mon dos c'était agréable, j'adorais m'endormir et me réveiller comme ça. Et étonnement  ce geste me détendis et me faisais du bien, son contact était agréable. Plus personne après lui ne m'avait toucher comme ça. C'étais une sensation nouvelle et en même temps ancienne, tellement loin et tellement enfouis dans mes souvenir que je l'avais presque oublié. Mat continuas de me parler sans cesser pour autant ses caresses dans mes cheveux.

- Par contre, je n'ai pas promis à Sylvius de ne pas mettre le dosage maximum. Il a fait des tests mais rien ne m'oblige à ne pas alourdir la charge. Crois-moi Téa, les sorciers à qui nous auront inoculé la potion seront tellement vide que je préfèrerais mourir que de vivre ce qu'ils vont vivre. Crois moi, ils ne restera d'eux que des coquilles vides et leur personnalité ne leur servira à rien.

Je ne l'avais jamais entendu parler de la sorte. C'était étonnant, et même quelque peu effrayants. C’était plutôt moi dans notre couple qui parlait de la sorte. Intraitable, et quelque peu froide lorsqu'il s'agissait de parler de mes ennemis et de leur mort ou de comment j’avais réussi a démantelé des réseau, d'ailleurs j'avais arrêter dans parler avec Mat, pacifique qu'il était ce n'étais pas sont sujet préférer. Mais la il disait ça de but en blancs sans la moindres émotions *Il les as perdus ma vieille suis un peu le court des choses !* oui c’est vrai la conscience mais quand même j’ai le droit d’être un tantinet choqué de ce que mon mari, pacifique qu’il étais avant, venait de sortir non ? Enfin bref, je m’occuperais de cette histoire en temps et en heure pour le moment il continuais a mes caresser les cheveux, remontant jusqu’à mon visage. Des frissons me parcourais l’échine, c’était une sensation étrange de sentir les caresses de quelqu’un que vous aimiez et qui vous aimais en retour, c’étais particulier de ce faire traiter de personne à part entière et non comme une chose avec laquelle on peu jouer comme on en a envie… Je fut tirer de ma rêverie si douce au début qui étais devenue si lugubre par mon mari:

- Bon il faut que je retourne à la potion, elle fait un nuage rouge, c'est le moment d'ajouter un nouvel ingrédient. Tu viens, je te refais un cours particulier comme lorsque tu étais une élève très studieuse. En tous les cas, c'est le souvenir que j'en ai.

Il éclata de rire, et je ne pus m’empêcher de le suivre, et de répliquer:

- C’est vrai, ton souvenir est bon, mais clairement je ne touche a rien dans se chaudrons sinon, on risque juste de foutre le feu au bateau, et même d'exploser ! Ce serai un petit peu embêtant qu’en pense tu ? C'est pour ça que la dernière année de mon apprentissage a Poudlard, tu me collais toujours mais je passais très souvent la nuit du vendredi au samedi dans ce qui fût par la suite notre appartement. c'est a cette époque là ou nous avons avouer à Ellween, ma cousine, que nous étions ensemble. C'était notre alibi et puis le faites que je ne sois pratiquement jamais au petit déjeuner le samedi matin, tous le monde savais que j'aimais dormir. Ça a bien changer depuis mais bon. Les souvenirs, c'était agréable de les retrouver. C'était comme ce prélasser dans un matelas cotonneux, un endroit sur et rassurant dans lequel on voudrait rester jusqu'à la fin des temps. En revanche je veux bien connaitre ses ingrédients. Ça m’intéresse un peu plus j’avoue, mais j’ai toujours aimé te regarder pendant la préparation de tes potions, tu es si concentré que tu oublie le monde autour de toi. Tu ne fais plus qu’un avec ce chaudron, un peu comme quand nous étions… Enfin tu vois quoi?!

Et dire qu’il y a quelques années je n’avais aucun problèmes pour parler de sexe devant lui, bien au contraire et je le faisait même sensuellement, je ne comptais pas les fois ou nos siestes étais devenue crapuleuse ni combien de fois j'avais été réveiller par ses gestes plein d'amour et de tendresse. Et maintenant rien que l fait d’en parler j’étais gênée au possible, mai qu’est ce qu’il m’arrivait, ma personnalité avait-elle changer à ce point à cause de ce qui c’était passée lors de ma dernière mission. Ça me rendait dingue d’avoir tant changer. Ça ne pouvait pas être possible je ne pouvais pas avoir autant changer ! Et si j'avais perdu tous gouts a ça?! Et si lui aussi avait perdu l'envie. Et si il était dégouts par le fait que quelqu'un d'autre mettait passer dessus même si ça n'avais pas été de mon fait ni de ma volonté et si à cause de ça mon mari ne voudrait plus jamais me toucher parce que j'étais souiller. *Mais arrête de penser comme ça et a ça idiote, tu es en train de te faire sombrer toi même* Ah oui et tu crois que mon cerveau en pense quoi pour le moment de mon corps et de ma vie la conscience, tu crois vraiment que j'ai l'air saine de corps et d'esprit par ce que franchement même moi qui suis maitresse dans l'art de planqué mes idées noire et de montrer une facette de sérénité je sais quand ce moment mon masque s'estompe. Il vas d'ailleurs falloir que je me reprenne, je ne veux pas montrer a Matti la part sombre de mon âme que j'ai en ce moment.

Je me reconcentrais sur la préparation de Mat, concentrer sur le broyage de diverses feuille. Ça m'apaisait beaucoup de le voir manipuler tous ses ustensiles, ses ingrédients, c'était relaxant et si fascinant.

- Alors raconte moi. D’abord ce que vous avez mis dans cette potion et surtout pourquoi? comment vous est venue l’idée de la créer? Et comment vas tu faire pour lui donner une plus grande puissance? Je ne comprend pas.

C'est vrai que nous n'avions jamais abordé ce sujet, comment était-elle née et pourquoi l'avait il créer cette potion, j'évitais très souvent le sujet, ne me sentant pas très à l'aise avec l'idée dans parler avec lui qui en avais fais les frais mais c'était surtout pour moi, pour ne pas me sentir plus coupable que je ne me sentais déjà de ne pas avoir été là pendant plus d'un an. Mais dans cette atmosphère de cocon, rien qu'avec lui, il était peut être temps d'affronter une partis de mes démons à commencer par ceux-là.
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Mat Dursley
Professeur de potion
Mat Dursley


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  - Page 2 EmptySam 23 Mai - 21:53

Je faisais face à Téodora qui était resté assise sur la banquette tandis que j'étais retourné devant le plan de travail où se trouvait le chaudron.
La fumée rouge qui s'en élevait me montrait que pour le moment tout se passait bien. La partie critique allait arriver.

Je ralentis un peu de feu et tournait 8 fois dans le sens des aiguilles d'une montre tandis que je me saisis du flacon qui contenait les larmes de demonzemerveille.
- C’est vrai, ton souvenir est bon, mais clairement je ne touche a rien dans se chaudrons sinon, on risque juste de foutre le feu au bateau, et même d'exploser ! Ce serai un petit peu embêtant qu’en pense tu ?
- C'est certain, dis-je en faisant tomber 3 larmes. C'était la dose que m'avait administré Sylvius. A 6, il m'avait dit que l'effet était irréversible. Alors sans aucune hésitation, j'en fis tomber 10. Aucun remord, aucun sentiment, juste un fait : avoir la certitude que les sorciers qui la boiraient le feraient plus jamais de mal à aucun autre sorcier ni à aucun moldu.
- C'est pour ça que la dernière année de mon apprentissage a Poudlard, tu me collais toujours mais je passais très souvent la nuit du vendredi au samedi dans ce qui fût par la suite notre appartement. c'est a cette époque là ou nous avons avouer à Ellween,....
A l'évocation de sa cousine, je sentis la gorge de Téa se serrer, la douleur était encore présente, cela se sentais.
....ma cousine, que nous étions ensemble. C'était notre alibi et puis le faites que je ne sois pratiquement jamais au petit déjeuner le samedi matin, tous le monde savais que j'aimais dormir. Ça a bien changer depuis mais bon.
- C'est vrai que depuis notre mariage et ta nomination au poste d'auror, tu as dû changer pas mal de choses. Les grasses matinées étaient un moment sympa, j'en ai quelques souvenirs.
- En revanche je veux bien connaitre ses ingrédients.
- Tu t'intéresse à l'art subtil des potions maintenant ?
- Ça m’intéresse un peu plus j’avoue, mais j’ai toujours aimé te regarder pendant la préparation de tes potions, tu es si concentré que tu oublie le monde autour de toi. Tu ne fais plus qu’un avec ce chaudron, un peu comme quand nous étions… Enfin tu vois quoi?!

Oui je voyais très précisément ce dont elle parlait, au lit, ou je devrais plutôt dire partout où nous pouvions faire l'amour, nous ne faisions qu'un ! Il était inutile pour nous de parler, nous savions toujours très bien ce que l'autre voulait. Une alchimie se dégageait de nos étreintes. Chaque geste, chaque caresse, chaque orgasme était un partage. Mais de cela, je ne voulais pas lui parler car je redoutais que cette osmose est disparu avec ma perte de sensation et ce qu'elle avait dû subir. Comme je l'ai déjà dis nous étions deux estropiés de la vie et même ce secteur de notre vie semblait ne pas y avoir échappé. Délaissant ce que je faisais, je lui répondis afin qu'elle ne se sente pas plus mal qu'elle ne semblait l'être.
- J'ai oublié beaucoup de choses et il me reste peu de sensation mais il y a deux choses qui sont restés intactes : l'osmose que je ressens lorsque je fais mes potions et celle que je ressens lorsque tu es près de moi, dis-je sans me retourner tout en continuant à tourner la potion. Ceci fait, je rajoutais la feuille de sauge en la tenant par la tige jusqu'à ce qu'elle se dissolve complétement. Et oui, je vois tout à fait à quoi tu fais allusion mon amour, terminais-je en me retournant. C'est drôle de ne pas te voir terminer une phrase, je t'ai connu moins timide, ajoutais-je en souriant.
Des flashs refirent surface, de notre vie d'avant. des moments intimes, tendres. Une nouvelle vague de chaleur m'envahit, je savais pertinemment ce que c’était, du désir à l'état pur comme je n'en avais pas ressenti depuis des mois maintenant. Il était là palpable, intense, puissant mais je le dis taire, je le renfermais.
- Tu es trop tendre, me dis ma conscience.
- Possible !
- Ou alors trop con ! ajouta-t-elle !
- ou amoureux la conscience.
- Parce que tu sais encore ce que cela fait ?
- A jamais !

Téodora ne me répondit rien, elle semblait un peu perdu dans ses pensées. Je la laissais, car j'avais remarqué que cela lui arrivait de plus en plus souvent. Nous avions convenu de ne plus avoir de "mauvais secrets" entre nous, je lui faisais donc confiance, si c'était quelque chose de grave, elle me le dirait.
- Alors raconte moi. D’abord ce que vous avez mis dans cette potion et surtout pourquoi? comment vous est venue l’idée de la créer? Et comment vas tu faire pour lui donner une plus grande puissance? Je ne comprend pas.
- Oulala que de questions mon amour ! Je ne sais pas où je vais commencer, répondit je en mettant un bout de limace à corne ainsi qu'un Œuf de Runespoor. L'idée vient de Sylvius. Il l'a eu grâce au portrait de Dumbledore dans le bureau qui lui a parlé des aventures de Norbert Dragonneau. La potion n'ayant pas l'effet que nous voulions nous avons ensuite passé des dizaines d'heures à chercher une potion plus adapté mais avec les ingrédients de celle de Norbert. A force de recherche, j'ai fini par trouver ce que nous cherchions. L'idée c'est alors développé de trouver un moyen de pouvoir la donner à l'échelle planétaire.

Tandis que je parlais, je continuais de mélanger la potion afin de ne pas la rater. Je regardais dedans, elle avait prit la couleur argenté que je voulais et elle bouillonnais à gros bouillons.
- Pour résumé, à Sylvius la partie stratégie avec nos amis de la confrérie des reliques de la mort et à moi, la charge de mettre au point la potion et de trouver le moyen de la diffuser. Comme tu peux le voir avec ça, dis-en regardant le pistolet posé sur la table, j'en ai trouvé au moins une. Pour ne rien te cacher, j'en ai même trouvé plusieurs. Je dois dire que le fait de ne plus rien ressentir m'aide car cela m'enlève pas mal d’inhibition.

Je me tournais de nouveau vers elle.
- Voilà c'est terminé ma Téa. Maintenant, on doit la laisser reposer pendant 24h.

La bateau se mit à tanguer légèrement. je regardais ma femme puis me dirigeais vers l'escalier qui remontait sur le pont. La haut, je vis que nous filions un peu vite et que nous avions rencontré un fort courant, les remous nous recouais doucement. Je remis le bateau dans le bon sens et c'est alors que je me rendis compte que le soleil couchant était magnifique et que surtout nous nous trouvions juste en train de longer quelques unes des merveilles de l'Egypte. Une idée me vint alors à l'esprit.
- Monte, ma Téa, j'ai une surprise pour toi.

Je donnais un léger coup de baguette, et deux verres sortirent d'un placard afin de venir dans mes mains tandis que d'un autre coup de baguette, je fis venir à moi une bouteille de blanc sec. Je savais que Téa préférait la whisky mais pour mon idée ce n'était pas l'idéal.

Lorsqu'elle sortit je lui montrait la banquette qui se trouvait juste derrière la cabine de pilotage.
- Et si on buvait un petit verre pour fêter notre premier week end en amoureux depuis bien longtempss terminais-je en m'assayans.
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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  - Page 2 EmptySam 30 Mai - 23:33

 - Oulala que de questions mon amour ! Je ne sais pas où je vais commencer. L'idée vient de Sylvius. Il l'a eu grâce au portrait de Dumbledore dans le bureau qui lui a parlé des aventures de Norbert Dragonneau. La potion n'ayant pas l'effet que nous voulions nous avons ensuite passé des dizaines d'heures à chercher une potion plus adapté mais avec les ingrédients de celle de Norbert. A force de recherche, j'ai fini par trouver ce que nous cherchions. L'idée c'est alors développé de trouver un moyen de pouvoir la donner à l'échelle planétaire.

Norbert Dragonneau ! Mais bien sur comment n'y avais-je pas pensée plus tôt ! Ses livres trônait dans notre bibliothèque, lui comme moi, en bon serdaigle que nous sommes adorions la lecture et j'adorais lire les livres de N. Dragonneau, je me rappelais donc parfaitement de certaines de ses découvertes dont celles de différentes créature comme le grapcorne, le niffleur, le botruc. Je n'avais pas forcéments attendues mes super court de soins aux créatures magiques donnée par le professeur Godolphin qui m'as encore plus appris à les aimer et à les soigner. L'intervention de Mat sur le fait que c'était presque étonnant que je m'intéresse à l'art des potions, je me permis donc de lui dire:

 - Tu sais chéri j'ai toujours aimer les potions, surtout donner par toi, je n'y peut rien si elles ne m'aiment pas ! Le chaudrons explose quoi que je fasse tu le sais et même si je fais ce qu'il faut. En fait je crois que ce sont les chaudrons qui ne m'aiment pas !

Il continuais de me parler puis ce tourna vers moi:

 - Voilà c'est terminé ma Téa. Maintenant, on doit la laisser reposer pendant 24h.

Après un regard vers moi, il se dirigea vers les escalier qui remontait sur le pont. Le bateau tanguais légèrement, je sentis qu'on virait de bord, sachant par conséquent que mon mari, j'avais bien ces mots, j'en avais des frissons même, nous avais remis sur la bonne voie. J'aimais bien ce léger ballotement, c'étais agréable, non loin d'avoir le mal de mer, j'étais plutôt comme un poisson dans l'eau, j'étais dans mon élément. Une mission, de l'eau et du soleil, la perspective d'en apprendre plus sur une autre civilisation. C'étais surement ce qu'il me fallait pour avancer sur le chemin de la sérénité. Matti passas la tête, et sa baguette lançant un sort, je vis des verres virevolter jusque dans ses mains. Il me regardas droit dans les yeux et me dit:

 - Monte, ma Téa, j'ai une surprise pour toi.

Un frisson me parcourus, je fronçais les sourcils me demandant ce qu'il pouvait bien mijoté. Je gravis les marches et me retrouver hors de la cabine, le soleil m'aveuglas quelques instants, comprenants vite que mes lunettes de soleil était rester dans la cale, je donnais un petit coup de baguette après avoir surveiller les alentours et mes lunettes vinrent se poser d'elle même dans ma main, je les enfilais et me laissait guider par Matt qui m'indiquais la banquette derrière la cabine de pilotage. Je m'installais confortablement contre le dossier et pris le verre que mon cher et tendre me tendait...

 - Et si on buvait un petit verre pour fêter notre premier week end en amoureux depuis bien longtemps. Me dit-il.

Le breuvage que je bus changeais des whisky de bonhomme que je pouvais boire comme du petit lait d'habitude mais c'était rafraîchissant et le whisky n'aurait pas été adapté par cette chaleur. C'est vrai que nous n'avions pas eu de moment réellement à nous depuis plusieurs mois... Au moins ici nous n'étions pas épiez par sa mère. J'adorais Rose mais l'intimité et la discression n'étais pas son point fort. Comme toutes les mères du monde, la mienne n'est pas mieux !

Je me tournais vers lui et lui fis part de mon opinion :

 - C'est pas mal du tous ce que tu nous fais boire, d'ou vient-il se vin ? surement de France ce sont les meilleures en vin. Et ne dis pas que je ne suis pas objective parce que je suis ) moitié française hein ! Mais c'est vrai que ça fais longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvez seuls tous les deux et en week end ! Je me demande ou nous sommes aller la dernière fois... Dès que je retrouve mon souvenir je te le dis.

En attendant nous étions entrain de longé des pyramides, j'avais regarder la carte avant de remonter sur le pont du bateau, je savais donc que nous longions la pyramide de Khéops, elle avais quelque chose de féerique, d'irréel. C'était un spectacle incroyable, à coupé le souffle. Quand on pense que des moldus avait fais ça de leur propre mains... Je n'étais pas certain que la magie n'était pas passer par la ou que les sorciers n'avais pas essayer de les réduire a l'esclavage, essayant de faire passer ça pour une lubie de religion... Cette hypothèse serait a creuser un jour.

Nous avions croiser plusieurs crocodiles depuis notre départ du port du Caire, il me faisait a un poème que j'avais appris a l'orphelinat avant mon entrée a Poudlard, un des seule vestiges de souvenir de ce morceau de vie que mon esprit avait occultés par tous les moyens nécessaires:

"C'est l'heure où le long crocodile
Languissamment s'étire et bâille
Et fait glisser les eaux du Nil
Sur l'armure de ses écailles

L'eau du Nil
Il ouvre gaiement sa gueule mutine
Et sort une griffe ainsi qu'un gros chat
Avale trois poissons qui passaient par là
Et va digérer sur l'onde opaline."




Recitais-je à voix haute comme pour être sur de m'en souvenir encore sans trop comprendre pourquoi. J'haussais les épaules effacent le souvenir gris est froid de l'orphelinat pour revenir à la chaleur et la lumière de Khéops, de l'Egypte et de mon mari avec qui je dégustais un délicieux vin bleu face à l'immensité des pyramides perdus dans les dunes du désert ce perdant a des kilomètres ainsi que le bleu du Nil.

Je m'enfonçais un peu plus dans la banquette me laissant bercer par l'avancer du voilier.

 - Après cette mission, il faudra qu'on ce fasse plus de week end à deux enfin jusqu'au moment ou on sera plus que deux... Dans quelques années. Enfin quand la guerre sera terminer. Le Mexique ça pourrait être fun comme voyage et comme contré a explorer, non ? Et puis on y mange super bien il parait ! Et il y aussi beaucoup de plantes interessante, que ce soit pour les potions ou juste comme ça. Ça me tenterait bien de les étudier d'un peux plus près. Qu'en dis-tu?

Je savais que pour passer plus de week end avec mon mari après la guerre il faudrais que je quitte le ministère et mon travaille d'Auror. Après ce que j'avais vécu j'avais beaucoup mon besoins d'adrénaline pour sentir vivante qu'autrefois, quand j'étais plus jeune. Mon métier m'avais trop voler d'années de ma vie et de mon âme pour que je le continue ainsi. J'avais du mal à me souvenir de notre dernier week end en amoureux, je ne me souvenais pas de la dernière destination ou nous étions partis en dehors de l'Angleterre.

- Matti, je crois que la dernière fois que nous sommes partis à l'étranger c'étais pour notre voyage de noce... Ça fais un bout de temps du coups...

C'est vrai que ça faisait déjà quelques années que nous étions marié... Et nous n'étions plus sortie de notre Angleterre Natale depuis ça. Nos métiers nous avais vraiment pris trop de temps. Ils avaient pris tant de place dans notre vies sentimentales que nous n'avions pas pris de temps pour nous... J'avais oublier mon couple en faveur de mon métier et c'était triste...
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Mat Dursley
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MessageSujet: Re: Une quête ne se fait jamais seul    Une quête ne se fait jamais seul  - Page 2 EmptyLun 1 Juin - 17:49

Lorsque Téodora émergea de la cabine, elle avait son petit air d'auror ! Je le reconnaissais bien pour l'avoir si souvent vu ! Celui du fameux : j'aime pas trop les surprises et je suis sur mes gardes !

Ses yeux se plissèrent signe que le soleil qui arrivait au zentih était très puissant. Mais une paire de lunette vint se perdre sur son nez la protégeant. De mon côté, j'avais appliqué un sort de reflètement qui protégeait mes pupilles et me permettait  de ne pas porter de lunette. Il faut dire qu'en habitué des cachots, sous sols et bibliothèque obscures, j'avais les yeux particulièrement fragiles. Ajoutez-y la couleur bleu et vous avez un coktail détonnant. J'avais découvert ce sort grâce à un ami d'Ami, sorcier lui aussi, lors de mon premier séjour ici. A vrai dire, je ne l'avais pas anticipé car en Angleterre, nous avions rarement autant de luminosité.

Téodora s'installa là où je lui indiquais tandis que je lui servais un verre de rosé dans lequel je fis venir à nous des glaçons. Ensuite je me posais à ses côtés et nous trinquèrent.
- A l'amour ! sussurai-je

Téodora, ne répondis pas, elle ne m'avait sûrement pas entendu, plongé qu'elle était dans la contemplation du panorama.
- C'est pas mal du tout ce que tu nous fais boire, finit-elle par dire en se trournant vers moi. D'ou vient-il se vin ? surement de France ce sont les meilleures en vin. Et ne dis pas que je ne suis pas objective parce que je suis moitié française hein !
- En effet, rosé de savoie, le meilleur au monde ! De toute façon, nous les Anglais, nous ne savons pas faire de vin.
- Ça fais longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvez seuls tous les deux et en week end ! Je me demande ou nous sommes aller la dernière fois... Dès que je retrouve mon souvenir je te le dis.
- Je ne vais pas pouvoir t'aider, j'y ai pensé aussi mais rien ne m'est venu. Mon dernier souvenir de vacances, c'est chez Ellween pour son mariage.

A l'évocation de sa cousine disparue, elle tourna la tête.
- Bravo mon gars, quelle tact !
- J'avais oublié ! Je fais quoi maintenant !
- Surtout n'en rajoute pas crétin ! me dicta ma conscience. Et attends.

C'est exactement ce que je fis en m'enfonçant dans la banquette tout en faisant attention de ne pas empiéter sur son territoire. C'était à elle de venir à moi lorsqu'elle serait prête. Je me contentais alors de regarder à mon tour les pyramides et autres bâtiments antique qui s'offraient à notre regard. Sylvius qui avait été professeur d'histoire et d'archéologie lorsqu'il avait passé plusieurs années chez les moldus après la bataille de Pouldard, m'avait un peu raconté leur histoire et celle de ces hommes qui se faisaient passer pour des dieux. Selon sa théorie, c'étaient juste des sorciers. Je souris à cette idée, et j'imaginais le temps d'alors. Même si c'était le cas, ils avaient laissés pour la postérité des merveilles.

Nous passâmes à ce moment la dans une partie du nil qui était un peu moins large et sur lequel se trouvait des îlots et aussi beaucoup de plante de papyrus. Parfois certaines bougeaient et il en émergeaient des créatures reptiliennes assez grosse pour m'avaler tout entier. C'était des crocodiles. Un frisson me parcourut alors en imaginant ce qui arriverait si nous tombions à l'eau sans nos baguettes.

Sans que rien ne m'y prépare, Téodora se mit alors à fredonner une comptine.

"C'est l'heure où le long crocodile
Languissamment s'étire et bâille
Et fait glisser les eaux du Nil
Sur l'armure de ses écailles

L'eau du Nil
Il ouvre gaiement sa gueule mutine
Et sort une griffe ainsi qu'un gros chat
Avale trois poissons qui passaient par là
Et va digérer sur l'onde opaline."


- C'est joli, lui dis-je ! ça vient d'où ?
- Pas de réponse, hihihihihihi
- Si tu étais un peu mieux attentionné aux autres la conscience, tu verrais juste qu'elle est complétement ailleurs. Et quand c'est comme cela, il vaut mieux la laisser rêvasser. Qui sait à quoi elle pense !

En effet l'expérience m'avait montré que lorsque Téodora partait dans les limbes de ses pensées, il valait mieux la laisser en sortir seule. Bien souvent elle visualisait ses missions, ou pensait à des plans pour remplir son rôle ou parfois elle repensait juste à son passé et dans ce cas là, lorsqu'elle ressassait, il valait mieux la laisser tranquille. Je ne dis donc rien et me contentait de continuer d'admirer le paysage.

- Après cette mission, reprit-elle subitement. Il faudra qu'on ce fasse plus de week end à deux enfin jusqu'au moment ou on sera plus que deux... Dans quelques années. Enfin quand la guerre sera terminer. Le Mexique ça pourrait être fun comme voyage et comme contré a explorer, non ? Et puis on y mange super bien il parait ! Et il y aussi beaucoup de plantes intéressante, que ce soit pour les potions ou juste comme ça. Ça me tenterait bien de les étudier d'un peux plus près. Qu'en dis-tu?

En fait je ne savais pas trop quoi répondre. Pourquoi avait-elle cette subite envie. Qu'est ce qui se passait dans son esprit ! Quelle mouche l'avait piqué ! Pourquoi une telle urgence ? Je ne m'expliquais pas. Où alors elle doutait d'elle et de ses sentiments et voulait nous tester ?
- Il faudra tirer cela au clair, quand y a un floue, y a un loup ! me dit la conscience.
- On évite de tirer des plans sur la comète la conscience, on laisse les choses se faire tranquillement.

Je la regardais fixement continuant de me poser des questions mais il me fallait répondre sans quoi, elle risquait de se poser des questions. Et nous nous étions promis de ne plus nous faire de secret.
- Oui le mexique ou l'endroit qui te fera plaisir, tu veux changer de métier et devenir herboriste ? L'avantage en étant des sorciers adultes, c'est que nous n'avons pas de problème de transport, un coup de transplane ou de balai et le tour est joué, ajoutais-je en souriant. Sourire forcé mais sourire quand même. Mon esprit avait gardé des réflexes de savoir vivre. Cela m'avait été bien utile depuis que j'avais quitté le nid douillet de chez mes parents pour retrouver le vrai monde.
- Matti, je crois que la dernière fois que nous sommes partis à l'étranger, c'étais pour notre voyage de noce... Ça fais un bout de temps du coups...
- Tu crois ? Si c'est vrai, c'est énorme et je ne m'explique pas comment cela se fait ! Comme je te l'ai dis, j'en avais un autre en tête mais ta mémoire est sûrement bien meilleure que la mienne. Elle ressemble à du gruyère, cela m'agace vraiment de temps en temps dis-je en me redressant subitement pour arpenter le pont. Bon ok, c'est pratique de temps en temps lorsqu'on ne veut pas reconnaitre quelqu'un qu'on aime pas, ou une chose à faire. Mais là, avec toi, c'est frustrant. J'essaie pourtant mon amour, j'essaie vraiment mais tout ne revient pas.

Je continuais d'arpenter le pont, tout en gesticulant.
- C'est fou, je n'ai rien oublié de mes souffrances à ta disparition, rien sur l'odeur que tu dégage, sur mes sentiments...
- Même si cela ne veut plus dire grand chose pas vrai !!!
...sur nos moments de bonheur. Mais il me reste peu de souvenirs de notre vie quotidienne dis-je. C'est vrai, nous avons des métiers prenants mais c'est pas possible que nous n'ayons fait que travaillé ! Et puis, il n'y a pas que cela qui me manque. C'est un gouffre, je dois trouver une solution après cette mission.

Au moment où je terminais ma tirade, le bateau tirait un peu trop vers le bord comme attiré par un aimant. Méfiant, je sortis ma baguette près à l'utiliser tout en me déplaçant vers la barre pour le redresser.
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