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 " Sorcier Rassemblement ! "

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Stanley di Salvo
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Stanley di Salvo


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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyMer 22 Jan - 13:53

Mes cousins les Bakkali étaient partis chercher Théodora et Malory à Pré aux Lards pour les sauver des griffes de l'ennemi. J'étais tranquillement entrain de regarder les plans que j'avais élaboré des nombreux points où nos ennemis étaient placés dans notre monde, et élaborant des stratégies d'attaque pour les récupérer. Je dois avouer que c'était très énervant car nous étions très peu de personnes à l'Ordrer, malgré les efforts d'Azar pour recruter des mercenaires.

Leah Eiwaz était avec moi, m'aidant à réfléchir et m'exposant ses idées lorsque je sentis mon tatouage piquer avant qu'il ne se mette à rougir entièrement. Quelque chose clochait. Leah avait ressenti la même chose. On se regarda et leurs dit de bouger immédiatement pour prévenir les autres personnes présentes dans le manoir. Quelque chose clochait dans la mission.

D'un pas rapide et pressé, nous traversions les couloirs du manoir Eiwaz jusqu'à tomber nez à nez avec Azar.

- On rassemble l'Ordre ! Et on les sort de cette merde !

- Oui, prends cinquante hommes et partez en premier, je vous rattraperai avec les autres, je dois voir Jason d'abord !

Azar obéit en bon soldat et bras droit et prenant les mercenaires qu'il lui fallait, il transplanna à Pré aux Lards tandis que je cherchais Jason dans toute la demeure. Arrivé à sa chambre, je trouvais Fumseck seul, accroché à son perchoir. Le rapace appartenant à la famille Dumbledore avait une connexion avec chacun de ses maîtres, et fatigué de chercher Jason, je lui dis, prenant la pansine:

- Fumseck, montre moi.

L'oiseau laissa couler une larme dedans et je plongeais mon visage dans le liquide. Jason était à Pré-au Lards, et c'était la débandande. Du feu, du sang, des cris, de la douleur, la mort... J'assistais en direct au massacre.

- ET MERDE !!! - Sortant comme un éclair de la chambre, baguette collée à mon cou, j'appelais au combat tous les mercenaires de l'Ordre.

- Sorciers, Rassemblement !! Pré aux Lards est en guerre, nos amis et alliés ont besoin d'aide. A trois, vous transplannerez tous et combattrez comme des fauves ! Et pas de quartier !! Un, Deux, TROIS !!

Les sorciers et sorcières de l'Odre commencèrent à transplanner vers Pré aux Lards. Quelques élèves de Serpentard en septième et sixième année avaient décidé d'y aller également mais je leur interdit, demandant à Bassey et au personnel de la maison de les maintenir sous surveillance quitte à leur briser une jambe.

Je transplannais à mon tour et me retrouvais plongé dans la désolation la plus absolue ! Pas le temps de réfléchir, je devais me battre. Baguette en main, crocs en l'air, je me mêlais aux moldus au corps à corps, brisant des nuques, fracassant des os, déchirant des carotides, et envoyant des sortilèges.
Je profitait d'un instant de calme pour invoquer la Ligue de Sang, et dans une vague de vent, je vis apparaître mes sœurs ainsi que tous les vampires d'Angleterre, appartenant à la ligue ou pas, et bientôt ils commencèrent à mutiler les moldus à leur tour, les démembrant, les tuants, buvant leur sang, et brisant leurs os en milles morceaux.

Le combat prit fin lorsque Jason décapita le leader de la bande. Les moldus qui étaient encore en vis avait battu en retraite et tentaient de fuir, mais arrivés à la Forêt Interdite, nous entendîmes leurs cris résonner. Ils se faisaient massacrer par les vampires, les centaures, les loups garous et autres créatures des ténèbres comme les descendantes d'Aragog.

Mes sœurs restèrent près de moi, et quand chacun partit s'occuper de sa besogne, je me trouvais avec la ministre de la magie des Etats Unis d'Amérique.? Nous avions établi un Etat Major et nous étions protégés par d'innombrables sortilèges. Il fallait élaborer une stratégie pour récupérer notre école.

- Madame La Ministre, nous devons attaquer Poudlard par les toits. Tout le monde sait monter sur un balais, les vampires pouvons faire des acrobaties qu'aucune autre créature peut faire, et les créatures des forêts pourraient attaquer au sol par la suite. Ainsi, nous aurons l'effet de surprise à notre avantage et ils n'auront pas le temps de faire démarrer leurs machines volantes !

- Je comprends votre plan monsieur di Salvo mais quand vous parlez des créatures des forêts, nous devons d'abord être sûrs qu'ils se joignent au combat !

- Les centaures serons des vôtres, excellence - dit Firenze, le chef centaure. - Si les moldus veulent détruire les sorciers, ils détruiront tous ce qui vient de notre univers et nous souchetterons à l’esclavage, nous forçant à transporter des cargaisons comme des mules !

- Je te remercie Firenze - dis-je au centaure qui me fît un signe de tête avant de s'éloigner. Puis m'adressant à la ministre- Nous avons déjà discuté avec les géants, les trolls, les loups garous, les lycaons, les vampires, les orcs, et nous avons tous décidé de mettre à part nos guerres respectives par une trêve pour nous battre contre notre ennemi commun, les moldus. Mehdi Bakkali a envoyé son patronus pour prévenir les chefs de chaque clan du retour de l'Ordre de la Salamandre. Les chefs et leurs armées seront à Pré aux Lards demain aux aurores.

- Très bien monsieur di Salvo, je n'aime pas les procédés sournois des attaques par surprise mais il est certes vrai que nos ennemis sont coriaces. Il serait bon de joindre le ministre Ozymandias et ses détraqueurs au combat. Il ne peut pas continuer de fuir ses responsabilités. De tous les pays du monde, l'Angleterre est celui où il se passe le plus de drames.

- Je verrai ce que je peux faire, excellence. - Prenant mes affaires je la saluais et quittais les lieux en transplannant en direction du ministère de la magie, dans le bureau du ministre.

- Ozymandias ! - dis-je ouvrant la porte violemment. - Vas tu réagir ou non à ce massacre?! Es-tu seulement au courant de qui arrive !? Pré aux Lards ressemble à Bagdad ! Poudlard est entre les mains ennemies, des sorciers et sorcières ont été soumis à la torture, aux viols et à l'esclavage ! Si tu ne réagis pas immédiatement, je te préviens, tu vas devoir rendre des comptes !

Il me répondit, puis, devant son manque de réaction, je sortis en claquant la porte et transplannais chez moi en France pour retrouver ma femme.
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Malory Olianov
Membre du Ministère
Malory Olianov


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Messages : 380

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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyJeu 23 Jan - 19:27

Nous étions encore dans la chambre et je ne pensais qu’à une chose. Partir d’ici ou partir tout simplement, quitter cette vie. Ce n’était pas la première fois que je vivais des choses dures et terribles. Je n’en étais pas à ma première guerre mais celle-ci n’était même pas encore finie et elle avait déjà détruit la vie de la plupart des personnes.
Je n’avais pas hésité à m’investir dans ce conflit pour protéger mon monde et les miens car c’est ce qui est le plus important pour moi. J’avais des valeurs et je voulais les suivre dès que j’en avais l’occasion. C’était primordial pour moi, une question d’honneur. Suivre ce que me dictait mon cœur. Je n’avais pas vraiment de camp ; je ne me reconnaissais pas dans les Pacificateurs, les Rebelles ou la 5e colonne. Je trouvais l’idée assez stupide même. Depuis quand, le monde était noir ou blanc ? Gentil ou mauvais ? Les personnes nées comme ça sont à tuer, les autres à protéger ? L’homme est tellement complexe que ses idées le sont encore plus, à mon humble avis. Je me suis construite par des expériences et des choix que j’ai faits depuis ma tendre enfance. Je me suis forgée une personnalité et des valeurs  qui me représentes. Je suis un peu de chaque et je ne peux pas me limiter à un camp, à un seul pouvoir d’action.  Ce n’était pas aussi simple et si les choses l’étaient, rien ne serait aussi catastrophique.

J’étais partie en mission d’infiltration dans l’idée de recueillir des informations importantes auprès de nos ennemis, dans le seul but que ce conflit et cette guerre ridicule mais horrible se termine le plus rapidement possible. Ils étaient en train de s’entretuer sans aucune pitié, au nom d’une seule chose…la peur ! Peur de l’inconnu, peur des autres, peur des cultures différentes, peur de perdre ce que l’on a, peur du changement, peur devant nos certitudes qui partent en lambeau, etc… La mission  était telle que je l’avais pensé avec la surprise de voir Teo’ venir avec moi. Nous avions eu dû mal mais nous avons réussi à obtenir des informations mais à un prix élevé même pour le nombre de vie que nous allions aider. Je ne regrettais pas ma mission seulement mon idiotie devant mon incapacité à trouver une solution pour protéger mon amie de ce qu’elle a vécu par ma faute. Je m’en voudrais toute ma vie. Mes idées sombres me submergèrent et je n’entendis pas la porte s’ouvrir ni ce que se disait Monsieur Blondinet et sûrement un de ses hommes. Pour être tout à fait honnête, je m’en fichais éperdument, plus rien n’avait d’importance.  Même quand j’entendis un juron de la part de Blondinet alors qu’il aboyait des ordres. C’était une sensation étrange, comme si je m’observais vu d’en haut, une conscience en dehors de son corps.  J’étais la spectatrice de ma vie et des souffrances que subissais mon corps. Je réintégrais mon corps par un tressaillement dès le contact de la main de Blondinet sur moi. Je tournais alors la tête.


-          Qu’est-ce qu’il y a ??


-          Comment ça qu’est-ce qu’il y a ? Tu es sérieuse ? Tu n’as pas entendu ? Un groupe de sorcier nous attaque. Rhabille-toi en vitesse et descend nous aider à tuer ces chiens !


-          Tout de suite.

Il descendit après m’avoir donné une tape sur les fesses. Je pris mes vêtements et je m’habillais comme un robot quand ses paroles me revinrent à l’esprit. Nous étions attaqués !? Qui ? Je courus à la fenêtre pour essayer de voir ce qui se passait. Je ne vis que des hommes courir en hurlant dans tous les sens. Des coups de fusils, de pistolets, des éclats de lumière ; signe de la présence de sorciers. Je me demandais bien ce qu’ils faisaient ici. Venaient-ils nous chercher ? Nous n’avions rien demandé et nous étions sur le point de partir de toute façon…mais au fond de moi, je les remerciais pour cette intervention qui était plus tôt que prévue mais qui allait faire un grand nettoyage dans les rangs ennemis surtout dans l’état major. Je descendis les marches et dans le hall, je cherchais Teo’. Je tournais la tête mais je ne la vis nulle part. Je continuais de la chercher, il n’était pas question que je la laisse. Je n’avais même pas pensé à prendre mes affaires. J’étais entre la foule des moldus qui se pressait dehors quand j’entendis mon prénom. Je levais la tête et je vis Teo’. Elle sauta près de moi et me donna mon sac. Je souris devant son côté pragmatique. Puis, avec un sourire menaçant, elle se lança dans la mêlée en jetant des sorts sur ceux qui nous avaient si mal traités. Cela me fit sourire mais un sourire las et mêlé de tristesse. Je fis un pas pour m’élancer à sa suite pour surveiller ses arrières mais une poigne de fer me retint solidement, un frisson hérissa mes poils et je sus que c’était Blondinet. Je lui envoyais un énorme coup de coude dans les dents et il lâcha prise en même temps que ses dents tombèrent. J’y suis allée fort pensais-je. Je me tournais vers lui en prenant l’image de l’innocence.


-          Oh pardon ! Je t’ai pris pour un de ces satanés sorciers criais-je tout en quittant la salle.

La cohue était encore plus grande dehors. Des cris de fureur et de rage se mêlèrent aux cris de douleurs. Tout le monde se bousculaient, tout le monde se battaient dans l’optique de tuer n’importe quelle personne autour d’eux. Je fus bousculée et c’est ce qui me sauva la vie car mon inattention a failli m’être fatale. J’esquivais un homme qui essaya de m’étrangler en l’immobilisant, un autre se jeta sur moi et je le tue en retournant son arme contre lui. Je me redressais et tombais nez à nez avec …Jason ! Il fut aussi surpris et sonné que moi. Nous nous regardâmes en silence, sans faire un mouvement. Juste nous regarder. J’en avais presque oublié ses traits. Le voir devant moi était étrange. J’avais l’impression que ça faisait des années que je ne l’avais pas vu, qu’il n’était que dans mes songes, un mirage mais il était bien là, devant moi. La rage au ventre, en train de tuer nos ennemis. Je ne pus rien dire. Je sentis mes muscles trembler sans rien pouvoir faire pour les en empêcher, il était là…c’était fini maintenant ! Il allait arrêter ce cauchemar avec toute sa rage te sa force. Le soulagement me submergea.   Je me rendis compte qu’il m’avait manqué et que sa présence me mettait du baume au coeur et en même temps, je ressentis la honte et le dégoût me submerger. Le calvaire était fini mais je ne bougeais pas pour autant. Je ne savais pas si je devais revenir vers lui. Après tout ce qui m’était arrivée, je n’étais plus la même et Jason ne le savait pas encore…Je fis tout de même un pas vers lui mais Blondinet apparut entre nous, une arme pointée vers moi. Après tout ça, j’allais crevée là, par une balle, par celui qui m’avait détruite. Je le regardais droit dans les yeux, attendant la fin avec un sang-froid choquant, demandant presque qu’il se dépêche de le faire. Aussi soudainement qu’un ressort, Jason lança avec une force magistrale son katana en direction de Bondinet qui le reçut en plein dans le thorax. J’écarquillais les yeux sans avoir bougé d’un pouce et sans rien dire non plus. J’étais trop abasourdie. Comme ça…Mort..Il était mort…aussi rapidement, aussi facilement…Blondinet était mort. Cela avait prit deux secondes… J’étais paralysée. Je vis Jason passer devant moi et j’essayais de lui dire de ne pas le tuer qu’il savait beaucoup de choses. J’avais appris plein de choses mais j’étais loin de tout savoir, il nous sera utile mais Jason ne m’écouta pas ou ne m’entendis pas, car Blondinet dont la bouche crachait du sang, venait de l’ouvrir. Avec difficulté et sous des hoquets de sang, il me regarda  et regarda Jason, et une lueur amusée alluma son regard. Je sus avant même qu’il ne le dise, qu’il allait dire mon secret à Jason. Jason allait savoir. Il allait connaître une partie de ce qui s’était passé par la bouche de Blondinet.


-          Je l’ai b….. !

Je fermais les yeux en les fronçant en mettant ma tête en arrière. C’était dit. C’est en relevant la tête que je me rendis compte que tout le monde ou du moins beaucoup de personnes avaient entendu ce qu’il venait de dire. Génial…tout le monde savait ce que ce porc m’avait fait subir. Comme si ce n’était pas suffisant, pas suffisamment humiliant, il faut que tout le monde le sache. Je croisais le regard de Teo’, le mien vide sans vie, sans réaction.

Je tournais la tête et vis la tête de Blondinet rouler jusqu’à moi. Ses yeux grands ouverts amusés semblèrent se rire de moi, une dernière fois comme pour me narguer une dernière fois. Me pourrir la vie, une dernière fois avant de partir. Je le regardais fixement avant de sentir quelqu’un me prendre dans ses bras. Je ne levais pas la tête, toujours les yeux fixés à ceux de Blondinet mais je reconnus la voix derrière un voile de distance. C’était Goya. Goya avec qui je ne m’étais jamais vraiment entendue, avec qui je m’accrochais à chaque fois. Elle était en train de me faire un câlin, de m’enlacer pour me réconforter, pleine de pitié pour moi. Je me dégageais lentement et lui donnais un faible sourire pour la remercier de sa chaleur humaine qui existait en fin de compte ; avant de partir de la place et de marcher en laissant les autres derrière moi, sans aucune parole. Je voulais être seule, loin des autres, loin de tout ça. Juste moi seule et ne pas subir les regards des autres.  Regards pleins de pitié, d’embarras et de sollicitude ou de mépris. Je n’en avais aucune envie et surtout aucun besoin. Je ne fis pas attention à la direction de mes pas, je n’avais besoin que de marcher et de partir loin de tout ce monde. Je vis le fossé où Teo et moi, avions mené à bien notre repérage de Pré-au-lard. Je m’assis  dans la terre, à l’abri des regards et la tête entre mes genoux, je fermais les yeux. Brisée, je finis par éclater en sanglot, les yeux pleins de larmes, je ne pouvais m’arrêter, mes yeux pleuraient sans pouvoir s’arrêter, malgré ma colère, je ne pouvais pas arrêter de pleurer. J’étais en colère contre moi. Je n’avais pas le droit de pleurer, c’était les risques du métier, j’étais l’investigatrice de cette infiltration, je n’avais pas le droit de faire la fragile et la pauvre alors que tout était de ma faute. J’avais eu ce que je voulais ! C’était une réussite, je ne devais pas pleurer.


-          Stupide, idiote, débile marmonnais-je en pleurant et me tapant les cuisses. Tu n’as pas le droit, pas le droit. Sois forte, espèce de lâche. Ressaisis-toi, bougre d’âne bâté Débile, débile, débile.Tu l'as mérité. out est de ta faute.


Je pleurais et je m’en voulais de le faire mais je n’avais plus le contrôle de quoique ce soit. Je devais oublier. J’oublierai. Je le ferais. Des sabots s’approchèrent de moi et j’entendis la voix d’un ami.


-          Malory Olianov, je suis content que tu sois encore en vie et qu’on ait réussi à te sauver des griffes de ces hommes. Je ne pouvais pas ne rien faire, toi qui a toujours été une amie pour nous.

Je ne lui répondis pas mais je le regardais.


-          Je vois un gouffre d’émotions dans tes yeux, jeune sorcière. De la tristesse, de la honte, du dégoût et de la colère. Il ne faut pas. Tu as fait ce qui devait être fait et tu as fait au mieux. Sois forte, jeune demoiselle.  Je sais que tu peux le faire, tu y arriveras. Nous serons derrière toi, comme aujourd’hui.

Je lui souris tristement et il partit. Je fermais les yeux et m’allongeais sur la terre. J’entendis des bruits de pas, je ne levais pas la tête, n’ouvrit pas les yeux mais on vint s’asseoir près de moi. Je ne dis rien. Je n’avais qu’une idée, retourner chez moi, seule mais la personne qui était venue me leva en me soutenant sous les bras et on transplana. Je regardais autour de moi l'air perdue et vis que c'était Jason qui était à côté de moi. Je cessais de le regarder quand des éclats de voix et des applaudissements se firent entendre dans le grand hall où nous étions.
Je les regardais perdue...et je regardais Jason
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Jason Eiwaz

Jason Eiwaz


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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyVen 24 Jan - 18:15

La bataille de Pré-au-Lard était finit et la victoire revenait du côté Sorcier. Les moldues avaient décidé de fuir et de partir se réfugier dans l'enceinte de Poudlard. N'étant qu'un sauvetage à la base, ce conflit s'était vite transformait en conquête de territoire et récupération de bien. En effet, le village Sorcier servirait d'avant poste et d'Etat-Major afin de pouvoir récupérer l'école de Sorcellerie. Stanley Di Salvo, chef de la Salamandre avait pris les devant avec la Ministre de la Magie Américaine afin de libérer les prisonniers et soigner les blessés. De même, ils avaient mis en place une protection magique avec des tours de garde et patrouilles pour les mercenaires de la Salamandre et les Aurors faisant équipe. Il n'était pas question de se faire de nouveau surprendre par l'ennemie.

Jason quand à lui en plein milieu de se massacre. Il était entouré de nombreux corps de ces assaillants et n'avait qu'une idée en tête. C'était de retrouver sa moitié. Si au passage il pu apercevoir Azar et Goya attraper un homme d'une carrure impressionnante pour en faire un prisonnier. Il comprit très vite que celui-ci passerait un très mauvais quart d'heure. Alors que le Sorcier continuer de chevaucher les corps en levant bien ses pieds pour éviter de marcher sur un des cadavres. Il tomba nez à nez avec un centaure le regardant de haut en bas


" Il arrive un moment dans la vie où nous savons ce que nous voulons ! Mais surtout ce que nous ne voulons plus jamais ! Et nous ne voulons plus de tout ce mal ! De cette guerre atroce ! Jason Eiwaz fils du grand Nelson Eiwaz ! Soit digne comme le fut ton père ! Et mais fin à ce mal avec l'Ordre de la Salamandre ! "

Face à tant d'aveux et de comparaison avec son père, le Sorcier se contenta de lui répondre en lui tendant la main :

" L'Ordre de la Salamandre fera le nécessaire ! Trop de vie on périe ! Il est temps d'agir ! "

A cette réponse le centaure serra la main au jeune homme en lui répondant :

" Mon espèce et la forêt seront des votre dans ce combat ! "

Relâchant chacun leurs mains, l'homme mi-cheval, mi-homme pencha la tête pour montrer une direction qu'il souhaitait que Jason regarde. Tournant la tête, il pu voir une jeune femme assise par terre, perdue et seule au monde. Le Sorcier se dirigea donc vers elle pour la réconforter. Mais ne trouvant pas de mot face à toute cette tristesse et solitude, il l'aida à se relever et transplana à son manoir de manière à pouvoir la soigner et prendre soin d'elle.

Ainsi, apparaissant en quelques secondes dans le hall du château. Un tonnerre d'applaudissement et d'éclats de voix surgirent face à eux. Les élèves étaient tous rassembler et acclamer le Directeur Adjoint pour la réussite de la mission mais également de la victoire qui faisait le tour du monde sur les radios sorcières. Bassey créant un passage entre les élèves pour que Jason puisse monter les escaliers avec Malory perdu dans ses pensées, se contenta de lui sourire pour lui exprimer sa reconnaissance et sa joie d'avoir réussit à vaincre l'ennemie. Les yeux plein d'étoiles et remplie d'émotion, on pouvait ressentir une certaine fierté dans le regard du singe. Une fierté comme d'un père avec son fils. Sauf que là, c'était différent le singe revoyait un homme en lui. Après tout, la guerre n'était pas perdu et il y avait enfin une lueur d'espoir dans toute cette obscurité.

Marchant alors dans les couloirs du manoir avec de nombreux écussons et tableaux de la Famille Eiwaz-Dumbledore. Jason regagnait ses quartiers avec sa petite amie. Lorsqu'il ouvrit la porte de l'ancienne chambre de ses parents qui était à présent la sienne. Il pu voir que Malory releva la tête lorsqu'elle aperçu Fumsenk sur son perchoir. Fermant alors la porte et se trouvant à présent devant la fenêtre de sa chambre donnant sur les jardins de la demeure. Les deux se regardaient dans les yeux mais n'échanger aucun mots. Malgré son visage abimé quelques coupures à l'arcade et à la lèvre. Jason la trouvait toujours aussi belle et lorsqu'il ressentait son cœur battre, il savait que c'était elle, qu'il voudrait qu'un jour elle porte le nom Eiwaz et la descendance de sa famille. Mais avant tout cela, il devait l'aider à se reconstruire comme l'avait fait nombreuses personnes avec lui comme Sylvius Césarius son parrain, Shona Godolphin ou encore la Ministre de la Magie Américaine qui était sa mentor à présent.

Le Sorcier décida donc de commencer par la nettoyer et la soigner de ses blessures. Il partit dans la salle de bain chercher le nécessaire afin de s'occuper d'elle. Lui passant alors un gant de toilette chaud sur le visage pour lui retirer le sang qu'elle avait sur le coin du visage, il pouvait voir qu'elle se détendait et se laisser faire par l'homme. Lui embrassant le frond en signe de protection, il essaya de lui retirer son haut afin qu'elle soit dans des vêtements propres. Cependant, au moment qu'il tenta de la toucher pour l'aider à se déshabiller. La femme eut un moment de recul et se crispa sur elle même. Surpris et à la fois vexer, le Sorcier sentait monter en lui la colère et la rage. Son médaillon trembler et le dragon hurlait en lui. Mais à présent, il arrivait à le contrôler grâce à Shona. Ceci dit, ça ne changeait que ce batard l'avait donc bien violé et elle était traumatisé à présent. Ne souhaitant pas forcer les choses et n'échangeant aucun mot avec elle. Il se contenta de mettre des vêtements propres appartenant à sa sœur Leah sur le lit et referma la porte derrière lui.


~ Quelques heures plus tard ~

Jason était dans la salle d'entrainement en train de s'entrainer aux arts martiaux contre des mannequins en bois. Il entendit soudain la porte du donjon s'ouvrir et se refermer derrière elle. L'homme torse nu et plein de sueur en pantalon de kimono. Il se retourna pour voir qui venait le rejoindre pour s'entrainer avec lui. A sa grande surprise, il s'agissait de Malory changeait dans les vêtements qu'il lui avait fournit. Les cheveux attachés et le visage soigné avec des strippes pour les coupures. Il pouvait voir qu'elle dévisageait. Regardant sa brulure de la salamandre sur l'avant bras et les phalanges de ses mains en sang. Le Sorcier c'était défoulé et calmer sur les mannequins d'entrainements. Jason avait changé et il arrivait à mieux se contrôlait à présent. Avant qu'elle parte, il n'était pas comme ça et partait au quart de tour. Il est donc logique qu'elle analyse et le regarde haut en bas. Après un très long moment de silence et une fois que Jason repris son souffle ce dernier lui adressa ses premiers mots :

" Ce qu'il nous ne tue pas ! Nous rends plus fort ! "

La jeune femme ne répondant pas, il continua :

" Je ne te laisserai plus partir ! Tu es la personne à qui je tiens le plus ! Et il est hors de question que l'on te fasse du mal à présent ! Nous avancerons ensemble à présent ! "

La jeune femme d'une voix douce et calme répondit donc à son petit ami.

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Mehdi Bakkali
Directeur de Serpentard
Mehdi Bakkali


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Messages : 214

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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyVen 24 Jan - 20:35

Il ne restait plus grand chose à faire. Théodora se détacha de mon corps et pétrifia un mastodonte me demandant de na pas le tuer quand elle me vit lever la baguette pour l'exécuter.
Je hochais la tête et rangeais ma baguette dans le plis de ma tunique avant de m'éloigner à la recherche de Malory. Je la trouvais au loin, avec Jason. Je décidais de ne pas intervenir immédiatement, ils avaient certainement beaucoup de choses à se dire, surtout avec le "Je l'ai bai..." du sang de bourbe que Jason avait exécuté. Je pris une grande bouffée d'oxygène, et partis rejoindre Théodora qui était assise entrain de fumer.

- Tu m'en files une? J'essaye d'arrêter mais là, je t'avoue qu'une bonne clope me ferait du bien. - Elle me répondit et nous discutâmes quelques minutes, le temps de finir nos cigarettes. - Viens, suis moi, rentrons chez Jason, tu as besoin de repos après tout ce qu... Après toute cette aventure - rectifiais-je à la fin, ne voulant pas la brusquer avec ce qu'elle avait vécu.

Nous nous levâmes et transplannâmes au manoir, où les élèves et le personnel nous accueillirent sous des applaudissements. Je n'avais jamais vu mes élèves aussi contents ! Nous traversâmes la foule et je montais avec Théodora vers une des chambres vides. Arrivés, je m'assis sur le lit avant de laisser mon dos tomber dessus en baillant.

- Théodora, je crois que je te dois des excuses. - Elle me me fixa d'un air interrogateur - Bah oui, j'ai proposé de tuer ton mari, c'est pas classe ! Mais pour ma défense j'ai à dire que tu n'avais qu'à pas épouser un moldu ! - dis-je pour rigoler. - Bon, je te laisse, je vais voir si je te trouve des habits convenables dans le dressing de ma sœur... euh plutôt dans celui de JannaLynn; Goya a un style assez particulier ! - Je lui posais un baisé sur le haut de la tête et la laissais se reposer.

Je pris la direction de notre chambre à JannaLynn et moi. Je sélectionnais quelques habits confortables, un pyjama et demandais à Hander, mon elfe de maison de les emmener à Théodora et de les laisser au pas de la porte de sa chambre et juste toquer à sa porte pour ne pas la déranger.

Ensuite, j'envoyais une lettre à JannaLynn qui était avec notre fille chez ma belle famille. Je lui racontait dans le détail tous les événements qui ont eu lieu durant ces 24 heures où elle était absente.  J'envoyais mon Pétrel Géant en direction du chateau Owen et me changeais pour dormir. J'étais KO archi KO, je dormis jusqu'au lendemain.

Ce fût Goya qui me réveilla en claquant un marteau sur la table de nuit près de mon oreille. Je me levais à demi dans le lit, faisant sauter mes lunettes et le livre qui traînaient sur le lit avant que je ne m'endorme par mégarde.

- T'es folle?! Tu veux me tuer !?... Putain...  - Grommelais-je en essayant de distinguer mes pieds de ma tête pendant que Goya explosait de rire. - C'est pas drôle... Et qu'est-ce tu branles avec un ça ! - Criais-je en signalant le marteau - Allez, p'tit frère, lève toi, j'ai des choses à te raconter.

Je me levais et partit faire ma toilette. Je retournais dans la chambre enroulé dans mon peignoir en soie, Hander avait amené le petit déjeuné et Goya était assise à la petite table devant la fenêtre entrain de fumer en sirotant son café. Je pris place en face d'elle et me servit un café aussi. - Bon, qu'est-ce que tu as à me dire? - Interrogeais-je trempant mon croissant dans le café.

- Oui, euh... Ah voilà ! L'homme que ton amie n'a pas voulu que tu tues, eh bien Azar et moi l'avons torturé et il nous a sorti des informations juteuses.

- Mhm, vous l'avez torturé comment? - demandais-je,  ceux à quoi elle répondit - Oh un peu n'importe comment... ! Azar lui a tranché le sexe! - Je manquais de me tuer une nouvelle fois en avalant de travers. Reprenant mon souffle - Goya je t'en prie, je mange ! ... Putain, j'en veux plus - Claquant les doigts et m'adressant à Hander pour lui ordonner de tout ranger et de laisser que le café - Vous étiez obligés d'en arriver jusqu'à là?

- Tu te moques de moi?! Mehdi, il a violé ton amie ! Ce n'est pas un motif suffisant pour lui arracher la teub selon toi?! - Me servant dans son paquet de clopes - Oui, c'est vrai que vu comme çà... J'avais oublié ce détail. Et on dit un pénis, pas une teub...  Tu as du feu? - Elle enflamma une allumette et alluma ma cigarette. Je croisais les jambes et laissant tomber mon dos contre le dossier du sofa. - Merci. Alors, vous avez quoi comme informations?

- Eh bien il s'appelle Winston, et ce n'est qu'un pion dans l'échiquier. Il nous a avoué que leur chef est le générale des armées des Etats Unis. - Je crachais une bouffée de fumée - Ouias et ...? - Questionnais-je. - Et les moldus sont entrain de concevoir une arme pouvant provoquer des dégâts à échelle mondiale, pas pour nous tuer quoi que c'est possible selon la violence de l'impact. - Je l’interrompis- D'accord mais je ne comprends pas. Si ce n'est pas pour nous tuer, c'est pourquoi faire alors? - Elle alluma une autre cigarette avant de me répondre, réfléchissant à comment elle allait m'annoncer cela sans me faire tourner le sang. - Une arme pour annuler la magie, réduire nos pouvoirs à néant.

Je restais de marbre. Un silence lourd s'installa dans la chambre, seule Hander faisait du bruit un grommelant au fond de la pièce. J'éteignis ma cigarette dans le cendrier sans même la finir et soupirais. - Plutôt être mort que devenir sang de bourbe, tu m'entends Goya? Plutôt mourir ! - Dis-je d'une voix sombre et un air grave. - Qu'a-til dit d'autre?

- Rien d'autre, il dit qu'il ne sait pas comment il s'appelle, ni à quoi il ressemble ni à où le trouver.

- Il ment. Où est-il?

- Dans la crypte. - répondit ma sœur.

- Emmène moi jusqu'à lui. - Dis-je me levant d'un bond. - Rien de mieux qu'un peu d'exercice pour bien démarrer la journée ! - M'exclamais-je. Je pris ma baguette, me changeais à toute allure, et suivis ma sœur jusqu'à la crypte où notre prisonnier avait passé la nuit attaché, ligoté et bâillonné. Il venait de se réveiller.

- Bien, qu'avons nous là? - Demandais-je me précipitant vers lui et lui assénant une gifle si forte que je sentis une dent se décoller de la mâchoire. Je lui retirais le bâillon et il cracha sa molaire.

- Non, pitié, pas encore ! Je vous en prie !

- On ne prie pas ici mon cher, si vous voulez priez, allez à l'église ! Ici on a plus tendance à exécuter les châtiments requis contre les pêcheurs ! - Et finissant ma phrase, je lui donnais un coup si fort sur le haut de l'épaule avec le manche de ma canne que nous entendîmes craquer la clavicule dans toute la crypte, avant d'être étouffée par les hurlements de notre victime. - Goya, tu as de l'adrénaline sur toi? - Elle hocha la tête, appuyée contre le mur, contemplant le spectacle. - Bien, parce que je sens qu'il va avoir besoin d'un ou deux shots quand j'en aurai fini avec lui ! Alors, Winnsssttonnn ! C'est bien ça? Tu vas me dire où retrouver votre chef ou je te jure que je vais t’enfoncer ma canne si profond dans le c*l qu'il va falloir la faire sortir avec une pelleteuse ! Et ton Dieu n'est pas du genre à se mettre en travers de mon chemin ! Où est-il?

- Je vous le jure, je l'ignore, j'ignore tout !! Pitié ! - dit il en pleurant, puis se tournant vers Goya - Mademoiselle, je vous ai déjà tout avoué hier, je ne sais rien d'autre.-  Il croyait pouvoir l'attendrir? Elle est pire que tous les Bakkali réunis. Elle s'approcha de lui doucement et planta le talon aiguille de ses chaussures pile dans l'orifice de ce qui autre fois était son pénis, et il hurla de douleur tellement fort que je dus lui infliger le maléfice Silencio pour ne pas voir arriver tous le reste des personnes sous le toit.

- Je ne suis pas convaincu... - Je lui martelais un autre coup de canne sur la tempe gauche cette fois-ci. - Vous savez, nous avons toute notre journée ma sœur et moi pour vous soutirer des informations, et vous n'avez  aucune chance de vous en sortir si vous ne nous dites pas tout mon cher ami... - J'arborais un sourire mesquin -  Allez, faites un effort, je suis sûr que vous en savez plus que ce que vous voulez nous faire croire ! De toutes façons vous n'avez aucune chance de sortir d'ici !  Et... Si vos réponses nous semblent satisfaisantes, sachez que mon médecin est une excellente chirurgienne et sera certainement en mesure de vous rendre votre... membre viril... ! Je vous en donne ma parole ! - Dis-je regardant avec dégoût ce qui restait de sa partie génitale.

Essoufflé, affamé, assoiffé, meurtri, il répondit enfin par petite coupures.

- Vous... Vous... Vous le trouverez à la Nouvelle Orléans... En Louisiane. C'est... C'est là où se trouve le berceau de la sorcellerie... Il veut.. Il veut vous éradiquer depuis la racine.

- Eh ben voilà ! Parfait ! Vous voyez, avec un peu de bonne volonté ! Et il s'appelle comment ce charmant monsieur?

- Il s'appelle Slade... Slade Jenkins Rogers !!  - Répondit-il tremblant de fièvre et devant ma canne lorsque je la levais au ciel pour le frapper de nouveau avec. Ses plaies s'infectaient. Il pouvait avoir tous les muscles du monde, encore une journée sans soins et il mourrait.

- Paaaarfait, et à quoi ressemble-til? Tu as un portrait sur toi peut-être? - Demanda Goya.

- Non, pas de portrait... Mais il a perdu un œil dans une guerre... Il... Il porte - Il avala de la salive glaireuse avant de continuer - il porte un couvre-œil pour cacher l'orifice ! Il est aussi très grand et musclé, avec des... -haletant - Avec des cheveux noirs et une barbe crépue !  

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 A95c4c10

- Bien ! Merci beaucoup ! Goya, très chère nous pouvons y aller ! - Dis à ma sœur, me recoiffant les cheveux en arrière avant que le fameux Winston ne nous interpelle. - Vous avez promis de me rendre mon pénis !

- Aaah oui, le pénis... Le fameux pénis... ! Euuuh... - Dis-je lançant un regard circulaire dans la crypte -  Goya, c'est toi qui l'a?

- Oui, je pensais m'en faire un talisman ! - Elle prit le penis dans un bocal situé sur la meurtrière du mur de pierres  et le sortit avec sa baguette. Elle le jeta sur l'homme mais juste avant qu'il ne l'atteigne, elle envoya un Incendio dessus, le transformant en cendres. - NOOOOOON !!! - Hurla Winston tandis que nous rigolions de toutes nos forces. - Vous apprendrez  qu'un réel sorcier ne fais pas de paroles à un sale sang de bourbes... Juste un petit conseil... Pour l'avenir ! Enfin... Si vous vous en sortez vivant !

- Pitié, tuez moi ! - implora-t-il.

- Ah ben non, attendez ! Ne soyez pas égoïste ! Non ! Vous devez encore faire face à Malory et Théodora, je ne vais pas les priver de ce droit et je ne raterai ça pour rien au monde ! Sans oublier Azar qui se fera une joie de revenir s'amuser avec vous à sa manière !

- Avec un peu de chance la septicémie vous aura tué avant ! Je ne voudrai pas affronter ces trois là même dans un duel amical !

Et Goya et moi nous éclipsâmes en riant dans l'ombre des couloirs, tandis que nos éclats de rires et ses cris et ses pleurs se transformaient en échos au fur et à mesure que nous nous éloignions.
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Mathéo Kénaël
Membre du personnel de St Mangouste
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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyDim 26 Jan - 14:40

Nous étions Philomena, Victoria et moi dans une pièce loin de tout le monde, j’avais pris le soin de bien fermé la porte derrière nous pour que personne ne puisse entrer. J’étais assez énervé mais je me forçais de tout mon être à rester calme car non seulement nous étions chez les Olianov et c’était des hôtes admirables, il y avait des enfants dans les pièces proches de la nôtre et aussi j’avais l’angoisse de ne pas pouvoir me contrôler si je rentrais dans une vraie colère.

Philomena ressentait que j’étais tendu et sur le point de craquer, elle posa une main apaisante sur mon bras pour calmer les battements de mon cœur. Je vis alors ma femme me dépasser et se diriger vers sa mère pour lui assener une belle gifle, malgré qu’elle le méritait je restais un peu surpris par ma femme que je n’avais jamais encore vu dans un état comme celui-ci.

Elle était vraiment en colère, elle lui sortit tout ce qu’elle avait sur le cœur, une longue tirade qui rassemblait tout ce qu’elle ressentait et tout ce qu’elle pensait d’elle depuis surement de longs mois, toute ces choses qu’elle contenait mais qui sortait maintenant alors que Victoria avait dépassé les bornes. Elle s’arrêta à peine pour reprendre sa respiration et repris la parole.


-          Maintenant, tu vas aller t’excuser auprès de Lord et Lady Olianov pour le boucan et tes manières désolantes car on est chez eux ici, pas chez toi, mets-toi ça dans la tête ! Personne n’est sous ton joug et personne ne t’obéira. Ça te convient, tu peux rester en ne te mêlant de rien sinon tu pars, tout de suite

Victoria n’écoutait qu’à moitié ce que disait sa fille, faisant des grimaces et des gestes vulgaires pour détourner une attention un peu trop sérieuse sur sa personne.

- Vous entendez ça Mathéo ? "Ses enfants" ! HAHAHAHAHAHA ! Vous faites vraiment mal votre devoir de mari ! Qu'attendez-vous pour l’engrosser ? Vous n'arrivez plus à bander ?! HAHAHAHAHAHAHAHAH !

En entendant sa phrase, je restais muet et ma surprise devait surement se voir sur mon visage car elle rigolait en me regardant. Cette femme voulait me faire perdre mon sang froid, je le savais et je me contenais de toute mes forces pour ne pas lui sauter à la gorge !

Qu’elle affreuse personne, parler de sa fille, de sa chair de la sorte. Comment pouvait-on rien que penser ainsi. Mon orgueil d’homme en prenait un coup malgré que je savais que tout ce qu’elle racontait était faux, tout allait bien de ce côté-là et nous étions même dans le désir d’avoir un autre enfant mais là n’étais pas la question, ce n’avait rien à voir avec la situation…


- Oh assez de balivernes Philoména ! Pensais-tu réellement que j'allais abuser du Doloris sur toi ! Tu es folle ? Je ne souhaiterai pas ce sortilège même à ton crétin de père s'il était toujours parmi nous ! Mets-toi bien dans le crâne ma fille, que je ferai ce que je voudrai quand je voudrai, où je voudrai avec qui je voudrai, et ni toi ni ton suceur de sang allez m'en empêcher. Ce n'est pas moi l'ennemie ici ! Ces enfants ne sont pas prêts et ne le seront certainement jamais avec toi ! Tu es nulle ! Tu es faible ! Dans la nature, les êtres comme toi sont sacrifiés, éjectés du nid et de la meute ! Pas de pitié pour la médiocrité ! Tu fais quoi à part lire des bêtises dans les étoiles ?! Tu m'étonnes que je t'ai abandonné ! A quoi bon nourrir une bouche inutile ?!


Je voyais ma femme bouillonner de rage, je la gardais près de moi pour l’apaiser, la serrant dans mes bras et lui susurrant des mots rassurants.

- Ne t’inquiète pas, tout ce qu’elle dit est totalement faux. Elle ne te connait pas.
- Et heureusement que tu es jolie ma chérie, car c'est la seule chose qui te sert et te fait avancer !!

A ces mots, j’en eu marre, il fallait que ma rage sorte d’une façon, je m’approchais d’elle prêt à la gifler ; Il fallait qu’elle arrête de dire des âneries. Et surtout qu’elle parte d’ici, on ne pourrait pas rester dans cette situation plus longtemps. A ce moment-là elle disparut de devant nous et transplana dans notre dos.

- Avez-vous oublié cher gendre que je possède le don de na pas utiliser de baguettes pour faire de la magie ? Regardez dans votre poche !

Je vérifiais dans ma poche droite et effectivement, ce qui avait servi de lien pour ses mains s’y trouvait, dans mon autre poche sa baguette retournait magiquement à sa propriétaire.
Je voyais son sourire, son petit rictus qui signifiait « je vous ai eu ». J’allais sortir ma baguette quand Philomena s’écroula prit de spasme et de fort tremblement. Je me précipitai vers elle pour la retenir.


- Chérie, que se passe-t-il ? calme-toi, je suis là…

C’est alors que la pièce trembla, étais-ce qu’ici ou tout la maison était dans cet état-là ?

- Qu’êtes-vous en train de faire ! criais-je. Vous allez tous nous tuer !  

Mon cri ne fut pas assez fort devant la force des secousses, les vitres qui se trouvaient en face de nous se brisèrent sous la pressions des mouvements, un vent intense entra dans la pièce faisant virevolter les gravats et les bouts de verre dans un tourbillon digne des plus grands films moldus.
Les débris nous atteignirent et je mis tout mon corps sur ma femme, en bouclier, essayant tant bien que mal de la protéger de ce cataclysme. Je regardais du coin de l’œil Victoria, il fallait que je trouve un moyen ou de l’arrêter ou de nous éloigner d’elle au plus vite avant qu’elle nous tues.

Le corps de la mère de ma femme se mit à se suspendre dans les airs, bras écartés en signe de croix. Une substance noirâtre sorti de son corps se mêlant au différents débris qui venait me marteler le dos.   La douleur se faisait ressentir lorsque je sentis un plus gros morceau de verre se loger dans mon épaule gauche, je me mordais la lèvre pour passer au-dessus de la douleur.

La chaise de bureau me percuta également la hanche, je tenais ferme, pieds profondément ancré dans le sol. Il fallait que je la protège, rien ne devait lui arriver.
Alors que je me concentrais profondément pout tenir le choc je sentis que quelque chose changeait … un autre tourbillon se formait mais cette fois c’était elle, Victoria, elle disparaissait ?

Avant que je n’eus le temps de comprendre, le mur derrière elle explosa, le vent s’engouffrant avec force dans le passage emportant avec elle tout ce qu’il restait de ma belle-mère. Tous les objets volant dans la pièce tombèrent d’un coup et au milieu de la pièce se trouvait une mare de sang avec une photo et la baguette de Victoria, un mot où était écris « Merci ma fille ».

Elle était réellement morte ?  Elle avait fait tout cela dans le but de créer cette tension et de pouvoir partir ?  

Je sentais mes muscles doucement se décontracter, regardant Philomena au creux de mes bras, elle avait l’air vraiment déboussolée, je déplaçais délicatement une mèche de cheveux qui obstruait son visage et lui embrassai le front. Ne sachant que dire d’autre.


- Tout va bien, ça va aller. Tout est fini.

On resta ainsi quelques minutes ou quelques heures, pour dire vrai je n’en avais aucune idée. Le temps avait totalement disparu, comme si cette pièce était hors de la vie réelle. Quand nous reprîmes un peu nos idées, surpris par la douleur de ma blessure à mon épaule et par les nombreuses ecchymoses sur mon corps j’aidais Philomena à se relever ou peut être plutôt nous nous aidions mutuellement.

Arrivée à la porte, nous ouvrîmes doucement vers le couloir et nous fûmes surprit de n’y voir rien de changer. Comme si tout ce qui c’était passé était uniquement dans cette pièce mais alerter par le bruit Lady Olianov fut la première à arriver sur les lieux pour constater le carnage, elle nous regarda puis à l’intérieur de la chambre d’un air un peu effrayé et interrogateur.


- Elle est partie. Elle ne reviendra plus, c’est fini. Lui dis-je pour la rassurée et pour nous réconforter un peu aussi.  

Mister Olianov nous aida à monter dans notre chambre, un de mes élèves le suivirent avec un nécessaire de secours pour nous soigner.

- Comment vas-tu Philomena ? demandais-je à ma femme, n’ayant pas de réponse immédiate, elle avait l’air ailleurs et c’était compréhensible. Je réitérais ma question. Chérie, comment te sens-tu ?  

Alors qu’elle me répondait et que je me faisais surement retirer le morceau de fenêtre qui c’était loger dans mon omoplate je ressentis un appel. L’appel des Vampires.
On allait bientôt avoir besoin de nous, surement pour un combat à Poudlard, vu d’où venait l’appel. J’espère que toute ma force sera rétabli d’ici là…
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Céline Chantress
Professeur de Métamorphose
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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyDim 26 Jan - 15:04

Je venais à peine de revenir de près au lard, où j’avais entendu l’appel des autres concernant un combat pour récupérer nos deux amies Malory et Théo ainsi que le lieu qui avait été pris par les modlus, j’étais assez déboussolée devant tant de haine et de malveillance… le regard de détresse intérieur de nos compagnons sorcières m’avait chamboulée.
Elle n’avait pas vécu une partie de plaisir lors de leur infiltration et je pense que nombreux de nous n’aurais pas pu tenir dans de telle condition quand le temps aura un peu diminué les douleurs je leur dirai ma fierté et ma reconnaissance pour ce qu’elle on fait.

Malgré que je n’avais pas encore pu discuter avec elles je savais qu’elles avaient surement récupéré d’importantes informations et en ces temps de guerres toutes ces choses étaient précieuses. Je montais dans ma chambre et prit le temps de me doucher et de changer de vêtement, ou plutôt de jeter les vêtements actuels, taché de sang et complètement déchiré par la force de ma transformation en tigre.

J’étais en train de me sécher les cheveux avec une petite serviette éponges tout en déambulant dans les couloirs pour m’assurer que tout allait bien quand j’aperçu une porte ouverte, c’était la chambre provisoire d’une petite première année, Eléonore.  

Je m’arrêtais pour la regarder et vit dans son regard, de la tristesse et de la solitude… ça devait être compliqué à son âge de vivre tout ça. Je m’en voulais un peu de ne pas avoir vu qu’une de mes élèves n’allait pas bien avant cela.
Je calais ma serviette un peu humide sous mon bras gauche et de l’autre mains je toquais à la porte.
Je rentrais doucement dans la pièce et en la voyant avec ce petit lapin je ne pus m’empêcher de voir mes frères et sœurs il y a quelques années, elle ressemblait beaucoup à ma sœur Maïwenn.

- Je peux te déranger un peu Eléonore ? demandais-je en m’asseyant sur une chaise. Tu n’as pas l’air dans ton assiette, tu veux m’en parler un peu ?

Je lui souris. Malgré que je n’avais pas encore l’occasion d’avoir des enfants, j’étais plutôt de nature maternante et le fait de sentir cette détresse dans ce petit corps me faisait mal. Toute la maison Poufsouffle était en réalité mes enfants…
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Éléonore Slowird
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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptySam 1 Fév - 23:43

C’était indéniable, je me sentais seule. Quelle ironie n’est-ce pas ? J’étais entouré de tous mes camarades et amis, j’avais la chance d’avoir un toit, de la nourriture et toute la compagnie et le réconfort que je souhaitais. J’étais entouré, dans une demeure chaleureuse, amicale, et la chaleur de cette maison venais, non pas seulement d’un chauffage purement mécanique, mais également d’une ambiance bonne enfant et agréable malgré les événements dont je refusais toujours de me rappeler.
Mais je n’avais pas envie d’avoir beaucoup de gens autour de moi aujourd’hui, la chaleur et l’amabilité de mes amis n’étais pas ce que je recherchais aujourd’hui. J’avais besoin de mes parents.
J’avais besoin de leurs bras m’entourant, de leurs regards apaisants, de leurs mots doux et encourageant. Tous cela me manquait et j’avais plus que tous envie de les avoirs à mes coter. Mais je pense que même si on me proposait de m’amener a eux ou de les amener a moi, je n’accepterais pas. Je ne peux pas être égoïste, cela poserait sans doute trop de problème. Je ne suis qu’une enfant, je le sais parfaitement, je ne comprends pas tous a fait la situation, je ne connais pas les enjeux et je ne peux rien faire pour aider. La seule chose que je peux faire, c’est rester sage dans un coin et ne pas faire de vague.
Le pelage doux de Perceed me réconfortait cela dit. Toutes ces pensais fulminais dans a tête alors que je continuais a chanter pour ma petite lapine. Elle était ma famille elle aussi, je ne pouvais pas la laisser être triste.
J’entendis un bruit provenant de l’entrebâillement de ma porte de chambre, cela ressemblait a quelques cou qu’on aurais doucement donner pour signaler sa présence. Tandis que je me tourne vers la porte, je vis Madame Chantress la passer, une serviette sous son bras, ses cheveux encore un peu humides. Je pliai légèrement les genoux pour m’abaisser quelques secondes avant de reprendre ma taille normal en guise de salut et je la suivais du regard tandis qu’elle s’approchais d’une chaise pour s’y assoir.

«  Je peux te déranger un peu Eléonore ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette, tu veux m’en parler un peu ? »

Je baissai les yeux. Non je n’allais pas bien, je ne pouvais pas le niez même si je le voulais. Je suis trop sensible, les autres n’on aucun mal a continué de sourire, pourquoi suis-je autant atteinte de ce genre d’émotion ?
Je regardais Madame Chantress tristement, les yeux mouiller.

« Oh madame. Je ne comprends rien. Qu’est ce qu’on doit faire ? A quoi sa sert qu’on reste ici ? Qu’est ce qui se passe dehors ? Je suis si perdu ! Est-ce qu’on a fait quelque chose de mal ? »


J’étais au bord de larmes, tous ces questionnements me tourmentaient depuis un moment maintenant et tous sortir d’un coup … Je ne pouvais le supporter. Trop d’émotions étais retenus dans mon corp, je ne pouvais les contenir plus longtemps.

« Que pouvons-nous faire madame ? Nous, les enfants de non-Mage ? Où est notre place ? »  
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Serverus Killian
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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyDim 2 Fév - 15:08

Voilà déjà quelque temps, que je m'étais absenter de la scène, est que je m'étais retiré un peu du monde magique, il y a eu tellement d'événement qui ce sont dérouler que j'avais besoin de souffler un peu, j'ai donc quitte mon poste de Ministre pour pouvoir me recentrer sur moi et faire le vide dans ma tête. Je m'étais donc installé dans un petit endroit coupe du monde, entoure de Nature avec d'immense et beau paysage. C'est donc ainsi que pendant très très longtemps, je me suis occupé à faire diverse tâche, comme de la méditation, de la recherche ou encore à cultivé un potager, mais pensez-vous que cela peut duré longtemps ? Malheureusement que non, car dans le monde magique, il y a toujours quelqu’un qui est avide de pouvoir en voulant prendre le contrôle du monde entier, est cela engendre à chaque fois une guerre, avec des pertes et des morts, comme si le monde que nous connaissons était coincer dans une boucle perpétuelle avec une envie à chaque fois de recommencer les même erreurs au même endroit, mais par chance il y avait des sorciers et sorcières comme nous, qui allons combattre ce genre d’extrémiste jusque à la fin des temps, car tant que nos coeurs serons animer par cette volonté de garder un monde libre, nous allons réussir à les mettre en déroute et gagner chaque combat contre eux.

C'est donc pour cette bonne et unique raison que j'ai décider de quitter mon havre de paix, est ainsi venir en secours encore une fois, en espérant cette fois sincèrement éradiquer le mal qui y habite sans qu'il ne puisse jamais y revenir mais bon, je pense que mes rêves son un peu fou et que j'aurais du mal à le réaliser,  alors que j'étais fin près pour mon voyage, direction Londres, capital du Royaume-unis, est endroit remplis d'une forte histoire magique, alors que j'étais arrivé, les lieux n'avait guère changer, à une différence près, je pouvais sentir que quelque chose de lourd peser sur cette ville, est sur tant d'autre, je pouvais voir sur le visage des gens que je croisais un mélange de peur et de paranoïa, mais que pouvez-vous t'ils les effrayaient autant ? Pour en avoir le coeur net, je devais me dirigeais vers les autres, pour essayer de comprendre un peu mieux toute cet histoire. Tandis que je me déplaçais d'un pas vif et rapide, je pouvais voir de plus en plus un psychose générale, je devais vite aller dans le lieu ou nous nous réunissions autre fois, me voilà enfin devant la grande bâtisse, je poussais les portes, pour entrer, dans l'immense hall, personne pour me sauter dans les bras, ou m’accueillir, alors que je tendais l'oreille, je pouvais entendre des voix s’élever d'une pièce, alors que je rentrais, mon coeur bondis mes amis, et famille était là, mais ils semblaient inquiet, est beaucoup plus que d'habitude, car nous avons survécus à plein de chose, mais la je sentais quelque chose de différent.

 - Est bien c'est ainsi qu'ont accueille un Ministre ? Vous devriez revoir, certaine base les amis.

Je ne pouvais m’empêcher de rire, avant d'aller saluer tout le monde.

 - Sinon trêve de plaisanterie, une âme charitable pourrait-elle m'expliquer ce qui se passe ici, car il y a bien longtemps que je suis partis, mais je sentais que je devais revenir pour vous aidez, car que feriez-vous sans moi les enfants ?.

C'est ainsi que je pris place dans un fauteuil en attendant plus d'information.
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Malory Olianov
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Malory Olianov


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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyLun 3 Fév - 0:16

J’avais suivi Jason sans poser de questions, sans parler tout court. Les applaudissements me percutèrent les oreilles comme un bruit désagréable qu’on ne comprenait pas.  On se demandait d’où il venait.  Je regardais lentement autour de moi en laissant mon regard faire une trajectoire circulaire et je vis un grand nombre d’élèves, souriant, soulagés mais aussi fatigués. Je percevais le bruit ambiant et l’énergie électrisante derrière un voile de brouillard épais. De la purée de petits pois diraient les Londoniens. Je me sentais déphasée par rapport aux autres, un train de retard. Cette sensation me rappelait mes moments avec Mister Blondinet lorsque je débranchais mon cerveau de mon corps pour ne pas ressentir ou avoir d’impact psychique sur ce qui allait se passer avec mon corps physique. Je me laissais guider sans opposer aucune résistance et sans jeter de regards autour de moi, sans regarder Jason non plus. Tel un automate, je marchais sans réfléchir et sans conscience propre, plus par automatisme que par envie ou volonté.

Sans m’en rendre compte, nous traversions des couloirs, nous passions des tournants à droite et à gauche. Mon cerveau toujours branché, me rappelant là encore une fois, le moment où j’avais eu les yeux bandés pour ne pas voir le chemin conduisant aux salles d’interrogatoire. Je frissonnais me n’ouvrit pas la bouche pour autant, me contenant d’ouvrir les yeux de peur avant que cette lueur ne parte aussi soudainement qu’elle était venue. Jason ouvrit une porte et en entendant le petit cri, je levais la tête et vit Fumseck devant moi, sur son perchoir. Je souris de tendresse devant cet oiseau géant et magnifique qui nous avait bien aidé Teo et moi. Je pensais alors à Teo et me demandais où elle était. Où l’avait-on emmené ?? Je n’avais pas été séparée d’elle aussi longtemps depuis des semaines et des semaines. Je me sentais seule et abandonnée, face à des gens qui ne pouvaient pas comprendre.

Quand j’entendis la porte de la chambre se refermer, car c’était bien une grande chambre, avec un grand lit baldaquin, une grande cheminée, un fauteuil, une commode, etc, je regardais pour la première fois Jason. Je le regardais droit dans les yeux mais je ne pouvais rien dire et je n’avais pas envie de parler de toute manière. Ils allaient tous finir par se demander si j’avais encore ma langue…mais ça n’avait pas d’importance. Je me rendis compte que je m’en fichais éperdument de ce que les autres pensaient ou penseraient. Je savais que j’avais sans doute changé depuis que nous nous étions vus, à Poudlard, avant que je ne parte sans lui dire au revoir et sans le prévenir. Je sentais que j’avais plusieurs blessures au visage, sans doute, sans importance sinon, je ne serais pas là, d’autres sur le corps mais que l’on ne pouvait pas voir car elles étaient cachées sous mes couches de vêtements et d’autres que l’on ne verra jamais mais qui sont pourtant bien présentes. Je sentais le regard de Jason sur moi et je me sentais mal à l’aise devant cet examen mais il partit finalement, dans une pièce adjacente, me laissant seule. Je soupirais puis tournais la tête vers les fenêtres d’où je pouvais voir un très beau jardin qui s’étendait jusqu’au loin de la ligne d’horizon. Je souris devant ce spectacle de nature pure.

Le bruit des pas de Jason revinrent vers la chambre. Je détournais mon regard de cette vue imprenable me surprenant à penser au plaisir que ce serait d’avoir cette chambre tout le long de sa vie. Il avança vers moi avec un gant mouillé et chaud, et il commença à le passer sur le coin de mon visage. Je le laissais faire et à chaque coup de gant de toilette chaud sur mon visage, je laissais mes muscles se détendre petit à petit, laissant Jason faire, sans broncher. Ce n’est pas tant les gestes calmes et doux de Jason que la sensation du gant chaud sur ma peau qui eurent cet effet. Je recevais de la tendresse et on prenait soin de moi. Cependant quand Jason m’embrassa le front, je me tendis de nouveau imperceptiblement faisant un effort pour ne pas le vexer mais quand il essaya de m’enlever mes vêtements, je reculais d’un mouvement leste et rapide loin de sa portée. Je le regardais les yeux froncés et méfiante. Il allait vraiment profiter de la situation ? Ils étaient donc tous comme ça ?? C’est quand je croisais son regard vexé et surpris que je compris qu’il n’avait eu aucune intention sexuelle envers moi et quand il plaça des vêtements propres sur le lit avant de partir sans rien dire, je compris qu’il avait juste voulu m’aider à me déshabiller pour que je revête du linge propre. Je me sentis bête mais je sais que s’il recommençait de nouveau, j’aurai encore la même réaction. Je ne pourrais pas m’en empêcher. Je ne contrôlais pas les réactions de mon corps. C’était instinctif. Une défense, une protection que mon cerveau avait mit en place pour me protéger. Je regardais la porte se fermer avec un grand soulagement et je m’en voulus car Jason ne m’avait jamais mal traité et j’avais fait mal. Nous nous chamaillions mais c’est tout. Jamais il n’avait eu un geste déplacé mais mon cerveau ne faisait pas cette distinction. Je sentis une grande détresse mélangée à de la tristesse m’envahir et mes jambes tremblèrent. Je tombais par terre et je me remis à pleurer. Je me recroquevillais sur moi-même en position phoetal sur le sol, près du lit et à côté des grandes fenêtres et regardant le ciel, je finis par m’endormir tout en sanglotant.

Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi mais je finis par me réveiller d’un seul coup. Je ne sais pas ce qui m’avait réveillé aussi soudainement mais une fois les yeux ouverts, je ne pouvais plus les refermer. Je me rendis compte que j’étais sur le sol alors, je me levais. Je vis tout de suite les vêtements sur le lit et je me souvins de tout. Je devais parler à Jason, pour mettre les choses aux clairs entre nous et lui donner toutes les informations que j’avais récolté car je ne savais pas si Teo l’avait fait. Je voulais aussi lui demander où se trouvait ma plus qu’amie maintenant. Elle était la seule à pouvoir comprendre ce que j’avais vécu et ce que je ressentais actuellement.

Je fermais la porte à clé en m’assurant par quatre fois qu’elle était bien fermée. Puis pour plus de sûreté et dépassant toute raison, je cherchais quelque chose pour bloquer la porte pour faire une double sécurité. Je pris alors une chaise près d’une coiffeuse et la mis en dessous de la poignée avant de la hisser un peu pour bloquer le dossier sous la porte puis, je poussais le fauteuil qui était lourd vers la porte et le collais le long de la porte. Une fois sereine sur le blocage de la porte, je pris les vêtements sur le lit et allais dans la salle de bain. Je les posais sur une petite table en bois et je fis couler l’eau pour choisir la température. Bouillante, je me mis dans la baignoire et laissais la sensation de brulure manger mon corps. Je sentis une joie et un apaisement devant les picotements. Le feu pouvait avec l'eau me purifier et me sentir propre, je me sentais tellement dégoûtante et le fait que tout le monde sache ce qui mettait arrivé n'aidait pas... Je ne restais pas longtemps ayant perdu cette habitude. Je mis ces vêtements.  Les cheveux brossés et attachés et bien emmitouflée dans un plaid que j’avais trouvé au pied du lit, j’ouvris la porte après avoir tout remis en place. Un coup d’œil à droite et à gauche me rassura sur l’absence de personnes à l’étage ou du moins dans le couloir. Je ne voulais voir personne. Je descendis les marches aussi vite et silencieusement qu’un chat. Je ne connaissais pas la maison donc je ne savais pas où allait ni où se trouvait Jason. Je respirais alors pour suivre l’odeur de celui que je cherchais quand j’entendis un bruit derrière moi. Je fis volte face, prête à attaquer quand je vis un singe habillé se diriger vers moi. Je fronçais les yeux de surprise devant ce spectacle peu habituel.


-          Avez-vous besoin de quelque chose, Miss Olianov ?

Je secouais la tête.


-          En êtes-vous sûr ? Je ne peux rien faire pour vous ?
-          Vous…êtes ?? questionnais-je la voix rauque et faible.
-          Bassey, majordome du manoir Eiwaz.
-          Vous êtes un singe répliquais-je avant de faire un pas en arrière pour éviter un coup qui ne vint pas.
-          Oui, je suis un singe, je parle, je suis habillé et je suis majordome. Je conçois que ce soit étrange. Vous êtes avec des amis maintenant Miss Olianov. N’ayez pas peur.


Je ne répondis rien puis il reprit la parole devant mon silence.


-          Je pense qu’il faudrait soigner ces blessures que vous avez au visage, Miss. Sinon, elles risquent de s’infecter. Venez ! Allez, venez avec moi insista le singe Bassey en voyant que je ne le suivais pas.

Je finis par le suivre et il me conduisit à l’office et me fis installer sur un long banc de bois, devant une grande table imposante aussi en bois. Sans doute la table pour le repas des serviteurs pensais-je en pensant à des choses futiles et raisonnés pour ne pas perdre pied. Je l’entendis farfouiller pour revenir avec une trousse. Il l’ouvrit, une fois près de moi.


-          Je vais nettoyer les plaies et vous mettre des stripes pour aider à la cicatrisation sur vos arcades sourcilières, vos joues et votre lèvre. Attention, je vais vous toucher.


Je hochais la tête, attendant qu’il fasse ce qu’il devait faire. Son contact ne me fit pas reculer, soit parce qu’il m’avait prévenu, soit parce que c’était un singe et que je n’avais pas de traumatisme en mémoire avec un singe parlant. Une fois sa besogne terminée dans le silence, il me regarda et sourit gentiment.


-+          Le maître est dans le donjon entrain de s’entraîner.

Je lui souris péniblement et d’un sourire faible pour le remercier de son aide et partis sans rien ajouter. Que Jason se défoule en salle d’entraînement ne me surprenait pas. Je le connaissais suffisamment pour savoir que quand ça n’allait pas, il avait besoin de déferler sa colère sur quelque chose ou quelqu’un. Grâce à mon smilodon,je suivis son odeur et poussais la porte du donjon qui se trouvait dans l’aile est du manoir. Elle fit un bruit et Jason, torse nu et en sueur, habillé d’un pantalon de kimono se retourna pour voir son visiteur. A ma vue, il ne cacha pas sa surprise.  Je ne m’attardais pas sur son visage, et vis le tatouage et la brulure de la salamandre sur son avant bras et ses phalanages en sang. Je penchais la tête sur le côté en sentant la colère de Jason qui était palpable mais il ne se transformait pas en dragon. Avait-il appris à le contrôler ? Je sentis alors mon absence encore plus crûment. Il avait changé. Je le sentais plus maître de ses émotions. Il avait plus de maîtrise et de contrôle sur lui-même. Lui aussi avait donc changé. Nous n’étions plus les mêmes.


-          Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort !

Je ne répondis rien car je connaissais cette phrase mais je ne savais pas si elle était véridique ou pas et je dois dire que ça n’avait pas d’importance. Je ne me sentais pas forte et j’ai échappé deux fois à une morte certaine et durant ces semaines dans le camp ennemi ma vie, nos vies ne tenaient qu’à un fil. Cette maxime me semblait vide de sens et totalement abstraite de la réalité de la vie et de nos positions dans cette guerre. Je ne sais pas ce que je voulais, mais ce qui était sûr c’est que je n’étais plus la même et ne trouvais plus ma place. Je me sentais seule et je voulais en même temps me complaire et me plonger dans cette solitude et le silence. Mon manque de répartie ne troubla pas Jason et il continua à m’interpeller.


-          Je ne te laisserai plus partir ! Tu es la personne à qui je tiens le plus ! Et il est hors de question que l’on te fasse du mal à présent ! Nous avancerons ensemble à présent !

J’aurai été joyeuse d’entendre ces paroles avant. Prouvant l’attachement de Jason pour moi mais aujourd’hui, je ne pensais qu’à une chose, ce qui s’était passé là-bas. Rien d’autre. Et aux conséquences que ça allait avoir sur notre relation. Les choses que je risquais de perdre. L'amour de Jason et sa sollicitude et sa protection me mirent les larmes aux yeux. D’une voix calme et douce, je répondis à Jason.


-          Tu ne sais pas de quoi tu parles…je ne suis plus la même et tu as changé toi aussi depuis que je suis partie.  On ne peut plus me faire aucun mal, j’ai vécu tout ce que l’homme pouvait infliger à une femme. Même la mort serait douce et accueillante à côté.


Je m’approchais et traversais la pièce pour aller aux fenêtres pour regarder dehors.


-          Avec Theo, on a dû se protéger mutuellement et toujours réfléchir pour ne pas  se faire tuer à chaque instant. On a dû se protéger mutuellement pour ne pas se faire agresser toute la sainte journée par des soldats en rut. Et comme tu l’as sans doute compris, j’ai été obligée de répondre aux avances du capitaine, l’homme que tu as tué et décapité ; et cela pendant deux jours sans interruption…  J’ai réussi à obtenir des informations…sur l’oreiller. Elles sont sûres. Je préfère m’en débarrasser au plus vite.


Je détournais alors la tête de la vue au-delà des fenêtres et sortis un papier de la poche du jean. Je revins au centre de la pièce, près de lui et lui tendis.


-          Il y a tous les détails de ce que j’ai récolté au cours de ces semaines d’infiltration.  Des informations certaines et indiscutables. Quant au reste, sous la ligne rouge, ce sont mes hypothèses et mes remarques stratégiques et tactiques que j’ai pu observer sur places.


Il prit le papier et je fis en sorte que nos doigts ne se touchent pas. Je m’excusais d’un regard et d’un sourire contrit. Je devais parler de choses concrètes et terre à terre.

-          Ayant été sur place, je veux participer à la mission pour la reprise de Poudlard. Je pense que Teodora voudra faire de même. Nous pourrions vous êtres utiles. Après, je voudrais me retirer pendant quelques temps. J’avais pensé chez mes parents en Russie, mais il y a beaucoup de monde là-bas. Alors, je pensais à ma maison dans la campagne de Londres. Qu’en penses-tu ?


Je tentais de lui faire comprendre ma position et la situation pour qu’il ne se sente pas me devoir quelque chose.
 
-          Je ne sais pas ce que tu as en tête pour nous. Ce que tu penses… Je suis désolée Jason…mais si tu veux rester avec moi, si tu veux encore de moi, il va falloir que tu me laisses du temps. Pour l’instant, je peux à peine te regarder dans les yeux, je ne peux pas te laisser me toucher et je ne peux pas être dans la même chambre que toi. Je ne sais pas combien de temps ça va prendre. Je comprendrais. J’ai changé et tu as changé, nous sommes comme deux étrangers. Tu ne me dois rien et je n’ai pas la force et je ne suis pas en position de protester ou de me battre. Je veux juste oublier, passer à autre chose. C’est tout ce qui m’importe. Je voudrais être forte et surmontez ça et arrêtez d'être si pathétique mais je n'y arrive pas, mon cerveau est comme...débranché et en courtcircuit. Il ne m'écoute pas.

Une fois que notre discussion fut terminée, je sortis, le laissant là et partis à la recherche de Teo. Je la trouvai dans une chambre au premier étage et je toquais en précisant dans un murmure rauque que c’était moi. La porte s’ouvrit et à la seconde où je vis mon amie, je sus que quelque chose s’était construit entre nous. Je la serrais dans mes bras sans rien dire. Nous discutâmes enfermée dans la chambre puis, le ventre vide, nous descendîmes dans la cuisine pour récupérer quelque chose à se mettre sous la dent mais sur le chemin, on croisa Goya qui nous demanda de lui suivre. On se regarda et on la suivit et nous conduisant dans les sous-sols, et dans un dédale de couloirs, on se retrouva face à Monsieur Muscle mais avec beaucoup moins de superbe qu’habituellement. Un moment pétrifiée, la rage sourde monta en nous et nous demandâmes à Mehdi et à Goya de continuer leur chemin car ils étaient en train de partir. Nous avions des affaires à régler avec notre invité.

-          Et ne revenez pas !  C’est clair ?

J’attendis qu’ils partent pour revenir vers Teo et lui et je la laissais faire car elle était la principale victime, le mien de bourreau n’était plus mais je pouvais aider mon amie à faire tout ce qu’elle voulait et avait besoin de faire. Je la suivrai jusqu’au bout. Je me tenais en retrait ne faisant rien mais restant au cas où, elle aurait besoin de moi. Je réfléchissais à ce que j'allais faire après. En y pensant, je ne sais pas pourquoi, mais je ressentis le besoin de retourner au Pré-au-lard. Je devais y retourner, maintenant, sinon, je ne pourrai plus le faire. Je partirai dès demain. Je devais prendre des forces et dormir et tenir Jason au courant. Je n'allais pas partir une deuxième fois sans un mot.
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Philomena Albacova Kenaël
Professeur d'astronomie
Philomena Albacova Kenaël


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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyMar 4 Fév - 21:36

J’en avais marre.
Elle devait arrêter ou partir. Je ne voulais plus la voir. Elle mettait tout le monde en danger pour satisfaire ses petits besoins personnels avant tout. Elle dépassait tellement les bornes que  pour la première fois de ma vie, je perdis le contrôle et je la giflais. A première gifle de ma vie et la dernière avait été pour ma mère.  La phrase suffisait pour que l’on s’aperçoive où était le problème. De plus, je n’avais pas que ma vie entre les mains mais celle de tous ces élèves et parmi eux il y avait mon fils avec le personnel de nos hôtes et sans compter ces derniers. Je fulminais devant le rire de ma mère et sa remarque sur notre ressemblance flagrante. Je ne pouvais pas être comme elle. Je ne le voulais pas. Je me mis à regretter mon geste, non pas pour elle mais pour moi. Est-ce que c’était le signe que je commençais à devenir violente et mauvaise comme Victoria ?? Je pris alors la parole pour lui faire entendre raison et pour qu’elle redescende sur terre.

-          Comment oses-tu venir ici ?? Ce lieu sert de planque pour sauver la vie de tous ces enfants ! J’en ai la charge et tu viens comme un ouragan, blessée, ici !? Tu aurais pu être suivi ! Ça se trouve tu as été suivi ! Je te jure que si un seul de ces enfants est tué, ou même blessé par ta faute, je te tuerai moi-même ! Est-ce clair ??



« Miaou » fut sa seule réponse avant qu’elle parte de nouveau en fou rire. Je le regardais et la vis telle qu’elle était : complètement folle, hystérique. Une malade mentale.


- J’ai ces enfants sous ma protection et personne, tu m’entends bien ?? Personne même pas ma mère ne m’empêchera de faire ce que je dois faire ! Un cheveu, un seul cheveu sur la tête de ces enfants n’est abîmé, je t’envoie en cadeau aux moldus et crois-moi, je n’hésiterai pas une seule minute ! Je dois te ressembler sur ce point Victoria, sois fière ! Que ça te plaise ou non, ici, tu n’es rien. Juste une vieille sorcière remplie de haine et qui veut se venger des moldus qui ont essayé de la tuer. Tu veux te venger ?? Soit !! Fais-le ! Mais tu n’entraîneras pas mes enfants dans cette histoire !

- Vous entendez ça Mathéo? "Ses enfants" ! HAHAHAHAHAHA ! Vous faites vraiment mal votre devoir de mari ! Qu’attendez-vous pour l'engrosser? Vous n'arrivez plus à bander?! HAHAHAHAHAHAHAHA !!



Je fus estomaquée de son langage et du vocabulaire cru qu’elle utilisait pour parler et encore plus à cet instant alors qu’elle parlait de Mathéo et moi. Je ne rentrais pas dans son jeu et la regardais se déchaîner toute seule. Elle était ridicule, à un point jamais atteint même par le meilleur bouffon de tous les rois de France et d’Angleterre réunis. Une vulgarité sans limites. Je n’avais aucun soucis avec le sexe et ça ne me dérangeait pas d’en parler mais il y a la manière de faire. Là c’était cru pour du cru, choquant pour choqué tout simplement et c’était pathétique et ridicule à souhait même venant de la foldingue de Victoria comme certains l’appelaient.  Je fis mine de ne pas m’attarder sur ses paroles et jetant un coup d’œil à Mathéo, je vis qu’il gardait son sang-froid. Nous seuls savions comment était notre vie intime et tout se passait pour le mieux mais étant un homme l’orgueil pointait toujours son nez lors de ses sujets mais mon mari tint bon et ne répliqua pas devant cette démonstration de folie et d’obscénité.  Je repris alors la parole.
 
- Ici, ils sont en sécurité pour le moment, ils mènent leur vie comme ils le peuvent et ils ont des exercices de défense, alors laisse moi travailler ! Je sais ce que je fais. Que je ne te vois pas ramener tes salles pattes dans les différentes activités des petits. Tu ne leur enseigneras rien. Tu ne leur parleras pas. Tu ne les regarderas même pas ! Ici, j’ai des enfants de tout sang et de toutes origines ! J’ai même des enfants moldus, eh oui, chère Victoria, des moldus, ici ! Ils sont la bienvenue, ce ne sont que des enfants, nom d’un franklin ! Ils sont innocents et ils n’ont rien fait ! Et tu arrives en disant que tu veux tous les tuer ?? Tous les moldus ne veulent pas notre mort ! Fais la part des choses ! Pas de magie noire ici, pas de haine. Nous vivons ensemble, sang pur, sang mêlé, enfants sorciers de parents moldus et même moldus, et c’est non négociable ! Tu ne remercies jamais pour ce que les autres font pour toi ! Tu ne nous as même pas remerciés de t’avoir soigné, tu n’as fait que de te plaindre et bien, j’en ai marre ! C’est fini ! Et le sort impardonnable imperium a été la gouute d’hydromel en trop et la menace d’un autre, Doloris, ne passe pas ! Sur ta propre fille ! Tu as de la chance que j’aime trop mon mari et que je ne veux pas qu’il devienne un meurtrier à cause de toi ! Si cela avait été quelqu’un d’autre, je n’aurai pas hésité !

Je respirais un bon coup et me calmais pour finir.

-          Maintenant, tu vas aller t’excuser auprès de Lord et Lady Olianov pour le boucan et tes manières désolantes car on est chez eux ici, pas chez toi, mets-toi ça dans la tête ! Personne n’est sous ton joug et personne ne t’obéira. Ça te convient, tu peux rester en ne
te mêlant de rien sinon tu pars, tout de suite !

- Oh assez de balivernes Philoména ! –
dit-elle exaspérée - Pensais tu réellement que j'allais abuser du Doloris sur toi ! Tu es folle? Je ne souhaiterai pas ce sortilège même à ton crétin de père s'il était toujours parmi nous ! Mets toi bien dans le crâne ma fille, que je ferai ce que je voudrai quand je voudrai, où je voudrai avec qui je voudrai, et ni toi ni ton suceur de sang allez m'en empêcher. Ce n'est pas moi l'ennemie ici ! Ces enfants ne sont pas prêts et ne le serons certainement jamais avec toi ! Tu es nulle ! Tu es faible! Dans la nature, les êtres comme toi son sacrifiés, éjectés du nid et de la meute ! Pas de pitié pour la médiocrité ! Tu fais quoi à part lire des bêtises dans les étoiles?! Tu m'étonnes que je t'ai abandonné ! A quoi bon nourrir une bouche inutile?! 



Je devenais rouge de rage, contenant mon envie de pleurer. Je ne voulais pas lui donner la satisfaction de pleurer devant elle. Il n’en était pas question. Jamais ses paroles n’avaient été aussi blessantes, aussi humiliantes et cruelles envers moi et même envers quelqu’un d’autre. Jamais on ne m’avait parlé ainsi encore moins ma soi-disant mère. Jamais je n’avais entendu quelqu’un parler ainsi à une autre personne. Chaque mot, chaque syllabe étaient construits pour me faire mal et se montrer violente et cruelle gratuitement. J’étais bien contente qu’elle m’ait abandonné. J’ai pu devenir quelqu’un loin d’elle ; mais plus jamais elle ne sera en contact avec mon fils ou moi. Plus jamais. J’aurai dû tenir tête à Franz et écouter Mathéo quand à nos relations avec elle. C’était la dernière fois que je n’écoutais pas mon instinct et mon mari. Je sentais mon mari près de moi, ses mains me caressant pour m’apaiser, me réconforter devant cette attaque cyclonique et cela me fis du bien.


- Et heureusement que tu es jolie ma chérie, car c'est la seule chose qui te sert et te fait avancer !! 
-  Ne t’inquiète pas, tout ce qu’elle dit est totalement faux. Elle ne te connait pas répliqua Mathéo. Il avait raison et je le savais mais comme son orgueil plus haut, j’avais aussi le mien et il refit surface devant cet affront sur ma personne.


Mathéo quitta mes côtés pour aller lui régler son compte mais cette sorcière vicieuse s’était délivrée et prenait un malin plaisir dans la situation actuelle. Son venin avait été trop longtemps endormi, elle se lâchait.
. - Avez-vous oublié cher gendre que je possède le don de ne pas utiliser de baguettes pour faire de la magie? Regardez dans votre poche ! 


Il mit sa main dans sa poche et en ressortis le bracelet qu'il m'avait mis pour m'éviter l'usage de ma baguette. Du bout de l'index, la baguette de Victoria sortit de l’autre poche de mon marie et vint se poser dans la main de sa propriétaire.
Je n’en pouvais plus. Je crois que se fut la goutte d’hydromel qui a fait déborder la coupe et je tombais à genoux, tremblante à la fois de colère, d’angoisse et de tristesse. Je voulais juste qu’elle s’en aille. Qu’elle dégage et me laisse tranquille.


- Va t-en, va t-en….répétais-je comme un leitmotv avec toute la colère que j’avais en moi depuis que j’étais enfant.
- Chérie, que se passe-t-il ? Calme-toi, je suis là…
- Je veux qu’elle parte, qu’elle parte et ne revienne jamais ! Je ne veux plus la voir ! Tu m’entends, je veux qu’elle disparaisse et qu’elle me laisse tranquille !! hurlais-je en prenant ma tête entre mes mains et en fermant les yeux tout en faisant des mouvements de va et vient. Je ne fis plus attention à ce qui se passait, je voulais juste qu’elle ne soit plus devant moi, que je sois libérée de sa présence, de sa méchanceté, sa cruauté, son égoïsme et de son rire insupportable. Je devais protéger les enfants que j’avais sous ma protection. Protéger mon fils. Mon mari. De sa présence et de son aura malfaisante.


C’est alors que je sentis que la maison tremblait comme si nous subissions une secousse de 4 sur l’échelle de Richter. Les meubles sautillaient sur place, les vitres vivraient, du vent vint se former en tourbillon autour de moi. Je regardais alors Victoria et elle me regarda. Rien ne semblait l’atteindre et un liquide visqueux noir et lumineux sortit d’elle.


- Qu’êtes-vous en train de faire ! 
cria Mathéo. Vous allez tous nous tuer !  

 
Je savais ce qui se passait…du moins, je croyais comprendre… Le déchaînement magique s’intensifia et les meubles volèrent pour se déchiqueter dans les airs, la pression sur le verre des vitres finit par les briser en mille éclats de verre. Mathéo se mit au-dessus de moi pour me protéger mais je vis sous son bras, les objets, les tapisseries, le verre et les tissus, etc voler et se briser pour retomber en millions de débris sur nous ou plutôt sur Mathéo qui me protégeait. Je le sentis se tendre et plier quand il recevait de pleins fouets des morceaux de verre, des morceaux de meubles ou je ne sais quoi encore et je me rendis malade de le voir souffrir pour me protéger. Je priais tous les saints que ce déchaînement s’arrête pour que Mathéo ne soit plus blessé. Je tenais à mon mari plus que tout au monde et j’avais besoin de lui. Je ne sais pas ce que je ferais sans lui.  Je sentis alors une puissance s’infiltrera en moi, Victoria…ma…mère était donc en train de mourir et je récupérais ses pouvoirs…que je ne voulais pas mais que j’aurai quand même. Je la regardais sachant que ma prière plus haute allait être exaucée. Je n’allais plus la voir, elle allait partir, dégager et me laisser tranquille. J’avais été prise au pied de la lettre et même si ce n’était pas de ma faute et que c’est elle qui l’avait voulu et qui avait organisé tout ça pour me pousser à bout, voir sa demande accomplie, on ressentait une certaine culpabilité. Une aura noire intense me fit fermer les yeux et une violente explosion éclata, de peur pour Mathéo, je m’agrippais à lui pour qu’il reste avec moi puis tout fut de nouveau calme. On se releva et il ne restait plus que la baguette de Victoria, une photographie de mes frères et sœurs et moi et une flaque de sang avec « Merci ma fille » écrit dedans. Je ne savais comment réagir, toujours dans les bras de Mathéo, je le regardais, le regard perdu, un peu déboussolée par ce qui venait de se passer. Cela avait été horrible et rapide quand j’y repensais mais si intense. Mon mari prit une de mes mèches qui était tombée devant mes yeux et la replaçait derrière une de mes oreilles puis il m’embrassa délicatement sur le front. Je fermais les yeux pour recevoir sa tendresse entière.

- Tout va bien, ça va aller. Tout est fini.

- Oui…Elle est morte Mathéo... C'est fini...


Nous restâmes là quelques instants sans rien dire, rien faire et sans même bouger. Nous avions besoin de nous reconnecter au monde et de nous remettre du cataclysme qui avait eu lieu ; puis d’un commun accord, on s’aida mutuellement à se relever complètement. Mathéo était bien amochée. Je devais le soigner. Doucement, nous ouvrimes la porte et tout semblait calme et en bonne état. Ainsi, ça n’avait eu lieu qu’ici. Notre hôtesse apparut et devant notre mine et l’état de mon mari et surtout de sa salle à manger, elle nus regarda interrogatrice, perplexe.

- Elle est partie. Elle ne reviendra plus, c’est fini. 
Lui dit Mathéo pour la rassurer et pour nous réconforter un peu aussi, sans nul doute. Il fallait mettre des mots sur ce qui venait de se passer.

Mister Olianov nous aida à monter dans notre chambre, un des élèves de Mathéo nous suivit avec un nécessaire de secours pour nous soigner.


- Chérie, comment te sens-tu ?  


Je pris conscience que Mathéo me parlait et je secouais la tête avant de le regarder.


- Je vais bien, ne t’inquiète pas. Je n’ai pas été touché par…. Cette tempête… Tu y as veillé.. Merci mon amour mais ne refais plus jamais ça…Qu’est-ce que je ferais sans toi ? Tu es tout ce que j’ai de plus cher et je ne peux pas vivre sans toi. Alors fais attention à toi…mon mari terminais-je en l’embrassant tendrement et doucement avant de renvoyer son élève et de finir ses soins. Une fois fait, je le poussais gentiment sur le lit pour qu’il se repose et sachant que Franz était avec les autres,  à l’abri, je me glissais aux côtés de Mathéo en faisant attention à son épaule et  sa hanche.


- Tu dois guérir rapidement mon amour, car on a des choses à faire ensemble murmurais-je amoureusement et quelque peu inquiète.


Les jours passèrent et Mathéo se rétablit aussi rapidement que lui permettait sa condition de vampire. Il me parla de l’appel et nous apprîmes que Pré-au-lard avait été récupéré et qu’une fraction entière de l’armée ennemie avait été tuée. Nos aurors avaient aussi récupéré des informations très utiles grâce à Malory Olianov et Teodora Lawrence. Puis, on nous apprit qu’il comptait reprendre Poudlard. Je priais tous les saints pour qu’ils sachent ce qu’il faisait et qu’ils ne se précipitent pas. Qu’ils savaient ce qu’ils faisaient et qu’ils prennent le temps de faire un excellent plan surtout avec la participation de tout le monde et espèce qu’il y aura.

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Teodora Lawrence
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Teodora Lawrence


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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyJeu 6 Fév - 23:53

Je m'étais poster un peu plus loin de tous le chahuts qui régnait ici et là dans ce petit village de Pré-Au-Lards. Un petit village si tranquille autrefois qui aujourd'hui n'étais plus que bain de sang et flamme, tristesses et hurlements.

J'étais vide, mon corps et mon âmes étaient dénuées de sentiments je ne ressentais plus rien. Je voulais juste être seule, seule avec moi même. Si, le seul sentiment que j'éprouvais étais de la honte. La honte de n'avoir su protéger mon amie. Enfin aujourd'hui nous étions plus que de simples amies l'une pour l'autre., de ne pas avoir réussi à sauver mon amie des griffes de ce salopard de blondinet.

Seule avec le cours de mes pensées je ne vis pas qu'une femme s'approchais de moi. Elle s'assit a mes côtés et entama la conversation, voyant que je ne le ferais pas de moi même. Et puis pour dire quoi ? Salut, je viens de me faire sauter par un connard sans mon consentement et je n'ai pas été capable de me protéger ne de protéger mon amie. Qu'est ce que je pouvais bien dire...

- Teodora, je suis la sœur de Mehdi. On ne se connait pas, mais je suis désolée pour tout ce qui est arrivé. Je souhaite m'occuper personnellement de ton bourreau. Il ne mérite aucune pitié... aucune clémence... !

Je ne pus lui répondre qu'un petit "hum". Qu'aurais-je bien pus lui dire d'autre? Il pris ma main... Une manière affectueuse je suppose pour me remonter le morale. Il me faudrait bien plus que cela pour remonter le dédale de marche que je venais de dégringoler. Elle disparut comme elle étais arriver en s'excusant toute fois de ce départ précipité.

Le file de mes pensées repris son court... Enfin si on peut appeler un file de penser. C'étais plutôt un enchevêtrement pèle-mêle de conneries dont mon cerveau n'arrivait pas à ce débarrasser. Je ne pus pas rester bien longtemps a batailler avec mon cerveau, je vis Medhi, mon ami, a qui j'avais voulus casser la gueule la dernière fois que je l'avais vu, venir vers moi. Soit ma tête disais que je voulais du réconfort alors que mon esprit et mon âme disais non, ou bien je ne m'étais pas assez éloigner de la population environnante pour être tranquille!

il entama la conversation en me demandant, comme à son habitude, une cigarette que je lui tendit. Il venait de me sauver la vie... Une journée de plus entre le griffe et j'aurais atteint le points de non retour. Nous discutâmes... Enfin il parlas, plus que je ne parlais, je participais de loin a notre conversation. Il me racontas brièvement ce qui avis pus ce passer en dehors des murs de notre prison pendants ces deux mois d'infiltrations. Je pense qu'il as du sentir mon retrait car il me dit:

- Viens, suis moi, rentrons chez Jason, tu as besoin de repos après tout ce qu... Après toute cette aventure...

Je le regardais d'un air soupçonneux. Il c'était repris à temps. Il n'avait pas besoin de me rappelez ce qu'il c'étais passez. Nous l'avions vécu avec Malo', toutes les deux ensemble... Et je n'avais pas pus la protéger. J'avais été lache de l'abandonner comme ça.
Je suivis Medhi, docilement, sans broncher, je n'en étais pas capable de toute manière. Mon caractère avais disparus avec mon ame. Monsieur muscle les avaient emporté avec lui.une fois arriver chez les Eiwaz un tonnerre d'applaudissement grondas. Comme à son habitude Medhi ne crachas pas dessus. Moi je le suivis sans mots jusqu'as une chambre qui m'étais attribué. Il se laissa tombé sur le lit et dis d'un ton solennel que je ne lui connaissais que trop peu:

- Teodora, je crois que je te dois des excuses. J'haussai un sourcils méfiante. Bah oui, j'ai proposé de tuer ton mari, c'est pas classe ! Mais pour ma défense j'ai à dire que tu n'avais qu'à pas épouser un moldu !  Bon, je te laisse, je vais voir si je te trouve des habits convenables dans le dressing de ma sœur... euh plutôt dans celui de JannaLynn, Goya a un style assez particulier !

Avant qu'il ne s'éloigne, je l'interpellais:

- Medhi ! Merci... Pour les excuses et aussi pour être venus nous chercher Malo' et moi.

Il n'y avait rien d'autre a ajouter. Il m'embrassa le haut du crâne et parti refermant la porte derrière lui.

Je m'assis à mon tour sur le lit posait mon sac a dos a mes côtés. J'entrerpis de l'ouvrir, attrapant du papier et une plume. J'écrivis a ma mère que j'étais en sécurité chez les Eiwaz en Amérique, qu'elle n'avais pas besoins de s'inquiéter. Que si elle voulait me contacter pour le moment j'étais chez eux et que je la préviendrais de mon retour à la maison. Une fois terminer, je cachetais l'enveloppe et l'ensorcelais pour qu'elle parvienne le plus rapidement possible a ma famille. j'attrapais mon paquet de cigarette et m'assis sur le rebord de la fenêtre ouverte. Des bribes de conversation et de musique me parvinrent. Tous le monde fêtais la libération de Pré-Au-Lard ainsi que la mission sauvetage réussis. J'avais envie de hurler. Je sentais mon état de nervosité au fait que me triturais les mains tout en fumant. Je me mis a chercher une solution sur ce qui pourrait ma calmer... La seule personne a laquelle je pensais étais mon amie, ma soeur d'arme et aujourd'hui dame Malo'. Nous n'avions pas été séparé depuis autant de temps depuis notre interrogatoire deux mois auparavant. OU pouvait elle bien. Je la supposais être dans le manoir. Après il appartenait a son petit ami. J'aurais voulus aller la chercher de ce pas mais mon corps ne m'obéissait plus.

Je refermais la fenêtre et filais prendre une douche. La douche la plus rapide du monde, histoire de me débarrasser du sang et de l'odeur de l'autre porc. Dans le miroir de la salle de bain, je remarquais les ecchymoses sur mon corps meurtris dans ma chair et dans mon âme. Je découvrais des entailles de partout mais me disait que mes blessures serait pensé demain. Alors que mes blessures internes ne ce remettrait peut-être pas tous de suite... M'en remettrais-je un jours?
Une fois terminé j'attrapais les affaires laisser par l'elfe de maison de Medhi devant le pas de ma porte. Enfilais un simple tee-shirt. Je partis me mettre au lit. Je me recroquevillais en position foetale et contre toute attente pleurait à chaude larme jusqu'as l'épuisement.

Je me réveillais en sursaut, transpirante, des sueurs froides. J'avais cauchemardés... Moi qui croyait en avoir terminer avec les cauchemars ce n'étais plus le cas ! Je sortis du lit et l'ouvrit en grand. Je filais vers la fenêtre ou j'ouvris les volais et la fenêtre en grand. Quelle heure pouvait il bien être? Le ciel était sombre... Un orage menaçait d'éclater. Je me calais contre le rebord de la fenêtre... Qu'allais-je bien pouvoir faire de ma vie maintenant ? Mon mari ne se souvenait s'en doute plus de moi... Je n'avais plus de travail et je n'en voulais pas. Redevenir Aurors pour un ministère qui ne savais pas ou ce placer ou qui ne partageait pas mes opinions et dont la moitié de celui-ci était corrompus et en infiltration.

Pendant mes réflexions je m'étais relever. J'avais enfiler mes vêtements de rechange que j'avais mis la veille dans mon sac a dos. Je n'étais plus que l'ombre de moi même... J'envisageais de repartir mais je ne pouvais pas abandonnée Matt une seconde fois. Il fallait que je sois sur des souvenirs qui lui restait pour savoir si je devais ou non tourner la page...

Quelqu'un frappas à ma porte, par un chuchotement je sus que c'était LA personne dont j'avais besoins. Je me hâtais d'aller ouvrir la porte pour découvrir Malory. Ses yeux aussi gonflé que les miens, quelqu'un lui avais administré des soins quelques peu chaotique... Je fronçais les sourcils et décidais de lui administrer d'autre soins une fois assise. Des crèmes pour la cicatrisation, un mélanges de millepertuis, de calendula et de lavande aspic. Je l'appliquais sur sa lèvre fendu et son arcade sourcilière.
Nous parlâmes un long moment, nous avions besoins de nous retrouver toutes les deux. Un lien plus fort que l'amitié c'étais tisser entre nous. Nous avions besoins l'une de l'autre pour survivre à présent.

Nos ventres criant famines nous décidâmes d'aller grignoter un morceau. Nous fûmes intercepter par Goya qui nous prias de la suivre. Nous échangeables un regard, comme nous avions appris à le faire si souvent maintenant, et lui emboitâmes le pas.
Quelques minutes plus tard nous nous retrouvâmes nez à nez devant Monsieur muscle. Malory Fit déguerpir avec tous le tact du monde Goya et Medhi qui étais toujours la en leur disant de ne surtout pas revenir. Une fois qu'elle eu fermer la porte elle revint a mes côtés. Les manigances des deux compères ne sont pas du meilleurs gouts mais elles avaient le méritent d'être radicale. Autant réglé ce problème une fois pour toute... Ou au moins apprendre à vivre avec ces derniers jours graver dans ma mémoire.

Je regardait le prisonnier. Il n'avait rien du Monsieur muscles qui avait pu me faire subir tous ce que quelqu'un de sensé pouvait endurée sans perdre la tête ou bien en la perdant mais en ayant quelqu'un pour nous aider à la garder froide. Je ne décrochais pas un mots. Je le fixais, droite comme un i. Il me regardait fixement lui aussi. Un jeu de regard mal aisan. Mais que pouvais-je bien lui dire. Je ne savais pas quoi lui dire. je n'avais rien a lui dire. Je me serait bien passé de cette confrontation.

Il rompis le silence:

- Tu viens voir le spectacle? Me casser la gueule, me torturer comme tes amis l'ont fait! Sale garce! Tu m'as tromper, tu t'es jouée de moi. Et maintenant je me retrouve sans queue, il m'ont émasculer... Et c'est de votre fautes, a vous deux bandes de salopes dégénérées ! J'aurais du vous torturer et vous tuez au lieu de me laisser attendrir par ton jolie petit cul al blonde ! Au moins je m'en suis délecté avant de perdre ma si jolie ...

-  Pour ce que tu faisais de ce que tu avais entre les jambes ce n'est pas plus mal. Je prie d'un côté pour que ta mort sois lente et douloureuse mais aussi pour qu'elle soit fulgurante... A la fin de ma phrase je mettait un regard a Malo'. C'était trop d'emotion pour moi. Je les sentais s'entrechoquer dans mon esprit. J'étais prise de vertiges et de nausées. Je ne pouvais plus rester dans ce sous-sol ! J'étouffais, j'étais incapable de me confronter à lui.

Faisant mines que tôt allait bien, j'haussais les épaules et me retournais, m'en allant avec tous le calme qu'il me restait. je fis irruptions dans le hall, trouvant un buisson ou vomir tripes et boyaux. Qu'il le tuent ou non, son sort m'importais peu. Je ne voulait plus revoir. Je voulais qu'on me laisse guérir de cette histoire en paix et qu'on arrête de remuer le couteau dans la plaie.
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Jason Eiwaz

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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyMer 12 Fév - 18:37

Dans la salle d'entrainement du Manoir des Eiwaz, Jason était en compagnie de Malory. Si la mission avait été une réussite pour la sauver et récupérer le village de Pré-au-Lard. Il y avait cependant des conséquences … En effet, la Sorcière n'était plus la même et au vue de ses réactions, on pouvait voir qu'elle était anéantie et détruite de l'intérieur. Psychologiquement c'était le néant en elle et il lui faudrait du temps pour se reconstruire. Malgré que Jason était prêt à avancer avec elle pour l'aider à se relever. Cette dernière lui répondit que ce qu'il disait n'avait plus aucun sens à présent vu les circonstances actuelles. Les épreuves qu'elle avait du subir l'avait changé et à présent rien ne pourrait lui faire d'avantages de mal. La jeune femme en était même à parler comme Azar Forad que la mort ne serait qu'un cadeau à côté des atrocités dans laquelle le monde vivait.

Continuant dans sa tirade en traversant la pièce, venant se positionner face à la grande fenêtre du Dojo et étant de dos face à Jason. La Sorcière lui raconta comment elle avait du vivre les quelques mois avec Téodora Lawrence. Ainsi, lorsqu'elle affirma ce que le meneur des humains lui avait fait subir, juste le fait d'entendre les mots sortir de sa bouche sur son viol, les muscles du jeune Eiwaz se contracta et son corps trembler pour ne pas exploser de colère… Il avait mal au fond de lui et s'en voulait de ne pas être intervenu avant. Son intervention plus tôt aurait pu interrompre et éviter de nombreux drames comme celui-ci. Cependant, Malory lui divulgua ce qu'elle avait subie n'était pas en vain et elle avait pu récupérer des informations. L'intervention du Sorcier auront donc tout fait capoté et si ça se trouve il n'aurait pas récupérer Pré-au-Lard. Néanmoins, avec des "Si", le monde aurait été différent et ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui.

Alors que la jeune Sorcière se retourna vers lui pour lui transmettre un papier qu'elle venait de sortir de la poche de son jean. Jason vit qu'elle esquivait du regard et fit en sorte que leurs doigts ne se touche pas. Faisant mine de ne pas faire attention à son comportement, au fond de lui ceci le dérangeait. Dépliant alors le papier pour lire les informations inscrites dessus. Malory continua de lui parler en même temps en lui indiquant qu'elle souhaitait participer à la mission. Puis elle lui demanda également si elle pouvait quitter le Manoir Eiwaz pour partir en Angleterre dans sa maison de campagne afin de se reconstruire et de se reposer. Face aux dangers actuels, Jason allait lui répondre un NON de façon ferme. Mais avant qu'il ne puisse répondre, elle lui évoqua son ressentie sur le fait qu'elle ne pouvait plus se faire toucher et qu'elle n'arrivait pas à le regarder en face après ce qu'elle avait du subir. Devant autant de perplexité et de complications dans leurs comportements. Jason ne savait pas quoi penser. Il était perdu dans son esprit car il avait la rage de devoir vaincre les assaillants et de les punir de tout leurs crimes. Mais à la fois, il se sentait impuissant devant autant de changements et d'épreuves à devoir affronter. Le Sorcier se contenta donc de répondre à sa conjointe avec une voix fébrile :


" Tu es détruite de l'intérieur … Et je ne peux t'aider dans ta reconstruction ! Je ne ferai qu'aggraver les choses ! Et on se détruirait l'un à l'autre ! "

Marquant un temps de pose pour respirer et la regardant droit dans les yeux, il continua de parler :

" Tu peux partir en Angleterre ! Je ne te retiens pas ici ! Mais sache que cette demeure est chez toi également ! "

S'apprêtant à partir en le remerciant d'un signe de tête, Jason la coupa dans son élan en rajoutant quelque chose d'une voix grave et dur :

" Par contre Bassey et Fumsenk partent avec toi ! C'est ma seule condition ! "

Acceptant sa requête, la Sorcière commença à quitter la salle lorsqu'au moment où elle ouvrit la porte pour sortir, Jason lui déclara quelque chose et des mots sortirent de sa bouche pour la première fois à son encontre :

Je t'aime Malory ! Et ne l'oublie jamais ! "

N'ayant pas de réponse de la jeune femme. Lorsque la porte se referma sur elle même. Jason explosa de colère en brulant le papier dans sa main juste du regard et se mit à frapper de toutes ses forces dans les mannequins en bois en hurlant en sanglot :

" Pourquoi mon Dieu ! Pourquoi lui avoir fait subir ça ! Pourqqqqqqqquuuuuuuuuuuoiiii ! "

~ Une semaine plus tard ~

Alors que Jason s'apprêtait à se rendre à Pré-au-Lard pour planifier les plans d'attaques pour la récupération de Poudlard. Le fameux pub les trois balais avait été aménagé en salle de conseil. Le pub considérer comme l'Etat Major des Sorciers et cité dans le monde entier à la radio sorcière. Ce rassemblement était en quelque sorte une lueur d'espoir pour la survie de la Sorcellerie. Le jeune Eiwaz ouvrit donc la porte du bar et lorsqu'il monta au second étage, il pu voir que tous le monde était présent et qu'il était le dernier à venir. Parmi se conseil figurait la Ministre de la Magie des Etats-Unis, le Chef de la Salamandre Stanley Di Salvo, le chef des Centaure de la forêt interdite, les principaux responsables des différents services du Ministère la Magie Anglais, Mehdi Bakkali, Céline Chantress, Shona Godolphin, mais aucun Oz Addams. Il n'était donc pas présent, et il fuyait ses responsabilités de nouveaux … Venant s'assoir autour de la table en rond, la Ministre de la Magie des USA commença à prendre la parole et évoquant le plan :

" Merci à vous d'être tous venues et d'être présent aujourd'hui pour la récupération de l'école de Sorcellerie Poudlard ! Aujourd'hui si on est malheureusement ici ! Dans cette auberge ! C'est que les moldues prennent l'ascendance sur nous ! Et il est de notre devoir d'agir au plus vite ! "

Déroulant une grosse carte sur la table, elle fit apparaitre différents pions à l'aide de sa baguette. Comme on pouvait le voir, chaque pion représentait un groupe. L'Ordre de la Salamandre avait l'animal de la Salamandre en emblème, les Centaures avait un centaure, le Ministère de la Magie avait un grand M, et chaque Directeur de Maison présent avait l'animal de son groupe. Ainsi, elle commença à les déplacer en expliquant en même temps :

" L'Ordre de la Salamandre vous attaquerez par Pré-au-Lard du côté Ouest de Poudlard ! Leurs forces terrestres vont se concentrer sur vous en pensant être attaquer que d'un côté ! Et c'est là qu'ils se trompent puisqu'ils seront pris à revers par vous les centaures ! Venant du côté Est vous les attaquerez dans le dos ! Le Ministère américain et anglais attaqueront de front ! C'est à dire par les Airs mais également par la mer ! Et là où l'élément de surprise va être fatidique pour eux ! C'est qu'ils vont essayer de se retrancher dans le château ! Mais c'est là que vous les Directeurs de Maisons à l'aide vos plus vieux et meilleurs élèves ! Vous prendrez possessions des lieux et les repousseraient vers le centre de l'école ! "

Face à autant de stratégies et d'astuces, tout le monde était impressionner par la plan d'attaque et donner son avis favorable en apportant des solutions et des améliorations en plus. Dans le silence, Jason écoutait et ne disait aucun mot. En fait, il ne pensait qu'a une personne. Il esperait juste qu'elle allait bien et qu'il pourrait la revoir bientôt. Cependant, lorsque cela fut à son tour de donner son avis et de dire ce qu'il pensait du plan. Le jeune homme se leva pour parler à tous le monde :

" J'approuve l'attaque ! Et je serais présent en première ligne avec la Salamandre ! "

Marquant un temps de pose et regardant l'ensemble des gens, il se déplaça en marchant puis repris le dialogue :

" Sauf qu'il manque quelque chose pour l'ensemble des troupes ! "

Se regardant tous dans l'interrogation en ne sachant pas ce que voulait dire Jason :

" La bataille on ne peut pas la gagner ! On est nombreux certes ! Mais il manque le Sorcier le plus puissant du monde ! "

Ne voyant pas où il voulait en venir. Tout le monde se demandait s'il ne perdait pas la tête dans ses paroles absurdes. Mais Jason continua à parler malgré ça :

" Je ne parle pas des Sorciers les plus puissants ! Mais bien du Sorcier le plus puissant ! L'unique et le seul qui peut faire peur à l'ennemie par sa renommé ! "

Toujours dans le doute, Jason ouvrit donc la porte de la pièce et une ombre se trouver dans l'encadrement de la porte. Tout le monde le regardait mais personne n'arriver à voir de qu'il s'agissait. Avançant d'un pas et retirant sa capuche face à l'assemblée. L'ensemble du conseil se leva devant la surprise face à leurs yeux :

" Sylvius Césarius mes amis ! "

Applaudissant et montrant leurs joies, ils étaient donc regonfler à bloc d'avoir le mage à leur côté. Ayant disparu à la chute de Poudlard depuis quelques mois. Personne n'avait de nouvelle de ce dernier.

~ Deux jours avant ~

Jason avait reçu pour information par Téodora Lawrence que le Directeur de Poudlard se trouver en France. Suite au départ anticipé de Malory Olianov. Le mercenaire de la Salamandre avait pris donc le chemin de la France et après deux-trois jours de recherches, il réussit à trouver le lieu où il créchait à présent. Prenant donc la direction pour rejoindre l'école de Beauxbatons. Il fut accueilli comme un Roi par la direction de l'école de Sorcellerie. Ces derniers n'étaient pas surpris par sa visite et encore moins Sylvius Césarius. Avait t'il était prévenu ? Ou Jason était t'il suivit ? Telle était la question.

Rentrant donc dans la pièce où se trouver le Directeur de Poudlard. Jason pouvait voir que l'ensemble des lieux étaient aménagé comme une sorte de laboratoire. A sa grande surprise, Mat était présent aussi et aider certainement l'ancien Ministre de la Magie dans des recherches. Bizarrement, les deux Sorciers n'étant pas surpris de voir Jason. Ils furent content tout de même de sa venue et ceci ne les empêcha pas de se faire des accolades et de festoyer ensemble. Jason raconta ce qu'il s'était passé depuis l'absence des Sorciers, mais les deux avait l'air d'être déjà au courant de l'ensemble des nombreux événements passés.

Cependant, il fut un moment où Jason demanda quelque chose à Sylvius :


"Mon Oncle ! Nous préparons une offensive pour reprendre Poudlard ! Et nous avons besoin de ton aide ! "

Face au refus catégorique de ce dernier de participer à ce mouvement. Sylvius laisser clairement comprendre qu'il avait d'autres projets en cours dans le plus grand secret et qu'ils n'avaient pas les mêmes idéologies sur la vision du monde. Ne voyant pas pourquoi et comment, il pourrait apporter son aide. Le Directeur de Poudlard était contre la demande de son neveu. Jason lui répondit donc quelque chose en lui montrant un objet :

" Mon Oncle ! Cette bague te dit quelque chose ! "

Montrant la chevalière que Sylvius avait offert à Nelson Eiwaz avant le terrible combat contre la Force et la Salamandre en faisant serment l'un à l'autre qu'il protègerait leurs familles mutuellement en cas de drame. Jason sortit donc une chevalière identique de sa poche ressemblant à la même chose mais cette fois-ci de couleur argent et non or avec le blason de Poudlard dessus et lui fit un serment :

" Je suis au courant pour ton serment avec mon père avant le combat face à la Salamandre ! Et aujourd'hui c'est moi qui t'offre cette bague à mon tour en te faisant le serment que si tu me suis dans ce combat pour rétablit l'ordre dans le monde ! Je te suivrais dans ton projet et ton plan pour qu'il s'applique à l'issue de cette guerre ! "

Face à ce serment de Jason à genou devant son Oncle. Sylvius prit la bague et établit un serment inviolable avec son neveu.

~ Retour à la normale ~

Sylvius Césarius avait donc répondu à l'appel de Jason Eiwaz. L'assemblée était donc au complet pour le combat contre les moldues et la récupération de Poudlard.










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Sylvius Césarius
Directeur Poudlard
Sylvius Césarius


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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptySam 15 Fév - 21:48

Cela faisait des semaines désormais que j'avais quitté l'Angleterre et mon cher Poudlard ! Cette école de magie qui était devenu ma demeure, cet endroit fantastique que des humains et des sorciers nous avaient prit et avaient transformés en prison pour les miens. Et pourtant, je ne leur en voulais pas du tout ! Pas une seule seconde, pas un instant, je n'avais pensé à la vengeance !

Derrière tout cela nous le savions se cachait un groupe de sorciers qui utilisait les moldus pour prendre le pouvoir ! Les Moldus étaient autant les victimes que nous et je me refusais à les traquer et les tuer. Cela aurait été comme tuer une partie  de ma famille, tuer une part de moi même et je m'y refusais. Jamais, je ne me comporterais comme un animal ! Jamais.

On me traitait de traître, on pensait que j'avais perdu la foi, perdu l'envie de me battre ! On se trompait ! On se fourvoyait ! Ils avaient torts et je savais que l'histoire rendrait raison à ceux que nous étions. Peu nombreux mais actifs ! Nous étions la 5ème colonne et dans les deux camps qui s'affrontaient, nous nous étions infiltrés afin de lutter de l'intérieur pour trouver une solution.

Né de l'union d'un moldu et d'une sorcière, j'étais persuadé que nous pouvions coexister ! Je poursuivais en cela le rêve de mon maître : le grand Dumbledore, de mon ami Harry et de tout ceux comme Hermione, Ron qui pensaient qu'un avenir radieux nous attendais.

Parfois je sentais le découragement m'envahir surtout depuis que j'avais migré en France à Beauxbatôn, où Fleur Delacours m'avait accueillie en tant que directrice de l'école.

Nombres de mes confrères m'avaient rejoints et ensemble, nous échafaudions un plan pour faire revenir la paix. Malgré moi, malgré tous nos efforts, il paraissait impossible aux moldus et aux sorciers de vivre en paix en connaissant l'existence les uns des autres ! Alors une idée avait germé dans mon esprit, une idée venue du passé, une idée que Norbert Dragonneau avait utilisé, selon les archives, sur la ville de New York. Il avait fait oublier une ville, nous allions faire oublier une planète entière.

Mat Dursley, Mey Pendragon ma soeur, Hermione et tant d'autres nous œuvrions à perfectionner la potion que nous avions inventé. Mat avait été le cobaye bien involontaire de sa première utilisation et les pertes de connaissance avaient été fortes mais pas irréversibles et le prix qu'il payait bien peu par rapport à la mort de milliers de personnes.

Nous étions en train de travailler lorsqu'on m'annonça qu'un visiteur me demandait.
- Qui est ce ? demandais-je.
La réponse ne m'étonna pas. Je me tournais alors vers Mat.
- Jason est là ! Dissimule les fioles et fait disparaître le parchemin.
Aussitôt Mat lança des incantations et la plupart des choses qui devait rester secrètes disparurent.

Je savais qu'il allait venir, nos amis au sein des forces de la résistance nous avait prévenu. Quelque chose se préparait et Jason réunissait ses forces. Il était évident qu'il viendrait frapper à ma porte tout comme j'avais frappé à la sienne quelques mois plus tôt pour l'enjoindre de venir avec nous. j'avais échoué et voilà où nous en étions.
- Jason, dis-je en le voyant rentrer. Bienvenu en France mon filleul, terminais-je, en le prenant dans mes bras afin de lui donner une accolade.

Mat et moi nous montrâmes bon hôte. Après tout, nous n'étions pas dans le même camp, mais nous n'étions pas pour autant des ennemis. Jason nous raconta ce qu'il s'était passé depuis mon absence, mais j'en savais déjà beaucoup.Cependant, il fut un moment où Jason me demanda quelque chose.
- Mon Oncle ! Nous préparons une offensive pour reprendre Poudlard ! Et nous avons besoin de ton aide !
- C’est hors de question Jason ! Tu connais mon point de vue. Je refuse de tuer le moindre moldu. Ils sont manipulés par des forces supérieurs. Tu le sais maintenant puisque selon mes informations, Malory Olianov et Téodora Lawrence Durlsey vous ont ramené des informations qui confirment ce que je vous disais depuis des semaines.
- Mat ! sûrement, dit Jason en le regardant
- Moi et d'autres, répondit Mat en souriant à Jason. Nous vivons le même désarroi Jason mais contrairement à toi, je ne rends pas tous les moldus responsables.
- De toute façon, repris-je, nous avons ici une solution qui peut ramener la paix. ce que nous préparons est sans nulle doute un plan risqué, mais c'est celui de la dernière chance avant le chaos que toi et tes amis préparés. Une dernière fois, je vais te demander d'abandonner tes idées Jason et ce n'est pas la résurrection de la Salamandre qui t'aidera.

Ce dernier secoua la tête et se leva pour faire les cent pas. Il n'avait pas changé, toujours impatient et il ne tenait pas en place. Toute cette énergie finirait par le tuer comme elle avait tué son père, mon ami.
Jason vint se rassoir et comme se lança dans une ultime tentative.
- Mon Oncle ! Cette bague te dit quelque chose ! "
Évidemment qu'elle me disait quelque chose, je l'avais offerte à Neslon juste avant le combat contre la force. Nous nous étions promis de protéger nos familles en cas de drame.
Je fis un signe de tête affirmatif ne voyant pas où il voulait en venir. Il en sortit alors une seconde mais de couleur argent et non or avec le blason de Poudlard dessus et lui fit un serment :
- Je suis au courant pour ton serment avec mon père avant le combat face à la Salamandre ! Et aujourd'hui c'est moi qui t'offre cette bague à mon tour en te faisant le serment que si tu me suis dans ce combat pour rétablit l'ordre dans le monde ! Je te suivrais dans ton projet et ton plan pour qu'il s'applique à l'issue de cette guerre ! "
Jason faisait appel sans le savoir à de vieux serment, il me renvoyait à un passé que je devais assumer. J'étais révulsé mais je devais honorer ce serment.  
-Très bien Jason alors faisons un serment inviolable. Lorsque Poudlard sera reprise, tu nous aidera dans notre plan ?
Il fit signe que oui de la tête alors je prononçais les formules nous liant l'un à l'autre tout comme je l'avais été avec son père.
Lorsque Jason repartit, je me tournais vers Mat qui me regardait les yeux grands ouverts.
- Mat, c'est la diversion dont nous avions besoin. Je t'ai dis que je devais attirer les regards de notre adversaire sur moi pendant que les nôtres répandriez la potion. Préviens tous nos amis et préparer vous. Je vais y aller et toi tu resteras ici.
- Sylvius, je n'ai jamais aimé cette partie de ton plan, tout cela arrive trop vite.
- Tu veux dire que tu n'as pas encore trouvé le moyen de me convaincre de renoncer ? lui dis-je en souriant.
- Sylvius, je ...
- Ne rajoute rien Mat ! Dis-toi que je suis plus en sécurité auprès de Jason qu'après qu’aucun autre, à part toi et Harry. Vous êtes et resterez à tout jamais la famille que j'ai choisi au delà de la famille que j'ai. Jason est l'un des plus puissants sorciers de sa génération. Ses nouveaux pouvoirs de dragon sont autant d’assurance-vie.
- Mais...
- Pas de mais Mat ! Je ne suis pas encore mort ! Si cela arrive prend soin des miens et surtout prend soin de ta femme.
- Je vais prévenir Harry.
- Il est déjà au courant, dis-je en regardant le portait de Dumbledore qui était maintenant vide. Je savais qu'il était parti rejoindre celui qui se trouvait au square Grimaud et qu'il avait transmis ma décision à mon meilleur ami. Harry avait toujours été le chef de notre bande, toujours été le premier et il le resterait. Il était le dépositaire de l'honneur des sorciers. L'élu, celui qui avait résisté au mal et il pourrait comprendre ma décision. Sa disparition l'avait fait renoncé aux premiers rôles mais il allait devoir reprendre sa place. Allez Mat, il nous reste du pain sur la planche.

Deux jours plus tard, Jason avait convoqué toutes ses troupes à Pré aux lards. Je lui avais bien précisé que je ne voulais pas prendre part aux préliminaires et au plan de bataille. Je me contenterais  d'être un soldat comme un autre lui avais-je dis.

J'étais donc derrière la porte et j'attendais qu'ils terminent.
La porte s'ouvrit alors devant moi et je savais que c'était le moment d’apparaître. J'avançais d'un pas et retirait la capuche que j'avais gardé jusqu'alors pour découvrir mon visage.

- Sylvius Césarius mes amis !
Je rentrais dans la salle et inclinait la tête. Je vis bien que tout le monde n'était pas au courant de me revoir mais la plupart me firent bon acceuil et il y eut même quelques applaudissement. Cathy et Dean qui se trouvait là me sourirent. D'autres encore me tapèrent sur l'épaule. La ministre de la magie Américaine me salua aussi. Je la saluais à mon tour. C'est alors que mon regard rencontra celui de Stanley que j'ignorais tandis qu'à ses côtés se trouvait le clan Bakkali. Medhi était mon beau frère et je lui souris ne voulant pas attiser la haine. Je ne partageais pas son goût du vice et de la violence mais il faisait parti de la famille.

Je fis quelques pas et vint me ranger du côté inverse au leur.
- Jason, je suis au service de Poudlard, dis-je en montrant la chevalière que je portais maintenant à la main. Je me range sous ta bannière pour ce combat et je ne viens pas seul.
La salle se tut.
- C'est à dire, demanda l'un des aurors que je reconnus pour avoir fait partie de la garde rapproché de OZ.
- Les reliques de la mort, se joindrons à nous à mon signal. Hagrid et quelques géants aussi. Il se trouve que j'ai encore quelques amis prêt à nous rejoindre. Alors que je terminais ma phrase, plusieurs aurors dont le célèbre kingsley Shacklebolt pénétrèrent dans la pièce.
- Ils ont abandonné le ministère de la magie, s'écria un membre de l'assistance.
- Non, nous avons rejoint la seule personne qui soit digne après Potter ou Granger de tenir ce poste !


Je me tus et attendis la suite. Mon regard croisa celui de Jason à qui je souris en inclinant légèrement la tête tout en faisant tourner la chevalière comme lui rappeler notre serment.[/color]
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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyLun 17 Fév - 22:55


Cela fait maintenant une semaine que nous avions libéré Theodora Lawrence et Malory Olianov des griffes de l'ennemi à Pre aux Lards et nous y avions établi un état major. Durant cette semaine, peu d'événements avaient eu lieu, nous préparions au combat nos unités, nous planifions différents stratagèmes d'attaque et de défense pour récupérer Poudlard sans réduire en miettes tous les murs, ou du moins, ceux qui tenaient encore debout, et avec les membres du ministère de la magie qui s'étaient ralliés à la cause des Résistants, nous préparions en secret la destitution du ministre de la magie, Ozymandias Addams, pour sa manière lâche d'affronter la situation en gardant le silence et faisant la sourde oreille.

Je reçu un jour une lettre de la part de la ministre de la magie des États Unis d'Amérique pour une réunion avec les notables des différents groupes voulant en finir une bonne fois pour toute avec toute cette histoire en commençant par récupérer l'école. Je transplannais alors à l'heure convenue à Pre aux Lards, où notre campement avait été établi, et je rentrais dans l'établissement Les Trois Balais au deuxième étage. Une fois dedans, je retrouvais Firenze, le chef centaure, la ministre de la magie américaine, Aziraphale, le chef de la meute des loups garous qui poussa un grognement en me voyant, et bien d'autres. Nous fûmes ensuite rejoints par les trois mousquetaires à savoir Mehdi, Thaddéus et Goya, qui entre rires mesquins, commentaires blessants et un grand nuage de fumée, fîrent leur entrée également saluant à leur manière chacune des personnes présentes.

Nous attendîmes tous en parlant entre nous et avec les autres créatures à intelligence humaine ou presque, jusqu'à l'arrivée du retardataire habituel, Jason.

- Merci à vous d'être tous venues et d'être présent aujourd'hui pour la récupération de l'école de Sorcellerie Poudlard ! - Dit la ministre - Aujourd'hui si on est malheureusement ici ! Dans cette auberge ! C'est que les moldues prennent l'ascendance sur nous ! Et il est de notre devoir d'agir au plus vite ! - Déroulant une grosse carte sur la table, elle fit apparaître différents pions à l'aide de sa baguette. Comme on pouvait le voir, chaque pion représentait un groupe.  Ainsi, elle commença à les déplacer en expliquant en même temps - L'Ordre de la Salamandre vous attaquerez par Pré-au-Lard du côté Ouest de Poudlard ! Leurs forces terrestres vont se concentrer sur vous en pensant être attaquer que d'un côté ! Et c'est là qu'ils se trompent puisqu'ils seront pris à revers par vous les centaures ! Venant du côté Est vous les attaquerez dans le dos ! Le Ministère américain et anglais attaqueront de front ! C'est à dire par les Airs mais également par la mer ! Et là où l'élément de surprise va être fatidique pour eux ! C'est qu'ils vont essayer de se retrancher dans le château ! Mais c'est là que vous les Directeurs de Maisons à l'aide vos plus vieux et meilleurs élèves ! Vous prendrez possessions des lieux et les repousseraient vers le centre de l'école !

- Je suis d'accord avec votre plan. Je laisse à Azar et Jason le soin de mener l'attaque avec la Salamandre, et Mehdi, si tu veux bien, lance l'attaque avec les Résistants et toi Goya, les membres du ministère étant donné ta position dans la hiérarchie. Moi j'attaquerai avec les vampires par les hauteurs et essayeront de les forcer à quitter l'enceinte du château pour que vous tous puissiez les cueillir.

- Je m'occuperai de mener au front les élèves de Serpentard. - Ajouta Thaddée.

- J'approuve l'attaque ! Et je serais présent en première ligne avec la Salamandre. Sauf qu'il manque quelque chose pour l'ensemble des troupes ! La bataille on ne peut pas la gagner ! On est nombreux certes ! Mais il manque le Sorcier le plus puissant du monde ! - Nous n'étions as vraiment sûrs d'où il voulait en venir. - Je ne parle pas des Sorciers les plus puissants ! Mais bien du Sorcier le plus puissant ! L'unique et le seul qui peut faire peur à l'ennemie par sa renommé ! -Il ouvrit la porte et annonça -  Sylvius Césarius mes amis !

Comment dire...? Mehdi, Thaddée, Goya et moi nous échangeâmes un regard. Nous avions tous les quatre la même opinion à propos de cet homme, mais nous restâmes impassibles et en silence devant les applaudissements des autres présents. Sylvius entra dans la salle et nos regards se croisèrent, mais snob pour snob, nous ignorâmes l'un l'autre. Je me contentais de fixer Jason. Sylvius alla prendre place au coté inverse du notre avant de prendre la parole.

- Jason, je suis au service de Poudlard. Je me range sous ta bannière pour ce combat et je ne viens pas seul.

- C'est à dire? - Demanda l'un des aurors qui travaillait sous mes ordres.

- Les reliques de la mort, se joindrons à nous à mon signal. Hagrid et quelques géants aussi. Il se trouve que j'ai encore quelques amis prêt à nous rejoindre. - Plusieurs aurors pénétrèrent dans la pièce. Kingsley Shackelbolt, Hermione Granger, Harry Potter, les Weasley au grand complet, Fleur Delacour et bien d'autres. Misère...

- Ils ont abandonné le ministère de la magie - S'écria un membre de l'assistance.

- Non, nous avons rejoint la seule personne qui soit digne après Potter ou Granger de tenir ce poste !
- Dit Kingsley Shackelbolt.
La discussion continua ainsi pendant un moment, jusqu'à ce qu'arriva l'heure de partir. Nous avions convenu d'attaquer à la lune de sang, qui devait avoir lieu quatre jours après cette réunion.


- La Lune de Sang -

Il était temps. Temps que les Pacificateurs et traîtres sorciers en prennent pour leur grade après nos défaites cuisantes contre les moldus.
Poudlard était en état de ruines, et les moldus y avaient bâti leurs campements. C'était intolérable. Et face au manque de réactivité du Ministre de la Magie, je ne pouvais pas rester sans rien faire. Après tout, c'est eux qui ont commencé, nous, on vivait notre petite vie tranquille. Alors une offensive sans aucune autorisation allait me coûter certainement très cher, mais nous n'étions plus à la rigolade.

Le moment venu, j'ai réuni mes armées. Mehdi, Thaddée, Goya, leurs parents qui, malgré leur âge, étaient toujours prêts à faire une hécatombe, leurs familles et amis, mes sœurs, certains élèves des quatre maisons, particulièrement de sang pur, et d'autres créatures du monde magique tel que les centaures, les elfes de maison, les géants, les trolls, les animagus, les elfes... Même les vampires et les loups garous ont décidé de faire une trêve pour s'occuper de l'ennemi commun qui menaçait d'extinction tout notre univers ! J'étais à la tête de 7000 âmes ou un peu plus, mais est-ce que ça sera suffisant?

La stratégie était d'attaquer par les hauteurs, en vol sorcier ou à balais, et laisser les créatures humanoïdes attaquer par le sol.
Tout était prêt. Nous nous trouvions à la lisière de la forêt interdite. Au loin, dans l'obscurité, nous pouvions entendre les moldus parler, rires, et nous insulter autour de plusieurs feux de camps. Grâce à ma vue de vampire, je pouvais voir que malgré leurs aires débonnaires, ils gardaient leurs armes sur eux et tout leur équipement. Ils n'étaient pas bêtes, et ils étaient nombreux encore dans tout le château.

Alexia et Sorcha, mes sœurs, étaient parties avec quelques autres vampires en éclaireurs et revinrent avec le chiffre exacte présents dans le château. 13472 têtes à abattre, presque le double de nos armées, 50 tanks, et des centaines d'armes différentes et munitions, sans oublier les 26 hélicoptères.

- C'est la folie d'attaquer Stanley ! - dit Bailey Klenck, un sorcier de sang mêlée. - On va se faire massacrer !

- Alors nous mourrons. Mais au moins nous aurons facilité la tâche au reste de notre monde en anéantissant ces saloperies.... Chacun a bien compris son rôle?

- Oui chef ! - répondirent-ils en coeur.

- Bien, alors confier vos os au Seigneur et... A L'ATTAQUE !!

- OUAAAAAAIIIS !!!

Tous les sorciers et vampires du ministère prirent leur envoles en balais ou magiquement comme les mangemorts. Ils attaqueraient par les hauteurs sous les ordres de Goya, profitant de l'effet de surprise, commençant par les tours et descendant progressivement. Les centaures ouvrirent la marche avec les animagus. Félins en tout genres, loups, chiens, buffles, serpents, tous se dirigeaient vers cette bataille sans savoir s'il en reviendraient vivants. Moi, accompagné du reste des lycaons, elfes, loup garous, vampires, trolls, ogres, elfes de maison, et certains sorciers, suivions pour attaquer au sol. Les vampires, rapides comme l'éclair, attaquaient en vitesse les moldus, ne laissant aucune trace d'eux et leur détruisant les os grâce à leur force. Les moldus de leur côté commencèrent à tirer et viser dans tous les sens, blessant et tuant plusieurs des nôtres. Heureusement les trolls et les géants ont une peau épaisse et une couche de graisse qui les protèges des balles, mais pas des canons. La Ligue de Sang attaquait également par les toits.

Je voyais Mehdi avec sa traînée de fume noire virevolter dans les airs, envoyant des Feudeymon à sens et contre sens, réduisant les hélicoptères à néant avec ses élèves, et Thaddée qui, en duo avec Une élève de Gryffondor, faisaient exploser les colonnes et les murs qui tenaient encore debout sur l'ennemi.

C'était à présent à moi de jouer. Me protégeant et attaquant à mon tour, je me retrouvais à déglinguer du zinc et coupant des têtes à l'aide de ma force ou à l'aide de ma baguette.
Goya et son équipe venaient de faire tomber la grande tour ce qui causa un énorme bain de cris de douleurs, mort et de la poussière jointe à des flammes.

Les sortilèges de toutes les couleurs fusaient, des flèches et des dards se plantaient dans l'ennemi, mais leurs balles et leurs poudres terrassaient peu à peu nos rangs, les tanks, missiles, roquettes, bazookas et canons étaient des armes redoutables, certes, mais pas indestructibles.

Petit à petit, nous pouvions voir que les moldus se repliaient dans le château, mais une surprise les attendait encore à l'intérieur. Goya et tout son groupe avaient réussi à pénétrer à l'intérieur, les elfes de maison,  et les loups garous et les elfes étaient passés par le pont arrière du château, et attendaient justement le replis pour donner leur coup d'attaque également.

Les géants et les trolls avançaient, protégés par Mehdi, Goya, Thaddée et quelques élèves des plus expérimentés, ainsi que d'autres sorciers et sorcières avec des Paro Finctus, le bouclier magique le plus puissant, pour tenir contre les coups de canons et de tanks qui les visaient. Une fois à leur atteinte, les géants et trolls commencèrent à réduire en purée les blindés et les moldus à l'intérieur. et les sorciers continuaient d'abattre un à un les quelques moldus qui étaient encore à l'extérieur entrain d'essayer de nous freiner. Une fois tous tombés, ce fût le calme à l'extérieur, mais des hurlements et des cris de peur et de douleur retentissaient à intérieure de Poudlard, et une fois tous dedans, un bain de sang. Vampires, lycaons et Loups garous étaient entrain de festoyer, tuant à coups de griffes et de dents l'ennemi. Un spectacle pour le moins réjouissant. Nous avions réussi à récupérer et libérer l'école, mais nous devions à présent nous attendre aux conséquences.
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Mehdi Bakkali
Directeur de Serpentard
Mehdi Bakkali


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MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 5 EmptyMer 19 Fév - 2:04



Une semaine était passée depuis que nous avions libéré les filles, mes amies, Malory et Theodora. J'essayais de passer un peu de temps avec elles et faisais le pitre pour les faire sourire, et cela marchait quelques fois, mais j'étais aussi conscient qu'il allait falloir beaucoup plus de temps et bien plus que des enfantillages et des blagues faciles pour leur faire oublier leurs mésaventures et leur faire tourner la page. En tous cas, j'essayais de faire de mon mieux.

Avec JannaLynn, nous avions acheté un terrain à Londres il y a quelques années et nous avions décide d'y bâtir notre nouveau manoir; Thorn Hill, et il était enfin prêt, il surplombais la ville, perché sur une colline éloignée de la civilisation.  Nous avions une forêt en guise de jardin et notre propre cimetière. On a donc décidé de quitter le manoir Eiwaz et nous installer à Thorn Hill, jusqu'à ce que notre vieux Château Bakkali - Owen soit reconstruit une fois que nous en aurons fini avec les sangs de bourbes.

Un jour, alors que nous préparions Louise, notre petite fille à son rituel du bain, qui ma foi, était tout un programme car elle refusait de rester tranquille, une petite Nyctale de Tengmalm vint se poser dans notre boudoir. Elle était entrée depuis une fenêtre ouverte. Je descendais les escaliers en m'essuyant avec une serviette de bain et déboutonnant ma chemise qui était trempée à cause de Louise. Je m'approchais d'elle doucement, intrigué et je vis qu'elle portait un petit parchemin attaché à une de ses pattes. Je lui offris de l'eau et de la nourriture, je déroulais le minuscule parchemin et mis mes lunettes pour lire.

Elle était signée de la main de la ministre de la magie américaine et elle nous invitait moi et toutes les têtes de groupes à assister à une réunion aux Trois Balais, chef lieu de l'État Major que nous avions instauré à Pre aux Lards.

Ainsi, le jour de la fameuse réunion arriva et après avoir été rejoint par Goya et Thaddée à Thorn Hill, nous transplannâmes à l'entrée des Trois Balais, et nous dirigeâmes vers le deuxième étage en critiquant comme d'habitude, avant de faire une entrée remarquée.

- Et vous vous rappelez de sa femme, comment elle s'appelle déjà... ? - dit Goya

- Brigitte.

- Oui c'est ça Brigitte ! Quelle femme immonde, il n'aurait pas pu trouver plus moche !

- Elle a une moustache plus dure que la crinière d'un âne ! - Ajouta Thaddée tandis que nous rigolions comme des enfants dans le nuage de fumée provenant de ma cigarette et de celle de Goya, avant que je ne pousse la porte.

- Oh ! - M'exclamais-je voyant Firenze le centaure, Aziraphale le loup garous et autres créatures - Madame la ministre, si vous vouliez allez au zoo, il suffisait de me le demander, j'aurai payé l'entrée !

Firenze fit un pas vers moi faisant craquer le sol en bois avec son sabot, mais la ministre le retint. - Monsieur Bakkali, j'ose espérer que vous tiendrez cette parole la prochaine fois que nous nous verrons mais nous sommes ici pour régler une affaire importante. Entrez je vous prie. Des nouvelles de Jason?

- Non, aucune, mais soyez sans craintes, il viendra. - Répondis je en prenant place à côté de Stanley.

Après une vingtaine de minutes à entendre les présents parler pour ne rien dire, Jason arriva enfin, et la réunion commença.

- Merci à vous d'être tous venues et d'être présent aujourd'hui pour la récupération de l'école de Sorcellerie Poudlard ! - Dit la ministre - Aujourd'hui si on est malheureusement ici ! Dans cette auberge ! C'est que les moldues prennent l'ascendance sur nous ! Et il est de notre devoir d'agir au plus vite ! - Déroulant une grosse carte sur la table, elle fit apparaître différents pions à l'aide de sa baguette. Comme on pouvait le voir, chaque pion représentait un groupe.  Ainsi, elle commença à les déplacer en expliquant en même temps - L'Ordre de la Salamandre vous attaquerez par Pré-au-Lard du côté Ouest de Poudlard ! Leurs forces terrestres vont se concentrer sur vous en pensant être attaquer que d'un côté ! Et c'est là qu'ils se trompent puisqu'ils seront pris à revers par vous les centaures ! Venant du côté Est vous les attaquerez dans le dos ! Le Ministère américain et anglais attaqueront de front ! C'est à dire par les Airs mais également par la mer ! Et là où l'élément de surprise va être fatidique pour eux ! C'est qu'ils vont essayer de se retrancher dans le château ! Mais c'est là que vous les Directeurs de Maisons à l'aide vos plus vieux et meilleurs élèves ! Vous prendrez possessions des lieux et les repousseraient vers le centre de l'école !

- Je suis d'accord avec votre plan. Je laisse à Azar et Jason le soin de mener l'attaque avec la Salamandre, et Mehdi, si tu veux bien, lance l'attaque avec les Résistants et toi Goya, les membres du ministère étant donné ta position dans la hiérarchie. Moi j'attaquerai avec les vampires par les hauteurs et essayeront de les forcer à quitter l'enceinte du château pour que vous tous puissiez les cueillir. - Dit Stanley pour compléter la tactique de la ministre.

- Je m'occuperai de mener au front les élèves de Serpentard. - Ajouta Thaddée.

- J'approuve l'attaque ! Et je serais présent en première ligne avec la Salamandre. Sauf qu'il manque quelque chose pour l'ensemble des troupes ! La bataille on ne peut pas la gagner ! On est nombreux certes ! Mais il manque le Sorcier le plus puissant du monde ! - Nous n'étions as vraiment sûrs d'où il voulait en venir. - Je ne parle pas des Sorciers les plus puissants ! Mais bien du Sorcier le plus puissant ! L'unique et le seul qui peut faire peur à l'ennemie par sa renommé ! -Il ouvrit la porte et annonça -  Sylvius Césarius mes amis !

- Oh non, c'est pas vrai ! Pas lui ! - M'exclamais-je en entendant ce nom. Sylvius... Des mois qu'il avait disparu emmenant femme et enfants en France et maintenant il revenait comme une fleur ?!

Il pénétra dans la salle en retirant sa capuche et commença à saluer l'ensemble des personnes qui applaudissaient son retour et acclamaient son nom. Cependant, lui et Stanley s'ignorèrent et quand nos regards se croisèrent, il sourit. Je regardais alors derrière moi pour voir si ce sourire était adressé à quelqu'un d'autre mais non, il n'y avait personne. Par politesse, et en voulant surtout éviter une autre engueulade avec JannaLynn, je lui souris en retour. Il faut dire que les sœurs Owen ont épousé chacune des hommes complètement opposés, et cela depuis que JannaLynn et moi étions enfants et Sylvius et Mafalda nos professeurs. Et elles en souffraient car chacune prenait le parti de son mari et elles avaient fini par s'éloigner un peu l'une de l'autre. C'était dommage car autant Sylvius s'entendait très bien avec JannaLynn autant moi je m'entendais à merveilles avec Mafalda. Bref, passons.

Une fois le silence installé, Sylvius prit la parole.

- Jason, je suis au service de Poudlard. Je me range sous ta bannière pour ce combat et je ne viens pas seul. - Je n'en croyais pas mes oreilles ! Sylvius se montrant humble et refusant de prendre les commandes ?! On m'a certainement drogué !

- C'est à dire? - Demanda l'un des aurors de la garde rapprochée du ministre.

- Les reliques de la mort, se joindrons à nous à mon signal. Hagrid et quelques géants aussi. Il se trouve que j'ai encore quelques amis prêt à nous rejoindre. - Plusieurs aurors pénétrèrent dans la pièce. Kingsley Shackelbolt, Hermione Granger, Harry Potter, les Weasley au grand complet, Fleur Delacour et bien d'autres.

Je calais mon dos contre le mur et massais mon nez en fermant les yeux. Je m'étais déconnecté de la discussion il y a quelques minutes déjà.

- Ça va? - demanda Goya en posant sa main sur mon bras et frottant de bas en haut doucement. Je la regardais et lui sourit en hochant la tête pour la rassurer.

- Ils ont abandonné le ministère de la magie ! - S'écria un membre de l'assistance.

- Non, nous avons rejoint la seule personne qui soit digne après Potter ou Granger de tenir ce poste ! - Dit Kingsley Shackelbolt.

La discussion dura encore un moment et vers la fin, quand tout le monde commença à se préparer pour partir, je m'approchais de mon beau frère pour lui parler.

- Sylvius, je peux te parler ? - Il se détacha de la personne avec qui il conversait en s'excusant et se tourna vers moi. - Je te propose une trêve. Et je dis bien une trêve. Nous avons assez à faire comme ça alors évitons de laisser nos différents nous éloigner encore plus car nous devons nous unir pour ce combat. Tu as tes idées et tes valeurs, j'ai les miennes, et on ne sera jamais d'accord, soit ! Qu'il en soit ainsi, c'est la volonté de nos créateurs ! Mais pensons plutôt à nos épouses et nos enfants plutôt qu'à notre guerre. - Puis, le présentant ma main grand ouverte - Faisons le pour elles, tu veux bien?


- La Lune de Sang -


Il a été convenu que nous attaquerions Poudlard à la Lune de Sang. Les créatures des ténèbres comme les vampires, les loups garous et les lycaons seraient cette nuit là au summum de leur force et leur puissance. De plus, il fallait attendre que quatre jours pour arriver à cette date alors nous pouvions patienter.

La bataille avait été très violente et nous avions perdu énormément de personnes, mais nous l'avions fait ! Poudlard était de nouveau notre !

Après avoir récupéré Poudlard et exterminé toute la vermine sang de bourbe qui y vivait, nous avons décidé de nous y établir, tous ceux qui avons combattu. Nous avons fait précipiter les cadavres des ennemis d'au dessus du vieux pont de l'entrée de l'école et nous les submergeâmes de flammes pour les brûler grâce au sortilège Feudeymon. Les cadavres de nos compagnons morts durant cette petite bataille furent enterrés dans la Forêt Interdite avec respect et dignité.

L'école était sauvée. Du moins, c'est ce l'on avait cru. Quatre jours s'étaient écoulés depuis ce drame et nous protégions l'école contre l'ennemi, tandis que d'autres partaient recruter des alliés. Ainsi, notre groupe grossissait considérablement de jour en jour. La ministre des États Unis, Stanley, Jason et Thaddée s'occupaient d'établir les plans d'attaque et de défense en cas d'invasion, d'autres faisaient des rondes et des patrouilles aux alentours du château. Les créatures tels que les géants et les trolls avaient quitté l'enceinte de l'école et reparties se terrer dans les confins de la forêt. Seuls restaient les lycaons, les centaures, les vampires et les loups garous sous leur forme de sorciers.

Tout semblait pour le moins en ordre, et nous étions prêts à prévenir le reste du monde de cette offensive très réussie, mais heureusement, nous n'en fîmes rien.
Cela avait commencé par un léger bourdonnement au loin, des lumières qui approchaient, certaines d'entres elle clignotaient. Des vrombissement faisaient trembler la terre sous nos pieds et des vents violents giflaient les quelques tours qui tenaient encore frêlement debout.

Une armada de moldus. Ils revenaient se venger. De ma baguette, je fis apparaître des étincelles rouges au dessus du château grâce à l’enchantement Periculum pour prévenir les créatures qui avaient regagné plus tôt la forêt de revenir au combat. Mais une explosion retentit et quelques secondes plus tard, je me retrouvais propulsé par la pression de l'explosion qui avait éclaté à quelques mètres de moi.

Des cris de guerre commencèrent à se faire entendre, et des hommes en uniforme kaki avec des armes à feux dans les mains couraient en notre direction et tirant des coups dans tous les sens. Nous nous barricadâmes et Céline prit l'initiative avec d'autres sorcières et sorciers de placer des sortilèges de protection depuis une fenêtre ouverte. Mais ce n'était pas suffisant. Les explosifs étaient trop puissants et empêchaient les boucliers de faire correctement leur fonction. Ainsi, nous plaçant tous dans les brèches et les ouvertures des murs brisés pour les utiliser comme meurtrières,, nous commençâmes à  jeter des sortilèges contre les assaillants. Cela était sans compter les hélicoptères qui planaient sur nos têtes.

L'un d'eux finit pas larguer deux bombes qui firent exploser la toiture et tuant au passage une bonne partie de notre armée. Les elfes commencèrent alors à envoyer des flèches saupoudrées de poussière de fée faisant exploser certains tanks et chenillettes tandis que des sorciers jetaient des Confringo, des Bombarda Maxima, des Repulso, des Incendio et d'autres sorts pour ravager l'ennemi qui approchait. Mais plus nous en tuions, et plus ils en venaient. C'était à présent très clair. Soit nous les tuons, soit c'était eux qui nous tueraient.
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