Forum basé sur l'univers d'Harry Potter ! Notre secret a été percé à jour : les modlus savent que nous existons et la guerre a commencé
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Merci à tous de penser à cliquer sur CHAQUE ETOILE TOP SITE lors de vos visites pour faire connaître notre forum
-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

 

 " Sorcier Rassemblement ! "

Aller en bas 
+22
Victoria G. Vénatores
Malory Olianov
Harrius Godolphin
Goya Bakkali
Thaddée Bakkali
Hana Lupin Di Salvo
Mathéo Kénaël
Céline Chantress
Asher Forad
Shona Godolphin
Franz Albacova Kenaël
Mandragore DeBeaujoies
Mehdi Bakkali
Jane Harrinton Bakkali
Philomena Albacova Kenaël
Lili Godolphin
Ethan Dullac
Harry Allauch
Mat Dursley
Teodora Lawrence
Sylvius Césarius
Jason Eiwaz
26 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5  Suivant
AuteurMessage
Stanley di Salvo
Mort
Stanley di Salvo


Date d'inscription : 18/05/2016
Messages : 50

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyLun 2 Déc - 15:55

Poudlard est tombé. Les moldus avaient porté une violente attaque contre les sorciers, et le château était tombé en ruines. En tant que chef des vampires en absence de Nolhan Lockwood, j'avais décidé que notre clan n'allait pas intervenir. Mais en tant que chef des résistants, j'avais donné l'ordre d'aller décimer tous ces sangs de bourbes.

Il était hors de question que je mette ma famille et les vampires en danger de mort. Nous étions une espèce vulnérable et en voie d'extinction pour le grand plaisir de beaucoup.
Mes liens avec les membres du ministères n'avaient jamais été aussi ternes, le ministre de la magie m'avait dans le viseur, et je l'avais également dans mon viseur à moi. Sans parler de Césarius qui n'avait jamais toléré ceux de notre espèce et qui se ferait une joie de m'arracher la tête.

J'échangeais beaucoup avec les membres de la Salamandre. Asher et Azar Forad, Iorveth... Ils étaient mes amis et Azar pensait qu'il était temps que la Salamandre redevienne ce qu'elle était. J'étais on ne peut plus d'accord. Depuis que l'Ordre de la Salamandre avait été détruit, les problèmes entre moldus et sorciers commencèrent. Notre devoir était de protéger les deux mondes l'un de l'autre, et nous avions failli à notre mission.

Mon cousin germain Mehdi qui depuis sa dernière année à Poudlard avait énormément évolué et avait pris une direction sombre, s'était rallié aux Resistants. Il était un raciste invétéré envers les sangs de bourbes et à n'importe quelle occasion qui se présentait il en profitait pour leur faire le maximum de mal. C'était une route dangereuse et épineuse mais Mehdi était un sorcier puissant. Il avait fait preuve d'une violence et d'un courage remarquable à chaque combat, et tuait de sang froid et sans aucun remord ceux qu'il considérait comme ses ennemis.

Mais les choses avaient pris une autre tournure. Je me trouvais au Château Bakkali, chef lieu de la grande famille Bakkali. Il avait été attaqué et Mehdi et sa famille avaient dû prendre la fuite pour les Etats Unis. De leur château, il ne restait que des ruines et des cendres. J'explorais les lieux à la recherche de quelque chose qui n'aurait pas été ravagé par les explosions et les flammes, mais il ne restait rien. J'étais un peu triste devant ce spectacle. Nous avions fait des soirées de folies, des bals, des galas, des réceptions spectaculaires dans ce château, des réunions de mangemorts également avaient eu lieu dans ce château vieux de 800 ans. Mais il ne restait rien. Hormis le cimetière où étaient enterrés les Bakkali, les Ombrages, les Di Salvo, les Volturi, les Urdangarin, les Rosier, et d'autres familles de sang noble et pur qui d'une manière ou d'une autre étaient rattachés aux Bakkali et aux mangemorts.

Cela faisait un mois déjà, et Hana, ma femme, qui transplannait chaque jour de chez nous à chez les Olianov, chez les Chantress, chez les Eiwaz et chez les Godolphin pour assurer les cours malgré les temps sombres, me tenait au courant de ce qui se passait.
Toute cette histoire nous avait mené à un froid glaciale dans notre vie conjugale. Bien entendu, elle avait refusé de faire parti des résistants. Elle avait du sang mêlé et côtoyait des moldus chaque jour. mais nous nous aimions malgré nos opinions divergentes. Nous évitions de parler des sujets qui fâchent  et nous continuions nos vies, voyant nos magnifiques jumelles qui avaient grandi et qui devaient intégrer l'école l'année qui suivait. Elles étaient nos rayons de soleil chaque jour. Natalia était douce et gentille comme sa mère. Elle avait hérité à son tour le pouvoir de changer la couleur de ses cheveux selon son humeur, comme sa mère. Astrid en revanche nous inquiétait un peu plus.Elle était née après sa sœur de quelques heures, et nous donnait du fil à retordre. Elle était capricieuse, colérique, têtue, bornée, obstinée, et n'en faisait qu'à sa tête. Elle avait déjà fait preuve de méchanceté envers sa sœur. Elles avaient beau être identiques au niveau physique, leur caractère était toute fois totalement différent.

Asher et moi échangions beaucoup de lettre pour mettre au point le retour de la Salamandre. Il m'avait indiqué que Mehdi et Jason, le fils de Nelson ainsi qu'Azar préparaient les élèves de Serpentard au combat durant des heures et sans répit. Certes c'était souvent très violent vu les trois énergumènes, mais un mal nécessaire s'ils voulaient avoir une chance de survivre.

Ainsi, arriva le jour où, voyant que tout et tous étions prêts, je pris le réseau des cheminées pour aller chez les Eiwaz, notre Quartier Général à l'époque de la Salamandre. Je connaissait parfaitement les lieux pour y avoir déambulé étant plus jeune. La cérémonie devait se passer au sous-sol du manoir, et en tant qu'Ambassadeur et vétéran de la Salamandre, j'avais le privilège d'initier la cérémonie. Etant également le doyen des membres, j'étais peut être également perçu comme un sage ou un prêtre, qui sait?

Dans ma tunique noir et cuivre, je marchais dans les couloirs sombres du sous sol où des demi-colonnes de pierres s'allumaient quand j'approchais puis s’éteignaient quand je m'éloignais. Des torches enflammées illuminaient également le passage et enfin j'arrivais à la crypte.

Je commençais à  préparer la cérémonie quand, surprise, Iorveth arriva avec deux nouveaux invités. Mes cousins Goya et Thaddée avaient rejoint la Salamandre sous la demande de leur frère Mehdi.
Cela faisait une éternité que nous ne nous étions plus vus. Je serrai Thaddéus dans mes bras et embrassait Goya en la soulevant. Ils m'avaient énormément manqué, et entre Goya et moi, il y a toujours eu un petit quelque chose d'incomplet qui datait de notre jeunesse, alors  nous avions beaucoup de tendresse l'un envers l'autre.

Nous parlions doucement nous racontant un peu nos vies, puis nous entendîmes une porte s'ouvrir, et nous vîmes trois ombres masculines approcher en silence. Seul leurs pas faisaient du bruit. Ils me faisaient un peu passer à mes aïeuls les frères Volturi.

Azar, Mehdi et Jason, tous les trois avançaient doucement et vinrent se placer autour du graal en or.
La cérémonie pouvait débuter.

Je me plaçait sur le piédestal et mis mes bras en arc de cercle avant de commencer.

- Mes frères, ma sœur, nous sommes ici pour redorer les couleurs et le pouvoir de l'Ordre de la Salamandre, et ainsi protéger notre monde et celui des moldus, et ainsi maintenir la paix dans les deux mondes ! - Prenant une dague, je m'ouvris la main et serrant les poings, je laisser couleurs quelques gouttes de sang vampire dans le calice. - Je vous invite à votre tour, mes frères, ma sœur, à affaiblir votre corps en versant quelques gouttes de votre sang dans ce Graal, et le pouvoir qu'il vous octroiera décuplera vos forces !

A tour de rôle, ils versèrent leur sang dans le Graal avant de me le rendre.

Je le posais devant moi, et tout le monde se mit autour de lui, se tenant la main. Je prononçais une formule magique et Azar prit la parole:

- Soyez sans peur face à vos ennemies ! Soyez juste et droit pour être aimée de tous ! Dites toujours la vérité, même si cela doit vous coûter la vie ! Protégez les innocents et luttez contre le mal !Tel est votre serment ! "

Une boule d’énergie bleuâtre se forma entre mes mains et je la fis tombers dans le Graal. Je bus une gorgée, et la passait à Azar, qui ensuite la passa aux autres à tour de rôle. Une brûlure se fit sentir, pareil que la dernière fois, mais en moins intense. Une Salamandre se dessina sur mon épaule, exactement comme la dernière fois. Chacun faisait de son mieux pour tolérer la douleur. Goya eu une salamandre dessinée sur les phalanges de sa main droite, Mehdi en bas du dos, et Thaddéus sur le pectoral gauche, près du cœur.

Ainsi, Azar reprit la parole quand la cérémonie fût cloturée.

- L'Ordre de la Salamandre est de retour ! "

Et de ma baguette, je dessinais une salamandre géante en or qui commença à vorevolter autour de nous et finit par se fixer contre le mur.
Revenir en haut Aller en bas
Hana Lupin Di Salvo

Hana Lupin Di Salvo


Date d'inscription : 26/06/2019
Messages : 16

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyMer 4 Déc - 23:35

Remettons les choses dans leurs contexte! Mes filles ont grandi, elles ont déjà 7 ans, pour Natalia tous ce passais bien, elle était ingénue, elle aimait apprendre, lire et aidé son prochain... Un vrai petit st Bernard. Elle avait aussi héritée de mes dons de métamorphe. Elle ne maitrisais pas encore correctement se dons passant parfois par toutes les couleurs possible et imaginable que ce soit pour ses cheveux, sa peau, ou encore la couleurs de ses yeux. Je me revoyais à son âge cherchant un moyen pour me contrôler ainsi que contrôler mes émotions. La était la clé, mais je ne pouvais lui servir toutes les solutions sur un plateau d'argent. Je répondais à ces questions sans pour autant trop en dévoilé, je la laisser faire ses propres, ses propres recherches et la guidais dans les expériences qu'elles voulaient mener. La laissant faire ses propres erreurs, pour qu'elle grandisse.

En revanche Astrid était différente de sa soeur comme tous les enfants. Elle était plus tyrannique, elle nous donnais du fil a tordre, je ne devais pas négliger Natalia pour Astrid mais je le faisais malheureusement. Astrid étais tellement plus compliqué a comprendre, à cerné, elle demandais tellement plus d'attention... Et de l'attention en ce moment avec son père nous n'en avions pas forcément.

Lors de la bataille de Poudlard, fort heureusement j'avais envoyé les deux amours de ma vie chez ma grand-mère qui, malgré toutes ces années passées n'avais rien perdue de son mordant ni de sa sagesse.

Elles s'étaient réfugier au fin fond de la forêt écossaise. Les sachant en sécurités, j'avais pus me dévouer corps et âmes dans la batailles ainsi que sur le sauvetage des moldus. Sur ce point la, nos avis divergeaient avec Stanley. Nous avions passer plusieurs soirées a nous prendre la tête sur ce points là... et d'autres, élevant la voix jusqu'as réveiller nos filles. Malgré ça nous restions un minimum soudé enfin ce qu'il fallait pour ne pas s'entretué et rester ensemble.

La bataille de Poudlard fût un carnage ainsi qu'un échec cuisant, j'avais puis voir le désastre jusqu'as ce que la fin ne survienne ayant aidé à l'évacuation des derniers élèves, professeurs et autre moldus qui avait pus assister à ce massacre.

Depuis nous avions regagner notre manoir, je transplanais tous les jours vers les Highlands pour voir mes filles et ma grand-mère. Je continuais mes visites, passant de demeure en demeure pour m'assurer que toutes les familles était a peu près préparer aussi bien que faire ce peu. Je remarquais avec soulagement et fierté que mes anciens élèves avais appris à leur plus jeune frère, soeur et enfant à ce débrouiller contre quelqu'un avec une baguette.

Je transplanais aussi souvent dans la maison de ma meilleure amie et collègue Celine Chantress, ses frères et soeurs étant les premiers élèves volant a qui j'avais enseigner quelques rudiment indispensable afin de ne pas se retrouver pantois devant l'ennemi. Pour les petits, et grands Chantress, ce n'étais qu'une simple révisions. Leur grande soeur leur avait déjà tout appris. Je ne pouvais que prier pour que rien ne leurs arrivent.

Depuis la bataille de Poudlard, tous les Poufsouffle c'étaient réfugier chez mon amie. Elle les cachaient et les aidaient à ce préparer a tous retournement de situation. Je venais juste lui donner un coup de main de temps à autres.

Ce soir là il était tard. Mon mari avait une fois de plus maintes choses a faire plutôt que de rester se reposer. J'avais passer le début de soirée avec mes filles chez ma grand mère mais il fallait surement que je me trouve une plus grande occupation qu'un simple livre et mon canapé. J'enfilais mes bottines et transplanais chez les Chantress.

Un grand feu de camp était allumer, je m'avançais les mains dans les poches et m'asseyais sur un tronc d'arbre. Une jeune élève de 4eme année me tendit une brochette de Chamalow a faire griller, je lui souris, la récupérer en soufflant un merci. Je regardais Celine faire griller ces marshmallow avec un sourire mais plutôt triste... Comme pendant nos longues années d'amitiés nous l'avais appris, je réussissais a lui décrocher un sourire en simplement lui offrant un verre de vin. Je le fit apparaitre devant elle.

Si elle ne m'avais pas encore remarquer c'était chose faite. Je soulevais mon verre. A quoi trinquions nous? a rien si ce n'est à la vie qui allais peut-être nous imputé dans les quelques heures qui allait suivre.
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 6 Déc - 16:47

Un mois s'était écoulé depuis la chute de Poudlard. Je n'avais participé à la bataille ni de près ni de loin. J'étais beaucoup trop occupé à m'installer et m'habituer à ma nouvelle vie à Londres, alors entre les rencontres, le déménagement et les papiers, je n'avais pas le temps pour ces "futilités".

J'avais reçu des lettres en provenance des professeurs de Poudlard m'indiquant que les élèves étaient réparties dans chez leurs Directeurs et Directrices de Maison. Je dis ça car quelques mois avant  la guerre, Sylvius Césarius m'avait accordé le post de professeur se Magie Noire. Qui de mieux indiqué qu'un ancien de Durmstrang pouvait enseigner cette matière?

Je passais donc mes journées à transpplanner chez les Godolphin dans les steppes et chez les Chantress en France pour donner mes cours aux Gryffondor et Poufsouffle, et plus loin encore je transplannais chez les Olianov en Russie pour répartir mes cours aux Serdaigles et aux USA pour les Serpentards, qui s'étaient retrouvé à vivre là bas après que Château Bakkali, que nos parents ont offert à Mehdi et JannaLynn, ai été réduit en charpie.

J'étais assez agréablement impressionné par le niveau élevé des élèves. Il semblerait mon prédécesseur, Mlle. Lockwood a été une excellente professeur et maîtrisait à merveilles les arts obscures.

Un jour, j'étais entrain de me préparer dans la chambre que je louais lorsque Madame Phalange, ma logeuse fît son apparition. Elle avait un regard sinistre et fatigué, les cheveux en batailles et quelques égratignures sur le cou, le visage et les bras. Elle me tendit une lettre urgente, collée par le sceau des Bakkali et envoyé par mon frère, non pas par un hiboux ou une chouette, mais par un Pétrel Géant, un oiseau de mer carnassier au caractère redoutable, certainement pour avoir le maximum de sécurité si jamais il venait à être intercepté, et Madame Phalange en avait malheureusement fait les frais.

J'ouvris la lettre et je lis:


Thaddéus,

Beaucoup de changements à venir.
L'Ordre de la Salamandre va être rétabli.
Joins toi à nous.
Goya est de la partie.
Si tu acceptes, touche ta marque des ténèbres.

Nous comptons sur toi.

Ton frère.

PS: Ceci est un Serment Inviolable. Si tu en parles, commence à creuser ta tombe.


C'était bien Mehdi, oui. Il était le seul à être capable de mettre la mort sur mes pas en m'envoyant une lettre ensorcelée par un Serment Inviolable.

Je pliais la lettre pour la mettre dans la poche de mon trench, et j’effleurai la marque des ténèbres sur mon avant bras comme Mehdi me l'avait demandé pour lui signaler que j'acceptais avant de transplanner chez ma collègue Céline Chantress pour répartir mes cours. Après avoir fini, elle m'invita à boire un verre et faire connaissance. J'étais le dernier à avoir intégré l'équipe, j'imagine qu'elle voulait se montrer gentille. J'acceptais volontiers et après avoir discuté une vingtaine de minutes, je transplannais aux Etats Unis, à l'adresse écrite avec de l'encre de méduse, transparente et difficile à faire apparaître, et je me suis retrouvé dans le Manoir Eiwaz, une grande bâtisse protégée par des sortilèges.
Un homme costaud et imposant me stoppa à l'entrée.

- Halte là ! - Cria-t'il. - Qui êtes vous?

Gardant mon calme, je sortis la lettre de ma poche et lui montrais. Ses traits du visage de détendirent et me fit entrer aimablement. Je le remerciais et j'entrepris la traversée du jardin. Tout était coloré. Le manoir, de style Victorien au fond du jardin était de couleur brique, et la toiture en tuiles noires. Les fenêtre à la bordure en bois noire dessinaient des carreaux transparents laissant apparaître des rideaux épais en velour rouge pour empêcher de voir l'intérieur des chambres. D'autre fenêtres, plus basses, étaient en verres de couleurs, avec le blason Eiwaz sur le carreau centrale et une salamandre dessinée sur les autres. Si je n'avais pas hérité de l'immortalité de mes ailleuls vampires, j'avais conservé cependant une excellente vue de faucon. Aucun détaille ne m'échappait.

Le jardin était un véritable parc naturel. Le ciel était bleu parsemé de quelques nuages, et le soleil faisait briller l'eau de la fontaine centrale et les étangs, où insectes et animaux variés étaient entrain de boire. Les oiseaux chantaient pour attirer les femelles dans leurs nids au dessus des arbres, et des fleurs et de l'herbe fraichement coupée, émanaient des parfums magiques et appaisants. Cet endroit est ce qui ressemblait le plus au Paradis à mes yeux. Une fois arrivé à la porte, je vis ma soeur, Goya, qui attendait à ce qu'on lui ouvre. Elle était arrivée une ou deux minutes avant moi.

- Tiens, tu es là toi ! - me dit-elle.

- Eh oui... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour la famille, hein? - dis – je en lui faisant la bise.

La porte s'ouvrit et nous vîmes un vieux singe portant un costume, une canne et des lunettes, spectacle pour le moins surprenant, ni Goya ni moi avions vu pareille chose auparavant. Il nous invita à entrer dans la demeure et l'intérieur était tout aussi luxuriant mais plus sombre. Un portrait de Dumbledore décorait le mur en face de l'entrée. D'autre tableaux représentaient des personnes décédées de la famille Eiwaz et Dumbledore, et en plein milieu, un immense cadre en bois doré, avec un homme et une femme se tenant la main, avec les noms de Nelson et Sheila Eiwaz écrits en petit sur le coin inférieur droit.

Le singe, qui se présenta cordialement sous le nom de Bassey nous indiqua que la cérémonie devait avoir lieu au sous sol, dans la crypte plus exactement, et il pointa à l'aide de sa canne, une vieille porte en bois, qui faisait plus penser à un cagibi qu'à un accès au sous-sol.

Tandis que Goya et moi approchions de la porte, un homme grand, mince et musclé à la chevelure blonde et eux joues creuses approcha du vieux singe. Il nous observait tandis qu'il chuchotait quelque chose à Bassey. Goya et moi commençâmes à descendre les marches du sous sol. Le sol était en pierres grises, avec des délimitations bien dessinées. Une salamandre était gravée sur chacune d'entre elles. La temperature était plus froide et le chemin jusqu'à la crypte était très sombre. Des demi colonnes en pierre sans gravures ni motifs s'allumaient et s'éteignaient au fur et à mesure qu'on s'approchait et qu'on s'éloignait d'elles, et enfin, une fois au fond, des petites marches humides donnaient accès à la crypte.

Goya glissa sur le lichens se trouvant sur une des marche et manqua de se casser la figure. Elle se rattrapa de justesse et lâcha un flot d'injures imprononçables. Quelle idée de venir en talons aiguille...

Une fois arrivés en bas des marches, '4 torches illuminaient le crypte en demi sphère, et nous trouvâmes Stanley, notre cousin germain, entrain de tout préparer. Ah Stanley ! Nous nous serrâmes fort dans les bras. Notre cher cousin que nous n'avions plus vu depuis plus de 10 ans, depuis son mariage en fait. Il n'avait pas changé d'un cran. Il faut dire qu'un vampire ne risque pas de vieillir physiquement !

Nous parlions de tout, prenant des nouvelles sur comment la vie nous avait traité jusqu'à présent, parlant travail, famille... Et une autre personne se joignit à nous. Une jeune femme, brune aux yeux foncés et cheveux ondulés. Elle me faisait penser à quelqu'un que je connaissais mais de manière très vague.

- Ah, Leah ! - Dit Stanley en la prenant dans ses bras. - Tu m'as manqué mon amie, tu as trop tardé à revenir ! - Dit – il. Puis, s'adressant à nous. - Goya, Thaddéus, voici Leah Eiwaz, la sœur de Jason, l'ami de votre frère, et la fille des fondateur de l'Ordre de la Salamandre, mes regrettés amis Nelson et Sheila.

- Bonsoir – nous dit-elle gentiment. Et Goya et moi fîmes de même.

Et bientôt, nous avons pu distinguer trois cadences de pas différentes, et nous vîmes apparaître trois hommes, à savoir: Mehdi, l'homme qui nous toisait en arrivant Goya et moi, et Jason.

- Lui, c'est Azar Forad, un des fondateurs de l'Ordre – Dit Leah à propos du blond en chuchotant.

On s'est tous placé en arc de cercles autour d'un calice en or que Stanley avait posé au centre. La cérémonie pouvait commencer.

- Mes frères, mes sœurs, nous sommes ici pour redorer les couleurs et le pouvoir de l'Ordre de la Salamandre, et protéger notre monde et celui des moldus, et ainsi maintenir la paix dans les deux mondes ! - Prenant une dague, s'ouvrit la main et serrant les poings,il laissa couleurs quelques gouttes de sang vampire dans le calice. - Je vous invite à votre tour, mes frères, ma sœur, à affaiblir votre corps en versant quelques gouttes de votre sang dans ce Graal, et le pouvoir qu'il vous octroiera décuplera vos forces !

A tour de rôle, nous nous écorchions la main et laissions couler notre sang dans le Graal. Azar Forad prit alors la parole, tandis que Stanley récitait une formule en araméen, et une boule de lumière bleuâtre se forma dans ses mains


- Soyez sans peur face à vos ennemies ! Soyez juste et droit pour être aimée de tous ! Dites toujours la vérité, même si cela doit vous coûter la vie ! Protégez les innocents et luttez contre le mal !Tel est votre serment !

La boule d'énergie tomba dans le calice et Stanley prit une gorgée, avant de nous passer la coupe et chacun en bu une à son tour. Je commençais à sentir une bruûle intense au niveau du coeur, et quand j'ouvris ma chemise, une salamndre venait d'apparaître sur mon pectoral gauche. Mehdi aussi grimaçait de douleur tandis que son tatouage apparaissait au bas de son dos, Goya voyait les étoiles tellement elle souffrait à cause de sa salamandre marqué comme au couteau sur les falanges de sa main droite et le reste des personnes également.

Une fois la douleur passée et chacun d'entre nous marqué comme au fer rouge, nous  avions fini la cérémonie et Azar clama haut et fort:

- L'Ordre de la Salamandre est de retour !

Stanley fît apparaître une salamandre géante qui tourbillonna dans la crypte et autour de nous et alla se tracer sur le mur derrière lui.

- Et maintenant? - Demanda Goya.

- Oui, que fait-on maintenant? - insistais-je également en regardant l’assemblée.

- Maintenant – dit Mehdi un sourire mauvais aux lèvres – On va remettre les choses à leur place !



Dernière édition par Thaddée Bakkali le Ven 6 Déc - 20:52, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Shona Godolphin
Directeur de Gryffondor
Shona Godolphin


Date d'inscription : 13/08/2014
Messages : 186

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 6 Déc - 17:29

J’étais là, debout dans la cours de ma maison face à un homme que je ne pensais jamais revoir. Forad nous avait aidés à sortir d’Alkazard quand le Ministre de la magie, Oz Addams, nous y avait enfermé moi en Jason, puis il avait disparu sans un mot ni le moindre salut.
Et voilà qu’il se trouvait à nouveau devant moi, avec sa dégaine de guerrier d’autre fois, à croire qu’il se croyait encore au moyen âge. Bien que je lui sois reconnaissante d’être venu une fois à mon secoure, cela ne lui donnait pas le droit de rudoyer le moindre de mes élèves, même si c’était le préfet en chef de la maison des Gryffondor..


-Je suis étonné de vous revoir, monsieur Forad, surtout par les temps qui courent.  Vos habitudes ne se trouveraient pas plutôt chez les Eiwas.Déclarais-je sur un ton mordant, puis plus doucement :-Bref, j’ai entendu vos questions. Sachez que vous êtes chez moi, sur le domaine des Godolphin où c’est réfugié toute la maison des Griffondor. En suite qu’est ce qui est arrivé à Poudlard ? Une attaque, monsieur Forad, une attaque fomentée par une coalition de sorciers et de moldus, rien de moins !! Poudlard a perdu, nous avons perdu !! Depuis nous essayons de survivre en protégeant le plus de monde possible. Chaque maison c’est réfugier chez son directeur de maison quand cela était possible, où chez des amis qui ont bien voulu nous ouvrir leur porte. Cela répond-t-il à vos questions, monsieur Forad.

Je me tus un moment en le regardant de haut en bas, je remarquais son visage fatigué et la poussière sur ses vêtements de cuir.

-Vous me semblez exténué, voulez-vous profiter de notre hospitalité ? Nous pouvons vous héberger le temps que vous récupériez un peu d’énergie avant de continuer votre chemin.
Revenir en haut Aller en bas
Goya Bakkali
Membre de la Salamandre
Goya Bakkali


Date d'inscription : 20/02/2018
Messages : 55

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 6 Déc - 20:33

Cela faisait maintenant un mois que mon idiot de frère Mehdi a été vaincu par des sangs de bourbes, réduisant notre château à l'état de poussière. J'étais folle de rage malgré le temps qui passé. Des sangs de bourbes, à Chateau Bakkali, et en plus pour le démolir ! Inconsolable, enragée, en colère, sont des états émotionnels encore trop faibles pour décrire mon état. J'en voulais à Mehdi de ne pas avoir vu le coup venir, mais je savais que ce n'était pas de sa faute. Lui et son épouse avaient tout perdu dans cette attaque. Et j'étais consciente et au courant qu'ils avaient installés assez de sortilèges et assez de pièges pour tuer une armada toute entière.

Et je ne vous parles même pas du fiasco et la défaite désastreuse que Poudlard a eu contre ces sales sang de bourbes ! Bref, nous arions pu penser que tout avait été manigancer pour me mettre hors de moi.

Un jour, j'étais tranquillement entrain de lire un article sur moi dans la Gazette du Sorcier lorsque mon fils arriva en courant.

- Maman ! Maman ! Regarde, j'ai trouvé ça dans l'armoire à disparaître !!

- Combien de fois Calix, vais-je te dire de ne pas aller là dedans? - dis-je sur un ton sévère. - Donnes moi ça et vas dans ta chambre !

Il prit un air penaud et m'obéit. Je remettais réellement en question l'adoption de cet enfant par moments. Je le suivis avec un regard sombre jusqu'à ce qu'il disparaisse de mon champ de vision. J'ouvris la lettre enfin, qui portait le sceau de notre famille.


Goya,

Beaucoup de changements à venir.
L'Ordre de la Salamandre va être rétabli.
Joins toi à nous.
Thaddée est de la partie.
Si tu acceptes, touche ta marque des ténèbres.

Nous comptons sur toi.

Ton frère.

PS: Ceci est un Serment Inviolable. Si tu en parles, commence à creuser ta tombe.

Je repliais la lettre et retirais mes lunettes doucement. Décidément Mehdi avait l'art et la manière de jouer avec la mort comme il le voulait. Assise sur le sofa les jambes croisées, je réfléchissais en fumant à la décision à prendre. Je connaissais la Salamandre, j'avais combattu auprès d'eux et de Poudlard à ma dernière année à Beauxbâtons contre la Secte Noire. Mais était-ce bien judicieux de me joindre à eux. Ce fût mon mari, Mycroft qui m'aida à prendre la bonne décision. Il venait de rentrer au penthouse et me vit assise et pensive, les cendres de ma cigarette sur le point de tomber par terre, une coupe de vin à moitié vide sur la petite table à côté de moi.

- Ca ne va pas? Qu'est-ce que tu as? - me demanda-t'il.

Je lui tendis la lettre. Je n'avais pas le droit d'en parler mais rien ne m'obligeait à ne pas montrer cette lettre à qui que ce soit.

Après l'avoir lu, il s'assit aussi et dit:

-A mon avis, tu dois y aller. Ton frère demande ton aide. Je dois te rappeler que la première phrase de la devise de ta famille est "Tenax et Fidelis" ?( Inébranlables et fidèles.) Ca sera également l'opportunité de venger la destruction du chateau familiale
.

Ces mots résonnèrent comme un coup de tonnerre en moi. Mon corps vibra en entier lorsque j'entendis la devise. Je me suis donc levée et lui posais un baisé sur le front avant d'aller me préparer.
Une fois prête, je transplannais à l'adresse écrite en encre de méduse, transparente et extrêmement délicate à manier pour faire apparaître l'écriture. Une fois déchiffrée, je transplannais.

Les Etats Unis. Je faisais fureur dans ce pays. Mes performances d'artiste n'étaient pas passées inaperçues et je m'attendait à me faire agresser de partout, mais non. Une fois arrivée, tout ce que je vis c'était un grand mur, une porte de fer avec un immense blason au centre. Un homme corpulent me demanda de m'identifier et je lui tendis la lettre que j'avais reçu.

Il m'invita à pénétrer dans les lieux. Tout de suite un sentiment de sérénité s'empara de moi. Je me sentais comme si toute la gravité autour de moi avait disparu. Je devais absolument me renseigner sur quels sortilèges avaient été appliqués pour donner cette sensation aux personnes qui entraient dans le domaine. Au fond du jardin se trouvait le manoir Eiwaz. J'avançais les mains jointes au niveau de mon cou, mêlant et entremêlant mes doigts jusqu'à la porte d'entrée. Je toquais et quelques secondes plus tard, j'entendis les pas de mon frère Thaddée derrière moi.


- Tiens, tu es là toi !
- dis - je sans la moindre émotion dans les yeux. Je me penchais vers lui légèrement pour qu'il me fasse la bise.

- Eh oui... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour la famille, hein?


J’acquiesçais  et la porte s'ouvrit, laissant apparaître un  vieux singe bien habillé, portant des lunettes sur le museau et une canne pour l'aider à marcher. Il nous invita gentiment à rentré, et je lui souris nerveuse. C'était la première fois que je me retrouvais face à une créature pareil.

Il nous expliqua que le rituel devait avoir lieu dans la crypte. Il indiqua une porte que nous devions prendre et aussitôt dit, aussitôt fait. Je me voyais ouvrir la porte et commencer à descendre les vieilles marches doucement. Thaddée mettait un peu plus de temps.

- Allez Polo ! - grognais-je le tirant par la chemise.

Nous descendîmes, et commençâmes à traverser le long couloir de pierres. Il faisait frais et je n'était clairement pas habillée pour ce genre de températures. Au fond du couloir se trouvait la crypte, d'après Bassey, le singe.

Nous sommes arrivés à des petites marches couvertes de lichens, et au moment où je posais mon pied sur la première marche, je me vit glisser et me rattraper avant de m'éclater les os contre le sol. Je lâchais un torrent d'injures tandis que Thaddée pouffait de rire.

Une fois ces quatre marches meurtrières déballées, nous tombions nez à nez avec Stanley, notre cousin, et mon amour de jeunesse. Je ne pus m'empêcher de rougir devant lui et de sauter dans ses bras tellement j'étais heureuse de le revoir. Il me serra fort dans ses bras et rien qu'en le voyant j'avais retrouvé le sourire.

Je savais qu'il était marié et avait des jumelles, et j'avais beaucoup apprécié sa femme quand je l'avais rencontré. Et moi aussi j'avais fait ma vie, alors il ne restait de notre amour de jeunesse, que de la tendresse et une bonne amitié.

Une jeune femme brune qui devait avoir mon age ou un peu moins apparût à son tour. Stanley s'occupa des présentations, et enfin, arrivèrent comme les trois mousquetaires, Mehdi, son meilleur ami Jason, et un homme que je ne connaissais pas mais que je trouvais séduisant.

Stanley nous plaça en arc de cercle et commença la cérémonie.

- Mes frères, mes sœurs, nous sommes ici pour redorer les couleurs et le pouvoir de l'Ordre de la Salamandre, et protéger notre monde et celui des moldus, et ainsi maintenir la paix dans les deux mondes ! - Prenant une dague, s'ouvrit la main et serrant les poings,il laissa couleurs quelques gouttes de sang vampire dans le calice. - Je vous invite à votre tour, mes frères, ma sœur, à affaiblir votre corps en versant quelques gouttes de votre sang dans ce Graal, et le pouvoir qu'il vous octroiera décuplera vos forces !

Quand mon tour arriva, j'hésitai un peu au départ. Me taillader n'était pas dans ma liste des choses à faire avant de mourir, mais soit, s'il devait en être ainsi. Je fixais l'homme blonde qui était en face de moi et qui semblait m'encourager à le faire du regard. D'un coup sec, j'empoignais la lame et me coupais en diagonale. Une plaie propre, net, profonde de par laquelle le sang coulait à flot. Je versais ma part dans un calice en or où tout le monde avait versé le sien également et le rendis à Stanley.

L'homme blond, que la fameuse Leah nous avait présenté comme étant un des fondateurs de l'Ordre prit ensuite la parole.

- Soyez sans peur face à vos ennemies ! Soyez juste et droit pour être aimée de tous ! Dites toujours la vérité, même si cela doit vous coûter la vie ! Protégez les innocents et luttez contre le mal !Tel est votre serment !

Stanley, qui pendant ce discours était entrain de marmonner je ne sais quelle formule en araméen, déposa une boule d'énergie dans le calice puis le leva au ciel et bu une gorgée.

Il le passa ensuite à Azar, qui fit de même et le passa à Mehdi qui le donna à Jason et ainsi de suite jusqu'à ce que bu en dernière. Stanley reprit le calice et le déposa derrière lui. Je commençais à sentir un picotement, puis une légère brûlure, au niveau de ma main. Et cette douleur s'accentua. Paniquée, je regardais ma main. Nos blessures infligées avec la dague avaient toutes disparues et une salamandre se dessina sur une partie du corps au hasard en chacun de nous. Je pense bien avoir été celle qui en avait le plus bavé. La salamadre se dessina sur le dos de ma main, comme au fer rouge. Une ou deux larmes m'échappèrent devant la douleur infligée.

Cette douleur finit par s'estomper au bout de quelques secondes après que le desseins apparût en entier.
Je relevais mon visage, et vis que nous avions tous pris très cher. Chacun regardait son tatouage, fiers et satisfaits d'avoir accompli le rite avec succès. Personnellement j'étais toujours perplexe. Je n'étais pas mais alors pas du tout certaine de ce que je faisais. La seule et unique chose qui m'importait était d'en découdre avec les moldus pour restaurer Poudlard et le Château Bakkali.

- L'Ordre de la Salamandre est de retour ! - s'exclama plein de ravissement Azar.

Stanley fit tournoyer sa baguette au dessus de lui et une grande salamandre apparût sautant et virevoltant autour de nous et sur nos têtes, avant de s'écraser contre le mur du fond, se gravant dans la pierre.

Je pris une bouffée d'oxygène, toujours les yeux rivés sur la main et dit:

- Et maintenant?

- Oui, que fait-on maintenant? - Ajouta Thaddée pour appuyer ma question.

- Maintenant
- dit Mehdi avec un sourire mauvais accroché aux lèvres. -  On va remettre les choses à leur place !

Je ne pus m'en empêcher, un rictus aussi mauvais que celui de mon frère se dessina sur mon visage. On allait claquer du sang de bourbes, et c'était tant mieux.


Revenir en haut Aller en bas
Harrius Godolphin
1ère année
Harrius Godolphin


Date d'inscription : 07/06/2016
Messages : 135

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 6 Déc - 22:33

Ras la casquette !!!!

Cela fait plus d’un mois que Poudlard était tombé, un mois que l'horreur avait eu lieu. J’aurai aimé suivre ma maison et tous mes amis, mais voilà, je suis un Godolphin, donc au moment du grand chambardement, c’est les Gyffondor que j’ai du suivre, ca ma mère n’est autre que la directrice de cette maison.

Mais moi, je suis un serpentard et me retrouver au milieu de tous ces rouges et or, ça craint !! J’ai du même abandonner mon uniforme pour éviter de me faire trop de problème, franchement vous croyez ça !!

En plus, ma mère m’oblige à suivre les cours avec eux et franchement, ça me met vraiment mal à l’aise. Le seul truc qui vaut le coup dans ce naufrage, c’est que je vois mon père tous les jours et que je peux l’aider avec tous les animaux magiques.

Au début, tous les élèves devaient donner un coup de main aux soins aux animaux. Mais après avoir dû secourir plusieurs idiots piégés dans les enclos des Hippogriffes où des sombrals, mais parents avaient prient, d’un commun accord, d’arrêter les frais et d’interdire les enclos à tous les élèves. Sauf à moi, bien sûr, puisque j’y jouais depuis ma plus tendre enfance. Du coup, tous les matins, je retrouvais mon père pour en faire le tour et soigner les animaux malades ou blessés. Et cela loin de ces idiots de Gyffondor.

Ma mère m’autorisait à correspondre avec mes copains de serpentard. C’est comme cela que j’avais appris l’attaque et la destruction du château de Bakkali, leurs fuitent et leurs arrivée chez les Eiwas aux Etats-Unis. J'aurais du être avec eux. Je suis sur que j’aurais pu les aider lors de l’attaque. Ma mère m’affirmait le contraire. Je n’en crois pas un mot.
Les copains me racontaient leur vie, là bas, le fait qu’on les formait au combat. Je trouvais cela super chouette et je bassinais ma mère pour qu’on fasse la même chose chez nous. Elle n’a pas dit non, mais elle préfère nous former au combat aérien à dos d‘hippogriffe ou de cheval ailé. Elle dit que nous serions plus en sécurité en altitude que sur le plancher aux vaches. Remarquez, elle n’a pas vraiment  tord, il faut bien l’avouer. Mais une fois encore, je suis mis hors jeu : essayez d’approcher ces charmants volatiles quand  vous traînez une odeur de dragon,  vous avez compris mon problème.

Et puis, côté formation au combat, j’en ai pas vraiment besoin, je suis une arme vivante pratiquement indestructible comme tout autre dragon de ma famille. Alors, au lieu de m'entraîner à voler en formation avec les autres bouffons. Mes parents avait confié ma formation au seul dragon impossible, ma chère grande soeur. J’aime beaucoup Lili, mais en temps que prof, là ça craint un  max.
Au fait, vous vous demandez ce que fou ma soeur chez nous, c’et un coup d’oncle Sylvius. Quand les élèves ont été envoyé au quatre coin du monde chez leur directeur de maison, Sylvius a demandé que des Aurors les accompagnes pour les protéger et sécuriser les lieux de villégiatures forcées des élèves. Et devinez qui a été désigné pour protéger le domaine de Godolphin : Lili et son équipe, bien sûr !!!

En conclusion, je me retrouvais coincé chez mes parents avec toutes une bande de Gryffondor qui me détestaient, obligé de suivre des cours avec eux et drivé par mon auror de soeur pour ma “formation militaire”, en un mot : l’horreur total !!!

Alor, quand je surpris ma mère en conversation avec un homme inconnu, je me planquais et me fis tout petit pour espionner leur conversation.
Revenir en haut Aller en bas
Mehdi Bakkali
Directeur de Serpentard
Mehdi Bakkali


Date d'inscription : 14/09/2014
Messages : 214

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptySam 7 Déc - 13:59

Je laissais Jason se reposer. Je l'avais gavé d'informations et il aurait certainement besoin de temps pour toutes les digérer. Je redescendis voir ma femme et ma fille.

- Ca va mon amour? - Lui demandais-je alors qu'elle me tendais Louise pour que je la prenne dans mes bras. - Tu verras, je leur ferai payer très cher à ces monstres. Quitte à faire un génocide !

Nous nous embrassâmes. Nous étions Monsieur et Madame Satan. C'était le surnom que les partisans de la Cinquième Colonne nous avaient donné. Cela nous faisait rire en vérité car ça nous allait comme un gant !

Un mois était passé. J'avais entre temps rencontré Azar Forad, membre fondateur de la Salamandre et Jason et moi étions encore plus proches qu'avant. A nous trois, et quelques fois avec l'aide de JannaLynn, nous entraînions les élèves de Serpentard. Il suivaient un rythme stricte. Manque de bol pour eux, je suis un lève tôt et comme à l'armée, le réveil pour eux était aux aurores.

L'entrainement auquel Jason, Azar et moi soumissions les élèves était des plus intensifs. Du simple Rictusempra à l'Avada Kedavra, les Serpentards évoluaient chaque jour sous nos hurlements et nos brimades. Et Thaddée s'occupait de leur enseigner la Magie Noire sous toutes ses formes. La Ministre de la Magie Américaine passait beaucoup de temps au manoir. Elle avait tissé un lien assez proche avec Jason, il devait certainement lu rappeler son père. A chaque fois qu'elle était présente, nous nous réunions autour d'un café tous les adultes pour discuter des choses à venir.

Mais Jason était préoccupé. En effet il était tombé amoureux de Malory, ma meilleure amie, et celle ci, accompagnée de Théodora étaient parties en mission depuis un sacré bout de temps et aucune d'elles ne donnait de nouvelle ni montrait signe de vie. Jason envoya Fumseck  le phoenix pour leur prêter main forte si besoin mais l'oiseau ne revint jamais. Je faisais de mon mieux pour le tranquilliser, essayer de lui faire comprendre que Malory et Théodora devaient avoir une bonne raison de ne pas donner de nouvelles, mais il n'était pas convaincu. Il faut dire que ne suis pas la personne la plus adéquate pour remonter le moral aux gens...

Tous les jours hors week ends, nous recevions les visites de mes collègues professeurs. Nous avions décidé de ne pas gaspiller l'année de nos élèves à cause la guerre: beaucoup trop de temps avait été perdu. Shona, Céline, Hana, Philoména, Thaddée, entre autres, arrivaient à tour de rôle pour répartir leurs cours. Moi aussi  je partais chez eux, là où mes autres élèves se trouvaient pour leur faire cours. Le niveau avait beaucoup baissé mais petit à petit, et avec un peu d'indulgence pour une fois, nous arrivions à faire monter le niveau. Je proposais souvent à mes collègues de rester boire un verre ou manger quelque chose après les cours pour retrouver un peu d'énergie. Transplanner sur des longues distances était ma foi épuisant, et nous avions besoin de toutes nos forces pour nous préparer à lutter le moment venu. Et ce moment, arrivait à grands pas.

Un jour, alors que j'étais dans la grande salle entrain de donner mes cours aux Serpentards sur les sortilèges de protection, Je vis au fond de la pièce Jason et Azar qui discutaient. Je savais que la Salamandre était sur le point de resurgir et j'avais envoyé plus tôt des lettres sous formes de Serment Inviolable à Goya et Thaddée pour leur demander de nous rejoindre. Jason se tourna vers moi et me fis un signe de tête auquel je répondis d'un léger mouvement de haut en bas en fermant les yeux. Le moment était venu.

- Bon, très bien tout le monde. Il n'y aura pas d’entraînements ni de cours aujourd'hui, vous avez toute l'après midi de libre. Profitez en, vous l'avez mérité. - Les élèves me dévisageaient, ils n'arrivaient pas à croire ce que je venais de dire - FOUTEZ LE CAMP !! - Criais-je le faisant tous se précipiter hors de la Salle.

Je rejoignis Azar et Jason, et nous nous dirigeâmes vers la crypte, située au sous sol, où une fois arrivés. Nous trouvâmes Leah Eiwaz, une amie d'enfance et sœur de Jason, mon frère et ma sœur, ainsi que Stanley di Salvo mon cousin. Sans échanger un seul mot, nous nous plaçâmes en arc de cercle pour débuter la cérémonie.


- Mes frères, mes sœurs, nous sommes ici pour redorer les couleurs et le pouvoir de l'Ordre de la Salamandre, et protéger notre monde et celui des moldus, et ainsi maintenir la paix dans les deux mondes ! - Prenant une dague, il s'ouvrit la main et serrant les poings, il laissa couleurs quelques gouttes de sang vampire dans le calice. - Je vous invite à votre tour, mes frères, ma sœur, à affaiblir votre corps en versant quelques gouttes de votre sang dans ce Graal, et le pouvoir qu'il vous octroiera décuplera vos forces !

Nous fîmes de même, et Stanley récita une formule secrète en araméen, pendant qu'Azar prenait la parole.

- Soyez sans peur face à vos ennemies ! Soyez juste et droit pour être aimée de tous ! Dites toujours la vérité, même si cela doit vous coûter la vie ! Protégez les innocents et luttez contre le mal !Tel est votre serment !

Stanley bu le liquide contenu dans la coupe dorée, et nous fîmes pareil que lui. Après un court instant, une brûlure intense se fit sentir au bas de mon dos. J'essayai de me retenir de lâcher un cri de douleur. Mon visage se décomposait tandis que le tatouage de la salamandre apparaissait. Je finalement retiré ma veste et ma chemise et commençais à me contorsionner pour y jeter un coup d’œil. Tous les autres autour de moi étaient dans le même état. Tous avaient eu droit à une marque de la salamandre sur une partie du corps.

- L'Ordre de la Salamandre est de retour !
- s'exclama plein de ravissement Azar quand la douleur s'estompa.

Stanley fît tourbilloner sa baguette au dessus de sa tête et une salamandre magique en sorti, dansant autour de nous avant d'aller s'inscrire à jamais sur le mur de pierres.

- Et maintenant? - Questionna Goya.

- Oui, que fait-on maintenant? - Ajouta Thaddée pour appuyer ma question.

- Maintenant - dis - je avec un sourire mauvais accroché aux lèvres. - On va remettre les choses à leur place !

Je donnais un coup sec sur le sol avec ma canne et un Démonzémerveilles, mon patronus, jaillit et traversa toute la demeure en direction des maisons de mes collègues et de tous nos alliés. Le combat final approchait et nous allions avoir besoin de tous.





Revenir en haut Aller en bas
Malory Olianov
Membre du Ministère
Malory Olianov


Date d'inscription : 12/08/2014
Messages : 380

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyLun 9 Déc - 16:54

Depuis l’interrogatoire que nous avions subi avec Teo’, nous avions réussi à intégrer les rangs du camp adverse. Cela faisait presque deux mois. Une fois que j’étais revenue dans ma cellule où mon amie m’attendait, on avait commencé par manger et boire tout ce que nous pouvions pour se remettre d’aplomb en cas de mission pour ne pas être affaiblit et se faire tuer par manque d’efficacité de notre part. Nous n’étions pas dans une bonne posture car le moindre faux pas pouvait coûter notre tête mais, on n’avait pas le choix maintenant que nous étions là.



Je n’avais pas pu envoyer des nouvelles à Jason car cela était trop risqué pour le moment. Nos cadeaux de bienvenue avaient été appréciés et même si nous n’étions plus en cellule depuis un mois, nous n’étions pas pour autant mieux traité. On avait hérité d’un placard à balais comme chambre. Devant cet étalage de générosité, je ne pus retenir un sourire narquois et une remarque impertinente, ce qui me valut des représailles encore une fois. Harry Potter aurait été jaloux de notre placard déclarais-je à Teo pour essayer de rester positive. Il est beaucoup plus grand que le sien.  J’étais revenue tout amochée de ma séance de box et Teo avait pris de nouveau soin de moi sans pour autant de reprocher mon attitude.


-          C’est une tactique Teo… Quand les gens sont en colère et crois maîtriser la situation, il lâche des infos sans le faire exprès et sans s’en rendre compte. Toi, tu les as par ton charme, moi en provoquant leur colère.  Tu comprends ?

Je souris pour lui assurer que ça allait mais je grimaçais face à la douleur qui venait de pointer son nez car mes lèvres étaient fendues.



Un matin, alors que nous étions en train de participer à la vie de camp, je vis dans le ciel quelque chose qui attira mon regard. Je baissais tout de suite la tête pour ne pas me faire repérer et pour éviter des ennuis à ce que j’ai cru voir. J’attendis quelques instants avant de voir dans une branche d’un arbre, un magnifique oiseau rouge vif, de la taille d’un cygne, avec une longue queue dorée, un bec et des serres également dorés. Abasourdie, je reconnus Fumseck. Jason m’avait envoyé son phoenix. Je n’en croyais pas mes yeux.

J’inclinais la tête avant de sourire. Puis, regardant autour de moi, de manière naturelle, je fis un signe à Fumseck. Il me répondit puis disparut comme il pouvait le faire. Je me sentis plus calme bizarrement. J’avais de l’aide si jamais ça devait très mal se passer. Je continuais de creuser le fossé avec d’autres soldats moldus avant de rejoindre ma « chambre ». Teo était déjà là. Je lui racontais ma matinée de manière nonchalante et naturelle car j’étais presque sûr que quelqu’un était derrière la porte quand au moment de parler du fossé enfin tranchée aurait été le mot juste, je lui déclarais que j’avais vu un beau gros oiseau rouge et jaune avec un bec pointu sur un arbre. A son étonnement puis son hochement de tête, je savais qu’elle avait compris et sa phrase me donna raison.

Quelques jours plus tard, nous étions dans le réfectoire en train de manger avec les autres, à part avec Teo, quand un soldat vint nous voir pour nous dire que notre présence était demandé par le commandant. Je levais la tête mais ne dis rien. Je regardais Teo puis repris mon repas. Nous avions déjà eu dû mal à avoir de vrais repas, je n'allais pas laisser le peu que l'on nous donnait pour répondre aux moindres sifflements. Je pris le temps de finir mon assiette et je me levais avec Teo pour suivre le soldat qui n'avait pas osé nous forcer à le suivre. Il devait être nouveau. Alors comme ça, nous fûmes convoqués par Mister Blondinet, à sa mine, je compris qu’il était de mauvais poil et que j’allais devoir être très gentille avec lui et le flatter pour sauver nos têtes. Le mec qui harcelait aussi Teo comme Blondinet me harcelait était là aussi et à son regard lubrique, je compris que nous allions devoir faire attention à nous et à nos paroles et gestes. Il attendit que celui qui était venu nous chercher parte pour prendre la parole.

- Vous allez enfin vous rendre utile!

- Je pensais que c'était déjà le cas, Monsieur

- Une vraie mission pour faire appel à vos vrais talents, ma chère.
- Nous vous écoutons.
- Nous avons eu vent qu'un groupe de sorcier (il cracha ses mots) s'était de nouveau caché dans le petit village près de Poudlard, votre école minable que l'on a réussi à prendre. Vous connaissez?
- Bien sûr. Parfaitement bien.
- Parfait!! Vous allez prendre quelques hommes sous votre commandement et me régler ce problème.
- Quels sont vos ordres??
- Plus aucune personne de votre espèce ne doit rester dans ce village. Vous le nettoyer, je ne veux aucun prisonnier. Une fois fait, j'occuperai ce village. On sera beaucoup mieux là-bas pour la suite de nos opérations.
- Bien Monsieur répondis-je d'une voix neutre même si j'étais glacée devant les ordres que nous venions de recevoir. J'avais l'ordre de tuer des innocents, des personnes de mon camp, sans aucune raison. Je ne pouvais pas le faire mais je ne pouvais pas non plus, ne pas revenir sans avoir accompli la mission demandée. Nous devions le faire avec Teo si on voulait que notre place et notre position change et évolue afin d'aider nos amis. Je réfléchissais déjà en vitesse à une stratégie pour être gagnante sur les deux tableaux.
- Si vous revenez avec une victoire, je saurais me montrer reconnaissant de biens des façons murmura -t-il à mon visage avant de me caresser la joue et de m'embrasser. Je calmais mon impulsion de dégoût et restais aussi neutre que je le pouvais. Je pensais à Teo. Je ne voulais pas àvoir sa mort sur la conscience et encore moins la mort de plusieurs milliers de personnes innocentes pour une réaction de dégoût face à un homme. Nous étions en guerre et tout le monde devait faire des concessions et des sacrifices. En plus de ma reconnaissance évidente, vous serez intégrés à nos futures opérations importantes et vous aurez une équipe sous vos ordres. Et bien sûr, une chambre digne de ce nom vous saura attribuée. Qu'en pensez-vous??

Je pris le temps de réfléchir et j'échangeais un regard avec Teo. Nous étions d'accord. Nous n'avions pas le choix et nous étions prête à faire beaucoup pour arriver à nos fins et mettre fin à cette fichue guerre stupide, guidée seulement par la peur et la convoitise.

- Nous acceptons la mission que vous nous donnez et il est évident que nous allons revenir avec de bonnes nouvelles pour vous.
- Soit!! Tout est arrangé. Vous partez demain matin se réjouit-il avec un grand sourire.

Il nous laissa partir et suivit de Teo, je partis dehors sous un arbre pour lui parler et mettre les choses au clair avant de partir demain.

- Il faut que nous trouvions une solution Teo. Nous ne pouvons pas revenir en n'ayant pas réussi la mission mais nous ne pouvons pas tuer des innocents. Nous devons trouver un moyen pour faire croire qu'ils sont morts alors qu'ils sont juste endormis. Personne doit remettre en questions ce fait. Ils doivent partir du village sans revenir. Je n'arrive pas à trouver de solution....

Je réfléchissais mais aucun sort ne vint m'éclairer. C'est en entendant le cri d'un oiseau que je souris devant la solution qui se présentait à moi.

- FUMSECK!! Nous pouvons utiliser Fumseck!! Il suffit que je l'envoie au village pour avertir les sorciers qui s'y cachent qu'une armée de moldus arrivent pour les tuer. Ils pourront alors s'en aller avant que l'on arrive!! Ils pourront aussi créer des mannequins pour faire de faux sorciers derrière des fenêtres et dans les rues, et une fois que l'on arrivera, on lancera des sorts pour les tuer et les faire brûler comme ça aucune trace de la supercherie!! Quand penses-tu?? As-tu une meilleure idée??

Je parlais encore avec Teo au sujet de la mission puis j'abordais le sujet des deux hommes qui allaient bientôt passer à l'acte et s'en prendre à nous.

- Je ne vois pas comment on peut s'en débarrasser sans les tuer ou sans nous faire tuer en refusant de nous soumettre à leur désir. Une fois revenu du village, ils passeront à l'acte, tu l'as entendu. Rien que de penser à son baiser, j'ai envie de vomir. Mais demain, nous devons être victorieuse ainsi nous aurons plus d'informations à donner à nos amis. Les choses doivent avancer.

Je souris à Teo et la serrais dans mes bras pour me donner un peu de réconfort car j'étais sur les nerfs depuis que nous étions arrivés, que je ne cessais de réfléchir, que je n'avais pas de nouvelles de mes parents, des autres et de Jason. Je devais bien avouer qu'il me manquait et que sa présence était réconfortante même si je me prenais souvent la tête avec lui. J'avais besoin de lui.
J'appelais Fumseck et lui remis un message bref et autoritaire à destination du groupe de sorciers cachés à Pré-au-lard, puis grâce à ses aptitudes, il disparut dans le ciel, sans se faire voir.

Rassurée, nous nous dirigeons vers la cafétéria pour mange notre dîner et on se coucha tôt pour être en forme demain. La journée sera longue et éprouvante et beaucoup de choses reposaient dessus! L'avenir en dépendait et notre vie aussi. La nuit fut courte et agitée. L'adrénaline dans mes veines me tenait éveillée. J'allais me battre et donner des résultats pour mes amis et ma famille. Mon camp devait triompher et faire revenir la paix dans notre monde. Coûte que coûte même si cela devait briser ma vie et ma relation avec Jason. Tiraillée entre ma détermination et la tristesse, je me contrains à fermer les yeux pour me ressourcer et refaire le plein d'énergie pour être le plus efficace possible demain.

La nuit fut courte mais revigorante autant que se peut, dans ce placard. Je tournais la tête et vis Teo' qui émergeait aussi. Je lui souris et finis par me lever. Je sortis pour aller faire ma toilette dans la salle de bain qui nous avait été si gentiment prêtée. Ce matin-là, je n'attendis pas Teo car je voulais me détendre et vider mon esprit sous la douche. Le meilleur moyen était la solitude. Je baillais car même si j'avais réussi à dormir et que j'étais mieux qu'hier, l'accumulation de la fatigue était pesante sur mes épaules.  Je traînais des pieds dans les couloirs et ne croisais personne à cette heure. Je m'en réjouis intérieurement. Je pénétrais dans la salle de bain et la fermais avant d'aller dans la cabine du fond. Je me dévêtis et je laissais le jet d'eau frapper ma peau sans pitié tout en rejetant ma tête en arrière pour rafraîchir mon visage.  Je frictionnais mon corps avec le savon et mes cheveux avec le shampoing qu'il nous restait tout en veillant à en garder pour Teo car n'ayant pas encore prouvé notre allégeance, nous étions rationnée sur tout ce que nous avions. On devait se le partager entre nous. Alors que je finissais de me rincer, j'entendis du bruit dans la pièce. Je ne fis plus aucun mouvement pour être sûr et un autre bruit se fit entendre.

- Teo? questionnais-je. C'est toi?

Je ne reçue aucune réponse. Je fronçais les sourcils en me disant que j'avais été bien bête de partir me doucher sans attendre mon amie! Si nous partions toutes les deux à chaque fois, c'était pour une raison bien précise, éviter de se retrouver dans des positions fâcheuses avec les hommes de la base qui étaient pires que des chiens devant des femelles en chaleur. Je n'éteignis pas l'eau et fis semblant de croire que c'était Teo.

- Teo, je t'ai laissé un peu de savon et shampoing, tu peux venir te laver.

Ce n'est pas elle qui me répondit mais une voix rauque, bien gutturale

- Ce n'est pas ton amie mais je veux bien la remplacer pour aujourd'hui si tu veux ma poulette.
- Sans façon non. Je n'ai pas le temps ce matin pour les bagatelles.
- ça sera rapide, poulette déclara le mec en donnant un coup de pied dans la porte de douche pour l'ouvrir. Je n'avais rien pour cacher ma nudité.
- ça je n'en doute pas mais vraiment je décline affirmais-je mais je ne pense pas que le commandant soit très content que vous marchiez sur cette plate bande, Mister.

A ces mots, il se figea et partit tout de suite. Si un jour, j'avais su que Blondinet viendrait à me sortir d'un mauvais pas, j'aurai ri aux éclats. Tous ses hommes le craignaient et faisaient tout pour le contenter et si par malheur ce n'était pas le cas, les responsables s'en mordaient les doigts immédiatement.
Peu de temps après Teo arriva dans les salles de bain et je lui racontais ce qui venait de se passer. On se promit de ne venir qu'à deux à partir de maintenant. Je me traitais de tous les noms devant ma négligence.
Une fois lavée et restaurée, nous nous dirigeâmes devant la tante de Blondinet pour les dernières recommandations et récupérer les hommes que l'on mettait à notre disposition pour cette mission. Arrivée, nous vîmes 4 hommes. La colère me monta aux joues.

- Seulement 4! Vous vous fichez de nous? apostrophai-je Blondinet.
- C'est largement suffisant avec deux aurors de votre talent pour les diriger

Je grinçais des dents devant son sourire de contentement sur les lèvres.

- Auriez-vous abuser vos talents?
- Aucunement mais vous ne prenez pas aux sérieux cette mission et notre vie en nous donnant si peu d'hommes; qui j'en suis certaines sont des bleus.
- J'admire votre perspicacité comme toujours Miss Olianov.

Je me retins de dire autre chose et laissais Teo parler avec lui pour les dernières mises à jour. De mon côté, j'espérais que Fumseck soit arrivé à temps et que les sorciers aient fait le nécessaire pour que tout se passe comme prévu et sans incidents. Une fois les détails mis au point, on se dirigea vers Pré-au-lard, à pied puisque nous étions avec des moldus.
Ce fut long et Teo devant et moi derrière, je n'avais personne à qui parler. Discrètement, je lançais un patronus vers Jason pour lui dire les derniers évènements depuis notre premier interrogatoire, à notre arrivée, dans la base: notre petit augmentation de confort, mes innombrables prises de bec et séance de box pour mon impertinence, Teo, nos travaux manuels pour la protection du camp, les conversations ambigues et les avances que subissaient Teo et moi-même, la mission que nous allions faire et ce que nous nous apprêtions à faire pour avoir plus de renseignements. Je lui fis comprendre aussi de trouver une solution pour que la venue des détraqueurs dans la guerre soit reconnue mais discrète pour attester de mes paroles.  Une fois terminée, le patonus partit immédiatement vers le destinataire que j'avais choisi.
De notre côté, nous étions arrivés au village.

- Stop!! On se cache derrière ce talus pour les ordres!

Notre petite troupe se cacha en silence et Teo donna ses instructions. Je jetais un coup d'œil par-dessus pour voir si je voyais du monde. Je scrutais les alentours avec mes yeux de smilodon et vis que ce n'était pas des sorciers mais des mannequins. Je souris et me remis à couvert, jouant le jeux.

- Je viens de voir des silhouettes dispersées dans le village, quatre dans la rue principale et des autres dans les différentes pubs. On en a environ une vingtaine. On va lancer des sorts pour les neutraliser et vous, moldus, vous allez assurer nos arrières.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar



" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 3 Jan - 20:26

La guerre faisait rage dans le monde des sorciers. C'était la panique dans les rangs, que ce soit dans le clan des moldus ou dans celui des sorciers. Poudlard avait été réduit en miettes par les blindés de ceux qui souhaitaient voir notre espèce s'éteindre. Je n'y pouvais pas faire grand chose, je n'étais qu'un étudiant de plus dans ce gigantesque chateau, alors à part me battre pour essayer de sauver ma peau, je ne voyais pas ce que j'apportais de plus.

Le fait est que nous nous sommes retrouvés sans école, et certains sans toits, sans familles... La mienne avait heureusement été épargnée, mais malgré l'insistance de mes parents pour rentrer chez moi en Irlande, je refusais. Je voulais me battre auprès du restes de mes amis et camarades de Serpentard et des autres maisons.

Dans un premier temps en exil dans au 12 Square Grimmaud, il a été décidé que les élève serions répartis chez nos directeurs de maison. Le professeur Bakkali devint livide devant l'annonce mais comprenant qu'il n'y avait pas d'autres choix. Nous ne pouvions plus continuer à vivre reclus et cantonnés dans une seule maison.

Mais ce que tous ignoraient hormis les américains bien entendu, c'est que le Chateau Bakkali était un guet-apens. Malgré les pièges mortifères installés par notre directeur de maison et son épouse, les moldus avaient réussi à contrer les sortilèges de protection et les terrains de mines et autres pièges installés.

Devant l'urgence, des aurors américains nous escoltèrent entre coups de feu et sortilèges jusqu'au manoir de Monsieur Jason Eiwaz, le directeur adjoint de Poudlard. C'était un chouet gars, mais entre lui et le professeur Bakkali, ils nous en ont fait voir de toutes les couleurs, nous soumettant à des entraînements intenses de l'aube au crépuscule ! Mais nous arrivions à suivre avec le temps. Nous avons appris grace à eux à contenir les émotions et les canaliser pour que chaque sortilège fasse plus de dégâts que le précédent. Il n'était plus question de rire à présent. Jason était né au milieu d'une guerre et Mehdi en avait déjà deux au compteur.

Je m'occupais de faire en sorte que tout se passe bien entrer les élèves, étant préfet en chef de verts et argents. J'avais des missions de la part de mon directeur de maison comme faire des patrouilles avec les élèves de sixième et de septième année, aider les moins forts à s'améliorer, faire en sorte qu'il règne un calme plat dans le manoir pour éviter de déranger durant les cours, les entraînements, ou quand la fille Bakkali fait sa sieste... Ce genre de choses.

J'étais content de me montrer utile. Nous recevions nos professeurs chaque jours pour les cours, et moi-même je commençais à donner quelques cours aux première années dans à peu près tous les domaines, et nous avions autorisation les préfets pour assister aux réunions pour savoir quel serait le rôle de chaque personne si nous étions attaqués ou si nous même attaquions.

Le professeur Bakkali fit de moi son bras droit et j'en été honoré. Il me proposa également de rejoindre le clan des Résistants mais étant de sang mêlé, je ne pouvais m'y résoudre. Cela serait choisir entre mon père et ma mère et c'était juste impensable. Nous attendions tous le moment d'agir ou de réagir, espérant que nous serions assez puissants pour venir à bout de cette bataille à venir et qui promettait d'être sanglante.
Revenir en haut Aller en bas
Victoria G. Vénatores
Mort
Victoria G. Vénatores


Date d'inscription : 07/06/2016
Messages : 17

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 3 Jan - 21:38

J'avais reçu des hiboux de mes amis sorciers et sorcières m'accusant de faire parti des Pacificateurs car je vis entourée de moldus. Pacificateurs? Je ne savais même pas ce que c'était. Jusqu'au jour où... assise tranquillement au bord de la piscine savourant un martini, une balle explosa mon verre et quelques débris de crystal me griffèrent au visage et au cou. Un autre coup de fusil retentit m'atteignant cette fois-ci à la jambe, au moment où je me relevais, me faisant trébucher au sol et m'arrachant un cri de douleur.

Réunissant mes forces, assez affaiblie par mon cancer et par ma blessure à la jambe, je transplannais dans la chambre de ma mère dans le riad.

- Maman !! Viens !!! - criais-je tandis que j'entendais les bruits de courses de tous mes employés armés jusqu'au dents pour nous faire la peau.

- Qu'est ce que tu as, qu'est-ce qu'il y a ?!
- me demanda ma mère plus trottant que courant à cause de l'âge. Puis entendant les objets qui se cassent, le bruit des flammes qui crépitent, et les coups de feu se rapprochant elle s'approcha de la porte baguette en main.

- Maman viens ici tout de suite et ne discute pas !!!! - Hurlais-je de toutes mes forces rouges de douleur et les yeux en larmes. Et au moment où je vis le majordome et la cuisinière défoncer la porte armés, je dis - Arresto Momentum ! - Pour nous donner le temps de transplanner.

Arrivées au monde magique, ma mère m'aida à marcher jusqu'à chez Abelforth son ami de longue date, où ils me firent les premiers soins, m'arrachant des cris quand on me versait de l’essence de dyctam et retirant la balle de ma jambe. Je lâchais un flot de jurons  contre ces sales sang de bourbes.

- LES FILS DE P***S !! ILS ONT VOULU AVOIR MA PEAU !? C'est moi qui aurait la leur ! VOUS ENTENDEZ ?! C'EST MOI QUI L'AURAIT !! - Puis respirant bruyamment et pulvérisant Abelforth et ma mère du regard - SAVEZ VOUS OE EST MA FILLE PHILOMENA?! RÉPONDEZ OU JE VOUS HACHE !!

- Victoria, ma fille, parles mieux que ça ou tais toi ! - dis ma mère en m'assénant une gifle - Je suis ta mère, tu as tété de mon lait ! Parles moi avec respect !

- Votre fille est en Russie madame ! Chez la famille Olianov. - répondit le vieil Abelforth.

Ni d'une ni de deux, je me levais de la table sur laquelle j'étais allongée comme une possédée et sans rien dire, claquant des doigts, je passais d'une robe d'été à un manteau en peau d'ours et transplannais chez les Olianov, toute décoiffée, et virant du rouge au rose puis au blanc qui est mon teint naturel et boitant comme une oie appuyée sur une canne et ouvrit la porte violemment et en grand fracas du manoir d'un coup de baguette. Il faisait nuit mais les lumières étaient allumées et des enfants de d'entre 12 et 17 ans me regardaient d'un air surpris, effrayé, et autres, tous pointant leurs baguette vers moi, lorsque qu'enfin arriva ma fille Philoména en courant dans les escaliers à cause de l'écho de la porte. Je m’effondrai au sol, morte de fatigue.
Revenir en haut Aller en bas
Philomena Albacova Kenaël
Professeur d'astronomie
Philomena Albacova Kenaël


Date d'inscription : 12/08/2014
Messages : 102

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 3 Jan - 23:43

Depuis notre mis en protection au domaine de la famille Olianov en Russie, ma vie était rythmée par les jours de classe que j’avais réorganisé avec mes collègues qui avaient fait de même dans leur planque respective. Le matin, je donnais les cours théoriques car la concentration des enfants étaient au niveau le plus haut, puis l’après-midi, je changeais en fonction de la météo et des progrès de mon groupe. Ça pouvait être soins aux créatures magiques avec la faune que nous avions sous la main car les parents de Miss Olianov avaient une gigantesque ménagerie avec d’innombrables spécimens et une autre tout aussi énorme pour les espèces moldues. Ainsi, je pouvais renseigner mes élèves sur le monde moldue pour qu’ils comprennent leur monde (transports, vie quotidienne, faune, flore, etc). « Connait tes amis mais encore mieux tes ennemis ». ça qu’il s’en rende compte, je l’ai entraînait à survivre et à passer inaperçue si la fin de son conflit ne nous était pas profitable. Pour cela, je leur interdisais également d’utiliser leur baguette pendant toute une journée en les obligeant à effectuer des tâches sans magie. Par contre, pendant des après-midi, je leur enseignais des rudiments de défenses contre les sorts maléfiques les plus basiques, laissant le soin au professeur Bakkali de faire les niveaux les plus poussés. Il y avait aussi des moments de sport pour que les muscles des enfants se fortifient. Tout cela, en jouant sur le jeu et la météo qui n’était pas toujours clémente en Russie ; surtout à cette période. J’essayais d’instaurer une hygiène de vie entre le scolaire et la survie et l’entraînement sans que mes jeunes protégés ne se posent de questions pour ne pas les affoler. Il va de soi que les enfants moldus étaient inclus dans tous nos exercices et projets et que la cohésion entre les enfants était à son maximum et ça me réchauffait le cœur de voir que nous pouvions le faire. L’enfant est un modèle à suivre. Il ne voit que l’essentiel et c’est un être sans noirceur dans le cœur. Nous devrions tous redevenir des enfants pensais-je tristement.

Quand mes tours d’enseigner dans les autres domaines arrivaient, je laissais mon groupe sous la surveillance à la fois de mon mari qui était d’une aide précieuse, et des préfets en chef et préfet ainsi que du personnel de la famille Olianov qui s’assurait de la sécurité du domaine. Je ne m’absentais qu’une journée au maximum puis revenait et quelques jours plus tard, j’allais dans un autre domaine. Faisant bien attention à ne pas être vue et suivie pour ne pas livrer les enfants en Russie mais aussi des autres domaines. Ces obligations professorales me permirent de me tenir au courant des avancées ou non du conflit et d’avoir des nouvelles de mes amis et de mes collègues.  Mister Olianov faisait son possible pour me donner des nouvelles régulièrement mais sa position était surveillée et je ne voulais pas le mettre dans de mauvais draps. Je voyais en plus de cela, qu’il était inquiet pour sa fille. Il avait reçu un message de Jason l’informant que sa fille, une ancienne élève à moi, Malory, était partie en mission d’infiltration dans le camp ennemi pour obtenir des informations de nos ennemis. Il y avait Miss Teodora Lawrence avec elle. Je frissonnais à l’idée que Franz puisse être à leur place et que je ne puisse rien faire pour l’aider car cela pourrait aggraver son cas. Je soutenais la mère de mon ancienne élève aussi souvent que je le pouvais et l’osais.

Ainsi la vie se déroulait de manière automate et réglée sauf cette nuit-là. J’étais en haut en train de faire un tour de garde dans les dortoirs pour les enfants les plus jeunes quand j’entendis un fracas en bas, dans le hall. Une porte venait de claquer. Je descendis en quatrième vitesse pour me porter au secours de mes autres élèves, baguette à la main, quand d’en haut des escaliers, je vis tous les enfants, baguette en main, menacée une femme. Je plissais des yeux et reconnus…ma mère !!

Je dévalais les marches tout en criant


-          C’est bon, c’est bon. Il n’y a pas de danger !

J’allais incendier ma mère de questions et lui demander comment elle osait venir ici au risque de se faire suivre et de nous tuer tous quand elle s’écroula à mes pieds. Je vis qu’elle était blessée. J’appelais Mathéo à l’aide, de peur que son cancer l’ait tué sous mes yeux.

-          Mathéo !!

Il me rassura en disant que c’était lié à sa blessure et au choc qu’elle avait dû recevoir et que son déplacement n’avait pas aidé. Je secouais la tête et la fis monter dans une chambre qui était encore libre ; je ne sais comment et commençais à la veiller pour être là son réveil. Je me demandais pourquoi, elle n’était pas chez elle au Maroc et pourquoi, elle était venue ici. Je dû m’endormir car quand j’ouvrais les yeux, il faisait jour et ma mère était réveillée.


-          Comment te sens-tu ? Qui t'as blessé? Tu peux m’expliquer pourquoi tu es ici?!
Revenir en haut Aller en bas
Victoria G. Vénatores
Mort
Victoria G. Vénatores


Date d'inscription : 07/06/2016
Messages : 17

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyMar 7 Jan - 13:35

Je me suis réveillée au petit matin dans une chambre décorée avec goût. J'avais une migraine épouvantable, et je me sentais épuisée. J'ouvris le yeux doucement, laissant les quelques rayons de soleil qui entraient par les stores anciennes adapter mes yeux à l'obscurité de la pièce. Je jetais un rapide coup d’œil, toujours sous ma couette montée jusqu'au nez. Ma fille Philoména était assise sur un fauteuil, toujours endormie enroulée dans un plaid en velours. Un coup d'oeil à droite, je vis ma canne accrochée avec mon manteau sur le dos d'une chaise. Mes habits étaient pliés sur la table au fond. Mes chaussures également. Je soufflais un bon coup et recouvrit mon visage sous la couette. J'en avais marre.

Redécouvrant mon visage au bout de quelques minutes, je vis que Philoména était entrain de se réveiller. En ouvrant les yeux, elle vit que mon regard était posé sur elle. Je finis par sortir la tête et le haut du corps de sous la couette pour m'adosser contre le sommier du lit. Je portais un vieux pyjama affreux de l'époque de Mathusalem.

Je posais mes mains le long de mes jambes allongées en gardant le silence, que Philoména a fini par briser.

- Comment te sens-tu ?

- J'ai eu des jours meilleurs... - répondis-je en me massant la nuque.

- Qui t'as blessé? Tu peux m’expliquer pourquoi tu es ici?!

- Tu poses trop de questions ma fille. - Dis-je sèchement.

Elle me regarda avec haine alors j'ai du me résoudre à répondre.

- En gros et pour faire court, les moldus qui travaillent pour moi ont décidé de nous écorcher vives ta grand mère et moi. - Elle prit un air de surprise - Oui, oui, Al Batoul, Ali, Mohamed, Safae, tous ceux que tu as rencontré ! Armés comme des machines de guerres, du pistolet à la cuillère, jamais vu un arsenal aussi fantasque ! Les chiens ! Mais ils vont me le payer, ça je peux te le garantir... Je sais que tu ne m'aimes pas et que tu me m'aimeras sans doute jamais mais maintenant je suis là, et je reste. Alors tachons de faire en sorte que cela soit supportable pour toi et pour moi. - Regardant ma canne, je fis un geste de la main et celle ci vint à toute vitesse se coller à elle. Je retirais la couverture en entier et avec beaucoup de mal, je me levais. Ma jambe était bandée à n'en plus pouvoir. - Mais qui est l'âne qui m'a foutu un bandage pareil?! Amputez moi la jambe tant que vous y êtes !! - Puis, titubant jusqu'à mon sac, je pris mon paquet de cigarette où il n'en restait qu'une. - Vraiment ... ! - Dis-je en l'allumant et ouvrant la fenêtre laissant entrer le froid hivernal.

- Tiens, tu peux m'aider? - Elle me regardait sans bouger - Tu peux m'aider?! - demandais-je en un souffle plus insistant. Elle se leva enfin. Je voyais bien qu'elle souhaitait ma mort sur le moment présent, et je ne me gênais pas pour lui faire comprendre que je le savais pendant qu'elle m'aidait à fermer fermer ma robe. - T'en fais pas, j'ai un morceau de viande avariée dans le crâne qui fait la taille d'un citron. Tu seras débarrassée de moi bien assez tôt.

Elle me répondit puis nous primes la route vers le rez de chaussée, où tous les élèves étaient réunis pour le petit déjeuné. Un couple de sorciers d'un certain âge était présents.

- Madame, monsieur, je suis Victoria, la mère de Philoména. Et vous êtes...?

- Monsieur et Madame Olianov. - Répondit la dame - Les maîtres de cette maison. Soyez la bienvenue.

Gardant un regard sévère, je les remerciais et me tournais vers ma fille.

- Ce sont tes élèves? Où est Franz? Et ton mari? - Elle me répondit tandis que je regardais les enfants manger. - Très bien. - Prenant ma baguette et toujours appuyée sur ma canne, j'utilisais un Sonorus pour bien me faire entendre.

- Les enfants ! - Tous se tournèrent vers moi. - Je suis la maman de votre professeur, Miss Albacova. J'ignore quel genre d'activités et d'amusements vous faites ici pour vous occuper, mais maintenant que je suis ici, les élèves de cinquième, sixième et septième année vont avoir un entraînement intensif en magie noire. Je suis persuadé que votre professeur de la matière fais un excellent travail mais vous êtes loin d'imaginer ce qui vous attends. - Découvrant la jambe blessée - Je suis une femme. Je suis vieille. Et ça n'a pas empêché ces sangs de bourbes d'essayer de me tuer. - Philoména essaya de me retirer la baguette en protestant mais je tirais avec force et la fit s'assoir grâce au sortilège Impero. - Il suffit Philoména ! Ne m'oblige pas à t'utiliser pour la pratique du sortilège Doloris ! - Les parents Olianov étaient à la limite du choc devant cette démonstration d'autorité, les élèves avaient leur effrayés, d'autres plus déterminés. - Je suis déjà haïe par la communauté magique, et vous allez certainement me haïr avec l'entraînement que je prévois de vous faire subir. Mais c'est pour votre propre bien !

Mes yeux brillaient de haine et d'extase, la folie s'emparait peut être de moi, qui sait? Mais il était hors de question qu'un de ces gosses aussi sang pur ou sang de bourbe qu'il soit, meurt à cause d'un manque de discipline et de pratique en la matière. Pas sous mon joug en tous cas.
Revenir en haut Aller en bas
Teodora Lawrence
Membre du Ministère
Teodora Lawrence


Date d'inscription : 17/08/2014
Messages : 56

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyMer 8 Jan - 23:47

Quelques mois après le début de notre infiltration nous avions hériter d'un placard a balais pour dortoir avec mon ami et collègue Malory... C'étais juste assez pour dormir et respirer. Au vu du temps que nous y passions c'est a dire très peu. Malory, pour sa force et aussi son insolence, avait été réquisitionné pour creuser des trancher, histoire d'être prêt si nos amis voulais essayer de récupérer le château ce qui n'étais surement pas encore au programme.

Malory revenait souvent le soir avec quelques ecchymose. Etant affecter au soins du personnel blessé, je ramenais souvent quelques bande et de quoi désinfecter les plaies dans notre chambre pour Malo'.  Ils savent beaucoup trop de choses sur moi, comme mon apprentissage auprès de guerrisseuses pendant mon année d'errance. Utilisant beaucoup plus mes charmes que mon amie j'avais réussis a avoir une place au chaud la journée comme la nuit mais je n'étais jamais à l'abris de croiser Blondinet ou sur monsieur muscle (qui voulait voir autre chose de moi que ma tignasse blonde et mes faux semblant.

Pendant mon interrogatoire j'avais réussis a récupérer mon paquet de cigarette avec a l'intérieur ma baguette que je cachais et gardais soigneusement sur moi nuit et jour.

Un soir, Malory rentras pleine de boue comme a son habitude et me racontas sa journée. J'avais entendus un pas léger derrière la porte de notre placard et vu une ombre sous la porte. Nous étions écoutée. Elle me fis de détails superflue ainsi que d'une information interressante. Elle avais v un oiseau rouge et dorée... Je compris directement qu'il s'agissait de  Fumseck, le phoenix de son bien aimée Jason. Je réprimais un gloussement tout en me disant qu'il serait un atout a notre mission, pour transférer les information a notre groupe il étais parfait.

Les journées passèrent ce ressemblant... Mes pensées ce tournais parfois vers l'homme qui avait été mon mari. Mat ne se souvenais désormais plus de moi. Le seul but que j'avais a présent étais d'aider mon amie a en réchapper et aider mon camps en leur transmettant toute les information requises. Je n'avais plus rien a perdre.

Lors d'un petit déjeuner matinal, ou mes réflexions voguait vers des mets bien meilleurs que leur sordides rations de combats, ce dont je fis pars a mons amie, un messager de Blondinet et Mr muscle débarquas et ce postas et mon côté pour nous faire part du souhait de notre présence auprès leurs bien amies chefs. Un simple coup d'oeil ainsi qu'un petit acquiescement de notre et nous reprîmes le cours de notre petit déjeuner... un ragoûts de pomme de terre et du porcs au petit déjeuner... N'avait-on pas idée de nous servir pareils immondices. Je continuais à écumerais les mets d'un petits déjeuner royale a mon amie pendant que nous terminions tous de même d'avaler ce ramassis chimique. Nous nous levâmes tranquillement et suivîmes le nouvel imbécile. Nouveau c'était sur sinon il ne nous aurait jamais laisser terminer notre "magnifique" repas.
Une fois arriver les deux grands patron ce tenait derrière un bureau. Dès notre entrée ils nous observères avec des yeux pétillants d'envie. Je sentais des ennuis proches pointer le bout de leur nez... Pour l'heure il nous annoncèrent une mission, aller exterminer toutes les personnes restantes et ce cachant dans le villages de pré-au-lard...
Nous acceptâmes la mission tout en sachant qu'il allait falloir trouver un moyen pour sauver tous le monde sans ce faire chauffer sinon ce sera nous qu'il faudras sauver... Pour le moment on se débrouillait plutôt bien je voulais que ça continue dans ce sens !

Nous sortions a peine de leur bureau, après avoir reçus non sans dégoût un baiser dans le cou et une main au fesse de monsieur muscle, ils nous fallaient mettre un plan en place.

Nous faisions les cents pas, émettions des idées plus farfelues les unes que les autres, dans tous les cas ils fallaient
trouver un moyens de sauver toutes cette population et les personnes de nos rangs qui s'y étaient planqué. Quel bande d'idiot soit dit en passant ceux là, il ne pouvait pas choisir pire planque...

Soudain Malo' eu un éclaire de génie:

- FUMSECK!! Nous pouvons utiliser Fumseck!! Il suffit que je l'envoie au village pour avertir les sorciers qui s'y cachent qu'une armée de moldus arrivent pour les tuer. Ils pourront alors s'en aller avant que l'on arrive!! Ils pourront aussi créer des mannequins pour faire de faux sorciers derrière des fenêtres et dans les rues, et une fois que l'on arrivera, on lancera des sorts pour les tuer et les faire brûler comme ça aucune trace de la supercherie!! Quand penses-tu?? As-tu une meilleure idée??

Je secouais la tête en signe de négations, son idée était brillante. Nous continuions a mettre en place une stratégie d'attaque, nous ne savions pas encore combien d'homme nous allions avoir, peut être une douzaine, nous rappelons de la bourgade comme notre poche nous mettions en place a voix hautes des équipes et dans quelles endroits les poster pour mieux "attaqués". Nous savions qu'on ne nous laisserais jamais seules, surveiller comme le lait sur le feu. puis Malo' enchaina avec la chose que l'on savait toutes les deux sans pour autant vouloir l'admettre:

- Je ne vois pas comment on peut s'en débarrasser sans les tuer ou sans nous faire tuer en refusant de nous soumettre à leur désir. Une fois revenu du village, ils passeront à l'acte, tu l'as entendu. Rien que de penser à son baiser, j'ai envie de vomir. Mais demain, nous devons être victorieuse ainsi nous aurons plus d'informations à donner à nos amis. Les choses doivent avancer.

J'acquiesçais, explicitant à mon tour à voix haute une vérité:

- Tu sais, je pense que dans tous les cas, nous n'y échapperons pas à ses deux vautours. Je n'ai plus rien a perdre, si grâce à ça je peux avoir de plus amples informations pour notre côté je le ferais. En revanche toi je sais ce qui ce trame dans ta petite tête, je vais réfléchir à des tactiques pour que tu puisse éviter blondinet.

sur es dernière paroles nous reprîmes le cours de notre journée et la nuit arrivas à grand pas.

Un matin tandis que j'ouvrais un oeil, je jetais le bras en travers du lit que nous partagions avec mon amie et m'aperçus qu'elle s'étais déjà lever. je regardais l'heure et me levais calmement prenants des affaires "propres" sous mon bras pour me diriger vers les douches communes. Moi qui avait été préfète, cela me changeait de la dernière salle de bain ou j'avais terminer mes études!

Perdus dans mes réflexions encore ensommeillé, j'avançais vers les douches me faisant bousculer par les hommes qui en sortait...

J'espérais que Malo' n'avais pas eu de problème... ayant un mauvais pressentiments, j'avançais un peu plus rapidement. J'arrivais a l'intérieur et criait le surnom de mon amie a tue tête. Elle me répondit et je filais versa cabine, me faufilant dans celle d'a coté. elle me racontas l'infusion d'un ilbecile dans sa cabine de douche sans prétentions. Il fallait s'y attendre, peu de femme surtout jeune et jolie rodait dans se camps en dehors de nous. Nous nous fîmes la promesses de ne plus nous séparer pour aller faire nos ablutions matinale.

Nous nous dirigeâmes par la suite sous la tente de Blondinet. Mr muscle était des rangs lui aussi, ainsi que quatre homme, qui avais l'air ravis d'être la soit dit en passant.

Malo' s'indignas alors de n'avoir que quatre homme pour notre mission. Je lui jetais un regard et repris le flambeau pour ne pas qu'elle se prenne une gifle qui la sonnerait avant notre mission.

- Donc si vous me le permettez vous avez un plan de la ville ? Attendez ne vous embêtez pas a chercher j'en ai un quelque part sur moi. Je sortais la carte de mon sac a dos, sachant que j'allais me pencher au dessus de la table pour expliquer notre futur tactique, je sortais une cigarette, du feu, l'allumais et la calais derrière mon postérieur histoire que celui-ci soit protéger de toutes mains baladeuses quelqu'elle soit. Du coup Nous allons entrez tous les six, les quatre gigolots derrière, nous couvrirons puis nous nous séparerons en équipes de deux, deux hommes partirons d'ici et deux autres de la, on ser rejoindras a l'autre bout de la ville. Nous restons ensemble avec Malory sinon la missions ne serviras a rien.

En entendant le mot gigolots les 4 imbéciles serrèrent les dents me relevèrent pas. C'est dire si ils avaient la trouille de leur chef....

- Je vois que vous avez bien planchez sur la question Lawrence. Bon courage et revenez nous entière mesdames... Beaucoup de choses vous attendent. nous dit Mr muscle.
Je lui souris le plus sincèrement possible tournais rapidement les talons et filais suivis des quatre triples buses et de mon amie qui fermait la marche. le voyage faut long je scrutais les alentours pour être sur de ne pas être suivis, je lançais des chuts a tous vas, notre escadrilles était plus sonore qu'un troupeau d'éléphant !

Arriver un peu avant l'entrée de pré au lard nous nous regroupais derrière un talus pour les ordres, Malo' commenças:

- Je viens de voir des silhouettes dispersées dans le village, quatre dans la rue principale et des autres dans les différents pubs. On en a environ une vingtaine. On va lancer des sorts pour les neutraliser et vous, moldus, vous allez assurer nos arrières.

J'aquiescais et leur dis a mon tour:

- Une fois entrée, vous deux vous partirez dans cette ruelle, en pointant le bout de mon doigts et vous deux dans celle de droites. compris? Avec Malory nous resterons sur l'avenue principales. Des questions?

Ils firent signe que non. Nous partîmes Alors baguettes aux points pour Malory et moins et armes en joux pour les quatre belliqueux. Une fois passer les portes d'entrée de la ville, les tire se mirent a fusées, les sort a volée. le plan mis en place par Malory et réalisé par Fumseck avait eu l'air de fonctionner, une fois les quatre guignols dans les ruelles nous rentrâmes dans différentes maison pour faire sauter quelques meubles histoire de ne pas se faire repérer, tuer quelques mannequins. Je n'avais jamais vu les trois balais aussi vide, nous primes le temps de faire un combat a loyale avec Malo', cela faisait un moment que nos baguettes n'étais pas sortis de leur cachette, il fallait les laisser se dégourdir les jambes.

Je pris le temps aussi d'écrire une lettre et de l'envoyer au square grimroad avec toutes les infos que nous avions pus recueillir. Ils étaient a peu près 500 a avoir envahis le château, les armes qu'ils utilisaient était à la dernière pointes de la technologie moldus, au moins trois armes par hommes et des munitions beaucoup trop pour pouvoir les comptés, de quoi pouvoir recharger une bonne centaine de fois chaque armes. En revanche certains passages secret n'étais pas encore connus des membres envahisseurs je citais lesquels dans ma lettre, tel que le passage entre pré-au-lard et la salle sur demande. Ils avaient une dizaine d'hélicoptères joncher sur le sol du terrain de quidditch ainsi que dans le parcs. Il ne réussissait pas à s'introduire dans la forêt interdites les petits jeunes qui y avait été envoyé n'étais pas revenus pour la plus part et les autres étaient dans un sale états.

Je finissais ma lettre et la donnais à Fumsek pour qu'il l'apporte a bon port. nous continuâmes a mettre une fausse pagaille dans pré au lards.

Nous retrouvâmes nos quatre acolytes au bout de la rue principale, à la sortie de pré au lard. Un des quatres idiots était assis sur un bancs, de dos, je le voyais ce balancers d'avant en arrière. Je m'avançais vers et m'exclamais:

- NON D'UN FRANKLIN ! C'EST PAS DIEU POSSIBLE ! QUI EST L'IMBECILE QUI T'A TIRER DESSUS ! Tu l'as descendu j'espère.

- Ben non en fait c'est Raoul, son doigt a riper sur la gâchette il avait pas mis la sécurité et le coup est partis dans ma cuisse.

Je ne pouvais réprimer un éclats de rire, tout en me tournant pour décrocher une droite au fameux Raoul.

- Imbécile, je ne donne pas chers de ta peau a notre retour au camps ! Une petite corvées de chiottes te ferrais surement du bien tiens ! Aller on rentre ! vous deux aider le a marcher et toi file moi ton armes Idiot que tu es je ne voudrais pas me retrouver avec une balle perdu !

Un dernier tour de préau lards pour être sur que tous le monde, ou tous les mannequins étaient bien calciner et nous reprîmes le chemin du camps. Il fut encore plus long qu'as l'aller, avec jambes de bois. Une fois arriver au camps j'envoyait les trois a l'infirmerie pour donner jambes de bois aux autorités compétentes et nous filmes avec Raoulvoir nos bourreau.

J'entrais en trombe, le col de Raoul dans ma main et le jetais dans les bras de Blondinet.

-  Cet imbecile a faillit faire capoté la mission ! Monsieur a oublier de mettre la sécurité et a tirer dans la cuisse d'un de ces collègues. Vous pouvez m'expliquer pourquoi on doit travailler avec des boulets pareils ?!

- Lawrence calmez-vous voyons, a ce que je vois votre mission fût un francs succès sinon vous ne seriez pas la. Il ya eu un louper apparement mais Raoul vas s'en repentir soyez en sur... Raoul dehors!

- Oui chef.

Il sortit tous peno, attendant surement le verdict des deux messieurs en face de nous. Mr muscle s'approchas de moi, passant une main dans le creux de mes reins. Je frémissais de dégouts mais laissais rien paraître sur mon visage.

- Nous allons envoyer une patrouille pour nous assurer que le travaille a été fait dans les règles. Si tout es bon, ce soir vous aurez chacune un lit et peut être chacune votre chambre. je vis un coup d'oeil s'échanger entre les deux compères. Un repas vous sauras aussi amener, meilleur que ceux que vous avez pus avoir précédemment et si tous vas bien la prochaine grosse mission sera pour vous. Si votre mission est un francs succès nous n'aurons plus a nous méfiez de vous. En attendant, retrouver dans vos anciens quartier nous moissonnerons quelqu'un pour venir vous chercher.

Je lui souris tout en m'écartant de lui. Je jetais un coup d'oeil a Malo', nous étions d'accord.

- Je vous remercie de votre sollicitude, en revanche avec Malory nous préférerions dormir dans la même chambres, question de praticité pour mettre nos stratégies en place.

- Nous verrons ce que nous pouvons faire en attendant partez le temps pour nous d'envoyer une patrouille.

Je lui fis mon plus beau sourire enjôleur et attrapais Malo' par le bras avant que Blondinet ne s'attaque d'un peu trop près à elle.
Revenir en haut Aller en bas
Malory Olianov
Membre du Ministère
Malory Olianov


Date d'inscription : 12/08/2014
Messages : 380

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyJeu 9 Jan - 15:40

Le plan avait été mis sur pied avec le plus grand soin, il n’y avait donc pas de raison pour que cela ne fonctionne pas. Nous n’avions pas le droit à l’erreur. Plusieurs vies dépendaient de notre travail et de notre réussite. Une fois arrivé au Pré-au-lard avec les quatre glandus que nous avait octroyé Mister Blondinet, je fis en sorte de faire le repérage moi-même, puis, je laissais le soin à Teo’ de donner les ordres car elle était à la tête de cette opération.


-          Une fois entré, vous deux, vous partirez dans cette ruelle, en pointant le bout de mon doigt ; et vous deux, dans celle de droite. Compris ? Avec Malory, nous resterons sur l’avenue principale. Des questions ?

Ils firent signe que non et nous partîmes immédiatement. Baguette à la main (ça faisait du bien de la retrouver) avec Teo’ et armes pour les moldus belliqueux, nous avançâmes jusqu’au village, prêt à réduire quiconque sera sur notre chemin. Une fois, les portes de la ville passée, nous lançâmes immédiatement l’offensive pour ne pas que notre stratagème soit découvert par les idiots qui nous accompagnait car, ils étaient là pour nous surveiller, on n’était pas si naïve que ça. Dans le même état d’esprit, je suis certaine, qu’il n’avait reçu aucun ordre pour venir nous prêter main-forte si nous avions des soucis. Nous ne pouvions compter que sur nous-mêmes. Ce n’était pas plus mal. Je ne laisserai pas ma vie entre les mains de gars pareils, de toute façon. Autant se tuer tout de suite. Pour impressionner les quatre bleus qui nous accompagnaient et pour ne laisser aucunes traces à part des cendres (car des cendres, c’est des cendres), nous nous fîmes plaisir sur les sorts de destruction. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas pu utiliser notre magie que cela me rendait euphorique comme une droguée qui prend sa dose. Une sorcière sans magie, c’est comme une bierreaubeurre sans beurre. Mon plan semblait fonctionner. Ils ne s’aperçurent de rien et avec Teo’ nous passions forcément devant eux à chaque fois. Ainsi, ils ne tombèrent que sur des cendres ou des colonnes de fumées et de flammes. Toutefois, nous leur demandions de surveiller nos arrières et de vérifier s’il n’y avait pas un sorcier qui se cachait quelque part et que nous aurions loupé même si nous savions qu’il en serait rien. Ce fut tout de même un plaisir de voir la peur dans leurs yeux de tomber face à face avec un sorcier ou une sorcière qui pourrait les tuer un coup de baguette. Lorsque nous arrivâmes aux Trois balais avec Teo’ et que les autres étaient plus loin, nous nous fîmes le plaisir d’un petit duel à la loyal pour nous défouler et mon dieu, qu’est-ce que ça faisait du bien !! Après 5 minutes, nous jugeâmes bon d’arrêter et avec un rire, je sortis des Trois Balais pour surveiller les alentours car Teo’ voulait en profiter pour écrire une lettre à nos amis pour les avertir de nos découvertes depuis le début. Il était important qu’une partie des informations que nous avions soit immédiatement transmis comme leur nombre important, l’introduction d’espion au Ministère et cela dans tous les services, de la quantité phénoménale d’armes et de cartouches qu’ils avaient ainsi que les blindés et les hélicoptères à leur disposition. Tout comme la protection de Poudlard qui était assurée et qui ne pourra pas être reprise à moi d’avoir beaucoup plus de forces mais c’était peu probable à l’heure actuelle. Nous avions tout de même des bonnes nouvelles. Au vu de nos observations, nous avons compris qu’il ignorait la présence de plusieurs passages secrets du château et que la Forêt interdite eh bien….leur était interdite m’exclamais-je toute seule. Toutes les patrouilles de reconnaissance n’étaient jamais revenu sauf à de rares occasions des soldats terriblement mal et tellement choqués qu’ils ne parlaient plus du tout. Ils étaient devenus fous. 
J’appelais Fumseck et Teo’ lui donna la lettre pour qu’il la remette à Jason. Reprenant un visage neutre, nous rejoignîmes notre fine équipe après avoir continuer à mettre la pagaille au Pré-au-lard, pour la forme. Toute ma frustration s’évacua ainsi. En passant devant le pub d’Alberford, je rentrais rapidement et à l’aide de ma magie, je soulevais une partie du plancher derrière le comptoir et pris les deux petites fioles que j’avais caché ici, juste avant la prise de Poudlard. Je ne pensais pas que j’en aurais eu besoin pour ça mais si nous devions subir ce que nous allions subir, autant que ça serve à quelque chose. Je les mis dans mon soutien gorge, sous mes seins, ainsi elles ne se voyaient pas et ne pourraient pas être sentie si, dans le pire des cas, je me faisais tripoter la poitrine. Je rejoignis Teo’ sans rien lui dire. Je lui dirai au dernier moment.

Nous retrouvâmes nos quatre acolytes au bout de la rue principale, à la sortie de Pré-au-lard. Un des quatre abrutis était assis sur un bas, et de dos, nous le voyions se balancer d’avant en arrière comme un débile.


-          L’équipe de bras cassée m’exclamais-je. Vous nous avez d’une grande aide, bande de bons à rien. Vous voulez du thé et des scones pendant que vous y êtes?


Teo’ s’avança alors que je m’arrêtais pour observer la scène qui allait suivre connaissant ma collègue et amie.


-          NOM D’UN FRANKLIN !! C’EST PAS DIEU POSSIBLE !! QUI EST L’IMBECILE QUI T’AS TIRER DESSUS !? Tu l’as descendu j’espère.


Je me retins de rire mais je me tournais en faisant mine de surveiller les alentours à cause de l’éclat de voix de Teo’.


-          Ben non, en fait.. c’est Raoul. Son doigt a ripé sur la gâchette. Il n’avait pas mis la sécurité et le coup est parti dans ma cuisse.

N’en pouvant plus, j’éclatais de rire devant la tronche du coupable et du blessé. Oh mon dieu !! Comment ils pouvaient être aussi stupides ! Teo’ suivit mon éclat tout en se tournant pour décrocher une sacrée droite au fameux boulet nommé Raoul.
-          
Imbécile, je ne donne pas cher de ta peau à notre retour au camp ! Une petite corvée de chiotte te fera sûrement du bien, tiens ! Allez, on rentre ! Vous deux, aidez-le à marcher et toi, file  moi ton arme, idiot que tu es, je ne voudrai pas me retrouver avec une balle perdue !

J’essayais de reprendre mon calme aussi vite que je pus mais c’était dur tellement la situation était dès plus comique. C’était ça les hommes de Bondinet ou il nous avait donné exprès les plus lamentables pour que l’on se fasse tuer.
Nous fîmes un dernier tour de ronde pour être sûr d’avoir bien tout brûler sur notre passage et surtout tous les mannequins que la supercherie ne soit pas découverte. J’utilisais ma vision de smilodon (mon animagus) pour ne rien loupé. Une fois rassurée pour la deuxième fois, nous rentrâmes au camp. Cela mit plus de temps que prévu avec jambe de bois mais nous arrivâmes enfin. Teo’ envoya les trois à l’infirmerie pour donner jambe de bois au médecin et ensemble, accompagné de Raoul le boulet, nous allâmes voir nos bourreaux. Je ne dis mot, laissant Teo’ qui était furax parler, affichant simplement un flegme et une contrariété affichée. J’étais déjà à mon autre plan pour essayer de nous sauver ou dans le pire des cas de nous en tirer à moitié compte ce soir.

En entrant en trombe, elle jeta Raoul dans les bras de Blondinet.


-          Cet imbécile a faillit faire capoter la mission ! Monsieur a oublié de mettre la sécurité et à tirer dans la cuisse d’un de ces collègues. Vous pouvez m’expliquer pourquoi on doit travailler avec des boulets pareils ?!


-          Oui dites-nous…


-          Lawrence, calmez-vous voyons, à ce que je vois votre mission fût un franc succès sinon vous ne seriez pas là. Il y a eu un loupé apparemment mais Raoul va s’en repentir soyez-en sûr…Raoul dehors !

-          Oui chef !


Il sortit alors tout penaud, attendant sûrement avec peur le verdict des deux messieurs. Monsieur Muscle comme on l’appelait, s’approcha de Teo’, passant une main dans le creux de ses reins. Je crispais la mâchoire mais ne dis rien pour ne pas nous mettre encore plus dans l’embarras et Teo’ m’en voudrait ; elle qui fait des gros efforts pour se donner l’image qu’elle a voulu donner. Je ne devais pas tout détruire.


-          Nous allons envoyer une patrouille pour nous assurer que le travail a été fait dans les règles. Si tout es bon, ce soir vous aurez chacune un lit et peut-être chacune votre chambre (leur coup d’œil ne nous échappa pas). Un repas vous saura aussi amener, meilleur que ceux que vous avez pu avoir précédemment (ce n’était pas bien difficile pensais-je). Si votre mission est un franc succès, nous n’aurons plus à nous méfiez de vous. En attendant, retourner dans vos anciens quartiers, nous missionnerons quelqu’un pour venir vous chercher.


Teo sourit tout en s’écartant de lui et me jetant un coup d’eil, elle répliqua aimablement.


-          Je vous remercie de votre sollicitude, en revanche avec Malory, nous préférerions dormir dans la même chambre, question de praticité pour mettre nos stratégies en place.


Je n’aurai pas mieux dit. Quelle diplomate pensais-je ironiquement mais sincèrement. Je croisais le regard de Blondinet et je sus que c’était peine perdue. Ils allaient se débrouiller pour nous mettre la main dessus. Je vais devoir trouver un moment pour donner la deuxième fiole à Teo’ avant ce soir.


-          Nous verrons ce que nous pouvons faire, en attendant, partez le temps pour nous d’envoyer une patrouille.

Teo lui sourit de son plus beau sourire enjôleur je l’appelle « murder smile » en rigolant puis elle se dépêcha de partir et de m’attraper le bras avant que Blondinet ne puisse s’approcher mais j’eus le temps de voir sa contrariété et je sus avec certitude que nous allions payer pour cet affront qu’il venait de subir, selon lui. Une fois dans notre placard, j’attendis que nos gardiens partent  et avant que le relais ne soit fait pour murmurer à Teo’


-          J’ai vu le regard de Blondinet et aussi de Monsieur Muscle. Ils vont trouver un moyen pour ce soir. Il n’y a pas de doute. La patrouille ne peut que confirmer que la mission est une réussite totale et nous aurons ce qu’ils nous ont promis. Tiens (je farfouillais sous mon tee-shirt pour prendre une fiole devant son regard surpris et lui tendis), c’est du veritaserum. Je ne peux pas t’expliquer comment je l’ai eu. Tu sais ce que ça veut dire ? Nous allons subir leurs assauts mais quand ils seront endormis, fais avaler quelques gouttes à Monsieur Muscle ; moi je me charge de Blondinet. Je ne peux pas les laisser avoir ce qu’ils veulent sans que l’on y gagne quelque chose. Prends et fais attention à toi !

Je l’embrassais et nous cachâmes nos fioles. A temps, un gardien vient écouter à notre porte tout en la gardant.
Deux heures plus tard, nous fûmes appelés devant ces messiers


-          La patrouille est revenue et je vous félicite mesdemoiselles ! Vous avez mis une sacrée pagaille au village qui est maintenant nettoyé ! déclara Blondinet. Je suis content de pouvoir vous compter dans nos rangs ! Ne nous en veuillez pas, nous devons être prudent durant la guerre s’exclama t-il ravi en parlant de nos conditions de « détention ». Sans rancunes ? C’est le jeu.
-          Effectivement c’est le jeu affirmais-je calmement pour une fois.
-          A notre collaboration ! Comme promis, nous vous avons préparé une chambre avec de bons lits, dans les anciens dortoirs, et un très bon repas vous attend. Venez, mangez avec nous. C’est un gage du début de notre collaboration et un cadeau pour votre éclatante réussite.


Nous nous regardâmes un peu méfiantes devant tant de bienfaits et surtout, surtout, ils nous avaient octroyé une chambre comme demandé. Je me demandais ce que cela pouvait bien cacher et à la mine de Teo’, elle pensait à la même chose que moi. Tout cela était suspect. Ils nous offrirent leurs bras pour nous emmener jusqu’à la table ; ne pouvant pas refuser, nous en prîmes un chacun et en silence les suivirent jusqu’à leur salle à manger. Le repas fut horrible. La nourriture excellente mais avec la compagnie de ces deux-là, c’était un calvaire. J’aurai préféré mille fois, être à la cafétaria, seule à une table avec Teo en mangeant une nourriture infecte plutôt que d’être ici. Nous nous employâmes tout de même à être agréable pour leur montrer que nous acceptons avec reconnaissance ce dîner malgré leurs œillades et les pieds qui se permirent bien des choses en dessous de la table. Je m’exhortais au calme pour ne pas perdre ce que nous venions à peine de gagner après tant d’efforts. Je réprimais mon impertinence et mon dégoût en pensant à tout ce que l’on pourrait sauver avec nos informations déjà acquises et celles que nous allions acquérir. C’est cette pensée qui me retenait encore. Je cherchais un moyen pour que Teo’ soit protégée mais pleine de rage, je me rendis compte que je ne pouvais rien faire, que j’étais impuissante et mon cœur se contracta face à cette terrible vérité. Je ne pouvais pas épargner cette épreuve à mon amie et ça me chagrinais tellement que j’allais devenir folle. Quand le dessert fut apporté, c’est avec un soulagement que nous le mangeâmes car le repas allait prendre fin. Quand les deux hommes eurent finis, je pris la parole.


-          Excusez-nous mais nous aimerions monter nous reposer maintenant. Il se fait tard et nous avons eu une grande journée. Bonne soirée, messieurs.
-          Dormez-bien mes beautés s’exclama Monsieur Muscle en riant avec Blondinet qui se contentait de sourire tout en me regardant.

Nous partîmes rejoindre notre chambre sans escorte, ce qui était une vraie délivrance mais nous gardâmes nos idées pour nous. Les murs pouvaient avoir des oreilles. Une fois dans un ancien dortoir, nous soufflâmes et je demandais à Teo’ si elle avait toujours la potion. Elle me la montra et ça me rassura un peu. Nous nous couchâmes après nous être couché tout habillée. Malgré les paupières lourdes, le sommeil ne vint pas. Nous savions ce qui allait se passer mais cela ne vint pas. Les heures s’égrenèrent lentement….lentement….lentement alors nous finimes par nous endormir. 

Soudainement, on claqua la porte, on se réveilla en sursaut. On demanda Teo’ d’urgence à l’infirmerie pour soigner des blessés. Etant affecté encore à ce service, elle y alla, les yeux encore lourds. Je me rendormis complètement dans le brouillard puis j’entendis la porte grincée et je crus que c’était Teo qui revenait après avoir oublié quelque chose, alors j’ouvris les yeux et en voyant le corps massif de Mister Blondinet, je faillis crier mais il se jeta sur moi et me mis sa main sur la bouche. Je me débattis et le mordis, il lâcha un juron et me plaqua encore plus fermement sur le matelas. De l’autre main et avec difficulté, il sortit un chiffon de sa poche et me le mis dans la bouche pour ne pas m’entendre et pour éviter que je cris. Je me débattis mais en déchirant les draps, il en fit des liens pour m’attacher les bras au montant du lit. Je me cambrais pour lui rendre la tâche difficile et pour le pousser de sur moi mais sans baguette et même avec ma force, il était trop fort et trop lourd. Je lui donnais des coups de pieds, alors il me les attacha aussi. Je me retrouvais alors en étoile de mer, sur le lit, ne pouvant rien faire. Il se pencha au-dessus de moi en me regardant avec des yeux gourmands comme un enfant devant une pâtisserie. Il empestait l’alcool et je sus que je ne pourrais pas le ramener à la raison. Je serrais les dents et fermais les yeux pour essayer de me détacher de mon corps. Je le fusillais du regard mais cela lui plût alors je ne fis plus rien et le laissais faire ce qu’il voulait faire depuis qu’il m’avait vu. Je remerciais tous les saints pour avoir éviter ça à Teo mais en y repensant, tout cela était trop bien tombé pour que ce soit le fruit du hasard. Je priais pour que Teo aille bien et qu’elle ait pensé à prendre la potion avec elle. La mienne était dans un tiroir près de mon lit. Quand il commença ses caresses, je frissonnais de dégoût mais ce porc prit ça pour du plaisir et il se mit à rigoler, fier comme un paon et il continua de me lécher et de m’embrasser tout en enlevant mes vêtements à chaque fois où il passait. Je me retrouvais bientôt nue comme une vierge sur un autel de sacrifice et excitée comme un fou, il n’attendit plus et me pénétra. Je fermais les yeux aussi forts que je le pouvais et me répétais les noms de ce que j’aimais « Maman, papa, Lazar,  Teo, Lili, Harry, Mehdi, ma petite Louise qui sera là, Ethan et Jason ». Puis je me dis, c’est bientôt fini, c’est bientôt fini, c’est bientôt fini. Et en effet, se fût bientôt fini et il s’écroula sur moi, sans plus rien bouger. Il se mit à ronfler et moi je ne pouvais rien faire et rien bouger. Je restais alors là, les yeux hagards, en miette et salie. Une heure plus tard, il se réveilla et recommença ses assauts. La nuit fut longue et je dû subir ces étreintes et ses coups de rein à quatre reprises. La dernière fois, il me détacha en me souriant comme un drogué.


-          Apporte-moi de l’eau, j’ai soif après tout ce sport.


Je faillis l’étrangler mais je me retins et me levais pour lui apporter à boire. Je lui donnais le verre et il le but d’un trait puis il se mit sur le dos et ferma les yeux tout en m’ordonnant de revenir dans le lit. Je revins alors et je me mis à ma place en essayant de ne pas le toucher. J’attendis qu’il se rendorme pour bouger délicatement et en silence pour atteindre mon tiroir de ma table de chevet et je l’ouvris petit peu par petit peu. Je réussi à sortir la fiole sans qu’il se réveille et ouvrant le bouchon, je lui fis avaler deux gouttes avec une facilité désarmante : il dormait la bouche ouverte.

J’attendis quelques minutes pour être sûr que les effets s’activent et pour la guerre et tous ceux que j’aime, je commençais à lui faire des caresses sur le torse pour que mes questions passent le plus naturellement possible.

-          Dis-moi, maintenant que le Pré-au-lard est nettoyé de tous sorciers, que vas-tu en faire ?
-          Il va devenir un village comme un autre. Nous allons y installés notre commandement. Les soldats resteront à Poudlard et l’état major ira au village. Nous commençons à se marcher sur les pieds ici.
-          Aahh c’est pour ça que nous devions le nettoyer..
-          Oui ma sorcière bien aimée.
-          Pourtant le château est grand
-          Pas assez pour les renforts qui devraient arriver.
-          Oh nous allons être plus ?
-          Si tous se passe bien, oui.
-          Merveilleux…mais comment sais-tu qui est avec toi ou pas ? Je veux dire, tu as des espions partout, des infiltrés chez les sorciers, comment se reconnaissent-ils ? (je poussais mon audace loin mais avec l’alcool qu’il avait ingurgité, la performance qu’il avait fait durant toute la nuit, le manque de sommeil et le veritaserum, je savais que ça passerai)
-          Tu ne dois rien dire, hein. Nous avons tous une feuille d’olivier, tatoué entre les doigts. Pas au même endroit sinon, ça serait suspect mais c’est le même tatouage pour tous, sauf pour les gradés comme moi, où nous avons des points en plus de notre importance. J’en ai deux. Le maximum c’est trois.
-          Tu es donc très important mon tout beau.
-          Exactement et tu as de la chance que je te regarde.

Je laissais passer du temps pour ne pas éveiller ses soupçons par prudence.

-          Tu penses que l’on va réussir à prendre le dessus sur toute la communauté sorcier ?
-          Oui. Nous avons tout pour.
-          Comment avez-vous su notre existence ?
-          Je ne sais pas. Personne ne le sait à part le Grand Chef mais heureusement qu'il l'a apprit
-          Le grand chef ?
-          Oui celui qui contrôle tout ça et me donne les ordres.
-          Il est comment ?
-          Je ne l’ai jamais vu, ni même entendu. Je reçois soit des lettres, soit le messager fidèle du Grand chef.
-          Curieux, non.
-          Un peu oui rigola –t-il sans rien ajouter.

J’apprenais beaucoup de choses mais ça ne me suffisait pas, je n’avais pas subi cette nuit pour si peu.

-          Pourquoi vouloir tuer les sorciers alors que tout se passait bien avant ?
-          Ils sont une menace pour nous ! Ils sont trop dangereux et un jour où l’autre, ils nous asserviront pour faire de nous leur esclave. C’est impensable ! Nous préférons nous défendre en prenant les devants.
-          Oui…mais ils ont peut-être aucunes intentions de ce genre sinon ça serait fait depuis longtemps. Je n’ai rien entendu au ministère sur ça.
-          Le grand chef pense à la sécurité de tous. Nous sommes les Pacificateurs et nous apporterons la paix.


Ainsi, ils étaient guidés par la peur et non la haine. Bien sûr, il y avait toujours des fanatiques mais ici, nous avions des moldus qui avaient peur des sorciers qui pouvaient les contrôler grâce à la magie.

-          Nous avons enfermé ceux qui étaient avec vous. Qu’ils voulaient d’abord, parlez avec vous au lieu de faire la guerre. Tous des lavettes. Ils ne font plus les fiers maintenant, misérables qu’ils sont dans les catacombes, surveillés par une dizaine d’hommes ;
-          Ils sont encore vivants ?
-          Je crois oui, ils pourraient être utiles, si nous avons un soulèvement.
-          Il y en a beaucoup ?
-          De plus en plus. Les hommes veulent rentrer chez eux. La nourriture commence à se faire rare, la météo est mauvaise et même si Poudlard a été pris et Pré-au-lard nettoyé, les sorciers se défendent bien. Puis, ils font peur à nos hommes mais s’ils savaient que leurs femmes sont comme les nôtres quoique moins farouches, ils auront moins peur plaisanta t-il.
-          C’est sûr articulais-je en essayant de garder mon calme et mon sourire. Ils ont peur d’autres choses ?
-          Vos créatures diaboliques. Il y en a partout ! On raconte beaucoup de choses sur eux dans nos livres et contes
-          Et tout est vrai affirmais-je pour lui donner la frousse et ça fonctionna. Ainsi, nous pourrions utiliser des créatures pour nous en débarrasser (loup-garou, vampire, détraqueurs, etc).


Je le questionnais ainsi pendant longtemps et je finis par le laisser dormir pour ne pas que ce que j’avais fait soit découvert. Le lendemain, j’étais encore prostrée dans le lit, sans rien pouvoir faire. Comme figée par un petrificus totalus. Il était partit peu après l’aube en me remerciant même s’il était dans un sale état avec une migraine horrible et un manque de sommeil, certains. Je me sentais sale et souillée. Un déchet, un monstre et surtout une aguicheuse qui avait mérité ce qui lui était arrivée. Je savais que tout cela était faux et que je n’y étais pour rien mais une partie de moi, me le répétais sans cesse comme un leitmotiv « tu l’as cherché, tu l’as cherché, tu l’as cherché, tu l’as cherché ». Je secouais la tête et je sentis alors des larmes coulées le long de mes joues et descendre dans mon cou puis dans entre mes seins encore déshabillé et rouges de ce que j’avais subi cette nuit. Je me mis sous les couvertures mais en sentant l’odeur du salopard qui m’avait fait ça, je repoussais avec dégoût et rage les couvertures. Je me dirigeais tout de suite dans la salle de bain pour me laver, essayer d’enlever les odeurs et les marques sur mon corps mais aussi la tâche que j’avais l’impression d’avoir sur moi. J’avais mal mais l’eau seule pouvait me calmer à ce moment précis. Sous la douche, je me remémorais ce que j’avais appris et en fis la liste complète et organisée dans une partie de mon cerveau pour pouvoir la transmettre à nos amis, dès que Fumseck reviendrait. En pensant au phoenix, je pensais à Jason, ce que j’avais évité de faire jusque là et je savais qu’il ne me pardonnerait pas ce qui s’était passé la nuit dernière. Il ne voudra plus de moi. J’eus un pincement au cœur mais je ne pouvais rien faire et je n’avais pus rien faire…
Je restais ainsi longtemps, laissant l’eau coulée sur moi sans bouger et sans rien dire. Puis, entendant la porte, je fermais les yeux en demandant grâce mais celle qui entra dans la salle de bain, n’était autre que Teo. En la voyant, je sus.. Je sus que sa nuit n’avait pas été meilleure que la mienne. Je sortis immédiatement de sous le jet d’eau et je la pris dans mes bras. Je la dévêtis et la mis sous la douche en la lavant doucement en prenant soin d’elle comme une mère. Je m’en voulais tellement, si elle n’était pas venue avec moi, elle n’aurait pas subi ça. Je la lavais et la frottais et après plusieurs heures sous la douche, la peau toute ridée, nous sortîmes et je la séchais et l’habillais. Nous ne parlâmes pas de ce que nous avions découvert car on frappa à notre porte. J’allais ouvrir et on nous signala que nous devions ranger nos affaires au plus vite car nous déménagions avec l’état major au village du pré-au-lard. Je lui fis signe que l’on avait compris et je fermais la porte. Un regard avec Tea et nous nous échangeâmes nos informations sans parler de comment nous les avions eu. Je crois que c’était trop tôt pour en parler et que ce n’était pas vraiment nécessaire…

Une heure plus tard, nous étions dans la procession en route pour le village. Tout était silencieux même les hommes qui transportaient les affaires. Arrivée, je vis que le village avait été nettoyé de toutes les cendres à moins que la pluie et le vent n’aient nettoyé naturellement. La colonne se dirigea tout droit vers les Trois balais pour s’installer. Nous suivîmes les autres sans rien dire et une chambre nous fut donnée. Une fois, nos affaires rangées, nous patrouillâmes avec les autres pour établir un périmètre puis le soir venu, le calme et le silence s’installa dans le village. Nous dinâmes encore une fois avec les hauts gradés en nous mêlant à la conversation comme si tout était normal. Je parlais avec mon voisin de gauche puis mon voisin de droit qui n’était autre que Mister Blondinet. Teo était devant moi à côté d’un gars que je ne connaissais pas et de Monsieur Muscle de l’autre. Ils étaient tous de bonne humeur et avaient tous bon appétit. Le repas prit fin et je montais dans notre chambre pour me reposer se leva pour m’accompagner également. Ce soir-là, Blondinet m’appela dans sa chambre et me prévint que tout refus serait mal venu et aurait des conséquences. Je respirais alors un bon coup et me levais en regardant Teo et je lui souris pour la rassurer. Après tout, c’est les premières fois qui sont les plus durs.  Je l’embrassais sur le front et suivis le messager jusqu’à la chambre de Mister Blondinet.

-          Demain ma beauté, j’ai une mission à vous confier. Je veux que vous fassiez la même chose que vous avez fait ici mais dans votre chemin de Traverse ! Un des sorciers nous a dit que ça grouillait de monde là-bas. Je veux que tu nettoies ce chemin ! Compris ?
-          Compris. Il n’y a pas de soucis.
-          Très bien. Maintenant, parlons de choses plus amusantes annonça –t-il en me faisant son sourire. Viens ici !




Il me prit dans ses bras et je dûs me résigner à subir encore une nuit avec lui, loin de Teo. J’avais hâte que nous finissions notre mission et que nous partions d’ici. Elle touchait à sa fin de toute manière. Je ne pouvais pas reproduire l’exploit du pré-au-lard, au chemin de Traverse. Je ne pouvais pas faire cette mission sans me trahir des deux côtés.
Revenir en haut Aller en bas
Mathéo Kénaël
Membre du personnel de St Mangouste
Mathéo Kénaël


Date d'inscription : 30/11/2019
Messages : 7

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyJeu 9 Jan - 16:12

Nous avions installé une certaine routine depuis notre arrivé chez la famille Olianov, qui était vraiment charmante et très patiente car accueillir autant de personnes dans sa maison ne devait pas être facile tous les jours.
C’est pour cela que malgré notre nombre et nos activités nous essayions d’aider autant que possible les membres de la famille et pour cela tout le monde était réquisitionné.

Chaque jour je voyais les professeurs et collègues de ma femme venir donner leurs cours aux élèves pour que leurs scolarités ne soit pas plus impactée que cela ne l’était déjà. J’en profitais également lorsque c’était le tour de Philomena d’aller dans les autres maisons, pour moi aussi donner des cours en quelque sorte.
J’avais mis en place un cours « soins et premiers secours » car en cette période de guerre les effectifs de sainte mangouste n’étaient pas illimités et que parfois avec l’aide de quelques personnes on pourrait aider beaucoup plus de monde.

J’apprenais donc comment comprimer une plaie avec ou sans objet à l’intérieur ou encore comment faire un garrot.
J’étais d’ailleurs en plein milieu d’un exercice de massage cardiaque quand j’entendis du bruit venant de l’entrée, je m’excusai auprès de mes élèves et me dirigea doucement dans les couloirs pour m’approcher du bruit quand j’entendis alors une voix que je reconnaissais bien m’appelant à l’aide


- Mathéo !

C’était Philomena, je sentais qu’il se passait quelque chose d’anormal dans le ton de sa voix. Aussi rapidement que mon état de vampire me le pouvait j’accouru et dévalais rapidement les escaliers.
Me retrouvant auprès de Philomena, je reconnu directement la personne à terre. Victoria, ma belle-mère. Mon instinct de chirurgien se mit aussitôt en route et je ne perdis pas de temps pour m’accroupir près d’elle et de l’ausculter.
Elle était blessée à la jambe, une plaie par balle qui apparemment avait été retirer ... Mais pas avec de grand soin et je ne sais pourquoi elle avait voulu se déplacer directement ici,  mais ça n’avait pas arranger les choses. Heureusement rien de trop grave.


- Elle a reçu une balle en pleine jambe, je vais finir de la soigner,
lui dis-je en vérifiant si elle n'avait rien d'autre. Elle s’est déplacée jusqu’ici et c’est surement ça qui l’a fait perdre connaissance… transportons là dans une chambre.

Je demandais à un élève passant par là pour assouvir sa curiosité de nettoyer le sang laisser par la blessure de Victoria. Ce n’était pas au personnel de maison de nettoyer tout ce sang.
Philomena demanda à ce qu’on l’installe dans une pièce encore disponible, je pris avec moi un de mes élèves que j’avais formé et l’aida à faire ce qu’il fallait sur la jambe de ma belle-mère. Le pansement n’était pas très esthétique mais pour une première fois c’était très bien
.

- Merci Logan, impeccable. Dis-je à mon élève de 5e année. Philomena, si tu as besoin de quoi que ce soit ou que tu vois qu’il y a un souci avec Victoria n’hésite pas à m’appeler, je vais finir mes cours et on se rejoint plus tard.

J’embrassais ma femme et regardait une dernière fois Victoria. Même si je ne l’aimais pas trop, le fait que ce soit la mère de ma femme créait quelque chose d’invisible qui me donnait de l’inquiétude pour elle.  Je me dirigeais vers mon petit groupe que j’avais laissé auparavant et continuait leurs apprentissages.

Puis il se fit tard et après avoir embrassé Franz je me rendis dans notre chambre ou je ne vis pas Philomena qui avait surement préférer rester au chevet de sa mère. Mon corps ne se fit pas prier et la fatigue m’emporta rapidement dans le pays des rêves.
D’ailleurs je ne m’aperçus pas de l’heure tardive qu’il était lorsque je me réveillais, je m’habillais et prenais mon café. Tout le monde devait déjà être entrain de déjeuner dans le grand salon. J’allais mettre mes chaussures quand un frisson me parcouru.

Une sensation étrange qui venait de mon thorax et qui se propageait dans tout mon corps. Je sentais quelque chose qui n’allait pas. De la peur, du désespoir, un appel à l’aide. Encore un, mais pas le même que la vieille.

Mes crocs sortirent de ma mâchoire et je me volatilisai vers le salon. Je vis alors Victoria appuyer sur sa canne parlant aux enfants d’une manière terrible qui leur faisait extremement peur. Je le sentais ils étaient terrifiés devant cette femme qui ne connaissait pas et qui leur parlaient d’une manière qui ne fallait pas et surtout devant le spectacle quel offrait.

Je vis alors Philomena, à côté d’elle, sur une chaise. Je sentais qu’il y avait quelque chose qui clochait… elle me regardait avec un regard de détresse et de colère également.
Elle n’avait quand même pas osé faire ça… un sortilège impardonnable... dans un endroit plein d’enfants et de surcroît sur sa propre fille !  

J’étais de nature calme et censé mais là, la colère m’envahis et j’arrivais rapidement derrière ma sorcière de belle-mère. Elle sembla surprise, effectivement, la colère d’un vampire est tout autre que celui d’un sorcier lambda.
Armé de ma baguette à ma main droite, je lui la pointai dans le dos. Tous mes muscles étaient contractés, si je le voulais j’aurais pu lui broyer la nuque tout de suite, mais je ne pouvais pas, pas devant les enfants déjà choqué de la scène. Ma mâchoire se contracta elle aussi pour faire sortir mes canines.  Je lui susurrai doucement à l’oreille.


- Victoria… vous êtes peut-être déjà mourante mais je peux vous vider de votre sang toute de suite, aussi lentement que possible pour que vous sentiez ce qu’il va se passer quand vous irez dans l’eau delà. Donc je vous conseille vivement de retirer ce sort avant que je ne puisse plus contrôler la colère qui se propage en moi.

Après quelques secondes de réflexion de la part de Victoria, elle fit ce que je lui avais demander. Philomena un peu déboussolé réussit à se lever et je créai une sorte de lien sur les bras de Victoria pour éviter qu’elle ne réutilise sa baguette.
Je l’attrapai par l’épaule et l’emmenai dans une pièce plus loin pour pouvoir parler. Je pris soin tout de même de ne pas aller trop vite car cette vieille chouette était blessé à la jambe.
Arrivé dans la pièce, Philomena me rejoint et je fermais la porte à clé derrière elle.

Tous les muscles de mon corps battaient comme s’ils allaient sortir de ma peau, je me forçais à ne pas me jeter sur cette femme qui venait de malmener mon épouse.


- Va falloir être convaincante Victoria, car tout ce que j’ai envie de vous faire à l’heure actuelle ne serait pas à votre goût…

Je sentais l’appuis de Philomena sur mon bras surement pour me calmer et pour me rassurer un peu.


- Que doit-on faire de vous, sale garce ! aboyais-je d'un ton menaçant.
Revenir en haut Aller en bas
Goya Bakkali
Membre de la Salamandre
Goya Bakkali


Date d'inscription : 20/02/2018
Messages : 55

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyJeu 9 Jan - 17:07

Après le rituel de renaissance de l'Ordre de la Salamandre, mes frères et moi avons décidé sous la proposition de Stanley d'aller prêter main forte à Malory et Théodora.
Je connaissais Malory de par mon frère. C'était sa meilleure amie, mais l'autre personne à sauver, cette Théodora j'ignorai qui elle était.

- C'est une autre amie - dis Mehdi pour nous éclairer quand je lui posais la question. - C'est la femme de Mat Dursley, le professeur de potions.

- C'est pas vrai, elle a épousé un sang de bourbes?! - S'exclama Thaddée.

- Les goûts et les couleurs ne se discutent pas Polo... - Répliquais-je - Mais on en a exécuté pour moins que ça dans la famille... - dis-je pour finir, toujours dans l'extrême.

Nous préparions toutes les affaires et nous dirigeâmes vers la salle des réunions, où nous étions attendus par Stanley pour nous donner plus d'informations.

- Bien, il semblerait que nos deux partenaires se soient foutues dans un sacré pétrin.

- Elles n'ont qu'à se démerder toutes seules - dis-je en soufflant la fumée de la cigarette que je venait d'allumer. - C'est vrai, ne me regardez pas comme ça, elles ont voulu jouer aux malignes, qu'elles en assument les conséquences.

- Goya, en tant normal j'aurai été d'accord avec toi. Ces deux là travaillent sous mes ordres au ministère mais elles m'ont en grippe. Sauf que là, c'est au delà de nos haines et rancœurs. Une bataille se prépare et nous avons besoin d'un maximum de monde dans nos rangs. - dit Stanley calmement.

- Et pourquoi nous ? - Questionna Mehdi. La réponse était évidente mais il aimait qu'on flatte son ego.

- Parce que si je vous lâche tous les trois dans une ville que vous ne connaissez pas, je crains plus pour la ville que pour vous. L'ordre vient d'être réinstauré, nous manquons d’effectifs et les Résistants me donnent assez de travail comme ça. Vous êtes les plus habiles en magie noire, vous avez grandi entourés de cela. Amenez les vivantes, et massacrez tous ceux que vous voudrez. Et essayez en passant de recruter du monde pour l'Ordre. Je m'occuperai de recruter chez les Résistants. - Puis se tournant vers Mehdi avec un air de surprise, il lui dit - Mehdi, tu ne fumes pas ?

- Non, j'ai arrêté depuis la grossesse de JannaLynn, mais je dois t'avouer que j'ai les nerfs bien à vif.

- Très bien. Cela peut servir.

- Et où sont ces jeunes filles? - demanda Thaddée.

- A Pré - au Lards. - Je m'étouffais avec la fumée et crachais mes poumons devant cette annonce. - Pré au Lards? C'est inondé de sorciers, ça va être un massacre ! Comment le sais tu?

- Malory a envoyé un patronus à Jason pour indiquer leurs position et Fumseck est revenu.

- C'est quoi çà Fumseck? - demandais-je.

- C'est le nom du phoenix de Jason. Il l'a envoyé pour prêter son aide à Malory.
- Dit Mehdi.
Après un échange encore trop long pour tout écrire, nous étions sur le point de départ.

- Bonne chance à vous chers cousins. N'hésitez pas à demander du renfort si nécessaire. Et n'oubliez pas de recruter.

Nous remerciâmes Stanley et nous transplannâmes nous tenant la main dans la Forêt Interdite. Seul Mehdi connaissait réellement les proximités de Poudlard pour y être le seul à y avoir étudié. Dire que j'avais renoncé aux plages marocaines pour me retrouver dans des guerres qui ne me concernent même pas !

Nous avancions en silence dans la forêt,  baguettes en mains avec un Lumos au bout. Nous tracions la route mais nous fûmes stoppés par un troupeau de centaures, armés jusqu'au dents.

- Que fais-tu ici Mehdi?

- Mehdi, Par Satan !  Dis moi que ce sont tes amis ! - dis-je sur un ton d'inquiétude.

- Tu n'es pas le bienvenu ! Ni aucune autre personne de ton sang !

- Non, ce ne sont pas ses amis ... - Dit Thaddée sur un ton ironique mais en position de combat.

- Firenze ! Ce n'est pas contre ton peuple ou toi que je viens ! - dis Mehdi à voix haute et le torse bombé comme un paon. - Tu sais que les sangs de bourbes vont massacrer notre univers ! L'Ordre de la Salamndre est rétabli.. Joins t... - Mais le chef Centaur lui coupa la parole. - Impossible ! L'Ordre de la Salamandre a été dissout suite à la mort de son fondateur Nelson Eiwaz ! Tu mens !

- Mais son fils a repris le flambeau ! - Criais-je depuis ma position. - Son fils, Jason Eiwaz, est le nouveau dirigeant de l'Ordre. Regardez ! - Criais-je en m'approchant d'eux ce qui les mis en alerte, pointant leurs flèches et arbalètes vers moi. Firenze me prit par la main que je lui tendais pour lui montrer le tatouage encore frais de la Salamandre.

- C'est donc vrai? - Dit Firenze plus pour lui que pour nous. Puis, levant la tête vers Mehdi - Très bien, mais comment puis-je te faire confiance Mehdi?! Qu'elle est ta garantie que tu ne nous feras pas un coup foireux cette fois?

Mehdi sourit puis commença à rire avant de se prononcer.

- C'est très simple Firenze. Sois tu nous laisses passer soit on vous crève la peau à toi et à tes semblables, et j'en fais des bottes pour piétiner ta tombe sans me salir les jours de pluie.

Devant la menace, je ne pus m'empêcher de tenir mon visage entre mes mains et je m'éloignais du centaur avant qu'il ne songe à m'attaquer moi. Son groupe était déjà suffisamment énervé de nature et cette réplique de Mehdi ne fît que les contrarier encore plus.

- Nous vous proposons de joindre l'Ordre de la Salamandre ! - Dit Thaddée pour calmer les tensions en s'approchant un peu mais s'arrêta au moment où un des centaures planta une flèche près de son pied comme avertissement. - Je suis représentant de l'Ordre en Espagne.  Rejoignez l'Ordre et je vous promets des  kilomètres de plaines où galoper librement dans une réserve m'appartenant. J'en fais serment. Mais pour cela, vous devez nous laisser passer et pourquoi pas, nous aider à accomplir notre mission.

Après un temps de réflexion, Firenze parla:

- Et quelle est cette mission ?

- Nous devons apporter notre aide à deux amies captives par les moldus. Malory Olianov et Theodora Lawrence !  Ils se dirigent vers Pré au Lards, et ils vont y faire la raffra ! - dis-je la voix pleine d'assurance.

Puis, se tournant vers son troupeau, ils échangèrent quelques instants avant de nous accorder le passage.

- Très bien, vous pouvez passer les Bakkali car Miss Olianov est très appréciée dans notre communauté. Mais 5 des miens vous accompagneront. Je ne te fais pas confiance, Serpentard ! - dit - il en s'adressant directement à mon frère Mehdi.

- Et cela me convient parfaitement ! - Dis Mehdi. - Allons y dans ce cas. - Nous reprîmes la marche derrière les 5 centaures et quand Mehdi arriva au niveau de Firenze - Ca m'a fait plaisir de te revoir après toutes ces années, et pas trop amoché depuis notre dernière rencontre... Je veux dire que la prochaine fois que nous serons amenés à nous voir, tu auras les quatre pattes brisées, au lieu de deux.

Nous continuâmes notre route jusqu'à l'entrée de Pré au Lards.

- Nous y voilà. Les centaures, je suggère que vous restiez ici à la lisière, vous risquez de créer un mouvement de panique dans le village.

Le village était désert. Mehdi Thaddée et moi avancions doucement dans le silence assourdissant des ruelles. Pas une âme. Le seul bruit que l'on entendait était la canne de Mehdi cogner contre le sol en bitume. Nous étions à la vue de tous, et pourtant personne ne semblait se rendre compte que nous étions là.
Revenir en haut Aller en bas
Éléonore Slowird
1ère année
Éléonore Slowird


Date d'inscription : 28/10/2017
Messages : 18

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyJeu 9 Jan - 18:27

Je ne comprenais toujours pas ce qu’il se passait, on nous avait rassembler pour partir de Poudlard alors que l’école étais pleine de bruits et de lumières non habituels. Je savais assez peu de chose sur se qu’il s’étais passer, sans doute car je refusais d’écouter quand on m’en parlait. Je trouvais la situation tellement irréaliste … Je crois que … J’ai l’impression de faire un énorme cauchemar et j’espère m’en réveiller bientôt. Mes camarades de Poufsouffle sont avec moi pour me permettre d’oublier un peu que tous n’est plus comme … Avant. Ils sont si gentils, tous si attentionner, a l’écoute, ils sont une véritable famille … Mais j’ai déjà une famille. Deux parents, ils m’aiment, ils s’inquiètent surement. Je n’ai pas le droit de les rejoindre, de les voir, je ne sais pas comment leurs donner de nouvelle maintenant … J’espère qu’ils vont bien…

Je sentis une douce sensation de toucher poilus sur ma main. Mon petit lapin nain gris et blanc étais rester avec moi et frottais sont petit museau sur ma main, laissant les poils de ses grosses joues la chatouiller. C’étais… étonnamment réconfortant. Avoir une chose familière avec moi étais assez soulageant, elle m’avait été offerte par mes parents il y a un petit moment maintenant. Cette lapine s’appelait Perceed. Elle était un peu vielle mais elle n’avait rien perdue de son adorable petite bouille, elle avait la même bébé. Je me suis mise à sourire en pensant a cette petite boulle de poils adorable que je tenais dans mes mains il y a de cela quelques années.
Je pris Perceed dans mes mains pour la serré dans mes bras alors que je me levais du sol où je m’étais assise. Je commença à marcher lentement dans la pièce, fessant des rondes tous en fredonnant la berceuse que ma mère me chanter tous le temps a la maison. Essayant de bercer ma lapine dans un mouvement de bras automatique accompagnant la chanson tendis que les souvenirs de ma vie avec mes parents avant mon entrée à l’école de Magie.
Mes parents me manquent …
Revenir en haut Aller en bas
Philomena Albacova Kenaël
Professeur d'astronomie
Philomena Albacova Kenaël


Date d'inscription : 12/08/2014
Messages : 102

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 10 Jan - 16:28

-          Qui t’as blessé ? Tu peux m’expliquer pourquoi tu es ici ?


-          Tu poses trop de questions ma fille dit-elle sèchement.


Je la regardais avec colère, avec haine même car elle avait débarqué ici au risque de nous faire repérer par nos ennemis et que ces derniers nous tue tous, y compris tous les enfants dont j’avais la garde avec Mathéo. Elle avait mis aussi nos hôtes dans l’embarras et ils peuvent avoir des soucis à cause d’elle. Je frémissais de colère et d’agacement devant son insouciance et devant son comportement encore une fois qui était d’un égoïsme pure.

- En gros et pour faire court, les moldus qui travaillent pour moi ont décidé de nous écorcher vives ta grand mère et moi. – Je la regardais surprise, car je me souvenais de tous ses employés et ils s’étaient tous montrés gentils avec nous. Pourquoi, ils attaqueraient sans raison ? - Oui, oui, Al Batoul, Ali, Mohamed, Safae, tous ceux que tu as rencontré ! Armés comme des machines de guerres, du pistolet à la cuillère, jamais vu un arsenal aussi fantasque ! Les chiens ! Mais ils vont me le payer, ça je peux te le garantir... Je sais que tu ne m'aimes pas et que tu me m'aimeras sans doute jamais mais maintenant je suis là, et je reste. – J’ouvris la bouche pour lui faire comprendre que ce n’était pas possible et qu’il n’était pas question qu’elle se proclame elle-même chez elle. Nous étions chez les Olianov, et eux seul prendrait cette décision mais elle continua sans me laisser en placer une
- Alors tachons de faire en sorte que cela soit supportable pour toi et pour moi. 


 Regardant sa canne, elle fit un geste de la main et celle ci vint à toute vitesse se coller à elle. Elle retira la couverture en entier et avec beaucoup de mal, elle se leva. Je laissais faire car nous l’avions soigné. Mon devoir avait été fait. Quand elle prit conscience que sa jambe était bandée, elle hurla comme à son habitude- 


Mais qui est l'âne qui m'a foutu un bandage pareil?! Amputez-moi la jambe tant que vous y êtes !!


-          Je te suggères de baisser d’un octave sinon je te ferais taire est-ce compris ?? Et l’âne qui t’as soigné est mon mari avec un petit garçon qui ont pris du temps pour le faire et pour que tu ne souffres pas alors, tu as intérêt à te calmer où je t’ouvre de nouveau la jambe et je te laisse saigner sur le parquet ! répliquais-je agacée de son attitude.


Puis, titubant jusqu'à son sac, elle prit mon paquet de cigarette où il n'en restait qu'une. - Vraiment ... ! – Dit-elle en l'allumant et ouvrant la fenêtre laissant entrer le froid hivernal.
Comment pouvait-elle se comporter comme ça. Je me demandais pourquoi, je l’avais veillé durant ces nuits et pourquoi je n’avais pas laissé mes élèves la tuer quand elle a fait irruption comme une furie déjantée.

- Tiens, tu peux m'aider? – Je la regardais sans bouger - Tu peux m'aider?! – demanda t-elle en un souffle plus insistant. 



Je me levais enfin de mauvaise grâce pour l’aider à fermer sa robe. 


- T'en fais pas, j'ai un morceau de viande avariée dans le crâne qui fait la taille d'un citron. Tu seras débarrassée de moi bien assez tôt.



-          Je ne dirai rien pour ne pas être désobligeante mais je n’en pense pas moins… !


Je la suivis jusqu’au rez-de-chaussée, là, où elle voulait aller. Tous mes élèves et enfants moldus étaient attablés pour le petit déjeuner. Il y avait même nos hôtes, Lord et Lady Olianov qui avaient la gentillesse de s’occuper aussi bien de nous.

- Madame, monsieur, je suis Victoria, la mère de Philoména. Et vous êtes...?


- Monsieur et Madame Olianov. 
- Répondit Lady Olianov, les maîtres de cette maison. Soyez la bienvenue.

Gardant un regard sévère, Victoria les remercia et se tourna vers moi qui avait honte de ma propre mère et qui demandait pardon à mon hôtesse avec mes yeux. Elle me rassura avec un doux sourire.

- Ce sont tes élèves? Où est Franz? Et ton mari? 



-          Oui ce sont mes élèves. Franz doit être encore en haut, il ne devrait pas tarder. Mathéo, dehors en train de faire sa ronde..


-          Très bien. - Prenant sa baguette et toujours appuyée sur sa canne, elle prononça « Sonorus » Les enfants ! - Tous se tournèrent vers elle mais en me regardant de l’œil tout de même - Je suis la maman de votre professeur, Miss Albacova. J'ignore quel genre d'activités et d'amusements vous faites ici pour vous occuper, mais maintenant que je suis ici, les élèves de cinquième, sixième et septième année vont avoir un entraînement intensif en magie noire. Je suis persuadé que votre professeur de la matière, fais un excellent travail mais vous êtes loin d'imaginer ce qui vous attends. - Découvrant sa jambe blessée- Je suis une femme. Je suis vieille. Et ça n'a pas empêché ces sangs de bourbes d'essayer de me tuer. 


Je réagis tout de suite en essayant de lui retirer sa baguette et en protestant contre ce qu’elle venait de dire mais la vielle shnock avait encore des forces et elle me fit asseoir en utilisant un sort impardonnable sur moi. Un « impero ». Quand je compris ce qu’elle avait fait, je sentis d’abord le choc puis le dégoût en moi puis la colère à l’état pur quand elle continua son discours et sa menace ; et comment elle me traita et traita les élèves dans la pièce, enfants sous ma responsabilité. Certains l’écoutaient d’autres étaient effrayés et nos hôtes étaient tellement choqués tout comme moi, qu’ils ne réagirent pas tout de suite.


-          Il suffit Philoména ! Ne m'oblige pas à t'utiliser pour la pratique du sortilège Doloris ! Je suis déjà haïe par la communauté magique, et vous allez certainement me haïr avec l'entraînement que je prévois de vous faire subir. Mais c'est pour votre propre bien !


Ses yeux brillaient de haine et d'extase, la folie s'emparait d’elle à cause de l’humiliation qu’elle avait subie hier soir par ses employés. Elle voulait tout simplement se venger d’eux. La colère m’empoigna mais je ne pouvais rien faire à cause du sortilège jeté. J’appelais alors Mathéo de tout mon cœur pour qu’il vienne m’aider. Je savais qu’il ressentirait mon appel et viendrait. Un lien nous unissait. Ce n’était pas bateau de dire ça avec lui, c’était la vérité. Effectivement, quelques secondes plus tard, à la vitesse d’un vampire, il apparut derrière ma mère. Rien qu'en le voyant, je me sentais déjà bien et en sécurité. Elle fut surprise et elle ne réagit pas tout de suite ce qui était profitable à mon mari car même si c’était un vampire, j’avais peur de ce qui pouvait lui arriver. Il pointa sa baguette dans le dos de Victoria et lui déclara sûrement quelque chose car après un temps où elle sembla réfléchir, elle me libéra de son sort impardonnable. Je me levais avec colère, je suivis Mathéo qui emmena la mère vicky dans une salle plus loin. Avant, je déclarais aux aux enfants de finir leur petit déjeuner et d’aller faire un tour dehors. Je ne voulais pas qu’ils entendent ce que j’avais à dire ni  qu’ils soient en présence de ma foldingue de mère. Mathéo la neutralisa pour éviter qu’elle ne fasse de la magie. Une fois la porte fermée, je focalisais toute mon attention sur Victoria et sur Mathéo. Mon mari était furieux et faisait un gros effort sur lui-même pour ne pas bouffer ma mère et à ce moment-là, je lui aurai bien donné l’autorisation mais je ne pouvais pas lui faire ça. Il n’était pas un homme violent et je ne voulais pas qu'il le devienne à cause de Victoria. 


-          Va falloir être convaincante Victoria, car tout ce que j’ai envie de vous faire à l’heure actuelle ne serait pas à votre goût…Que doit-on faire de toi, sale garce ! aboya t-il d’un ton menaçant.


Je m’approchais de Mathéo pour lui toucher le bras et qu’il fasse quelque chose qu’il pourrait regretter plus tard à tête reposée mais moi je ne me privais pas pour faire sortir la colère qui était apparue en moi pour la première fois de ma vie. Elle était allée trop loin ! Je me dirigeais sur elle à grande enjambée et je la giflais de toutes mes forces. Je n’avais jamais giflé personne mais là, de enfants étaient en cause.


-          Comment oses-tu venir ici ?? Ce lieu sert de planque pour sauver la vie de tous ces enfants ! J’en ai la charge et tu viens comme un ouragan, blessée, ici !? Tu aurais pû être suivi ! ça se trouve tu as été suivi ! Je te jure que si un seul de ces enfants est tué, ou même blessé par ta faute, je te tuerai moi-même ! Est-ce clair ?? J’ai ces enfants sous ma protection et personne, tu m’entends bien ?? personne même pas ma mère ne m’empêchera de faire ce que je dois faire ! Un cheveu, un seul cheveu sur la tête de ces enfants n’est abîmé, je t’envoie en cadeau aux moldus et crois-moi, je n’hésiterai pas une seule minute ! Je dois te ressembler sur ce point Victoria, sois fière ! Que ça te plaise ou non, ici, tu n’es rien. Juste une vieille sorcière remplie de haine et qui veut se venger des moldus qui ont essayé de la tuer. Tu veux te venger ?? Soit !! Fais-le ! Mais tu n’entraîneras pas mes enfants dans cette histoire ! Ici, ils sont en sécurité pour le moment, ils mènent leur vie comme ils le peuvent et ils ont des exercices de défense, alors laisse moi travailler ! Je sais ce que je fais. Que je ne te vois pas ramener tes salles pattes dans les différentes activités des petits. Tu ne leur enseigneras rien. Tu ne leur parleras pas. Tu ne les regarderas même pas ! Ici, j’ai des enfants de tout sang et de toutes origines ! J’ai même des enfants moldus, eh oui, chère Victoria, des moldus, ici ! Ils sont la bienvenue, ce ne sont que des enfants, nom d’un franklin ! Ils sont innocents et ils n’ont rien fait ! et tu arrives en disant que tu veux tous les tuer ?? Tous les moldus ne veulent pas notre mort ! Fais la part des choses ! Pas de magie noire ici, pas de haine. Nous vivons ensemble, sang pur, sang mêlé, enfants sorciers de parents moldus et même moldus, et c’est non négociable ! Tu ne remercies jamais pour ce que les autres font pour toi ! Tu ne nous as même pas remerciés de t’avoir soigné, tu n’as fait que de te plaindre et bien, j’en ai marre ! C’est fini ! Et le sort impardonnable imperium a été la gouute d’hydromel en trop et la menace d’un autre, Doloris, ne passe pas ! Sur ta propre fille ! Tu as de la chance que j’aime trop mon mari et que je ne veux pas qu’il devienne un meurtrier à cause de toi ! Si cela avait été quelqu’un d’autre, je n’aurai pas hésité !


Je respirais un bon coup et me calmais pour finir.


-          Maintenant, tu vas aller t’excuser auprès de Lord et Lady Olianov pour le boucan et tes manières désolantes car on est chez eux ici, pas chez toi, mets-toi ça dans la tête ! Personne n’est sous ton joug et personne ne t’obéira. Ça te convient, tu peux rester en ne te mêlant de rien sinon tu pars, tout de suite !


Revenir en haut Aller en bas
Jason Eiwaz

Jason Eiwaz


Date d'inscription : 14/06/2016
Messages : 53

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyVen 10 Jan - 19:38

L'Ordre de la Salamandre venait de renaître de ses cendres, il y a quelques jours. N'étant plus que deux, Stan et Azar n'avaient plus la foi de continuer ce que Nelson Eiwaz avait créer avec l'aide de ses amis. Mais cette nouvelle génération leur avait redonner espoir et malgré le passé ténébreux que ce groupe avait pour réputation. Ils avaient décidé comme même de recréer ce groupe et poursuivre l'œuvre que son fondateur souhaitait lui donner. C'est à dire, protéger les innocents et combattre le mal. A vrai dire, le mal rodait partout à présent … Nombreuses étaient les trahisons entre Sorciers et Moldues, on ne savait plus à qui pouvoir se confier dans ce Chaos. Les gens devenaient méfiant et limite personnel pour leur intérêt. C'était une guerre totale à la limite de devenir mondiale vu le mouvement que cela prenait.  

Alors que Jason était dans les sous sols du Manoir des Eiwaz. Il était assis par terre dans le noir en train de fumer un cigare. Ce dernier étant pensif, il se posait beaucoup de question sur les choix qu'il avait pu faire. Si c'était une bonne idée d'avoir refonder la Salamandre, si c'était une bonne idée d'être revenu parmi le monde des Sorciers alors qu'il était bien à New York avant que Sylvius vienne le voir. Si c'était une bonne idée qu'il soit avec Malory en couple car après tout cela ne faisait pas si longtemps que cela qu'ils étaient ensemble et qu'au début il se détester. Tout s'embrouiller dans sa tête depuis qu'il s'était disputer avec son meilleur ami Mehdi sur le fait qu'il était beaucoup trop proche avec la Ministre de la Magie des Etats-Unis. Lui et le Serpentard étaient en froid au point que Jason avait refuser d'accompagner Mehdi en mission. En effet, lui et sa famille partaient pour Pré-au-Lard pour aller apporter leur soutien à Malory et Théodora. Ils répondaient à l'appel de Fumsenk et du patronus de la Sorcière Olianov.

Quand soudain Bassey, le conseiller de la famille Eiwaz descendit dans les sous sols pour venir annoncer une nouvelle :


" Monsieur ! L'Ordre est partie en mission ! "

L'arrière de sa tête coller contre le mur et le regard fixant le vide, Jason se contenta de répondre brièvement :

" C'est bien ! Ils n'ont pas besoin de moi ! "

Face à cette réponse inattendu, le singe se dirigea face à Jason pour lui répondre et il regarda le jeune homme derrière ses lunettes sur le coin de son nez :

" Jason ! La Famille ! C'est là où la vie commence ! Et l'Amour ne finit jamais ! "

Marquant un temps de pose, le singe continua avec sa voix calme et grave :

" Vous n'êtes plus seul à présent ! Vous avez encore votre sœur Leah ! Vous avez votre ami Mehdi ! Vous avez votre bien aimée Malory ! Vous avez moi à présent ! Et puis les élèves vous aiment "

Ne réagissant toujours pas, Bassey continua de lui parler avec philosophie :

" La Famille ! C'est comme les branches d'un arbre ! Nous grandissons tous dans directions différentes ! Mais nos racines ne font qu'un ! "

Face à toutes ces belles phrases, Jason se mit dans une colère et envoya balader son conseiller :

" Foutaise tout ce que tu dis ! Qu'ils se demerdent à présent ! "

Puis le Sorcier partit en furie en remontant les escaliers pour rejoindre ses quartiers pendant que le singe lui cria :

" Pour protéger sa Famille ! Il faut qu'on arrête le loup ! Et pour battre le loup ! Il faut un loup ! Ils ont besoin de vous Jasoooonnnnn ! "

Jason entendant les paroles de son conseiller hurla de rage dans les couloirs du manoir. Frappant un coup de poing les murs à certains moments. Il était dans une colère monumentale et monta les marches deux à deux au point de regarder personne quand il montait les marches. Les gens qui le croiser pouvait voir la haine dans son regard. Claquant la porte de sa chambre à en faire trembler la tapisserie. Il faisait les cents pas dans sa chambre et bouillonnait au fond de lui. Son médaillon tremblant à la limite qu'il se transforme en dragon. Quelque chose l'apaisa et attira son regard. S'approchant pas à pas de ce qu'il bougeait au loin sur son mur. Il regarda la photo et pu voir son père et sa mère accompagnés de jeunes femmes ressemblant beaucoup à Nelson. Il pu voir également qu'il y avait des membres de la Salamandre comme Azar, Iorveth, Zoltan etc... Mais à sa grande surprise il pu voir sa tante Céline Chantress et son parrain Sylvius Césarius avec sa femme. Quand soudain les paroles de Bassey résonnait dans sa tête en même temps qu'il regardait chaque visage, Jason réagit en lâchant un petit sourire  :

" Putain ! merde … ! "

Fouillant alors dans les affaires de son père, il mit quelques affaires à lui et s'apprêta à sortir en vitesse. Lorsque Fumsenk l'appela en chantant. Se retournant vers l'oiseau de sa famille, il pu voir une épée sur son lit scintillant et brillant à la lumière de la lune. Prenant le katana en main, il compris que c'était celui de son oncle Sylvius. C'était donc un signe et le destin n'attendait que lui.

Descendant les marches de grand escalier pour se diriger vers l'entrée du Manoir. En bas de celui-ci, se trouver Bassey en plein de milieu en train de le regarder avec le sourire. En effet, le singe pouvait y revoir son père en lui. Le Sorcier était habillé d'un jean noir accompagné d'un débardeur de la même couleur. Mais ce qui lui faisait énormément plaisir. C'est que Jason avait le plastron de son père par dessus son débardeur. Ce fameux plastron noir avec une Salamandre dorée au milieu entourée de petit brochure fines. Equipée d'une Katana de son oncle dans le dos, il répondit à son conseiller d'une voix sérieuse :


" Je te prie de m'excuser Bassey ! C'est toi qui a raison ! Tu es mon ami ! Tu es de ma Famille ! Et une Famille se protège les uns aux autres ! Je vais donc aller protéger les miens ! "

Souriant et mettant sa main sur l'épaule de Jason, ce dernier rajouta une dernière phrase avant d'enlacer le singe :

" Puis botter des culs aussi ! "

Bassey lui répondit qu'une seule chose :

" Faites attention à vous ! Et revenez tous vivant ! "

Sortant du manoir Eiwaz, Jason toucha la petite pierre noire sur son collier et se transforma en Dragon pour partir en direction de Pré-au-Lard. A présent, il contrôler mieux son pouvoir grâce à la Ministre de la Magie mais surtout Shona Godolphin qui lui avait beaucoup appris.

~ Quelques heures plus tard ~

Dans le ciel, alors que le soleil commençait à peine à se lever. Le dragon pouvait voir au loin du mouvement. Avec la vision du lézard aux grandes ailes, Mehdi et sa fratrie étaient en plein combat face à des moldues qui riposter sur eux. Se cachant derrière des maisons et faisant de la contre attaque. Le Sorcier pu voir également que des Centaures étaient en leur compagnie pour les soutenir face aux moldues. Si leur volonté était infaillible et se battaient comme des lions. Ils étaient malheureusement en nombre réduit et ne pouvait rien faire face à autant de personne.

C'est au moment que les chars d'assauts commencèrent à rentrer dans le jeu avec une centaine d'hommes voir plus que Jason décida de faire son entrée en jeu. Hurlant avec un énorme cri de dragon :


" Rrrrrrrrrrooooooooooooooaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrr "

Des flammes surgirent de son museau coupant l'entrée de Poudlard menant sur le château de Sorcellerie et il vint se plaquer au sol reprenant sa forme humaine. Regardant Mehdi en tournant la tête et lui faisant un clin d'œil pour lui faire comprendre que les renforts étaient là. Un moldue aux cheveux blonds et ayant les dents pourrie poussa ses hommes en hurlant et s'avança vers eux avec un sourire narquois :

" Tes qui toi ? Et tu crois faire quoi à dix mecs !

Jason aligner avec ses amis de la Salamandre face à lui plus loin. Se contenta de lui répondre d'une façon dur:

" Moi je suis Jason Eiwaz ! "

Quand soudain une ombre d'une femme apparu à ses côtés, il s'agissait de la Ministre de la Magie des Etats-Unis accompagnés d'une centaine de Sorciers du Ministère :

" Et eux ! Ce sont mes potes ! Nous venons te tuer fils de pute ! "

Mehdi n'en revenait pas et ceci le motiva plus que jamais puisqu'il sonna la charge pour l'attaque. Jason courant en direction des hommes armés esquiva leur nombreuses attaque aux corps à corps et ses gestes avec le Katana de son oncle était rapide et précise. Tombant les uns après les autres, les cours de Sylvius portaient ses fruits. Alors que le combat faisait rage. Le jeune Eiwaz donnait toute la haine qu'il avait en lui. Sa baguette dans la main et son épée dans l'autre. Il ne faisait aucun cadeau et prenait sa revanche sur la défaite cuisante qu'ils avaient subit. Bassey avait raison, il était le loup et il comptait bien unir sa meute dans le sang de l'ennemie.

Mais à un moment Jason fut déstabilisait lorsqu'il tomba sur un visage familier. Malory était en face de lui et elle le regarder pendant qu'elle tuait des humains. Elle n'avait pas changer malgré la fatigue et que son visage était plus aguerrir. Elle restait magnifique à ses yeux et son cœur battait lorsqu'il la regardait. Alors qu'il s'approchait d'elle, le blondinet se mit entre eux, arme en main prêt à tirer sur celle-ci. Lorsqu'une odeur vint au narine de Jason ou plutôt au narine du dragon sommeillant en le Sorcier. Il sentit l'odeur d'alcool du blond sur Malory et compris très vite qu'elle s'était faite violé par ce dernier. De colère, l'hériter de la famille Eiwaz lui lança de façon brutale son Katana en direction de la poitrine. La lame venant s'enfoncer au trois quart dans son thorax et le chef militaire des moldues tombant au sol à genoux. Eiwaz s'approcha de lui de façon déterminer prêt à en finir avec lui mais Malory tenta de lui dire quelque chose. Quand d'un coup le blond avec la bouche vomissant de sang et ayant des difficultés à parler se mit à parler comprenant qu'ils étaient ensemble :


" Je l'ai b...…. ! "

N'ayant pas eu le temps de finir sa phrase, Jason sortie la lame de son corps et lui trancha la tête d'un geste  vif. A ce moment là, c'est comme si le temps s'arrêter puisque Théodora était à côté avec Mehdi et il venait de comprendre ce que Malory avait vécu.
Revenir en haut Aller en bas
Victoria G. Vénatores
Mort
Victoria G. Vénatores


Date d'inscription : 07/06/2016
Messages : 17

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptySam 11 Jan - 22:28

J'étais fière de ma connerie. Connerie? Non, je ne faisais que dire ce qui était. Je vous le redis, je n'ai aucun problème avec les moldus. J'ai un problème avec les personnes qui me font du tort, hors, là, ils m'en ont fait, d'où l'utilisation dès à présent de ma part, de l'expression Sang de Bourbes. Donc, pour resituer les choses, je me trouvais en Russie, chez les Olianov, devant les élèves de la maison Serdaigle et devant les hôtes. J'expliquais ce qu'il m'était arrivé et ce que j'avais l'intention de faire lorsque Philoména, ma fille, se jeta sur moi pour essayer de me faire taire. Quelle idée ! Bref, j'étais bien moi, avec mon Impero sur ma fille Philoména et parlant sans aucun filtre, mais bien entendu, son suceur de sang de mari n'était jamais bien loin. Je le sentis pointer sa baguette sur mon dos et me murmurer à l'oreille:

- Victoria… vous êtes peut-être déjà mourante mais je peux vous vider de votre sang toute de suite, aussi lentement que possible pour que vous sentiez ce qu’il va se passer quand vous irez dans l’eau delà. Donc je vous conseille vivement de retirer ce sort avant que je ne puisse plus contrôler la colère qui se propage en moi.

Je pris tout mon temps. J'adorai mettre les gens hors d'eux mêmes. Je réflechis puis, levant le maléfice que j'avais jeté sur ma fille, je me tournais doucement et lentement vers lui, souriante, provocante, sensuelle, enjôleuse, plaqué contre son corps et lâchant un petit - Oups... ! - Je sentis sa main me saisir avec force par le poignet et me retirer la baguette, avant de me passer un bracelet pour m'empêcher de l'utiliser. Il commença à me tirer hors de la grande salle et je dis - Excusez moi les enfants, mamie Vicky a fait des bêtises et le méchant vampire va la punir... HAHAHAHAHA !!! - Il se tourna vers moi pour me foudroyer de son regard perçant, regard que je soutins sans peur. Il avait dit lui même que je risquais de trépasser à n'importe quel moment, je n'avais rien à perdre s'il me tuait, au contraire, cela serait une mort pour le moins très érotique !

Il me jeta avec violence sur une chaise dans une petite pièce et je voyais tous ses muscles se raidir et les battements de son coeur battre dans toutes ses veines, même celle du front.

- Faites attention Mathéo, ne faites pas un AVC ! Je ne pense pas que Philoména voudra passer le reste de sa vie à s'occuper d'un légume !

Philoména apparue soudainement dans la salle et ferma la porte à clés.

- Va falloir être convaincante Victoria, car tout ce que j’ai envie de vous faire à l’heure actuelle ne serait pas à votre goût…

- Ah oui vraiment? Je suis prête à parier le contraire ! Grrr ! - Rigolais-je. Puis, reprenant mon sérieux et me balançant sur la chaise telle une enfant - Pffff... Vous voulez quoi, des excuses? Je n'en ferai pas. - La réaction ne se fit pas attendre, Philoména s'approcha de moi en furie et me gifla. Ma fille, le sang de mon sang venait de me gifler. - Ohohohohohoh ! - explosais-je de rire. - Tu oses frapper ta mère? Sache qu'aucun de mes enfant ne me ressemble plus que toi !

- Comment oses-tu venir ici ?? Ce lieu sert de planque pour sauver la vie de tous ces enfants ! J’en ai la charge et tu viens comme un ouragan, blessée, ici !? Tu aurais pû être suivi ! ça se trouve tu as été suivi ! Je te jure que si un seul de ces enfants est tué, ou même blessé par ta faute, je te tuerai moi-même ! Est-ce clair ??

- Miaou ! - répondis-je par provocation avant de repartir en fou rire.

- J’ai ces enfants sous ma protection et personne, tu m’entends bien ?? personne même pas ma mère ne m’empêchera de faire ce que je dois faire ! Un cheveu, un seul cheveu sur la tête de ces enfants n’est abîmé, je t’envoie en cadeau aux moldus et crois-moi, je n’hésiterai pas une seule minute ! Je dois te ressembler sur ce point Victoria, sois fière ! Que ça te plaise ou non, ici, tu n’es rien. Juste une vieille sorcière remplie de haine et qui veut se venger des moldus qui ont essayé de la tuer. Tu veux te venger ?? Soit !! Fais-le ! Mais tu n’entraîneras pas mes enfants dans cette histoire !

- Vous entendez ça Mathéo? "Ses enfants" ! HAHAHAHAHAHA ! Vous faites vraiment mal votre devoir de mari ! Qu'attendez vous pour l'engrosser? Vous n'arrivez plus à bander?! HAHAHAHAHAHAHAHAH !

Mathéo avait les yeux désorbités. Je voulais voir jusqu'où il irait mais Philoména continua sur sa lancée, m'empêchant de voir les vrais capacités de mon beau fils.

- Ici, ils sont en sécurité pour le moment, ils mènent leur vie comme ils le peuvent et ils ont des exercices de défense, alors laisse moi travailler ! Je sais ce que je fais. Que je ne te vois pas ramener tes salles pattes dans les différentes activités des petits. Tu ne leur enseigneras rien. Tu ne leur parleras pas. Tu ne les regarderas même pas ! Ici, j’ai des enfants de tout sang et de toutes origines ! J’ai même des enfants moldus, eh oui, chère Victoria, des moldus, ici ! Ils sont la bienvenue, ce ne sont que des enfants, nom d’un franklin ! Ils sont innocents et ils n’ont rien fait ! et tu arrives en disant que tu veux tous les tuer ?? Tous les moldus ne veulent pas notre mort ! Fais la part des choses ! Pas de magie noire ici, pas de haine. Nous vivons ensemble, sang pur, sang mêlé, enfants sorciers de parents moldus et même moldus, et c’est non négociable ! Tu ne remercies jamais pour ce que les autres font pour toi ! Tu ne nous as même pas remerciés de t’avoir soigné, tu n’as fait que de te plaindre et bien, j’en ai marre ! C’est fini ! Et le sort impardonnable imperium a été la goutte d’hydromel en trop et la menace d’un autre, Doloris, ne passe pas ! Sur ta propre fille ! Tu as de la chance que j’aime trop mon mari et que je ne veux pas qu’il devienne un meurtrier à cause de toi ! Si cela avait été quelqu’un d’autre, je n’aurai pas hésité !

- Oh assez de balivernes Philoména ! - dis-je fatiguée de l'entendre. - Pensais tu réellement que j'allais abuser du Doloris sur toi ! Tu es folle? Je ne souhaiterai pas ce sortilège même à ton crétin de père s'il était toujours parmi nous ! Mets toi bien dans le crâne ma fille, que je ferai ce que je voudrai quand je voudrai, où je voudrai avec qui je voudrai, et ni toi ni ton suceur de sang allez m'en empêcher. Ce n'est pas moi l'ennemie ici ! Ces enfants ne sont pas prêts et ne le serons certainement jamais avec toi ! Tu es nulle ! Tu es faible! Dans la nature, les êtres comme toi son sacrifiés, éjectés du nid et de la meute ! Pas de pitié pour la médiocrité ! Tu fais quoi à part lire des bêtises dans les étoiles?! Tu m'étonnes que je t'ai abandonné ! A quoi bon nourrir une bouche inutile?! - Philoména devenait rouge de rage, contenant son envie de pleurer, j'y était presque. - Et heureusement que tu es jolie ma chérie, car c'est la seule chose qui te sert et te fait avancer !! - J'avais mes mains derrière le dossier de la chaise tandis que je gueulais sur Philoména. Je crachais tout mon venin. Son mari Mathéo en eu assez, il s'approcha de moi pour m'en coller une mais je transplannais derrière eux. - Avez vous oublié cher gendre que je possède le don de na pas utiliser de baguettes pour faire de la magie? Regardez dans votre poche ! - Il mit sa main dans sa poche et en ressortis le bracelet qu'il m'avait mis pour m'éviter l'usage de ma baguette. Du bout de l'index, me baguette sortir de son autre poche et vint se poser dans ma main. S'en était trop pour Philoména. Elle commença à convulser et tomba à genoux, toute tremblante. Mathéo se précipita vers elle tandis que je regardais debout la scène. J'avais atteint mon but.

Mathéo me hurla quelque chose mais je ne l'entendais plus. La maison se mit à trembler du sous sol au toit, les vitres de la pièce où nous étions se brisèrent et un tourbillon de vent et de neige commença à tourner autour de Philoména. J'ouvris mes bras en position de Christ et une substance électrique noire et lumineuse commença à émaner de mon corps. se mêlant au tourbillon, les objets s'arrachaient du sol et me percutaient mais sans me faire mal. Ils me traversaient. Je n'étais plus de la matière, je n'étais plus un être, je n'étais plus que poussière, un hologramme.

Mathéo essayait de protéger Philoména comme il pouvait, se prenant tous les meubles et les tapisseries, les morceaux de plafonds qui volaient dans la chambre. Je m'approchais, et Philoména leva la tête vers moi. Ne disant rien et échangeant un simple regard, je cru voir qu'elle avait compris ce qui se passait. J'étais entrain de mourir et elle reprenait ma puissance. Cela prit du temps pour qu'elle atteigne le maximum de ses capacités émotionnelles pour reprendre mes pouvoirs, et en venir à bout de moi.

Je levais mes bras au ciel, et je disparu dans ce tourbillon qui sortit de la pièce explosant un mur entier, manifestant la violence dont j'avais fait preuve de mon vivant. Il ne restait de moi plus que ma baguette par terre, une photographie de moi avec tous mes enfants, et une flaque de sang dans laquelle était écrit "Merci ma fille".


Le règne de terreur de Victoria Gardella Vénatores prit fin ce jour là, passant ses pouvoirs à la seule de ses descendants qui le méritait réellement. Elle avait tout prévu. Elle était maintenant libérée de ce monde qui ne la comprenait pas.
Victoria, un génie du mal.
Revenir en haut Aller en bas
Mehdi Bakkali
Directeur de Serpentard
Mehdi Bakkali


Date d'inscription : 14/09/2014
Messages : 214

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyDim 12 Jan - 0:51

Nous y voilà, trois sorciers, 5 centaures, au beau milieu de Pré au Lards, et pas une autre âme autour de nous. Etait-ce un piège, une ruse, ou nous arrivions trop tard? Je me le demandais. Une lumière sortait depuis le Pub d'Abelforth. C'était la seule lumière qu'il y avait dans tout le village. Doucement, Goya Thaddée et moi nous sommes approchés et avons regardé par une fenêtre. Nous n'avions jamais rien vus d'aussi désolant. Le vieux pub était jonché de moldus, dormant sur les tables, à même le sol, quelques uns étaient entrain de se bourrer la tronche à la bieraubeurre... Affligeant.

D'autres lumières à l'étage supérieur étaient allumées. Mais nous ne pouvions pas prendre le risque de grimper pour voir ce qu'il s'y passait. D'abord parce que nous n'en avions plus l'âge, et ensuite nous ne voulions même pas imaginer ce qui s'y passait car l'étage supérieur était rempli de chambres.  

- Si Théodora et Malory sont ici, je ne veux même pas supposer ce qu'elles sont entrain de faire.... - dit Thaddée.

Mais soudain, une voix masculine se fit entendre derrière nous.

- Hé vous ! - Nous nous retournâmes en direction de la voix - Qui êtes vous?

La personne qui s'adressait à nous était armée d'un fusil. Je demandais à mon frère et à ma soeur de garder leur calme. Thaddée, le plus diplomate de nous trois prit la parole.

- Nous sommes des voyageurs égarés. Nous recherchons un endroit où nous reposer avant de reprendre notre route, mais nous savons qu'il y a des sorciers et nous ne nous sentons pas en sécurité  seuls. Ces monstres pourraient s'attaquer à nous.

Le bonhomme en face de nous s'approcha. Il avait une belle gueule étrangement. Il nous jugea et s'arrête au niveau de Goya qu'il contempla de la tête aux pieds avant de dire - Entrez là dedans, il y a une chambre de vide pour la demoiselle. Vous autres, débrouillez vous avec les soldats pour trouver une place où pioncer.

Nous entrâmes. Tous les sangs de bourbes nous regardaient. Ils étaient entrain de violer Goya du regard. Depuis combien de temps n'avaient ils pas eu de relations sexuelles pour baver autant en présence de ma sœur? Je ne m'inquiétais pas pour elle, elle était plus dangereuse que Thaddée et moi réunis. Elle suivit le soldat qui nous avait interpellé jusqu'à une chambre à l'étage, et celui ci redescendit. Les soldats commencèrent à nous poser des questions sur nous, d'où nous venions, où allions nous et que faisions nous en territoire ennemi... Je laissais Thaddée répondre à toutes ces questions assommantes tandis que je regardais autour de moi.

Environ 50 hommes au rez de chaussée, tous armés, au fond de la salle, des munitions, sans oublier les personnes à l'étage, ils devaient facilement être 200. Arriva un moment où ils éteignirent toutes les lumières, voulant dormir.  Thaddée et moi étions éveillés. Jamais nous ne partagerions le même toit pour dormir avec des sangs de bourbe, même pas sur le sol ! Mais nous entendîmes des pas se précipiter vers les escaliers. Ils se voulaient silencieux mais c'était raté. J'avais ma petite idée de qui était la personne et ce qu'elle était montée faire, mais je ne fus pas surpris lorsque j'entendis son cri et le fracas d'une fenêtre de l'étage réveillant tout le monde d'un coup. Nous sommes tous sortis voir ce qu'il se passait et Goya apparût à la fenêtre.

- AVADA KEDAVRA ! - Cria-t-elle et un éclair vert jaillit de sa baguette et vint mourir sur l'homme allongé sur le dos dans le froid, fracassé par la chute mais toujours vivant. Thaddée et moi nous regardâmes, et nous échangeâmes un regard avec les moldus qui d'un coup se mirent à hurler et commencer à prendre leurs armes.

- Allez ! - Criais-je. - Thaddée et moi sortîmes nos baguettes et nous prîmes notre envol de mangemorts. Goya fit de même et sortit par la fenêtre dans un nuage de fumée noir et nous nous cachâmes derrière La Cabane Hurlante. Nous commençâmes à placer des boucliers protecteurs autour du bâtiment et nous entrâmes dedans pour rester protégés. Thaddée envoya un Periculum pour prévenir de notre position les centaures. Ceux là arrivèrent au triple galop et traversèrent les protections pour se mettre en sécurité. L'alerte avait été donnée. Toutes les maisons et boutiques s'allumèrent et des centaines de cris commencèrent à retentir en approche de la cabane hurlante. Ils étaient nombreux, trop nombreux pour nous seuls. Ils nous visaient et tiraient avec leurs armes, tandis que nous faisons le maximum pour garder en place les protections. Mais en vain, les tirs étaient trop nombreux. Les boucliers cédèrent et les centaures virent se protéger à l'intérieur de la cabane tandis que nous jetions des sortilèges et des maléfices de par les fenêtres. Les centaures tiraient leurs flèches. Nous tuions et blessions quelques'uns mais il en venait toujours plus. Combien étaient -ils?!  

Pas je ne sais quel miracle, nous avions tenu jusqu'à l'aube, épuisés, mais sur le point de craquer. Jamais nous n'aurions cru que nous finirions de cette manière. Tués par des sang de bourbes. Cela entacherait notre nom de famille pour l’éternité. Au point où nous étions, nous balancions à tort et à travers que des Avada Kedavra, espérant un jour en venir à bout.

Toujours debout mais à bout de forces j'entendis le rugissement d'un dragon. Nous levâmes tout nos têtes pour voir ce qui arrivait, et j'espérais voir arriver les Godolphins, mais ma surprise fut de taille lorsque je vis un dragon noir de 15 tonnes cracher des flammes au niveau du château. Le mastodonte approchais et se posa à terre dans un nuage de fumée et de poussière qui une fois dissipée laissa apparaître Jason. Il était venu.

Un blond assez grand de taille et plutôt fin prit la parole dans les rangs ennemis.  Il questionna Jason qui il était et celui ci  répondit.

- Moi je suis Jason Eiwaz. - Et soudain, la ministre de la magie américaine ainsi que des centaines de sorciers, d'aurors, de tireurs d'élite à la baguette et le reste des membre de l'ordre de la Salamandre apparurent. - Et eux ! Ce sont mes potes ! Nous venons te tuer fils de pute !

Je n'en revenais pas ! Encore 5 minutes avant je croyais ma vie finie, pensant à JannaLynn, Louise et au reste de la famille.

- CHAAAAAARRRGEEEEEEER !! - Hurlais-je. Le combat était une véritable boucherie. Entres les sortilèges et les bombardements et coups de fusil, nous étions plongés dans la confusion totale. Jason avait le Katana de Sylvius sur lui, comment se l'était-il procuré?  Aucune idée, tout ce que je peux vous dire c'est qu'il n'y allait pas de main morte à trancher des gorges. Goya redoubla de violence, submergeant l'ennemi dans une vague d'eau de mer et noyant un petit régiment. Thaddée se battait en binôme avec la ministre, Stanley déchirait des carotides... le chaos générale... Jetant des maléfices et essayant de gardant un œil sur tout le monde, je vis que Jason fût freiné dans son élan lorsqu'il vit apparaître une figure féminine. Je vous donne dans le mille. Malory était en face de lui. Et bien entendu, le sang de bourbes contre qui je me battait au corps à corps en profita pour me coller une bonne droite à l’œil qui me fit tomber au sol. Je n'étais pas doué pour les combat à main nue... J'eus le réflexe de récupérer ma baguette à temps, celui ci était sur le point de me tomber dessus avec une hache, mais je fût plus rapide et je l'enflammais avec un Incendio.

Je me relevais en vitesse, pour aller voir Jaosn et Malory mais le blond moldu se plaça entre eux, arme à la main, prêt à tirer sur mon amie. Je vis rouge, je me précipitais vers lui mais Jason se chargea bien avant moi de lui régler son compte. Il lança le Katana sur le sang de bourbe et celui ci tomba à genoux, du sang dégoulinant de ses babines. Le calme revenait, et les sorciers étaient vainqueurs cette fois ci. Une fois au niveau de Jason, j'entendis le moldu dire

- Je l'ai b...…. ! - Mais Jason lui avait décapité la tête d'un coup sec après lui avoir retiré le katana de la poitrine, et le moldu tomba raide mort à terre.
Mon amie Théodora vint se placer près de moi et je la pris dans mes bras. Je passais doucement ma main dans sa chevelure et sur son dos pour la rassurer en lui chuchotant que tout allait bien, que c'était fini.  Goya s'approcha de Malory et l'enlaça, comprenant ce qu'elle avait dû endurer. Nous avions tous compris. Mes deux amies avaient vécues un calvaire. Il était temps pour elles de rentrer à la maison.

Revenir en haut Aller en bas
Teodora Lawrence
Membre du Ministère
Teodora Lawrence


Date d'inscription : 17/08/2014
Messages : 56

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyMar 14 Jan - 0:55

J'avais réussis à entrainer Malory jusque dans notre placard à balais. Nous ne dîmes rien durant un moment, étant constamment surveiller. Mais à la relève de la garde nos langues ce délièrent vite.

- J’ai vu le regard de Blondinet et aussi de Monsieur Muscle. Ils vont trouver un moyen pour ce soir. Il n’y a pas de doute. La patrouille ne peut que confirmer que la mission est une réussite totale et nous aurons ce qu’ils nous ont promis. Tiens, elle me tendit une fiole, que je cachais précipitamment dans mon soutien gorge la ou ça ne serait déceler malgré les mains baladeuse de Mr muscle, c’est du veritaserum. Je ne peux pas t’expliquer comment je l’ai eu. Tu sais ce que ça veut dire ? Nous allons subir leurs assauts mais quand ils seront endormis, fais avaler quelques gouttes à Monsieur Muscle ; moi je me charge de Blondinet. Je ne peux pas les laisser avoir ce qu’ils veulent sans que l’on y gagne quelque chose. Prends et fais attention à toi.

Sans crier gare, elle m'embrassas. Le moment étais venu avec le courage de lionnes qui partent au combat. Je lui répondis en l'enlaçant, tellement fort, comme ci notre survie a toute les deux en dépendait.

Deux longues heures passèrent, et un messager vint nous chercher pour nous amener devant nos deux bourreaux.

- La patrouille est revenue et je vous félicite mesdemoiselles ! Vous avez mis une sacrée pagaille au village qui est maintenant nettoyé !  Je suis content de pouvoir vous compter dans nos rangs ! Ne nous en veuillez pas, nous devons être prudent durant la guerre s’exclama t-il ravi en parlant de nos conditions de « détention ». Sans rancunes ? C’est le jeu.

- Effectivement c’est le jeu déclara mon amie, avec surprise, sans aucune provocation.

- A notre collaboration ! Comme promis, nous vous avons préparé une chambre avec de bons lits, dans les anciens dortoirs, et un très bon repas vous attend. Venez, mangez avec nous. C’est un gage du début de notre collaboration et un cadeau pour votre éclatante réussite.

- Mais quelle générosité ! Dis-je en prenant le bras de Mr muscle et en lui souriant.

Un simple regard a Malo' et nous avions toutes deux bien compris que notre chambre communes ne nous servirais qu'as peu de choses. Nous fûmes entrainé par ces messieurs vers leur table ou tous pleins de victuailles était amoncelé. Le repas ce passa comme je l'avais prévue. Sans intérêt malgré les bonne victuaille revigorante mais fade. La main de Mr muscle n'avais cesser de me caresser la cuisse durant tous le repas sauf pour couper sa viande. Nous engloutîmes nos desserts, par la suite Malo' entrepris de nous excusez, prétextant, ou non c'étais la réalité qu'il nous fallait du repos. Ni une ni deux nous partîmes dans nos nouveau quartier.

Une fois dans le dortoir, nous échangeâmes quelques mots avant de nous coucher. J'avais mis la fiole donnée par mon amie sous mon oreiller, caler dans ma main. Je sentais Malory dans le même état de nerfs que moi. Nous attendions, attendions l'heure fatidique ou ils allaient venir nous chercher ou bien nous sauté dessus directement... A force de cogitation, mon cerveau finis par s'épuisé et s'éteindre...

*CLAC !*

La porte claquas:

- LAWRENCE DEBOUT ! On as besoins de vous on as trop de bléssés à l'infirmerie. Maniez-vous !

Je lui jetait un regard noir, serait les dents enfilait mes bottes ou je glissais la fiole de veritaserum.

- Moins fort, grognais-je, je ne suis pas seule as dormir dans cette chambre imbécile. Lui lachais-je en rassemblant mes cheveux en queue de cheval. Quelque boucle blonde s'échappais et retombais nonchalamment sur les côté de mon visage.

Si il y avais eu une attaque, la nuit promettais d'être longue et fastidieuse. Je sortais de la chambre sans un bruit, sachant pertinemment que Malory avait été réveillé. j'espérait que rien ne lui arriverait pendant la nuit... Je fis une halte par les toilettes pour chercher une place plus sur à la fiole... la botte étais le meilleur endroit pour le moment je réfléchirais en pansent les blessures. Je recommençais à suivre l'imbécile qui m'avais fait sortir du lit en plein milieu de la nuit.

Encore l'esprit embrumé je n'avais pas fais forcément attention à la route que nous prenions... Nous n'allions pas du tous à l'infirmerie. Nous étions monter dans les étages... nous allions vers les anciens appartements des professeurs. Je passais devant la porte de l'appartement ou j'avais vécu pendant plusieurs années... L'appartement ou j'avais aimé et ou j'avais été aimé... Je le refusais à y penser je ne devais pas, penser a Mat allais me déstabiliser dans mes objectifs. Il n'était plus... Tous du loins, je n'étais plus rien pour lui !

Après ces élucubrations de ma cervelle nous nous arrêtâmes devant une porte et mon accompagnateur ce tiras. La porte s'ouvrît sur Mr muscle en personne, en serviette de bain, ébouriffant ses boucles brunes. Il s'effaça pour me laisser entrer dans sa chambre. Je ne pouvais plus reculer. J'entrais calmement et avec tous le sang-froid que la situation l'exigeait ouvris la bouche.

- Je ne pense pas être au bon endroit, je vais retourner à l'infirmerie. Bon nombre de blesser m'attende. Je pense que ce stupide messager a du ce tromper. Je vais y aller maintenant.

Commencant a me faufiler vers la porte, il me bras la route en m'enlaçant et en chuchotant dans le creux de mon oreille.

- Il n'y a pas de blesser, il n'y pas eu d'attaque personne n'as besoins de toi en dehors toi !

Il commençait a me pousser vers son lit et semer des baiser dans mon cou. j'essayais de le repousser sans grands succès:

- Tu sais la journée as été longue... je préférerais aller me coucher a la place pour être en forme pour travailler demain.

- Tu auras le temps de dormir plus tard. et maintenant tais-toi.

J'émétais des sons mais ils étaient couverts pas ses baisers langoureux... Avant de perdre complétement mon âmes et toutes mes pensées. Je le stoppais nette et enlevais calmement mes bottes et mes chaussettes. A présent je n'étais plus que l'ombre de moi même. Plus aucune pensée ne me traversais. Malgré mes oppositions à ces acte, monsieur ne m'écoutais plus, j'étais sa proie et que je me batte ou non il m'aurait par la force. Je n'avais d'autres choix que de m'y soumettre et attendre que le temps passe. Au final la nuit fut longue et fastidieuse mais pas dans le sens que j'avais imaginé. A l'aube lasse de ses manoeuvre et épuisée par ses jouissance à répétition il s'endormit.

Avec toute la délicatesse dont je pouvais faire preuve je me débarrassais de son bras lourd qui m'empêchais de faire le moindre mouvement. Je restais nu pour ne pas attirer ses soupçons et attrapais la fiole de veritaserum. Je revenait à son lit ou Mr muscle dormait comme un bienheureux. Je me demandais si il pourrait encore ce regarder dans une glace après ce qu'il venait de me faire cette nuit là. Il avait du le faire a tant d'autre femme que oui surement qu'il réussirait a ce regarder dans un miroir. ces dernières pensées me firent froid dans le dos. Je ne pouvais être divertis par celle-ci il fallait que je reste concentrée. Il dormait la bouche entrouverte sur le dos ce qui allait me faciliter la tache pour lui faire boire ce sérum de vérité.

Je vidais le contenue de la fiole dans son gosier et me rallongeais a coter de lui, je tirais le draps sur moi et attendit qu'il ouvre les yeux.
Je me penchais sur le coté et lui dis:

- Alors qu'elle sera la suite des opérations?

- Tu veux tous savoir n'est ce pas, promet moi de ne rien dire alors.

Je lui souris tout en lui disant que je lui promettais de ne rien dévoilé de ce qu'il allait me dire tout en lui demandant de continuer.

- Pour la suite, nous allons aller nous installer a pré au lard, vous aller surement aller nettoyée d'autre village pris par les sorcier comme aujourd'hui. Ce que nous voulons c'est voir périr tous les sorciers et les sorciers qui ne se soumettrais pas à nous. Donc toi qui est une sorcière tu n'as rien a craindre, tu es sous ma protection et puis tu n'es plus une menace.

- Certes et après nous allons rester en Angleterre ou nous allons partir?

- Il faut déjà éliminer toutes la vermine de la grande bretagne, par la suite nous partirons surement exterminer le reste de l'espèces sur le reste du monde.

- Nous serons assez nombreux tu crois?

- Avec les armes nucléaires, les nouvelles technologies en matière d'armes que nous avons, tous les chars, les hélicoptères et les avions que nous avons a notre disposition.

Il ne fallait pas trop que je tire sur la corde il serait capable de sans souvenir demain. Mais je n'avais pas fais tous ça pour rien. Mon corps n'avait pas été souiller pour ce peu d'information. Il m'en fallait un peu plus tout en restant sur me garde.

- Crois-tu réellement que nous puissions gagner fasse a la magie et leur puissance magique ?

- Rien ne peux résister a notre technologie tu sais ! Tu n'as aucun soucis, dans peu de temps nous serons a nouveau seul, humain a régner sur cette nouvelle terre et puis notre maitre veille. Il réfléchit a une futur stratégie pour trouver et envahir votre ministère, si il tombe ce sera une grande victoire.

- Certe. C'est une bonne idée de faire tomber le ministère, l'angleterre du monde magique n'en sera que toute retourner...

Peu à peu les informations s'amenuisait et il se rendormis après un dernier assaut. Le sommeil finis par m'emporter, un sommeil agitée.

- Reveille toi belle endormi il va falloir aller travailler. Utilise ma salle bain si tu en as envie ou la tienne mais lave toi tu sens le sexe! On se demande ce que tu as fais cette nuit. Je dois y aller passe une bonne journée, dit mon bourreau en m'embrassant violemment et en partant en riant.

Une fois qu'il fût partis je me levais avec difficulté, me rhabillait et filais le plus rapidement possible de cette chambre de malheur ! Je croisait la porte de mon ancienne appartement... Ce fût la gouttes d'eau qui fis déborder le vase... J'accelerais le pas en direction de notre nouvelle salle de bain, j'entrais en trombes dans celle-ci et découvrit Malo'. Ses yeux bouffis et rouge m'indiquait clairement que les sévices que j'avais subit cette nuit par Mr muscles, elle les avaient aussi subit de la part de blondinet.

Elle me pris dans ses bras puis doucement avec des gestes calme elle m'aida à me déshabiller. C'étais les gestes d'une mère à son enfant. ce que nous partagions depuis le début de notre quête c'étais muté en un lien indemnisable. Nous n'avions plus besoins de nous parler, seul nos regards se croisant était nos mots. Mais cette fois ci c'est elle qui pensa les blessures visible. Elle me lavas délicatement, longtemps. Je n'étais plus que l'ombre de moi même. Malgré la petite préparation psychologique que je mettais faite avant, sentant les regards de monsieur muscle sur moi, je n'étais plus que l'ombre de moi même...

Après de longues as essayer de nous vidée de toute la noirceur de nos esprits ainsi que des marques et des odeurs de nos ravisseur nous sortions de la douche, la peau ridée, l'esprit un petit peu plus calme et épuisé. elle continuas ses soins en e sachant et en me rhabillant. Elle connaissait tellement mes habitudes qu'elle choisit les vêtements les plus confortable. Ceux qui serait sensé me réconforter. Nous n'eûmes pas le temps d'échanger sur nos découverte. Il n'étais pas question d'aborder le sujet de la nuit d'horreur qui venait de se produire, nous le savions et l'une et l'autre. Quelqu'un frappa a notre porte nous informant que nous quittions Poudlard pour nous installer a Pré au lard. Malo' lui fis un signe d'acquiescement et refermas la porte.

Nous fîmes nos affaires, je gardais simplement, mes cigarettes et ma baguette sur moi. Nous partîmes une heure plus tard pour pré au lards tout étais bien silencieux. Beaucoup trop a mon goûts... Je pouvais réfléchir. La douche avait rallumer mon cerveau qui aurait mieux fais de rester éteint... Comment est ce que j'avais pus tomber dans le piège de monsieur muscle hier soir ? Comment avais-je pus être assez idiote pour tomber dans le panneau et encore plus pour avoir laisser mon amie seule sans autres protection que la sienne... Je m'en voulais de l'avoir abandonné de la sorte. J'avais une telle rage en moi, je voulais nous protéger toutes les deux et j'avais échoué je n'avais réussis à protéger ni l'une, ni l'autre...

Une fois arrivée a Pré au lard nous fûmes installer dans une des chambres de l'auberge des trois balais. La suite ne fût pas bien brillante. Rangement d'affaires, patrouille dans la ville, un nouveau diner avec nos imbéciles de geôliers, Malory toujours au coté de ce satanée blondinet, malgré mon dégoût pour lui il n'étais pas répugnant pour tous le monde avec ses yeux d'acier et son sourire blancs immaculé je m'imaginais bien lui pesant quelques dents. à la fin nous ne fîmes pas prier pour retourner dans notre jambes. J'avais besoins de repos. Je savais que cette nouvelle nuit allais nous apporter la même chose qu'hier, il fallait que je dorme.

Je fus réveiller par un baiser sur le front de Malo' à son sourire qui se voulait rassurant je savais qu'elle allait rejoindre par obligation blondinet dans sa couche. Une fois sortis je ne pus retenir quelque larmes pour mon amie. Je ne pouvais rien faire j'étais si impuissante que je me dégoutais moi même... M. Muscle arrivant a son tour dans notre chambre je fis semblant de dormir, essuyant mes larmes dans mon oreiller sans broncher. Il me rejoint dans mon lit et se fut le début d'une nouvelle nuit de solitude.

Je me réveillait le lendemain dans mon lit par un claquement de porte, c'étais Malo' qui rentrais de sa malheureuse escapade nocturne, je filais vers elle et la serrais fort. Nous allâmes ensemble prendre notre douche. Puis nous fûmes convoqués par les deux abrutis.

Y aller d'un pas trainer, coller l'une a l'autre nous apprîmes que la mission qui devait nous être confier le jour même était annulés, un fâcheux contre temps en étais la cause. Pour ne pas nous ennuyés nous étions assignée au ronde. Toutes les deux pour plusieurs heures. Sans demander notre reste nous filâmes dans les rues de pré au lards. heureuse et soulager d'échapper a leurs emprise nous parlions de tous de riens surtout de rien. Je fumais clopes sur clopes et j'avais comme objectifs de me saouler la gueule le soir même pour éviter de me souvenir de ce qui ce passerais la nuit arrivant. Lorsque j'émis l'idée a Malo' je ne pus m'empêcher un petit rire et elle non plus ce n'étais pas une si mauvaise idée. Nous nous étions arrêter sur banc dans une petites rue près du pub d'Alberforth. Après avoir imaginer notre petite tactique pour la beuverie du soir. Nous retournâmes vers les trois balais, nous avions passer notre matinée a dormir et notre après-midi a patrouiller, une bonne restauration étais de mise !

Une nouvelle soirée en compagnie de nos bourreau et de l'état major, mais cette fois ci avec avec beaucoup plus de bière de vin dans nos verre. Nous étions saoul l'une comme l'autre avant la fin du dessert. Mr muscle me fit savoir qu'il n'y avait aucune raison pour moi de monter dans ma chambre et que je venais directement avec lui. L'alcool aidant je ne fus pas aussi crisper que les dernière fois, c'étais toujours aussi désagréables, je me dégoutais toujours autant mais je ne me sentais plus vidée a chaque assaut de sa part. J'espérais que pour Malo' c'était la même chose...

Ce fut ce moment la que choisis un novice pour débarquer en trombe dans la chambre de Mr muscle. Il se retiras de moi et a ma plus grande surprise j'hurlais:

- NON D'UN FRANKLIN ! C'EST PAS DIEU POSSSIBLE ON T'AS JAMAIS APPRIS AVANT D'ENTRER ENFOIRER ! J'AIMERAIS BIEN QUE TOUTES LA POPULATION QUI VIT ICI NE ME VOIT PAS COMPLETEMENT NUS !

- Ma douce voyons calme toi... Même si tu n'as pas tord ! Qu'est ce que tu veux imbécile?

Je grognais tirais le draps sur moi et me tournais de sorte que l'idiot ne vois pas toutes les formes de ma féminité.

- Je suis désolé chef mais on est entrain de se faire attaquer par surprise par des sorciers et des créatures mi homme, mi cheval.

Je bougonnais dans ma barbe:

- Ça s'appelle des centaures imbécile.

J'entendis la porte ce refermé et me tournais, monsieur muscle affichait un visage bien plus sérieux qu'il y a quelque minutes et commençais a s'habiller. Me lançant un regard, je roulais des yeux comprenant que moi aussi j'allais devoir aller au combat. Je me rhabillais en prenant mon temps. La cavalerie étais venue nous chercher. Mais qui? Je sentis un regains d'énergie me parcourir et une fois parer on combat foncait vers ma chambre prétextant une folle envie d'uriner pour fausser compagnie a mon bourreau. J'attrapais mon sac ainsi que celui de Malo' espérant la retrouver dans se chaos... J'espérais bien ne pas jamais revoir cette ordure et retrouver une vie paisible même si elle serait parsemé de cauchemars...

Je filais vers la salle du rez-de-chaussée ou j'aperçus mon amie:

- Malo' ! je lançais son sac ou j'avais rassemblé toutes ses affaires et sautais la rambarde. L'heure étais venue de montrer nos talents à ces enfoirés ! Un sourire sadique ce formas sur mon visage, je dégainais ma baguette et plongeait dans la mêlée, lançant des sorts jetant des coups de pieds, de poings a tous vas. Je vis Malory être retenue par Blondinet alors que je m'apprêtais a lancer un sort elle lui crochas un énorme coup de coude qui lui petas les dents... feignant l'excuse du *je t'ai pris pour un de ces satanés sorcier* elle réussis a ce dépêtré et disparus.

Le calme revint petit a petit alors je sortis... des flammes s'échappait de beaucoup des maison alentours. Puis j'aperçus Jason avec son Katana enfoncé dans le ventre de blondinet pour finir par le fendre en deux... au moins sa mortétait un soulagement ! Sans m'en apercevoir je m'étais rapprocher de mon ami Medhi. La dernière phrase qu'il avait dite avant mon départ qu'il valait tuer mon mari mais la c'était réconfortant de voir son visage d'idiot a nos côtés. Il me prit dans ses bras me serrant fort, me caressant les cheveux et le dos en me disant que le calvaires étais terminer.

Au loin je vis Mr muscles détaler comme un lapin pour nous échapper. Je me libérais de Medhi avec ferveur, brandissant ma baguette et lui jetant un "Petrificus totalus" je me rapprochais de lui lançais un sort pour nouer un ballon et des liens à ses chevilles et ses poignets et lançais a Medhi:

- Ne le tuer pas, il pourrait nous être utile.

J'allumais une cigarette et allais m'asseoir sur le banc devant l'auberge. Il fallait que j'oublis... Mais comment oublier?
Revenir en haut Aller en bas
Thaddée Bakkali
Professeur de Magie Noire
Thaddée Bakkali


Date d'inscription : 15/11/2019
Messages : 180

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyLun 20 Jan - 14:28

C'était violent. Très violent même, entre les flammes, les sang, le bruit.... Mais toute cette violence n'était qu'un pâle reflet de ce qui nous attendait réellement. J'avais mal pour les deux amies de Mehdi, elles avaient vécu un cauchemar sans doute, un cauchemar qui prendrai des lustres à oublier. Sur le moment, j'étais plus persuadé que jamais que les sangs de bourbes devaient disparaître de la surface de la terre. Et j'étais plus que jamais furieux contre le monde sorcier qui nous a gardé cachés aux yeux des moldus alors que ce qu'ils auraient dû faire depuis toujours était de les anéantir. Je ressentais l'adrénaline de mon sang redescendre petit à petit, me provocant des petits frissons le long de la colonne vertébrale.

Plus trad, après avoir foutu ole feu à tous les cadavres, je me joignis à la Ministre Américaine pour l'aider à établir un état major à Pré au Lards. Sous mes ordres, quelques aurors m'accompagnèrent pour voir s'il y avait des captifs sorciers chez l’ennemi. Chambre part chambre, maison par maison, rue par rue, boutique par boutique, nous libérions les habitants de Pré au Lards qui avaient été faits prisonniers. Nous les faisions tous sortir. Hommes, femmes et enfants ligotés et bâillonnés, tous sortaient affaiblis de chaque établissement. Après avoir un fait un recensement, heureusement il ne manquait personne. Même le vieil Abelforth était là.

- Emmenez les tous au campement et donner leurs à manger et à boire ! - Dis-je d'un ton autoritaire. Abelforth Dumbledore s'approcha de moi et me dit à l'oreille - Les moldus ont détruit nos baguettes par le feu jeune homme. Il va falloir leur en procurer...

- Je vais voir cela avec mon frère Mehdi, il s'en occupera.

Je pris la route vers le campement où les hommes et les femmes du ministère s'occupaient des ex-otages. - Il va falloir qu'ils aillent à St'Mangouste pour passer des examens; il y en a parmi eux qui sont très faibles. - Dit la ministre de la magie. Je soupirais - Je vais envoyer un hiboux à Jane Harrinton, mais avant je dois leur parler. - Prenant ma baguette et collant le bout à mes cordes vocales, je prononçais -Sonorus- et me plaçais en face de tous - Sorcières et sorciers habitants de Pré aux Lards ! Vous avez été réduits en état de déchet par ces sangs de bourbes ! Il est temps de leur rendre la pareille ! Sang purs, sang mêlés et nés moldus, joignez vous à l'Ordre de la Salamandre, aidez nous à mettre en pièce chacun et chacune de ces monstres ! Ils n'ont eu aucune pitié envers vous et n'en aurons aucune dans les événements à suivre ! Rejoignez nous et combattez pour notre monde, combattez pour sauver votre honneur, combattez pou notre sauvegarde ! Sinon les sévices que vous aurez vécu resteront impunis ! Marquez votre nom sur cette liste et entraînez vous, maîtrisez votre peur de tuer, laissez votre haine, votre colère et votre rancœur s'exprimer par la magie des ténèbres, semez le chaos et la désolation tout comme ils le font avec nous !

D'abord craintifs, puis reconsidérant mes paroles et entrant en confiance, ils commencèrent petit à petit à signer leurs noms sur la liste que je faisais passer. Certains refusaient, mais la plus part avaient mis leurs signatures, et Stanley, fît apparaître la salamandre de sa baguette, qui commença à virevolter autour des personnes aillant mis leurs noms, leur laissant un tatouage sur une partie du corps.

Quand tout fût fini, nous commençâmes à placer des sortilèges et des enchantements de défense et de protection sur tout le village, ainsi que des maléfices dans la forêt interdite visant à tuer et piéger des moldus.
Une fois tout cet exercice fait, fatigué par les heures d'organisation et de combat, je devais encore accompagner ceux qui avaient été prisonniers à St'Mangouste. J'avais entre temps envoyé un hiboux à Jane pour la prévenir de notre arrivée.
Arrivés à l'hôpital, tout le monde courait dans tous les sens pour tout organiser. Je trouvais Jane entrain de tout gérer comme elle pouvait. Elle avait l'aire épuisée elle aussi. Sophie aussi courait dans tous les sens déplaçant des lits, des médicaments, donnant des ordres... Elle me salua et m'offrit un café magique pour m'encourager à tenir encore quelques heures.

Revenir en haut Aller en bas
Goya Bakkali
Membre de la Salamandre
Goya Bakkali


Date d'inscription : 20/02/2018
Messages : 55

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyLun 20 Jan - 15:29

Remettons les choses dans leur contexte. Théodora Lawrence et Malory Olianov: cela faisait plusieurs semaines qu'elles étaient parties en mission et qu'elles ne revenaient toujours pas. De notre côté, nous avions restauré l'Ordre de la Salamandre dont je fais maintenant parti. Nous étions allés chercher  à Pré aux Lards pour secourir les deux jeunes femmes. En chemin, nous sommes tombés sur un troupeau de centaures qui après nous avoir interdit le passage, nous escortèrent jusqu'au village. Arrivés, nous sommes partis vers le Pub d'Abelforth, le seul bâtiment d'où sortait une lumière. Il était infesté de moldus. Thaddée réussit à leur faire que nous sommes des moldus aussi, et il nous a donc invité à entrer pour passer la nuit. Je me faisais déshabiller du regard par tous ces porcs, mais je tentais de garder mon clame. Mais garder mon calme jusqu'à une certaine limite. En effet, une chambre à part à l'étage m'avait été attribuée, car j'étais la seule dame dans le Pub. Et au courant de la nuit, faisant semblant de dormir, un homme en profita pour entrer et se glisser dans mon lit. Il sentait fort la gnôle, mais je préférais garder mon sang froid, où du moins, j'essayais. Mais sa main remonter le long de ma cuisse, ça, je ne pouvais pas laisser passer. Je me levais d'un coup, allumais une cigarette et faisant un effort pour rester le plus moldu possible, disant que si mes frères le découvrait ils le tuerait et toutes ces choses qu'une femme sit quand elle se sent menacée. Mais il n'en avait rien à faire. Alors il se jeta sur moi et me plaqua contre lui, serrant mes poings. Je réussis à m'en défaire en lui brûlant le pointe du nez avec ma cigarette accrochée à mes lèvres, puis me me précipitait vers la table de nuit près du lit où j'avais mis ma baguette et grâce à un Expelliarmus, il fût éjecté par la fenêtre dans un bruit de verre monstrueux. Oh merde... ! Je regardais vers la fenêtre, et au moment où je lançais un Avada Kedavra, mes frères et les sang de bourbes sortirent de l'auberge, et me fixaient tous. Nous étions dans la panade. Tous les trois nous prîmes notre envol de mangemort et nous réfugiâmes avec les centaures dans la Cabane Hurlante. Un combat acharné débuta alors, pensant certainement que nous mourrions cette même nuit. Mais eu loin, nous entendîmes rugir et un dragon apparût au loin, crachant des flammes et vint se poser sous sa forme humaine devant nous. C'était Jason Eiwaz, et bientôt, l'équipe complète du Ministère de la Magie américain ainsi que la ministre elle même se joignirent à nous.

Le combat reprit jusqu'à ce qu'on voit Jason planter un Katana dans la poitrine de celui qui sans doute devait être le chef des rangs ennemis.
Malory aussi était là, et Théodora.
Je crois bien qu'avant que Jason décapite le chef, il m'a semblé entendre - Je l'ai b...…. ! - Et le silence s'instaura quand la tête roula à nos pieds.

Il ne fallait pas être un prix Nobel pour deviner la fin de ce qu'ils voulait dire. J'étais horrifiée. Prise à la gorge par ce que les deux femmes avaient vécue, je me lançais sur Malory pour la prendre dans mes bras malgré nos différents. Je ne disais rien. Il n'y a rien à dire dans ces situations. Tout ce qu'on peut faire c'est apporter la chaleur humaine. Je laissais ensuite la place à Jason, ils avaient des choses à se dire.

Me tournant vers mes frères, toujours sous l'émotion, les yeux gelés je pus voir Mehdi tenir Théodora dans ses bras et Thaddée s'éloigner avec un groupe d'aurors américains. Théodora se détacha ensuite de mon frère avec ferveur, et pointant sa baguette vers une silhouette qui s'éloignais en boitant, elle lui infligea le maléfice du saucisson pour l'empêcher de prendre la fuite.

- Ne le tues pas - Dit elle à l'attention de Mehdi - Il pourrait nous être utile.

La manière avec laquelle elle s'exprimais voulait tout dire. Elle aussi avait été victime des sévices de cet homme. Elle alla s'assoir sur une marche et alluma une cigarette. Je pris congé auprès des autres et m'assis à côté d'elle, une Vogue à la bouche.

- Théodora, je suis la sœur de Mehdi. On ne se connait pas, mais je suis désolée pour tout ce qui est arrivé. Je souhaite m'occuper personnellement de ton bourreau. Il ne mérite aucune pitié... aucune clémence... !- Elle me répondit et je lui pris la main. J'étais très peinée pour elle. Azar Forad passa près de nous. Il était l'homme qu'il me fallait. Je m'excusais auprès de Théodora et le rejoignis.

- Azar ! Attends moi ! Ecoute, je crois que nous devons nous occuper de la brute que miss Lawrence a pétrifié. Il ne doit pas rester impuni ! Nous pouvons lui soutirer des informations mais je pense que malgré mon sale caractère il faut quelqu'un qui colle des baffes !

- Je suis d'accord avec toi Goya, allons nous en occuper.

Nous prîmes l'otage et nous transplannâmes dans la crypte du manoir Eiwaz.

Théodora m'avait dit qu'elle ne connaissait pas son nom mais elle l'appelait monsieur Brute.

Une fois qu'il se réveilla, il s'est trouvé assis dans une la crypte sombre, illuminée par des torches enflammées. J'avais avec moi mes protège ongles, je voulais commencer en douceur.
Je lui plantait dans la chaire et griffais en douceur tandis qu'il hurlait à la mort. - Ca, c'est de la part de Théodora, connard ! - Azar prenait son matériel de torture en face de l'homme en question. - Pour commencer, tu vas nous dire ton prénom. - Il refusa - Non? Dommage - Et je griffais de nouveau la partie intérieur de sa cuisse, manquant de transpercer l'artère fémorale. - TON NOM !! - Il répondit enfin - Je m'appelle Winston ! - Cria-t-il en pleurs. Je griffais de nouveau, visant cette fois son pectoral gauche, arrachant son téton tandis qu'il hurlais de douleur - Ca c'est pour le plaisir. Azar, c'est ton tour !

Et ainsi, pendant des heures, et des heures, nous le torturions avec plusieurs instruments jusqu'à ce qu'il ne reste de lui que l'ombre de sa personne. Il était solide le gaillard, mais notre but n'était pas de le tuer, ou du moins, pas tout de suite. Une fois l’interrogatoire terminé, et aillant obtenu les informations que nous voulions, Azar et moi sommes remontées au rez de chaussée pour déjeuner. Le manoir grouillait de personnes, que se passait-il?  


Dernière édition par Goya Bakkali le Mer 22 Jan - 13:03, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Azar Forad
Membre de la Salamandre
Azar Forad


Date d'inscription : 21/01/2020
Messages : 3

" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 EmptyMar 21 Jan - 20:15

La Salamandre était renaît de ses cendres et à présent elle était présente pour rétablir l'équilibre des choses entre le bien et le mal. Son passé ténébreux et à la fois glorieux faisait de cette Ordre un élément craint et redoutable aux yeux du monde. Ce groupe composé de mercenaire et de sorcier expérimenté allait toujours jusqu'au bout de sa mission quelque soit le prix. Bien souvent lors des missions impossible ou des sauvetages improbable, c'est ce groupe a qui on faisait appel. Mais hélas avec le temps, les membres fondateurs et généraux périrent les uns après les autres et le groupe s'éteint avec le temps. Les seules survivants à ce groupe parmi les meneurs n'étaient nul autre que Stanley Di Salvo nommé chef de la Salamandre à la mort de Nelson Eiwaz et Azar Forad son adjoint. Forad avait plus d'ancienneté que Stanley et faisait partie des fondateurs mais il respectait le choix de la Salamandre et la nomination de Stanley. S'il avait été choisit en temps que chef c'était certainement pour son âme et son courage à protéger les siens. C'est ainsi que les deux derniers membre du groupe décidèrent d'initier des nouveaux officier pour la Salamandre en nommant nul autre que la fatrie Bakkalie et les héritiers Eiwaz. L'Ordre de la Salamandre était donc de retour.

Ayant fait quelques missions par si par là et de nombreux recrutements pour reformer une armée afin de lutter face à l'ennemie. Cette fois-ci, la mission qui était confier à Mehdi, à son frère et sa sœur était d'une autre ampleur. En effet, il s'agissait d'aller sauver les Sorcières Malory Olianov et Théodora Lawrance. L'échec n'était pas permis et il fallait que le sauvetage soit rapide et efficace. Jason et Leah n'étaient pas de la partie pour éviter que leurs émotions débordent et surtout face capoter la mission.

C'est alors que Azar se trouver au sein du manoir Eiwaz en salle d'entrainement avec les élèves, un mauvais présentiment lui vint. Sa brulure en forme de Salamandre dans le cou lui brulait et ceci ne signifier qu'une chose. Les membres du conseil de la Salamandre étaient en danger. Il n'était donc pas question que les humains recommencent et il était temps qu'il rentre dans le jeu à son tour. Sortant sans dire un mot aux élèves et les laissant seuls à l'entrainement, il accéléra le pas et tomba nez à nez avec Stanley qui avait du certainement avoir le même ressentie :


" On rassemble l'Ordre ! Et on les sort de cette merde ! "

Le chef de la Salamandre se contenta d'un signe de tête et ils transplatèrent là bas avec une cinquantaine de mercenaires. Sauf qu'a leur surprise, ils tombèrent en plein face à face en compagnie de Jason et la Ministre de la Magie venu également avec ses hommes portaient secours. Ainsi, le combat fut rapide et brief lorsque Jason Eiwaz tua leur meneur avec le Katana du Directeur de Poudlard. Cependant, Théodora neutralisa un homme de forte corpulence et massif en muscle plus loin. S'apprêtant à le terminer afin de marquer les esprits aux moldues battant en retraite devant la puissance magique. Goya Bakkali intercepta Azar en lui disant qu'il fallait le maintenir en vie de manière à lui soutirer des informations mais également le faire souffrir pour les crimes qu'il avait commis. Avec un sourire narquois, Azar regardit Goya en voyant où elle voulait en venir :

" Je suis ton Homme gamine ! On va s'en occuper ! Faisons le parler à la méthode de la Salamandre ! "

Attrapant le grand moldue et transplanant dans la crypte du Manoir Eiwaz où le rituel avait eu lieu. Azar préparait quelques outils de torture sur son établit pendant Goya le travaillait au corps avec ses ongles. Au moment où le Sorcier se retourna pour voir où elle en était. Elle venait de lui arracher le téton et l'homme muscler hurlait de douleur en pleurnichant à la fois. Forad se mit donc à rentrer dans le jeu en lui assenant un énorme coup de poing dans le visage :

" Ferme ta gueule ! Espèce de fiote ! Et maintenant concentres toi ! J'ai besoin que tu sois bien concentrer ! "

Le Sorcier lui planta alors un clou dans chaque jambe provoquant de nouveaux des cris de l'homme :

" Tu es assez concentré comme ça ! "

Mettant une pince sur chaque clou, Azar lui tendit une photo devant ses yeux :

" Tu te rappelles de ses femmes ? "

Crachant un gros mollard dans le visage de Azar. Ce dernier l'essuya avec la manche de sa veste et regardant Goya avec le sourire, il sortie un couteau de sa poche et trancha doucement et lentement sa joue droite faisant hurler l'homme et le faisant bouger dans tous les sens. Alors que le sang coulait abondement le long de sa joue et coulant sur le long de son bras. Le Sorcier se dirigea vers une sorte de pulpite et alluma le bouton délivrant une charge électrique en continue sur l'homme.

Son corps étant raide et à la fois tout contracter sous la tension des batteries qui prenaient en lui. Il n'arrivait pas à parler à ses tortureurs. Arrêtant les décharges à son égard, Azar se mit donc à continuer son interrogatoire :


" Tu sais on avait l'habitude de sous traiter ce genre d'exercice ! Mais souvent on était dans des pays où le réseau éléctrique n'était pas fiable ! Il nous arrivait des fois dans des pays sous développer d'attendre pendant des heures ! Donc on finissait pas perdre patience ! On a trouver autre chose ! "

Se retournant alors avec une pince, il se rapprocha de lui en lui disant tout en même temps ce qu'il faisait :

" On arracher donc les ongles ! "

Hurlant de plus belle, il n'avait plus d'ongle sur une main. Se prenant donc une droite de nouveau en pleine mâchoire, Azar continua par une autre torture en allant chercher un autre outil :

" Parfois on bruler la peau à l'acide ! "

Renversant une portion d'acide sur l'autre main de l'homme celui n'en pouvait plus et commençait à tomber dans les vapes. Goya lui injecta une dose d'adrénaline afin qu'il puisse rester éveiller et Azar continua dans sa tirade :

" Tu vois ces exercices sont improductifs ! Mais tu vois ici ! On peut se fier au courant ! Il est régulier et constant ! Et l'avantage ! C'est qu'on peut rester brancher constamment toute la journée ! "

Bougeant la tête dans tous les sens, le musclé commençait à paniquer à l'idée de reprendre une décharge. Azar se rapprocha donc de lui pour lui reposer la même question en montrant la photo avec les jeunes femmes dessus :

" Tu te rappelles de ses femmes ? "

Pleurant comme un enfant en faisant un signe de tête, il parla pour la seconde fois depuis qu'il avait dit son nom :

" Ce sont les Sorcières qui ont voulu nous aider … "

Prenant de nouveau un coup de poing dans le visage, Azar le stoppa dans ses paroles :

" J'en ai rien à foutre de qui elles sont ! Dis moi ce que tu leurs à fait ? "

Sanglotant et ne voulant rien dire sous la peur des deux membres de la Salamandre. Azar prit donc une masse prêt à lui détruire le visage avec. Quand soudain l'homme se mit à parler constamment :

" Mon chef les a violer ! Mais je promet je n'ai rien fait moi ! Je le jure ! Laisser moi partir si vous plait ! Je vous dirait tout ce que vous voulez ! "[/color]

Au mot violer, Forad partit dans une colère à le battre de coup de poing dans le visage au point de le tuer. C'est Goya qui stoppa le Sorcier dans son élan et ordonna à l'autre de dire ce qu'il savait :

" Notre chef ! C'est le général des armées des Etats-Unis ! Ils sont en train de concevoir une bombe équivaut à la bombe nucléaire ! De manière à ce que vous perdiez tous vos pouvoirs et que vous mourrez d'un virus … ! Votre école n'était qu'un laboratoire d'essai ! "

Face à cette révélation surprenante Azar tenter d'en savoir plus :

" Où je peux le trouver ce conard ! "

Mais fatigué et dans un état pitoyable, ce dernier était soufflé :

" Je ne sais pas ! Je ne sais pas ! Je ne sais pas ! Pitié ! Je ne sais pas ! Non ! Je ne sais pas ! Pitié ! Pitié ! "

Le couteau à la main et baissant son pantalon en même temps, Azar termina cette interrogatoire :

" Je te crois ! Mais ça ne te sauvera pas ! "

D'un geste vif et brutale, il lui coupa le penis qui mis dans un bocal devant lui. Tombant dans les pommes, Azar fit en sorte qu'il soit en vie de manière à ce que Théodora et Malory puissent le confronter à tout moment. De plus, il pouvait servir de monnaie d'échange.

Azar et Goya échangeant de ce qu'il venait d'apprendre en remontant au rez-de-chaussée. Ils purent entendre un brouilla et s'apercevèrent que Malory et Théodora étaient présente au château en compagnie de Thaddée et Jason dans une foule d'élève heureux de revoir des visages familier. De plus, la joie était là puisque le monde des Sorciers avaient obtenue une victoire.


Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





" Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty
MessageSujet: Re: " Sorcier Rassemblement ! "   " Sorcier Rassemblement ! " - Page 4 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
" Sorcier Rassemblement ! "
Revenir en haut 
Page 4 sur 5Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5  Suivant
 Sujets similaires
-
» Gazette du Sorcier
» Présentation Esebeth, le sorcier sans baguette

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ténébros Poudlard :: Londres et autres lieux :: Ailleurs en Angleterre :: Rues de Londres-
Sauter vers: