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 Ce que nous prépare l'avenir

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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyVen 20 Déc - 13:15

La guerre faisait rage. Tous les jours des disparitions et des homicides avaient lieu tantôt dans le monde magique tantôt dans le monde moldu. En tant que chef des résistants, je cumulais toutes les accusations des sorcières et sorciers qui s'attaquaient aux moldus sans autorisation. Ma famille était sujette à une vague prolifère d'insultes et de menaces, tellement qu'avec Hana, qui savait que je n'étais pas le commanditaire de ces attaques, nous avons décidé d'envoyer nos filles chez leur arrière grand mère dans les highlands, où elles étaient plus en sécurité que dans notre manoir parisien.

J'avais demandé à Alexia et Sorcha, mes sœurs ainsi qu'à d'autres vampires de rester non loin de chez la grand mère d'Hana pour surveiller le moindre mouvement autour de sa maison et défendre si nécessaire jusqu'à la mort la vielle dame et les filles.

Hana et moi continuions nos vies professionnelles et maritales en essayant de penser à tout sauf à ce qui pouvait faire voler le manoir à éclats de voix. Il faut dire que quand on avait une scène de ménage, il valait mieux ne pas se trouver dans les alentours. Mon instinct de vampire prenait le dessus, et j'avais énormément de mal à le contrôler. Mais une chose me stoppais: l'amour que j'éprouvais pour cette femme qui me faisait vivre un vrai bonheur cauchemardesque. J'ai toujours été attiré par les folles, mais cette folle là, c'était la mienne et j'en étais éperdument amoureux.

Et c'est aussi pour cela que je vous raconte ceci. Tout ce que j'ai fais depuis notre mariage, je l'ai fait pour la protéger elle ainsi que nos enfants. J'ai dû faire face à des choix difficiles, commettre des actes terribles, assumer chaque conséquence de mes actes et décisions, faire des sacrifices douloureux, et me confronter à la rage incontrôlable de mon épouse. Bref, un réel calvaire mais nécessaire pour les protéger.

Un soir, aillant reçu une menace assez cinglante, visant à assassiner Hana, je rentrais plus pâle que jamais au manoir et jetais ma mallette et mon manteau sur la commode de l'entrée. Je me dirigeais directement à la cuisine où je me servis un verre de sang et appuyé contre le comptoir au centre de la grande cuisine, les yeux injectés de sang tellement la colère montait en moi. J'entendis la voix douce de ma femme m'appeler et la porte d'entrée se fermer. Je pris une grande respiration et me tournais vers elle quand elle entra dans la cuisine.

Elle avait un sourire sur le visage et les yeux pétillants mais voyant ma tête, elle prit un air plus sérieux.

- Ma chérie - dis-je en sortant la lettre où la menace était écrite - Je crois que nous avons un problème... Encore. - Je lui tendis la lettre qu'elle lu en silence. - Et si nous partions en vacances quelques temps? Je crois qu'un petit voyage rien que toi et moi, en amoureux, nous ferai le plus grand bien ! Un pays chaud loin de tout où on passerait que des bons moments - Déclarais-je pour finir avec un petit sourire coquin.


Dernière édition par Stanley di Salvo le Ven 17 Avr - 21:12, édité 2 fois
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyLun 23 Déc - 20:53

Déjà plusieurs mois que la guerre était déclarée et qu'elle prenait une ampleur bien trop folle. Stanley, mon mari, rentrait tous les jours avec de nouveaux meurtres et de nouvelle disparitions sur les bras.

Moi, je passais mes journées a transplanter entre toutes les maisons ou vivaient les élèves de Poudlard, pour parfaire leurs éducation magique en matière de défenses contre ces nouvelles forces, Medhi était occuper ailleurs, je me chargeais de ce nouveau travail qui me permettais de renouer avec mes anciens amour, la défenses contre les forces du mal. J'en connaissais un rayon, fille de Loup garou et de métamorphe, épouse de vampire qui ne cessait de remettre ma future transformation lors de chaque dispute que nous pouvions avoir.

Nous nous étions presque assagies avec l'arrivée de nos filles, Natalia et Astrid. Presque je dis bien, nous mettions des stratégies en place pour pouvoir nous engueuler quand même mais sans que ces deux petites chipies ne soient au courant.

Malgré ces disputes nous nous aimions c'était indéniable, on va dire que peter les plombs l'un sur l'autre est une forme d'amour et de stabilité dans notre couple. J'étais capable de tous pour mon maris et mes enfants.

Après une journées bien chargée, j'était rentrée directement au manoir. En passant la porte je découvris les affaires de Stan' qui avais du rentré du boulot peu de temps avant moi.

Ça avait été une grosse journée. une partie avec ma meilleure amie et collègue Celine qui avait l'air épuisé, par tous ce monde chez elle même si elle était habituer avec sa ribambelle de frères et soeurs. J'avais par la suite transplaner pour la forêt des Highlands. Je récupérait quelque plantes qu'il me fallait pour réapprovisionner ma pharmacie de secours ainsi que celle de la maison. Nous n'étions jamais trop prudent. J'étais partis embrasser mes filles et ma grand-mère que je n'avais pas vu depuis plus de deux semaines. Une maman dis toujours que ses filles ont grandis quand elle ne les voient pas pendant plusieurs jours. Étant en pleine croissance, mes filles avait effectivement grandis et ne cessait de me répéter qu'elles étaient assez grandes pour venir ce battre aux côté de leur parents. Rien que l'idée me donnais la nausée !

J'étais donc rentrée fatigué mais heureuse d'avoir vu les amours de ma vie. Je déposais mon sac à main et mon manteau et filais dans la cuisine, j'avais bien le droit a un bon verre de vin après ma longue journée.

Je découvrais un mari blancs, bien plus que d'habitude, avec un verre de sang a la main. Cela ne me disait rien qui vaille. Je feignais l'ignorance de son mal être, tout en aillant conscience que l'expression de mon visage avais changé. Je l'embrassait et me servait un verre de vin.
Tout en souriant je lui demandais comment c'étais passé sa journée.

- Ma chérie. Je crois que nous avons un problème... Encore.

Je lu la lettre qu'il me tendait tout en gardant le silence. Il continuas:

- Et si nous partions en vacances quelques temps? Je crois qu'un petit voyage rien que toi et moi, en amoureux, nous ferai le plus grand bien ! Un pays chaud loin de tout où on passerait que des bons moments.

J'haussais les sourcils était-ce réellement le bon moment pour partir en voyage. Je buvais une gorgée de vin, m'adosser au rebord de la fenêtre ouverte allumais une cigarette et tirait calmement dessus. J'étais bouleverser par la lettre que nous avions reçus. Encore une et cette fois on voulait m'assassiner... Pour changer !

Je me tournais vers lui tranquillement et lui répondis:

- Tu sais mon amour, ce n'est ni la première ni la dernière lettre de menace que nous recevrons. Ça ne sert donc a rien de fuir. De plus tu as et j'ai aussi, nous avons tous les deux énormément de travail à accomplir a cause de cette stupide guerre. Indéniablement nous ne pouvons pas abandonner nos petits monstres a ma grand mère alors que nous allons prendre du bon temps. Non je ne pense pas que ce soit une bonne idée.

Je me retournais a nouveau face au jardin et regardais la nuit. Elle étais clair, les étoiles scintillait peut visible a cause des lumière de la capitale française mais la lune illuminais le jardin, ronde et belle comme à son accoutumée.

Je jetais par dessus mon épaule un sujet plus léger.

- J'ai vu nos filles aujourd'hui. Elles t'embrassent dort et elles m'ont aussi dis qu'elles étaient maintenant assez grandes pour venir ce battre avec nous, ce à quoi j'ai rétorquer qu'elles devaient tout éveillé et qu'elles pouvaient toujours courir. terminais-je en riant.
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Stanley di Salvo
Mort
Stanley di Salvo


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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMar 24 Déc - 0:55

- Et si nous partions en vacances quelques temps? Je crois qu'un petit voyage rien que toi et moi, en amoureux, nous ferai le plus grand bien ! Un pays chaud loin de tout où on passerait que des bons moments - Déclarais-je pour finir avec un petit sourire coquin.

Elle se me regarda en souriant, adossée contre le mur près de la fenêtre. Elle s'était remise à fumer depuis quelques temps, trop de pression à supporter. Elle me sourit, tirant doucement sur sa cigarette, et me répondit:

- Tu sais mon amour, ce n'est ni la première ni la dernière lettre de menace que nous recevrons. Ça ne sert donc a rien de fuir. De plus tu as et j'ai aussi, nous avons tous les deux énormément de travail à accomplir a cause de cette stupide guerre. Indéniablement nous ne pouvons pas abandonner nos petits monstres a ma grand mère alors que nous allons prendre du bon temps. Non je ne pense pas que ce soit une bonne idée.

Là, elle marquait un point, en effet. Nos filles et sa grand-mère étaient sous protection maximale mais on ne sait jamais ce qui peut arriver en notre absence. Face à mon silence, elle se tourna à nouveau vers la fenêtre. Je m'approchais d'elle, collant mon corps contre le sien, mes bras enlaçant le creux de sa taille, ma tête posée sur son épaule et mon nez plongé dans ses cheveux.

- J'ai vu nos filles aujourd'hui. Elles t'embrassent fort et elles m'ont aussi dis qu'elles étaient maintenant assez grandes pour venir ce battre avec nous, ce à quoi j'ai rétorquer qu'elles devaient tout éveillé et qu'elles pouvaient toujours courir. - ajouta-t-elle en riant.

Cela me fis sourire. Nos fille étaient encore des petits diables mais elles avaient hérité toutes les deux du notre courage à Hana et moi.

- Tu sens bon - dis-je d'une voix étouffée car j'avais encore mon visage au creux de son cou, humant son parfum.

Je me décollais un peu d'elle et posais un baisé sur sa tête. Elle se tourna vers moi et nous embrassâmes. Ce goût de cigarette dans son haleine, je n'arrivais décidément pas à m'y faire.

Je lui retirais sa clope de la main, et sous son regard surpris, je tirais une latte dessus, manquant de m'étouffer et elle explosa de rire.

- C'est immonde, comment fais-tu !! - Dis-je m'étouffant de rire et crachant les poumons. J'étais devenu rouge, les yeux larmoyants. Quand enfin je repris mon souffle, doucement, je lui dis:

- Alors si nous ne partons pas en vacances tous les deux, je te propose de prendre quelques jours de congé et passer du temps ensemble. Il y a longtemps que nous n'avons rien fais à deux mon amour, nos activités d’antan me manquent ! Tu me manques... !

Elle répondit, puis la portant dans mes bras comme une jeune mariée, nous sommes montés à l'étage pour nous préparer à aller au lit.

Elle voulut prendre un bain la première. Au bout d'une vingtaine de minutes, je pris l'initiative de la rejoindre dedans. Quelques caresses sous l'eau, beaucoup d'amour, un flot de tendresse... Tous nos soucis avaient comme disparu en cet instant. Ensuite, nous sommes partis nous coucher. Mais après l'épisode du bain, autant dire que nous n'allions pas somnoler immédiatement. Nous commençâmes à nous embrasser, et ce qui devait arriver arriva. Soupirs, gémissements, chaleur, respiration coupée, morsures, griffures, suçons (moi je n'avais pas le droit de lui faire...) et ébats sexuels enflammés furent le résultat de notre passion contenue depuis si longtemps.

Cela m'avait tant manqué. Nous travaillions tellement, avions tellement de preoccupations et étions tellement occupés avec d'autres besognes que nous nous sommes habitués à vivre dans une relation stable certes, mais sans étincelle. Et cette nuit la nous la retrouvâmes à mon grand plaisir.

Allongés et nus, couverts à moitié par les draps, je caressais ses cheveux en silence tandis qu'elle fumait une cigarette.
Nous étions paisibles, malgré les menaces qui plannaient sur nos têtes.

- Hana, mon amour? - Je rompis le silence - Pourquoi restes tu avec moi, alors que tout nous oppose? Tu es constamment en danger avec moi. Je sais que tu aimes l'adrénaline, le goût du danger, mais là... Là il s'agit d'une menace de mort te visant toi spécialement. Comment fais tu pour rester aussi calme?



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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptySam 11 Jan - 20:14

Il était venu ce blottir dans le creux de mon cou. Ce collant a mon dos, m'enlaçant tendrement. Malgré nos échange quelque peu houleux en ce moment, nous gardions de l'amour et de la tendresse l'un pour l'autre.

Je continuais à fumer. En entendant un compliment sur mon odeur je ne pouvais que sourire. Des frissons me parcoururent en sentant un baiser ce reposer dans le creux de ma nuque et sur le haut de mon crâne. Je me tournais alors pour lui rendre ses baisers.

Il se retiras avec une tête exprimant le dégouts de mon odeur de fumeuse. Je ne pus empêcher d'éclater de rire. Haussant les sourcils il me pris la cigarette des doigts pour en prendre une bouffer. Je crus qu'il allait devenir vert et me vomir dessus.

- C'est immonde, comment fais-tu !! Je la lui reprenait des mains a temps pour ne pas qu'il la lâche dans la maison pendant qu'il crachait ses poumons. Alors si nous ne partons pas en vacances tous les deux, je te propose de prendre quelques jours de congé et passer du temps ensemble. Il y a longtemps que nous n'avons rien fais à deux mon amour, nos activités d’antan me manquent ! Tu me manques... !

J'écrasais ma cigarette, toucher par ses dernières paroles et me rapprochait de lui:

- Toi aussi, Stan, tu me manque. Mais ne me porte pas comme ça voyons ! Je ne suis plus ni une enfant, ni une jeune mariée. Je secouais la tête épuisé par tous ce romantisme. Ça, pour sur, je n'étais pas romantique pour deux sous !

Une fois revenue sur la terre ferme je filais prendre un bain pour me relaxer après cette longue journée. Je ne pus être seul bien longtemps, Mon mari me rejoignis quelques instants après mon immersion dans l'eau. Ce qui n'étais pas forcément pour me déplaire. Une fois calmer et propre nos corps et nos esprits étant en osmose. si proche l'un de l'autre nous touchant, cherchant encore et toujours a nous redécouvrir. Notre amour et nos ébats n'étais plus de simple fait, c'était un moyen pour nous de nous échapper, de nous redécouvrir, nous étions l'un pour l'autre une soupape de décompression. Pour moi je ne pouvais vivre sans lui malgré mon incessante envie de lui trancher la tête je ne pouvais pas me le cacher.

Comme le début en témoignais autant ne pas ce cacher la suite des événements qui survinrent dans notre lit conjugale. Au final, il avais peut être raison pour une fois, peut être nous fallait-il quelque jours de congés ensemble. Je ne me souvenais pas de notre dernier week end a deux... voir même a quatre. Ne pas avoir les jumelles dans nos jambes sans cesse ne mettais plus familier. Ça m'agaçais la plupart du temps mais quand elles quittaient la maison, celle-ci paraissait si vide, je ne m'y faisais pas.

Après nos effusions d'amour, je me levais et allais attraper mon paquet de cigarette. Je revins m'allonger au côté de Stan tout en allumant une cigarette. La meilleure depuis bien longtemps me dis-je tous en savourant encore un petit moment l'extase de nos ébats. Je sentais la main de Stan me caresser les cheveux, c'est ce moment là qu'il choisit pour rompre notre silence paisible:

- Hana, mon amour? Pourquoi restes tu avec moi, alors que tout nous oppose? Tu es constamment en danger avec moi. Je sais que tu aimes l'adrénaline, le goût du danger, mais là... Là il s'agit d'une menace de mort te visant toi spécialement. Comment fais tu pour rester aussi calme?

Je tournais ma tête vers lui souriant un moment. Me blottissant a nouveau entre ses bras, continuant de savourer ma cigarette, je décidais de lui répondre:

- Quand nous avons commencer a nous fréquenter, tous nous opposait déjà souviens-toi. Je t'ai aimé dès notre première bousculade avec le café que je t'ai renversé dessus, tu te souviens? Devant Big Ben, à l'époque tu fais partis de l'ordre de la Salamandre contre laquelle nous nous battions. Et pourtant ça ne m'as pas empêcher de t'aimer et de t'épouser. D'avoir deux magnifiques petites démones aussi avec toi. Je ne peux pas l'expliquer, l'amour ça ne s'explique pas. Je t'aime c'est tous. Et peu m'importe d'être menacé tous les jours, tant que je t'ai toi, Astrid et Natalia, c'est tous ce qui m'importe.

Je fis apparaitre une tasse de thé dans mes mains. tous cela m'avais donnée soif. je bus tranquillement par petite gorgée pour ne pas me bruler. après un éclair de génie dans ma tête je repris la parole:

- Tu n'as peut-être pas tord pour les quelques jours de congés mon chéri. Que dirais-tu d'aller nous promener dans Paris demain, il y auras du monde, jucha serais la couleurs de mes cheveux et de mes yeux et n sera tranquille. Et si ça ce trouve tu sera même dans la gazette du sorcier accusée de tromper ta femme avec une pimbêche au cheveux corbeaux!

Lui déclarais-je en riant aux éclats comme je le faisais si souvent à l'époque.
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Stanley di Salvo
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Stanley di Salvo


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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptySam 11 Jan - 23:42

-  Hana, mon amour? Pourquoi restes tu avec moi, alors que tout nous oppose? Tu es constamment en danger avec moi. Je sais que tu aimes l'adrénaline, le goût du danger, mais là... Là il s'agit d'une menace de mort te visant toi spécialement. Comment fais tu pour rester aussi calme?

Ma femme, me regarda en souriant et répondit se couvrant d'un nuage de fumée sortant de sa bouche, ce qui lui donnait un air ténébreux qui était loin de me déplaire.

- Quand nous avons commencer a nous fréquenter, tous nous opposait déjà souviens-toi. Je t'ai aimé dès notre première bousculade avec le café que je t'ai renversé dessus, tu te souviens? Devant Big Ben.

- Hah ! Comment oublier?  Dans ce temps là je m'habillais encore en fourrures ! Tu avais ruiné mon manteau d'ours polaire... Je me demande où il est d'ailleurs !

- A l'époque tu faisais partis de l'ordre de la Salamandre contre laquelle nous nous battions. Et pourtant ça ne m'as pas empêcher de t'aimer et de t'épouser. D'avoir deux magnifiques petites démones aussi avec toi. Je ne peux pas l'expliquer, l'amour ça ne s'explique pas. Je t'aime c'est tous. Et peu m'importe d'être menacé tous les jours, tant que je t'ai toi, Astrid et Natalia, c'est tous ce qui m'importe.

J'étais submergé de souvenirs et très touché par ce que ma femme, oui ma femme; et je le dis fièrement, venait de dire. Et je ce fût là que je m'aperçue que dix années étaient passées depuis notre mariage. Un battement de cils ! Mais attendez, moi, je suis immortel... Non, non, c'est pas vrai ! Cela veut dire qu'un jour Hana doit mourir?! J'étais toujours plongé dans mes pensées tumultueuses lorsque, sirotant à petite gorgées un thé qu'elle venait de faire apparaître, elle me dit:

- Tu n'as peut-être pas tord pour les quelques jours de congés mon chéri. Que dirais-tu d'aller nous promener dans Paris demain, il y auras du monde, jucha serais la couleurs de mes cheveux et de mes yeux et n sera tranquille. Et si ça ce trouve tu sera même dans la gazette du sorcier accusée de tromper ta femme avec une pimbêche au cheveux corbeaux! - Elle explosa de rire, ce rire que je n'avais plus entendu depuis très longtemps. Un rire qui se faisait entendre dans tout le manoir. Je ne pus m'empêcher de me mettre à rire aussi, mais de joie de la voir aussi calme et relaxée. Elle était magnifique, peu romantique, rebelle, boudeuse, ronchonne par moments et très casse pieds, mais c'était mon âme sœur. Chaque jour à ses côté était une véritable bénédiction.

- Je pense que c'est une excellente idée ! Et puis il y a longtemps que mon nom n'est plus apparu à la gazette, alors si le prix à payer pour y apparaître de nouveau est de tromper avec une belle brune, bien plus jolie que toi, je suis prêt à me sacrifier ! - dis-je lui tirant la langue ! Elle commença à me pousser et à me taper dessus tandis que nous rigolions. Il y avait longtemps que nous n'avions pas partagé des moments que tous les deux, et j'étais aux anges. Nous repartîmes pour un tour de galipettes puis nous plongeâmes dans un profond sommeil après un dernier baisé.

Le lendemain, nous prîmes tout notre temps pour nous réveiller et encore plus de temps pour nous lever, trop occupés et beaucoup trop bien sous notre couverture à nous câliner pour bouger tout de suite. Au bout d'une petite heure, nous nous forçâmes à nous lever pour démarrer la journée. Après avoir pris ma douche, je m'habillais et descendis à la cuisine où Lynn, la gouvernante avait déjà tout préparé. Excellent ! Je lisais le journal en buvant un tasse de café le temps qu'Hana descende me rejoindre.

Et ben je peux vous dire qu'elle était toute en beauté ! Elle s'était pris dix ans mais elle était encore fraîche comme une fleur ! Il y avait très longtemps que je ne l'avais plus vu en brune. J'aimais la rousse que j'ai épousé mais je la même en brune était loin d'être dégueulasse !

- *siffle* Cannooon !! - Elle m'embrassa et s'assis pour manger. - Tu as bien dormi ?

Elle me répondit et nous continuions de prendre le petit déjeuné en papotant, je la laissais me dire son programme, voir ce qu'elle voulait faire aujourd'hui. Journée pour le moins chargée mais qui promettait d'être amusante !

Une fois que nous étions tous les deux prêts, nous partîmes du manoir et nous prîmes un taxi. Pas de stress aujourd'hui, on ne conduit pas, on ne prends pas nos balais, on ne transplanne pas, on fait tout comme des gens normaux.

Nous arrivâmes dans le centre ville parisien. Nous avions choisis cette ville car elle représentait exactement notre relation, une ville romantique mais saupoudrée de drames, sans parler de la beauté architecturale et les gens qui y habitaient. Tout était harmonieux, les gens faisaient leurs vies dans les terrasse de café, promenaient leurs animaux ou faisaient des achats. Hana et moi étions justement venus pour refaire son dressing et celui des filles ! Ainsi, parlant et riant comme des jeunes amants, nous allions dans toutes les boutiques de marques ou de pret à porter, repartant avec des sacs et des sacs et encore plus de sacs remplis de nouveaux habits.

Hana me fit voir un véritable défilé de mode, essayant telle robe, tel short, tel pull, tel manteau, et moi je donnais mon opinion, plaisantais, me faisait foudroyer du regard gentiment si ça ne me plaisait pas, et surtout... je portais tout ce qu'elle décidait de prendre !

Nous nous posâmes dans un petit bar avec terrasse près du Champ de Mars, lieu où nous avions célébré notre union 10 ans plus tôt. Sirotant mon thé, je nous revoyais encore tous les deux en jeunes mariés, la portant dans mes bras pour partir en lune de miel tandis que les invités nous jettaient des fleurs et la musique entonnait un air de fête.  L'idée me vint alors. Et si pendant ces jours de congés, nous repartions en lune de miel là où nous étions allés après le mariage ?  (je te laisse choisir )

- Hana? - L'interpellais je. Elle me regarda, en allumant une cigarette et expulsant une bouffé de nicotine. Encore une? pensais je sans rien dire. - Je veux refaire notre lune de miel. Toi et moi comme il y a dix ans, seuls. Les filles peuvent rester chez ta mamie ou avec mes sœurs, elles les adorent. Ça ne te ferait pas plaisir? - Questionnais je sur un ton doux. Mais avec Hana, je piuvais m'attendre à tout. J'avais épousé la femme la plus revêche du Rayaume Uni, oscillant sans efforts et surtout sans transition entre une très grande chaleur et un froid glacial.
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyJeu 16 Avr - 15:27

Nous nous étions endormie et réveillée dans cette même torpeur, dans ce même nuage de bien-être qui n'était que trop rare en ces temps sombre. J'avais attendu que la place ce libère dans notre salle de bain pour aller me préparer. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas amuser a changer de couleur de cheveux. Mon pouvoir c'était détraquer durant ma grossesse avec mes hormones, passant du roux au bleu sans aucune raison, je soupçonnais Natalia dans mon ventre encore a cette époque d'avoir jouer avec les pouvoir que je lui ai léguer.

Aujourd'hui j'optais donc pour des cheveux d'un noir intense avec des yeux bleu. J'enfilais un jean, un tee-shirt blancs, il faisait bon dehors j'optais donc pour emporter une simple veste de blaser damier noir et blanche, mes convers des lunettes de soleil, mon sac a main et le tour étais joué.

Je retrouvais mon mari dans notre cuisine en pleine lecture du journal. Je secouais à la remarque sur ma tenue et répondais par la positive tout en l'embrassant sur le front. Nous échangeames autour de notre petit déjeuner sur ce que nous allions faire par ce temps radieux. La tendance était lancer. Nos filles grandissant beaucoup trop vite, il leur fallait de nouveau vêtements et par la même occasion a nous aussi. Ce n'est pas tous les jours ou nous pouvions flâner au grés de nos envies et du temps.

C'est ainsi que nous partîmes vers le centre de Paris. Tout en nous baladant dans les rues, passant par le jardin des tuileries pour éviter le bruit des voitures, longeant la seine, nous arrêtant dans la librairie de Montmartre ou nous adorions aller au début de notre relation de couple, nous achetions et essayions de nouvelle tenue. Je voyais mon mari éclater de rire, lorsque j'essayais des tenues extravagante dans lesquelles il ne m'avait jamais, me faire des regards enjôleur quand une autre tenue lui plaisait plus qu'il ne le faudrait. Je l'admirais lors de ses essayages de costumes. En ayant marre de ne le voir que dans vêtements sérieux je lui avais fait une petite sélection de nouveau vêtements plus décontracter.

C'était une belle journée, je nous revoyais au début de notre relation, riant, nous criant dessus pour toujours finir par nous réconcilier, souvent sur l'oreiller. Nous avions terminer a la terrasse du bar en face du champs de mars ou nous avions fêter nos dix ans de mariage... le temps passait vite et je savais que mon mari ne songeais qu'as me transformer en vampire mais je n'étais toujours pas décider a le faire. Peut être dans quelques années...

Nous étions tranquillement entrain de boire notre thé, le meilleure thé de Paris, et aussi de fumer une cigarette, ce sont les meilleures a la terrasses des cafés quand mon mari me dis:

- Hana? il fit une pause pour que je le regarde droit dans les yeux, en éclair passa dans son regard lorsque la fumer s'échappas de ma bouche, je savais parfaitement ce qu'il pensant, mais passait outre. Je veux refaire notre lune de miel. Toi et moi comme il y a dix ans, seuls. Les filles peuvent rester chez ta mamie ou avec mes sœurs, elles les adorent. Ça ne te ferait pas plaisir?

Je pris un temps de réflexion pour moi. Nos filles ne nous voyais déjà pas souvent mais grands-mère étais quand même aider par es soeur de Stan qui à ma plus grandes surprise avais assumer leur rôles de tantes pour nos filles à la perfections depuis leur naissance. Nous n'étions pas non plus en grande forme ni lui ni moi. Il nous fallait un peu de repos pour reprendre les batailles que nous menions... Je n'étais pas de nature prévisible je voyais dans son regard le questionnement qui pouvait passer dans sa tête. Je souris rien qu'as cette évocation.

- C'est une très bonne idée mon amour. Passons tous de même dire à nos filles que nous ne pourront pas les voir pendant quelques jours, et envoie une lettre a tes soeur pour leur dire. qu'elle soit là a notre arriver chez grand-mère. Il vas falloir que je me rachète un maillot de bain. Je compte bien me baigner une fois arrivée dans les iles grecs.

Il me répondit alors. Nous payames nos consommation pour partir faire un peu plus d'amplêtes.

De retour a la maison, je lançais des sorts pour que les valises ce fasses sans avoir besoins de nous. Le jour déclinait il fallait partir pour prévenir nos filles puis filer en Grèce. Une idée passas dans mon esprit et je m'exclamais:

- Cheri ! Il ne faut surtout pas que l'on dise aux filles qu'on part en voyages sinon elles ne vont plus nous lâcher et elles deviendront tyrannique !

Terminais-je dans un éclat de rire. Ça pour sure si elles apprenaient notre départ pour des vacances, elles deviendraient ingérable... Un peu comme leur père lorsqu'il a faim !
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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyVen 17 Avr - 18:51

J'attendais la réponse de ma femme. En vérité, je me méfiais car Hana est un véritable tourbillon d'états d'esprits. Cela dit, quand elle expira une énième bouffée de fumée sa réponse très étonnante me fit sourire de plaisir.


- C'est une très bonne idée mon amour. Passons tous de même dire à nos filles que nous ne pourront pas les voir pendant quelques jours, et envoie une lettre a tes soeur pour leur dire. qu'elle soit là a notre arriver chez grand-mère. Il vas falloir que je me rachète un maillot de bain. Je compte bien me baigner une fois arrivée dans les iles grecs.

-Évidement ! - répondis - je jouant avec ma cuillère. - Nous n'allons pas nous envoler sans dire un mot à personne ! - Nous finissâmes notre thé, le meilleur de Paris et continuâmes notre ballade chargés de sacs. Hana insista pour que je m'achète des vêtements moins strictes alors elle me fit faire un défiler et ce fût à moi de subir ses remarques cinglantes quand j'étais ridicule, ses regards séducteurs lorsque quelque chose lui plaisaient, ses rires et ses moqueries quand je me la jouais cool.

Une fois rentrés chez nous, Hana alla directement se charger de nos affaires. D'un coup de baguette, les valises commencèrent à se préparer sans avoir besoin de nous. Elle partit dans la salle de bain tandis que je m'étais assis sur la chaise du bureau et prit une feuille et une plume pour rédiger un papier pour le ministère, prévenant de mon absence pour les quelques jours à venir et leur disant que je serai totalement injoignable et indisponible. En effet, je voulais passer du temps avec ma femme et personne d'autre au monde, car quelque chose titillait mon instinstinct de vampire, quelque chose qui me disait qu'un jour ce bonheur allait arriver à sa fin de manière brutale et imprévu. Je décidais cependant de garder ces craintes pour moi, je ne voulais ni inquiéter ni déprimer mon épouse qui de toutes façons allait me dire à sa manière bien particulière que j'étais paranoïaque.

Une fois tout préparé, j'attendais Hana à l'entrée qui comme d'habitude était la dernière à être prête. Descendant les escaliers, je l'entendais me crier -  Cheri ! Il ne faut surtout pas que l'on dise aux filles qu'on part en voyages sinon elles ne vont plus nous lâcher et elles deviendront tyrannique ! - Et elle partit en fou rire. Je ris à mon tour car en effet nos petites démonnes allaient nous faire un gros caprice pour nous accompagner si nous leur disions la vérité.

Hana approcha de moi et mis correctement le col de ma veste en souriant, puis, main dans la main, chacun sa valise, nous transplannâmes chez la grand mère d'Hana chez qui nos filles passaient le plus claire de leur temps.
Nous sonnâmes à la porte et la vieille dame, dont le visage était devenu un parchemin rempli de sagesse nous ouvrit la porte, et nos deux petites filles arrivèrent à toute allure vers nous pour nous serrer dans leurs petits bras. - Papa ! Maman ! - Dirent elles en coeur. - Hehey !!  Comment vont mes princesses !? - Je les soulevais toutes les deux - Faites un bisous à papa ! - Et elle me firent un bisous chacune - Et un autre à maman ! - Et elle s'exécutèrent quand Hana approcha de nous. Je posais les filles par terre qui retournèrent à l'intérieur avec une rapidité vampirique étonnante. Astrid  fit tomber un grand vase en porcelaine de la grand mère d'Hana qui soupira souriante, et nous dit - Et c'est comme ça tout les jours ! Je n'ai plus rien pour décorer la maison ! - Hana la serra dans ses bras et je ne manquais pas d'excuser notre fille pour un tel comportement. Elle était beaucoup plus énergique que sa soeur et aussi beaucoup plus difficile à gérer. Une mini Hana en gros !

Ma femme expliqua à sa grand mère ce que nous avions prévu de faire et qu'il ne fallait pas le dire aux filles. Je vis le visage de la grand mère s'assombrir - Il va un jour falloir que vous me débarrassiez de ces petites chipies ! Elle sont louves, vampires et métamorphes ! Je n'ai plus l'âge ni la force de courir après elles toute la journée, je suis une vieille dame ! - Je pris alors la parole - Ne vous inquiétez pas Andromeda; j'ai prévenu mes soeurs, elles seront là pour vous aider et prendre le relais si vous le souhaitez !

Son visage s'apaisa enfin. Andromeda Black Tonks connaissait mes soeurs, et même si en âge, nous les di Salvo sommes plus vieux qu'elle, physiquement grâce à notre état nous faisions 100 ans plus jeunes !

Je voulu passer le reste de l'après midi chez la grand mère d'Hana. Je voulais profiter des derniers rayons de someil qui traversaient les branches des arbres de l'épaisse forêt qui entourait la maison pour jouer avec mes filles dans le jardin. C'était un véritable havre de paix et un réel plaisir de savoir que mes filles pouvaient jouer au soleil sans prendre le risque que quelqu'un les voit briller de milles feux. À leur âge je n'avais pas eu cette chance, et je profitais aussi de cet instant pour enfiler une des chemises qu'Hana m'avait offert pour que pour une fois, le soleil caresse ma peau sans avoir à cacher ma condition de vampire.

Je fermais les yeux et me concentrais. La chaleur du soleil se faisant de plus en plus moindre, je distinguais parfaitement chaque note des chants des oiseaux, chaque craquement de branche écrasée par les animaux, chaque bourdonnement d'abeilles... Je redécouvrais le parfum des fleurs et celui de l'herbe coupée, la terre humide des Highlands et son odeur de pluie si particulière, et incontestablement mon parfum préféré, celui de ma femme sur la balcon, me regardant profiter de cet instant, mélangé à celui de la nicotine et le goudron de la cigarette qu'elle fumait.

- Ces choses te tueront ! - Dis je mon visage tourné vers le soleil; ma peau brillante comme des diamants, le corps droit, les bras étirés et les jambes écartées. La brise d'été faisait danser mes cheveux grisonnants et sifflait sur mes oreilles. J'étais en paix avec la nature et serein.

Hana me répondit depuis le balcon puis je fût tiré de ma bulle lorsque je reconnus les vivacité vampirique de mes soeurs. Elle se déplaçaient toutes les deux à toute allure dans la forêt et escaladèrent le mur qui séparait le jardin de l'extérieur. - Ah ! Vous voilà !  - M'exclamais je en ouvrant les yeux. À leur arrivée, le soleil se cacha derrière des nuages et les arbres. La nuit n'allait plus tarder. - Tu nous as demandé, nous sommes venus grand frère ! - Dit Sorcha, sa chevelure blonde attachée en queue de cheval et ses yeux couleurs citron brillant dans l'ombre. - Ouais enfin, je t'ai quand même traité de tous les noms en chemin, petit frère. - Ajouta Alexia, aussi blonde que Sorcha, mais avec des yeux rouge vif, signe d'unengrand consommatrice de sang humain. Cependant elle ne s'attaquait pas à Hana ou sa grand mère sous peine de me voir la transformer en pièces détachées. - Où son les femmes de ta vie?

Les femmes de ma vie dont parlait Alexia pour me taquiner étaient à l'intérieur, dans le salon. Nous les rejoignâmes et les filles furent heureuse de revoir leur tante Sorcha, mais restèrent très froide face à Alexia qui était beaucoup plus autoritaire, mais toujours bienveillante à leur égard.

Nous discutames un petit peu tous ensemble jusqu'à la tombée de la nuit. Nous embrassâmes nos filles avant qu'elles n'aillent se coucher. Astrid me serra fort dans ses bras. Elle était beaucoup plus attachée à moi que sa soeur qui au contraire était plus proche de sa mère. - Revenez  vite papa - Dit Astrid d'une voix somnalaente en plongeant sa tête dans mon cou. - Promis ma chérie, on ne part que pour quelques jours. Sois sage hein? Mamie Meda n'est plus toute jeune, il ne faut pas la fatiguer ! - Dis je d'une voix douce et un ton paternel rempli d'amour. Je la pris dans mes bras ainsi que Natalia et nous dirigeâmes avec leur mère dans leurs chambres pour les bercer. - Bonne nuit mes trésors ! - Nous déposâmes chacun un baisé sur leur front et allâmes récupérer nos affaires dans pour partir.

- Nous devons y aller, il est tard et à l'hôtel ils vont se poser des questions !  Tu es prête mon amour?

Nous saluâmes mes soeurs et la vieille dame, et nous transplanâmes en Grèce. Une fois à l'hôtel, nous primes la même suite que celle de notre lune de miel et j'étais ravi de voir que rien n'avait changé.

Nous commandâmes le dîné et du champagne, et trinquant à nous, à notre couple et à notre amour, nous passions une nuit de tendresse et mots doux avant d'enchaîner avec une journée bien chargée !
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMer 22 Avr - 18:11

Après un petit réajustement de la tenue de mon mari et un dernier baiser nous avions transplanner pour arriver chez ma grand mère au fin fonds des Highlands ou nos enfants vivaient depuis le début de la guerre.

Nous sonnâmes et vîmes le visage de ma grands-mère. Au moment je voulus la serrez contre moi, nos filles débarquèrent dans un tonnerre d'exclamation, ce jetant dans les bras de leur père qui réclamais des bisous. J'émis un petit rire sachant pertinemment qu'il n'y avais aucun besoin de leur demander pour qu'elle le fasse. Stanley était un père aimant qui cédait bien plus que moi à leur caprice. Je m'approchas pour moi aussi avoir le droit d'avoir des baisers de mes filles. Elles repartirent en courant à l'intérieur de la maison, maladroite comme moi Astrid fit virevolté un vase qui terminas briser sur le plancher de la maison, je secouais la tête hurlant a Astrid de venir s'excuser auprès de grand mère qui s'exécutas sans broncher. Je caressais sa petite tête blonde lui disant de faire un peu plus attention. Stanley était entrain de s'excusez pour notre fille auprès de grand-mère qui en manqua pas de me dire que ce n'étais que la routine quotidienne. Pour me faire pardonner je la serrais fort dans mes bras et l'embrasser. Puis lui expliquait le but de notre visite, elle fût plutôt perplexe :

- Il va un jour falloir que vous me débarrassiez de ces petites chipies ! Elle sont louves, vampires et métamorphes ! Je n'ai plus l'âge ni la force de courir après elles toute la journée, je suis une vieille dame. C'est vrai que ça faisait beaucoup pour une vieille dame comme ma grands mère, ayant élevé déjà deux générations de sorcier, tous plus difficiles les uns que les autres.

- Ne vous inquiétez pas Andromeda. J'ai prévenu mes soeurs, elles seront là pour vous aider et prendre le relais si vous le souhaitez ! Lui dis Stanley.

- Tu es encore bien jeune grand mère! A la fin de notre voyage nous les récupereront pour que tu puisse souffler et refaire un stock de bibelot pour décorer la maison. Elle souriait en secouant la tête.

Nous passâmes le restant de la journée a nous occuper de nos filles. Enfin Stan' qui les voyait loin souvent que moi s'amusa avec elle pendant que je discutais avec grand mère ou que je me prélasser au soleil sur le balcon de ma chambre. Je les observais, elles avaient l'air heureuse de pouvoir enfin passer un peu de temps avec leur père. Natalia m'avais repéré sur mon balcon et vint en quelques seconde ce blottir contre moi. Je posais le livre que j'avais entre les mains par terre et la prenais sur mes genoux. Elle se blottit contre moi comme quand elle était plus petite. Ces cheveux rosissant de plaisir, j'étais tenter de lui dire de contrôler ses émotions mais étant moi même dans un état de bien être intense résistait à mon impulsion d'enseignante. J'enfouissait mon visage dans ses cheveux à l'odeur de lavande tout en nous laissant bercer par le balancement du rockingchair. Ce fût un moment paisible comme ils étaient trop rare. Il faut interrompue bien trop tôt par Astrid qui cirait le nom de sa soeur dans les escalier en une demie seconde, je me retrouvais avec un baiser planter sur la joue et une disparition quasi invisible du petit corps de ma fille.

Je me levais m'accoudant a la balustrade pour allumer un cigarette et observais mon mari ce délectant du soleil dans sa belle chemise offerte par mes soins. Il aimait sentir le soleil sur sa peau mais en ville cette idée n'est pas trop possible avec sa condition de vampire. Il n'ouvrit pas les yeux mais me dis:

- Ces choses te tueront !

Je rie à son sarcasme et lui dis du haut de mon balcon :

- Mon amour, nous mourront tous un jour alors il faut bien profiter et comme on le souhaite. Si je dois mourrir demain je saurais que j'ai bien vécu.

Il en répondit rien mais écoutais. Effectivement il y avait comme un bruit, un sifflement dans l'air, ce qui annonçait l'arriver de mes belles-soeurs. Je desseins dans le salon prévenir ma grands mère de l'arriver d4alexia et de Sorcha, en attendant ces deux prénoms mes familles arrivèrent en criant dans le salon. Je leur sommais de se calmer un petit peu sinon Alexia le ferais. C'étais toujours un argument de choc pour qu'elle se calme ne serait ce que cinq minutes. Alexia était une tante dure mais avec énormément d'amour a leur donner. Sorcha étant plus douce avec elles.

Après quelques discussion, le bain de nos filles ainsi que leur repas nous décidâmes qu'il était temps pour nous deux nous envoler. Après quelques baisers, nous partîmes coucher les deux monstres de nos vie. Je bordais Natalia qui me sera une dernière fois dans ses bras. Ses cheveux était redevenus blond comme les blés. Je lui rendis son étreintes l'embrassant sur le front. Et filais vers le lit d'Astrid qui commençait déjà a sombrer dans un sommeil profond, je lui caressait la joue et l'embrassais elle aussi sur le front. Après un dernier regard en arrière pour m'assurer que nos filles dormais, nous redescendâmes avec nos valises.

Quelques embrassades et des abreuvoirs et nous voilà en Grèce et en vacance. Après avoir atterris dans une ruelle proche de notre hotte mais déserte, nous filâmes vers l'hôtel puis la suite ou nous avions déjà loger lors de notre premier séjour. Après avoir diner et trinquer à ce début de vacances, le lit nous attendait avec comme promesse une bonne nuit d'amour et de sommeil.

La journée qui nous attendait le lendemain fut charger. Après un réveil en douceur, un petit déjeuner sur la terrasse de notre suite face à la mer, la brise légère et le soleil ce dévoilant sur nous avec une douceur bienvenue. Une bonne douche et nous partîmes armer de short et de lunettes de soleil nous étions partis pour une grosse journée de visite des plus beaux endroits des iles grecs sans oublier nos maillots de bain et serviette de plage dans mon petit sac.

Rien ne nous échappas. L'acropoles puis le parthénon érigé en l'honneur d'Athéna, la fabuleuse déesse grecque de la sagesse et d cela stratégie guerrière. pendant notre visite j'avais lancée a Stan:

- Tu ne trouve pas que je lui ressemble ? Tout en me postant au cotés d'une des statuts a l'effigies de la déesse. C'était quand même prétentieux de ma part de me comparer à une déesse grecque.

Nous avions continuer notre journée sur la plage, Stanley à l'abris du soleil sous un parasols pendant que moi je lisais tous en bronzant, j'étais bien trop blanche pour moi, un teint alé me serais bénéfique. Mais pour quoi faire? Qu'avais-je comme but aujourd'hui? J'avais céder mes cours à notre cousin Medhi lorsque mes filles étaient nées. Beaucoup trop préoccupé par elles pour me concentrée sur mon job de professeur de défense contre les forces du mal. AUjourd'hui elles avaient grandi et travailler me manquait. Seulement retrouver un poste de professeur ne m'intéressait plus... Je ne savais que faire de mes dix doigts ou du cerveau qui se transformais en cocottes tellement il regorgeait d'idée... Je ne savais pas trop comment mon mari réagirais à l'annonce du fait que je voulais arrêter ce travaille de mère au foyer qui ne m'allais pas du tout. Il était quand même plutôt vieux jeux sur certains détails. Mais il fallait que je me décide à lui dire à un moment donnée... Nous étions bien et heureux ici, c'était peut être le moment parfait pour lui annoncer.

- Mon chéri, il faut que je te dise... Je veux retrouver un travail, quoi je sais pas mais un boulot qui me plait. OU je pourrais faire exploser les idées qui me trottes dans la tête tous le temps. terminais-je en buvant une gorger de cocktails et en allumant une cigarette. les cigarettes de plages... les meilleures du monde !!
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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyJeu 23 Avr - 20:47

Nous nous levâmes le matin en pleine forme et primes le petit déjeuner en tête à tête. Aujourd'hui, c'était visite de l'Acropole et le Parthénon puis après midi plage. J'étais moins convaincu par la deuxième parti du programme. J'allais faire tâche en maillot de bain et brillant au soleil comme un diamant, et j'allais être encore plus ridicule en costard cravate, chapeau et lunette de soleil par le temps magnifique qu'il faisait. Mais bon, nous étions là pour refaire notre lune de miel et la plage faisait parti du programme !

Une fois au Parthénon, Hana alla se diriegea vers une statue de la déesse grecque Athéna. Prenant la même pose pendant que je la photografiais elle me dit -Tu ne trouve pas que je lui ressemble ? - Son rire me fit rire aussi. En fait c'est ça, elle se faisait rire elle même et je trouvais ça adorable. C'était une des chosesqui dix ans plus tôt m'avaient décidé à demander sa main à sa grand mère. - Tu rendrais jalouse Aphrodite chérie !

Après une visite a l'Acropole, nous partimes déjeunerdans un restaurant avec vue sur la mer méditerranée. Moussaka, baklava, souvlàki, horiatiki, spanakópita... tput le menu était sur notre table !
Ensuite, le moment de la journée que je redoutais le plus: la plage. Fort heureusement il n'y avait pas beaucoup de monde alors pour que moi aussi je puisse me baigner tranquillement, nous avions choisis un petit coin éloigné et tranquille. L'eau était agréable et je m'amusais à arroser Hana qui la trouvait trop froide à son goût pendant qu'elle me hurlais pour me sommer d'arrêter. J'étais plié !

Ensuite nous retournâmes vers nos affaires et je me protégeait du soleil dont j'avais abusé et qui commençait à me brûler la peau sous un parasol. Hana elle, etait entrain de bronzer pour prendre des couleurs. Sa peau était d'une blancheur naturelle extraordinaire et j'aimais ça. Pour l'embêter, je m'amusais des fois à l'appeler 'fromage blanc" ou "mon danone adoré".  - Mon chéri? - Dit elle pour attirer mon attention - Oui? - répondis - je. - Je veux retrouver un travail, quoi je sais pas mais un boulot qui me plait. OU je pourrais faire exploser les idées qui me trottes dans la tête tous le temps. - Alors ça c'était nouveau ! Et très inattendu surtout ! Remontant mes lunettes de soleil sur la tête, je pris la crème solaire et lui fit signe de se mettre sur le ventre pour lui en étaler sur le dos. Une fois en position, je commençais à lui masser le dos avec la crème tout en parlant. - Je comprends que tu veuilles travailler chérie, mais est ce que c'est nécessaire ?  Je veux dire, je ne suis pas contre, hein? Je viens peut être du siècle passé mais j'approuve et soutient la place des femmes dans le monde du travail. Et surtout, tu veux faire quoi si pas prof? Tu as une idée ? - Elle me repondit pendant que je reprenais ma place sur mon transat. - Écoute mon cœur, je suis ton mari et je vais être sincère avec toi, l'idée de reprendre un travail me laisse froid avec le climat qui règne et la lettre que nous avons reçu. Je te rappelle que c'est toi qu'elle vise ! Mais j'ai toujours essayé de te laisser ta liberté et fais de mon mieux pour que tu sois heureuse. Donc, si tu pense que reprendre un boulot peut te combler, je te soutiens. À une condition par contre ! Embrasse moi ! - Finis je en souriant.

Le soir, nous rentrâmes à l'hôtel où une soirée avait lieu. Nous nous dirigeâmes vers notre suite pour nous doucher afin de nous débarrasser du sable et de l'eau salée de la mer, puis nous habillâmes pour descendre rejoindreles autres clients. Inutile de vous dire que tous les regards étaient braqués sur nous,  ou plutôt sur ma femme ! Oh oui elle était belle ! Je n'étais pas mal non plus pour mon âge en vérité pensais je amusé. Certaines femmes me regardaient avec envie, d'autres contemplaient Hana et ses bijoux, mais le regard insistant d'un des convives qui avait les yeux rivés sur mon épouse finit par me faire grogner un peu. Discrètement, je m'approchais de lui dans la soirée et lui montrait un de mes crocs pour le mettre en garde. Il empestait le chien et je vis dans son regard que c'était un lycaon. Mes yeux passèrent de l'ambré au rouge à une vitesse folle tandis qu'il son regard passait de moi à
Hana à toute vitesse, la lèvre tremblante et tout agité. Un mâle en rute ! Et il avait flairé la partie louve d'Hana. Je ne compris pas ce qui s'était passé, je me revoyais juste disparaître et revenir en quelque secondes. L'homme avait disparu. Hana vint me voir. - Tu passes une bonne soirée mon amour? Moi je suis tombé sur un lycaon qui voulait se... soulager je dirai... avec toi. J'en ai fais mon affaire, il n'est pas prêt de réapparaître ! - Ses yeux commencèrent à grossir dans leur orbite et avant qu'elle ne fasse un scandale je la rassurais - Je ne l'ai pas tué, calme toi, je t'ai fais la promesse de ne jamais leur faire de mal, souviens toi ! Je lui ai trouvé un substitut ! - En effet, je l'emmenais dehors loin de l'hôtel et nous trouvâmes le lycaon transformé avec une louve grise provenant que j'avais trouvé dans la forêt. Ils étaient entrain de jouer comme des toutous, s'en était presque adorable !

Après une nuit remplie d'ébats et de rires, Hana finit par s'endormir. J'étais resté auprès d'elle jusqu'à ce que ses yeux se fermèrent et commençais à réfléchir à comment j'allais aborder le sujet de son passage au stade de vampire et atteindre l'immortalité. Je ne voulais pas qu un jour, je retrouve le cadavre de ma femme égorgé dans notre jardin, noyé dans la piscine, imbibé de sang dans le lit ou rempli de plomb en face de l'entrée de la maison. Ces idées noires me taraudaient et me travaillaient sans cesse du matin au soir même si je ne laissais jamais rien paraître.

Je savais qu'il y avait toujours quelqu'un qui serait présent parmi la Ligue de Sang pas loin de chez nous prêt à intevenir au moindre bruit suspicieux, mais je ne pouvais m'empêcher de tracasser et de faire défiler encore et encore la lettre que nous avions reçu à notre domicile et qui la visait personnellement. "Stanley, ta femme est morte". Aucun nom, aucune signature, rien.

Allongé dans le lit, les jambes croisées au dessus de la couverture, me rongeant l'ongle de mon pouce, je pris l'initiative de faire moi même les gardes autour d'elle. S'il arrivait quelque chose je voulais être le premier en ligne prêt à la défendre même si elle en était amplement capable, mais la différence, c'est encore une fois, sa mortalité.

Et réfléchissant à cela, je me rendis compte que même si j'étais vampire, j'étais une cible difficile à tuer certes, quasi impossible, mais je pouvais un jour tomber sur quelqu'un de plus fort et qui reussirait à me terrasser. Mince alors...
Retirant délicatement le bras de Hana d'au dessus de moi, je me levais doucement pour ne pas la réveiller et me dirigeais vers le salon. Je pris une bière bien fraîche dans le frigo du bar, un parchemin dans ma valise, une plume et de l'encre, et commençais à rédiger mon testament.

J'y avais passé une heure environ, je n'avais pas beaucoup d'héritiers en réalité à part mes soeurs, mes filles et ma femme. Enfin je crois ! En 153 ans j'avais eu le temps de connaître des femmes mais aucun enfant n'a jamais été déposé sur le seuil de ma porte ! Mais shuuut, faut pas le dire à Hana, elle serait capable de toutes les retrouver et leur planter un pieu dans le coeur ! À moins qu'elle ne décide de me le planter à moi !

Une fois le testament terminé, je le roulais et le collais avec mon sceau puis le cachais dans une poche sans fin de ma veste en lin. Il serait en sécurité là.

Au matin, Hana se réveilla et commença à s'étirer et se prélasser en baillant - Bonjour mon amour - Dis je plongé dans un bouquin appelé Outlander qu'Hana m'avait conseillé. - Tu as bien dormi?

Elle se redressa, adossée contre la tête du lit et, je vous donne dans le mille, elle alluma une cigarette. Je ne dis rien mais je n'en pensais pas moins. Écoeurant dès le reveil !

Je posais un baisé sur sa tempe et me levais pour aérer en ouvrant les fenêtres.
Nous parlâmes de tout et de rien devant un petit déjeuner copieux. - Je veux aller voir Cnossos aujourd'hui. Ça te dit? Ou tu préfères autre chose?

J'attendis sa réponse puis, je retournais dans le lit m'allonger. Hana arriva quelques minutes après et s'allongea à mes côtés, sa tête posée au dessus de mon bras et ma main caressant son épaule. Je revoyais dans mon esprit le lycaon en rute de la soirée passée et je fut pris d'un sentiment étrange qui commença à fleurir dans mon coeur. Continuant mes caresses sur son épaule et regardant le plafond je dis - Je veux un garçon.
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptySam 25 Avr - 23:59

Il me fit signe de mettre a plat ventre pour me badigeonner de crème solaire, me voir bronzer lui faisait toujours un effet bizarre au début de l'été.

- Je comprends que tu veuilles travailler chérie, mais est ce que c'est nécessaire ?  Je veux dire, je ne suis pas contre, hein? Je viens peut être du siècle passé mais j'approuve et soutient la place des femmes dans le monde du travail. Et surtout, tu veux faire quoi si pas prof? Tu as une idée ?

Je tournais la tête vers lui et répondis :

- Je ne sais pas, quelque chose d'utile a la société, prof je ne pense pas, j'ai déjà bien assez à faire avec nos deux filles, ma patience a des limites qu'elle mettent déjà a rudes épreuves, non je ne pourrais plus exercer ce métier. Non je ne sais pas peut être au ministère j'ai plein d'idée de réformes et puis surtout en ce moment on ne peux pas dire que le premier ministre nous aides beaucoup. On ne le vois pratiquement plus...


Il reprit sa place sous le parasol après avoir terminer me mette de la crème, je m'installais sur le coté pour mieux le voir pendant qu'il me disait:

- Écoute mon cœur, je suis ton mari et je vais être sincère avec toi, l'idée de reprendre un travail me laisse froid avec le climat qui règne et la lettre que nous avons reçu. Je te rappelle que c'est toi qu'elle vise ! Mais j'ai toujours essayé de te laisser ta liberté et fais de mon mieux pour que tu sois heureuse. Donc, si tu pense que reprendre un boulot peut te combler, je te soutiens. À une condition par contre ! Embrasse moi !

Je lui souris et vint m'installer sur le bord du transat, l'enlaçant et l'embrassant fougueusement. L'après-midi continuas sans encombre, sagement, enfin presque sagement, entre les gerbes d'eau froide, parce que oui la Méditerranée étais froide, que mon mari me lancais pour m'embêter et nos rire incessant. Le soir venus, nous avions regagner notre chambre afin de nous préparer pour rejoindre les autres clients de l'hôtel invité à une soirée organisée par celui-ci. Après avoir pris une douche et revêtu une robe longue couleur vert d'eau, qui allait parfaitement avec mes sandales corails, mon pendentif que Stanley m'avais offert à la naissance des filles, qui s'ouvrait sur leur deux jolie minois, mon alliance et ma bague de fiançailles, une pochette pour planquer ma baguette, un briquet et mes cigarettes et j'étais prêtes pour aller diner.

Lorsque nous désensimes, la salle de réception étais déjà remplie de monde. Je scrutais le regards des femmes... Bien trop insistantes a mon gouts je leur lançais des sourires accompagné de regard glaciale je pense qu'elle ont vidé compris qu'il ne fallait pas trop toucher à la marchandise.
Je sentais un regard insistant sur moi, mon mari toujours a mes côtés, je me risquais à jeter un coup d'oeil, je compris rapidement qu'as ses yeux ce n'étais pas un être humain a part entière mais un lycan qui avait surement senti ma demi part d'appartenance à cette espèce, j'haussais un sourcil lui faisant bien comprendre qu'il pouvait toujours aller se faire voir ailleurs ! J'étais partis nous chercher des boissons au bar, un château Margaux 2010 pour Stan' heureusement qu'ils avaient une caves fantastique et pour moi beaucoup plus simple, un Bacardi, du rhum avec du citron vert, un délice d'acidité. Je cherchais mon mari du regard, espérant qu'il ne c'étais pas fais alpaguer par une de ces rodeuses. Je le découvrais près de la porte fenêtre donnant sur le jardin et par de lac celui)ci une foret. Ces yeux avais virée au rouge... Ça sentais le roussis ça je lui tendais son verre de vin rouge quand il ne me laissas pas le temps d'ouvrir la bouche:

- Tu passes une bonne soirée mon amour? Moi je suis tombé sur un lycaon qui voulait se... soulager je dirai... avec toi. J'en ai fais mon affaire, il n'est pas prêt de réapparaître ! Voyant que mon visage commençais a changer de couleur et mes yeux aussi il s'empressas d'ajouter:

- Je ne l'ai pas tué, calme toi, je t'ai fais la promesse de ne jamais leur faire de mal, souviens toi ! Je lui ai trouvé un substitut !

Je secouais la tête d'exaspération, en le suivant dehors je lui dis :

- Quand tu le veux mon chéri tu es d'une classe a tous rompre, je lui avais déjà mis un stop avant que tu n'intervienne je te signale ! Qu'est ce que tu lui as fais ?! je découvrais le loup, et la louve entrain de fire connaissance, je tournais les talons entrainant Stan a ma suite en disant, laissons les tranquilles!

Après cet événement nous avions décider de regagner notre chambre ou nous passâmes une partis de la nuit a faire l'amour et à rire, comme à nos début. Puis je m'endormais d'un sommeil profond et sans rêves.

Je me revellais en milieu de matinée, comme à son habitude Stanley était installer à mes côtés contre la tête de lit entrain de lire ma saga préférer, Outlander. Il sortis du livre me demandant si j'avais bien dormi. Je m'étirais comme un chat en grognant que oui. Il déposa un baiser sur ma tempe et partis aéré notre chambre pendant que moi j'allumais une cigarette et j'enfilais un peignoir histoire d'être présentable. Je sentais, je ne savais pas trop pourquoi que la journée allait être longue. Enfin nous nous installâmes devant la table de notre petit déjeuner. J'enfournais un pancakes pendant que nous discutions de tous et de rien, ainsi que de notre programme du jour.

- Je veux aller voir Cnossos aujourd'hui. Ça te dit? Ou tu préfères autre chose?

J'aquiecsais la bouche pleine de yaourt grecque, j'avalais ma boucher lui disant:

- Très bonne idée mon amour laisse moi prendre ma douche et c'est partis !

une douche express et je trouvais mon mari allonger dans le lit en sortant de la salle de bain en peignoir, encore légèrement mouiller je vins me loger contre lui, il commenca a me caresser l'épaule. Et c'est ce moment de sérénité précis qu'il choisi pour me balancer de but en blancs:

- Je veux un garçon..

Je fronçais les sourcils, tous c'était mis en ébullition dans mon cerveau... Il ne fallait pas que je tarde trop pour lui répondre mais il avais le don de déstabiliser une statue cette homme. Un bébé, la, tous de suite?

- Mon chéri, on est sorti des couches-culottes depuis quatre ans et tu veux qu'on se replonge la dedans? Et puis qui nous dis que ce sera un garçon et pas une fille ou même qu'on auras pas a nouveau des jumeaux. Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée...

Je me relevais et partis m'habiller j'enfilais un short en jean un tee-shirt blancs mis mes chaussettes tout en me disant que j'avais effectivement envie d'un petit garçon mais les lois de la nature ne pouvait pas nous le dire, je comptais pas demander a Mafalda de me dire mon avenir et puis revivre l'accouchement de mes filles? ça avait été horrible et d'une souffrance pas possible... Maos la joie qui m'avais envient cette amour inconditionnelle même si elles pouvaient parfois être de vrais démons mais j'étais heureuse de les avoirs...

Je me tournais vers Stanley et lui dis:

- Bon très bien, je vais y réfléchir, mais réfléchis y de ton côté toi aussi. Regarde tous ce que les acôté d'avoir a nouveau un enfant... Bon allez on vas la voir cette ville pleine de visite ? Elle n'attend que nous !

J'enfilais mes converses et l'attendait à la porte, chapeau et sac à l'épaule. Après avoir eu sa réponse le sujet fut clos, tous du moins pour le moment... Nous priment le bateau jusqu'as atteindre la ville de Knossos ou nous passâmes notre journée a visiter les ruines du palais. Mais cette idée de garçon ne voulait pas me lâcher, et a chaque nouvelles pièces que nous visitions on voyais passer des petit garçon avec leur parents qui courrait partout. Pourquoi avait il fallut qu'il me sorte une chose pareils en vacance.

Nous nous étions arrêtés en fin d'après-midi épuiser par nos escapades éreintes, éblouis par la beauté des paysages, des maisons blanche et bleu d'ou on pouvait voir la mer. les maisons avaient des oliviers en devanture avec d'énormes fleur rose bordant leur mur, j'aurais pu rester des heures a les regarder mais mon estomacs commençais a crier famines alors nous décidâmes de redescendre sur le ports pour prendre un verre.

Nous étions en fin d'après midi, le soleil ce couchait sur les bateaux flottants sur la mer turquoise du ports, une brise fraiche commençais a ce lever. Nous avions commander de l'alcool locale et pour remplir nos estomacs nous avions commander de dakkos, de kalitsounia, de Melizanosalata ainsi que de saganaki. Tout en picorant et en sirotant notre verre, j'allumais une cigarette histoire d'essayer de me détendre fasses a ce paysage maritime que même les dieux devaient nous envier.
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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyVen 1 Mai - 12:37

- Je veux un garçon...

Je ne me rendis pas compte sur le moment que je venais d'exprimer ce désir, cette envie soudaine qui me prit au dépourvu, l'envie de retenter l'expérience. J'avais été un père absent pour mes filles durant ces 8 premières années de leur vie, pour multiples raisons, et je m'en voulais et le regrettais. J'avais déjà non uniquement pris la décision d'y remédier mais également de ne pas faire la même erreur avec un futur enfant si tant est que nous en aillons un autre un jour. Mes paroles me déstabilisèrent et avaient certainement secoué Hana qui d'un coup se détacha de moi et me répondit sur un ton grave - Mon chéri, on est sorti des couches-culottes depuis quatre ans et tu veux qu'on se replonge la dedans? Et puis qui nous dis que ce sera un garçon et pas une fille ou même qu'on auras pas a nouveau des jumeaux. Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée... - Elle se leva en soupirant, pour s'habiller. J'ignorais si ce soupir exprimais de la fatigue, de la tristesse ou de la lassitude. Je me levais à mon tour et commençais à choisir des habits dans le placard de notre suite tout en lui parlant - Donc tu ne veux pas d'un autre enfant. - Elle aussi continuait de s'habiller tout en m'écoutant - Eh bien soit. Mais j'aurai aimé que tu imagines qu'une nuit, alors que nous serions endormis, la porte de notre chambre s'ouvre et que des petits pas se fassent entendre, et que notre enfant apparaisse au pied du lit, qu'il tire un peu sur nos draps et dise " Papaaa, j'ai peuuur". Je suppose qu'à ce moment là, je le prendrai dans mes bras l'allongerai à côté de nous, qu'il sente notre respiration, qu'il se calme puis qu'il s'endorme... - Sortant soudainement de ma rêverie, bien habillé, bien coiffé, j'ajoutais en m'assénant près de mon épouse - Je suis sûr qu'à ce moment là, moi j'aurai de chaque côté les plus belles choses qui me soient arrivées dans la vie.

Elle me regarda, puis après une courte réflexion elle me répondit - Bon très bien, je vais y réfléchir, mais réfléchis y de ton côté toi aussi. Regarde tous ce que les à côté d'avoir a nouveau un enfant... Bon allez on vas la voir cette ville pleine de visite ? Elle n'attend que nous ! - Elle me promit donc d'y réfléchir à condition que moi aussi je mesure le pour et le contre. Ne voulant plus insister sur le sujet, j'ouvris la porte de la suite et la laissais passer en première. Nous traversâmes la plage pour aller au port où nous prîmes un bateau pour rejoindre Cnossos, et revisiter pour la énième fois pour moi, la deuxième pour Hana, le magnifique site archéologique et son somptueux palais, aillant appartenu au roi Minos d'après la légende, et découvert par l’antiquaire Minos Kalokairinos, qui fût un très bon contact des di Salvo, et un regretté et très cher ami personnel.

Ensuite nous enchaînâmes la visite de l'île, et rencontrèrent de nouvelles personnes qui avaient l'air sympathiques. Chose étonnante, malgré la chaleur ils arboraient le même style d'habits que moi, couverts de la tête aux pieds.  Plus tard dans la journée, ma femme et moi allâmes nous promener dans les diverses ruelles en labyrinthe qui constituaient la ville. Les maisonnées bleus et blanches, avec des fleurs diverses et colorées et des oliviers en devanture, la brise marine apportait l'odeur de sel, d'algues et de poissons jusqu'à nos nez et naturellement, nos estomacs commencèrent à crier famine ! Nous nous dirigeâmes de nouveau au port pour boire un verre et déjeuner. Hana avait été distraite tout le long de la visite, comme si elle réfléchissait à quelque chose qui la tracassait, mais, je ne lui posais aucune question. Des fois elle préférait qu'on ne l'embête pas quand elle est plongée dans ses pensées, mais elle était submergée par la beauté des maisons et des paysages qu'offraient l'île. Le soleil commençait à disparaître timidement dans l'horizon, annonçant l'arrivée proche de la nuit. Au port, nous avions commandé des spécialités régionales et grecques pour nous remplir la panse car nous n'avions rien avalé depuis le petit déjeuné. Moi j'étais content car j'avais prix de très beaux clichés de mon épouse, du palais, de l'île, et j'étais entrain de les regarder une à une avec l'appareil lorsqu'Hana  alluma une cigarette et assise de façon décontractée et détendue, se mit à regarder au loin, la mer et ses innombrables secrets.

Je pris l'appareil et sans la déranger, je pris une photo. Elle était belle. Comme je le lui avais dis, elle rendrait jalouse Aphrodite. Malgré nos querelles incessantes, mon envie constante de vouloir goûter son sang, son envie à elle de vouloir me planter avec un pieu... Je savais que j'étais un homme chanceux d'avoir une femme aussi belle, aussi intelligente, aussi aimable et drôle, et par moments sensuelle, voir carrément torride mais également autoritaire et meneuse de meute !

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Elle me regarda puis me souris en silence et continua à fumer sa cigarette. Je me levais pour aller demander un plaid à l'accueil du restaurant car il commençait à faire un peu frais et le tendit à ma femme si jamais elle voulait se couvrir. Nous profitions en silence du calme de la nuit et du bruit des vagues glissant sur le sable côtier puis arriva le moment de reprendre le dernier bateau pour rentrer à l'hôtel.
Je la laissais m'attendre à l'entrée du restaurant tandis que je payais puis nous reprîmes main dans la main en douce balade, le chemin du port.
Arrivés à l'hôtel, Hana avait toujours l'air hagard, perdue dans ses pensées. - Chérie, tu n'as quasiment rien dit aujourd'hui... Qu'as tu? - Questionnais-je m'asseyant à côté d'elle. - Si c'est vis à vis de ce que je t'ai dit ce matin, ce n'est pas grave ! Si tu ne veux pas avoir un autre enfant, tant pis, on a déjà deux petite princesses ! Hey - Ajoutais-je en murmure, prenant délicatement son menton dans ma main pour diriger son visage vers le miens - Je t'aime ! Tu le sais ! A quoi tu penses? Tu peux m'en parler, je suis ton mari ! Je suis là pour ça !
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptySam 9 Mai - 11:38

Attablé à la terrasse du café, face au port, j'étais dans mes pensées. Je ne vis pas Stanley ce lever puis revenir avec un plaid. Je réalisais son geste seulement quand il me passa la couverture autour des épaules. Lui nuit tombait sur les bateaux. La mer commençait a s'assombrirent, il allait être l'heure de partir prendre le bateau pour rentrée a notre hôtel. Nous nous levâmes et pendant que Stanley allait régler la note, je rendis le plaid et en toute discrétion récupérait dans mon petit sac un gilet blanc pour ne pas mourir de froid. Main dans la main nus partîmes en direction du bateau. La mer était calme ce soir là. Une vraie mer d'huile. Le bateau nous ramena tranquillement a notre hôtel, ou nous montions directement dans notre chambre. Une fois débarrasser de mon sac, je troquais mon short pour un jean il faisais encore frais et allais m'installais sur le balcon attenant avec un roman et mon paquet de cigarette.

Je n'eu pas le temps de lire une page de mon livre que Stan' approchas de moi et me dis tous en s'asseyant a mes côtés :

- Chérie, tu n'as quasiment rien dit aujourd'hui... Qu'as tu?

Je fronçais les sourcils, ne comprenant pas trop ou il voulais en venir. Mais je n'eu pas le temps de lui poser la question qu'il embrayait déjà sur une autre.

- Si c'est vis à vis de ce que je t'ai dit ce matin, ce n'est pas grave ! Si tu ne veux pas avoir un autre enfant, tant pis, on a déjà deux petite princesses ! Hey ! Je t'aime ! Tu le sais ! A quoi tu penses? Tu peux m'en parler, je suis ton mari ! Je suis là pour ça !

Il fait pris mon menton pour diriger mon visage vers le sien. Qu'est ce que je pouvais bien lui répondre.

- Et bien on vas dire que de me balancer de but en blancs ce matin que tu voulais un petit garçon ce matin... C'était un peu violent. Je peser le pour et le contre toute la journée. Me disant que ce n'étais pas raisonnable, on est en guerre, nos filles sont tous le temps chez ma grands mère parce qu'avec nous elle ne sont pas en sécurité et on est trop occuper a aidée la communauté magique pour nous en occuper en ce moment. Faire un bébé en ce moment ce n'est quand même pas très judicieux je te signale. Et puis est ce qu'on sera enfin surtout toi, est ce que tu sera capable de délaissé un minimum ton rôle à la salamandre et au ministère pour consacrer un peu plus de temps a cet enfant que tu n'en as consacrer en huit ans à nos filles. Excuse moi cheir c'est un peu violent dis comme ça mais c'est la réalité. Tu nous as souvent délaisser ces dernières années au profit de tes missions pour l'ordre et le minstère en sachant que tu as aussi un devoir envers ta famille. Nous protéger de loin c'est interessant mais je pense que nos filles préférerait que tu les protègent de près.

J'avais reposer mon livre sur la table et allumer un cigarette tout en faisant apparaitre un verre de rhum devant moi. Je ne voulais pas être si dur avec mon mari mais tous ce que je lui avais dis, c'est ce que je ressentais depuis plusieurs mois, voir même plusieurs années et son envie d'enfant exprimer le matin même avait été la gouttes d'eau qui avait fais débordé le vase. Je repris une grande bouffée de nicotine accompagné d'une grande gorgé de rhum pour me donner la force de continuer.

- Et pourtant j'adorerais avoir un garçon mais qui peut nous dire quand la guerre se termineras? Si nos filles accepteront de ne plus être deux mais trois a ce partager leur parents? Et puis est ce que je survivrais a ce nouvelle accouchement ? J'ai trente-sept ans, je n'ai plus le même âge que quand nous avons eu les premières et je ne sais pas si tu te rappelle à quelle point j'en ai chier ! Alors refaire ça a nouveau ? En ne sachant pas si ce sera un fille ou un garçon et avec une probabilité assez hautes d'avoir a nouveau des jumeaux, je me vois mal avec quatre enfant. Et puis je veux reprendre une activité professionnelle alors est ce que c'est vraiment le bon moment ? Après on est pas sur que notre fertilité soit au même stade qu'il y a presque dix ans alors. Je ne sais pas. Oui je veux ce garçon mais quand.

J'avais presque réussis exprimer tous mon ressentis a mon mari. Maintenant serait il assez raisonnable comme moi ou ferait-il preuve d'immaturité comme par le passer? Nous avions tous deux évolués en dix ans. Nous étions devenus parents, notre relation explosive il y a encore quelques années c'était assagie mais comprendrait-il mon point de vue?

- Voila mon cheri. Tu m'as demander à quoi je pensais je t'ai tous dis. Maintenant je te laisse te débrouillé avec tous ça. Moi aussi je t'aime.
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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptySam 9 Mai - 15:25

Sa réponse ne se fit pas attendre. Elle se mit face à moi, et commença à me bombarder. - Et bien on vas dire que de me balancer de but en blancs ce matin que tu voulais un petit garçon ce matin... C'était un peu violent. Je peser le pour et le contre toute la journée. Me disant que ce n'étais pas raisonnable, on est en guerre, nos filles sont tous le temps chez ma grands mère parce qu'avec nous elle ne sont pas en sécurité et on est trop occuper a aidée la communauté magique pour nous en occuper en ce moment. - La question que je me posais sans rien dire était est ce qu'elle et moi avions déjà fait quelque chose raisonnable dans notre vie, mais je la laissais continuer. - Faire un bébé en ce moment ce n'est quand même pas très judicieux je te signale. Et puis est ce qu'on sera enfin surtout toi, est ce que tu sera capable de délaissé un minimum ton rôle à la salamandre et au ministère pour consacrer un peu plus de temps a cet enfant que tu n'en as consacrer en huit ans à nos filles. - Là je m'assombris. Elle venait de me lâcher une bombe atomique quand elle prononça ces paroles. Elle m'accusait de n'avoir pas été présent pour nos filles comme si je le faisais exprès. Elle avait réussi à me blesser. - Excuse moi chéri c'est un peu violent dis comme ça mais c'est la réalité. Tu nous as souvent délaisser ces dernières années au profit de tes missions pour l'ordre et le ministère en sachant que tu as aussi un devoir envers ta famille. Nous protéger de loin c'est intéressant mais je pense que nos filles préférerait que tu les protègent de près. - Elle prit une cigarette et fit apparaître un verre de rhum. Je la regardais faire, me mordillant la lèvres, écoutant la suite de ses accusations, qui n'étaient que le reflet de ce qu'elle pensait réellement de moi et de mes agissements. - Et pourtant - Elle exhala une bouffée de fumée - J'adorerais avoir un garçon mais qui peut nous dire quand la guerre se termineras? Si nos filles accepteront de ne plus être deux mais trois a ce partager leur parents? Et puis est ce que je survivrais a ce nouvelle accouchement ? J'ai trente-sept ans, je n'ai plus le même âge que quand nous avons eu les premières et je ne sais pas si tu te rappelle à quelle point j'en ai chier ! Alors refaire ça a nouveau ? En ne sachant pas si ce sera un fille ou un garçon et avec une probabilité assez hautes d'avoir a nouveau des jumeaux, je me vois mal avec quatre enfant. Et puis je veux reprendre une activité professionnelle alors est ce que c'est vraiment le bon moment ? Après on est pas sur que notre fertilité soit au même stade qu'il y a presque dix ans alors. Je ne sais pas. Oui je veux ce garçon mais quand. - Elle s’interrompit quelques secondes, réfléchissant à si elle pouvait ajouter quelque chose de plus, histoire de m'achever. - Voila mon chéri. Tu m'as demander à quoi je pensais je t'ai tous dis. Maintenant je te laisse te débrouillé avec tous ça. Moi aussi je t'aime.

Ces derniers mots étaient prononcés comme des aveux et je les ai reçus comme des dards dans le cœur. Regrettait-elle de m'avoir pris comme époux? On aurait dit qu'à cause de moi elle était la femme la plus malheureuse au monde.
Profondément meurtri, je me levais et rentrais à l'intérieur. Je ne voulais pas lui répondre, car j'allais sans aucun doute me montrer méchant, et elle m'accusait déjà d'être la cause de son malheur alors pourquoi en rajouter une couche? Je partis dans la chambre et me changeait, avant de descendre au bar de l'hôtel. Je pris place à une table et commandais un whisky pure malte, et commençais à réfléchir à ses paroles. Elle avait été cruelle de me dire que je ne m'occupais pas de mes filles, cruelle de me balancer à la figure qu'elle préférait ne pas avoir un autre enfant avec moi même si elle le souhaitait, à cause de mes absences répétées. Ma pauvre Hana, si seulement elle savait que tout cela je le faisais pour les préserver...
Je traînait encore longtemps dans le bar jusqu'à sa fermeture puis quand je suis remonté, Hana était déjà dans le lit. Je transplannais.

Vaticano, la ville chrétienne infestée de vampires, créature sataniques ! J'étais arrivé dans une vieille ruelle sombre de la ville, toquais deux fois, une fois puis quatre fois à une grande porte en bronze. Celle ci s'ouvrit et me donna accès à un long couloir gothique, en forme d'arcs. J'entrepris la marche pour le traverser et deux vampires se placèrent auprès de moi pour m'escorter. Demetri et Félix, les gardes des Volturi, les rois vampires. Caïus, était mon aïeul, et c'est de lui que mes sœurs et moi tenions notre chevelure blonde. Arrivé en face d'eux, je trouvais les trois rois assis chacun sur son trône. - Mais quelle délicieuse surprise ! - Me dit Aro se levant pour me toucher la main et voir mon avenir. - Que veux tu? - Demanda Caïus, aussi énervé qu'il pouvait l'être. Mais avant que je ne puisse répondre, Aro se mit à rire et lâcha ma main avant de répondre à son frère. - Il veut la mortalité ! -Et tous les présents commencèrent à ricaner méchamment.

- Oui, je veux la mortalité ! Caïus, je suis ton descendant et j'ai accompli toutes les missions durant mes 70 ans passées à vos côtés. Je n'ai jamais demandé quoi que ce soit en échange pour me récompenser contrairement à tous les autres. Je viens à présent réclamer mon dû, et tel est mon prix. Je veux redevenir mortel ! - Leurs visages se fermèrent jusqu'à devenir mauvais. En effet, les Volturi étaient obligés d'accepter le souhait des vampires qui les ont servis à travers les siècles durant au moins une cinquantaine d'années. J'avais largement dépassé ce quota.

- Mais l'immortalité est notre plus grande arme Stanley ! C'est ce qui nous rend justement supérieurs à toutes les autres espèces ! - Dit Aro avec sa voix grinçante, reprenant sa place au centre de ses frères. - Tu ne peux pas devenir mortel, cela est impossible ! - Rétorqua mon aïeul presque en aboyant. Je perdais patience, et je ne voulais pas passer ici la nuit entière. Je devais être rentré à l'aube. - Cessez donc de me mentir et de me prendre pour un imbécile, voulez vous?! La famille Ombrage, vos descendants Marcus, vous leur avez enlevé leur immortalité ! Faites de même avec moi ! - Ordonnais-je, ma voix résonnant en écho dans la grande salle de pierres, complètement vide. Après un silence sourd, Caïus reprit la parole - Tu ne peux pas devenir mortel Stanley. Tu es mon successeur au trône, le seul encore en vie. Il en est hors de questions ! - Hurla-t-il. - Quelles sont tes motivations? - Demanda une voix plus âgée et fatiguée. C'était Marcus qui parlait. Il était le détenteur du pouvoir de donner ou de reprendre la mortalité sur les créatures du monde. Ses frères le foudroyèrent du regard mais il les regarda avec dédain - Inutile de me regarder comme ça vous tous les deux. Je suis celui qui accepte ou non de rendre mortel un vampire ou pas, je n'ai nul besoin de votre avis mes frères. Stanley di Salvo, quelles sont tes motivations? - Répéta-t-il. - Je veux avoir une vie normale Marcus, je veux regagner l'amour de ma femme et sa confiance, et cela sera possible uniquement si je deviens comme elle, un simple mortel. - Répondis-je calmement, avec un coupçon de tristesse cachée dans ma voix - Tout ce cirque à cause d'une vulgaire chienne?! - S'exclama Caïus. Je vis rouge. Je me jetais sur lui, tombant tous les deux à la renverse avec son trône. Je le tenais par le cou et avions tous les deux sortis nos crocs et nous nous crachions dessus comme des chats. Félix, le plus costaud de la garde voulu approcher mais Aro lui intima de ne rien faire. - Aïeul ou pas, rois ou pas, je ne permets à personne de traîter ma femme de chienne, c'est clair? -Dis-je étouffant Caïus qui se débattait pour échapper à mon étreinte. - EST CE CLAIR ?! - Interrogeais-je, augmentant la pression sur son cou, faisant craquer sa nuque doucement et fissurant son visage de porcelaine. - Ouii... C'est clair... c'est... très clair... ! - Dit il d'une voix étranglée. Lachant prise, je me relevais et me secouais pour que Félix lâche mon épaule.

- Tu l'as cherché Caïus... - Lui dit Aro. Je me tournais alors vers Marcus. - Mon épouse est à moitié loup garoux. Nos deux sangs combinés ont failli la tuer lorsqu'elle a accouché de nos filles. Sa mortalité plus son incompatibilité à se reproduire avec un vampire ont failli venir à bout de sa vie et je ne veux pas que cela se reproduise. - Marcus m'écoutait attentivement. Il était le plus humain des trois vampires. Il avait perdu l'amour de sa vie trois mille ans auparavant et était très facilement touché par les histoires d'amour. - Pourquoi ne pas simplement la transformer alors? - Demanda t -il. - Pour les mêmes raisons qui ont failli la tuer lors de l'accouchement. Son père était Rémus Lupin, un loup garous. Il est connu que Vampires et Loups ne peuvent cohabiter ni se reproduire, mais étant à moitié humaine, nous avons réussi à accomplir l'impensable ! Mais le désir d'agrandir la famille nous habite tous les deux et mon épouse n'est plus dans un âge où elle serait en mesure de lutter pour sa survie lors d'un autre accouchement, donc voici mes raisons Marcus.

Après une minute de réflexion, Marcus prit une bouffée d'aire et se leva de son trône - Cela ne sera pas une expérience agréable. Tu gardera ta longévité, ta vitesse et ta force. Tes crocs et ton pouvoir de vampire aussi, mais si tu te fais tuer, c'est définitif. - Il s'approcha de moi, déboutonna ma chemise dévoilant mon torse et mon abdomen, et avec la griffe de son index, il commença à me crever la peau doucement, me faisant subir une souffrance atroce, traversant mes pectoraux, jusqu'à attendre mon cœur. Là, il donna un coup sec pour le transpercer et je tombais dans les pommes. J'étais cependant conscient de ce qui arrivait et je sentais la froideur de mon corps s'amoindrir, je sentais le sang circuler dans mes veines glacées, une chaleur immense me submergea et au bout de quelques minutes, j'ouvris les yeux. Mon iris avait toujours sa couleur ambrée et mon corps était redevenu froid mais pas autant qu'avant, pour pouvoir laisser circuler le sang. Rien n'avait changé, si ce n'est le fait qu'à présent, j'étais capable de mourir.

Après avoir remercié Marcus et jeté un dernier regard de tueur à Caïus, je transplannais de nouveau dans notre suite. Je partis dans la chambre et vit que ma femme dormait encore paisiblement. Je soupirais à l'idée qu'à présent j'étais encore plus une proie facile à tuer qu'auparavant, et personne ne devait être au courant de ce changement, pas même Hana.
La seule qui pouvait savoir car elle était bien trop loin de tous cela et avait toute ma confiance était Edith Bakkali, une cousine qui avait fugué il y a plus de 10 ans car elle ne voulait pas finir mage noire comme ses frères et sa sœur.
Je pris un parchemin, ma plume et mon encrier et me mis à écrire une longue lettre expliquant en détail tous les événements qui s'étaient produits cette nuit, ainsi que deux petites lettres adressées à mes filles. Je collais mon sceau dessus et joignis mon testament à tout cela et je descendis à la réception de l'hôtel où je demandais une chouette assez rapide pour déposer ces documents urgents. Au cas où je me faisais tuer, Edith allait devoir entrer en jeu et protéger ma famille ainsi qu'épauler Hana.

Je passais le reste de la nuit assis sur un sofa près du lit, regardant le claire de lune illuminer le visage de cette femme qui était mon épouse et qui m'accusait de tous les malheurs du monde. Au matin, elle se réveilla et me trouva assoupi sur le sofa, ce qui arrivait uniquement quand j'étais réellement épuisé. Mon oreille perçante m'indiqua qu'elle bougeait sous les draps pour s'adosser contre la tête de lit. J'ouvris les yeux. - Tu as tort de croire que je fais passer mes missions pour l'ordre et mon travaille au ministère avant toi ou les filles. Si tu n'es pas heureuse avec moi Hana, dis le moi. Je préfère te quitter et te savoir libre et heureuse que victime de cet égoïsme dont tu m'accuse et qui te fait tant de mal. - Je me levais du sofa sans attendre sa réponse et partir sous la douche. Quelques instants plus tard elle arriva à son tour dans la salle de bain.
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyLun 11 Mai - 14:28

Je ne l'avais pas quitter des yeux, le voyant se raidir de plus en plus a force que je vidais mon sac. Il m'avait demander ce que j'avais, je lui avais répondu moi que voulait-il de plus. Ou alors de moins... Après mes longs monologue il était partis de la chambre sans dire un mot. Et voila, j'allais encore passer pour la méchante Hana, qui était trop dur avec son mari.

Bordel je n'avais pas été dur, j'avais juste relaté les faits tel qu'ils étaient. Ce n'est pas lui qui tous les soir entendait nos fille lui demander ou était leur père et avant même que je leurs réponde elle me disait Oui, on sait encore au travail avec un soupir de tristesse. Ça avait été dure pour lui de nous laisser et de nous protéger de loins. Moi je savais qu'il le faisait pour notre bien mais nos filles n'avaient que huit ans et elles avaient du mal a concevoir ce fait là malgré mes explications répétés. Alors avoir un troisième enfant et devoir répéter les même manoeuvre a nouveau j'avoue que ça m'en dissuadait un peu.

Et puis merde c'est quoi cette réaction à la calimero?! Je ne lui ai fait aucun reproche il voulait savoir ce que j'avais je le lui ai dis. Pesant le pour et le contre. Si on as même plus le droit de s'exprimer un tant soit peu ! Et bien qu'il aille boudé, j'irais pas le chercher. Il reviendras quand ils sera calmer.

Toutes ses pensées me fatiguait, pourquoi fallait-il qu'il réagisse en enfant a chaque fois que j'émettais une opinion qui le déplaisais. Je me calais un peu plus confortablement dans le fauteuil, Je troquais mon verre de rhum vide pour un grand mug de thé avec mon énorme livre, j'avais vu Stanley lire le premier tome le matin même, j'en étais déjà au sixième tome pour ma part et ne me lassais pas de retrouver les personnages au en couleur. Je me détendait peu a peu, regardant de temps à autres les mère qui étais d'un calme olympien. Je savais que Stanley ne rentrerais pas de la nuit. Quand il partais énervé après une discussions il en revenait pas avant le lendemain c'était son grands trucs... Et ça m'agaçais au plus au point mais qu'est ce que je pouvais bien faire.

Tard dans la soirée je décidais d'aller me coucher, le sommeil ne tardas pas à me gagner mais un sommeil agités de cauchemars qui ne me laissèrent aucun répit. Je me réveillais au petit matin, Stan était revenus, il était installer dans le sofa et attendait apparement que j'ouvre un oeil. Je me redressais contre la tête de lit et attendit qu'il décide d'ouvrir la bouche:

- Tu as tort de croire que je fais passer mes missions pour l'ordre et mon travaille au ministère avant toi ou les filles. Si tu n'es pas heureuse avec moi Hana, dis le moi. Je préfère te quitter et te savoir libre et heureuse que victime de cet égoïsme dont tu m'accuse et qui te fait tant de mal. Puis il partis en direction de la salle de bain ou l'eau commence a couler. Je le rejoignis dans la salle de bain et commençais a lui dire le fond de ma penser:

- Non mais qu'est ce qui te prend je ne pense rien du tous, je ne fais que constater alors arrête de voir le monde en noir s'il te plait. Je ne suis pas malheureuse je fais juste des constats. Et puis c'est toi qui m'as demander hier soir ce que j'avais je t'ai juste répondu ne vas pas croire que parce que je me pose des questions sur le fait d'avoir un autre enfant je suis malheureuse de ma vie avec toi. Tu tourne toujours tous en disant que je ne t'aime pas c'est épuisant vraiment !

Je me brossais les dents attendant qu'il en ai terminer avec la douche pour pouvoir y passer ensuite. J'attrapais mon jean mon débardeur et mon gilet.

Je sortais de la salle de bain une fois doucher et habiller, presque calmer. et lui dis:

- Arrête de croire qu'as chaque fois que je me pose des questions c'est sur notre mariage ou sur notre vie. Je t'aime, je suis heureuse d'être ta femme et la mère de nos deux enfants, ce n'est pas pour autant qu'il faut tous le temps qu'on soit d'accord sur tous et surtout que tu prenne la mouche a chaque que je fais des constats. Tu es bien susceptible pour un vampire je trouve. Et excuse moi de me poser des questions sur le fait que oui ou non c'est le moment d'avoir un bébé et d'avoir peur d'y laisser ma vie.
Mais s'il te plait arrête de penser que je ne t'aime plus et que je regrette de t'avoir éôusé ça m'agace !


Je m'installais à la table du petit déjeuner qui étais dresser dehors et me servais un grands café noir accompagner d'une cigarette. Je commençais la journée énervé...
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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMar 12 Mai - 22:51

J'étais parti dans la salle de bain pour prendre une douche. L'eau chaude coulait sur ma peau, et maintenant que j'étais devenu mortel, j'arrivais à ressentir un peu la température des choses. A minima cela dit, mon corps était toujours aussi froid qu'un paysage de glace. Hana déboula à son tour dans la pièce, et elle commença à exprimer le fond de sa pensée en se brossant les dents - Non mais qu'est ce qui te prend je ne pense rien du tout, je ne fais que constater alors arrête de voir le monde en noir s'il te plait. - J'écoutais patiemment et en silence tandis que l'eau coulait sur mon visage pour rinçant la mousse du shampoing et du savons sur mon visage. - Je ne suis pas malheureuse je fais juste des constats. Et puis c'est toi qui m'as demander hier soir ce que j'avais je t'ai juste répondu ne vas pas croire que parce que je me pose des questions sur le fait d'avoir un autre enfant je suis malheureuse de ma vie avec toi. - C'était déjà ça... pensais-je. - Tu tourne toujours tous en disant que je ne t'aime pas c'est épuisant vraiment !

Ce fût alors mon tour de répondre. Je coupais l'eau et commençais à parler après être sorti de la baignoire. Je pris une serviette pour me sécher en même temps que je parlais. - Permets moi de te dire ma tendre épouse, que tes remarques et tes constants sont pour le moins injustes. Tu me reproches toujours d'avoir été un mari et père absent. Tu penses que c'est facile pour moi? Hein? - Je frottais la serviette énergiquement sur tout mon corps, tous les coins et recoins de mon anatomie de vampire, puis en prit une autre et l'enroulais autour de ma taille. - Tu sais ma chérie, je n'ai fait qu'exprimer une idée en parlant d'avoir un troisième enfant, mais je me dis que j'ai bien fait, car je vois que tu m'as réservé beaucoup de non-dits durant toutes ces années. Je t'ai toujours demandé, et je dis bien toujours et à chaque fois, si tu avais quelque chose à me dire...

Elle se dénuda et pénétra dans la baignoire. Je sortis de la salle de bain pour la laisser finir sa douche en paix, et partis m'habiller. Aujourd'hui j'en avais rien à foutre, je mis un bermuda bleu, une chemise en coton blanche, mes chaussures André Bird et mes lunettes de soleil. Ma peau allait briller de milles feux devant le reste du monde. Je sortis à la terrasse où le petit déjeuné était servi magiquement chaque matin, et je me servis une bonne grosse tasse de thé noir, sans sucre. Hana arriva au bout de quelques minutes, lavée et habillée, avec déjà des mots plein la bouche et une cigarette toute prête entre ses doigts - Arrête de croire qu'as chaque fois que je me pose des questions c'est sur notre mariage ou sur notre vie. Je t'aime, je suis heureuse d'être ta femme et la mère de nos deux enfants, ce n'est pas pour autant qu'il faut tous le temps qu'on soit d'accord sur tous et surtout que tu prenne la mouche a chaque que je fais des constats. Tu es bien susceptible pour un vampire je trouve. Et excuse moi de me poser des questions sur le fait que oui ou non c'est le moment d'avoir un bébé et d'avoir peur d'y laisser ma vie. Mais s'il te plait arrête de penser que je ne t'aime plus et que je regrette de t'avoir épousé, ça m'agace ! - Elle s’asseya en face de la mer à côté de moi, se servis du café et alluma sa cigarette. Son ton avait été moins virulent, mais je voyais bien qu'elle était énervée. Quand elle buvait du café noir avec une clope dès le matin, c'est que ça n'allait pas. Je soupirais un coup et posais mon mug encore rempli de thé avant de parler - Hana, j'ai été un père absent pour mes filles, j'ai été un mari absent pour toi, mais sache qu'il n'est jamais facile pour moi de vous quitter à chaque fois. Et sache également que c'est pour votre bien à toutes les trois ! Et si tu constantes, moi je m'inquiète ! Je me pose tous les jours la question de si un jour je vais rentrer et ne pas vous retrouver, ni toi ni les filles. Je me pose la question de si tu regrette t'être marié à un vampire car cela a inclut beaucoup de jugements et de sacrifices, je me ronge le sang à me demander si durant ces absences, tu n'as pas rencontré quelqu'un d'autre de plus présent et que les filles choisiraient comme père. Tu vois, je psychote peut être je deviens parano, mais je m'inquiète tellement pour vous ! Tu n'imagines pas à quel point il m'est insupportable de voir ta tête déçue et les filles toutes tristes à chaque fois que je dois fermer la porte derrière moi... Je ne veux pas me battre, pas encore Hana, s'il te plaît, nous nous sommes assez battus entre nous et contre tout et contre tous ! Nous sommes ici pour refaire notre lune de miel, fêter nos 10 ans ensemble... Faisant un effort pour bien finir les quelques jours qu'il nous reste, veux tu?

Je m'étais placé derrière elle et avais posé mes mains sur ses épaules. J'avais accompagné mes mots par un massage de ses épaules, sa nuque et son cou, et posais un baisé sur sa joue. Elle me répondit et puis après avoir fini notre petit déjeuner, nous transplannâmes en Crête, l'Isle préférée d'Hana. Elle avait adoré ce petit fragment de paradis sur Terre lorsque nous étions venues pour notre lune de miel. Nous nous promenions le longs des maisons en pierres assemblées, toutes lumineuses et baignées de soleil. Des mouettes et des goélands traversaient le ciel en hurlant vers la mer, et la brise légère apportait l'odeur marine des algues et du sel jusqu'aux ruelles de la ville. Nous étions passés près d'une maison possédant une architecture resplendissante. Nous étions restés un peu plus longtemps en face d'elle, regardant la maison située au fond d'une petite allée entourée d'un jardin. La maison était à vendre, et je voyais bien Hana passer ses étés ici avec sa Céline sa meilleure amie ou avec moi et nos enfants. Nous avançâmes et nous atterrîmes dans une petite place très coquette, où nous nous installâmes dans un restaurant nommé le Kalinka. J'avais pour ma part décidé de changer un peu et de commander un bon plat de lasagne car la nourriture de mon pays natal et d'origine me manquait, et que je commençais à en avoir un peu marre des moussakas et des baklavas !  - Ça va mieux mon amour? Tu n'es plus fâchée? - Demandais je à ma femme tandis que nous mangions. Mon ton était doux, je voulais sincèrement profiter de ces instants rien qu'à nous deux, car bientôt nous allions devoir rentrer et nous occuper de nos deux petites démones, ainsi que reprendre pour ma part mes activités à l'Ordre de la Salamandre ainsi qu'au ministère, que je commençais à sérieusement à hésiter à quitter.

Nous passâmes le reste de l'après midi à la plage, profitant du soleil. Hana commençais à avoir un petit teint halé qui la changeait un peu du blanc virginal habituel de sa peau. Je dois avouer que ce petit changement de couleur ne me laissait pas indifférent ! Tout doucement, je posais mon livre sur ma serviette de plage et me levais pour m'allonger sur elle sans mettre tout mon poids. - J'ai envie de toi - murmurais-je à son oreille, humant son parfum mélé à l'odeur du sable d'or et de la mer - Et tu sens si bon... - Soufflais plus sensuellement, posant des baisés délicats au creux de son cou et sentant l'excutation montrr en moi.
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyDim 17 Mai - 18:46

Après lui avoir donner les détails de mon esprit, il soupira, surement fatigué et entrain d'analyser ce que je venais de lui avouer. Il fallait bien qu'as un moment donner il le sache et si il ne le savait pas déjà ça signifiait qu'ils s'étaient mis des oeilleres pendant plus de sept ans... Ce qui m'étonnais connaissant un temps soit peu mon mari. Sa réponse a mes longues tirades ne se fit pas attendre:

-  Hana, déjà sa commençait mal, j'ai été un père absent pour mes filles, j'ai été un mari absent pour toi, mais sache qu'il n'est jamais facile pour moi de vous quitter à chaque fois. Et sache également que c'est pour votre bien à toutes les trois ! Et si tu constantes, moi je m'inquiète ! Je me pose tous les jours la question de si un jour je vais rentrer et ne pas vous retrouver, ni toi ni les filles. Je me pose la question de si tu regrette t'être marié à un vampire car cela a inclut beaucoup de jugements et de sacrifices, je me ronge le sang à me demander si durant ces absences, tu n'as pas rencontré quelqu'un d'autre de plus présent et que les filles choisiraient comme père. Tu vois, je psychote peut être je deviens parano, mais je m'inquiète tellement pour vous ! Tu n'imagines pas à quel point il m'est insupportable de voir ta tête déçue et les filles toutes tristes à chaque fois que je dois fermer la porte derrière moi... Je ne veux pas me battre, pas encore Hana, s'il te plaît, nous nous sommes assez battus entre nous et contre tout et contre tous ! Nous sommes ici pour refaire notre lune de miel, fêter nos 10 ans ensemble... Faisont un effort pour bien finir les quelques jours qu'il nous reste, veux tu?

Il avait raison sur certains points, et tord sur d'autre mais il avait raison, il fallait faire abstraction de cette dispute pour le bien de notre couple et le bien de nos de vacances aussi. En revanche je mettais un points d'honneur a le rassuré. Je ne voulais en aucun cas qu'il croit que ses départ me décevait, il m'attristais certe, car un manque ce faisait sentir en moi et dans mon lit, même si nos filles ce faisait une joie de l'envahir par la même occasion, ces petits corps n'avais rien a voir avec le corps grands, forte et froid de leur père. Tout en me parlant il avait essayer, et je dois le dire pratiquement réussit, de me détendre en se plaçant derrière moi et pétrissant mes épaules comme on pétrissait du pain. il m'avais embrasser sur la joue. Je m'étais relevé pour lui faire face, ma cigarette dans une main et prenant sa main dans l'autre, je lui dis:

- Mon amour, s'il te plait arrête de voir le monde en noir. D'abord arrête de croire que je regrette de t'avoir épouser. tu ne devrais même pas te poser cette question ! Tu devrais le savoir, les jugements ne m'ont je m'en fiche éperdument et ce depuis ma naissance ! Ensuite, si j'avais rencontrer quelqu'un d'autre j'aurais eu la franchise de te le dire et de te quitter ! Et tes filles ne pourront jamais te remplacer Stanley, tu es leur père et je pense qu'Astrid et Natalia ne pourront jamais se passer de leur papa, c'est pour ça qu'elles sont si triste de te voir partir en mission. Et je ne suis pas déçue quand tu part. J'ai juste sur de ne pas te voir passer le pas de notre porte a nouveau et je me dis que je ne pourrais pas vivre sans toi, sans ta présence dans mon lit. Alors je t'en supplie chasse toi ces drôle d'idée de la tête ! Terminais-je en l'embrassant tendrement.

Je terminais ma cigarette puis nous finissâmes notre petit déjeuné pour par la suite transplaner sur mon ile préférer: la Crête.

Tout y étais blancs et bleu. Une architecture typique des iles grecs et de la Méditerranée. Tout y était calme et serein. Dans les ruelles montante et descendante de l'ile on croisait des ânes avec quelques pas derrière eux leur maitres, des poules en liberté, avec en bruit de fond la mer. nous nous étions arrêter devant une maison au fond d'une ruelle, un panneau indiquait en grec qu'elle était as vendre. son architecture peu typique des maisons locale était pourtant magnifique et dénaturait en rien le décors qui l'entourait. Nous avions continuer notre route en contrebas pour nous arrêter dans un petit restaurant près de la mer. Stanley, je le voyait bien dans pouvait plus des plats grecs, il se rabattait sur des lasagnes, moi au contraire je continuais a manger, grecs, du tatziski accompagner de dakos et saganaki. Arrosé d'un verre de vin blancs. Un vrai régale...

- Ça va mieux mon amour? Tu n'es plus fâchée?

Je relevais la tête de mon plats qui était terminer. je bus une gorgée de vin en allumants une cigarette et lui souris.

- Non cheri, je ne suis plus fâcher contre toi. Mais tu sais, à la base, je ne l'étais pas, c'est toi qui a tous mal interpréter. Et pour ce petit garçon que nous voulons tant toi comme moi, je pense qu'après la guerre, si elle ne s'éternise pas pendant encore dix ans bien sur, je pense que ça peux s'envisager.

Une fois le repas terminer, nous quittâmes le restaurant pour nous diriger sur la plage, nous avions découvert une petite criques en nous promenant. Pour que Stanley puisse ce baigner en paix nous avions protéger l'entrée de la place afin que personne, ni créature magique ou moldu, ne viennent troublé notre tranquillité.
J'étais allonger sur le dos après avoir terminer mon roman et fumer une cigarette. Je laissais mon esprit vagabondé, se perdre dans les méandres d'une douce torpeur, le soleil carrossait ma peau, me réchauffant comme un draps dans un lit. Le sommeil n'étais pas loin de me gagner quand je sentis un corps froid me chevauché, je n'ouvris pas les yeux pour autant mais sentais qu'il n'étais pas sur moi pour me proposer une partis de scrabble.

- J'ai envie de toi... Il continuas ses baiser dans mon cou et repris d'une voix qui me donnas des frissons de plaisir.Tu sens si bon...

Son envie était palpable s'en nulle doute, et la mienne commençait a monter de plus en plus rapide. Peu après nous nous retrouvâmes nus sur la serviette de plage que j'avais déroulé en début d'après-midi en plein ébat amoureux. au début se fut doux comme étreinte puis elle devint plus bestiales comme si nos vie en dépendait, comme si nous ne nous étions pas vus et toucher depuis des mois. Nous nous retrouvâmes quelques temps plus tard, épuiser, plein de sable ce qui me fit rire, enlacer l'un contre l'autre. J'attrapais mon maillots de bains et lui lançais:

- Vient au moins te rincer, le sable ça gratte après une partis de jambe en l'air, souviens toi mon amour. Que veux-tu faire se soir?

lui demandais-je, mais je n'attendis pas sa reponse, je courrus me jeter dans la mer afin d'enlever tous le sable que j'avais sur moi.
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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMer 20 Mai - 21:31

Je brûlais de désir pour ma femme. Sous le soleil chaud et brillant, en pleine nature au dessus du sable doré de la plage, nous fîmes l'amour comme s'il n'y aurai pas de lendemain. Nous fîmes l'amour comme si nos vies en dépendaient, commençant en douceur puis laissant la bestialité de chacun de nous faire surface et prendre le relais, nous berçant dans une extase sexuelle jouissive.
Allongés nus sur le sable, épuisés par nos ébats torrides et haletants sous la chaleur, mon épouse m'invita à la rejoindre dans l'eau pour nous rincer le sable qui s'était collé à notre peau. - Viens au moins te rincer, le sable ça gratte après une partis de jambe en l'air, souviens toi mon amour. Que veux-tu faire ce soir? - Mais à peine ai je eu le temps d'ouvrir la bouche qu'elle se leva maillot de bain en main et couru vers la Méditerranée pour plonger sous l'eau fraîche des légère vagues qui arrivaient sur les côtes de La Crête. D'un mouvement vivace, je me retrouvais également dans l'eau, plongeant la tête la première et nageant en apnée jusqu'à sous les jambes d'Hana pour resurgir à la surface brusquement la portant sur mes épaules. J'étais heureux, et je riais fort. Je riais fort pour la première fois depuis des années, et cela me rendait d'autant plus joyeux de redécouvrir mon rire qu'on entendait habituellement à 30 mètres de moi. - Ça c'est pour ne pas m'avoir attendu avant de sauter dans l'eau ! - Dis je en la balançant en arrière, toujours en riant.

Nous jouâmes encore dans l'eau salée pendant une petite heure, faisant la course d'un point A à un point B (Je la laissais gagner, évidemment teh ! ) nous laissant flotter et emporter par le courant, nous chuchotant des mots d'amour nos corps enlacés... Puis nous décidâmes de partir dîner avant d'aller à l'hôtel. Avec nos habits de touristes et les pieds encore couverts de sables, nous passâmes à nouveau devant la grande bâtisse en vente que nous avions vu plus tôt dans la journée. - Elle est belle hein? Ça te plairait d'y habiter? Je vois déjà Natalia se transformer en dauphin pour plonger et Astrid s'asseoir sur elle pour la couler ! - M'exclamais-je observant la maison, un grand sourire sur le visage imaginant la scène que je venais de décrire. Nous avançâmes encore jusqu'à une petite place du centre ville où des cafés et restaurants proposaient de nouveau des spécialités grecques mais aussi des spécialités de l'île. Je commandais cette fois ci un Pastitsio, une espèce de lasagne crétoise qui était divine de vue comme de goût, avec un verre de vin. - Et si nous emmenions les filles en randonnée - camping le mois prochain? Thaddée et Jane m'ont dit qu'ils fait très beau à cette période de l'année autour de chez eux, en Espagne. Il y a les Lacs de Covadonga et ça tombe à pic avec la cycle migratoire des Vivet Dorés. Ça pourrait être sympa, qu'en penses tu? Les filles pourront ainsi découvrir de nouveaux endroits et créatures magiques !

Nous continuâmes de parler de ce que nous pouvions faire comme activité avec les filles sans prendre le risque qu'elle nous rendent fous puis sentant la fatigue arriver, je demandais à mon épouse de rentrer à l'hôtel mais avant, je lui réservais une petite surprise. En effet, après avoir fini de manger, nous marchions tranquillement dans les rues mal éclairées de l'île et prenant droite pour être dans la pénombre - Grimpe sur mon dos ! - Je sautais de toutes mes forces en m'appuyant sur mes jambes sur une hauteur de 30 mètres au dessus du sol. Je m'agrippais aux nombreux arbres, maisons et lampadaires traversant la ville à toute vitesse, jusqu'à arriver en haut de notre hôtel, rentrant la porte de la terrasse de notre suite. Je la laissais descendre d'au dessus de mon dos et l'embrassais ma main posée sur sa joue et son menton, une marque de tendresse mais aussi légèrement de possession. - Premier dans le bain ! - Lâchais-je soudainement comme un enfant et m'éclipsant dans la baignoire pour me laver. Sous la douche, je profitais de l'eau chaude qui coulait sur ma peau. En tant que vampire je ressentais chaque goutte qui perlait le long de mon corps et de mon visage, chaque minuscule bulle de mousse qui explosait au moindre contact, chaque odeur des nombreux produits beauté disposés sur le petit tabouret en marbre collé au mur.

Une fois mon bain terminé, ce fût son tour et profitant de cet instant, je transplannais en face de la maison à vendre. Je sonnais à la porte et on vint m'ouvrir. Une gentille vieille dame avoisinant les 70 ans peut - être. - Bonsoir Madame. Navré de me présenter chez vous si tard, mais je suis passé devant votre maison et je ne peux m'empêcher d'admirer son architecture. Je suis ici de passage et je souhaite avoir des informations, enfin, si cela ne vous dérange pas !

- Oh eh bien, il est un petit peu tard en effet, mais je vous en prie, entrez, mes fils vous diront tous ce dont vous avez besoin de savoir !

Je fis le maximum pour ne pas m'éterniser. J'avais juste avant de partir laissé une note à Hana lui disant de m'attendre au bar de l'hôtel. La maison était vraiment divine et malgré son prix un tantinet élevé, je finis par serrer la main de cette vieille dame et de ses fils, concluant ainsi le contrat de vente. Je me chargerai de l'administratif plus tard, en attendant je devais aller retrouver mon épouse.

De retour à l'hôtel, je me dirigeais vers le bar où je vis Hana siroter un cocktail. Je m'approchais d'elle et mis mes mains sur ses yeux - Devines qui c'est ! - Dis je d'une voix tendre. Je pris place à côté d'elle et commandais un Chardonnay. - Tu m'attends depuis longtemps? - Interrogeais-je en remerciant le serveur du regard. - J'ai préparé une petite surprise pour le programme de demain ! J'espère que tu seras partante pour l'activité que j'ai en tête ! - Ajoutais-je avec un ton de suspens et d'amusement.
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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMar 26 Mai - 20:34

Une fois remonter à la surface je jetait un regard vers la plage ou je ne vis plus mon mari. Je sentais la connerie arriver... et effectivement sans crier gare je me retrouvais sur ses épaules, il riait, il riait fort, d'un rire francs qui ne lui était pas arrivée depuis longtemps, tout en disant:

- Ça c'est pour ne pas m'avoir attendu avant de sauter dans l'eau ! Et en un instant me fit propulser dans la mer. Je manquais de boire plusieurs fois la tasse tant je riais et me calmais quand mon mari me prit dans ses bras. Nous continuâmes a chahuter dans l'eau pendant un moment. A faire des courses dans l'eau, à ce coulé mutuellement, nous étions comme deux gamins. Le soleil commençait a décliner. Nous étions sorti de l'eau et nous changions pour partir diner sur l'ile avant de rentrer.

Nous avions quitter la plage pour remonter sur la colline pour rejoindre le centre du village pour manger à la terrasse d'un des restaurant qui étais proposer. Les pieds nus et plein de sable nous avaient à nouveau mener vers cette jolie maison, dont la façade nous plaisait tant.

- Elle est belle hein? Ça te plairait d'y habiter? Je vois déjà Natalia se transformer en dauphin pour plonger et Astrid s'asseoir sur elle pour la couler ! me dit Staley le sourire au lèvre. Il n'était plus dans notre mais dans ses pensées, je le savais à son regard perdu dans le vide. J'attendis qu'il reviennent dans notre espace temps pour lui répondre:

- Ah ça pour se qui est de ce coulé mutuellement nos filles risqueraient de vraiment se noyer si elles le pouvaient. Mais c'est vrai que cette maison est très belle.

J'avais moi même un sourire aux lèvres, c'est vrai, j'imaginais bien nos filles ici, ma grands mère sur un transat avec une cigarette. Et peut être que mon frère réapparaitrait aussi pour partager ces moments en famille. Il n'avait vus ses nièces qu'une seule fois en huit ans... J'avoue lui en vouloir un petit peu surtout en cette période de trouble. Il y a des années de cela je l'aurais chercher, j'aurais chercher sous chaque brindille, chaque cailloux de chaque pays mais aujourd'hui je ne pouvais plus. J'avais une vie et une famille a gérer, si il voulait revenir très bien mais moi je ne pouvais pas tous gérer, c'était trop me demander.

Nous reprîmes notre balade pour arriver sur la place du village ou se trouvait divers café et restaurant. Nous nous installames a une terrasse. N'ayant pas envie de réfléchir je choisis la même chose que mon mari pour diné. C'était délicieux.

- Et si nous emmenions les filles en randonnée - camping le mois prochain? Thaddée et Jane m'ont dit qu'ils fait très beau à cette période de l'année autour de chez eux, en Espagne. Il y a les Lacs de Covadonga et ça tombe à pic avec la cycle migratoire des Vivet Dorés. Ça pourrait être sympa, qu'en penses tu? Les filles pourront ainsi découvrir de nouveaux endroits et créatures magiques ! me dit mon mari pendant que je finissais mon verre de vin accompagné d'une cigarette.

- Je pense que ça pourrais leur plaire. Et a nous aussi d'ailleurs. Et puis je suis sur que Natalia adoreras en apprendre plus sur les créatures magique, Astrid elle adoreras monter aux arbres, il faudra juste les canaliser pour l'une ne parte en migration avec ses créature et que l'autre évite de se rompre le cou en sautant du haut d'un arbre ! Tu as une idée fabuleuse mon chéri ! et puis ça permettras a grands mère de faire ce qu'elle veut aussi.

Le verre de vin ainsi que notre belle journée laissais mes sens doux, légers et cotonneux. C'était confortable et revigorants à la fois. Une fois le diners terminer, Stan m'entrainais à l'écart de la place et me dis de grimper sur son dos... Que manigançait-il encore...

- Nous ne somme plus dans l'eau alors ne me balance en arrière comme tout a l'heure mon amour ! Dis-je en riant.

Je m'exécutais donc et en un rien de temps nous nous retrouvions au dessus des arbres, des toits de crêtes et c'est comme ça qu'il nous fis rentrer à l'hôtel. Il avait dis qu'il était fatigué? Il n'était jamais fatigué pour faire ce genre de chose, pour me faire voir un pays, une ville sous un autres angles, pour me montrer le ciel, les étoiles et la lune de plus près. Au grés de ses jambes qui nous faisaient volé et de ses bras qui permettait de nous accrocher, je visualisais l'horizon, la mer infinie ou les étoiles se reflétaient.
Nous étions arrivée dans notre chambre en entrant par la porte fenêtre rester ouverte. Il me fit descendre de son dos, m'embrassant tendrement juste après il me dit:

- Premier dans le bain ! et il fila dans la salle de bain ce doucher. Je pris donc mon temps, rangeait nos affaires de plage et rejoint mon mari dans la salle de bain ou il avait terminer, je fis couler de l'eau de la baignoire et fis apparaitre mon livre, ma serviette ainsi qu'une tasse de thé. Je me plongeais dans l'eau chaude et entreprit de lire quelques pages de mon roman en buvant. Cette sensation de pleinitude ne m'avait pas quitter depuis notre départ de la chambre le matin même. Une fois récurer je sortit de la salle de bain et découvrais un mot de mon mari me disant qu'il voulait que je l'attend au bar de l'hôtel. J'enfilais une robe fluide couleur émeraude cintrés à la taille, mes sandales a talon beiges et une petite veste de la même couleurs.

Je descendais tranquillement et m'asseyais au bar.

- Je vous sert quelque chose madame?

- Un mojito s'il vous plait, avec beaucoup de rhum. Lui dis-je avec un clin d'oeil. Le temps que le barman réalise mon cocktail, un gros lourd vint se placer a mes côtés.

- Bonsoir, je peux m'asseoir? On devrait pas laisser une jolie minette seule à un bar. Je serrais les dents, me dardants d'un sourire mauvais je lui répondis:

- Bonsoir, alors effectivement on ne devrait pas laisser une belle femme seule à un bar, c'est pourquoi mon mari ne va pas tarder à arriver je serais vous, je me lèverais et me trouverais une autre table, ce n'est pas ce qu'il manque. Bonne soirée.

Sans demander son reste, l'imbecile partis. Le serveur me servit mon mojito en me lançant :

- Franchement bien joué ! Pour une fois que quelqu'un réussit a lui faire fermer son clapet a ce nigaud ! Pour la peine je vous l'offre pour fêter cette victoire !

J'éclatais de rire et remerciait le serveur. Peu de temps après des mains vinrent me cacher les yeux et dans un souffle près de mon oreille on me dit:

- Devines qui c'est? je rie sachant pertinemment que c'était mon mari, rien qu'as l'odeur qu'il dégageait. Après avoir commander un verre de vin il se posta a coter de moi et me dis:

- Tu m'attends depuis longtemps? je secouais la tête et il continuas: J'ai préparé une petite surprise pour le programme de demain ! J'espère que tu seras partante pour l'activité que j'ai en tête !

Je lui souris, terminant ma dernière gorgée de cocktail attrapait une cigarette et l'allumais. J'avais hâte de savoir ce qu'il nous avait concocté comme journée. Et j'allais justement essayer de le découvrir:

- Et on peux savoir ce que tu nous as préparer pour demain mon amour?
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Stanley di Salvo
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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMar 2 Juin - 12:21

Tu m'attends depuis longtemps? - Avais je demandé  -J'ai préparé une petite surprise pour le programme de demain ! J'espère que tu seras partante pour l'activité que j'ai en tête !

Ma femme me souris et, après avoir fini son cocktail, alluma une cigarette, la énième de la journée et sûrement pas la dernière de notre séjour. - Et on peux savoir ce que tu nous as préparer pour demain mon amour? - Questionna-t-elle. - Si je te le dis ça ne sera plus une surprise !

Nous profitâmes du bar pendant encore une heure ou deux, sirotant des cocktails, riant en douceur, nous moquant des personnes qui étaient autour de nous ou au contraire les complimentant ! Un petit groupe de musiciens jouaient du jazz et du blues au fond et à chaque fois qu'ils finissaient de jouer un morceau, la multitude les applaudissaient. Tout était en harmonie avec mon esprit. J'étais heureux.

Un peu pompettes, Hana et moi nous dirigeâmes vers notre suite titubant et riant, nous cognant contre les murs et les portes dans les longs couloirs de l'hôtel. - Après vous, madame ! - Dis je en poussant la porte, m'inclinant devant elle et l'invitant à entrer comme une comtesse. Une fois dedans, je refermais la porte et partit me servir un dernier scotch avant d'aller au lit. Je me bus d'une traite et commençais à me déshabiller en me dirigeant vers la chambre, laissant mes habits traîner partout. Je m'assieds sur le lit et fit quelques étirements avant de glisser sous les draps. Ma femme me rejoignis quelques minutes après, et son parfum mêlé à l'alcool dans le sang aiguisa mes sens.
Mon nez plongé dans son cou, je commençais à lui dessiner une traînée de baisers, remontant vers son épaule, descendant vers son dos, replongeant dans le creux de son cou, je lui fis subir mes assauts en douceur, tendrement, je ne souhaitais pas passer une nuit bestiale, mais érotique ! Je voulais que cette nuit soit une oeuvre d'art !

Après avoir fait l'amour à ma femme durant une partie de la nuit, je m'allongeais la tête reposée sur son entre-deux-seins, écoutant ses battements de cœur, mon index dessinant des cercles sur son ventre et sa croupe, caressant sa peau blanche, douce, et suave. Je pense l'avoir sentie frémir à un moment. - Je t'aime - murmurais-je à son oreille avant de me dégager d'au dessus d'elle et sombrer de le sommeil à mon tour.

Le matin, au réveil, je fût réveillé par une délicieuse odeur de café chaud qui provenait du petit balcon du salon de notre suite. Suivant l'odeur amère de ce breuvage, je me retrouvais à l'extérieur, en face d'un ciel bleu éclatant et des rayons de soleil vinrent me saluer en faisant briller ma peau. Je pris une grande bouffée d'air frais, humant l'odeur de la mer et écoutant les mouettes crier et chanter, annonçant l'arrivée de la saison des amours et préparant leurs parades nuptiales pour conquérir les femelles et les attirer dans leurs nids. Je souris en pensant que dix ans plus tôt, je dû moi aussi conquérir le cœur d'Hana, et cela avait été plus difficile que de danser et montrer mon plumage !

Je pris place sur la chaise en rotin, lunettes de soleil sur le nez, lisant une revue moldue qui nous était distribuée en même temps que le petit déjeuné. Je n'étais toujours pas habillé et portait que mon boxer, mais cela faisait du bien de ressentir la chaleur du soleil pénétrer sous ma peau et réchauffer mes muscles et mes os. Puis, posant la revue, je vis le paquet de cigarettes de ma femme posé sur le bord de la table. Levant un sourcil, puis jetant un coup d'oeil à l'intérieur, je le pris, en sélectionnait une et l'allumais pour essayer de comprendre ce qu'elle ou les autres fumeurs de notre entourage pouvaient bien aimer dans le tabac.
Je pris une première latte et manquais de me tuer. Je me mis à cracher mes poumons et bu une bonne rasade d'eau avant de retenter ma chance. Petit à petit, je commençais à me faire au goût qui était réellement infecte, mais la sensation de fraîcheur qui se répand dans la gorge et les poumons n'était plus aussi désagréable.

Trop concentré à fumer cette cigarette qui serait ma première et ma dernière également, je ne fis pas attention immédiatement mais je sentis une présence derrière moi. Me tournant, tenant ma cigarette entre les doigts comme un novice, je vis ma femme. - Bonjour chérie ! Tu as bien dormi? - Questionnais-je comme si de rien n'était. - Je t'attendais justement pour prendre le petit déjeuner. Tu veux du café?

Nous prîmes le petit déjeuner en silence, tout simplement profitant du bruit des vagues qui venaient mourir sur la côté et la brise qui apportait un peu de fraîcheur. Nous n'allions plus tarder à rentrer dans notre manoir à Paris avec nos filles et nous ne pourrions plus profiter comme nous le faisions actuellement.
Je me brossais les dents pendant qu'elle se douchait et vice versa puis nous habillâmes en tenue plutôt légère car la température était montée d'un cran au dessus des jours précédents puis je pris la direction du port. Arrivées, un homme d'une quarantaine d'années, répondant au prénom de Sandros nous attendait avec une petite embarcation et du matériel de plongée. - Chérie, voici Sandros, notre moniteur pour notre baptême de plongée ! Sandros, voici mon épouse, Hana.

- Ah madame Hana ! - Répondit-il avec un fort accent grec - Stanley m'a souvent décris votre charme et votre beauté mais maintenant que je vous vois pour de vrai, je ne peux que confirmer ses dires ! - Finit-il en souriant et lui faisant un baise main. - Sandros et moi nous connaissons depuis une vingtaine d'années chérie, c'est un très bon ami et ancien membre de la Salamandre. Depuis, il s'est marié à une moldue et est devenu prof de plongée et capitaine de navires ! Il est le capitaine officiel des bateaux de JannaLynn et Mehdi. On va justement prendre le JannaLynn II pour aller faire de la plongée ! C'est bien ça ? - Finis-je en me dirigeant vers mon ami.

Sandros confirma cela puis nous donna le matériel et les combinaisons et nous invita à aller dans une petite cabane à quelques mètres pour nous habiller. Une fois prêts, nous primes le JannaLynn II, un yacht de marque Riva. Je ne m'attendais pas à un yacht pour être honnête, mais si c'était le seul à être amarré en Grèce, quel autre choix avions nous?

Ce que nous prépare l'avenir  73709810

Nous montâmes dans l'engin et Sandros pris la large pour se diriger vers Stàvros, une plage de Crête. Une fois là bas, nous amarrâmes le yacht puis après avoir trinqué nos coupes de champagne, nous plongeâmes tous les trois pour découvrir les merveilles sous marines que cache la mer méditerranée

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Hana Lupin Di Salvo

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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMar 3 Nov - 15:23

Stanley m'as rejointe peu de temps après avoir été servis et aussi après avoir refouler le lourdeau. Après avoir bu quelques verres... peut être un de trop, nous nommes remonter dans notre chambre. Mon mari ce prenant pour un grand seigneur m'ouvris la porte comme si j'étais "Madame la comtesse", après une révérence nous entrâmes tous les deux en riant a nous tenir les côtes. Je filais me démaquiller et enfiler ma tenue de nuit et rejoignis mon cher et tendre qui lui étais déjà dans le lit ou il m'attendais.

Je me glissais dans les draps frais et douillet du lit, ou il accueillit ouvertement les ébats tendre et amoureux auquel nous nous étions abandonnée volontiers en douceur. Puis je m'abandonnais à la fatigue, de la journée, de la soirée, de nos ébats sous les douces caresses que me dessinais mon mari sur le corps.

Je fis une nuit complète sans rêves et sans cauchemar, reposante. En me réveillant j'enfilais mon peignoir de nuit et partit vers le balcon ou m'attendais le petit déjeuner et... Je sentis comme une odeur étrange... familière... aimée... Dans mon cerveau était apparue un énorme panneau clignotant rouge avec écris dessus: "CIGARETTE, CIGARETTE, CIGARETTE"
Je surpris Stan avec une voix rauque et la cigarette entre deux doigts. Je lui attrapais tout en lui répondant:

 - Oui j'ai bien dormi mon amour, et toi ta nuit? C'est mal tu sais de me volé des cigarettes en cachette, haha. En sachant que tu as du t'étouffer au vu de ta voix ce matin. Fait voir quel gouts tes baisers ont après avoir fumer?

Sur ces dernières paroles, je l'embrassais à pleine bouche. Il avait le gout de tabac, de frais avec la menthe inclus dans mes cigarettes mais aussi ce gout si spéciale qui lui ai propre. Celui de Stanley quoi. je me détachais et lui dis avec sourire taquins au lèvre:

 - Gout inattendu mais pas mal du tous. Oui je veux bien du café mon chéri s'il te plait.

Nous prîmes notre petit déjeuner dans un silence bienvenue, déranger simplement par le chant des oiseaux en fond ainsi que le bruit de la mer. Je filais directement prendre ma douche après avoir terminer mon café-clope. J'enfilais mon short en jean et ma chemise, la chaleur de l’été commençait a poindre le bout de son nez. Je me demandais quelle était la surprise que m’avais préparé mon mari. Il m’entrainait vers le bord de mer … ou plutôt le port.

Nous attendions surement un bateau, parce que c’est souvent ce qu’on attend dans un port, en revanche ou ce bateau nous emmènerait-il? Une petite barque fit son apparition avec à son bord un homme, dans nos âges. Stanley ne tarda pas à faire les présentation:

 - Chérie, voici Sandros, notre moniteur pour notre baptême de plongée ! Sandros, voici mon épouse, Hana.

Un baptème de plongée?! c’étais donc ça la surprise. Allée voir des poissons, des baleines, des requins, des méduses (bon peut être que je m’emballe un peu). C’était une super idée que mon mari avais eu!

 - Enchanté Sandros ! Quel belle surprise tu me fais mon amour !

 - Ah madame Hana ! Stanley m'a souvent décris votre charme et votre beauté mais maintenant que je vous vois pour de vrai, je ne peux que confirmer ses dires !

J’eu un éclat de rire. J’avais toujours eu du mal avec l’expression de mes charmes a voix autres par d’autres personnes que mon mari… Surement parce que beaucoup de personnes ont finis par perdre la tête, non pas à  causes de mes dits charmes, mais plutôt grâce à un mari un peu trop possessif.

 - Sandros et moi nous connaissons depuis une vingtaine d'années chérie, c'est un très bon ami et ancien membre de la Salamandre. Depuis, il s'est marié à une moldue et est devenu prof de plongée et capitaine de navires ! Il est le capitaine officiel des bateaux de JannaLynn et Mehdi. On va justement prendre le JannaLynn II pour aller faire de la plongée ! C'est bien ça ?

Sandros nous tendit nos affaires de plonger pour que nous puissions nous changé. Puis nous montâmes a bord du Jannalynn II… Un peu trop voyant a mon goût mais bon c’est une surprise je ne vais pas me plaindre non plus et puis ça ne m’étonne pas non plus du cousin de Stan Medhi d’avoir ce genre de bateau dans sa flotte… ou même d’avoir une flotte. Le yacht ce mi en branle et nous prîmes le large.

Le bateau ralentit une fois les côtes disparu de toute part. Il était temps de nous mettre à l’eau. Mais je ne voyais pas l’utilité de nos bouteilles d’oxygène. Après tous nous étions des sorciers, Sandros aussi, alors je décidait, une fois notre embarcation à l’arrêt, de plonger dans l’eau avec ma baguette. Une fois remonté à la surface je m’ensorcelais avec le sortilège de têtenbulles. Je fis signe à mon mari de me suivre, fit un signe de la main à Sandros et replongeais dans les profondeur inexploré de l’ocean. La sensation de l’eau sur ma peau, j’avais l’impression d’être hors de mon corps, que mon esprit étais vidée et que mon âme étais la seul à subsister et à nager, à me délecter de ces paysages si paisible, si calme, sans guerre ou tous du moins loin de cette guerre des sorciers qui faisait rage sur terre.

Stan’ m’avais rejointe depuis un moment, nous nagions entre les poissons multicolor, nous laissions flotter entre les tortues, les méduses et les dauphins c’était un paysage à couper le souffles, rien a voir avec les montagnes dessiner par de la l’ocean, tout aussi féerique. Cette magie là étais différente car nous n’étions pas dans notre monde ni dans notre élément. Nous devions remonter, le sortilège commençais a toucher à sa fin.

Une fois de retour sur le bateau, je m'en roulais dans une une serviette et parti vers mon mari.

- Merci mon amour pour cette magnifique surprise. c'étais magnifique, vraiment. Je me sens revigoré. Pleine d'énergie pour affronter nos démones à notre retour à la maison.

Je l'embrassais et me blottis contre lui. Le retour à la réalité allait être plus compliqué qu je ne le pensais... Même si l'idée de retrouver mes filles me remplissais d'amour et de joie, le reste était si noir que je ne voulais pas que ce moment ce termine. Nous étions si heureux ici.
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Stanley di Salvo
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Stanley di Salvo


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MessageSujet: Re: Ce que nous prépare l'avenir    Ce que nous prépare l'avenir  EmptyMer 4 Nov - 0:16

Nous trinquâmes à la belle vie puis nous nous assîmes au bord du yacht. Je discutais tranquillement avec Sandros tandis que nous vérifions la quantité d'oxygène dans les bombonnes. Je pensais Hana toujours assise pas loin lorsque j'entendis un splash. A toute allure, je m'approchais du bord pour voir si Hana allait bien car j'ignorai si elle était tombée ou si elle avait plongé de sa propre initiative. Quelques secondes plus tard, elle remonta à la surface, son blanc sourire brillant au soleil autant que ma peau, et , baguette en main, elle utilisa le sortilège Têtenbulle, qui permet de respirer sous l'eau grâce à une sorte de capsule d'oxygène qui entoure notre tête. Nous nous regardâmes avec Sandros, nous n'avions pas l'air bête sur le coup avec nos bouteilles d'oxygène sur le dos. Hana méritait bien sa place de Serdaigle ! Son cerveau réfléchissais plus vite et plus loin que celui de Sandros et moi réunis !

Débarrassés du poids sur notre dos, nous plongeâmes mon ami et moi à notre tour pour rejoindre ma femme. L'exploration put commencer !
Sandros nous fit plonger en profondeur. Il nous fit découvrir les récifs méditerranéens, où poissons colorés et crustacées se disputaient la nourriture et les territoires, il nous expliqua la manière d'intéragir avec les dauphins qui se dirigeaient vers nous, intrigués par ces trois créatures qu'ils n'avaient peut-être jamais vu. D'abord méfiants, ils nous firent confiance en peu de temps et bientôt ils commencèrent à nager autour de nous, créant une valse de bulles flottante, nous encerclant pour jouer et cherchant des caresses. C'était absolument extraordinaire. Nous étions bien chanceux de pouvoir vivre cet expérience si puissante et si nourrissante pour l'âme. D'autres créatures marines, des raies, beaucoup moins sympathiques mais tout aussi majestueuses s'approchèrent de nous, attirés par leur curiosité pour savoir quel était ce capharnaüm de bulles qu'il y avait en pleine milieu de la mer. Déçues de découvrir que nous ne figurions pas dans leur menus, elle s'en allèrent tout aussi calmement qu'elle étaient arrivées. Sous les instructions de Sandros, nous faisions en sorte d'éviter leurs dards, venimeux et capables de tuer un humain en quelques minutes à peine. Aillant perdu ma mortalité en secret, je devais faire attention à ne pas être touché par le dard mais également faire attention à ce qu'Hana ne le soit pas non plus. Jetant des coups d'œil de temps en temps vers elle, je la voyais beaucoup trop heureuse et souriante, belle comme une sirène, entrain de câliner un dauphin.

Sandros nous abandonna quand il fût certain que nous arriverions à nous débrouiller seuls à présent, et regagna le bateau, nous laissant elle et moi, moi et elle, seuls, perdus ai milieu de cet espace bleu, taché de minuscules couleurs de l'arc en ciel qui étaient toutes les espèces et variétés de poissons petits et gros qui peuplaient la mer. Doucement, j'approchais ma femme et l'embrassais délicatement, avant de sentir quelque chose de dure frôler ma tête. Je me tournais immédiatement, les crocs à l'air, pensant qu'il s'agissait d'un danger, mais ma surprise fût de taille lorsque je vis un attroupement de tortues Luth, prenant la direction sud, en direction du continent africain, certainement pour y déposer leurs œufs. Le spectacle était grandiose. Au moins une vingtaine d'individus ! Le cycle de la vie, songeais-je en pensant à ce garçon que je voulais tant. J'eux une pensée laconique repensant aux paroles d'Hana qui voulait avoir ce garçon aussi à condition que la guerre contre les moldus soient finie. Je me tournais vers elle, la regardais dans les yeux et lui sourit, avant de lui indiquer qu'il était temps de remonter à la surface malheureusement, car le sortilège Tetenbulle avait une durée longue en effet mais limitée.

Pour marquer le coup, je lui demandais de s'accrocher à moi, et une fois fait, prenant appui sur un rocher à plus de 600 mètres de profondeur, je donnais un coup sec avec mes pieds pour prendre de l'élan et nous remontâmes à une vitesse folle jusqu'à la surface,, dépassant le bord du bateau et retombant sur les jambes à la surface de la proue. Hana se détacha de moi et Sandros nous ramena gentiment des serviettes pour nous sécher. Je pris place sur la causeuse, essuyant mes cheveux frénétiquement avec la serviette, lorsque ma chère et tendre prit place auprès de moi. - Merci mon amour pour cette magnifique surprise. c'étais magnifique, vraiment. Je me sens revigoré. Pleine d'énergie pour affronter nos démones à notre retour à la maison. - Elle se blottit contre moi et je l'entourais avec mon bras - Je t'en prie mon amour, tu mérites ceci et bien plus encore ! - dis-je en douceur, laissant planner le suspens sur mes dernière paroles.

De retour sur le continent, nous remerciâmes Sandros pour cette délicieuse journée et nous l'invitâmes à venir passer quelques temps chez nous à Paris, avec son épouse lorsqu'ils en auraient l'occasion. C'était un chouette gars, un brave homme et un très bon ami. J'espérais sincèrement que Mehdi et JannaLynn prenaient bien soin de lui car s'il était un ami en or, il était un employé modèle  ! J'ignorai encore ce jours, que je ne le verrai jamais plus. La famille de son épouse, des moldus, le crucifièrent et le brulèrent lorsque qu'ils apprirent quelques semaines plus tard qu'une guerre entre sorciers et moldus venait d'éclater.

Je disais, donc, nous le remerciâmes pour ses services puis nous allâmes dîner à la belle étoile dans un restaurant situé dans la place du centre historique de la ville. Les étales étaient décorés de bougies colorées, accrochés en guirlandes, traversant toute la zone d'un stand à un autre. L'odeur de nourriture sortait de toute part, les conversations alcoolisées et les rires au rythme des pintes dans les chopes de bières qui éclaboussaient les tables et le sol, apportaient à la chaleur humide de cette nuit une magie particulière. Personne ne semblait se soucier de rien dans ce pays, et je les enviais pour cela !

Ce que nous prépare l'avenir  Imgx11
Place Jamâa el Fna, Marrakech (Je ne trouve aucune photo grec correspondant à la description)

Je pris une Moussaka et une bouteille d'Ile de Beauté pour célébrer notre dernière nuit en Grèce. Il faut avouer que malgré le bonheur que nous respirions ici, les filles nous manquaient et nous ne pouvions plus esquiver nos devoirs et obligations respectifs pendant longtemps encore.

Nous continuâmes notre dîné en riant et parlant aussi plus sérieusement de ce qui nous attendait en rentrant. Entre le travail, la guerre et "nos démones" comme les appelle mon épouse, nous n'allions pas hésiter longtemps avant de refaire une escapade quelque part ! Mais notre conversation fût interrompue avec l'arrivée inattendue d'un groupe de musiciens et de danseurs et danseuses. - Tiens, un spectacle? - Questionnais-je plus pour moi que pour ma femme. Les musiciens une fois en place commencèrent à jouer le très fameux Sirtaki de Zorba le Grec. J'appréciais énormément cette musique et les danseurs étaient excellents, mais j'aurai plus apprécié s'ils m'avaient laissé à ma place, assis devant Hana. Non, ils sont venus me chercher avec d'autres clients du restaurant pour nous joindre à eux, et nous voilà tous lancés dans la danse du sirtaki au rythme endiablé, sous les applaudissements et les rires d'Hana et des autres personnes présentes dans la place, j'invitais ensuite Hana me rejoindre pour danser aussi, il était hors de question que je sois le seul à faire le ridicule !



A la fin de la danse, essoufflés et en nage mais riant de toute notre âme, nous trinquâmes avec les artistes et finîmes notre repas plus calmement. Le serveur nous apporta la note et nous payâmes, puis nous prîmes nos affaires et reprîmes le chemin pour rentrer. Mais arrivés à une bifurcation, je pris une petite pente douce qui menait vers la plage. - Suis moi, c'est notre dernière nuit, nous devons en profiter !- Lui tenant la main, je la trainait sous nos rires enfantins et gloussants comme des adolescents pris en flagrant délit jusqu'au bord de l'eau, ou nous nous déchaussâmes en premier avant de rejoindre les vagues sombres qui se mêlaient au ciel noir où nous commençâmes à nous éclabousser avant de sombrer à la tentation de déchirer nos vêtements et faire l'amour comme si nos vies en dépendaient. L'amour, au clair de lune, sur le sable frais d'une plage paradisiaque avec l'amour de sa vie. Ce n'était pas uniquement du sexe, ni uniquement du romantisme. Il y avait quelque chose de bestial en nous, un feu ardent qui se faisait plus fort au fur et à mesure de mes vas et viens. Un vampire et une loup-garou dans leur état le plus sauvage, le plus primaire. Je jouis en elle, lâchant prise complètement et débridant mon orgasme jusqu'au point extrême de non retour, le corps ardant et fiévreux. Mon Dieu ce corps et cette femme me rendaient fou !

Allongés sur le sable, les habits en lambeaux, nous regardions le ciel ténébreux, profitant de la douce musique du silence, bercés par le seul bruit des vagues qui venaient mourir sur la côte. - Ne me quitte jamais - murmurais-je dans son oreille, fourrant ma tête dans ses cheveux mouillés pour sentir son odeur. Hélas le temps passait comme un battement de cils et l'heure était venue pour nous de reprendre la route, mais j'avais un dernier cadeau à offrir à ma femme.
Marchant main dans la main habillés de nos maillots car nos habits étaient déchirés, mouillés et remplis de sables, je décidais d'arpenter le petit chemin que deux jours plus tôt nous avions pris et où se situait la villa qui avait plu à Hana. Arrivés en face, j'ouvris le portail et m'aventurais dans la petite allée du jardin jusqu'à la porte. - Viens, ne t'inquiètes pas ! Nous sommes chez nous ! - Sous son regard, je pris la clé cachée sous un petit pot de fleurs posé là et ouvrit grand la porte. Au fond du mur devant nous, il y avait marqué " Joyeux dixième anniversaire à nous". Une petite table avec un petit gâteau et du champagne était posée juste en dessous. Sous un échange de rires et de baisés, nous bûmes le champagne et coupâmes le gâteau, dans lequel se trouvais au centre, une bague en or et diamants, avec nos initiales gravés dessus et notre date de mariage en dessous. J'embrassais ma femme une dernière fois, puis l'emmenais dans la chambre où, je garde pour moi ce qui s'est passé cette fois là, je m'endormis bercé par ses caresses.
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