Un nuage couleur encre commenca à se disoudre dans l'eau de la pensine et peu à peu des images apparurent. Au début ce ne fut qu'un ciel gris et bas audessus d'une toundra froide et glacée. Ca et là, des plaques de neiges s'étandais. Un toupeau de Boeuf musquer galopait, visiblement, les bêtes fuyaient un ou plusieurs prédateurs. Pourtant on ne voyait aucun autre mouvement au sol, à part le galop des énormes bovidés.
Il falait regader vers le ciel, pour apercevoir ce que fuyait les boeuf, un vol d'une dizaine de dragons au couleurs muticolor et aux fomes vairiés. Pamis cette foule écailleuse, l'un d'entre eux sortait du lot. Il était d'un rouge magnifique avec une cinière et une queue d'un jaune d'or églouissant, il était le parfait dagon chinois. Il volait en tête de la meute avec une fluidité et une agilité remarquable. On voyait bien que c'est lui qui menait la chasse.
Les boeuf musqués, affoler par ces prédateurs hors du commun, finirent par stoper et ce mettre en cercle, les plus jeunes au milieux, les adultes tête vers l'extérieur prêt à déffendre chèrement leur vie. Cette tactique efficasse contre les prédateurs terrestre n'était d'aucune utilité contre un vol de dragons.
Le dragon rouge, aidé par un gris, fondit su le cente du troupeau et saisit ente ses giffes puissantes un jeune bœuf au quel il brisa la nuque d'un seul coup de dent. Le gris y panta aussi ses giffes et les deux bêtes enlevèrent leur proie au nez des adultes qui se mirent à mugire de collère. L'un deux essaya même de bondir en l'air, mais peine perdu, le petit était condamné.
Les deux dragons, leur proie caller entre eux, se mirent à volé , accompagné pa le reste des dragons, vers un petit bois à l'abrit du vent du nord. Là, un goupe d'humain entretenait un gand feu pour se échauffer et pour rotir la viande qu'on allait leur apporter. De vastes tentes avaient été drésser, à l'interrieur des quelles, des tables avaient été installées et décoré avec goût.
Un à un, les dragons se possèrent et se tansfomèrent en jeunes hommes ou en jeunes femmes. Le goupe autour du feu se pésipitait pour leurs appoter vètements et couveturse affin de leur évité d'atrapper froid. Les deniers à se posser furent le rouge et le gris avec le cadavre du boeuf musqué, qui fut imédiatement emporter afin d'être dépesser et mit à cuire.
Le dagon rouge se tansforma en une magnifique jeune femme rousse, tandis que le gris, prit l'apparence d'une femme plus agée avec de long cheveux blond striés de gris. Pendant qu'elles se rabiaient rapidement, l'ainée s'adressa à la plus jeune.
-Bravo Shona, tu as mener cette chasse de main de maître !!
-Merci tante Débora, répondit l'interpelée, C'est grace à tes conseilles et tes leçons que j'y suis parvenue.
-Pas de quoi, mais tu avais un gros potentiel, je n'ai eu qu'à te le faire découvrir, le reste tu le dois à toi seul, ma fille !!
Sur c'est mot, un jeune homme s'approcha, il était grand, au visage fin et expressif. C'est cheveux chatien clair, portés long, était retenu en catogant. Il s'aprocha de la dénomé Shona et entoura ses épaules dans ses bras.
-Ma Shona est toujours la meilleure, déclarat-il avec un grand sourire.
-Oh, Angus, avec toi , je suis toujours la meilleure, répliqua Shona. Tu sais , moi aussi j'ai certains défaut, je suis colérique, autoritaire, soupe au lait ........
Mais avant que la jeune femme puisse continuer, Angus posa tendement ses lèvres sur celles de Shona qui se laissa faire avec délisse. Débora regada le jeune couple avec un tendre sourire, car cette chasse expessionnelle était pour fêter les fiansailles d'Angus et Shona.
Les deux familles c'étaient retrouvés là pour faire la fête. Pendant que le Clan Mac Douggal se chargeait de la chasse, le clan Godolphin préparait la fête au sol. Bientôt les premiers morceaux de boeuf furent grillés à point et le repas pouvait commencer dans une ambiance chaleureuse malgré le froid et la nuit qui tombait. Puis les images disparurent, ne laissant que l'eau cistaline de la pensine.
Angus se releva avec des l'armes dans les yeux. Ce temps heureux était révolu et bien loin de l'orage qui grondait sur le monde des sociers.
